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FDLR, LA FIN DE L´ÈRE "AFDL"?

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FDLR, LA FIN DE L´ÈRE "AFDL"? - Page 2 Empty Re: FDLR, LA FIN DE L´ÈRE "AFDL"?

Message  GHOST 7/2/2015, 3:15 pm

affraid ..POLITICAL..INEPTITUDE

Dans un article du site African Defense Review sud-africain..on decouvre une autre perception de l´affaire FDLR au Kivu. pale pale

...Even the most succeful multinational task force of recent times, the African Union Mission to Somalia (AMISON) and the Force Interventin Brigade (FOB)*¤¤ have been fraught with problems pale pale

The former receved extensive training by America and other forces in trow to wage joint warfare across its border (Kenya) and the later, ¤¤while tactically effective, has become mined in political ineptitude affraid

¤¤Ongoing pre-election intimidation bounce and a gouvernement communication bounce in to DRC pirat has created the unevitable perception that the MONUSCO pale and the FIB are simply there to clean up opposition for President Kabila pale bounce

¤¤The constant talk about tackling the FDLR now appears as if the two forces are simply doing Kabila dirty work, rather than acting as a stabilisation force pale pirat

However untrue this perception actualy is, it will be difficult to explain to a local public whose support og MONUSCO is historicaly capricious and prone to rumour at the best of time. affraid

Lire l´article " Multinational task forces don´t shoot silver bullets" www.africandefense.net

ET L´OPPOSITION..?

Quand certains opposants visitent les USA et vont faire une manif devant la Maison Blanche ( une action historique bounce ), nous esperons qu´ils vont inclure dans leur agendat la question de la défense..
Ce que..l´opposition n´a qu´un an pour mettre au point une politique de défense et de sécurité viable...quand Joé Kanambe semble ne pas vouloir "pacifier" le Kivu..et ne souhaite pas faire un "cadeau" á l´opposition en cas d´alternance sunny
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FDLR, LA FIN DE L´ÈRE "AFDL"? - Page 2 Empty Re: FDLR, LA FIN DE L´ÈRE "AFDL"?

Message  ndonzwau 8/2/2015, 4:18 am

"RDC: la Monusco conditionne son soutien au départ de deux généraux"
° http://www.rfi.fr/afrique/20150206-rdc-monusco-conditionne-soutien-depart-deux-generaux-fdlr-fardc-ladsous/


"La RDC ne changera pas le commandement de l'opération contre les rebelles hutu rwandais
° http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/la-rdc-ne-changera-pas-le-commandement-de-loperation-contre-les-rebelles-hutu-rwandais#sthash.i30nPuYr.dpuf

FDLR, LA FIN DE L´ÈRE "AFDL"? - Page 2 Le_general_sikabue_fall
Le général Sikabwe Fall figure sur une liste établie par la Mission de l'ONU en RDC (Monusco) d'officiers indésirables

En dépit d'un ultimatum de l'ONU, la République démocratique du Congo a annoncé jeudi qu'elle ne comptait pas remplacer les deux généraux accusés de violations des droits de l'Homme qui ont été désignés pour lutter dans l'est contre les rebelles hutu rwandais.


Pour être écarté du commandement, il faudrait avoir fait "l'objet d'une condamnation par notre justice militaire. Or, il n'y a rien de tel", a déclaré Lambert Mende, porte-parole du gouvernement, lors d'une conférence de presse à Kinshasa.
En outre, Bruno Mandevu et Sikabwe Fall, les deux généraux qui sont chargés de combattre les Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR), "ont toujours travaillé avec les Nations unies", a-t-il dit.
Des responsables de l'ONU ont indiqué au ministre congolais des Affaires étrangères, Raymond Tshibanda, lors d'une rencontre le 30 janvier à Addis Abeba, que les deux généraux devaient être remplacés d'ici le 13 février, faute de quoi les Nations unies retireraient leur soutien à l'opération.

Les généraux Bruno Mandevu et Sikabwe Fall figurent sur une liste établie par la Mission de l'ONU en RDC (Monusco) d'officiers indésirables pour leur responsabilité ou leur complicité présumées dans de graves violations des droits de l'Homme.
La RDC n'est pas "sous tutelle de qui que ce soit" et "pour l'instant, ce sont ces (généraux) qui ont été désignés" pour traquer des FDLR, a insisté M. Mende. "C'est une décision de souveraineté" et "nous sommes décidés à rétablir la sécurité dans notre pays", a-t-il ajouté.
La Monusco, forte de 20.000 personnes, travaillait avec Kinshasa à la mise au point d'une opération conjointe, mais le 29 janvier, l'armée congolaise a annoncé seule le lancement de l'offensive, la Monusco se contentant de promettre un soutien opérationnel, logistique et stratégique.
Pour l'heure, aucune action sérieuse n'a encore démarré sur terrain.
Les FDLR sont des rebelles hutu rwandais présents dans l'est de la RDC depuis 1994. Plusieurs de ses chefs sont recherchés par la justice internationale pour leur participation présumée au génocide de 1994 contre les Tutsi dans leur pays, qui a fait 800.000 morts selon l'ONU."



"Au cours de cette année 2015, Africom organise des opérations civilo-militaires en RDC
Rolling Eyes  Rolling Eyes  Rolling Eyes  Rolling Eyes  Rolling Eyes  Question  Question  Question  Rolling Eyes  Rolling Eyes  Rolling Eyes  Rolling Eyes  Rolling Eyes
L'Observateur (RDC)
° http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/au-cours-de-cette-annee-2015-africom-organise-des-operations-civilo-militaires-en-rdc#sthash.ypMQ8IwL.dpuf

FDLR, LA FIN DE L´ÈRE "AFDL"? - Page 2 David_m._rodriguez
Le chef du commandement des Etats-Unis pour l’Afrique (USAFRICOM), le Général David Rodriguez

Dans le cadre de la coopération militaire entre les Etats-Unis et la RDC, le commandement des Etats-Unis pour l’Afrique (AFRICOM) va organiser une série d’activités civilo-militaires en République démocratique du Congo. L’information a été donnée en début de la semaine à Berlin en Allemagne fédérale par le chef du Commandement des Etats-Unis pour l’Afrique (Africom), le général David Rodriguez.


Selon le patron d’Africom, ces opérateurs civilo-militaires visent à renforcer les capacités des FARDC dans le but de faire de cette institution, une armée républicaine, et professionnelle. Africom sera aussi engagé dans la réalisation des projets à caractère social en faveur de la population civile.
« C’est une façon de montrer l’apport des Forces armées dans le développement des communautés », a déclaré un responsable d’Africom.
Le chef du Commandement des Etats-Unis pour l’Afrique (USAFRICOM), le Général David Rodriguez effectue depuis le lundi 12 janvier 2015 une visite officielle à Kinshasa, République démocratique du Congo. Le Général David Rodriguez faisait cette visite dans le cadre de la coopération militaire entre les Etats-Unis d’Amérique et la République démocratique du Congo. Au cours de cette brève visite à Kinshasa qui s’est achevée le mercredi 14 janvier 2015, le patron d’AFRICOM, le Général David Rodriguez s’est entretenu avec des responsables politiques et militaires congolais, notamment le ministre de la Défense et Anciens combattants, M. Aimé Ngoy ainsi que des officiers militaires congolais. Le Général David Rodriguez a ensuite rencontré le Représentant Spécial du Secrétaire-Général des Nations Unies et chef de la Monusco, Martin Kobler.
Dans un communiqué le mardi 13 janvier 2015, L’ambassade des Etats-Unis à Kinshasa a indiqué qu’elle accueillait chaleureusement le chef du Commandement des Etats-Unis pour l’Afrique (USAFRICOM), le Général David Rodriguez, dans le cadre de la visite en RDC du 12 au 14 janvier 2015.
La visite du Général Rodriguez visait à reconnaitre la contribution de la coopération américano-congolaise à l’avancement de la paix et de la sécurité en Afrique centrale et à mettre en exergue l’appui des Etats-Unis envers l’engagement ferme de la RDC à se doter de forces armées professionnelles et qualifiées.

Des formations à Kitona

Dans le cadre d’Africom, la base militaire Kitona, dans la province du Bas Congo a servi de cadre de juin à juillet 2014 à l’opération militaire Lion Rouge .Plusieurs personnalités militaires et politiques ont assisté à cette cérémonie haut en couleurs marqué par le défilé militaire des militaires et officiers des Forces Armées de la RDC (FARDC) en formation à la base de Kitona.
L’opération Lion Rouge est un signal fort de notre coopération militaire avec les Etats-Unis. Notre plus ardent souhait est de voir se perpétuer cette coopération militaire entre les Etats-Unis d’Amérique et la RDC. Cette formation s’inscrit également dans le cadre de la réforme de la sécurité. Lion Rouge témoigne donc de l’engagement du gouvernement américain à s’impliquer dans la réforme de l’armée et la sécurité en RDC. Nous sommes fiers de la formation que viennent de bénéficier les FARDC ici à Kitona. Merci beaucoup pour votre professionnalisme militaire », a souligné le commandant de la base de Kitona, le Général Moustapha.
Le Commandant Militaire des Etats-Unis pour l’Afrique (AFRICOM) a aussi organisé une formation aérocivile en faverur de femmes soldats des FARDC.

Des actions sociales

Dans le volet social, Africom a sponsorisé la réhabilitation d’un hôpital dans le quartier Mombele, dans la commune de Limete. Le vendredi 23 février 2012, le colonel Lee Whiteside, attaché militaire des Etats-Unis, a procédé à la cérémonie de son d’inauguration. Ce projet est conçu pour répondre à un besoin essentiel de la population locale et améliorer les conditions de santé et le bien-être maternel des familles du quartier Mombele.
« A travers un don de 200.000 dollars américains le Commandement Militaire des Etats-Unis (AFRICOM) a financé la réparation et l’amélioration de la maternité de Mombele, l’un des quartiers les plus pauvres et le plus peuplé de Kinshasa », avait déclaré l’ancien conseiller aux affaires politique et porte parole de l’Ambassade des Etats-Unis, à Kinshasa M. Marc Dillard"




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Message  KOTA 8/2/2015, 2:58 pm

CHERS NDOM ET TROLL, LE NOUVEAU N°2 DE LA MONUSCO QUI PRENDRA LA PLACE DE WAFY EN FIN MANDAT, EST ...UN AMERICAIN
KOTA
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Message  GHOST 8/2/2015, 6:01 pm

Like a Star @ heaven
KOTA a écrit:CHERS NDOM ET TROLL, LE NOUVEAU N°2 DE LA MONUSCO QUI PRENDRA LA PLACE DE WAFY EN FIN MANDAT, EST ...UN AMERICAIN

Cool ..LE SCENARIO "ANGOLAIS" ?

Après la defaite du Coq Noir Savimbi par les mercenaires d´EO SudAF Cool ..cette entreprise avait obtenue un contrat de plusieurs miliions de dollars pour "moderniser" l´armée Angolaise...Mais les USA avaient..non seulement chassés EO du marché angolais, mais avaient imposés "MPRI" ..une entreprise militaire..qui travaille souvent pour le compte de la Pentagone et du Departement d´État8)
La suite est qu´AFRICOM est très actif en Angola Like a Star @ heaven Like a Star @ heaven

Si l´info de mr KOTA au sujet d´un général US qui prendrait la place du général WAFY se verifie, ce que les USA preparent..indirectement la fin de la mission militaire de l´ONU...qui doit commencer á reduire le nombre des millitaires dèjà avant fin 2015 Like a Star @ heaven Idea
Avec AFRICOM qui annonce des "exercices" au Congo, un message "politique" devient de plus en plus visible: les USA...envisagent de prendre la suite de la question de .. What a Face la sécurité au Congo⭐ Idea
..un peu comme en Angola..depuis.. Like a Star @ heaven
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Message  Mwana Ya Lola 8/2/2015, 6:09 pm

Un am&ricain a été le n°1 de la mission onusienne au Congo pendant longtemps; ça n'a pas vraiment changé le cours des choses en notre faveur. Sad

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FDLR, LA FIN DE L´ÈRE "AFDL"? - Page 2 Empty Re: FDLR, LA FIN DE L´ÈRE "AFDL"?

Message  GHOST 8/2/2015, 6:59 pm

Like a Star @ heaven Shocked Mr Mwana Ya Congo

Un pays comme les USA..ne fait jamais les choses en "faveur" d´un autre pays sans y gagner quelque chose... Ce que vous avez oublié est que SWING..diplomate US avait rendu possible la "Transition" qui mettait fin á la partition de fait de la RDC, avant de faire organiser les premières élections au Congo.. Cool Cool

SWING a été pour beacoups..dans cette mission..destinée á mettre fin au "partage" du pays en 3..(même si mr Nbganda continue á ..utiliser cette théorie de la Balkanisation)..Les USA ont démontrés qu´ils tenaient á ce que le Congo reste entier..
La seconde démonstration est la defaite du M23.qui casse les ambitions rwandaises pour longtemps..

Si vous relisez l´histoire tragique de l´Angola, vous retrouverez Savimbi au service des USA pendant des années...et si EO étaient autorisé á "aider" Dos Santos..il serait naif de croire que les USA n´avaient pas accordés leur "benediction" Laughing

Nous devons continuer á "étudier" l´attitude des USA..envers le Congo..quand de plus en plus, les acteurs politiques congolais ne passent plus par la Belgique..mais se rendent directement au Senat, au Congrés et au Departement d´État..car maîtrisant parfaitement l´anglais et possedant un back grund aux USA ( le cas de Fayulu et Makila)

MILITAIREMENT PARLANT.. la RDC est un marché énorme en matière de défense..Ceux qui vont prendre le pouvoir l´an prochain vont faire des invetissements considerables dans le domaine de la défense..nous ne serons pas surpris de voir les USA..se positioner..via AFRICOM..et la fin de la MONUSCO..offre des possibilités.. FDLR, LA FIN DE L´ÈRE "AFDL"? - Page 2 774827 FDLR, LA FIN DE L´ÈRE "AFDL"? - Page 2 774827 WAIT AND SEE
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Message  ndonzwau 8/2/2015, 8:47 pm

Mwana Ya Lola a écrit:Un am&ricain a été le n°1 de la mission onusienne au Congo pendant longtemps; ça n'a pas vraiment changé le cours des choses en notre faveur. Sad

En fait nous continuons à nous illusionner à trop attendre notre défense comme toute la construction de notre Etat et de la Nation de cette fumeuse CI, en tête des Yankees alors qu'en vérité tous nos bons partenaires possibles ne nous sont utiles que quand nous savons conduire notre gestion là où il faut; ce qui est encore hypothétique...

De Koko Swing en passant par le Ciat composé des puissants du Conseil de Sécurité jusqu'à toutes les décisions et encadrements importants en cours depuis près de deux décennies, les Usa n'ont jamais manqué : comme vous le dites si bien, cher MYL, ça n'en a pas pour autant changé les cours des choses en notre faveur essentiellement parce que comme le démontre ce documentaire, aucun étranger fut-il de la Monuc/Monusco ne mourra pour le Congo et surtout les agendas de toutes ces bonnes gens ne sont pas les nôtres...



"RDC - Massacres de Beni : un documentaire d'Arte s'interroge sur l'efficacité de la Monusco
° http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20150206135540/s-curit-fardc-monusco-adf-vid-o-rdc-massacres-de-beni-un-documentaire-d-arte-s-interroge-sur-l-efficacit-de-la-monusco.html

FDLR, LA FIN DE L´ÈRE "AFDL"? - Page 2 006022015141003000000rdc
Un policier onusien à Beni, dans l'est de la RDC. 

Le documentaire "RDC : à quoi servent les Casques bleus ?" mis en ligne jeudi sur le site de la chaîne franco-allemande Arte revient sur la série des massacres qui ont été perpétrés fin 2014 à Beni, dans l'est du pays. Et remet surtout en cause l'efficacité de la Monusco dans la protection des civils.
"En RDC comme dans nombre de pays où les Casques bleus sont déployés depuis longtemps, les populations s'interrogent sur l'utilité de ces missions de la paix, de ces soldats si peu motivés et si peu efficaces, de ces fonctionnaires surpayés au regard des revenus locaux, autour de 7 000 euros mensuels, plus les primes, le tout exonéré d'impôts", résume Michel Dumont, grand reporter à Arte, dans "RDC : à quoi servent les Casques bleus".


Le documentaire mis en ligne le 6 février tente de comprendre les raisons de la persistance des massacres à Beni, dans l'est de la RDC, malgré la présence de la Monusco, la plus importante mission de maintien de la paix des Nations unies. Une force de 20 000 hommes, dotée de plus d'un milliard d'euros de budget annuel...
Le film de 24 minutes s'arrête également sur les rebelles ougandais des Forces démocratiques alliées (ADF), présumés auteurs des massacres de ces derniers mois à Beni. Sur des images de propagande que se sont procurées les auteurs du documentaire, on voit notamment un commandant ADF tenir un discours puisé dans l'islamisme radical. "Allah veille sur vous, lance-t-il à ses hommes. Vous devez avoir la foi. Si vous devez mourir, sachez que vous aurez 72 vierges au paradis et si vous ne mourrez pas, vous trouverez le bonheur sur terre. "


>> Documentaire - RDC : à quoi servent les Casques bleus <<

RDC : à quoi servent les casques bleus ?
° http://info.arte.tv/fr/rdc-quoi-servent-les-casques-bleus
ARTE Reportage - samedi, 17 janvier, 2015 - 18:35

Plus de 250 civils tués à la machette en quelques semaines à Béni, dans le Nord-Kivu, la région des grands lacs, dans l'est de la République démocratique du Congo. 

Mais aussi, des massacres perpétrés par un groupe rebelle musulman venu de l'Ouganda voisin, les ADF-Nalou, alors que sont présents en RDC, depuis quinze ans, 20.000 casques bleus de la Monusco, la mission de l'organisation des Nations Unies pour la stabilisation en République démocratique du Congo.
La population du Nord-Kivu ne comprend pas comment un groupe de quelques centaines de rebelles peut tenir en échec les soldats de la paix et les FARDC, l'armée congolaise. Comment des massacres peuvent être perpétrés à quelques deux kilomètres du quartier général des forces onusiennes sans que celles-ci interviennent.
Interrogations, colère, l'Allemand Martin Kobler, représentant spécial des Nations Unies en RDC et le général brésilien Santos Cruz, commandant en chef des casques bleus, ont bien du mal à expliquer l'inefficacité de la mission de paix de l'Onu. Pourtant la Monusco dispose d'un budget annuel de plus d'un milliard d'euros et elle est la seule mission à posséder une brigade d'intervention pouvant faire, offensivement, usage de la force.

A quoi servent les casques bleus ? Ils sont de plus en plus nombreux dans l'est de la RDC à se poser la question. Et à montrer du doigt ces soldats frileux, peu motivés venus d'Inde, du Pakistan, de Tanzanie et d'ailleurs. Et ces fonctionnaires onusiens surpayés - autour de 7000 euros par mois - qu'ils voient trop souvent enfermés dans leur 4x4 rutilants ou attablés dans les restaurants.

de Michel Dumont, Olivier Besson, John Kanyunyu – ARTE GEIE – France 2015



A lire


"Congo, une histoire", un ouvrage de David Van Reybrouck (Actes Sud, 720 pages, 28 euros)
FDLR, LA FIN DE L´ÈRE "AFDL"? - Page 2 Congo-une-histoire

Une passionnante histoire du Congo des origines à nos jours, de la colonisation à l'indépendance, de Mobutu à Kabila, père et fils. Un ouvrage très documenté, plein d'anecdotes savoureuses, de petites et grandes histoires qui nous font mieux comprendre comment ce pays de 2,3 millions de km² (quatre fois la France), peuplé de seulement 70 millions d'habitants, riche en minerais précieux de toutes sortes, reste l'un des plus pauvres et plus instables de l'Afrique.
Cette ancienne colonie belge, longtemps propriété personnelle du roi Léopold II, avait tout pour être un pays prospère, dynamique, conquérant, David Van Reybrouck détaille avec minutie et passion le triste destin de l'ancien Congo Kinshasa, ex-Zaïre, aujourd'hui République démocratique du Congo.

Infographie : les casques bleus aujourd'hui dans le monde






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Dernière édition par ndonzwau le 10/2/2015, 4:29 pm, édité 1 fois

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Message  Mwana Ya Lola 8/2/2015, 9:42 pm

Les Américains n'ont pas hésité à défenestrer Saddam, Kadhaffi et faire la guerre à Assad; vous pensez qu'ils ont besoin de tourner autour du pot pour régler le problème congolais ? Il faut admettre que la situation actuelle, qui est désastreuse, ne dérange pas tant que ça les Américains. Entre les milieux américains pro-Kagame (réseaux Clinton, etc) et les autres, c'est le statut-quo qui fait objet de compromis. Les Congolais doivent eux-mêmes engager une dynamique qui pourra ensuite être soutenue par certains milieux US.

Sans une initiative des Congolais d'abord, la situation va continuer de pourrir comme c'est le cas depuis 10 ans, malgré les opérations conjointes organisés tous les 2 ans à l'Est. Le temps joue contre nous ! Les massacres à répétitions, avec la complicité d'éléments du régime, doivent nous mettre la puce à l'oreille.

Mwana Ya Lola


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Message  GHOST 8/2/2015, 10:27 pm

Cool ..LOW INTENSITY

Mr Mwana Lola..la difference entre Kaddafi, Asad ou Saddam..c´est que la RDC est sous contrôle des USA depuis l´independance....
De Mobutu en passant par LDK et Kanambe, tous les trois sont présidents par la grâce des USA Smile

S´il faut être un peu cynique, observez que pendant la Transition et après les premières élections..il ya eu la Commission Lutundula( un parlementaire de la majorité Like a Star @ heaven ) qui avait exigée la "révision des contracts miniers" What a Face Une petite observation fait voir que...ces contracts miniers ont beneficiés aux entreprises amériacines...tout comme le petrol dans l´Atlantque..Les USA avec Obama ont même...fait retarder le projet Grand Inga (puisqu´aucun entreprise US ne s´y trouve) What a Face

Non, ile ne "tournent" pas en rond...ils estiment avoir la situation sous contrôle..une centaine des morts au Kivu ne signifie pas grand chose..pour eux..tant qu´ils contrôlent le présent et ont dèjà planifiés le contrôle du futur..

Mes excuses pour ce cynisme..Mais c´est la réalité la plus simple @

Nous avons toujours dit..que ces théories d´attendre une solution des USA..n´est pas la bonne..]b]La solution "offensive" est de se retrouver autour de la table avec les USA..en permance..en évaluant la situation afin de defendre l´interêt des congolais[/b]

Nous saluons l´initiative de ceux de l´opposition qui se rendent de temps en temps á Washington..pour tenter d´influencer les choses..même cette initiative n´est qu´au debut, avec le temps...l´impact sera visible:@:
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Message  KOTA 9/2/2015, 12:55 pm

A L ATT. DE TROLL: confirmation mon précedent posting sur remplaçant de Wafy

Gressly, le remplaçant de Wafy est un fin politique
com par CONGO NEWS
FDLR, LA FIN DE L´ÈRE "AFDL"? - Page 2 Ob_76e9df_bankimoun-200x183
Le remplaçant d’Abdallah Wafy, David Gressly au poste de représentant spécial adjoint du secrétaire général des l’ONU, Ban Ki-Moon en charge des opérations à l’Est de la RD-Congo et de l’Etat de droit de la Mission des Nations-Unies pour la Stabilisation du Congo-MONUSCO n’est pas un moindre type. C’est un monsieur qui
a beaucoup travaillé à l’international pour le maintien de la paix, la bonne gouvernance, l’organisation des élections crédibles et du recensement. Gressly est l’homme orchestre du maintien de la paix dans le Sud-Soudan. Il a travaillé pendant quatre années soit de 2008 à 2011 comme coordonateur de l’appui politique et la sécurité au Sud-Soudan avant d’être affecté au Mali comme Représentant spécial adjoint la mission de stabilisation
multidimensionnelle intégrée des nations-Unies au Mali, le 8 juillet 2013. A lire la biographie de Gressly, comprenez que c’est haut fonctionnaire des nations-unies qui est calé dans le domaine politique. Sa nomina-
tion en Rd-Congo comme Représentant adjoint de Ban Ki-Moon n’est pas un hasard dans la perspective des chéances à venir. Preuve, le conseil de sécurité très regardant sur le cours de la politique Rd-Congolaise a porté un Américain à la tête de la MONUSCO. Ici, les USA plantent le décor. Barack Obama qui s’était opposé aux révisions lors du dernier sommet USA-Afrique au mois d’août de l’année passée, veut à ce que la position des USA soit respectée par des dirigeants Africains qui veulent s’éterniser au pouvoir. C’est la raison de la nomination de Gressly. Le vendredi 6 février dernier, Ban Ki-Moon aussi contre un mandat supplémentaire des présidents africains dont Kabila a nommé David Gressly au poste de représentant adjoint du secrétaire général
des nations-unies en Rd-Congo en remplacement de Abdhallah Wafy. «Lire ci-dessous la biographie de David Gressly».
Biographie David Gressly nommé représentant spécial adjoint en charge des opérations à l’Est de la RD-Congo et de l’Etat de droit de la Mission des Nations-Unies pour la Stabilisation du Congo MONUSCO le vendredi 6 février dernier, a assumé avant cette nomination les fonctions de représentant spécial adjoint à la Mission de Stabilisation Multidimensionnelle Intégrée des Nations-Unies au Mali depuis le 8 Juillet 2013. Auparavant,
il a servi comme Coordonnateur humanitaire régional pour le Sahel par USG / ERC Valerie Amos depuis Avril
2012. Son rôle est de superviser la réponse au niveau régional et d’assurer la cohérence des efforts entre
les pays. Les responsabilités de Gressly inclus coordination de la réponse humanitaire à la crise du Sahel, et
fournir un soutien et des conseils aux coordonnateurs résidents des Nations Unies et les coordonnateurs humanitaires au niveau des pays. Il était également responsable de la coordination et la coopération avec les
acteurs du développement pour renforcer la résilience des personnes touchées, et pour combler le fossé en-
tre la réponse humanitaire d’urgence et à plus long des activités de développement à long terme. Le CHR
a également un rôle de plaidoyer pour mobiliser des fonds. Avant cette nomination, M. Gressly était le Di-
recteur régional de l’UNICEF en Afrique occidentale et centrale, responsable des opérations de l’UNICEF dans
24 pays de la région avec plus de 800 millions de dollars dans les programmes annuels. Il a également servi comme Coordonnateur régional des Nations Unies pour le Sud-Soudan pour la mission de maintien de la paix des Nations Unies de 2008 à 2011.
Il était responsable de la coordination de l’appui politique et la sécurité au Soudan Gouvernement du Sud, y compris le soutien pour le recensement, élections, référendum sur l’autodétermination, la médiation le soutien à des groupes armés, la réforme du secteur de sécurité et de soutien à la police. De 2004 à 2008, M. Gressly était l’adjoint résident et Coordonnateur humanitaire responsable du Sud Sou-dan. Immédiatement après la signature de l’Accord de paix global de 2005, il s’est installé à l’ONU de Nairobi dans le sud du Soudan. Il a également créé le Fonds d’affectation spéciale Capacité bâtiment, Fonds humanitaire commun et Le Fonds de rétablissement du Sud-Soudan de fournir coordonnée humanitaire, du relèvement et de soutien au développement pour le gouvernement nouvellement établi du Sud-Soudan. Il a fourni un appui de médiation pour les pourparlers de paix de la LRA 2006-2008. Pendant cette période, l’ONU a aidé 2 millions de personnes rentrent chez eux au Sud Soudan; construit plus de 2000 km de routes; interrogées et dégagé 14000 km de routes de mines; travaillé avec le nouveau gouvernement pour réduire la mortalité moins de 5 ans de 250 pour 1000 naissances vie à 145; et l’augmentation de la scolarisation de 300.000 à 1.300.000. En outre, M. Gressly était le Représentant adjoint de l’UNICEF en Inde, Représentant en Guinée, officier des opérations régional pour l’Afrique de l’Ouest, et officier des opérations au Nigeria.
Avant de rejoindre l’UNICEF, M. Gressly a travaillé à Washington, DC en tant que directeur de la planification
et de budget pour le Corps de la Paix américain. Il était aussi le Corps de la Paix Pays Directeur en Mauritanie et a commencé sa carrière en tant que volontaire du Corps de la paix au Kenya, travaillant à la gestion coopérative.
M. Gressly détient un MBA de Thunderbird School of Management International et un baccalauréat en économie de
l’Université du Missouri, USA. Marié et père de six enfants, M. Gressly est un citoyen américain.
KOTA
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Message  GHOST 10/2/2015, 3:47 pm

R Feingold..en parle aussi

Mis á part la question du calendrier électoral et..de la liberation des manifestants Cool Cool R Feingold a parlé aussi de cette question des FDLR (lire sur Africatimes Like a Star @ heaven ) Embarassed Embarassed
Ce que de plus en plus, c´est explicite que Kanambe refuse de regler cette histoire des FDLR What a Face et il ne peut le faire que sous contrainte Exclamation

En bref, la mission est retardée par ce que Kanambe refuse de chasser les Hutus Rwandais du territoire congolais...Quand Troll disait que cette operation contre les FDLR marque la fin de l´ère AFDL Rolling Eyes Arrow Arrow
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FDLR, LA FIN DE L´ÈRE "AFDL"? - Page 2 Empty Re: FDLR, LA FIN DE L´ÈRE "AFDL"?

Message  ndonzwau 10/2/2015, 11:43 pm

"RDC: Russ Feingold encourage le gouvernement à traquer les FDL
° http://radiookapi.net/actualite/2015/02/10/rdc-russ-feingold-encourage-le-gouvernement-traquer-les-fdlr/
L’envoyé spécial des Etats-Unis d’Amérique dans la région de grands lacs, Russ Feingold a réitéré lundi 9 juillet l’appui de son gouvernement aux FARDC dans l’éradication des groupes armés notamment les FDLR présentes au Kivu.

«On était quelque part encouragé par l’annonce du gouvernement congolais sur les opérations contre les rebelles FDLR. En même temps, on est quelque peu déçu du fait qu’aucune action concrète n’a jusqu’à présent été prise sur le terrain», a déclaré Russ Feingold.
Pour l’envoyé spécial des Etats-Unis d’Amérique dans la région de grands lacs, l’éradication de l’action des rebelles rwandais des FDLR demeure une question importante et pendante qui n’a pas encore trouvé de solution.
Il souhaite que les opérations contre ces rebelles, une fois entamées, soient étendues dans toute la région de l’Est .
«Ceci implique un ciblage de leadership de ces FDLR et la traduction en justice de ceux qui ont commis des violations des droits de l’homme », a poursuivi le diplomate américain
Russ Feingold a par ailleurs encouragés les signataires de l’accord pour la paix, la sécurité et la coopération, signé en février 2013 à Addis-Ababa (Ethiopie) à honorer leurs engagements.
«Ils [pays signataires] ne doivent pas soutenir les groupes armés, ni constitués de refuge aux criminels de guerre. Que le Conseil de sécurité des Nations unies puisse sanctionner ceux qui soutiennent les groupes armés », a-t-il exhorté .

Début février, les Nations unies avaient réaffirmé leur soutien à l’armée congolaise qui avait annoncé le lancement des opérations contre les rebelles rwandais des FDLR. Le chef de la Monusco, Martin Kobler, avait cependant souligné que les combats proprement dits n’avaient pas encore commencé sur terrain. D’après lui, la mission onusienne assure un soutien stratégique, opérationnel et logistique aux FARDC dans cette opération.
Un peu plus de mille combattants FDLR sont visés par l’opération de l’armée congolaise. Ces rebelles s’étaient réfugiés en RDC alors Zaïre, en 1994, à la chute du régime de Juvénal Habyarimana au Rwanda.​"

Certains comprennent enfin ce que nous disions dès le début que malgré les proclamations de la CI, Usa en tête, la fin des Fdlr risque d'être encore plus problématique parce qu'encore une fois beaucoup de choses ne seront possibles que lorsque nous saurons et déciderons de ce qu'il faut pour nous...
Or ici les premiers protagonistes, Kanambe au Congo et Kagame au Rwanda, ne veulent liquider les Fdlr qu'à leurs conditions...
Toute contrainte ne sera donc hélas efficace que quand quelque part elle tiendra compte de ces conditions d'autant que ni la Monusco et encore moins la fameuse l'Africom ne se sacrifieront pour mourir pour les Congolais, seuls d'abord les Congolais eux-même feront le job, d'où la contrainte décisive sera celle que ces derniers exerceront sur leur dictature complice...
Tozali nainu na rond-point !




Compatriotiquement!

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Message  GHOST 11/2/2015, 2:35 pm

pale Rolling Eyes Evil or Very Mad 14 jours après, l´ONU execute sa menace.. Mad

Sur le site de la Voix de l´Amérique (VOA) Like a Star @ heaven Idea l´ONU indique que le gouvernement congolais ayant refusé de retirer les deux généraux auteurs des crimes contre l´Humanité de la mission contre les FDLR, la MONUSCO retire sa participation á la mission

CONSEQUENCES ?

La première des toutes les consequences est avant tout l´impact sur le moral des unités des FARDC Idea Ce que les militaires congolais comptent sur la logistique de l´ONU..rien que pour les rations alimentaires pendant une opération..Ensuite l´assurance d´être évacué dans un hopital de campagne s´ils sont blessés pendant les combats Like a Star @ heaven Idea

Au niveau de l´EMG et même du centre de commandement des opérations des FARDC What a Face les officiers capables de planifier une operation contre les FDLR se retrouvent presque "aveugles" car ne beneficiant pas de la superiorité informationelle..qu´apporte l´ONU avec ses drones, les images satelites et les photos aériens de reconnaissance.
Pire que tout, sans les capacités aériennes de l´ONU, le concept de "verticalisation" des actions sur le terrain est pratiquement impossible, car les hélico de combat et de transport de l´ONU sont capables d´operer la nuit..tandis que les quelques machines des FARDC sont limitées "technologiquement"

Lancer une opération militaire primitive, sans planification digne de ce nom, sans back up de la puissance de feu de l´ONU..sans logistique confused affraid affraid On sait d´avance que l´operation n´a jamais été lancée...malgré l´arrogance du gouvernement....et quelqu´un comme le général Olenga fera mieux de..deconseiller Kanambe se continuer á proteger des généraux "incompetants" auteurs des crimes.. affraid

Franchement, la fin de l´ère AFDL avance á grand pas WAIT AND SEE
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Message  djino 11/2/2015, 2:45 pm

L’ONU suspend son aide à Kinshasa pour la lutte contre les FDLR - FDLR comme chacun sait est "La Force de Rebellions Fictions Pour Fabriquer un alibi pour le Rwanda afin d'occuper le Congo -

Pour cause : deux généraux Bruno Mandevu et Sikabwe Fall figurent sur une liste d'officiers indésirables établie par la mission des Nations unies, la Monusco.

Ils sont considérés comme responsables ou complices de graves violations des droits de l'Homme qui ont eu lieu dans l'est de la RDC.


http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/rdc-lonu-suspend-son-aide-kinshasa-pour-la-lutte-contre-les-fdlr

djino


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Message  ndonzwau 12/2/2015, 3:00 am

"RDC : l’ONU suspend son aide à Kinshasa pour la lutte contre les FDLR
° http://www.rfi.fr/afrique/20150211-rdc-onu-suspend-son-aide-kinshasa-lutte-contre-fdlr-monusco-kivu/
Les Nations unies ont mis leur menace à exécution en République démocratique du Congo. Elles suspendent leur soutien aux opérations de l'armée congolaise contre les rebelles rwandais des FDLR. L'ONU et Kinshasa sont en désaccord sur la désignation dans l'est du pays de deux généraux accusés de violations des droits de l'Homme. Ce qui est particulièrement surprenant, c'est que cette suspension est annoncée trois jours avant la fin du délai accordé aux autorités de Kinshasa pour remplacer les deux officiers contestés.

L'ONU avait donné jusqu'au 13 février, à savoir vendredi prochain aux autorités kinoises pour remplacer Bruno Mandevu et Sikabwe Fall. Les deux généraux figurent sur une liste d'officiers indésirables établie par la mission des Nations unies, la Monusco. Ils sont considérés comme responsables ou complices de graves violations des droits de l'homme qui ont eu lieu dans l'est de la RDC.
Lors d'une conférence de presse il y a quelques jours, le porte-parole du gouvernement Lambert Mendé, avait déjà clairement laissé entendre que le gouvernement de Kinshasa ne remplacerait pas les deux hommes. Pour être écarté du commandement, avait-il indiqué, il faudrait avoir « fait l'objet d'une condamnation par notre justice militaire, or il n'y a rien de tel. »

Des diplomates onusiens irrités

Depuis, les Nations unies semblent avoir eu une réponse plus formelle, puisqu'elles ont donc décidé de suspendre leur participation sans attendre la fin du délai fixé. Pour autant, toutes les portes ne sont pas fermées : « Nous sommes en contact constant à haut niveau avec le gouvernement », a indiqué à l'Agence France Presse un responsable de l'ONU qui s'est dit confiant dans la possibilité de trouver une solution.
L’annonce a tout de même pris tout le monde de court puisqu’avec 48 heures d’avance donc, les diplomates des opérations de maintien de la paix ont décidé d’engager un bras de fer avec le président Joseph Kabila, faute d’avoir observé un gage de bonne volonté côté congolais. Au siège de l’ONU à New York, les diplomates ne cachent pas leur impatience voire même leur irritation.
Depuis plusieurs semaines, le président Kabila refuse de répondre à leur demande de signer un document stipulant les règles d’une opération militaire conjointe contre les forces démocratiques pour la libération du Rwanda. Maintenant, il fait tout pour se passer du soutien logistique de la Monusco. De quoi s’interroger concrètement sur la réelle volonté du Congo de mettre fin à la présence des FDLR dans l’est du pays."



"Traque des FDLR: la Monusco a «mis une pause dans la coopération avec les FARDC»
° http://radiookapi.net/actualite/2015/02/11/traque-des-fdlr-la-monusco-mis-une-pause-dans-la-cooperation-avec-les-fardc/
« Pour l’instant, nous avons effectivement mis une pause dans la coopération avec les FARDC en attendant qu’on puisse clarifier cette situation », a déclaré mercredi 11 février le porte-parole de la Monusco, Charles Bambara, confirmant l’annonce, la veille, par un porte-parole des Nations Unies à New York d’une « pause » de la coopération de l’Onu dans les opérations contre les rebelles rwandais des FDLR. Cette décision fait suite à l’implication présumée de deux généraux de l’armée congolaise qui participent à ces opérations dans des atteintes aux droits de l’homme.

Charles Bambara a affirmé que les Nations unies étaient en contact avec  les autorités de la RDC pour qu’une solution rapide soit trouvée en faveur de la réussite des opérations de traque des FDLR.
Le porte-parole de la Monusco a déclaré :
« Nous pouvons dire ici de façon claire et nette que les Nations unies parlent d’une seule voie. Cela a été dit par des officiels des Nations unies, la représentation  des Nations unies ici en RDC reste sur cette voie. Effectivement, nous sommes en constant contact avec les officiels de la RDC à qui nous avons remis les dossiers concernant les généraux dont on parle et, ce faisant, nous avons sollicité de la part des autorités gouvernementales un certain nombre d’éclairage. Et effectivement ces discussions avancent. Dans le même temps, c’est vrai que nous souhaitons voir une évolution de ce dossier. Car nous avons d’une part cette politique de conditionnalité en matière des droits de l’homme des Nations unies qui doit être appliquée. Nous avons en même temps le mandat qui nous impose de neutraliser les forces négatives dans ce pays que sont les FDLR, les ADF. Pour l’instant, nous avons effectivement mis une pause  dans la coopération avec les FARDC en attendant qu’on puisse clarifier cette situation. »

Au cours de la conférence de presse de ce mercredi 11 février à Kinshasa, le chef de la Monusco, Martin Kobbler, a dit être confiant dans les discussions engagées avec les autorités congolaises pour continuer à appuyer les FARDC dans la traque des rebelles rwandais dans des conditions qui ne doivent pas violer les droits de l’homme.
Les Forces armées de la RDC affirment avoir lancé les opérations militaires « Sokola2 », jeudi 29 janvier, pour le désarmement forcé des rebelles rwandais des FDLR."



"Traque des FDLR : Kinshasa soupçonné de ne pas jouer franc jeu
° http://www.lephareonline.net/traque-des-fdlr-kinshasa-soupconne-de-ne-pas-jouer-franc-jeu/
A l’annonce, il y a plus d’une semaine, du déclenchement des opérations de traque des FDLR par les éléments des FARDC, l’opinion nationale et internationale avait frénétiquement applaudi dans le ferme espoir que le gouvernement de la RDC allait enfin enlever au Rwanda et à  l’Ouganda le prétexte sempiternel des multiples interventions de leurs armées régulières sur le territoire congolais.
Malheureusement, depuis lors, c’est le silence radio du côté des officiels congolais. Car, contrairement à d’autres opérations militaires déjà effectuées dans ces territoires de l’Est, notamment les guerres contre le M23 et l’ADF-Nalu, l’Etat- major général des FARDC ne livre curieusement aucun bilan sur le terrain de ces opérations. Or, faut-il le rappeler, le chef d’Etat-major général des FARDC avait même signalé que la MONUSCO allait être associée à ces opérations sur le plan tactique et stratégique. Provoquant un ouf de soulagement dans le camp de ceux qui doutaient encore de la volonté politique du régime au pouvoir à Kinshasa d’associer la communauté internationale à ces opérations militaires revêtues d’une charge émotionnelle indéniable car destinées à dévoiler à la face du monde l’étendue des mensonges auxquels ont toujours recouru les tenants du pouvoir à Kampala et à Kigali pour mettre en
exécution leurs funestes plans de démembrement du Congo.
En revenant ainsi avec force sur la question des FDLR, l’Envoyé Spécial du Président Barack Obama dans la Région des Grands Lacs a touché du doigt le nœud gordien de ces guerres répétitives à souhait qui sévissent dans cette partie du continent africain depuis plus de vingt ans. Sans le dire expressément et probablement déçu par le silence affiché par les autorités militaires et politiques de la RDC, Russ Feingold a tenu à les mettre devant leurs responsabilités face à l’histoire et à leurs populations victimes de cette tragédie qui n’aura rien à envier à la Shoa et aux autres génocides jusque-là connus à travers l’histoire de l’humanité.

En effet, il est aujourd’hui établi que c’est un discours similaire que cet homme de confiance du Président Barack Obama a tenu devant les autorités du Rwanda et de l’Ouganda qui demeurent, comme on le sait, les deux autres Etats fortement impliqués dans cette tragédie indicible qui ne cesse d’endeuiller les populations congolaises tant de l’Est que des autres parties du Congo qui souffrent des effets collatéraux.
Six millions des morts depuis le déclenchement de la guerre de l’AFDL en 1996 à la suite de ce que les exégèses ont dénommée comme la guerre des Banyamulenge revendiquant leur nationalité. Mais qui, au fil du temps, s’est avérée comme une stratégie néfaste destinée à piller les ressources naturelles et minérales, infiltrer des populations rwandaises et ougandaises dans des territoires de l’Est en prévision de la balkanisation au profit de ces deux Etats voisins. Avec au passage des viols massifs des femmes, tous âges confondus, des massacres des populations civiles non armées, des destructions méchantes, des déplacements répétitifs des villageois, etc.

Un prétexte sécuritaire fallacieux

Tout au début de la guerre dite de l’AFDL, la propagande distillée se limitait à une guerre des Banyamulenge pour revendiquer leur nationalité. Au fur et à mesure que tombaient des témoignages des envoyés spéciaux des médias internationaux, des aveux constants étaient fournis par des rescapés de cette guerre et autres activistes des Ong internationales de défense des droits de l’homme. Ces propagandistes ont alors changé de fusil d’épaule pour lancer la campagne d’une guerre préventive contre les rebelles hutu rwandais réfugiés en RDC et dont la présence constitue une menace sérieuse pour la sécurité du Rwanda.
Or, au fil du temps, l’on dénombre de nombreux rapports rédigés par des experts de l’ONU, notamment le fameux Rapport Mapping, des aveux constants faits par des fondateurs du Front Patriotique Rwandais en rupture de ban, notamment feu Patrick Karegeya, le général Faustin Kayumba Nyamwasa et Théoneste Rudasingwa, respectivement ancien chef des services de sécurité extérieure assassiné il y a deux à Jobourg par des agents du Rwanda, ancien chef d’Etat- major général et ancien directeur de cabinet de Paul Kagame, des témoignages émanant des éléments du CNDP et du M23 faits prisonniers sur le terrain des opérations ainsi que des rapports des ONG internationales comme Human Rights Watch, Fédération Internationale des Droits de l’homme et International Crisis Group. Enfin, à l’issue de la guerre contre le M23, on a découvert des canalisations souterraines érigées à travers les montagnes faisant frontière entre la RDC et le
Rwanda dans lesquelles étaient stockées des armes et munitions de guerre. Il est donc apparu que ces guerres dites préventives contre les FDLR n’étaient qu’une série de stratégies néfastes pour se livrer aux pillages des minerais et à l’infiltration des sujets rwandais sur le territoire national.

Toujours selon ces témoignages faits par des notabilités politiques et militaires de haut niveau au Rwanda ainsi que les rapports des ONG internationales, il est établi que les FDLR n’ont jamais occupé un mètre carré du territoire rwandais. Bien au contraire, depuis leur arrivée au Congo, c’est ici où ils commettent des crimes les plus odieux sur des populations congolaises non armées. Ils échangent des minerais avec des armes et munitions de guerre leur livrés par des officiers supérieurs rwandais, ougandais et congolais.
Pour preuve, ce sont eux qui ont échangé 450 kg d’or avec le général Bosco Ntaganda qui les a revendus ensuite à des hommes d’affaires nigérians au prix de 6 millions des dollars Us. Que des officiers généraux rwandais ne sont-ils pas cités dans des rapports des Ong de défense des droits de l’homme comme trafiquants des minerais du sang !

Bras-de-fer entre Kinshasa et New York

Plusieurs généraux de brigade des FARDC ont été aussi accusés d’avoir participé aux viols massifs dont deux d’entre eux récemment nommés comme par hasard en qualité des commandants de ces opérations militaires de traque contre les FDLR. On rappelle, à ce sujet, que comme en mars 2009, les plénipotentiaires de la communauté internationale, à savoir la MONUSCO, l’Union Européenne, la France, la Belgique et les USA avaient boycotté la cérémonie de prise d’armes à Bunagana. Si ces deux officiers généraux ne sont pas remplacés, la MONUSCO a prévenu qu’elle ne s’associera pas à ces opérations militaires. Un bras-de-fer inédit entre Kinshasa et les Nations-Unies ainsi que d’autres puissances européennes et américaines à cause de l’intransigeance du gouvernement de Kinshasa. Comme si l’avenir de la Nation dépendait de la présence de ces deux généraux aux commandes des FARDC alors qu’ils sont éligibles à la
CPI au même titre que celui qui est déjà là pour des faits similaires, à savoir le rwandais Bosco Ntaganda.
Ce comportement suicidaire du gouvernement de  Kinshasa risque de le discréditer en le faisant passer pour celui qui tient à protéger ces FDLR qui trimballent à tort ou à raison la sale réputation de génocidaires"



"FDLR: le Rwanda accuse la Tanzanie et l’Afrique du Sud d’inaction
° http://www.rfi.fr/afrique/20150211-fdlr-le-rwanda-accuse-tanzanie-afrique-sud-inaction/
Le ministre rwandais de la Défense James Kabarebe s'en est pris à la Tanzanie et à l'Afrique du Sud, membres de la brigade d'intervention de la Monusco déployée en RDC. Il les accuse de ne pas être prêts à se battre contre les rebelles FDLR. Le 29 janvier, l'armée congolaise a annoncé une opération contre les rebelles hutus. La force onusienne n'était pas directement associée à l'initiative, mais devait la soutenir d'une manière opérationnelle, logistique et stratégique. Elle a toutefois suspendu temporairement son soutien à la suite du refus de Kinshasa de remplacer deux généraux présumés complices dans de graves violations des droits de l'homme.

« Les troupes tanzaniennes et sud-africaines ont attaqué le M23 avec une rage inimaginable (...) Mais elles n'attaqueront pas les FDLR », a martelé le ministre rwandais de la Défense. James Kabarebe a publiquement accusé la Tanzanie de collaborer avec les Forces démocratiques de libération du Rwanda. Pour rappel, un récent rapport du groupe d'experts de l'ONU fait état de voyages de responsables de cette rébellion hutu et de transferts d'argent depuis ou à destination de la Tanzanie.

Si sa principale cible n'a pas été Kinshasa, alors que sur le terrain, aucune action sérieuse n'a démarré, il s'en est pris aux Nations unies.  Il a fait référence à la réunion de Sant'Egidio qui avait provoqué la fureur du Rwanda[/size]. Sur invitation de la communauté religieuse, une délégation de FDLR avait notamment rencontré le 26 juin le patron de la Monusco.
Le ministre a accusé la force de l'ONU d'avoir facilité le transport jusqu'à Rome du président par intérim des FDLR, Victor Byiringiro sous sanction. « Et maintenant, la Monusco prétend ne pas pouvoir soutenir les FARDC (Forces armées de RDC, NDLR) à combattre les FDLR ? C'est une contradiction », a-t-il déclaré. Victor Byiringiro ne s'est toutefois jamais rendu à destination, son interdiction de voyager n'ayant finalement pas été levée."



° http://www.jeuneafrique.com/actu/20150211T220640Z20150211T220555Z/offensive-contre-les-rebelles-rwandais-en-rdc-l-onu-fait-une-pause.html




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Message  ndonzwau 15/2/2015, 5:53 am

Si à force de tutoyer le contre-courant par sa logique de défi permanent, la cellule stratégique du régime de "JK" perdait enfin la main ?
Lancer un si risqué bras de fer quasi suicidaire (?!) avec l'ONU en refusant le changement des généraux incriminés peut-il servir sa cause quand bien même il voudrait imposer ses conditions dans cette guerre contre les Fdlr, n'y avait-il pas la possibilité d'un compromis qui permette l'indispensable soutien de la Monusco ?
Tant mieux, dirions-nous par adhésion à l'impératif de changement à travers ce geste qui finira inéluctablement à fragiliser l'autocrate inefficace et meurtrier de notre pays...
Attendons voir...


"RDC : l'ONU stoppe son soutien à l'armée congolaise dans la lutte contre les FDLR
confused  silent  silent  silent  silent  silent  confused
° http://www.jeuneafrique.com/Article/DEPAFP20150214162039/onu-d-fense-s-curit-fdlr-d-fense-rdc-l-onu-stoppe-son-soutien-l-arm-e-congolaise-dans-la-lutte-contre-les-fdlr.html
L'ONU "a mis fin" à son soutien à l'armée congolaise en vue d'une offensive contre des rebelles hutu rwandais dans l'est de la République démocratique du Congo après que Kinshasa a dépassé la date limite pour remplacer deux généraux controversés, a indiqué samedi un haut responsable de l'ONU.
"Le délai de deux semaines initialement donné" pour écarter ces généraux accusés d'exactions par l'ONU "a expiré" et la Monusco (Mission de l'ONU en RDC) "a effectivement mis fin à son soutien aux FARDC" (forces gouvernementales), a expliqué ce responsable sous couvert d'anonymat.


"L'étape suivante, a-t-il ajouté, est l'envoi de lettres formelles aux autorités congolaises compétentes concernant la fin du soutien aux FARDC pour ces opérations anti-FDLR (Forces démocratiques de libération du Rwanda), ce qui sera fait à la fin de la semaine".
Les autorités congolaises "auront alors le temps de se conformer aux règles" de l'ONU, a-t-il conclu, laissant ainsi ouverte la possibilité d'un revirement de Kinshasa. Il s'agit d'une nouvelle étape d'un bras de fer entre l'ONU et le gouvernement congolais autour d'une l'offensive annoncée par Kinshasa contre les rebelles rwandais mais qui n'a pas véritablement commencé sur le terrain.

Accusés de violation des droits de l'homme

Le gouvernement a laissé passer la date limite du 13 février fixée par l'ONU pour remplacer deux généraux appelés à jouer un rôle clef dans cette offensive. Or, l'ONU accuse ces deux officiers d'avoir commis des violations des droits de l'homme et les règles onusiennes interdisent aux Casques bleus de fournir de l'aide à des unités militaires dans ces conditions.
La Monusco fournit des rations et du carburant aux forces congolaises et en cas d'offensive, elle aurait pu aussi les appuyer avec des hélicoptères et des drones notamment. Mercredi, un porte-parole de la Monusco avait seulement indiqué que l'ONU "faisait une pause" dans son soutien en attendant le remplacement des deux généraux mais le gouvernement congolais a opposé jeudi une fin de non recevoir à cet ultimatum.

L'armée congolaise seule au front

Kinshasa a expliqué que pour les écarter il faudrait que les généraux Bruno Mandevu et Sikabwe Fall aient fait "l'objet d'une condamnation" par la justice militaire, ce qui n'est pas le cas. Le 29 janvier, l'armée congolaise avait annoncé qu'elle allait lancer seule l'offensive, la Monusco se contentant de promettre un soutien logistique et stratégique.
Plusieurs chefs des FDLR sont accusés d'avoir participé au génocide de 1994 contre les Tutsi au Rwanda. Les membres les plus anciens de cette milice sont présents depuis 1994 en RDC, où elle est accusée de commettre des atrocités (meurtres, viols...) et des pillages"



"Traque des FDLR : Kinshasa soupçonné de ne pas jouer franc jeu"
° http://www.lephareonline.net/traque-des-fdlr-kinshasa-soupconne-de-ne-pas-jouer-franc-jeu/

"FDLR: le Rwanda accuse la Tanzanie et l’Afrique du Sud d’inaction"
° http://www.rfi.fr/afrique/20150211-fdlr-le-rwanda-accuse-tanzanie-afrique-sud-inaction/





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Message  Jim KK 15/2/2015, 11:10 pm

Le président Joseph Kabila renonce à l'aide de la Monusco contre les FDLR


Jim KK


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Message  GHOST 16/2/2015, 10:38 am

Jim KK a écrit:Le président Joseph Kabila renonce à l'aide de la Monusco contre les FDLR


Idea Mister JIM

Vous vous souvenez de la question...que les americains avaient posés á Fayulu et cie Rolling Eyes Question Question On dirait qu´on avance vers la fin de l´ère"AFDL"What a Face What a Face

1. La RDC ayant accepté la présence et le mandat de la mission militaire de l´ONU dans son pays voit sa "souveraineté forcement restreinte par le chapitre 7 de la charte onusiène.
Laughing Cool

Ce qu´en principe, la "Brigade Africaine" n´a même pas besoin de demander á Kanambe la permission d´intervenir partout au Congo..selon le mandat du Conseil de Sécurité de l´ONU Embarassed Embarassed De même, la RDC ne peut pas "chasser" la MONUSCO dans un simple "entretien" avec les ambassadeurs des 5 pays membres permanents (Chine, USA, Russie, France, Grande-Bretagne Wink What a Face )..

2. "Ingerance dans les affaires interieures de la RDC"
eyindi nanu te? Eza na nzela Very Happy Very Happy Joé Kanambe ne sait pas qu´il joue avec le feu? Faire venir 20 ambassadeurs..pour tenter de "recuperer" la situation va avoir des effets non-souhaités contre lui Rolling Eyes Embarassed

Il suffit d´activer la CPI...sur les crimes du mois de janvier...et Joé va se retrouver dans une position incomfortable Idea Arrow Qui sait? Peut-être qu´il est conscient que son temps est limité á la tête de l´État...et il risque de ne pas finir l´an 2015.. Twisted Evil Ce qui expliquerait son attitude arrogante et..insouciante? WAIT AND SEE
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Message  ndonzwau 16/2/2015, 7:59 pm

Pathétique et même surréaliste : "JK" qui doit tout à la CI, son intronisation comme PR en 2001, son maintien en 2006 et 2011, convoque sans rire aujourd'hui le droit à une souveraineté sourcilleuse et croit intimider ses représentants en les accusant d'ingérence !

Certes, ce n'est pas la première créature dans l'histoire qui se rebelle contre son créateur mais au moins dans ce cas on s'en donne les moyens mais un Congo qui doit sa sécurité vacillante à une Armée presque Etat dans l'Etat, qui ne peut assurer la réalité de ses missions régaliennes qu'à une foultitude d'ONG internationales (et nationales), se moque ce faisant quasi de ses citoyens qu'il prétend défendre !
Et lorsque ailleurs on voit comment il n'arrête de les affamer, de les tuer et de les réprimer dans une gouvernance inefficiente et meurtrière par défi, on ne peut qu'être interpellé par cette escalade indécente dans son imposture !

Si au moins il commençait par exiger et obtenir le départ de la Monusco qui l'a accompagné utilement càd sans désamorcer pendant tout ce temps les raisons de sa présence...
Surréaliste de le voir dans un exercice qui confine à une simple mascarade, des rodomontades très éloignées du sens de dignité, du réalisme et de la compétence exigés de tout pouvoir responsable !
Attendons voir déjà les actions effectives de cette opération confiée aux FARDC seules sans l'assistance de la Monusco car il semble pour le moment qu'il n'y a pas traces d'un début de réalisation !

Ailleurs, la Monusco se trouve quelque part dans un cas de conscience : l'ONU ne peut enfreindre son credo officiel du respect des Droits de l'Homme en coopérant avec des généraux qu'elle accuse de les avoir bafoués mais en même temps les FDLR sont dans les cibles à combattre contenues dans sa mission...
Quel compromis trouvera-t-elle ? Il est fort à craindre que la diplomatie souterraine va jouer à plein : peu sera fait à découvert jusqu'à un éventuel compromis officiel mais entre-temps un fossé s'est creusé davantage que leurs actes de convenance cacheront mal et le régime risque d'en être de plus en plus excommunié à partir de Manhattan et de Washington !
Pour quel avenir ? Attendons voir...


"Désarmément des FDLR : la fausse indignation de "Joseph Kabila" 
°  http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=9680
"Joseph Kabila" qui ne se rend que très rarement à son cabinet de travail s’est fait violence ce dimanche 15 février. Il y est allé pour recevoir Martin Kobler, le chef de la Mission onusienne au Congo, ainsi que les représentants diplomatiques de "principaux partenaires" du Congo-Kinshasa. Le déplacement valait la chandelle. Critiqué en termes véhéments suite à la répression violente - menée par des policiers et des éléments de la garde présidentielle - des manifestations des 19, 20 et 21 janvier, le "raïs" a profité de cette occasion pour dire aux diplomates tout le mal qu’il pense de leurs "immixtions" dans les affaires intérieures de "son" pays. Dans le dossier FDLR, "Joseph Kabila" est tiraillé entre la fidélité envers son mentor rwandais Paul Kagamé et la "dette morale" à l’égard des combattants hutus pour "services rendus" aux FARDC.

Bien que politiquement irresponsable, le "Joseph Kabila" a signifié à ces diplomates la "décision" du "gouvernement congolais" de renoncer à l’appui des forces onusiennes dans l’opération de désarmement des FDLR (Forces démocratiques pour la libération du Rwanda). 
Selon lui, la traque des FDLR "a bel et bien" commencée et "doit se poursuivre par les seules FARDC (...)". En cause, le refus de la Monusco de participer à cette opération tant qu’elle sera menée par les généraux Bruno Mandevu et Sikabwe Fall suspectés, à tort ou à raison, de violations des droits humains.

Dans le compte-rendu qu’il a fait à l’issue de cette rencontre, le ministre de la Communication et des médias, Lambert Mende Omalanga, a déclaré que "Joseph Kabila" a fait remarquer à ses interlocuteurs "que ni lui ni le gouvernement congolais" n’avait eu connaissance des griefs articulés à l’encontre des officiers précités justifiant la décision des responsables de la Monusco de retirer son appui aux opérations du désarmement des FDLR. 
Oubliant que son pouvoir doit sa pérennité aux ingérences de la "communauté internationale" dans les affaires "domestiques" du Congo-Kinshasa, "Joseph Kabila" a, selon Mende, rappelé "la souveraineté de la RDC" en soulignant que "nul n’a le droit, de l’extérieur, d’édicter le positionnement des officiers dans les tâches que le commandement ou le gouvernement entend leur affecter".
A en croire Mende, "Joseph Kabila" a, par ailleurs, "fustigé" l’immixtion des membres du corps diplomatique en poste au Congo-Kinshasa dans les affaires domestiques du pays. "Le chef de l’Etat a tenu à rappeler ces principes et à dire à ses interlocuteurs que la RDC n’est pas un Etat failli, sous la tutelle des Nations Unies ou de qui que ce soit, et qu’elle n’est pas comparable à des Etats comme la Somalie ou d’autres", a conclu Lambert Mende. 
Ce que le ministre de la Communication et des médias ne dit pas est que son patron de président a beaucoup souffert des critiques formulées par les diplomates. Et ce aussi bien lors de la répression - frisant la barbarie primitive - des manifestations des 19, 20 et 21 janvier que dans l’affaire Christopher Ngoyi Mutamba. 

Violations des droits humains

Lors du récent sommet de l’Union africaine à Addis Abeba, des responsables de l’ONU avaient approché le chef de la diplomatie congolaise, Raymond Tshibanda, pour lui faire savoir la nécessité de remplacer les deux généraux cités précédemment "d’ici au 13 février". A défaut, les Nations Unies allaient retirer leur soutien à l’opération. Les deux officiers sont repris sur "une liste d’officiers indésirables pour leur responsabilité ou leur complicité présumées dans de graves violations des droits de l’Homme", indique-t-on.
Dans une déclaration faite jeudi 12 février à la presse, le porte-parole de la Monusco, Charles Bambara, a annoncé que les Nations unies faisaient "une pause" dans leur soutien aux FARDC dans l’offensive contre les rebelles hutu rwandais ayant trouvé refuge dans les provinces du Kivu. 

Quarante-huit heures auparavant, un responsable des Nations unies à New York avait indiqué sous couvert d’anonymat que l’ONU avait suspendu temporairement son soutien. Motif : une controverse entre la Monusco et Kinshasa autour de la nomination de deux généraux que l’ONU accuse d’avoir un "passé chargé en termes de violations des droits de l’Homme". 
Selon cette source onusienne, les autorités congolaises avaient été invitées à remplacer ces officiers. "Joseph Kabila" a-t-il été ulcéré par l’ultimatum donné jusqu’au 13 février "sous peine de voir les Nations unies retirer leur soutien à l’opération"?
On le sait, réagissant le même jour à la déclaration du porte-parole de la Monusco, le "gouvernement congolais" avait opposé une fin de non recevoir. Au motif que les deux officiers sont présumés innocents pour n’avoir pas fait "l’objet d’une condamnation" par la justice militaire. 

La duplicité de "Joseph Kabila"

Depuis plusieurs années, "Joseph Kabila" joue au chat et à la souris avec la "communauté internationale" sur le sort à réserver aux rebelles Hutu rwandais refugiés dans les deux provinces du Kivu. Maître de Kigali, Paul Kagamé rechigne à accueillir ses compatriotes exilés. Ceux-ci sont collectivement accusés d’être des "génocidaires". 
"Joseph Kabila" est dans l’embarras. Il est tiraillé entre deux intérêts antinomiques. D’une part, le respect des injonctions données par son mentor Kagamé. De l’autre, une "dette morale" contractée auprès des combattants FDLR pour les "éminents services" rendus aux FARDC. "C’est une affaire rwando-rwandaise qui doit se régler au Rwanda", entend-on dire au sein de la population congolaise. 

Depuis plusieurs années, le "raïs" est à la recherche d’un "coin" pouvant accueillir les fugitifs rwandais. L’important est qu’ils soient éloignés des frontières du Rwanda. La ville de Kisangani (Province Orientale) et la localité d’Irebu (Equateur) ont ainsi été désignées pour ce faire. 
Avant Kisangani et Irebu, "Joseph Kabila" avait décidé de déporter un petit groupe des FDLR dans la province du Katanga. Une sorte de test. C’était en mai 2010. Cinquante-quatre éléments des FDLR et des membres de leurs familles - soit au total 164 personnes - avaient été transportés de Goma à Kisenge. Cette initiative pour le moins intempestive a été prise par un certain Daniel Mulunda Ngoy Nyanga. Celui-ci n’était à l’époque "que" président de l’association «Parec» (Programme national pour la paix et la reconstruction) et "conseiller spirituel" de "Joseph Kabila". Il s’était rendu au Nord Kivu dans le cadre la fameuse opération "armes contre 100 dollars". "Kabila" et Mulunda jaugeaient, sans doute, la capacité d’indignation de l’opinion congolaise. Personne n’avait réagit. A l’époque, Mende avait prétendu que «ce transfert fait partie d’un vaste programme du gouvernement congolais qui va aboutir au retour de ces FDLR dans leur pays d’origine». Un grossier mensonge.

Une année après, en juin 2011, à la demande de Paul Kagamé, «Joseph Kabila» a chargé le colonel belge Jean-Pierre Breyne de négocier avec les leaders Hutu des FDLR leur déportation au Maniema. Le Belge était assisté par Jean-Luc Kuye Ndondo, président de la mort-née Commission vérité et réconciliation, et de Père Minani. Les FDLR étaient représentés par le général Gaston Iyamuremye aka Ramuri. Les pourparlers se sont soldés par un cuisant échec.
En cause, les conditions posées par les FDLR : le versement d’un montant oscillant entre 250 000 et un millions $ US promis à Rome en 2005 ; des négociations directes entre Paul Kagame et la milice hutue et l’arrêt de toute attaque contre les miliciens. 
Depuis le 26 novembre dernier un premier groupe de nonante combattants hutus rwandais dits "repentis" ont été acheminés à Kisangani, ville située à 500 kilomètres des frontières du Rwanda. L’annonce a été faite en primeur par la Monusco. 
On se demande bien s’il faut en rire ou en pleurer lorsque "Joseph Kabila" lance aux diplomates venus le rencontrer dont le chef de la Monusco que l’opération de désarmement des FDLR " a bel et bien commencé" et "doit se poursuivre par les seules FARDC, qui ont déjà réussi à réduire le nombre des FDLR de plusieurs dizaines de milliers à un millier seulement"."



"RDC: Joseph Kabila hausse le ton face à la communauté internationale
Rolling Eyes  Rolling Eyes  Rolling Eyes  Rolling Eyes  Rolling Eyes  Rolling Eyes  Rolling Eyes  Rolling Eyes  Rolling Eyes  Rolling Eyes  Rolling Eyes  Rolling Eyes  Rolling Eyes
° http://www.rfi.fr/afrique/20150215-rdc-joseph-kabila-hausse-ton-face-communaute-internationale/
Convoqués à son bureau, le président congolais a annoncé à une vingtaine d’ambassadeurs de la communauté internationale, dont le chef de la mission de l’ONU en RDC, que son pays renonce à tout soutien des Nations unies pour mener une offensive armée contre les rebelles hutus rwandais FDLR. Joseph Kabila a également critiqué l’ingérence de la communauté internationale dans les affaires intérieures du pays.

Le ton de Joseph Kabila était poli, mais ferme. A en croire ceux qui étaient sur place, le climat n'était pas au dialogue mais à la mise au point. Convoqués à la présidence pendant près d’une heure, 18 ambassadeurs ont écouté le président congolais revenir essentiellement sur deux points.
Le premier, l’offensive contre les rebelles hutus rwandais. Officiellement lancée fin janvier, Joseph Kabila a annoncé « renoncer à tout appui de la Monusco pour mener cette opération contre les FDLR ». La raison ? Selon le porte-parole du gouvernement Lambert Mendé, Joseph Kabila a jugé « irrespectueux » que la mission de l’ONU en RDC demande le remplacement de deux généraux à la tête de l'opération anti-FDLR. Ni le président ni le gouvernement n'auraient été informés des accusations de violation des droits de l'homme qui pèse sur ces deux officiers.
Pas de réaction officielle de la Monusco, même si on précise que l'armée est toujours informée du statut de ses hommes, en termes de violations des droits de l'homme, puisque le tout est conditionné à un programme d'aide de l'ONU.

Mais pour certains le vrai problème est ailleurs. Refuser le soutien de l’ONU pourrait être une façon de ne pas engager de vraies opérations contre les FDLR. L’offensive lancée fin janvier, n’a pas vraiment démarrée sur le terrain.
Reste que la Monusco se retrouve dans une position délicate. Son mandat exige qu’elle neutralise les rebelles hutus rwandais, mais elle refusait jusqu’à présent de s’engager seule, sans l’armée congolaise, vu la complexité de l’opération.
Joseph Kabila a également critiqué la tendance de certaines ambassades de « s’ingérer dans les affaires intérieures du pays ». En mai dernier déjà, le président avait remonté les bretelles des ambassadeurs et demandé à ce qu’ils ne soient pas « des officines de l’opposition ».
S'il n'y a pas encore eu de réaction officielle, certains diplomates rappellent que la RDC, ayant accepté la présence et le mandat de la mission de l’ONU dans son pays, voit sa souveraineté forcément restreinte par le chapitre 7 de la charte onusienne.

Inquiétude et scepticisme à Goma 

A Goma, la capitale du Nord-Kivu, la question d'une possible offensive contre les FDLR sans le soutien de la Monusco fait partie des sujets de conversation. Il semblerait que beaucoup d'habitants doutent de la capacité de l'armée congolaise à agir seule.
Après plus de quinze années de présence en RDC la mission de l'ONU a toujours mauvaise presse à Goma. On lui reproche par exemple d'avoir « laissé le M23 prendre la ville en novembre 2012 », « de ne pas en faire assez pour protéger les Congolais ». Mais malgré ces critiques, beaucoup, comme Abdul, un étudiant, estiment que le soutien de la Monusco est nécessaire pour vaincre les FDLR : « Abandonner le soutien de la Monusco, c'est un risque. Les FARDC n'ont pas la discipline, on ne sait pas comment ils peuvent y arriver sans le soutien de la Monusco. On a toujours besoin de la Monusco pour la logistique, la politique, la stratégie. »

Un commerçant accuse même certains éléments de l'armée de collaboration avec la rébellion. « Sans la Monusco, moi je ne peux pas être d'accord. Les FDLR vivent dans des coins stratégiques, là où il y a beaucoup de minerais. Maintenant ils collaborent avec les commandants supérieurs des FARDC, ils ne peuvent pas se battre, ce sont des amis », estime-t-il.Un peu plus loin, néanmoins, cette femme de militaire assure que la décision de Kinshasa est bonne. Selon elle, la Monusco empêche les FARDC de passer à l'action. Beaucoup s'inquiètent pour les civils en zone FDLR. Et pour cet habitant, avec ou sans Monusco, cela ne fait aucune différence. « Dans toute attaque en arme, y a toujours mort d'homme,affirme-t-il. Ça ne sera pas seulement les FDLR qui peuvent être des victimes, mais les Congolais aussi. Même avec la présence de la Monusco, lorsqu'il y a attaque en arme, il y a toujours mort d'homme ». Il estime que l'action militaire n'est pas la solution et renvoie, comme beaucoup de Gomatraciens, la balle à Kigali qui refuse tout dialogue avec la rébellion."


"RDC : Kabila veut-il réellement lutter contre les FDLR ?"
° http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20150216084600/onu-politique-d-fense-joseph-kabila-nord-kivu-rdc-kabila-veut-il-r-ellement-lutter-contre-les-fdlr.html
Le gouvernement congolais a annoncé dimanche qu'il renonçait à l'aide des Nations unies dans son offensive annoncée contre les rebelles hutus rwandais actifs dans l'est de la République démocratique du Congo. Explications.

Kinshasa dit stop

"La République démocratique du Congo vient de renoncer à l'aide de la Monusco" (Mission des Nations unies pour la stabilisation en RDC), a déclaré dimanche 15 février le porte-parole du gouvernement congolais, Lambert Mende, sur la télévision publique nationale. "Le président a tenu à rappeler que la République démocratique du Congo était un État souverain", a ajouté Lambert  Mende.
L'annonce a été faite dimanche par le chef de l’État, Joseph Kabila, lors d'une réunion avec 18 ambassadeurs de plusieurs pays en RDC et le chef de la Monusco, Martin Kobler.
Pourquoi ce sursaut de nationalisme pour un gouvernement qui ne parvient pas à contrôler l'ensemble du territoire placé sous sa protection ? En fait, c'est aussi du côté de l'ONU que provient le blocage. Samedi, un haut responsable de l'ONU à New York avait déclaré que la Monusco avait "effectivement mis fin à son soutien aux FARDC" (Forces armées de la RDC). La raison : Kinshasa avait dépassé la date limite du 13 février qui lui avait été imposée pour remplacer deux généraux nommés fin janvier et avec lesquels la Monusco dit ne pas pouvoir travailler.

Deux généraux au cœur de la polémique

Les deux hommes au cœur de la discorde sont les généraux de brigade Bernard Mandefu, chef de l'opération Sokola 2 chargée de lutter contre les groupes armés dans le sud de la province du Nord-Kivu, et donc en premier lieu contre les Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), et le général Sikabwe Fall, chef de la région militaire du Nord-Kivu.
Avant d’être nommé à la 21e région militaire, le général Fall avait dirigé la zone opérationnelle de l’Ituri pendant plus de 4 ans. Il a notamment conduit les opérations militaires dénommées "Safisha [Nettoyez]" contre les miliciens de la Force de résistance patriotique de l’Ituri (FRPI).
L'ONU, qui ne peut travailler avec des personnes qu'elle suspectent de crimes de guerre ou contre l'humanité, les accuse de s'être rendus coupables par le passé de graves violations des droits de l'Homme. Mais elle n'a jamais voulu dire publiquement ce qu'elle leur reproche exactement, ce qui n'aidera pas à calmer les accusations de complicité au moins passive avec les FDLR qui visent l'ONU, essentiellement du côté de Kigali.

Complicités au sein des FARDC ?

Mais Kinshasa, qui tergiverse depuis des mois sur la question du désarmement des FDLR, est aussi soupçonné par les Rwandais de manipuler les FDLR. Alors que l'on attendait le lancement d'une offensive conjointe FARDC-Monusco contre les FDLR, Kabila a refusé de donner son aval à une telle opération et l'armée a annoncé le 29 janvier qu'elle allait passer seule à l'offensive, comptant cependant sur un soutien logistique, stratégique et opérationnel de la part de la Monusco. Pour expliquer cette décision de faire cavalier seul, des officiels congolais estiment que l'ONU avait à tort accusé Kinshasa d'être complice des FDLR.

>> Voir aussi l'interview vidéo de Charles Antoine Bambara : "Si les FDLR ne sont pas désarmés dans six mois, la force militaire sera utilisée"

Plusieurs diplomates et analystes doutent que Kinshasa ait réellement l’intention de désarmer par la force les FDLR, qui ne compteraient plus aujourd’hui qu'en environ 1 500 à 2 000 combattants disséminés essentiellement au Nord et au Sud-Kivu. L'offensive n'a toujours pas réellement démarrée sur le terrain, malgré les assertions de Kinshasa.
La milice qui n'a plus lancé d'offensive sérieuse contre le Rwanda depuis le début de la décennie 2000 est régulièrement accusée de crimes graves contre les populations civiles congolaises et de tirer ses ressources de trafics de minerais ou de bois dont les Kivus regorgent, avec la complicité locale de certains officiers congolais.
(Avec AFP)"


"RDC: à Goma, l’interminable attente d’une offensive contre les FDLR
° http://www.rfi.fr/afrique/20150215-rdc-goma-interminable-attente-une-offensive-contre-fdlr/
A Goma dans l'est de la République démocratique du Congo, on attend l'offensive contre les FDLR, ces rebelles hutus rwandais qui sévissent depuis 20 ans dans la région. Elle avait été annoncée le 29 janvier dernier par l'armée congolaise même si pour l'heure, aucune action n'a été engagée sur le terrain. La Monusco, qui devait participer puis soutenir l'opération, a déclaré retirer son appui après que Kinshasa a refusé de remplacer deux généraux controversés. En attendant, à Goma on oscille entre espoir, questionnement et scepticisme. Témoignages.

Assise devant sa poudre de savon dans le poussiéreux marché de Birere, Rosina est catégorique : il faut que les FDLR soient éradiqués. « J'ai de la famille dans le Rutshuru, en zone FDLR, et ils leur volent toutes leurs récoltes, témoigne-t-elle. Les populations souffrent tellement. » Comme beaucoup à Goma, elle ne comprend pas qu'immédiatement après la défaite du mouvement M23, des actions n'aient pas été prises contre cette autre rébellion.
Devant l'université de médecine Valentin, un étudiant est quant à lui dubitatif. « L'offensive... Peut-être oui, peut-être non. Car je crois que c'est difficile parce que les FDLR connaissent mieux la forêt que les FARDC [les soldats congolais, ndlr]. »
Un peu plus loin, Faustin vend des motos d'occasion. Lui estime que l'action militaire doit être accompagnée d'un dialogue entre le Rwanda et les FDLR, ce que Kigali refuse catégoriquement. Et surtout, il s'inquiète pour les populations civiles. « Si l'option militaire est maintenue, on peut même massacrer les populations congolaises car ils sont mélangés avec les Congolais, craint-il. Il n'y a pas moyen de repérer un FDLR d'un Congolais. »

Certains ne comprennent pas pourquoi la Monusco n'est pas partie prenante de l'offensive. Un habitant accuse le gouvernement congolais de traîner les pieds. Un autre se contente de lever les yeux au ciel, convaincu que certains enjeux le dépassent."


"Excavateur ! 
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=5348
Le désappointement. C’est le mot qui convient pour qualifier la rencontre d’hier, dimanche 15 février 2015, entre le Chef de l’Etat, Joseph Kabila, et 18 Ambassadeurs en poste à Kinshasa. Kabila a déploré le comportement de certains d’entre eux, en ce qu’ils développent des attitudes non respectueuses de la souveraineté du Congo. Parallèlement, Kabila a déclaré renoncer à toute aide de la Monusco dans les opérations de traque des FDLR. Il considère qu’il n’a pas d’injonction à recevoir lorsqu’il doit nommer des généraux, dont les deux incriminés par les Nations Unies. Pour quiconque a suivi Lambert Mende, Porte-parole du Gouvernement, le message du Raïs est clair et n’appelle aucun commentaire. Y a-t-il eu réplique ? Pas dans l’immédiat. Mais, au regard du développement de la situation politique au pays, il est à parier que le langage sera corsé.(...)" 


"Traques des FDLR : la RDC renonce à tout soutien de la Monusco"
° http://radiookapi.net/actualite/2015/02/16/traques-des-fdlr-la-rdc-renonce-tout-soutien-de-la-monusco/?utm_source=feednanga.com&utm_medium=referral&utm_campaign=Feednanga%20-%20Most%20shared%20links

"DANS UNE COMMUNICATION A DIX-SEPT AMBASSADEURS HIER AU PALAIS DE LA NATION
JOSEPH KABILA MET LE POINT SUR LES " I ""

° http://www.forumdesas.org/spip.php?article3390

"La RDC désormais seule face aux FDLR"
° http://www.lephareonline.net/la-rdc-desormais-seule-face-aux-fdlr/


° http://www.forumdesas.org/spip.php?article3372
° http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20150204153457/onu-rwanda-g-nocide-fdlrrdc-quoi-rime-l-inaction-de-la-monusco-contre-les-fdlr.html
° http://www.jeuneafrique.com/Article/JA2813p092-093.xml0/s-curit-fdlr-rdc-kivurdc-le-regroupement-des-fdlr-dans-l-est-un-vrai-casse-t-te.html





Compatriotiquement!


Dernière édition par ndonzwau le 16/2/2015, 10:24 pm, édité 3 fois

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FDLR, LA FIN DE L´ÈRE "AFDL"? - Page 2 Empty Re: FDLR, LA FIN DE L´ÈRE "AFDL"?

Message  Jim KK 16/2/2015, 8:22 pm

La Monusco peut mener ses propres opérations contre les groupes armés, estime Mende

http://radiookapi.net/actualite/2015/02/16/rdc-la-monusco-peut-mener-ses-propres-operations-contre-les-groupes-armes-estime-mende/

La Monusco peut mener seule ses propres opérations sans les Forces armées de la RDC contre tous les groupes armés qui écument le pays, a affirmé lundi 16 février le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende. « Cela fait partie de son mandat », a-t-il ajouté au cours d’une conférence de presse organisée à Kinshasa. Le chef de l’Etat, Joseph Kabila, a annoncé la veille que son pays renonçait à tout soutien de la Mission onusienne en RDC dans la traque contre les rebelles rwandais des FDLR. Une opération qui a été lancée le 29 janvier dernier.

« Nous avons un partenaire, la Monusco qui est avec nous. Il y a une gestion de cette opération de désarmement que nous voulions commune avec elle. Gestion que nous avons trouvée malencontreuse et en tout cas décrédibilisant pour la RDC et c’est ce qui a poussé le président de la RDC à dire : je renonce à cette collaboration pour le désarmement des FDLR », a déclaré Lambert Mende.

Le porte-parole du gouvernement a expliqué que cette décision ne concerne que la collaboration entre les FARDC et la Monusco dans les opérations contre les FDLR.

« N’allons pas plus loin, je pense que c’est ça la décision. Il ne s’agit pas d’autres opérations. Il ne s’agit pas d’autres tâches qui ont été confiées à cette mission et encore que la résolution du conseil de sécurité des Nations unies donne mandat à la mission onusienne de traquer, de désarmer les groupes armés avec ou sans les forces de défense et de sécurité de la RDC », a-t-il poursuivi.

Pour Lambert Mende, la Monusco peut désarmer ces groupes armés « si elle est vraiment venue pour ça ».

« Donc s’il y a une logique, puisque la RDC veut le faire sans [la Monusco], on devrait assister à une initiative de la Monusco, de désarmer aussi ces gens. Il y a moyen de faire [le désarmement] sans les FARDC si on est vraiment venu ici pour cela », a indiqué le porte-parole du gouvernement congolais.

La Monusco salue l’engagement de la RDC

La Monusco salue l’engagement ferme du gouvernement de la RDC à prendre seul en main la neutralisation des FDLR, tel que décidé hier par le chef de l’Etat Joseph Kabila. Le porte-parole intérimaire de la Mission onusienne, Charles Bambara, l’a déclaré lundi 16 février.

« Nous saluons l’engagement ferme du gouvernement à prendre en mains la neutralisation des FDLR. La Monusco de son côté continuera à collaborer étroitement avec le gouvernement congolais pour s’acquitter du mandat que lui a confié le conseil de sécurité », a affirmé Charles Bambara.

Selon lui, la Monusco devra continuer à appuyer les FARDC dans d’autres opérations militaires contre les forces négatives dans l’Est de la RDC.

« Le gouvernement par la voie du président a bien précisé que pour les opérations des FDLR, nous voulons mener cette opération seule. Mais pour les autres opérations et nous savons qu’il y a d’autres opérations toujours dans cette même province du Nord-Kivu, dans la zone de Beni, il y a aussi au Sud-Kivu, au Katanga et ailleurs », a ajouté Charles Bambara.

Pour lui, La Monusco va également continuer à assumer d’autres missions qui lui sont confiées par le conseil de sécurité au de-là des opérations de traque des FDLRS.

« Au-delà de ces opérations militaires, il y a d’autres missions transmises par le Conseil de sécurité à la Monusco autour des élections et à la bonne gouvernance. Nous allons continuer sur l’ensemble de ce chapitre main dans la main avec le gouvernement », a poursuivi Charles Bambara.

Jim KK


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FDLR, LA FIN DE L´ÈRE "AFDL"? - Page 2 Empty Re: FDLR, LA FIN DE L´ÈRE "AFDL"?

Message  GHOST 17/2/2015, 11:05 pm

What a Face What a Face "PIEGE DANS UN PIEGE", FIN DU MANDAT DE LA "BRIGADE AFRICAINE" What a Face

S´il ya un autre facteur dans ce bras de fer entre Kanambe et l´ONU Rolling Eyes Rolling Eyes c´est le mandat de la Brigade Africaine Razz

Ce que ni Museveni, ni surtout Kagame ne souhaitent voir les Sudaf, Tanzaniens et Malawites..sejourner au Kivu non loin de leurs frontières et même avec cette "brigade" de 3000 hommes qui possedent un niveau de "technologie militaire" très en avance sur les armées du Rwanda et de Ouganda mis ensemble Like a Star @ heaven Like a Star @ heaven Ce que l´Afrique du Sud possede une technologie militaire large..avec des propres drones, ses hélico de combat possedant des missiles capables de detruire des chars..et un système d´artillerie d´une classe mondiale What a Face


Ainsi Embarassed on se demande si Kanambe en refusant subitement la participation de l´ONU dans l´offensive contre les FDLR.. ne prepare pas en réalité...un autre plan?

Ce que le mandat de la Brigade Africaine doit-être renouvelé au mois de mars (dans quelques semaines Embarassed What a Face )...et en refusant la participation de cette Brigade qui possede un mandat "offensif"...les stratèges de Kanambe..posent en réalité les conditions du non-renouvellement du mandat What a Face Like a Star @ heaven Exclamation
En effet, cette Brigade Africaine..ne faisant pas grand chose...le gouvernement congolais va facilement demander que les Sudaf, Tanzaniens et Malawites quittent le Kivu dès fin mars 2015 What a Face ..y compris une "reduction" sensible du reste de 2000 hommes de la MONUC


Ceci est la face "stratégique" du refus de Kanambe What a Face What a Face qui bientôt sera capable d´exiger que l´ONU retire les plus performants des militaires deployés au Kivu..et vous connaissez la suite? Idea Embarassed Quand la Brigade Africaine quitte le Kivu Rolling Eyes , il n´ya plus rien pour faire peur á Kagame et Museveni Twisted Evil


BRAS DE FER?
Nous avons annoncé la fin de l´ère "AFDL" Like a Star @ heaven la dernière partie de l´existence de cette "association" se joue maintenant...Attendons le mois de mars..pour voir dans quel sens se dirige le vent...Si la Brigade Africaine reste, alors la fin de l´AFDL ne sera qu´une question des mois..Tandis que si la Brigade Africaine quitte le Congo... Like a Star @ heaven l´AFDL va continuer son existence..

WAIT AND SEE
GHOST
GHOST


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FDLR, LA FIN DE L´ÈRE "AFDL"? - Page 2 Empty Re: FDLR, LA FIN DE L´ÈRE "AFDL"?

Message  ndonzwau 18/2/2015, 1:22 am

Troll a écrit:PIEGE DANS UN PIEGE", FIN DU MANDAT DE LA "BRIGADE AFRICAINE" What a Face

S´il ya un autre facteur dans ce bras de fer entre Kanambe et l´ONU Rolling Eyes Rolling Eyes c´est le mandat de la Brigade Africaine Razz

Ce que ni Museveni, ni surtout Kagame ne souhaitent voir les Sudaf, Tanzaniens et Malawites..sejourner au Kivu non loin de leurs frontières et même avec cette "brigade" de 3000 hommes qui possedent un niveau de "technologie militaire" très en avance sur les armées du Rwanda et de  Ouganda mis ensemble Like a Star @ heaven Like a Star @ heaven  Ce que l´Afrique du Sud possede une technologie militaire large..avec des propres drones, ses hélico de combat possedant des missiles capables de detruire des chars..et un système d´artillerie  d´une classe mondiale What a Face


Ainsi Embarassed on se demande si Kanambe en refusant subitement la participation de l´ONU dans l´offensive contre les FDLR.. ne prepare pas en réalité...un autre plan?

Ce que le mandat de la Brigade Africaine doit-être renouvelé au mois de mars (dans quelques semaines Embarassed What a Face )...et en refusant la participation de cette Brigade qui possede un mandat "offensif"...les stratèges de Kanambe..posent en réalité les conditions du non-renouvellement du mandat What a Face Like a Star @ heaven Exclamation
En effet, cette Brigade Africaine..ne faisant pas grand chose...le gouvernement congolais va facilement demander que les Sudaf, Tanzaniens et Malawites quittent le Kivu dès fin mars 2015 What a Face ..y compris une "reduction" sensible du reste de 2000 hommes de la MONUC


Ceci est la face "stratégique" du refus de Kanambe What a Face What a Face qui bientôt sera capable d´exiger que l´ONU retire les plus performants des militaires deployés au Kivu..et vous connaissez la suite? Idea Embarassed  Quand la Brigade Africaine quitte le Kivu Rolling Eyes , il n´ya plus rien pour faire peur á Kagame et Museveni Twisted Evil


BRAS DE FER?
Nous avons annoncé la fin de l´ère  "AFDL" Like a Star @ heaven la dernière partie de l´existence de cette "association" se joue maintenant...Attendons le mois de mars..pour voir dans quel sens se dirige le vent...Si la Brigade Africaine reste, alors la fin de l´AFDL ne sera qu´une question des mois..Tandis que si la Brigade Africaine quitte le Congo... Like a Star @ heaven l´AFDL va continuer son existence..

WAIT AND SEE

C'est curieux, Mister Troll, je me préparais juste à évoquer le même soupçon !
Ce que depuis que "JK" tenait à tout prix à empêcher la participation de la Monusco dans la "guerre" contre les FDLR, je cherchais à en trouver le mobile profond car je voyais bien qu'il y'avait anguille sous roche...

Je m'imaginais bien des raisons invisibles au delà de la simple duplicité du régime, cacher et préserver ses propres complicités avec les FDLR et en même temps se conformer aux intérêts de son parrain rwandais qui en a fait le prétexte légitime de ses prétentions sur l'Est du Congo, je voyais d'autres raisons comme cacher une organisation illégale commune entre "JK", les rwandais et les FDLR jusqu'à ce qu'un article du "Phare" (voir infra) me remette à l'esprit l'analogie du scénario avec l'épisode Ntanganda (voir ci-dessous)... Du coup m'est apparue cette explication surtout que le Rwanda a agité l'indolence des Sudaf et Tanzaniens : si il ne le faisait pour les excommunier et ainsi donner des arguments à les écarter, me suis-je dit ?
(Entre-temps Braeckman nous précise ci-dessous un appoint au bénéfice ponctuel que les hiérarques militaires Congolais auront à tirer d'une opération sans Monusco : le "retour individuel en investissement public où une partie de l’argent envoyé au Kivu va être ramené à Kinshasa dans leurs poches"…)

Exactement, ce que vous indiquer ici, cher Troll : je crains en effet que les ennemis du Congo, d'abord le Rwanda et l'Ouganda, n'aient fait pression sur "JK" pour qu'il écarte la Monusco et en l'occurrence sa Brigade Africaine qu'ils auront ainsi discréditée, qui est la première chargée d'opérer dans toutes ses missions spéciales !
Bref, comme vous je crains que le bras de fer Kanambe-Monusco ait comme cible sa force active, la Brigade Africaine et en cela du côté du régime, commandité par ses parrains et soutiens que sont le Rwanda et l'Ouganda !
J'ai en effet eu à l'affirmer plus d'une fois ici : là dessus je suis sur la ligne de Ngbanda selon laquelle c'est Kagame qui est derrière Kanambe et davantage dans le sens que ce sont moins les pauvres faucons pprdiens qui déterminent et poussent sa résistance effrénée contre l'opinion que ses soutiens rwandais (et ougandais)...

Attendons voir la suite qui nous révélera si le Congo est bien déterminé à en finir avec les FDLR comme il se doit, non en dix ans comme le dit légèrement notre perroquet national mais très rapidement comme l'exige la gestion responsable du pays qui nécessite d'en finir sans tarder avec la tragédie récurrente que vit l'Est !  


"RDC: quelle suite pour les opérations contre les FDLR?
° http://www.rfi.fr/afrique/20150216-rdc-offensive-armee-contre-fdlr-monusco/
En République démocratique du Congo (RDC), après l’annonce du président Joseph Kabila, ce lundi 16 février, selon laquelle son pays renonce à tout soutien des Nations unies pour mener une offensive armée contre les rebelles hutus rwandais FDLR, se pose désormais la question de savoir quelle sera la suite des opérations armées contre ces Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR).

Kinshasa promet de poursuivre son offensive contre les FDLR et ce, même si les contours de l’opération restent flous. Venir à bout de cette rébellion pourrait prendre « entre un mois et dix ans », estime le porte-parole du gouvernement. Lambert Mendé rappelle par ailleurs que si l’armée congolaise compte lutter seule contre les rebelles hutus rwandais, rien n’empêche les casques bleus de la Mission de l’Onu au Congo (Monusco) de faire de même, vu leur mandat.
« Puisque la RDC veut le faire sans [les Nations unies], on devrait assister à une initiative de la Monusco de désarmer aussi ces gens sans les FARDC [Forces Armées de la République démocratique du Congo] puisqu’ils sont sur un territoire assez large. Ce sont quand même deux provinces. Il y a moyen de le faire sans les FARDC, si on est vraiment venu pour cela c’est à dire traquer, désarmer les groupes armés », a déclaré Lambert Mendé.

Du côté de la Monusco, on botte en touche. Selon Charles Bambara, son porte-parole, c’est au Conseil de sécurité à New York de décider de la suite des opérations. « Le mandat que nous avons reçu est un mandat du Conseil de sécurité qui inclut effectivement des opérations conjointes ou unilatérales vis-à-vis des FDLR. Nous attendons donc des directions et nous répondrons présents une fois que le Conseil de sécurité se sera prononcé », a déclaré Charles Bambara.
Sans conteste, l’opération anti-FDLR s’annonce compliquée. La rébellion est présente depuis plus de vingt ans dans l’est du Congo, et sur le terrain, aucune offensive n’a encore été observée."


"Bras de fer entre les Nations unies et Kinshasa à propos du désarmement des FDLR
° http://blog.lesoir.be/colette-braeckman/2015/02/17/bras-de-fer-entre-les-nations-unies-et-kinshasa-a-propos-du-desarmement-des-fdlr/
L’armée congolaise devra combattre seule les rebelles hutus
Goma,
Le désarmement des rebelles hutus sévissant depuis vingt ans dans les forêts congolaises s’avérait une opération militaire difficile. Six semaines après la fin de l’ultimatum qui leur avait été adressé, « Sokola2 » (nom donné à l’offensive qui semblait imminente) commence par un désastre politique : une quasi-rupture entre la Monusco et le pouvoir congolais, qui se traduit par une suspension de la coopération d’un côté et de l’autre par une « déclaration de souveraineté », adressée par le président Kabila lui-même à vingt ambassadeurs convoqués à sa résidence : « nous ne sommes pas sous un pays sous la tutelle de l’ONU »…
Pour comprendre la gravité de l’incident, il faut se rappeler que c’ est en 1994 qu’affluèrent au Kivu des milliers de miliciens et militaires hutus, auteurs du génocide au Rwanda, protégés par l’opération française Turquoise et le Haut Commissariat aux réfugiés de l’ONU. Depuis lors, plus d’un million et demi de ces Hutus, civils et militaires, ont regagné le Rwanda mais dans les forêts du Kivu subsiste le dernier carré des irréductibles, quelque 2000 hommes en armes entourés de leur famille et de leurs alliés ou otages congolais. Malgré la cohabitation obligée, ces Rwandais sont honnis par les populations locales, qui les rendent responsables des pires atrocités, entre autres à l’encontre des femmes. L’organisation politico- militaire qui les représente, les Forces démocratiques pour la libération du Rwanda, exige toujours un « dialogue interwandais », refusé par Kigali.

La présence de ces Hutus encore imprégnés de l’idéologie du génocide a été à l’origine des deux guerres subies par le Congo. Elle a donné prétexte à de multiples interventions rwandaises, par groupes rebelles interposés (le dernier en date étant le M23 vaincu en novembre 2013) et, last but not least, elle fut la principale raison du déploiement au Congo d’une force des Nations unies qui, depuis 2002 représente la plus importante et la plus coûteuse des opérations de paix (1,5 millions de dollars par an). En 2013, l’un des principaux points des accords de paix d’Addis Abeba, ratifiés par tous les pays de la région, fut le désarmement et le rapatriement au Rwanda de ce «dernier carré » des FDLR, une opération jugée prioritaire mais qui mit deux ans à se concrétiser.
En principe, cette opération aurait du être menée par les forces armées congolaises, assistées des Casques bleus de la Monusco et surtout de ses contingents tanzanien et sud africain, que Kigali, en froid avec Dar es Salam et Pretoria, soupçonne de soutenir ses opposants…
C’est le 29 janvier dernier que la crise de confiance a éclaté : le chef d’état major congolais le général Etumba a annoncé que ses forces opéreraient seules. En réalité, même si les soldats congolais devront se porter en première ligne (débusquer les FDLR dans les forêts, les extraire des villages où, confondus avec les civils, ils se dissimulent, parfois même dotés d’uniformes locaux) les Congolais comptaient sur les forces onusiennes pour la planification des opérations et surtout pour leur logistique : transport de troupes, distribution des rations alimentaires, renseignement grâce aux drônes…

Or ce soutien, que beaucoup jugent indispensable, est désormais suspendu : le QG de l’ONU à New York a jugé qu’ il était impossible que les Casques bleus collaborent avec des troupes placées sous les ordres de deux généraux congolais placés à la tête des opérations et figurant sur une « liste rouge » Bruno Mandevu et Sikaye Fall, tous deux accusés d’avoir couvert des crimes de guerre dans l’Ituri.
Pour leur part, les autorités congolaises assurent que ces deux hommes n’ont jamais été condamnés au Congo, que la « liste rouge » ne leur a jamais été communiquée, que ces deux généraux sont réputés pour leur bonne connaissance du terrain et surtout qu’il n’appartient pas à des forces extérieures d’interférer dans la hiérarchie nationale.
Mais les Nations unies, visiblement, tiennent à appliquer le principe de vigilance (due diligence) interdisant à ses troupes de travailler avec des militaires accusés de violations des droits de l’homme et elles se trouvent sous la pression d’organisations telles que Human Rights Watch, qui serait prête à dégaîner un rapport déjà rédigé.

Reste à savoir si placer deux officiers contestés à la tête d’une opération difficile et politiquement explosive n’a pas été le prétexte que beaucoup attendaient : les Nations unies, incapables depuis vingt ans d’agir concrètement contre un groupe qui justifie leur présence dans la région, avaient elles réellement envie de trouver une solution définitive ? Quant aux Congolais, qui ont souvent collaboré avec ces groupes hutus, soit sur le plan militaire soit dans le commerce des minerais, ont-ils vraiment le désir et les moyens de défaire leurs anciens alliés ? En outre, à un an des élections, le pouvoir craint, non sans raison, les risques de représailles à l’encontre des populations civiles..
A cela s’ajoute le fait que la pérennisation de la guerre au Kivu arrange beaucoup de monde : déclarant que 30.000 hommes sont en opération et n’en alignant que la moitié, la haute hiérarchie militaire s’octroie des bénéfices substantiels et des primes spéciales qui permettent de fructueuses « Opération retour » où une partie de l’argent envoyé au Kivu peut être ramené à Kinshasa…"



"TRAQUE DES FDLR : BRAS-DE-FER ENTRE KINSHASA ET L’ONU, Une nouvelle affaire Bosco Ntaganda !
° http://www.lephareonline.net/traque-des-fdlr-bras-de-fer-entre-kinshasa-et-lonu-une-nouvelle-affaire-bosco-ntaganda/
C’est presque à un jeu de ping-pong que l’on assiste depuis le week-end dernier entre le Gouvernement de la République Démocratique du Congo et la Monusco au sujet de l’affaire de la traque des Fdlr. Aussitôt que la force onusienne en RDC déclarait avoir suspendu son assistance aux FARDC dans ces opérations de traque contre les FDLR, Kinshasa répliquait par la voix la plus autorisée pour rappeler à l’ordre les ambassadeurs des puissances occidentales accréditées en RDC au sujet des principes fondamentaux de la souveraineté internationale et de la non-ingérence dans les affaires intérieures d’un Etat tiers. Sur un ton ferme et sans appel, le président Joseph Kabila venait de renoncer le plus officiellement du monde au soutien de la Monusco dans les opérations de désarmement forcé des FDLR déclenchées officiellement le jeudi 29 janvier dernier.

La goutte qui a fait déborder le vase et que Kinshasa n’a pas apprécié serait la réclamation faite par la Monusco de voir deux généraux, à savoir Bruno Mandevu et Fall Sikabwe écartés de la chaine de commandement des troupes engagées dans ces opérations de traque contre les FDLR pour avoir été impliqués dans des violations des droits de l’homme dans les territoires de l’Est. A ce sujet, des lettres portant la signature de Martin Köbler, le représentant spécial du Secrétaire général des Nations-Unies, avaient été adressées aux plus hautes autorités politiques du pays. Afin que nul n’en ignore, a-t-on dit.

Elément de stabilisation de la paix à l’Est

La toute première crise entre Kinshasa et la communauté internationale remonte au mois de mars 2009 lors des cérémonies d’intégration des éléments du CNDP dans les FARDC qui se déroulaient à Bunagana, une localité de Rutshuru juste aux frontières entre l’Ouganda, le Rwanda et la RDC. Dès la présentation du général de brigade Bosco Ntaganda, tous les représentants des puissances occidentales et des Nations-Unies quittèrent la tribune des invités de marque en signe de protestation contre la présence de cet officier recherché par un mandat d’arrêt de la Cour Pénale Internationale. Les cérémonies se poursuivirent sous le commandement du patriarche Charles Mwando Nsimba alors vice-premier ministre en charge de la Défense entouré des principaux généraux de l’Etat-Major général des FARDC, du ministre Raymond Tshibanda de la Coopération Internationale et Régionale, du Gouverneur Julien Paluku de la Province du Nord-Kivu et d’autres officiels de Kinshasa.
Pour rappel, Bosco Ntaganda avait été récupéré par Kinshasa à la suite de l’accord de Paix signé à l’issue des négociations Amani Leo à Goma en 2009 pour mettre fin à la guerre entre le CNDP de L. Nkunda et les FARDC. Bosco Ntaganda réintégra après les FARDC avec le grade de général de brigade.

Approché à ce sujet, les autorités congolaises indiquèrent que le général de brigade Bosco Ntaganda constituait une garantie pour la stabilisation de la Paix dans cette partie du territoire congolais. Elles évoquèrent aussi le principe de la souveraineté de la RDC et condamnerent l’ingérence dans les affaires internes de notre pays. Pratiquement la même rhétorique que Joseph Kabila vient d’administrer aux ambassadeurs de ces puissances occidentales au sujet de la demande formulée par la Monusco de voir écartés les généraux de brigade Fall Sikabwe et Bruno Mandevu de la chaiîne de commandement des troupes des FARDC engagées dans les opérations de traque contre les FDLR.

La thèse de la stabilisation de la paix dans la province du Nord Kivu tomba en désuétude lorsque le même homme s’afficha comme chef suprême du M23. Bien avant, Bosco Ntaganda fut mêlé à un trafic illicite et illégal des matières précieuses. Notamment la vente de 450 Kgrs d’Or à des hommes d’affaires nigérians au prix de six millions de dollars Us.
Après la débâcle du M23, la Cour Pénale Internationale lança un autre mandat d’arrêt à charge de cet homme en indiquant qu’il était né au Rwanda des parents rwandais. Probablement traqué et craignant pour sa vie, il parvint à se réfugier à l’Ambassade des USA à Kigali qui le livra à la CPI. Où il est en détention préventive en attendant l’ouverture de son procès. Voilà autant d’éléments de similitude avec le cas de ces deux officiers généraux de brigade indésirables.

Pour de nombreux observateurs, l’armée congolaise compte plus de 150 généraux. Faut-il hypothéquer les chances d’une paix durable dans le pays et la sous-région la paix à cause de deux généraux ? En tout état de cause, Kinshasa se trouve à présent devant un terrible challenge : ne pas échouer dans la traque des rebelles rwandais dont la présence sur le territoire national permet à Kigali de justifier ses agressions répétitives contre la RDCongo, le pillage ininterrompu de nos ressources et le massacre insoutenable des populations de l’Est. Dans la question sous examen, ce qui est en jeu c’est l’intérêt supérieur de la Nation. L’avenir nous dira si la solution choisie préservé celui-ci."



"FARDC – MONUSCO : à qui profite la rupture ?
(La Tempête des Tropiques 17/02/15)

° http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/fardc-monusco-qui-profite-la-rupture#sthash.q46umV1B.dpuf
En tout pas à la population locale du Nord-Kivu qui commençait à souffler après la mise en déroute des rebelles du M23 grâce à l’appui logistique important de la Monusco. En cas d’échec de la traque des FDLR, Kinshasa en assumera donc l’entière responsabilité.

Recevant le week-end dernier 18 Ambassadeurs occidentaux accompagnés du patron de la Monusco, Martin Kobler à la présidence de la République, le Président Kabila a déclaré sans mâcher les mots qu’il ne voulait plus entendre parler de la Monusco dans l’offensive censée démarrée depuis le 29 janvier dernier contre les rebelles FDLR qui sèment la désolation dans les territoires occupés du Kivu.

Par cette décision exprimée par le Chef de l’Etat, congolais, on croit savoir que les carottes sont bel et bien cuites. Le climat n’est plus au beau fixe entre les autorités actuelles de la RDC et la Monusco.
Monusco, la mission onusienne est passée à la Monusco dont la principale mission est d’assurer Ia stabilité en RDC, mettre le holà, rétablir l’ordre et la paix principalement dans les parties sous contrôle des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR).

Le divorce apparemment consommé entre les deux parties était prévisible depuis un certain temps. Secret de polichinelle, les rapports entre les deux parties évoluaient â dents de scie et ne cessaient de se détérioraient. La méfiance a atteint l’an dernier le paroxysme avec le renvoie manu millipore et un négocié du bureau conjoint des Nations Unies aux droits de l’homme, Scott Campbell déclaré persona non grata en
RDC.

Plus d’une fois, l’organe des Nations Unies pour la stabilité et le maintien de la paix en RDC était critiquée fortement par la population Kivutienne qui l’accusait de passivité voire de complicité avec les seigneurs de guerre en avril dernier constitue une illustration parfaite.

Intransigeance de part et d’autre

Aujourd’hui, la Monusco pose une condition pour accompagner les FARDC dans l’offensive contre les FDLR. Elle demande au gouvernement congolais d’annuler la nomination des deux généraux dans les zones à conflits au Kivu à Beni particulièrement. Les deux officiers étant épinglés par la Monusco comme étant coupables des violations des droits de l’homme.
La RDC par la voie du président Kabila refuse de s’incliner à cette demande: La Monusco ne veut pas transiger pour plus. En définitive, les FARDC iront seules au front contre les FDLR. Pour quel résultat ? Attendons voir. Certaines réalités font déjà croire que la guerre qui n’en finit pas risque encore d’être longue et populaire tant que les FARDC ne seront pas dotées des moyens nécessaires pour ce faire la principale victime serait encore et toujours la population locale qui pourrait en payer le prix.
Quelques voix accusent certains responsables des FARDC de collaborer avec les rebelles rwandais des FDLR.

Ces appréhensions ne peuvent être démenties que par le résultat que le FADC obtiendront sur le terrain dans la traque des FDLR et autres forces négatives.
En attendant, l’opinion a toutes les raisons de se demander à qui profiter ce divorce désormais consommé ? Tant mieux si les FARDC réussissaient à relever le défis sur le terrain.
Dans le cas contraire, les conséquences seraient encore plus graves, au risque de donner libre 4cours à la balkanisation au pays. ici, le danger est à craindre dans la mesure où les rescapés des M23 pourraient combattre désormais dans les rangs des FDLR d’où ils émanent du reste.
En ce qui la concerne, la population du Kivu ne jure que pour la paix. La paix à retrouver synonyme de l’anéantissement des FDLR coupables de toute sorte d’exactions des crimes, vols, viols et qui endeuillent la population locale.
Au regard des préjudices subis par la population locale, le gouvernement congolais a tout intérêt à pactiser même avec le diable, fut-il la Monusco, pour autant que cela peut aboutir au résultat escompté. Dans le cas, il vaudrait mieux lâcher du lest.
Il est vrai que les FARDC disposent des capacités d’une puissance de feu inestimable pour inquiéter l’ennemi. Néanmoins, dans toute guerre, l’apport des alliés est toujours souhaité. Même la nation la plus puissante au monde, les Etats-Unis, pour ne pas les citer, recourent parfois aux alliés quand ils sont engagés dans des conflits armés."



"TRAQUE DES FDLR SANS LA MONUSCO : LES RAISONS DE LA DÉCISION DE KINSHASA"
° http://www.forumdesas.org/spip.php?article3401

"Traque contre les Fdlr. L. Mende reste ferme : « Il n’y a pas de raison pour que la Rdc ne s’assume pas »"
° http://www.groupelavenir.org/spip.php?article3306

"Mende: la traque des rebelles rwandais pourrait prendre "un mois, un an, 10 ans""
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=9685


° http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/traque-contre-les-fdlr-l-mende-reste-ferme-il-ny-pas-de-raison-pour-que-la-rdc-ne-sassume
° http://radiookapi.net/actualite/2015/02/16/rdc-la-monusco-peut-mener-ses-propres-operations-contre-les-groupes-armes-estime-mende/




Compatriotiquement!

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FDLR, LA FIN DE L´ÈRE "AFDL"? - Page 2 Empty Re: FDLR, LA FIN DE L´ÈRE "AFDL"?

Message  Jim KK 18/2/2015, 9:37 am

Le numéro deux de la force militaire de la Monusco le général Bayaud, adjoint au commandant de la force de la Monusco au Nord Kivu "critique"  la décision prise à New York de suspendre la collaboration avec l´armée congolaise. Nous remarquons qu´au sein même de la Monusco il n y a pas l´unanimité. La Monusco ou bien l´ONU doit clarifier sa décision. Une décision dont les contours ne sont pas nets.


http://blog.lesoir.be/colette-braeckman/

Pourquoi la Monusco a-t-elle décidé de suspendre sa collaboration avec l’armée congolaise ?

C’est une décision qui a été prise à New York et je ne veux pas m’étendre sur ce sujet.
Je tiens simplement à rappeler que, dans les opérations contre le M23, nous avions mené des opérations conjointes avec les forces armées congolaises et je n’ai pas eu d’exemple de violations flagrantes des droits de l‘homme.
Par an, je fais 350 heures de vol par hélicoptère au dessus du Congo…Par notre proximité sur le terrain, nous pouvons veiller à la bonne tenue des troupes. Je peux témoigner du fait que, dans toute la chaîne de commandement des FARDC, on prend au sérieux le respect des droits de l’homme car la réussite des opérations en dépend. Bien se comporter, cela fait partie des directives opérationnelles…Encore faut-il que les formateurs sur les questions des droits de l’homme arrivent à temps, ce qui n’est pas toujours le cas.
Les FARDC savent d’où ils viennent et mesurent ce qui reste à faire. Même s’il reste encore quelques ADF (forces démocratiques unies, un mouvement venu d’Ouganda) et FDLR, (Forces démocratiques pour la libération du Rwanda) les derniers groupes armés sont des Congolais. Il ne s’agît donc pas d’un ennemi extérieur et on ne peut pas traiter n’importe comment des adversaires issus de la population. C’est cela le problème à Beni et dans le Masisi: beaucoup de groupes sont communautaires et on ne peut pas braquer la population.
En outre, même si on peut critiquer la formule du « brassage » qui prévaut au sein de l’armée congolaise, il faut se rappeler qu’elle doit, en son propre sein, tenir compte des équilibres ethniques dans la désignation des chefs.
Il faut aussi recréer une chaîne de commandement unique, ce qui amène quelquefois à écarter des éléments de valeur au profit d’autres officiers, mais c’est une réalité dont il faut tenir compte. On ne peut pas faire de procès d’intention au commandement des FARDC…

Etiez vous prêts pour entamer les opérations contre les FDLR ?

Sur le terrain, on n’a jamais été aussi près d’entamer une opération contre les FDLR et on est pratiquement sûr d’atteindre des résultats. C’est le 29 janvier que le général Etumba avait annoncé que les forces armées congolaises étaient prêtes à mener les opérations seules…Mais la Monusco aurait pu apporter un soutien logistique important, en matière de transport, de nourriture etc…
Depuis la victoire contre les rebelles tutsis du M23 il est clair que ce sont les Congolais qui entendent prendre la direction des opérations et nous n’avons aucun problème à travailler avec les FARDC…
Le contexte ici est bien meilleur qu’au Darfour, au Sud Soudan en Somalie et même au Liban…
En plus la population congolaise sait très bien ce qu’elle veut : elle souhaite que les groupes soient désarmés et elle manifeste contre nous chaque fois qu’elle nous juge inefficaces…

Quelle est la pire situation actuellement au Congo ?

La situation à Beni est la plus préoccupante : les ADF, qui se réclament de la religion musulmane, enlèvent des jeunes filles, pratiquent des mariages forcés.
Pour nous il s’agît d’un combat à mort avec ces gens totalement fanatisés. Nous n’avons pas d’autre solution qu’employer la force face à ces criminels. Le problème, c’est qu’ils ont avec eux des femmes et des enfants, emmenés de force. On se retrouve face à des gamins, c’est très dur. En outre la situation des civils qui sont sous leur contrôle est lamentable, les combattants sont entourés de centaines de civils, ce qui empêche d’employer l’artillerie. Parmi eux il y a aussi beaucoup de Nande de la région de Beni…J’ai vu des enfants sortir de la brousse, mourant de faim…
Les FARDC ont payé un lourd tribut dans ces opérations se sont comportés avec beaucoup de courage. Des milliers d’hommes opéraient dans la forêt dans des conditions épouvantables du point de vue logistique. Ils ont obtenu des résultats vraiment impressionnants mais pas définitifs. Les dernières poches de résistance n’ont pas été détruites. En outre depuis octobre, les massacres ont commencé, faisant des centaines de morts…
Ce groupe veut punir les civils qui, jusqu’alors étaient leurs alliés, les empêcher de les dénoncer…

Les opérations contre les FDLR (Forces démocratiques pour la libération du Rwanda) seront-elles aussi difficiles que celles contre les ADF ?

Il y a une action militaire à mener, mais c’est plus compliqué. Certains membres des FDLR sont mariés à des Congolais, ils se confondent avec la population…Il s’agît d’un adversaire qui possède une structure militaire, ses positions se trouvent à proximité des zones habitées, entourées de beaucoup de civils.
Le désarmement volontaire n’ a rien donné et maintenant les Congolais doivent agir. Il faut frapper la structure militaire des FDLR, c’est un objectif prioritaire. Mais comment faire avec ceux qui vont se cacher au sein de la population ? Je crois que les Congolais, très sincèrement, veulent se séparer des FDLR, mais que ce ne sera pas facile…


Jim KK en RFA

Jim KK


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FDLR, LA FIN DE L´ÈRE "AFDL"? - Page 2 Empty Re: FDLR, LA FIN DE L´ÈRE "AFDL"?

Message  ndonzwau 18/2/2015, 8:57 pm

Il est excessif et un poil inexact de conclure trop rapidement à la lecture des propos du responsable de la Monusco à une opposition de principe entre lui et sa direction à New York !
En effet lorsqu'on examine de plus près ses réponses on y lit davantage une valorisation de l'action sur le terrain dont il est le garant plutôt qu'une dénonciation de Manhattan !
On le voit d'ailleurs davantage dans le verbatim de la Conférence de presse hebdomadaire de la Monusco d'aujourd'hui où le porte-parole tait exprès le désaccord sur la traque des FDLR pour s'étendre sur les actions qui marchent où la coopération avec les FARDC est attestée !

D'ailleurs le général Bayaud y va si fort dans ce sens qu'il prend des libertés condamnables avec la vérité notamment en prétendant qu'aujourd'hui seuls les Congolais sont concernés dans les groupes armés de l'Est alors que tout le monde sait qu'on y trouve une bonne part d'étrangers à commencer par les FDLR et le M23 qui sont les plus meurtriers ! De plus, il n'y a pas loin de lui trouver une bonne dose de "rwandophilie" !
En pratique, l'enjeu va s'orienter vers la recherche d'un compromis entre l'ONU et le Gouvernement; le mandat de la Monusco lui interdit quelque part de rester durablement indifférente à l'éradication des FDLR que sa présence au Congo justifie largement...

Ailleurs la réalité d'un groupe substantiel des FDLR est contestée par de nombreux observaturs, il semble bien que seul un petit noyau qui d'ailleurs continue à se déliter tient; beaucoup des FDLR auraient accepté de déposer les armes et prêts à se déplacer et même à rentrer au Rwanda pour peu qu'on leur offre des garanties de sécurité; sans compter ceux qui se sont complètement liés aux autochtones...


° http://blog.lesoir.be/colette-braeckman/2015/02/17/le-numero-deux-de-la-force-militaire-de-la-monusco-a-propos-de-sokola-2/
° http://radiookapi.net/files/Verbatim-de-la-Conf%C3%A9rece-de-presse-ONE-UN-du-Mercredi-18-F%C3%A9vrier-2015-FINAL.pdf

Jim KK a écrit: Le numéro deux de la force militaire de la Monusco le général Bayaud, adjoint au commandant de la force de la Monusco au Nord Kivu "critique"  la décision prise à New York de suspendre la collaboration avec l´armée congolaise. Nous remarquons qu´au sein même de la Monusco il n y a pas l´unanimité. La Monusco ou bien l´ONU doit clarifier sa décision. Une décision dont les contours ne sont pas nets.


http://blog.lesoir.be/colette-braeckman/

Pourquoi la Monusco a-t-elle décidé de suspendre sa collaboration avec l’armée congolaise ?
C’est une décision qui a été prise à New York et je ne veux pas m’étendre sur ce sujet.
Je tiens simplement à rappeler que, dans les opérations contre le M23, nous avions mené des opérations conjointes avec les forces armées congolaises et je n’ai pas eu d’exemple de violations flagrantes des droits de l‘homme.

Par an, je fais 350 heures de vol par hélicoptère au dessus du Congo…Par notre proximité sur le terrain, nous pouvons veiller à la bonne tenue des troupes. Je peux témoigner du fait que, dans toute la chaîne de commandement des FARDC, on prend au sérieux le respect des droits de l’homme car la réussite des opérations en dépend. Bien se comporter, cela fait partie des directives opérationnelles…Encore faut-il que les formateurs sur les questions des droits de l’homme arrivent à temps, ce qui n’est pas toujours le cas.
Les FARDC savent d’où ils viennent et mesurent ce qui reste à faire. Même s’il reste encore quelques ADF (forces démocratiques unies, un mouvement venu d’Ouganda) et FDLR, (Forces démocratiques pour la libération du Rwanda) les derniers groupes armés sont des Congolais. Il ne s’agît donc pas d’un ennemi extérieur et on ne peut pas traiter n’importe comment des adversaires issus de la population. C’est cela le problème à Beni et dans le Masisi: beaucoup de groupes sont communautaires et on ne peut pas braquer la population.
En outre, même si on peut critiquer la formule du « brassage » qui prévaut au sein de l’armée congolaise, il faut se rappeler qu’elle doit, en son propre sein, tenir compte des équilibres ethniques dans la désignation des chefs.
Il faut aussi recréer une chaîne de commandement unique, ce qui amène quelquefois à écarter des éléments de valeur au profit d’autres officiers, mais c’est une réalité dont il faut tenir compte. On ne peut pas faire de procès d’intention au commandement des FARDC…


Etiez vous prêts pour entamer les opérations contre les FDLR ?
Sur le terrain, on n’a jamais été aussi près d’entamer une opération contre les FDLR et on est pratiquement sûr d’atteindre des résultats. C’est le 29 janvier que le général Etumba avait annoncé que les forces armées congolaises étaient prêtes à mener les opérations seules…Mais la Monusco aurait pu apporter un soutien logistique important, en matière de transport, de nourriture etc…
Depuis la victoire contre les rebelles tutsis du M23 il est clair que ce sont les Congolais qui entendent prendre la direction des opérations et nous n’avons aucun problème à travailler avec les FARDC…
Le contexte ici est bien meilleur qu’au Darfour, au Sud Soudan en Somalie et même au Liban…
En plus la population congolaise sait très bien ce qu’elle veut : elle souhaite que les groupes soient désarmés et elle manifeste contre nous chaque fois qu’elle nous juge inefficaces…

Quelle est la pire situation actuellement au Congo ?
La situation à Beni est la plus préoccupante : les ADF, qui se réclament de la religion musulmane, enlèvent des jeunes filles, pratiquent des mariages forcés.
Pour nous il s’agît d’un combat à mort avec ces gens totalement fanatisés. Nous n’avons pas d’autre solution qu’employer la force face à ces criminels. Le problème, c’est qu’ils ont avec eux des femmes et des enfants, emmenés de force. On se retrouve face à des gamins, c’est très dur. En outre la situation des civils qui sont sous leur contrôle est lamentable, les combattants sont entourés de centaines de civils, ce qui empêche d’employer l’artillerie. Parmi eux il y a aussi beaucoup de Nande de la région de Beni…J’ai vu des enfants sortir de la brousse, mourant de faim…
Les FARDC ont payé un lourd tribut dans ces opérations se sont comportés avec beaucoup de courage. Des milliers d’hommes opéraient dans la forêt dans des conditions épouvantables du point de vue logistique. Ils ont obtenu des résultats vraiment impressionnants mais pas définitifs. Les dernières poches de résistance n’ont pas été détruites. En outre depuis octobre, les massacres ont commencé, faisant des centaines de morts…
Ce groupe veut punir les civils qui, jusqu’alors étaient leurs alliés, les empêcher de les dénoncer…

Les opérations contre les FDLR (Forces démocratiques pour la libération du Rwanda) seront-elles aussi difficiles que celles contre les ADF ?
Il y a une action militaire à mener, mais c’est plus compliqué. Certains membres des FDLR sont mariés à des Congolais, ils se confondent avec la population…Il s’agît d’un adversaire qui possède une structure militaire, ses positions se trouvent à proximité des zones habitées, entourées de beaucoup de civils.
Le désarmement volontaire n’ a rien donné et maintenant les Congolais doivent agir. Il faut frapper la structure militaire des FDLR, c’est un objectif prioritaire. Mais comment faire avec ceux qui vont se cacher au sein de la population ? Je crois que les Congolais, très sincèrement, veulent se séparer des FDLR, mais que ce ne sera pas facile…


Jim KK en RFA

"RDC: quelle suite pour les opérations contre les FDLR?
° http://www.rfi.fr/afrique/20150216-rdc-offensive-armee-contre-fdlr-monusco/
En République démocratique du Congo (RDC), après l’annonce du président Joseph Kabila, ce lundi 16 février, selon laquelle son pays renonce à tout soutien des Nations unies pour mener une offensive armée contre les rebelles hutus rwandais FDLR, se pose désormais la question de savoir quelle sera la suite des opérations armées contre ces Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR).

Kinshasa promet de poursuivre son offensive contre les FDLR et ce, même si les contours de l’opération restent flous. Venir à bout de cette rébellion pourrait prendre « entre un mois et dix ans », estime le porte-parole du gouvernement. Lambert Mendé rappelle par ailleurs que si l’armée congolaise compte lutter seule contre les rebelles hutus rwandais, rien n’empêche les casques bleus de la Mission de l’Onu au Congo (Monusco) de faire de même, vu leur mandat.
« Puisque la RDC veut le faire sans [les Nations unies], on devrait assister à une initiative de la Monusco de désarmer aussi ces gens sans les FARDC [Forces Armées de la République démocratique du Congo] puisqu’ils sont sur un territoire assez large. Ce sont quand même deux provinces. Il y a moyen de le faire sans les FARDC, si on est vraiment venu pour cela c’est à dire traquer, désarmer les groupes armés », a déclaré Lambert Mendé.

Du côté de la Monusco, on botte en touche. Selon Charles Bambara, son porte-parole, c’est au Conseil de sécurité à New York de décider de la suite des opérations. « Le mandat que nous avons reçu est un mandat du Conseil de sécurité qui inclut effectivement des opérations conjointes ou unilatérales vis-à-vis des FDLR. Nous attendons donc des directions et nous répondrons présents une fois que le Conseil de sécurité se sera prononcé », a déclaré Charles Bambara.
Sans conteste, l’opération anti-FDLR s’annonce compliquée. La rébellion est présente depuis plus de vingt ans dans l’est du Congo, et sur le terrain, aucune offensive n’a encore été observée."


"L’opération Sokola 2 contre les FDLR : Quand le bluff tactique tourne au ridicule "
° http://desc-wondo.org/loperation-sokola-2-contre-les-fdlr-quand-le-bluff-tactique-tourne-au-ridicule-jj-wondo/

"RDC : recherche de compromis entre Joseph Kabila et la Monusco"
° http://www.lemonde.fr/afrique/article/2015/02/18/rdc-recherche-de-compromis-entre-joseph-kabila-et-la-monusco_4578918_3212.html#mSOZpu5BYSfrKh1m.99

"SOUVERAINETÉ ET INGÉRENCE…"
° http://forumdesas.org/spip.php?article3415

"18 02 15 Le Vif du Congo - l’ONU est à l’origine de l’installation durable des FDLR en RDC"
Rolling Eyes  Rolling Eyes  Rolling Eyes  Rolling Eyes  Rolling Eyes  Rolling Eyes  Rolling Eyes  Rolling Eyes  Rolling Eyes  Rolling Eyes  Rolling Eyes  Rolling Eyes  Rolling Eyes
° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=200795&Actualiteit=selected


° https://www.google.fr/webhp?sourceid=chrome-instant&rlz=1C1AVNC_enFR607FR607&ion=1&espv=2&ie=UTF-8#q=france%2024%20rdc-%20opposition%20%3atourner%20la%20page%20tshisekedi
° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=200783&Actualiteit=selected
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=5367
° http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/traque-des-rebelles-rwandais-une-ong-demande-la-rdc-de-collaborer-avec-lonu
° http://forumdesas.org/spip.php?article3400
° http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/des-centaines-delements-fdlr-deja-desarmes-par-les-fardc-sans-lappui-de-la-monusco
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=5353
° http://www.lalibre.be/actu/international/la-monusco-au-congo-jusqu-en-2035-54de458335700d75228f881b




Compatriotiquement!

ndonzwau


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Message  GHOST 23/2/2015, 6:32 pm

Rolling Eyes REYNDERS...QUI MARCHE SUR LES OEUFS

Quand le ministre des AE Belge...conseille au gouvernement congolais...de se "reconcilier" avec la MONUSCO..et de l´associer á l´offensive contre les FDLR Surprised Surprised

Pire, l´un des ministres qui accompagne Reynders Razz un "flammand" n´hésite pas á dire tout haut que les congolais doivent devenir les acteurs du "changement"...il critique ouvertement...ou vertement les massacres des manifestants, la coupe d´Internet et du téléphone.. Shocked (lire sur le site du journal Le Soir⭐ )

La Belgique á deux vitesses.. ce que la position "commune" de l´UE place la Belgique dans une position incomfortable..quand c´est l´UE qui va financer les élections, les Belges..sont limités et ne peuvent pas faire face á la RFA, Grande Bretagne ou la France...qui seraient en faveur de l´alternance Twisted Evil
GHOST
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