franchement je comprends et je respecte ceux qui se battent pour que ce gouvernement et ces institutions tombent

Pendant que la majorité de pays africains commencent à parler du positif dans leurs deroulements socioeconomiques, pour nous je pense qu'on continuera à parler des générations perdues, alors que nous avons un pays qui devait se trouver dans la tête du peleton de l'emergence africaine.. On les attend à donner les mangenas au Rwanda et au M23, ils vont s'agenouiller mais il sort les muscles pour brouiller les radios indépendants en plus un Radio aussi complet que eux même sont incapable de créer. Comment dans ce cas avoir la confiance de partenaire etranger. Mawa plein
L'angola continue à pomper notre petrol au vu et au su de tout le monde, Rwanda continue à raffiner tout ce qui est exploiter au Kivu est devient l'exportateur officiel au vu et au su de tout le monde, quant à ouganda, congo, et zambie n'en parlons pas, ces poilticiens qui touchent les pot de vin de ces pays continue à muscler les biceps que contre leur propre population. Na leli pour nos enfants et peut être leur futur descendance aussi.

Mr. Piélé,
Voici encore 2 exemples pour illustrer l´incompétence du gouvernement congolais et plus particulièrement de son président actuel.

I. Le pétrole dans le Graben albertine entre l’Ouganda et la RD Congo
Les réserves ougandaises évaluées entre 800 millions et 2.5 milliards de barils sont subdivisées en blocs et ces blocs sont partagés entre trois grandes compagnies principales, l’anglaise Tullow oil, la chinoise CNOOC et la française Total. Ces dernières compagnies sont à l’œuvre et l’Ouganda espère passer en phase d’exploitation dans les mois à venir.

Du côté de la RD Congo, comme il s’agit du même bassin du Graben albertine et que les eaux et les rives congolaises du lac Albert devraient logiquement avoir les mêmes potentialités, les mêmes compagnies pétrolières qui opèrent du côté ougandais sont intéressées dans l’exploration et l’exploitation des gisements du pétrole congolais.

Mais c´est sans compter avec le savoir faire des congolais!
À moins de 4 ans, les blocs congolais sont passés entre les mains de plusieurs compagnies pétrolières en compétition selon qu’un ministre congolais à l’énergie remplaçait un autre. En juillet 2006, Tullow oil, réclamait être en possession des blocs après avoir signé un contrat de production avec le ministre de l’énergie Salomon Banamuhere. En 2008, le nouveau ministre de l’énergie, Lambert Mende, le porte parole actuel du gouvernement offrait les blocs à une société sud-africaine, Divine Inspiration, qui appartiendrait au neveu de l’actuel président Jacob Zuma. En 2010, Célestin Mbuyu rejeta le candidat de son prédécesseur et signa un contrat de partage de production avec deux compagnies britanniques domiciliées aux Iles Vierges. La population attend des investisseurs et son président le sait mais ne fait rien!

II. Le gaz méthane du Lac Kivu
Un protocole de principe a été signé en juin 2009 entre le Rwanda et la RD Congo pour l’exploitation du gaz méthane dans le lac Kivu dont les réserves sont estimées à plusieurs dizaines de milliards de m3. Mais jusqu’à présent, seul le Rwanda a démontré un intérêt dans l’exploitation de ce gaz en initiant un projet pilote censé produire autour de 4 MW qui est déjà en fonction. Il serait entrain de finaliser un autre projet de construction d’une centrale thermique alimenté par le gaz méthane du lac Kivu d’une capacité de 35 MW. Et la RD Congo traîne toujours ses pieds.

La négligence notoire du gouvernement congolais dans sa mission d´abord de protection de la population contre l´insécurité et dans sa mission de développer notre pays ne pas à démontrer. On dirait une malédiction.

Les congolais méritent encore de diriger ce pays

Les blocs coté congolais ont été donné à Dan Gerler et à Nozy Mwamba...

Ces derniers tentent actuellement de les revendre sur le marché international.

Il faut vraiment faire partir Kabila pour le bien des générations futures ! Ça ne peut pas continuer comme ça.

Le FMI cesse ses prêts à la RDC

http://www.bbc.co.uk/afrique/region/2012/12/121203_rdc_fmi_prets.shtml

Le Fonds Monétaire International a suspendu 240 millions de dollars de prêts à la République démocratique du Congo, pour ne pas avoir publié des contrats miniers, comme l’avait requis l’organisation internationale.

L’organisation avait conditionnée ses prêts à la RDC à des exigences de plus grande transparence de le secteur minier.
La RDC espérait que la note suffirait à convaincre le FMI de prolonger le programme de prêts, qui expire le 10 décembre avec trois tranches restantes du total de 560 millions de dollars.
Le Fonds avait suspendu les prêts l’an dernier après la cession par Kinshasa de sa participation de 25% dans un projet minier à une société des îles Vierges britanniques.