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Discours du Raïs Joseph Kabila ce 30 juin

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Discours du Raïs Joseph Kabila ce 30 juin Empty Discours du Raïs Joseph Kabila ce 30 juin

Message  joss0 2/7/2011, 11:58 pm

Discours du Raïs Joseph Kabila ce 30 juin 2011,fête de l'indépendance







Défilé organisé à Lubumbashi sur la place Moïse Tshombe (ex-Place de la poste)
etngandu



joss0


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Message  lino 3/7/2011, 5:48 pm

...



Discours du Raïs Joseph Kabila ce 30 juin IMG_2429

http://www.vimeo.com/25867893
lino
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Message  Mathilde 4/7/2011, 10:35 am

ALLOCUTION DE BOLYA POUR LE 30 JUIN 2011 DENONCANT LES GACHIS


_________________
Discours du Raïs Joseph Kabila ce 30 juin Mathil10[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
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Message  lino 1/7/2012, 11:22 pm

DISCOURS DE JOSEPH KABILA LE 30 JUIN 2012



lino
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Message  KOTA 2/7/2012, 12:58 am

MESSAGE DE DIOMI NDONGALA AU PEUPLE CONGOLAIS 12.06.12

Dans un discours qu’il a tenu quelques jours avant son enlèvement, Eugène DIOMI NDONGALA, dénonce la complicité d'Hippolyte KANAMBE alias «Joseph KABILA» pour Balkaniser la partie Est de la République Démocratique du Congo (RDC).

Eugène DIOMI NDONGALA est un homme à abattre pour le régime criminel et fasciste d'Hippolyte KANAMBE alias «Joseph KABILA», l'imposteur tutsi rwandais au pouvoir à Kinshasa... SUIVEZ CETTE DÉCLARATION FAITE AVANT SA DISPARITION.
CLIQUEZ SUR LE FICHIER AUDIO MP3
http://afrique.kongotimes.info/files/audio/Declaration.mp3





52 ANS D’INDÉPENDANCE DE LA RD CONGO A BRUXELLES : MESSAGE A HOLLANDE ET OBAMA


Publié le 1 juillet 2012by mpp

52 ANS D’INDÉPENDANCE DE LA RD CONGO A BRUXELLES : MESSAGE A HOLLANDE ET OBAMA


Discours du Raïs Joseph Kabila ce 30 juin CHEIKFITANEWS-30.06--1-

À l’initiative des combattants de Belgique, une marche a eu lieu à Bruxelles le samedi 30 juin 2012 de 15h15 à 17h45, en commémoration du cinquante-deuxième anniversaire d’indépendance de la RD Congo.

Un peu plus de deux cents-cinquante personnes ont ainsi marché de la gare du nord au rond-point Schuman, en face des institutions européennes.

Les pancartes brandies reprenaient l’ensemble des récriminations des Congolais vivant à l’étranger envers le régime qui s’est cramponné au pouvoir en RD Congo depuis le 28 novembre 2011 :

Hold-up électoral

Pression pour la délocalisation du prochain sommet de la francophonie à Kinshasa

Guerre à l’est de la RD Congo

Crimes du régime de Paul Kagame en RD Congo.

L’enlèvement de Diomi Ndongala dont la libération était réclamée,

La prise en otage du Président Tshisekedi

Deux catégories de chants ont servi d’animation tout au long du parcours : en faveur de Tshisekedi d’une part, contre Kabila et le régime de Paul Kagame de l’autre.

Durant le parcours, trois des organisateurs à savoir Joseph Mbeka, Alhongo Wilkens et Henry Muke ont déposé deux mémos, l’un à l’ambassade de France et remis à monsieur Luc Ménard, premier secrétaire d’ambassade, à l’intention du président François Hollande. L’objet ? Le dissuader de se rendre à Kinshasa pour un éventuel sommet de la francophonie. Le Président sortant en RD Congo ayant triché et confisqué la victoire.

Le deuxième mémo était adressé à l’administration Obama afin qu’elle prenne enfin position clairement sur le hold-up électoral en RD Congo.

La manifestation s’est poursuivie jusqu’au Rond-point Schuman.

Après la dispersion, sur le chemin de retour, le groupe des manifestants qui avaient les tambours chanteront avec beaucoup de boucans, et sur le quai, et dans le métro.

Descendus à la station Porte de Namur, ils emprunteront la chaussée de Wavre pour s’arrêter devant la galerie d’Ixelles. Machinalement, quelques établissements fermèrent boutique.

Par précaution la police déviera la circulation en isolant le tronçon devant la galerie d’Ixelles, jusque rue Francart.

Les manifestants chanteront et danseront ainsi jusque 19h15 avant de se disperser. La circulation reprendra alors.



Cheik Fita

Bruxelles, le 30 juin 2012

Discours du Raïs Joseph Kabila ce 30 juin CHEIKFITANEWS-30.06--5-




http://democratiechretienne.org/2012/07/01/52-ans-dindependance-de-la-rd-congo-a-bruxelles-message-a-hollande-et-obama/
KOTA
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Message  Mathilde 2/7/2012, 4:31 pm



KINSHASA: La commémoration du 30 Juin sans Kanambe...




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Message  ndonzwau 3/7/2012, 2:21 am

"(..)30 juin

L’événement qui fait encore l’actualité dans la presse congolaise de ce lundi est la célébration samedi dernier du 52ème anniversaire de l’indépendance de la RDC. Compte tenu de la situation de guerre qui prévaut encore à l’Est du pays, les autorités avaient décidé que le 52ème anniversaire de l’indépendance de la RDC serait célébré dans la méditation notamment dans des cultes religieux sur toute l’étendue du territoire national. Cela a eu comme conséquence que contrairement à l’organisation habituelle des défilés des forces vives à travers le territoire national, défilés dispensés cette année à cause de la guerre à l’Est, c’est seulement le message du président de la République à la Nation qui aura marqué ce 52ème anniversaire de l’indépendance. Les journaux y font largement écho.

Le Potentiel titre en manchette: « En marge de la fête de l’indépendance. J. Kabila dénonce les forces obscures dans l’Est ».
Ce journal écrit: « Plus les jours passent, plus l’on découvre le dessous des cartes qui sous-tendent des événements qui, une fois de plus, endeuillent la partie Est de la RDC ».
Le texte poursuit: « Pour le Chef de l’Etat, Joseph Kabila, qui s’est adressé à la Nation vendredi 29 juin dernier en marge des cinquante-deux ans de l’indépendance, des « forces obscures aussi bien nationales qu’étrangères » sont en ébullition. Qui sont-elles ? On le saura dès que le rouleau compresseurs sera mis en route pour venir à bout de la « maffia » qui s’est installée dans l’Est ». LE POTENTIEL publie au bas de l’article l’intégralité du texte même du message de JKK à la Nation.

Tous les autres journaux ont également mis en exergue le message présidentiel ciblant particulièrement la crise à l’Est. Le Pouvoir du Peuple annonce à la une de son édition que : « Guerre à l’Est. J. Kabila sort du silence ! ». En sous-titre, il signale que « Les insurgés sont des inciviques manipulés par les forces obscures nationales et étrangères ».

New Trends titre en manchette: « Guerre à l’Est. Kabila en colère ».
Ce journal explique dans les sous-titres de sa manchette que : « Dans son discours à la Nation le 30 juin 2012, il appelle ses compatriotes à la vigilance et à la détermination. Il pointe également du doigt les forces obscures nationales et internationales ».

° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=187772&Actualiteit=selected
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=124352&id_edition=100153


"Indépendance : 52 années de «poto-poto». Que faire?
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=7383
Une anecdote. Samedi 30 juin 2012, une Congolaise de Bruxelles reçoit un appel téléphonique de Kinshasa. «Maman, bonne fête !», lance le correspondant au bout du fil. «Ah ! De quelle fête parlez-vous?», répliqua la dame. «Nous sommes aujourd’hui le 30 juin. Cette date ne vous rappelle rien?». «Euh…ah oui ! C’est la date de la proclamation de l’indépendance du Congo, le 30 juin 1960». Canular? Nullement.

Nombreux sont les citoyens congolais auxquels la date du 30 juin 1960 ne rappelle plus grand chose. Sinon, un «poto-poto» (désordre) qui dure depuis cinquante-deux ans. Cinquante-deux années de désordre et de régression. Régression au plan social. Régression au plan économique. Régression au plan politique.
Les analystes occidentaux ont tendance à brandir l’«impréparation» comme étant la cause de ce "non départ". Selon eux, les Congolais n’avait pas encore les capacités techniques pour combler le vide laissé par les 10.000 fonctionnaires civils et militaires belges qui administraient le Congo-belge. Le pays - habité alors par 14 millions d’âmes dans un espace territorial quatre-vingt fois plus grand que la Belgique - comptait à peine une dizaine d’universitaires ou des personnes ayant accompli le cycle complet d’études supérieur. «J’aime attirer la très sérieuse attention des Congolais sur ce que nous venons à peine de quitter le stade des clercs, peut-on lire dans un exposé de motif de la loi fixant les critères devant servir de base à la création des provinces et l’organisation de leurs assemblées législatives promulguée le 27 avril 1962 par le président Joseph Kasa Vubu. Avant l’indépendance, nous n’avions pas bénéficié des grades de chef de bureau ou directeur».

Inutile de dire que durant l’époque coloniale, les Congolais étaient confinés à tâches administratives d’éxécution. Les militaires dépassaient à peine le grade de sergent-major. Les Congolais ne jouissaient pas du droit de vote. Ils n’ont donc pas été à l’«école de la démocratie». Qui dit démocratie dit non seulement des élections périodiques et la séparation du pouvoir mais aussi la culture du débat. La culture de la tolérance. Bref, le respect de l’autre dans sa différence, fut-il adversaire. Faute d’avoir été à l’école de la démocratie, les Congolais ignorent la culture de rendre compte. C’est-à-dire cette obligation de résultat qui incombe à tout détenteur d’une parcelle de pouvoir. N’ayant pas de tradition étatique, les Congolais ignorent également des notions essentielles à toute vie collective que sont notamment le service public et l’intérêt général.
Dans son ouvrage «Un conflit au Congo», Thomas Kanza rapporte que la première réunion du Conseil des ministres présidée par le Premier ministre Patrice-Emery Lumumba ne comportait qu’un seul point à l’ordre du jour. A savoir : le partage des limousines et villas qu’occupaient les ex-cadres coloniaux ayant quitté le pays. Les premiers responsables politiques du Congo indépendant venaient, sans le savoir, de commettre le «péché originel» consistant à ramener le pouvoir d’Etat au rang de «butin». Cette "patrimonialisation" du pouvoir a pris l’allure d’une «malédiction». Le pouvoir d’Etat n’est plus cette force au service d’une idée de progrès économique et social. C’est tout simplement un ascenseur social. Tout le monde rêve de devenir ministre, député, sénateur ou PDG. Une situation qui n’est pas sans rappeler le personnage campé par Louis de Funès dans le film "La folie de grandeur". Ayant appris qu’il va être "viré" de son poste ministériel, De Funès d’implorer la Reine : "Ma Reine, que vais-je devenir? Etre ministre, c’est l’unique métier que je sais exercer".

Pour n’avoir pas compris qu’un Etat digne de ce nom doit avoir pour socle une population instruite et en bonne santé, une économie saine et forte, une armée puissante, une justice indépendante et une administration efficace, les dirigeants zaïro-congolais ont transformé leur pays en un «Etat dépendant». Un Etat qui dépend de la charité internationale. La main qui donne étant toujours au-dessus de celle qui reçoit, la dépendance a engendré l’ingérence. Durant la Guerre froide, l’Etat zaïro-congolais s’évertuait à défendre les intérêts du monde occidental. En contrepartie, l’Occident fermait les yeux sur le caractère autoritaire du régime. L‘antagonisme Est-Ouest fini, l’Occident a changé son fusil d’épaule en imposant aux anciennes «dictatures amies» une démocratisation chaotique sous peine de suspension de la coopération. Le Burundi et le Rwanda ont payé le prix fort.

Depuis le 24 avril 1990 à ce jour, le Congo-Zaïre traverse une crise politique et sociale grave. La cause serait, l’impréparation des gouvernants mais aussi des citoyens à assimiler les valeurs démocratiques : le respect de la vie et de la dignité de la personne humaine, la liberté, la justice sociale, la séparation des pouvoirs, l’alternance etc. Le Congo-Zaïre n’a pas connu de véritable «transition» entre le parti-Etat et le multipartisme pour permettre aux "petits et grands citoyens" d’acquérir un autre état d’esprit. Deux décennies après le lancement du processus démocratique, la confusion est totale. Pire, on assiste au retour en force de vieux démons que sont l’unanimisme ou la pensée unique, le tribalisme et le régionalisme. Deux décennies après le lancement de la démocratisation imposée de l’extérieur, les Congolais sont en passe de perdre la maîtrise de leur destin. Le «Grand Congo», lui, est devenu la risée de ses voisins. Les actes de provocation ne se comptent plus. Des bandes armées défient un Etat devenu incapable d’exercer la plénitude de l’autorité sur son territoire. Les Zaïro-Congolais ont-ils été mal inspirés en considérant la démocratie comme un commencement plutôt qu’un aboutissement?
En 1960, les Congolais n’avaient pas assez de cadres formés. Cet argument ne devient-il pas insoutenable cinquante-deux années après? Pourquoi le "trop plein" de cadres semble le problème au lieu d’être la solution et que l’avenir paraît plus qu’incertain? Que faire ? Ce pays serait-il, à l’image de l’Allemagne post-première guerre mondiale, condamné à être dirigé par un «Chef» pour réhabiliter l’honneur perdu d’une nation? Devrait-on donner raison aux analystes qui allèguent que le Congo-Kinshasa aurait, dans le contexte actuel, besoin d’une sorte de Kemal Atatürk, c’est-à-dire d’un «despote éclairé», doublé des qualités de gestionnaire capable non seulement de rassembler les Congolais mais aussi d’impulser le progrès économique et social tout en redonnant au pays sa respectabilité à l’extérieur?

Le Congo-Kinshasa et son peuple cherchent désespérément un leader capable d’incarner l’aspiration collective à une renaissance nationale. Les Congolais cherchent déssespérément un leader capable de transformer l’indépendance octroyée le 30 juin 1960 en une véritable décolonisation. La résignation n’a jamais servi de moteur au Changement. Le renversement du régime sanguinaire et anti-national incarné par "Joseph Kabila" est un devoir patriotique. Un devoir sacré."


"Comment en est-on arrivé là ?
In Le Phare

° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=7384
Des millions de Congolaises et de Congolais ne cessent de se demander comment leur pays en est arrivé au point de perdre, totalement ou presque, le contrôle de sa partie Est. En revisitant l’histoire récente, l’on ne peut s’empêcher de déplorer les ravages d’alliances contre nature qui ont fait déverser dans les institutions de la République, l’armée et la police nationales, les services de sécurité, les entreprises du Portefeuille, l’administration publique, la territoriale … des milliers d’étrangers d’expression rwandophone revêtus du statut de Congolais.(...)"

Compatriotiquement!

ndonzwau


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