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Manifestation le 27 septembre 2014

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Mathilde
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Message  Admin 25/9/2014, 6:04 am

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Message  Mathilde 26/9/2014, 12:24 am

Manifestation le 27 septembre 2014 10716010

CODE 243
Breaking News

Andre Kimbuta, Gouverneur de la Ville de Kinshasa a finalement autorise la marche de l'Opposition politique prevue ce Samedi 27 Septembre 2014.

La seule grande modification apportee sera le point de depart, initiallement prevu au Marche de Masina (ex BKTF), au profit de l'Echangeur de Limete.

Par ailleurs, on nous apprend que l'UDEMO et le MLC se sont joints a l'UDPS, l'UNC, le MPCR, le RCD-KLM, le PT, le CDER, le SET, le FIS, le PLC et le MPP partis qui ont convoque ladite marche.


Que Vive la RDC.

La Redaction.

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Message  Mathilde 27/9/2014, 9:49 pm

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Message  Mathilde 27/9/2014, 9:49 pm

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Message  Admin 28/9/2014, 6:43 am

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Message  Admin 28/9/2014, 6:48 am

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Message  ndonzwau 28/9/2014, 7:34 pm

"Kinshasa : marche de l’opposition contre la révision de la constitution
° http://radiookapi.net/actualite/2014/09/27/kinshasa-marche-de-lopposition-contre-la-revision-de-la-constitution/
Des forces politiques et sociales de l’opposition ont marché samedi 27 septembre pour manifester leur opposition à une éventuelle révision de la constitution en RDC. La marche est partie de la place de l’échangeur de Limete, jusqu’au boulevard triomphal, en passant par les boulevards Lumumba et Sendwe. Les manifestants réclament aussi l’organisation d’un dialogue politique inclusif.  Une marche similaire a cependant été dispersée par la police à Goma, au Nord-Kivu.
Les représentants des grandes formations politiques de l’opposition étaient visibles ce midi au départ de la marche, à l’échangeur de Limete.
Quelques milliers de militants de partis politiques de l’opposition ont participé à cette manifestation pacifique.


Sur les drapeaux et calicots, on pouvait lire UDPS, UNC, Parti travailliste, Udemo, MPCR, RCD et bien d’autres.
En tête de la marche, des leaders de l’opposition comme Vital Kamerhe, Bruno Mavungu, Jean-Claude Mvuemba, Jean-Lucien Busa, Basile Okolongo, étaient visibles.
Leur message : non à une éventuelle révision de la constitution ; oui à la tenue d’un dialogue politique inclusif conformément à une résolution de l’accord-cadre d’Addis-Abeba.
«Il [dialogue inclusif] est prévu dans la résolution 2098. Ce dialogue ne va pas porter sur le partage de pouvoir, mais sur les modalités d’avoir les bonnes élections, de voir finalement qu’on peut respecter les droits et libertés des citoyens et  sur tout ce qui concerne la bonne marche du pays», a affirmé le leader de l’UNC, Vital Kamerhe.
Côté société civile et autres ONG de défense des droits de l’homme, on a noté entre autres la présence de Mme Léonie  Kandolo, Dolly Ibefo de la VSV et Jean-Claude Katende de l’Asadho. Eux se sont exprimés aussi pour  réclamer notamment la libération des détenus politiques et d’opinion.

Cette marche est l’une de rares manifestations de l’opposition congolaise qui s’est déroulée sans dérapage et sans incident majeur. Les forces de l’ordre étaient à peine visibles.
Deux semaine plus tôt, le gouvernement provincial avait interdit cette marche affirmant qu’une autre activité de l’opposition, un meeting, était prévu le même jour.
Le ministre provincial de l’Intérieur de Kinshasa, Emmanuel Akweti, avait expliqué que «l’autorité n’a pas refusé la marche», mais qu’elle estime «simplement … qu’il y avait des problèmes d’ordre pratique pour l’encadrement des marcheurs».

Marche dispersée à Goma

A Goma par contre, la marche contre la révision de la constitution a été dispersée par la police, à l’aide de gaz lacrymogènes.
Plusieurs partis de l’opposition, dont l’UNC, l’UDPS, le RCD-Kml, le DCF-N, y prenaient part.
Les manifestants réclamaient aussi l’indépendance du pouvoir judicaire et la libération des détenus politiques.
Les marcheurs affirment qu’au moins une dizaine de personnes, dont quelques élèves, ont été blessées lors de la dispersion de cette marche. Ce que dément la police."



"RDC: la marche de l'opposition se déroule sans heurt
° http://www.rfi.fr/afrique/20140928-rdc-opposition-marche-test-manifestation-contre-revision-constitutionnelle-modifica/

Manifestation le 27 septembre 2014 000_Par7986891_0
Ils étaient plus de 2000 marcheurs, samedi, dans les rues de Kinshasa, en RDC, à protester contre une éventuelle modification de la Constitution.

L'opposition a mis de nombreux manifestants dans les rues de Kinshasa, samedi 27 septembre. La marche s'est déroulée dans de bonnes conditions. « Non à toute modification de la constitution » : les manifestants ont demandé le dialogue prévu dans l'accord-cadre de Nairobi, la libération de Jean-Bertrand Ewanga et d'autres prisonniers politiques.
C’était une marche test et ils étaient nombreux les Kinois, hommes et femmes, jeunes et vieux, qui y ont participé. La manifestation n’a pas dérapé et la police également a eu un bon comportement ; elle s’était mise à l’écart. Jusqu’à destination, sur le boulevard Triomphal au niveau du stade des Martyrs, aucun incident n’a été signalé. Et les organisateurs ont eu à délivrer leur message après voir exigé le dialogue prévu par l’accord-cadre de Nairobi.


Le secrétaire général de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), Bruno Mavungu, a appelé le peuple à se mobiliser pour défendre le pays : « Le pays est en péril ! Mettez-vous debout ! ».
Des animateurs des ONG de défense des droits de l’homme comme la Voix des sans voix et la Sado ont aussi pris la parole, Dolly Ibefo de la Voix des sans voix : « Certaines personnes ont commis des crimes, elles cherchent à s’accrocher au pouvoir, nous disons : elles ne peuvent pas demeurer au pouvoir ».
Les autres orateurs ont exigé la libération des prisonniers politiques, citant au passage Jean-Bertrand Ewanga, le secrétaire général de l'Union pour la nation congolaise (UNC).

Le pouvoir parle d’ « échec patent » de l’opposition

L'un des organisateurs de la marche à Kinshasa, Vital Kamerhe, président de l'UNC, considère que ce rassemblement est une réussite : « C’est une marche qui a drainé du monde. Nous avons marché sur 11 kilomètres, mais il y avait du monde compact sur une distance de 7 kilomètres. Nous avons communié avec notre peuple à l’unisson, donc l’opposition dans son ensemble, avec la société civile aussi parce qu’il y avait la Sado, il y avait la Voix des sans voix et les autres. Et nous avons tous donné le même message c'est-à-dire « Non à la révision constitutionnelle » et nous disons que la Céni n’est pas indépendante et qu’il doit y avoir alternance en 2016 ».
Emmanuel Ramazani Shadari, président du groupe parlementaire du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD) à l'Assemblée, au pouvoir, lui, minimise : « Dans la ville de Kinshasa, -cette ville compte plus ou moins 12 millions d’habitants-, malheureusement aujourd’hui [samedi, NDLR], l’opposition était incapable de mobiliser même 4 000 personnes. C’est un échec patent de l’opposition parce que les personnalités qui se réclament opposantes ne sont plus suivies par le peuple. Le peuple a besoin d’action et non pas de discours clientélistes. Donc l’opposition congolaise, j’ai l’impression qu’elle n’a plus de discours et surtout qu’elle n’est plus suivie et qu’elle n’a plus de stratégie »."




"Marche de l’opposition : Kinshasa lâche du lest
° http://afrikarabia.com/wordpress/marche-de-lopposition-kinshasa-lache-du-leste/
Après l’interdiction de la marche du 13 septembre, plusieurs partis d’opposition ont pu manifester ce samedi contre une éventuelle révision de la Constitution.

Manifestation le 27 septembre 2014 Manifestation-27-septembre-2014
L’opposition à manifesté samedi 27 septembre 2014 à Kinshasa

Le rendez-vous manqué du 13 septembre dernier est désormais un lointain souvenir pour l’opposition congolaise. Ce samedi, la marche des opposants contre la modification de la Constitution avait reçu l’autorisation de la ville de Kinshasa en République démocratique du Congo (RDC). Malgré un changement d’itinéraire de dernière minute, des milliers de manifestants ont marché le long des 7 km du parcours, de l’échangeur de Limete jusqu’au stade des Martyrs. Les agences de presse estiment le nombre de manifestants entre 2.000 et 3.000 alors que les organisateurs avancent le chiffre de « plusieurs dizaines de milliers ». La marche s’est déroulée dans le calme, sans présence policière ostensible. Un témoin, contacté par Afrikarabia en fin de journée, nous a affirmé que les chiffres des agences  lui semblaient sous-estimés. « Pour moi, nous étions plus de 5.000 manifestants » nous a-t-il confié.

Pari réussi ?

La mobilisation de l’opposition paraît toutefois bien faible en rapport avec les 10 millions d’habitants de la capitale congolaise. Mais ces chiffres sont à relativiser au vu du contexte sécuritaire du pays. Depuis la campagne électorale de 2011, les manifestations de l’opposition sont systématiquement réprimées dans la violence. Après la réélection contestée du président Joseph Kabila, Human Rights Watch (HRW) avait dénombré 24 morts et des centaines de blessés dans les manifestations post-électorales. Depuis cette date, les autorités congolaises musellent méthodiquement tous les rassemblements de l’opposition et procèdent à des interpellations massives. Le 4 août 2014, c’est le secrétaire général de l’UNC, troisième parti d’opposition, qui a été arrêté pour « offense au chef de l’Etat ». Dans cette ambiance délétère, l’opposition peine à faire descendre ses militants dans la rue. La manifestation de ce samedi constitue donc une première victoire pour les forces d’opposition qui espèrent démontrer qu’il est possible de protester pacifiquement dans les rue de Kinshasa. La pression internationale, notamment de la Monusco et de l’Union européenne, pour que toutes les voix puissent se faire entendre au Congo, a tout de même réussi à faire plier Kinshasa, bien décidé à ne pas laissé la rue dans les mains de l’opposition.

L’opposition réunie… sans Fayulu et Félix Tshisekedi

Ce samedi à Kinshasa, l’opposition a pu manifester son opposition à une possible révision de la Constitution qui pourrait permettre au président Joseph Kabila de se maintenir au pouvoir. Sur les banderoles, on pouvait lire : « Touche pas à ma Constitution », « Oui à la tenue d’un dialogue politique inclusif ». Les manifestants réclamaient aussi la libération des détenus politiques, comme Eugène Diomi Ndongala ou Jean-Bertrand Ewanga, le secrétaire général de l’UNC. En première ligne, les principaux partis d’opposition étaient présents : Vital Kamerhe de l’Union pour la nation congolaise (UNC), Bruno Mavungu de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), Jean-Claude Mvuemba, Jean-Lucien Busa, Basile Okolongo ou Franck Diongo. L’UDEMO de Nzanga Mobutu participait également à la marche. Un absent remarqué : Martin Fayulu (Ecidé), une figure de l’opposition, qui s’était déjà désolidarisé du mouvement lors de la marche avortée du 13 septembre. Autre absent : Félix Tshisekedi (UDPS) qui a préféré rester à Mbuji-Mayi et laisser Bruno Mavungu le représenter. En revanche, d’importantes ONG de la société civile s’étaient jointes au cortège, comme la Voix des sans voix (VSV), l’ASADHO ou la LINELIT.  Un seul bémol : à Goma, où une marche similaire avait été organisée (mais non autorisée), la police a dispersé la manifestation (une centaine de personnes), faisant une dizaine de blessés. Tout comme à Lubumbashi, où la police a dissuadé une quarantaine de personnes de manifester et à procédé à trois arrestations selon l’AFP.

2016 : le suspens continue pour Joseph Kabila

Sous pression internationale, Kinshasa a donc fini par lâcher du lest (à Kinshasa au moins) pour laisser l’opposition manifester librement. Cette marche, réussie, en appellerait logiquement d’autres. A l’ONU jeudi, Joseph Kabila avait cru bon affirmer que les élections se tiendraient « conformément au calendrier prévu », à commencer par les élections locales en 2015, puis les sénatoriales et provinciales avant la présidentielle devant avoir lieu en novembre 2016… mais sans préciser ses intentions. De quoi nourrir encore la suspicion de l’opposition."



"RDC: manifestation contre la modification de la Constitution"
° http://www.jeuneafrique.com/actu/20140927T115408Z20140927T115350Z/rdc-manifestation-contre-la-modification-de-la-constitution.html

Il n’y a pas à se bercer d’illusions sur des bénéfices inconsidérés de cette marche, le pouvoir en face garde sous le coude bien des artifices et ne s’en privera pas, pour continuer à « régner » par défi mais j’ai toujours été contre « la chaise vide » et convaincu que malgré les embûches, les difficultés et même les éventuelles compromissions, l’opposition doit se donner les moyens de faire pression au sein des institutions et des dispositions perverties par ce régime pas en dehors ! Elles finiront par balancer quelque peu les rapports de force…

Je me réjouis ainsi de la réussite de cette marche dans les limites d’une société peu prompte à manifester tant elle a des raisons de craindre des répressions !
Dommage qu’elle ait été empêchée en provinces mais il faut continuer à tenter toutes les initiatives de résistance à cette dictature ! Et de faire tout pour étoffer la composition de ses forces : je ne trouve par exemple pas d’excuse rédhibitoire qu’un « opposant » convaincu de la trempe de Fayulu n’en fasse pas partie…



Compatriotiquement!

ndonzwau


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Message  GHOST 29/9/2014, 12:49 pm

Very Happy "MBUA AZANGI MINU" Shocked Shocked

Pourquoi la repression contre les manifs de l´opposition est invisible? La réponse est si simple "La peur de la CPI" Very Happy Very Happy Ni le Gouverneur Kimbuta, ni surtout les responsables de la Police ne souhaitent se retrouver devant la CPI dans un futur proche á cause des crimes dans les rues de Kin Laughing Laughing

..Occuper la rue ?


L´option ultime de l´opposition est d´occuper la "rue" surtout dans la capitale..à force de manifester contre Kanambe, la peur de la population va se transformer dans des actions offensives Cool

Il faut necessairemt occuper la rue et elargir cette stratégie dans toutes les provinces de la RDC
GHOST
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Message  zalapauser 29/9/2014, 7:13 pm

Ah Congolais. C'est une marche autorisee vraiment je suis decu. Basala Mpiaka pour moi. Je crois que jusqu'a preuve du contraire, Tshisekedi est le seul leader qui peut vraiment mobiliser la foule. Kamerhe ki leader kaka na kivu??? Vraiment batu nionso oyo namonaki na kin wana kaka 2000 mutu babimi?

zalapauser


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Message  ndonzwau 29/9/2014, 8:04 pm

zalapauser a écrit: Ah Congolais.  C'est une marche autorisee vraiment je suis decu.  Basala Mpiaka pour moi.  Je crois que jusqu'a preuve du contraire, Tshisekedi est le seul leader qui peut vraiment mobiliser la foule.  Kamerhe ki leader kaka na kivu???  Vraiment batu nionso oyo namonaki na kin wana kaka 2000 mutu babimi?

lol! lol! silent  silent  silent  silent  silent

Faites-vous, cher ami, au moins une raison compréhensible de nous tous : notre Lider Maximo (comme son alter ego supputatif , le camarade Fidel...) n'est pas hélas immortel... Il faudra bien un jour que quelqu'un d'autre prenne le flambeau à sa place...
Ce jour est-il arrivé importe peu à la limite, l'essentiel est qui vous aggrée, il lui faudra juste de le conquérir sur le terrain; et celui-ci, vous avez raison n'est pas le seul Kivu et même seulement à Léo, la plus large part de notre territoire !

Ya solo, 2000 kaka mutu babimi, c'est pin-up pour une ville de 10.000.000, bakisa kasi mmolende o ya yo po lobi babanga te babima 10.000-50.000 !!! La libération devra être l'oeuvre de tous ou ne le sera pas ! Laughing  Laughing  Laughing


"A la tête de la marche contre la révision constitutionnelle : Opposition, Vital Kamerhe, Bruno Mavungu… réclament le dialogue politique!
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=4143&rubrique=POLITIQUE
*Une marée humaine  a battu le macadam,  le samedi 27 septembre  dernier,  à  Kinshasa, à l’initiative des forces politiques et sociales pour l’unité.(c'est La Prospérité qui l'affirme elle n'est pas de l'opposition...) De la place Echangeur de Limete jusqu’au Boulevard Triomphal, lieu prévu pour le meeting, plus de deux heures de marche, sous un soleil de plomb, le trajet n’a pas eu raison sur la détermination des manifestants. L’occasion était toute  indiquée,  pour l’opposition rd-congolaise,  de prouver à la face du monde qu’elle était et reste unie, contrairement à d’autres imaginations saugrenues.  L’objectif visé  était de dire ‘’NON’’  à la révision de la Constitution. OUI au dialogue sans exclusive, conformément à l’Accord-cadre d’Addis-Abeba et à la Résolution 2098 du Conseil de Sécurité de l’Onu. OUI à l’alternance pacifique en 2016. L’opposition soutient qu’un compromis politique demeure   la  recette inévitable,  pour sauver la patrie face à la problématique de fin de mandat et des élections apaisées. Sous les applaudissements frénétiques de l’assistance, Vital Kamerhe a galvanisé la foule, en prenant la parole, parmi tant d’autres. Comme pour se rattraper, parce qu’ayant été absent lors du rendez-vous du 4 août dernier, à N’djili Sainte Thérèse. Pour le leader de l’Unc, aucun article ne doit être révisé, même pas le 197, lequel touche à l’esprit même de l’article 220. Avant de réviser la Constitution, a prévenu Vital Kamerhe, il va falloir marcher sur tous les congolais. Il ne s’arrête pas là. Polyglotte, il a expliqué la substance de son message,  en faisant recours aux 4 langues nationales. Kamerhe menace de recourir à l’article 64 de la loi fondamentale,  en cas de nécessité, avant de souligner que les congolais n’ont qu’un seul pays, la RDC. D’où, l’importance de le protéger. Voilà pourquoi, il a saisi cette opportunité pour demander au Chef de l’Etat d’honorer sa promesse, celle de garantir le  respect de la Constitution.  Aucun incident n’ayant été enregistré, Vital Kamerhe a félicité la population congolaise pour sa maturité. Il a, par ailleurs, jeté des fleurs à André Kimbuta pour l’autorisation accordée.  Joint au téléphone, hier,  il a  félicité, également,   la police nationale congolaise  et la  Rtnc, pour leur professionnalisme.
Cette marche, indiquent les opposants, inaugure une série de manifestations qui seront organisées aussi bien dans la capitale qu’en provinces.

Déjà,  à 8 heures du matin, les militants affluaient sur la Place Echangeur de Limete, lieu du rassemblement. Une multitude de drapeaux flottaient, les effigies d’Etienne Tshisekedi, de M’zee Laurent- Désiré Kabila étaient librement brandies.
Parmi les leaders présents, l’on a noté celle de  Vital Kamerhe, Jean-Claude Vuemba, Jean-Lucien Busa, Franck Diongo, Steve Mbikayi, Matthieu  Kalele ka-Bila,  Léonie Kandolo…Ils représentaient ainsi leurs formations politiques : Unc, Udps, Rcd/Kml, Udemo, Mpcr, Cder, PT, Mpp, Set, PK, Fis, Mldc, FNTC etc.  A ces partis politiques, il faut ajouter deux importantes organisations de la Société civile, à savoir : l’Asadho et la Vsv.
Sur les banderoles, l’on pouvait lire des messages clairs indiquant l’objet même de la marche, à savoir : «Non à la révision Constitutionnelle, Alternance politique en 2016, l’application de la Résolution 2098, Nous soutenons le message du Pape et de la Cenco…». L’arrivée à tour de rôle de chaque leader politique et ceux de la Société civile rallumait le feu de la lutte contre la révision Constitutionnelle et le souhait de la tenue du Dialogue national sans exclusive. C’est sous le coup de 10h58’ que le «go» a été donné, après l’exécution de l’hymne national.

Les manifestants, d’un côté,  et la police postée, de l’autre,  dans différents endroits s’étaient montrés tous disciplinés,  tout au  long de l’itinéraire jusqu’après le meeting.
Plusieurs intervenants ont pris successivement la parole sur le podium installé, à cet effet, sur le terrain du  boulevard Triomphal.   L’Honorable Mayo (l’Unc) et Faustin Niati (Udps) ont rafraîchi,  en peu de mots,  la mémoire des manifestants sur la mission des Forces politiques et sociales. Trois acteurs de la société civile, à savoir : Jean-Claude Katende (Asadho), Dolly Ibefu  (VSV) et Mme Léonie Kandolo (Union de femmes) se sont également  exprimés.

Des Interventions

Bruno Mavungu, Secrétaire général de l’Udps a remercié la population Kinoise et  la société civile,  pour avoir répondu massivement à l’appel de l’Opposition. S’appuyant sur le   message de la Cenco, il  pense que le pays est en péril. Par conséquent, le peuple doit se tenir debout. Il a indiqué, en effet,  que le peuple est prêt à  affronter son destin. Ce, avant de dire que l’application de l’Accord-cadre d’Addis-Abeba est le seul schéma susceptible de résoudre  la crise créée après les élections du 28 novembre 2011. Des  interventions de  Jean-Claude Vuemba, Steve Mbikayi, Franck Diongo, Mwenze Nkongolo, Kudura Kasongo, du  représentant de Nzanga Mobutu et l’Honorable Pascaline Kudura ont, à tour à tour, démontré l’inutilité de la révision constitution et l’importance du dialogue politique sans exclusive.  A l’unanimité, ils ont appelé la population à la résistance populaire jusqu’à la victoire finale, au cas les circonstances s’y prêtaient.  Il y a lieu de noter qu’après le meeting, l’hymne de victoire a été entonné et les manifestants ont quitté le Boulevard triomphal dans l’ordre. Décidément, la marche pacifique du samedi 27 septembre 2014 a été, selon la plupart des  organisateurs,  un test réussi."



"(...)Les relations de la marche dans la presse congolaise

Il faut d’abord signaler un parfait duo contradictoire entre les « frères ennemis ». Pour Le Phare, la marche est un grand succès et, pour L’Avenir, un échec intégral.

« Marche monstre contre la révision constitutionnelle : pari gagné pour l’opposition à Kin »,
claironne donc Le Phare, qui s’en explique comme suit :
« Le front du refus contre la révision constitutionnelle a gagné son pari en mobilisant des dizaines de milliers des kinois dans son combat contre « la monarchisation » du pouvoir en République Démocratique Congo.
Tôt le matin le samedi dernier déjà, la place de l’Echangeur dans la commune de Limete, convenue comme le point de rencontre, a été envahie par les militants de l’opposition venus de quatre coins de la capitale. Les motocyclistes appelés communément «wewa » se sont invités à la manifestation en improvisant  une caravane motorisée. Des militants de l’UDPS, UNC, UDEMO,  MPCR, RCD/KLM, PK, CDR, PT, etc ont envahi le boulevard Lumumba munis de leurs calicots, banderoles, sifflets, tambours sur lesquels l’on pouvait lire « NON à la monarchie présidentielle », »libération des détenus politiques », « dialogue politique à l’immédiat ». Ils ont  saisi cette occasion pour réclamer le dialogue politique sous l’égide de la communauté internationale via la MONUSCO  conformément à l’esprit de l’Accord-Cadre d’Addis Abeba et la Résolution 2098 du Conseil de Sécurité des Nations-Unies.

Pour motiver leurs militants dans leur combat pour l’alternance, les acteurs de l’opposition ont pris part à cette marche. C’est ainsi que, unis comme un seul homme, le secrétaire General de l’UDPS  Bruno Mavungu, le président de l’UNC, Vital Kamerhe, Jean Claude Vuemba du MPCR, Jean Lucien Bussa du CEDER, Mwenze kongolo du parti Kabiliste, M. Kudura Kasongo et son épouse Pascaline kudura , Steve Mbikayi , Franck Diongo, Martin Munkokole , Alain Mbaya, Claudel Lubaya étaient côte-à-côte sur la première ligne. Une frange de la société civile composée principalement de La Voix de Sans Voix, de la Linelit et de l’ASADHO ont répondu à l’appel pour encourager cette initiative de l’Opposition destinée à dénoncer la révision de la loi fondamentale.

Aucun incident majeur constaté

Coup de chapeau aux forces de l’ordre qui ont encadré avec professionnalisme cette manifestation autorisée par l’autorité urbaine, aucun incident majeur n’a été signalé. Les manifestants se sont montrés quant à eux exemplaires et disciplinés  tout au long du parcours prévu pour leur marche.
Au point de chute sur le terrain situé en face du stade des Martyrs, les acteurs de l’opposition regroupée au sein des forces politiques et sociales ont loué dans leur adresse la bravoure de leurs militants mobilisés pour dire halte à la révision ou changement de la constitution dans le seul but de pérenniser le pouvoir en place.

L’ASADHO et la VSV rejettent la révision de la constitution

Me Katende, Le président de l’ASADHO et M. Dolly, le secrétaire exécutif de la VSV, ont dans leur mot à la fin de la marche, rejeté l’organisation d’un referendum pour modifier les dispositions intangibles de la Constitution. Ils ont promis d’entreprendre des actions contre toute tentative de conserver le pouvoir par les moyens anti-démocratiques.

Mavungu insiste sur la vérité des urnes

Le secrétaire General de l’UDPS a insisté sur la tenue d’un dialogue politique sous l’égide de la MONUSCO conformément à l’Accord-Cadre d’Addis Abeba et la résolution 2098 du Conseil de Sécurité des Nations-Unies pour résoudre la crise de légitimité née des élections présidentielle et législatives du 28 novembre 2011 en rétablissant particulièrement la vérité des urnes. Me Bruno Mavungu a appelé les militants et combattants de l’opposition a intérioriser le message des évêques catholiques pour barrer la route au passage en force des tenants du pouvoir en place.

Vital Kamerhe exige la libération des prisonniers politiques

Le président national de l’UNC a conseillé au président Kabila de cultiver l’esprit du pardon en libérant tous les détenus politiques, Ewanga, Diomi, Kabatshi, Eddy Kapend enfin de consolider la cohésion nationale qui fait défaut dans notre pays à la suite des élections controversées du 28 novembre 2011.S’exprimant en quatre langues nationales, vital Kamerhe a appelé le peuple congolais à résister contre toute tentative de la révision constitutionnelle. L’autorité morale de l’UNC a jugé illégitime les projets de  loi relatifs à la révision  de certaines dispositions de la constitution déposés par le gouvernement démissionnaire de Matata.

Vuemba loue le courage politique du président du sénat

Le président du MPCR a loué le courage politique, du président du sénat, Co –modérateur des Concertations Nationales qui a dit non à la révision constitutionnelle en rappelant au président Kabila et sa famille politique  leur engagement pris aux concertations nationales de ne pas charcuter la constitution.

Busa tire  sur la gouvernance de la Majorité

Le président du CEDER a  dressé un bilan sombre de la gouvernance du pays par la majorité au pouvoir qui cherche inutilement, selon lui, à conserver le pouvoir. D’après Jean Lucien Bussa, cette majorité s’est montrée incapable de répondre aux attentes du peuple en termes de création d’emplois, d’amélioration des conditions sociales de la population condamnée à croupir dans une pauvreté et cela, dans un pays scandaleusement riche.

Pascaline Kudura et Franck Diongo ont exhorté la population à vaincre la peur

pour contraindre la majorité au pouvoir à passer le flambeau comme dans le monde civilisé à la fin de l’an 2016. Pour ces deux acteurs politiques, le peuple devait être prêt à payer le prix pour se libérer des dérives totalitaires du pouvoir en place.

Leçons à tirer

D’une manière générale, l’on peut tirer quelques leçons. Il y a d’abord l’unité des forces de l’opposition qui contre vents et marrées a démontré particulièrement que le combat mené constitue une lutte vers l’instauration de la démocratie et du système de l’alternance au pouvoir. La RDC ne sera jamais un royaume. Ensuite, il a été observé que le duo UDPS/UNC et leurs alliés respectifs renforce sa cohésion malgré le silence bizarre des autres partis se réclamant de l’opposition face à cette dérive totalitaire qui se profile à l’horizon. Il faut saluer la bravoure des kinois une semaine après la marche réprimée par les forces de l’ordre. Les discours responsables et de haute facture des orateurs du meeting du jour est aussi à féliciter. Le fait que pendant et après cette marche il n’y a eu aucun incident majeur prouve que le peuple congolais est majeur et se bat pour protéger sa constitution. Il y a lieu de louer le courage de certains partis de la majorité tel le MSR qui a opposé son refus à toute tentative de la révision constitutionnelle malgré les menaces et chantages sur ses leaders. La participation des Ong de défense des droits de l’homme tels la VSV et l’ASADHO, la Linelit renforce la nouvelle alliance créée par les forces politiques et la vraie société civile. L’UNC de Vital Kamerhe se découvre comme la deuxième force politique de l’Opposition de par le nombre élevé de ses combattants tout au long de cette marche historique ».
(...)
(Quant au nombre de manifestants, outre ce qui a été dit plus haut, il faut tout de même relever que parler d’échec supposerait que l’opposition se soit fixé un objectif chiffré. A notre connaissance, Kamerhe, Kudura, Diongo et consorts n’ont jamais dit « nous comptons sur un million de manifestants ». On ne peut donc pas leur reprocher de ne pas avoir atteint un objectif qu’ils ne se sont jamais fixé !
En ce qui concerne la « division » d’une « Opposition incapable de présenter une alternative crédible », il y a intérêt à regarder les photos qui ont circulé abondamment sur Internet. Les nombreuses pancartes brandies par les marcheurs étaient unanimes à ne reprendre que les quelques slogans cités plus haut, alors que beaucoup de ces objets étaient visiblement fabriqués « à la maison ». Il y avait donc une unanimité chez les marcheurs, plus grande peut-êtrte que celle des états-majors des partis. Et qui, au Congo « présente une alternative crédible » ? La politique congolaise, parce qu’en 2011 on n’a pas défendu le seul point de vue démocratique acceptable « une élection qui n’est pas impeccable est nulle », consiste à manœuvrer sans fin pour arriver ou rester au pouvoir. La politique au sens noble, celle qui se soucie des intérêts du peuple, est tragiquement absente. NdlR)
 
(...)
Forum des As souligne dans son éditorial ("LA DÉMOCRATIE DANS LES RUES DE KINSHASA" ° http://www.forumdesas.org/spip.php?article2137  ) que la marche de l’opposition s’est déroulée sans incidents notables. Des leaders de l’opposition et leurs partisans ont, en effet, battu le pavé librement tout en scandant dans toutes les langues le « touche pas à ma Constitution ». La manif a eu pour cadre le cœur de la capitale. Une scène digne des pays de vieille tradition démocratique. En un mot comme dans mille, la démocratie, dans son versant liberté d’expression sort renforcée de la manif de l’opposition. Les opposants ont crié leur non à la révision constitutionnelle. Ce qui est parfaitement normal. Il reste à concevoir aussi que dans ce pays il se trouve d’autres Congolais à militer pour la révision de la Constitution. D’autres encore carrément pour le changement de la Loi fondamentale. Ainsi va la démocratie.
De plus, Forum des As veut aller «au-delà du débat actuel sur la révision» et annonce que le Palu décrypte toutes les constitutions. Selon le journal, le parti d’Antoine Gizenga, «témoin de l’histoire du Congo … plonge jusqu’aux racines de l’indépendance pour lire les événements actuels ». C’est ainsi qu’il organise, du 1er au 8 novembre prochain des semaines politiques et idéologiques, afin de faire une «lecture républicaine de 54 ans d’indépendance du pays» et mieux cerner la problématique de la révision constitutionnelle. «Une controverse qui, vue du parti porte-étendard du nationalisme lumumbiste, requiert la maîtrise de l’histoire du Congo-Kinshasa», explique ce journal(...)"

° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=199653&Actualiteit=selected




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Message  Mathilde 4/11/2014, 11:22 am

Après leur libération, les Militants de l'Opposition en Colère dénonce la Violence Policière au Sit-in de l'opposition, lance un message Fort à Joseph KABILA et déclare qu'ils porteront plainte contre André Kimbuta ...Suivez





Déclaration de l'Opposition après une violente repression du Sit-in par la Police




_________________
Manifestation le 27 septembre 2014 Mathil10[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
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Message  ndonzwau 4/11/2014, 3:19 pm

ndonzwau a écrit:Hier à 19:53
Contre-coups nocifs du cas burkinabé : le pouvoir de JK a davantage pris des précautions pour bloquer bien en amont toute contestation ?

"Kinshasa : la police étouffe une marche de l’opposition
° http://radiookapi.net/actualite/2014/11/03/kinshasa-la-police-etouffe-sit-de-lopposition/
La Police nationale congolaise (PNC) a étouffé lundi 3 novembre à Kinshasa une marche pacifique des forces politiques et sociales de l’opposition dans les périmètres du quartier général de la Monusco à Kinshasa. Les manifestants devraient déposer un mémorandum à la Mission onusienne, dont l’objet n’a pas été révélé à la presse. Plus d’une dizaine de personnes ont été interpellées.Un dispositif impressionnant de la police a été déployé depuis tôt le matin au centre-ville, surtout dans les périmètres de la galerie présidentielle et de la paroisse sainte Anne, contrôlant ainsi tous les accès vers la Monusco.
« Il y a un dispositif impressionnant des policiers. Même moi, avant d’accéder j’ai été fouillé. Pourquoi est-ce qu’on peut nous fouiller ainsi ! Ça traumatise en quelque sorte la population », a témoigné un passant.


Pour sa part, le commissaire de la police ville de Kinshasa, le général Célestin Kanyama, explique que désormais la population devrait s’habituer à une présence renforcée de la police pour assurer la sécurité de la ville.
« De toutes les façons, la police, quand il y a un mouvement suspect, il peut le faire [déployer un dispositif sécuritaire]. Ce qui est vrai est que, la police, comme dans d’autres pays, les mesures sécuritaires doivent être renforcées pour rassurer d’avantage la population»,  Rolling Eyes  Rolling Eyes  Rolling Eyes a indiqué le général Célestin Kanyama."



"RDC: au moins 20 personnes arrêtées lors dune manifestation interdite de l'opposition
° http://www.jeuneafrique.com/actu/20141103T135215Z20141103T135201Z/rdc-au-moins-20-personnes-arretees-lors-dune-manifestation-interdite-de-l-opposition.html
Au moins 20 personnes ont été arrêtées lundi à Kinshasa lors d'une manifestation interdite de l'opposition, dont un cadre a mis en garde contre le risque d'une révolte à l'image de celle qui a chassé du pouvoir le président burkinabè, a constaté une journaliste de l'AFP. (…)"                                                                                                                                                                                                                                                                                                          ° http://www.rfi.fr/afrique/20141103-rdc-soixantaine-arrestations-manifestation-kinshasa-udps-unc/


Compatriotiquement!

"RDC : près de 60 personnes brièvement arrêtées lors d’une manifestation de l’opposition
° http://www.lavoixdelamerique.com/content/rdc-pres-de-60-personnes-arretees-lors-d-une-manifestation-de-l-opposition/2506220.html
Les manifestants ont été brièvement arrêtés avant d’être relâchés. Ils ont organisé un sit-in lundi matin devant la mission des Nations Unies au Congo et exigeaient l’ouverture du dialogue national.

Vital Kamhere, le président de l’Union pour la Nation Congolaise (UNC) avance le nombre de 58, hommes et femmes, qui ont été arrêtés et conduits au camp de police de Lufungula avant d’être relâchés.
"Ce que nous exigeons une rencontre pour qu’on dise qu’on ne va pas modifier la Constitution, qu’on va respecter le calendrier électoral avec des élections en 2016 et qu’on va éviter les erreurs des élections passées", a dit à VOA Afrique, Kamerhe.

Vital Kamerhe joint par Eddy Isango

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Pour Kamerhe, la coïncidence avec l’insurrection qui a conduit à la chute de Blaise Compaoré au Burkina Faso est une pure coïncidence.
"Notre sit-in était programmé bien avant et a même été repoussé plusieurs fois. Nous n’avons pas voulu créé une situation comme celle du Burkina ici", a précisé Kamerhe.
Le gouverneur de Kinshasa n’a pas autorisé le sit-in. Des policiers et d’autres forces de sécurité ont été déployés dans la ville dès la veille
Comme au Burkina Faso, la constitution actuelle en République Démocratique du Congo limite à deux le nombre de mandats pour le chef de l’Etat.
Les partisans du président Kabila ont initié une pétition et un projet pour la modification de la Constitution devant permettre à celui-ci de briguer un nouveau mandat.
L’UNC qui était classée troisième aux élections de 2011, s’est associée à l’UDPS (Union pour la Démocratie et le Progrès Social), le plus grand parti de l’opposition, pour appeler au sit-in de lundi matin.
Les partis de l’opposition n’ont pas reconnu la victoire de Kabila aux élections de 2011."

"Monusco : le sit-in de l’Opposition perturbé par la police"
° http://www.lephareonline.net/monusco-sit-in-lopposition-perturbe-police/

"http://latempete.info/le-memo-de-lopposition-depose-a-la-monusco/"
° http://latempete.info/le-memo-de-lopposition-depose-a-la-monusco/

"EN MARGE DU SIT-IN « NON AUTORISE » DEVANT LA MONUSCO
POLÉMIQUE SUR L’ "ARRESTATION" DES OPPOSANTS"

° http://www.forumdesas.org/spip.php?article2506

"L’opposition hausse le ton en RDC"
° http://www.bbc.co.uk/afrique/region/2014/11/141103_rdcongo_afrique_kinshasa[/size]

L'opposition politique, la société civile et la population acquises au changement ne doivent pas lâcher; ça reste difficile et souvent risqué et même parfois fort risqué mais c'est le sacrifice à payer pour réussir la mobilisation qui peut faire tomber "JK" !
A nos armes, chers Compatriotes !




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Message  ndonzwau 6/11/2014, 2:47 am

Les évènements de Burkina Faso offrent enfin un excellent prétexte, une bonne opportunité aux leaders politiques africains de prendre à bras le corps au niveau continental la problématique des « présidences à vie, des tripatouillages constitutionnels pour se maintenir au pouvoir » qui était trop restée jusque là une affaire locale à chaque pays ! Il faut s’en féliciter car même si cette prise de conscience enfin africaine ne résoudra pas les nœuds respectifs, elle crée sans ambages une pression au dessus de chaque potentat à laquelle celui-ci ne pourra pas se soustraire impunément et une ambiance plus frondeuse au sein des populations concernées qui sont et mieux informées et mieux sensibilisées …

Ainsi par exemple "JK" et son clan ne pourront pas ne pas chercher des réponses adaptées à la question que pose la CI en général, l’UA et ses antennes plus particulièrement ainsi que les opinions tant internationales, continentales que nationales qui se sont réveillées à cette occasion !
Je n’en doute donc point, les manifestations au Congo des forces politiques et sociales organisées ainsi qu’une large franche de la population brute toutes acquises au changement vont tant bien que mal se poursuivre et un prétexte est vite venu pour que ça s’embrase au point de précipiter les choses ou la pression accumulée poussera ce régime à en tenir compte !

Nous ne devons pas désesperer, nous devons au contraire continuer et ça paiera par une voie ou une autre voie ! Surtout que à nous  cristalliser plus qu’il ne faut sur la réaction "ennemie" des forces de l’ordre nous perdons vite de vue que si Kanambe fait confiance à des soldats étrangers pour le protéger lui et son régime, signe une réalité bien complexe au sein de l'armée...
Si dans un premier temps et dans un premier camp il y'a une armée qui sévira, n’oublions pas que dans le gros de nos trouves et parmi beaucoup de ses officiers des frustrations et des sentiments patriotiques ne le privent des intentions d’en finir avec le traître qui ne demandent qu’une étincelle pour allumer une mutinerie fatale qui est possible à terme… Croire qu’il y’a incompatibilité complète entre les préoccupations et intérêts de l’armée et ceux du peuple est donc peu fidèle à la réalité !

Ainsi donc profitons des "signes des temps" pour optimiser ce qu'ils nous donnent à voir : nos opinions et surtout notre jeunesse de plus en plus lassée des échecs de nos pouvoirs et de leur culpabilité et de plus en plus informées du reste du monde sont plus conscientes de la nécessité de changement chez nous et trouveront davantage des raisons pour réagir dans l'exemple burkinabé !
A nos armes Compatriotes !


"Trois chefs d’État ouest-africains au chevet du Burkina Faso"
° www.rfi.fr/afrique/20141105-burkina-faso-mediation-maintenant-pression-isaac-zida-transition-ua/

"Burkina Faso: un exemple pour l’Afrique centrale?"
° www.rfi.rfr/afrique/20141104-burkina-faso-exemple-afrique-centrale-gabon-tchad-congo/

"Le coup de « balai burkinabè » secoue la Toile africaine"
° www.rfi.rfr/technologies/20141104-le-coup-balai-burkinabe-secoue-toile-africaine/

"Nous sommes tous des Burkinabés !"
° www.congoindependant.com/article.php?articleid=9388

"Burkina Faso: mobilisation massive contre la révision constitutionnelle"
° www.rfi.rfr/afrique/20141028-burkina-faso-mobilisation-massive-compaore-revision-constitutionnelle/

"Crise au Burkina Faso : quelles conséquences pour l’économie ?"
° http://economie.jeuneafrique.com/index.php?option=com_content&view=article&id=23443

"[...]Souhaitez-vous que ce qui est advenu au Burkina Faso se reproduise dans d’autres pays africains où des chefs d’Etat sont tentés de réviser la Constitution pour se maintenir au pouvoir ?
Nous sommes conscients qu’à travers l’Afrique, il y a des peuples qui nous observent mais nous n’avons pas l’intention de nous ingérer dans les affaires des autres. C’est aux peuples de ces pays-là de faire leur analyse et de voir comment ils doivent se comporter. S’ils estiment qu’ils doivent se lever et se battre, nous pouvons leur dire que le combat est dur, car vous êtes des démocrates aux mains nues face à la machine répressive d’un Etat. Nous n’avons pas de leçon à donnerà qui que ce soit, mais nous sommes prêts à partager notre expérience.[...]"

° http://www.lemonde.fr/afrique/article/2014/11/04/l-armee-nous-a-fait-entendre-que-son-role-n-est-pas-de-rester-au-pouvoir-au-burkina-faso_4517781_3212.html

° www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20141105132630/opposition-burkinabe-lieutenant-colonel-zida-crise-burkina-faso-2014-crise-burkina-2014-burkina-macky-sall-goodluck-jonathan-et-john-dramani-mahama-a-pied-d-œuvre.html
° www.rfi.rfr/afrique/20141105-burkina-faso-discussions-difficiles-transition-zida-cedeao/
° www.rfi.rfr/afrique/20141104-burkina-faso-sanctions-ua-absence-transition-civile-colonel-Zida-compaore/

Je voudrais en profiter pour demander aux férus de l’informatique et de l’action de CD notamment à Wilco et HH par ailleurs administrateurs : dans les évènements de Burkina on a fait allusion à une mobilisation par les réseaux sociaux qui sans être décisive aurait néanmoins réussi à rameuter quelque peu les opinions… Il s’agit notamment du  hashtag « lwili »…
Alors ma question est celle ci : créer à dessein un hashtag particulier pour le Congo qu’on injecterait dans les réseaux sociaux peut-il servir à créer une mobilisation critique qui cr&e le buzz et mobilise sur le terrain ?
Auquel cas que pourrions nous faire et déjà j’ai un mot assez suggestif à proposer !



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Message  zobattants 6/11/2014, 7:59 am

ndonzwau a écrit:





Je voudrais en profiter pour demander aux férus de l’informatique et de l’action de CD notamment à Wilco et HH par ailleurs administrateurs : dans les évènements de Burkina on a fait allusion à une mobilisation par les réseaux sociaux qui sans être décisive aurait néanmoins réussi à rameuter quelque peu les opinions… Il s’agit notamment du  hashtag « lwili »…
Alors ma question est celle ci : créer à dessein un hashtag particulier pour le Congo qu’on injecterait dans les réseaux sociaux peut-il servir à créer une mobilisation critique qui cr&e le buzz et mobilise sur le terrain ?
Auquel cas que pourrions nous faire et déjà j’ai un mot assez suggestif à proposer !



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Message  ndonzwau 6/11/2014, 4:52 pm

PS

Pas mal les "digressions" pardon les réflexions de Mère Braeckman » (Da Moseka Laughing ) autour de laquelle, coïncidence(?),  je consacre ailleurs un rôle de levier sur une balance possible pour soupeser et baliser nos voies d’efficacité en tant que peuple souverain !
Lisez-la donc !


"Les leçons du Burkina Faso ailleurs en Afrique
° http://blog.lesoir.be/colette-braeckman/2014/11/04/les-lecons-du-burkina-faso-ailleurs-en-afrique/
D’heure en heure, du Nord jusqu’au Sud de l’Afrique, les internautes et les bloggeurs ont suivi le hashtag « lwili », inspiré par le nom du vêtement traditionnel que portaient les manifestants de la Place de la Nation à Ouagadougou. Durant ces quelques jours, les Burkinabe, connus pour leur calme, leur réserve ont, comme les Tunisiens aux premiers jours du printemps arabe, incarné les aspirations au changement de la jeunesse du continent.
Comment, d’une capitale à l’autre, ne pas lire ces « signes qui s’inscrivent sur les murs ? »
Le bilan de Blaise Compaoré, si souvent mis en avant par la propagande du régime, était loin d’être le pire : une croissance économique de 8% mais avec des bénéfices très inégalement répartis et une corruption, souvent dénoncée, une stabilité relative, exceptionnelle pour la région, une stature internationale conférée à un chef d’Etat habile, médiateur dans de nombreuses crises régionales alors même qu’il les avait attisées ou en avait tiré profit… Miser sur ces relatifs succès, c’était oublier, comme en Tunisie, qu’aux yeux de populations jeunes, la stabilité est considérée comme allant de soi, tandis que l’absence de liberté, les inégalités et les compromissions du pouvoir sont jugées insupportables.
Les opinions publiques africaines n’ont pas été les seules à vivre à l’heure de Ouagadougou : dans les palais présidentiels aussi, on s’est efforcé de lire les signes des temps.


A la limite, les dictateurs les plus endurcis, qui n’ont fixé aucune limite à l’expiration de leurs mandats, sont peut-être ceux qui ont le moins à craindre tant leur système est verrouillé : ce n’est sans doute pas la rue qui bousculera Issaias Afeworki, maître absolu de l’Erythrée, Robert Mugabe, aux commandes du Zimbabwe depuis 1987 ou Eduardo dos Santos, qui dirige l’Angola depuis l’indépendance en 1975. Par contre, un pays comme le Cameroun, qui connaît un relatif développement et où Paul Biya règne depuis 31 ans, pourrait subir le contrecoup de la révolution burkinabe, suivie avec passion par l’opinion tandis qu’au Gabon, où Ali Bongo a succédé à son père, et au Togo, où Faure Eyadéma a également hérité du pouvoir paternel, la révolte pourrait se diriger contre l’aspect monarchique du pouvoir.
En fait, la leçon à tirer du Burkina Faso, c’est que les opinions publiques africaines, de plus en plus informées et politisées, sont résolument hostiles à la manipulation de leurs constitutions respectives. Or en Afrique centrale, plusieurs dirigeants, en fin de mandat, sont confrontés à l’hypothèse de leur maintien au pouvoir moyennant un éventuel « tripatouillage » de la Constitution : le Congo Brazzaville, où le mandat du président Sassou Nguesso se termine en 2016, le Burundi, où le président Nkurunziza doit décider s’il se représentera ou non en 2015 alors que son second et en principe dernier mandat se termine, le Rwanda où le président Kagame n’est, en principe, plus rééligible après 2017 et la République démocratique du Congo où le président Kabila achèvera, en 2016, son deuxième et dernier mandat.

Dans ces pays, l’échéance est particulièrement dangereuse car les dirigeants arrivés en fin de règne sont des hommes issus de la lutte armée, portés au pouvoir à l’issue d’une guerre civile (dans le cas de Sassou Nguesso), d’une guerre et d’un génocide (dans le cas du Rwanda) d’une guerre civile (le Burundi), d’une guerre opposant à la fois des Congolais et des forces étrangères dans le cas de Joseph Kabila qui succéda à son père assassiné. Autrement dit, pour de tels hommes, dont la matrice fut la violence et la lutte armée, la tentation peut être grande de recourir à la force pour demeurer au pouvoir. Mais l’exil ivoirien de Compaoré devrait aussi servir de leçon : les dirigeants d’Afrique centrale, revenus dans leur pays après avoir vécu à l’étranger comme des réfugiés, doivent aussi savoir que défier la volonté de leur peuple en s’accrochant au pouvoir peut les conduire à un nouvel et humiliant exode…"



"Recreatrales à Ouagadougou: en prise sur la révolution
° http://blog.lesoir.be/colette-braeckman/2014/11/02/recreatrales-a-ouagadougou-en-prise-sur-la-revolution/
« Ce que nous vivons, c’est l’insurrection d’un peuple qui a longtemps attendu pour reprendre son destin en mains. Pour les dirigeants, le réveil a été brutal : en fait, Blaise Compaoré ne connaissait pas son peuple. Ce dernier, en état d’amnésie depuis les années 60, s’est brusquement réveillé. La pauvreté a ceci de bon qu’elle confère aux gens la lucidité qui leur permet de constater toutes les failles du système… »
A Ouagadougou, le comédien metteur en scène Etienne Minoungou assure qu’il vit une expérience extraordinaire. En effet, après avoir présenté à Bruxelles son spectacle « Mohamed Ali » un monologue consacré au boxeur noir américain qui, voici 40 ans exactement disputa son match historique à Kinshasa contre Georges Foreman, l’acteur belgo-burkinabe participe en ce moment à Ouagadougou au Festival « Récréthéâtrales ».
« Ce festival, en direct, évoquait ce qui était au cœur des préoccupations des gens » explique Minoungou, « les spectateurs faisaient des aller retour entre la Place de la Nation et des spectacles comme « la manifestation des hommes » qui se terminait par l’ enregistrement d’un éditorial de Norbert Zongo, où le journaliste, assassiné par la suite, évoquait la résistance politique dans nos pays. Dans un autre spectacle, des Congolais de Brazzaville adjuraient les autorités « de ne pas tripatouiller la Constitution », tandis que le groupe burkinabe, « le balai libéré » en première ligne du mouvement de contestation, prenait part lui aussi à une représentation…. »

« Le premier soir des manifestations » poursuit Minoungou, « nous avons du annuler le festival. Mais dès vendredi, tout a repris et nous faisons salle comble : des milliers de personnes font un va et vient entre nos représentations qui évoquent des luttes citoyennes, des combats en faveur de la démocratie, et les manifestations sur la place, où des foules, immenses et déterminées, ont fini par obtenir le départ du dictateur…. »
Minoungou, relativement optimiste par rapport à la suite des évènements, assure que « des négociations ont lieu, qui préparent l’après Compaoré…Les militaires ont entendu la clameur du peuple, et refusé d’ouvrir le feu sur la foule. Ce dimanche après midi, ce sont les hommes de la sécurité présidentielle qui quadrillent la ville. Alors que les négociations se poursuivent, je crois qu’on arrivera à un consensus… »"



°  http://blog.lesoir.be/colette-braeckman/2014/11/02/compaore-sous-la-protection-de-son-ami-ouattara/




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