LA PLANIFICATION DE LA FRAUDE ÉLECTORALE !!! ON N'EN PARLE PAS ENCORE ASSEZ, C'EST POURTANT UN SUJET PRIORITAIRE DU PAYS !
Page 1 sur 1
LA PLANIFICATION DE LA FRAUDE ÉLECTORALE !!! ON N'EN PARLE PAS ENCORE ASSEZ, C'EST POURTANT UN SUJET PRIORITAIRE DU PAYS !
LA PLANIFICATION DE LA FRAUDE ÉLECTORALE !!! ON N'EN PARLE PAS ENCORE ASSEZ, C'EST POURTANT UN SUJET PRIORITAIRE DU PAYS !
Les partis de Katumbi, Fayulu, Matata, le PPRD et d'autres partis comme personnalités de l'opposition et des mouvements citoyens s'en sont plus d'une fois l'écho et Ensemble pour la République est allé jusqu'à accuser Tshisekedi auprès du Conseil de Tshisekedi dont les représentants ont séjourné en RDC, exigeant des sanctions contre lui. Le régime Tshisekedi s'est offert « une CENI et une Cour constitutionnelle soumises à sa volonté de fraude électorale et des résultats arrangés d’avance », tranche le SG d'Ensemble pour la République auprès des représentants du CS....
Il leur a aussi fait remarquer le projet d'un glissement qu'il récuse et dont des négociations entre la présidence de la République de la RDC et le M23 auraient déjà traité eu en cachette à Nairobi, à l’insu du Parlement, et étaient assorties des promesses. Par conséquent, dit-il, le non-respect des engagements débouchant sur les regrettables dérapages actuels ne devrait pas servir d’alibi au report des élections et à la poursuite d’une gestion irresponsable de la RDC.
Ces membres du CS n'ont pas manqué de leur côté d'encourager un processus électoral crédible, transparent.
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Les partis de Katumbi, Fayulu, Matata, le PPRD et d'autres partis comme personnalités de l'opposition et des mouvements citoyens s'en sont plus d'une fois l'écho et Ensemble pour la République est allé jusqu'à accuser Tshisekedi auprès du Conseil de Tshisekedi dont les représentants ont séjourné en RDC, exigeant des sanctions contre lui. Le régime Tshisekedi s'est offert « une CENI et une Cour constitutionnelle soumises à sa volonté de fraude électorale et des résultats arrangés d’avance », tranche le SG d'Ensemble pour la République auprès des représentants du CS....
Il leur a aussi fait remarquer le projet d'un glissement qu'il récuse et dont des négociations entre la présidence de la République de la RDC et le M23 auraient déjà traité eu en cachette à Nairobi, à l’insu du Parlement, et étaient assorties des promesses. Par conséquent, dit-il, le non-respect des engagements débouchant sur les regrettables dérapages actuels ne devrait pas servir d’alibi au report des élections et à la poursuite d’une gestion irresponsable de la RDC.
Ces membres du CS n'ont pas manqué de leur côté d'encourager un processus électoral crédible, transparent.
"Planification de la fraude électorale : à l’ONU, le parti de Katumbi charge Tshisekedi et exige des sanctions - 13.03.2023
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-118935_planification_de_la_fraude_electorale_a_l_onu_le_parti_de_katumbi_charge_tshisekedi_et_exige_des_sanctions.html
« Quel qu’en soit le prix, la durée constitutionnelle des mandats électifs n’est pas une question négociable », tranche Ensemble pour la République, qui accuse, auprès du Conseil de sécurité de l’ONU, le régime Tshisekedi de s’être offert « une CENI et une Cour constitutionnelle soumises à sa volonté de fraude électorale et des résultats arrangés d’avance »
Le secrétaire général d’Ensemble pour la République, Dieudonné Bolengetenge a été parmi les personnalités de l’opposition reçues par la délégation du Conseil de sécurité de l’ONU à Kinshasa. Dans son intervention, le proche collaborateur du présidentiable Moïse Katumbi, a fait observer aux diplomates onusiens « que la planification de la fraude électorale par le président Tshisekedi et sa famille politique est en cours ».
« Cette planification a commencé bien en amont de ce que nous voyons présentement. La culpabilisation de la Monusco par des propos de certaines autorités institutionnelles telles que le président du Sénat, honorable Modeste Bahati Lukwebo et certains ministres de la République qui ont incité la population à méconnaitre le travail des Nations unies en RDC et exiger le retrait de la Monusco pour éviter tout témoin gênant de la communauté internationale sur ces élections qu’ils veulent frauduleuses et chaotiques. Faudrait-il y ajouter que ces responsables n’ont pas été interpellés, ni blâmés ou sanctionnés au pays », a-t-il expliqué.
Pas de glissement du calendrier électoral
Ensemble pour la République a insisté sur la tenue des élections dans les délais constitutionnels. Pour cette formation politique, il est hors de question que le régime Tshisekedi se serve de la crise sécuritaire pour reporter les scrutins prévus en décembre 2023.
« Quant au fantôme de glissement du calendrier électoral qui plane de nouveau sur le ciel congolais, eu égard aux déclarations du Président de la République et du président de la CENI, Ensemble pour la République ne soutient pas ce schéma et n’envisage pas d’accorder une minute de plus à ceux qui étaient hier des fervents défenseurs du strict respect de la Constitution et s’évertuent aujourd’hui de manière tacite à reproduire au peuple congolais, le triste schéma de la dernière partie du mandat du régime Kabila », prévient Bolengetenge.
Dans la foulée, il a fait remarquer aux membres du Conseil de sécurité que des négociations entre la présidence de la République de la RDC et le M23 avaient déjà eu lieu en cachette à Nairobi, à l’insu du Parlement, et étaient assorties des promesses. Par conséquent, dit-il, le non-respect des engagements débouchant sur les regrettables dérapages actuels ne devrait pas servir d’alibi au report des élections et à la poursuite d’une gestion irresponsable de la RDC.
Il faut un consensus sous la houlette de l’ONU
Le parti de Katumbi a rappelé que de « mauvaises élections produisent de mauvais dirigeants ; les mauvais dirigeants poursuivent ou aggravent la mauvaise gouvernance qui conforte la misère de la population ; cette misère et le désespoir qui l’accompagnent motivent des situations de violences urbaines et intercommunautaires et, fertilisent des terreaux de recrutement des groupes armés qui sèment massacres et désolation ».
Pour éviter le chaos, Ensemble pour la République a soulevé l’obligation d’organiser un processus électoral libre, inclusif et crédible, et de respecter la volonté du peuple congolais à travers les urnes.
« Devant la mauvaise foi du pouvoir en place qui s’est offert une CENI et une Cour constitutionnelle soumises à sa volonté de fraude électorale et des résultats arrangés d’avance, Ensemble pour la République recommande comme voie de sortie de crise une évaluation sans complaisance du processus en cours, sous la houlette des Nations unies, pour un consensus sur des questions essentielles de toutes les parties prenantes à ces élections », a-t-il proposé.
Aussi, a-t-il souhaité que le registre des sanctions fortes et dissuasives de la Communauté internationale soit ouverte pour s’abattre sur tous les protagonistes qui veulent faire dérailler la compétition électorale vers l’aggravation des situations d’instabilité et de violences en RDC et dans la sous-région africaine.
Les Katumbistes muselés
Selon Dieudonné Bolengetenge, il y a des faits avérés confirmant le mauvais climat politique entretenu, susceptibles de compromettre la tenue des élections dans des conditions apaisées.
« Les attaques à répétition de nos militants et des installations des sièges de notre organisation politique, tant en province qu’ici dans la capitale ; le refus, en date du 07 février 2023, d’autoriser le survol et l’atterrissage de l’avion du président Moise Katumbi en partance pour Moba ; le 17 février 2023, des brigands munis d’armes blanches ont attaqué les militants et cadres de notre organisation politique lors de l’enrôlement à Kindu de Monsieur Salomon Idi Kalonda Della, Haut-cadre de notre parti, causant mort d’homme et une centaine de blessés graves ; et cette situation s’est répétée hier 09 mars 2023 à Kananga au Kasaï-Central ; la confiscation injustifiée par les services de sécurité (ANR) à l’aéroport de N’djili depuis le 16 février dernier des matériels de visibilité de Ensemble pour la République déjà dédouanés », a-t-il déploré.
Le parti de Moïse Katumbi s’est aussi inquiété de l’aveu tacite de proximité et de complicité de la CENI avec des personnes proches du pouvoir détenant, par devers elles, du matériel, des bulletins d’enregistrement et des cartes d’électeurs vierges, des cas flagrants et scandaleux confirmés par la CENI et qui défraient la chronique.
"Lubumbashi : Christian Mwando appelle la population à la vigilance sur le processus électoral - 14/03/2023
= https://www.radiookapi.net/2023/03/14/actualite/politique/lubumbashi-christian-mwando-appelle-la-population-la-vigilance-sur-le
Christian Mwando, haut représentant de Moise Katumbi, président du parti politique Ensemble, a appelé, lundi 13 mars, la population à la vigilance jusqu’à la fin du processus électoral.
Au cours d’une conférence de presse à Lubumbashi, Christian Mwando a estimé que « le processus électoral en cours est biaisé ».
Pour lui, le processus d’identification et d’enrôlement des électeurs tel qu’il est mené n’augure rien de bon.
Christian Mwando a cité en exemple, le fait qu’on aurait retrouvé des kits d’enrôlements dans un véhicule privé accidenté
« Il a fallu un accident de circulation routière pour qu’on se rende compte qu’il y a des gens qui ont des kits d’enrôlements dans leurs véhicules privés. Kadima peut nous dire combien des kits il a avait ? Combien ont été distribués ? qui fait l’enrôlement et qui ne le fait pas » ?
Il ajoute un deuxième exemple, celui de la corruption au niveau des centres d’enrôlements.
« Nos populations se plaignent, il était avant question de payer 5 000 franc congolais pour se faire enrôler ; avec les 10 jours qui restent, on arrive à 20 000 francs congolais pour se faire enrôler. Nous avons des doutes très sérieux sur le processus électoral », a-t-il noté.
Malgré cela, « il est hors de question que son parti puisse se désengager de ce processus ». Raison pour laquelle, il demande à la population « d’être vigilante jusqu’à la fin pour éviter toute tricherie », a précisé le haut représentant de Moise Katumbi.
Christian Mwando a aussi abordé la situation socioéconomique de la province du Haut-Katanga.
« Le prix de la principale denrée alimentaire qu’est la farine de maïs n’est plus à la portée de toutes les bourses. Un sac de 25 kg se négocie jusqu’à 75.000 francs congolais », a indiqué cet acteur politique.
Il attribue cette hausse de prix « au manque de vision des dirigeants de la province ».
"RDC: "Notre message sera d'encourager un processus électoral crédible, transparent", Xavier Biang, ambassadeur du Gabon au Conseil de sécurité - 10 mars 2023
= https://actualite.cd/2023/03/10/rdc-notre-message-sera-dencourager-un-processus-electoral-credible-transparent-xavier
Les membres du Conseil de sécurité des Nations Unies sont à Kinshasa pour évaluer avec les autorités congolaises la situation sécuritaire et la mise en œuvre du mandat de la Monusco conformément à la résolution 2666 (2022) du Conseil de Sécurité de l'ONU. Xavier Biang, représentant permanent du Gabon au Conseil de sécurité dit que des questions relatives aux élections attendues cette année seront également à l’ordre du jour.Selon le calendrier électoral de la CENI, la présidentielle, les législatives nationales et provinciales, ainsi que l’élection des conseillers communaux sont fixées le 20 décembre 2023. Actuellement, la CENI recense les électeurs au pays et dans cinq pays étrangers (USA, Canada, Belgique, Afrique du Sud et France). Près de 50 millions d'électeurs sont attendus."Nous arrivons dans une année qui sera une année électorale. Notre message sera d'encourager les acteurs politiques de s'engager dans un processus d'élection transparente, crédible conformément à la constitution congolaise et à la loi électorale", a indiqué le diplomate gabonais.
"RDC: des mouvements citoyens s'inquiètent du processus électoral - 25 janvier 2023
= https://actualite.cd/2023/01/25/rdc-des-mouvements-citoyens-sinquietent-du-processus-electoral
Des mouvements citoyens congolais ont estimé mardi à Kinshasa que le processus électoral en vue de la présidentielle du 20 décembre était "très mal engagé", en disant craindre des fraudes et un "déni de démocratie".
Les opérations d'identification et d'"enrôlement" des électeurs ont commencé le 24 décembre dernier, dans dix des 26 provinces congolaises.
Depuis, seulement 37% des personnes attendues ont pu se faire enregistrer, selon la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), qui a prolongé de 25 jours l'opération qui était censée s'achever lundi dans ces régions.
Ces opérations doivent avoir lieu d'ici la mi-mars dans l'ensemble du pays, ainsi que pour les Congolais de la diaspora.
Le processus électoral "est très mal engagé", ont estimé des organisations réunies au sein d'une plateforme dénommée "Vigilance citoyenne électorale" (Vigiciel)."Tout se passe comme si on voulait imposer à notre peuple un chantage inadmissible : soit des élections désastreuses dans les délais constitutionnels, ou des élections crédibles mais aux calendes grecques", a-t-il ajouté."La Ceni a délibérément hypothéqué la qualité de l’enrôlement des électeurs (...), le décor d’un chaos électoral est en train d’être mis en place", s'est inquiété devant la presse Hervé Diakese, coordonnateur de la plateforme.
Pour limiter le risque de fraude, selon elle, la plateforme Vigiciel a appelé cinq pays (France, Belgique, Afrique du Sud, Etats-Unis et Canada) à rendre public le nombre des ressortissants de la RDC résidant sur leurs territoires et devant être inscrits sur les listes électorales.
Cela permettra "d’éviter des disparités entre le nombre exact des Congolais résidents et des enrôlements aux chiffres faramineux susceptibles d’être présentés", a déclaré M. Diakese.En RDC, la présidentielle est une élection à un seul tour, couplée aux législatives ainsi qu'aux élections des députés provinciaux et des conseillers communaux. Le président Félix Tshisekedi, au pouvoir depuis janvier 2019, a l'intention de se représenter."Ne pas le faire, c’est se rendre complice d’une fraude des listes électorales et de déni de démocratie", a-t-il ajouté.
AFP avec ACTUALITE.CD
"Elections 2023 en RDC: " empêcher Katumbi d'être candidat, c'est une entreprise que nous ne conseillons pas à ceux qui sont tentés de le faire " (Dieudonné Bolengetenge) - 13 janvier 2023
= https://actualite.cd/2023/01/13/elections-2023-en-rdc-empecher-katumbi-detre-candidat-cest-une-entreprise-que-nous-ne
"RDC : l’Assemblée nationale prépare une fraude électorale « à grande échelle », dénonce Delly Sessanga - 22/05/2022
= https://www.radiookapi.net/2022/05/22/actualite/politique/rdc-lassemblee-nationale-prepare-une-fraude-electorale-grande-echelle
" RDC : « La loi électorale consacre le tripatouillage et la fraude » - 18 mai 2022
= https://www.jeuneafrique.com/1347109/politique/rdc-la-loi-electorale-consacre-le-tripatouillage-et-la-fraude/
Les députés congolais ont examiné la proposition de loi électorale, et le texte qu’ils ont retenu est bien loin de celui qu’avait proposé le G13, qui espérait des garanties en matière de transparence. Résultat, explique l’un de ses membres, le député Claudel André Lubaya, le groupe ne reconnaît aucune de ses dispositions et se dit très préoccupé par la suite du processus....
"RDC : Élection ou pas, Félix Tshisekedi doit faire ses valises le 23 janvier 2024 (Martin Fayulu) - 6 mars 2023
= https://linterview.cd/rdc-election-ou-pas-felix-tshisekedi-doit-faire-ses-valises-le-23-janvier-2024-martin-fayulu/
"Rentrée parlementaire de mars : une session de tous les enjeux - mars 13, 2023
= https://acpcongo.com/index.php/2023/03/13/rentree-parlementaire-de-mars-une-session-de-tous-les-enjeux/
"La Prospérité : « Elections 2023 : Fayulu, Matata et Mukwege plantent le décor de la contestation ! » - 27/12/2022
= https://www.radiookapi.net/2022/12/27/actualite/revue-de-presse/la-prosperite-elections-2023-fayulu-matata-et-mukwege-plantent
"Présidentielle 2023 en RDC: Denis Mukwege n’exclut pas sa candidature - 14.12.2022
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-114888_presidentielle_2023_en_rdc_denis_mukwege_n_exclut_pas_sa_candidature.html
"RDC: en cas de la non tenue des élections dans le délai, Fayulu préconise une transition gérée par la société civile sans les politiques y compris Félix Tshisekedi - 11 mars 2023
= https://actualite.cd/2023/03/11/rdc-en-cas-de-la-non-tenue-des-elections-dans-le-delai-fayulu-preconise-une-transition
"Matata au Conseil de sécurité de l’ONU: " l'actuel processus électoral est catastrophique, monstrueux et il faut s’attendre à rien" - 11 mars 2023
= https://actualite.cd/2023/03/11/matata-au-conseil-de-securite-de-lonu-lactuel-processus-electoral-est-catastrophique
"RDC: auprès du Conseil de sécurité de l’ONU, Fayulu a évoqué la vérité des urnes et demandé le retrait du M23 et l’ADF par le Rwanda et l’Ouganda ainsi que le renforcement du mandat de la Monusco - 11 mars 2023
= https://actualite.cd/2023/03/11/rdc-aupres-du-conseil-de-securite-de-lonu-fayulu-evoque-la-verite-des-urnes-et-demande
"Enrôlement des électeurs : engouement à 4 jours de la fin de l’opération dans l’Est de la RDC - 13/03/2023
= https://www.radiookapi.net/2023/03/13/actualite/politique/enrolement-des-electeurs-engouement-4-jours-de-la-fin-de-loperation
= https://afrique.lalibre.be/75956/rdc-scrutin-la-cenco-et-lecc-tirent-la-sonnette-dalarme/
"Elections 2023 en RDC : le peuple congolais n’acceptera aucun glissement ni fraude (LAMUKA) - 25:08:2021
= https://www.infosgrandslacs.info/productions/elections-2023-en-rdc-le-peuple-congolais-nacceptera-aucun-glissement-ni-fraude-lamuka
"Élections en RDC 2023 : un bilan de la situation - 16/08/2022
= https://www.alternatives.ca/stages-blogue/elections-en-rdc-2023-un-bilan-de-la-situation/
"ECONEWS: « Elections en 2023 : forte pression sur Denis Kadima » - 29/08/2022
= https://www.radiookapi.net/2022/08/29/actualite/revue-de-presse/econews-elections-en-2023-forte-pression-sur-denis-kadima
"Présidentielle de 2023 en RD Congo : "il faut que dès à présent tout le monde soit mobilisé pour ces élections" - 20:07:2021
= https://information.tv5monde.com/video/presidentielle-de-2023-en-rd-congo-il-faut-que-des-present-tout-le-monde-soit-mobilise-pour
= https://www.congoindependant.com/presidentielle-2023-moise-nargue-fatshi/
= https://www.adiac-congo.com/content/elections-2023-moise-katumbi-insiste-sur-le-respect-du-delai-constitutionnel-141719
= https://www.digitalcongo.net/article/620b69894527460015c7a0c8/
= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20230107-rdc-incertitudes-sur-la-participation-du-pprd-aux-%C3%A9lections-de-d%C3%A9cembre-2023
= https://afrikarabia.com/wordpress/rdc-le-parcours-seme-dembuches-vers-les-elections-de-2023/
= https://www.radiookapi.net/2021/10/17/actualite/politique/rdc-lamuka-denonce-le-debauchage-et-le-clientelisme-dans
= https://www.agenceafrique.com/36274-rdc-presidentielle-2023-un-sondage-americain-donne-felix-tshisekedi-favori-pour-un-second-mandat.html
= https://africacenter.org/fr/spotlight/les-elections-de-2023-en-afrique-face-aux-epreuves-la-resilience-democratique/
= https://afrikarabia.com/wordpress/rdc-une-annee-2023-electorale-sur-fond-de-crise-securitaire/
"RDC: un report des élections en 2024? L'opposant Martin Fayulu ne dit pas non, mais… -27:10:2022"
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: LA PLANIFICATION DE LA FRAUDE ÉLECTORALE !!! ON N'EN PARLE PAS ENCORE ASSEZ, C'EST POURTANT UN SUJET PRIORITAIRE DU PAYS !
Dans une interview à Top Congo (infra) le traître Nangaa ancien patron de la Ceni devenu politiciens qui en sait donc quelque chose sur la tricherie à la Ceni répond que les chiffres des enrôlés donnés par Kadima sont faux ; qu'il nous donne les chiffres de tel bureau, de telle région, de telle aire et son 'lukuta' apparaitra tout cru. Il faut helas croire les paroles de Nanga...
Le regrettable ici est que devant cette tricherie planifiée par le pouvoir les Congolais patriotes, politiques, société civile et population n'ont pas sous le coude des moyens disponibles pour la contrer, l’État de droit étant aux abonnés absents, la Cour constitutionnelle, la Ceni, la Banque centrale sont sous les ordres des faussaires, la loi électorale est unilatérale non consensuelle, la loi sur la répartition des sièges sera d'autant bricolée..., peuvent-ils user de la force pour se faire entendre ? Les tentatives d'accommodements et dispositifs présentés comme rassurants par la Ceni et le pouvoir derrière elle ne résistent pas à l’œil avisé du bon observateur. Les prétendus 70% d'enrôlés sont donc une fabrication de Kadima pour imposer des résultats tous préparés...
Plus cocasse, c'est le vice- président de la Ceni qui défie Nangaa en le comparant à un Kadima qui aurait fait ses preuves ailleurs. Mais où donc et quelles sont ces preuves ? Nous avons bien des faits et sa mauvaise foi à reprocher à Nanga mais on ne va pas enfumer si gratuitement les Congolais ; ceux qui connaissent Kadima savent ses liens familiaux et politiques (membre de l'Udps) avec Tshisekedi et le creux de ses actions...
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Le regrettable ici est que devant cette tricherie planifiée par le pouvoir les Congolais patriotes, politiques, société civile et population n'ont pas sous le coude des moyens disponibles pour la contrer, l’État de droit étant aux abonnés absents, la Cour constitutionnelle, la Ceni, la Banque centrale sont sous les ordres des faussaires, la loi électorale est unilatérale non consensuelle, la loi sur la répartition des sièges sera d'autant bricolée..., peuvent-ils user de la force pour se faire entendre ? Les tentatives d'accommodements et dispositifs présentés comme rassurants par la Ceni et le pouvoir derrière elle ne résistent pas à l’œil avisé du bon observateur. Les prétendus 70% d'enrôlés sont donc une fabrication de Kadima pour imposer des résultats tous préparés...
Plus cocasse, c'est le vice- président de la Ceni qui défie Nangaa en le comparant à un Kadima qui aurait fait ses preuves ailleurs. Mais où donc et quelles sont ces preuves ? Nous avons bien des faits et sa mauvaise foi à reprocher à Nanga mais on ne va pas enfumer si gratuitement les Congolais ; ceux qui connaissent Kadima savent ses liens familiaux et politiques (membre de l'Udps) avec Tshisekedi et le creux de ses actions...
"CENI: 34. 444.251 électeurs déjà enrôlés, soit 70 % d’électeurs attendus -
14.03.2023
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-118992_ceni_34_444_251_electeurs_deja_enroles_soit_70_d_electeurs_attendus.html
Lors de sa conférence de presse de ce mardi 14 mars, Didi Manara ,deuxième vice-président de la CENI, a indiqué que 34. 444. 251 électeurs se sont déjà fait enrôler, soit 70 % des 49. 382.552 électeurs attendus dans le trois aires opérationnelles. Il a également fait savoir que 30 jours au plus tard avant la campagne électorale, la CENI publiera la liste définitive des électeurs par centre de vote, avec indication du bureau de vote. En outre, a-t-il fait ajouté, la liste sera affichée, pour consultation,au bureau de l’antenne de la CENi, au plus tard quinze jours avant le scrutin.
" Dans ces conditions, comment peut-on, à ce stade, qualifier ces chiffres de faux, si ce n'est par mauvaise foi et dans une intention de discréditer le processus électoral en cours et qui, au regard de nombreux observateurs , enregistre des performances inégalables, en termes de délais et de nombre d'électeurs enrôlés, en comparaison avec tous les 3 derniers cycles électoraux ", a déclaré Didi Manara.
Par ailleurs, le deuxième vice-président de la CENI a déclaré que les statistiques diffèrent des données des électeurs. Les statistiques,a-t-il expliqué, découlent des indications tirées du monitoring des opérations, alors que les données découlent de la consolidation et du traitement de celles - ci.
"RDC- Enrôlement : sur 49 millions 382 mille 552 d'électeurs attendus, la CENI dit avoir déjà enrôlé 34 millions 445 mille 251 soit 70 %, des données brutes non encore consolidées - 15 mars 2023
= https://actualite.cd/2023/03/15/rdc-enrolement-sur-49-millions-382-mille-552-delecteurs-attendus-la-ceni-dit-avoir-deja
La Commission électorale nationale indépendante (CENI) dit avoir déjà enrôlé 70% d’électeurs sur 49 millions 382 mille 552 d'électeurs attendus, soit 34 millions 445 mille 251 déjà enrôlés, sans compter les congolais de la diaspora. Dans ce lot, il y a 17 millions 672 mille 618 hommes enrôlés et 16 millions 772 mille 633 des femmes enrôlées. La CENI a communiqué ces chiffres ce mardi 14 mars. D'après Didi Manara, deuxième vice-président de cette institution, ces statistiques provisoires tiennent du début des opérations d'identification et d'enrôlement jusqu'au lundi 13 mars 2023."Dans l'AO1: Nombre d'électeurs attendus :18 millions 694 mille 542 ; Nombre d'enrôlés à ce jour :18 millions 969 mille 826 soit 101% ; Hommes : 9 millions 745 mille 629, Femmes : 9 millions 224 mille 200. Dans l'AO2: Nombre d'électeurs attendus :15 millions 381 mille 709 ; Nombre d'enrolés : 10 millions 996 mille 980 soit 71%. Hommes : 5 millions 578 mille 153, femmes : 5 millions 418 mille 827. Dans l'AO3: Nombre d'électeurs attendus : 15 millions 214 mille 539, Nombre d’enrôlés : 4 millions 478 mille 445 soit 29%. Hommes : 2 millions 348 mille 839 , Femmes : 2 millions 129 mille 606", a détaillé devant la presse Didi Manara.
Évoquant les critiques sur les chiffres avancés par son institution, Didi Manara a rappelé que ces statistiques constituent les données brutes et il faille attendre la fin de l'enrôlement afin de procéder au dédoublonnage et à la consolidation des données pour avoir le nombre exact dans le fichier électoral en répondant au principe un électeur, une voix.Conformément à son calendrier électoral, c'est au cours de la session parlementaire de mars qui s’ouvre ce mercredi que les deux chambres du parlement doivent voter la loi sur la répartition des sièges. C'est le 20 décembre prochain que les congolais sont attendus aux urnes pour se choisir ses dirigeants pour les 5 prochaines années."C'est seulement après cette consolidation, qu'au regard de l'article 6 de la loi électorale que la CENI publie la liste provisoire des électeurs, par centre de vote, avec une indication du bureau de vote. Trente jours, au plus tard avant la campagne électorale, la CENI publiera la liste définitive des électeurs par centre de vote avec aussi indication du bureau de vote. Et au plus tard, quinze jours, avant le scrutin, sera affichée, pour consultation au bureau de l'Antenne de la CENI, la liste électorale pour l'ensemble du territoire, de la ville ou du regroupement des communes pour la ville de Kinshasa", a-t-il rassuré dans sa communication
"RDC: en dépit notamment des contraintes sécuritaires, la CENI dit travailler pour le respect du délai constitutionnel et espère avoir à temps la loi sur la répartition des sièges - 15 mars 2023
= https://actualite.cd/2023/03/15/rdc-en-depit-notamment-des-contraintes-securitaires-la-ceni-dit-travailler-pour-le
Bien que les opérations d'identification et d'enrôlement des électeurs ne soient pas effectives dans certains coins du pays suite à l'activisme des groupes armés locaux et étrangers dans l'Est de la RDC et à Kwamouth (Mai-Ndombe), la Commission électorale nationale indépendante dit vouloir organiser les élections dans le délai constitutionnel. Au cours d'une conférence de presse tenue mardi 14 mars 2023, la CENI révèle qu'elle n'envisage pas interrompre les opérations en cours et compte sur les différentes initiatives lancées par le gouvernement pour rétablir la paix dans les zones d’insécurité.Par ailleurs, la CENI espère que le Parlement votera à temps la loi sur la répartition des sièges. La fin de l'enrôlement est un préalable pour que cette loi soit votée."Par rapport à la sécurité, est-ce que nous envisageons la suspension des opérations ? Non, pas du tout. Je crois qu'en matière électorale chaque institution doit faire sa part des responsabilités. Au gouvernement de doter les fonds, au gouvernement de sécuriser le processus électoral, à la CENI d'organiser les élections, c'est ce que nous sommes en train de faire. Nous sommes prêts à organiser ces élections dans le délai", a déclaré Didi Manara, 2e vice-président de la CENI."La répartition des sièges, nous serons au rendez-vous parce que la session parlementaire de mars s'ouvre demain (mercredi 15 mars) et prendra trois mois. Nous ne pensons pas que jusqu'à la fin du mois de juin nous n'aurons pas terminé l'enrôlement des électeurs, nous ne pensons pas. Nous pensons que nous serons à date et nous allons soumettre cet avant projet de loi sur la répartition des sièges au niveau du parlement et nous aurons cette loi et après la phase qui va suivre, ça sera l'appel à candidature", a espéré M. Manara.
Le processus électoral en cours fait l’objet de controverses dans l’opinion. Certains estiment qu’il connaît des difficultés notamment d’ordre technique et opérationnel. Le député Juvénal Munubo plaide pour un débat autour du processus électoral.Actuellement le plus grand défi reste la sécurité. L’opération d'identification et d'enrôlement des électeurs lancée dans la troisième aire opérationnelle n’est pas effective dans certains coins de la province du Nord-Kivu. Il s'agit des territoires de Rutshuru, Masisi et Nyiragongo. Certains élus de ce coin avaient appelé à la suspension de ces opérations suite à la détérioration de la situation sécuritaire. Dans le territoire de Kwamouth (Mai-Ndombe) aussi cette opération n’est pas encore lancée“Il faut un débat autour des préparatifs des élections. La Loi sur la répartition des sièges, c'est au mois de juin, c'est le 1er juin qui est le deadline, on doit travailler d'ici au 1er juin pour adopter cette loi mais l'évaluation peut commencer à se faire parce qu'il y a beaucoup de difficultés d'ordre logistique liées à l'enrôlement et ça vaut la peine que le parlement évalue un peu avec le président de la CENI comment ça se déroule. Si on arrive au mois de juin sans cette loi de répartition des sièges évidemment ça va accroître les risques de glissement. Donc on doit travailler que d'ici au 1er juin qu'on ait cette loi de répartition des sièges", a indiqué Juvénal Munubo.
= https://actualite.cd/2023/03/15/rdcparlement-ouverture-de-la-session-ordinaire-de-mars-dans-un-contexte-socio
= https://actualite.cd/2023/03/15/rdc-parmi-les-priorites-de-lassemblee-nationale-au-cours-de-la-session-de-mars-2023-il-y
"RDC : La MOE CENCO-ECC recommande l’organisation des procès publics des individus arrêtés pour détention des matériels électoraux de la CENI - 24/03/2023
= https://7sur7.cd/2023/02/24/rdc-la-moe-cenco-ecc-recommande-lorganisation-des-proces-publics-des-individus-arretes![]()
Dans un communiqué rendu public ce vendredi 24 février 2023 et dont une copie est parvenue à la rédaction de 7SUR7.CD, la Mission d'Observation Electorale de la CENCO-ECC (MOE CENCO-ECC) a exprimé son indignation face aux informations faisant état de la détention des matériels électoraux sensibles de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) par des individus, qui n'en ont pas la qualité.
La MOE CENCO-ECC dit avoir été alertée en date du 10 février dernier par une correspondance du parti politique « Le Parti pour l'Action » (P.A), adressée au président de la CENI dans laquelle il dénonçait, entre autre, la détention des cartes d'électeurs vierges par certains individus dans le territoire de Masimanimba, au Kwilu.
Pendant que les observateurs de la MOE CENCO-ECC documentaient l'incident, indique le communiqué, « la CENI a publié son communiqué de presse N°007/CENI/2023 portant la signature de son rapporteur, faisant état de l'arrestation d'un individu en possession d'un lot de 300 cartes d'électeurs en provenance de Masimanimba ».
La Mission d'Observation Electorale de la CENCO-ECC ajoute qu'elle a été saisie le 21 février dernier, de la présence d'un Kit d'enrôlement des électeurs, des cartes d'électeurs, des FO1 et autres matériels électoraux dans l'un des véhicules, en provenance de Kinshasa, victime d'un accident de la circulation sur la route Kinshasa-Tshikapa, dans la province du Kasaï.
Alors que ses observateurs, dit-elle, dépêchés sur place, venaient de soumettre leurs rapports portant sur cet incident, un autre communiqué de presse de la CENI N°010/CENI/2023, signé cette fois-ci par son président, confirme les faits et demande à la Justice d'en sanctionner les auteurs.En outre, elle demande qu'une clarification soit faite pour ne pas compromettre la crédibilité du processus électoral.« La MOE CENCO-ECC constate que les deux communiqués de presse de la CENI précités attestent que les MATERIELS SENSIBLES, destinés à l'opération d'identification et d'enrôlement des électeurs, se trouvent en circulation entre les mains des individus n'en ayant pas qualité. En d'autres termes, ces individus disposeraient ainsi de leurs propres Centres d'inscription et, in fine, de leurs propres centres et bureaux de vote aux fins de possibles bourrages des urnes lors de différents scrutins prochains », lit-on dans le communiqué.« La MOE CENCO-ECC attire, à cet effet, l'attention de la CENI et des autres parties prenantes sur le fait que les faits observés posent un sérieux problème quant à la sécurisation du processus électoral en général et du matériel électoral sensible en particulier et sont susceptibles d'entamer sensiblement la confiance du public en ce processus électoral et d'en compromettre ainsi la crédibilité, y compris celle des résultats qui en résulteront. En effet, si les choses ne sont pas clarifiées à ce stade, ce serait irresponsable de la part de tous d'avancer dans un processus électoral où la crédibilité est sérieusement mise en cause », estime-t-elle.
À cet effet, elle recommande la tenue des procès publics pour les individus interpellés, et invite la CENI à organiser l'inventaire des matériels électoraux sensibles commis dans le processus d'enrôlement.Et d'ajouter : « A la CENI, d'organiser en toute urgence et à tous les niveaux (SEN, SEP, Antennes et CI) des inventaires des matériaux électoraux sensibles commis à l'opération d'identification et enrôlement des électeurs.« C'est pourquoi la MOE CENCO-ECC formule les recommandations ci-après : Aux Cours et Tribunaux
D'organiser des procės publics, voire des audiences foraines afin que les citoyens et les partenaires internationaux soient éclairés sur les conditions dans lesquelles ces MATERIELS ELECTORAUX SENSIBLES se sont retrouvés entre les mains de ces individus et pour quelles fins. De sanctionner sévèrement tous les délinquants, à tous les niveaux, qui se retrouveraient impliqués dans la commission de ces crimes », recommande-t-elle.
Pour la MOE CENCO-ECC, la CENI devrait publier la liste des kits reçus, avec les numéros de séries.
« Ensuite, la CENI devrait publier son plan de déploiement desdits matériels, en indiquant clairement leurs destinations, avec la mention du nombre et des numéros de série. Enfin, organiser des équipes mixtes (CENI, Partis politiques, Journalistes, Observateurs, Police, etc.) de vérification. Instruire les SEP et les Antennes afin que les Observateurs, les Témoins des Partis politiques et les journalistes aient accès aux informations et aux entrepôts des matériels électro
"RDC : Scrutin, la Cenco et l’ECC tirent la sonnette d’alarme - 24 février 2023
= https://afrique.lalibre.be/75956/rdc-scrutin-la-cenco-et-lecc-tirent-la-sonnette-dalarme/
"La Ceni a-t-elle eu raison de saisir la Cour constitutionnelle ? -13 mars 2023
= https://magazinelaguardia.info/2023/03/13/la-ceni-a-t-elle-eu-raison-de-saisir-la-cour-constitutionnelle/
Une Analyse de Ebuteli
Fin décembre 2022, la Cour constitutionnelle a autorisé la Ceni à procéder à l’enrôlement des Congolais de l’étranger uniquement en Afrique du Sud, en Belgique, au Canada, aux États-Unis d’Amérique et en France. Pourquoi cette décision est-elle controversée ?
Pour la Cour constitutionnelle, la sélection des cinq pays pilotes pour l’enrôlement des Congolais vivant à l’étranger n’est pas discriminatoire. C’est ce qui est ressorti de son arrêt du 20 décembre 2022. Si cette décision demeure critiquable sur le fond, c’est plus sa forme qui pose problème. Pourquoi la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) a-t-elle préféré saisir la Cour constitutionnelle ? N’y avait-il pas d’autres voies à explorer ?
En principe, la Ceni ne peut saisir la Cour constitutionnelle que lorsqu’elle lui sollicite l’examen de la conformité à la Constitution de son règlement intérieur. Comme toute autre personne physique ou morale, elle peut également le faire « pour inconstitutionnalité de tout acte législatif ou réglementaire », selon la Constitution. En revanche, aucun texte législatif ou réglementaire ne donne la possibilité à la Ceni de saisir la Cour constitutionnelle en interprétation de la Constitution. Seuls le président de la République, le gouvernement, le président du Sénat, le président de l’Assemblée nationale, un dixième des membres de chacune des chambres parlementaires, les gouverneurs de province et les présidents des assemblées provinciales sont habilités à introduire auprès de la Cour constitutionnelle des requêtes en interprétation de la Constitution.
Le controversé « rôle régulateur » de la Cour constitutionnelle
Pourtant, la Ceni a bien demandé à la Cour constitutionnelle d’interpréter l’article 5 alinéa 5 de la Constitution. Cette disposition stipule : « (…) Sont électeurs et éligibles, dans les conditions déterminées par la loi, tous les Congolais de deux sexes, âgés de dix-huit ans révolus et jouissant de leurs droits civils et politiques. » Et la haute juridiction n’a pas rejeté cette requête. Elle a estimé certes que la Ceni n’avait pas qualité pour la saisir dans ce dossier, mais qu’elle acceptait tout de même d’examiner sa demande en vertu de son « rôle
régulateur des pouvoirs ». La Cour constitutionnelle s’est ainsi appuyée sur sa « jurisprudence constante en la matière en vue d’assurer la régularité du processus électoral et le bon fonctionnement des institutions de la République ».
La première saisine
En 2015, elle avait déjà pris cette même posture. À l’époque, la Ceni l’avait saisie pour interpréter les articles de la loi de programmation d’installation des nouvelles provinces et de la loi électorale. Une année plus tard, la commission électorale l’avait saisie de nouveau au sujet des délais constitutionnels d’organisation des élections. Dans ces deux cas, la Cour constitutionnelle avait toujours déclaré recevables les requêtes de la Ceni. Cette posture de la Cour constitutionnelle est problématique. En RDC, aucun texte n’accorde expressément à cette haute juridiction du pays ce « rôle régulateur » de la vie publique, comme c’est le cas par exemple au Bénin. Mais la Cour constitutionnelle
congolaise continue pourtant à brandir ce pouvoir pour créer de nouvelles règles. C’est pourtant au président de la République que la Constitution congolaise attribue cette
responsabilité d’« [assurer], par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics et des institutions ainsi que la continuité de l’État ».
Revenons à l’objet de la question : l’enrôlement des Congolais de l’étranger. C’est une matière reprise dans la Constitution, mais détaillée et mieux organisée dans la loi portant identification et enrôlement des électeurs ainsi que dans les mesures d’application de cette dernière. N’aurait-il pas été judicieux pour la Ceni de solliciter plutôt au Conseil d’État l’interprétation de ces textes que de saisir, sans fondement juridique clair, la Cour constitutionnelle ? D’autant que le Conseil d’État est compétent pour interpréter les lois et
les actes réglementaires.
La Cour constitutionnelle et la Ceni sont-elles complices ?
Le choix de la Ceni de se tourner toujours vers la Cour constitutionnelle paraît être politique. Chaque fois que la seconde est saisie par la première, c’est un feu vert qui est toujours accordé. Parfois, au détriment des droits fondamentaux des citoyens. En occurrence, pour le droit d’être électeur lorsqu’un Congolais vit à l’étranger, la Cour constitutionnelle précise désormais que « tous les Congolais ont le droit d’être électeur et
de bénéficier, sauf cas de force majeure, de services de la Ceni pour se faire identifier et enrôler ». Autrement dit, comme la Ceni dit ne pas être à mesure d’organiser l’enrôlement des Congolais dans toutes les 66 missions diplomatiques de la RDC dans le monde, la Cour constitutionnelle l’autorise à le faire dans cinq pays pilotes qu’elle-même, la commission électorale, a choisis. Cette décision de la Cour constitutionnelle offre à la Ceni une large marge de manœuvre pour déterminer qui peut être électeur et qui ne peut pas l’être, en s’appuyant sur la « force majeure ».
« S’arroger les prérogatives de choisir les Congolais de cinq pays et discriminer les autres compatriotes vivant à l’étranger sans aucune loi y relative est une violation manifeste de l’article 5 alinéa 5 de la Constitution », selon le Panel des experts de la société civile, une organisation de la société civile congolaise, qui avait saisi, le 15 décembre 2022, la Cour constitutionnelle contre la décision de la commission électorale portant publication du
calendrier électoral. Mais la haute juridiction est restée muette sur la question. Elle n’en a, au moment où nous écrivons ces lignes, réservé aucune suite. Elle aurait pu joindre les deux requêtes – celle de la Ceni et celle de cette organisation de la société civile -, les deux
portant sur un même objet.
Qu’en est-il de l’inclusivité du processus électoral ?
En 2016, la même Cour constitutionnelle avait autorisé le report des élections sine die pour notamment garantir l’inclusivité des Congolais de l’étranger, le temps de pouvoir les identifier et de les inscrire sur les listes électorales. Cette option sera finalement abandonnée deux ans plus tard. Or, en limitant l’identification et l’enrôlement des électeurs aux seuls Congolais résidant dans ces cinq pays étrangers, la Cour constitutionnelle pèche contre l’inclusivité du processus électoral qu’elle disait, hier, vouloir garantir.
Aujourd’hui, la Cour constitutionnelle opte donc pour une inclusivité partielle et progressive. Un pas dans la bonne direction ou un précédent dangereux ? En tout cas, cette décision d’exclure une partie des Congolais de l’étranger du processus électoral parce qu’ils ne vivent pas dans les cinq pays pilotes risque de servir de base juridique. Ainsi l’on pourra ne pas non plus inscrire sur les listes électorales certains citoyens . C’est le cas de ceux se trouvant dans des zones en proie à la violence armée.
Une Analyse de Ebuteli
À propos Groupe d’étude sur le Congo (GEC) est un centre de recherche
indépendant basé au Center on International Coop
"Fin du processus d’enrôlement, la procédure sera-t-elle respectée? - 9 mars 2023
= https://magazinelaguardia.info/2023/03/09/fin-du-processus-denrolement-la-procedure-sera-t-elle-respectee/
A la fin de la prolongation de la période du processus d’identification et enrôlement des électeurs dans le deuxième aire opérationnelle, l’engouement est toujours visible. Malgré les 15 jours ajoutés par le président de la CENI le 23 février dernier, Il s’y observe des très longues files de personnes avec jetons à la main, d’autres sans jetons, attendant se faire enrôler. Une situation qui se vit au sein de la plupart des centres d’enrôlement de Lubumbashi.
Comme les 15 jours de prolongation de la période d’enrôlement prennent fin ce vendredi 10 mars, Certains requérants décident de passer la nuit au centre, en vue d’obtenir la carte. D’autres gardent encore l’espoir que la CENI pourra encore prolonger une fois de plus, pourvue que tout le monde puisse se faire inscrire.
« Ça termine demain ! C’est vous qui le dites » s’exclame la secrétaire provinciale de la CENI antenne du Haut Katanga, Mymy Fabienne Mukulu Moya qui rassure que tout le monde sera enrôlé. Car dit-elle, << La procédure a toujours été, à 17h on donne les jetons aux personnes qui seront présentes sur les files d’attente. Et on les enrôle les jours suivants».Lire aussi,https://magazinelaguardia.info/2023/03/06/enrolement-des-electeurs-strategie-dun-couple/
Peut-on espérer une autre prolongation?
Entre-temps, l’information circule qu’il y aura un autre délai de prolongation. La secrétaire provinciale n’a pas confirmée cette information. Selon elle, la personne qui a la compétence de prolonger, c’est le numéro Un de la CENI.
« Quand on ajoute les jours , vous l’apprenez à travers le médias. Et celui qui a la compétence c’est le président de la CENI. Il n’ y a que lui qui peut dire, on ajoute, ou on clôture. Pour ma part, je ne sais pas vous dire, c’est vrai ou c’est faux cette information. En outre, je ne sais pas où est ce que la population a tiré ça. Tous nous attendons ».
Toujours dans le cadre du processus d’enrôlement, une autre information fait de la carence des fiches d’inscription dans les centres d’enrôlement de Kipushi. Celle ci circule dans plusieurs groupes WhatsApp. Mymy Fabienne Mukulu Moya dément cette information.
« C’est très faux, par ce que les fiches d’inscriptions sont là ».
En attendant l’annonce de la CENI, certains requérants espèrent encore la carte d’électeur. D’autres se sont découragés et ont tout simplement abandonné.
"Didi Manara à Corneille Nangaa : " vous ne pouvez pas vous comparer à Dénis Kadima qui a compéti face à d'autres challenger " - 14.03.2023
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-118985_didi_manara_a_corneille_nangaa_vous_ne_pouvez_pas_vous_comparer_a_denis_kadima_qui_a_competi_face_a_d_autres_challenger.html
Au cours d'une conférence de presse ce mardi 14 mars dans la salle Abbé Malulu, le deuxième vice-président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), Didi Manara, a répondu à l'ancien président de la centrale électorale Corneille Nangaa qui a sévèrement critiqué l'actuel bureau de l'institution. Pour Didi Manara, Corneille Nangaa ne peut pas se comparer à Dénis Kadima.
" Corneille Nangaa ne peut pas se comparer à l'actuel président de la Ceni qui a competi avec d'autres challengers alors que Nangaa a été désigné à son époque sans compétition", a déclaré Didi Manara devant la presse.
Le vice-président de la Ceni a estimé que Nangaa ne peut pas être considéré comme un modèle de gestion. De ce fait, a-t-il dit, il ne devrait pas se faire passer pour un donneur de leçons et critiquer la gestion de l'actuel bureau de la centrale électorale sachant qu'il a laissé derrière lui , l'immeuble de la Ceni dans un état de délabrement avancé et plusieurs arriérés de loyer dans les maisons occupées par l'institution à travers le pays.
" Il est étonnant que Corneille Nangaa qui a publié les résultats des élections dernières de manière globale exige aujourd'hui à l'actuel bureau de publier les statistiques d'enrôlement bureau de vote par bureau de vote. C'est juste la mauvaise foi de la part de Corneille Nangaa" a déclaré Didi Manara.
Le vice-président de la Ceni a, par ailleurs, annoncé qu'au-delà de la publication quotidienne de la liste album des personnes enrolees, la centrale électorale s'engage à publier les résultats du scrutin bureau de vote par bureau de vote, conformément la loi .
Pour Didi Manara, l'ancien président de la Ceni a juste violé le devoir de droit de réserve en critiquant dans les médias l'actuel bureau de la centrale électorale.
"Élections 2023: La CENI accuse Nangaa de « mauvaise foi » et dénonce son « intention de nuire au déroulement du processus électoral » - 15 mars 2023
= https://www.politico.cd/encontinu/2023/03/15/elections-2023-la-ceni-accuse-nangaa-de-mauvaise-foi-et-denonce-son-intention-de-nuire-au-deroulement-du-processus-electoral.html/130043/
"Mukwege, Ponyo, Fayulu: un attelage surréaliste - 13 Mars 2023
= https://www.congoindependant.com/17618-2/
"Des dénonciations de la campagne électorale précoce - 07-03-2023
= https://magazinelaguardia.info/2023/03/07/des-denonciations-de-la-campagne-electorale-precoce/
"RDC: Des kits électoraux saisis à Banga (Ilebo) au Kasaï - 10 mars 2023
= https://ouragan.cd/2023/03/des-kits-electoraux-saisis-a-banga-ilebo-au-kasai
"RDC: Ensemble pour la République, de Moïse Katumbi, dénonce un climat politique délétère - 26/02/2023
= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20230226-rdc-ensemble-pour-la-r%C3%A9publique-de-mo%C3%AFse-katumbi-d%C3%A9nonce-un-climat-politique-d%C3%A9l%C3%A9t%C3%A8re
"Lubumbashi: l’archevêque Fulgence Muteba échappe à une « tentative d’enlèvement » des hommes armés présumés GR - 25 février 2023
= https://www.politico.cd/la-rdc-a-la-une/2023/02/25/lubumbashi-larcheveque-fulgence-muteba-echappe-a-une-tentative-denlevement-des-hommes-armes-presumes-gr.html/128985/
"RDC: à Lubumbashi, vraie tentative d'enlèvement ou exercice de sécurité, sur la personne de l'archevêque métropolitain? - 26/02/2023
= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20230226-rdc-%C3%A0-lubumbashi-vraie-tentative-d-enl%C3%A8vement-ou-exercice-de-s%C3%A9curit%C3%A9-sur-la-personne-de-l-archev%C3%AAque-m%C3%A9tropolitain
"Sanctions et excuses publiques exigées par Mgr Fulgence Muteba - 10:03:2023
= https://ouragan.cd/2023/03/sanctions-et-excuses-publiques-exigees-par-mgr-fulgence-muteba
"Archevêché de Lubumbashi : Mgr Fulgence Muteba dénonce une « invasion militaire » et exige des éclaircissements
09.03.2023
= https://actu30.cd/2023/03/archeveche-de-lubumbashi-mgr-fulgence-muteba-denonce-une-invasion-militaire-et-exige-des-eclaircissements/
"TOP 7 CORNEILLE NANGAA - 11/03/2023
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: LA PLANIFICATION DE LA FRAUDE ÉLECTORALE !!! ON N'EN PARLE PAS ENCORE ASSEZ, C'EST POURTANT UN SUJET PRIORITAIRE DU PAYS !
"Élections 2023 : le Sénat recommande au Gouvernement de déposer le projet de loi relatif à la répartition des sièges - 15.03.2023
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-119027_elections_2023_le_senat_recommande_au_gouvernement_de_deposer_le_projet_de_loi_relatif_a_la_repartition_des_sieges.html
La session ordinaire de mars s’est ouverte ce mercredi 15 mars 2023 au sénat. Dans ce contexte, le Président de cette haute chambre du parlement a recommandé au Gouvernement de la République Démocratique du Congo (RDC) de faire diligence pour déposer le projet de loi sur la répartition des sièges.
« Le Sénat recommande au Gouvernement de faire diligence pour déposer au Parlement le projet de loi relatif à la répartition des sièges, avant la fin de la session, afin de permettre son examen et son adoption par les deux chambres en temps utiles », a déclaré Bahati Lukwebo.
Devant ses collègues sénateurs et plusieurs autres personnalités venues pour cette cérémonie, Modeste Bahati a indiqué qu’il tient au respect du calendrier électoral que la Centrale électorale a publié en décembre dernier.
Il sied de signaler que ce projet de loi vise à définir les nombres de sièges, selon les circonscriptions électorales, pour les élections législatives, nationales et provinciales et même les sénatoriales. Ceci pourra aussi impliquer les élections municipales et urbaines.
"Enrôlement des électeurs en RDC: «Les Églises n’accompagneront pas un processus biaisé» - 16/03/2023
= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20230316-enr%C3%B4lement-des-%C3%A9lecteurs-en-rdc-les-%C3%A9glises-n-accompagneront-pas-un-processus-biais%C3%A9
Des résidents enregistrant leurs données dans un centre d'inscription le premier jour de l'opération à Goma, dans l'est de la République démocratique du Congo, le 16 février 2023. [Image d’illustration] AFP - GUERCHOM NDEBO
En République démocratique du Congo (RDC), la mission d’observation électorale des églises catholiques et protestantes a répertorié plusieurs incidents durant la vaste opération d’enrôlement des électeurs effectuée en vue des scrutins prévus fin-2023. Éric Senga, porte-parole de l’ECC, la bannière de l’église protestante congolaise, prévient : « Églises protestante et catholique n’accompagneront pas un processus électoral biaisé. »
En RDC, la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) est sous pression des Églises catholique et protestante, à neuf mois des élections générales.
Alors que l’opération d’enrôlement des électeurs est dans sa phase terminale, la Ceni assure avoir déjà recensé quelque 34 millions des 49 millions attendus, soit un taux de 70%. Mais la mission d’observation électorale des deux Églises recommande à la Ceni de d’abord clarifier la question des centres d’inscription non-retrouvés sur terrain, le cas des matériaux électoraux sensibles aux mains des particuliers et de publier les statistiques des enrôlés par centre d’inscription.
« Ces incidents touchent à l’intégrité des opérations de la Commission électorale nationale »
« On a constaté plusieurs machines qui tombaient en panne, curieusement, à plusieurs endroits et presque de la même manière, ce qui questionne la qualité de ces machines, souligne le pasteur Éric Senga, porte-parole de l’ECC, la bannière de l’église protestante congolaise, au micro de notre correspondant Pascal Mulegwa. La deuxième catégorie d’incidents se rapporte à la non-existence de centres d’inscriptions, ou alors, la non-opérationnalité, pour ne pas déjà tomber dans la qualification des centres effectifs. À cela s’ajoute l’incident sur la circulation de matériel entre les mains des individus. Nous avons aussi enregistré des cas où les enrôlements se sont passés en des lieux qui n’étaient ni centres identifiés, ni lieux convenables. »
► À lire aussi RDC: à Goma, les déplacés s’inscrivent pour obtenir leur carte d’électeur
Celui qui est également co-responsable de la mission d’observation des deux confessions religieuses les plus importantes de RDC conclut : « Ces incidents, pour nous, touchent à l’intégrité des opérations de la Ceni. Au niveau des recommandations, nous avons demandé à la Ceni, par exemple, d’identifier le cas des pertes de machines. Il faut même des procès publics pour des cas mieux identifiés par la Ceni elle-même, parce que nous avons posé cela comme des conditions préalables pour que nous poursuivions le processus. Il faut que tout ce qui vient d’être énuméré soit vidé de manière rationnelle. Les Églises protestante et catholique n’accompagneront pas un processus qui est biaisé. »Les élections générales en RD Congo, dont celle du président, sont prévues le 20 décembre 2023.
► À lire aussi RDC: l’opposition s’indigne des propos de Félix Tshisekedi sur un éventuel report des élections
"Processus électoral en RDC: le parti de Nangaa redoute un déséquilibre dans la répartition des sièges si l'enrôlement des électeurs ne se déroule pas dans toutes les entités - 16 mars 2023
= https://actualite.cd/2023/03/16/processus-electoral-en-rdc-le-parti-de-nangaa-redoute-un-desequilibre-dans-la
Le parti politique, Action pour la dignité du Congo et de son peuple (ADCP) de l'ancien président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), Corneille Nangaa, s'interroge quant à l’aboutissement heureux de l’opération d’identification et d'enrôlement des électeurs en cours au pays. En effet, en raison notamment de l’insécurité grandissante dans l’Est du pays, l’opération n’est pas encore lancée dans plusieurs zones. C’est le cas des territoires de Nyiragongo, Rutshuru et Masisi où les rebelles du M23, à la suite de leurs offensives déclenchées depuis plus d’une année, occupent de vastes zones.
Ainsi, l’ADCP redoute que l’identification et l'enrôlement des électeurs ne s’atteignent pas certaines entités et circonscriptions. Ce qui poserait de sérieux problèmes au moment de la répartition des sièges qui risque de connaître un déséquilibre.Avant de s’interroger: “Quels que soient les défis auxquels la CENI fait face, comment compte-t-elle préserver les équilibres sur la répartition des sièges si elle ne garantit pas l'exhaustivité de l'identification et l'enrôlement des électeurs ?”."La répartition des sièges en République Démocratique du Congo se fait par nombre d'enrôlés par circonscription. C'est donc une saine compétition entre entités/circonscriptions électorales. A ce sujet, les acteurs politiques de tous bords, et ce dans chaque circonscription, sont forts intéressés par cet enjeu. C'est dire chacun voudrait savoir si le nombre de sièges alloués à leur circonscription connaîtra ou non des variations à l'issue du processus”, fait remarquer le parti de Corneille Nangaa dans un communiqué.
L’ADCP souligne que les provinces du Nord Kivu et de l'Ituri “où l'exhaustivité de l'enrôlement des électeurs est mise à rude épreuve n'entendent pas voir le nombre des sièges de leurs circonscriptions respectives revu à la baisse".
Cette question se pose alors que la session de mars 2023 est ouverte dans les deux chambres du Parlement depuis ce mercredi. Et c’est au cours de cette session que la loi sur la répartition des sièges doit être examinée.L'enrôlement des électeurs se déroule dans des conditions difficiles, reconnaît d’ailleurs la CENI qui est butée à plusieurs défis notamment opérationnels, techniques et logistiques. D’où, Juvénal Munubo propose une évaluation des opérations d'enrôlement des électeurs. “L'évaluation peut commencer à se faire parce qu'il y a beaucoup de difficultés d'ordre logistique liées à l'enrôlement et ça vaut la peine que le parlement évalue un peu avec le président de la CENI comment ça se déroule”, a-t-il proposé.“La Loi sur la répartition des sièges, c'est au mois de juin, c'est le 1er juin qui est le deadline. Si on arrive au mois de juin sans cette loi de répartition des sièges évidemment ça va accroître les risques de glissement. Donc on doit travailler que d'ici au 1er juin qu'on ait cette loi de répartition des sièges”, a indiqué à ACTUALITE.CD le député Juvénal Munubo.
"Emission spéciale RDC : où en est le processus électoral ? - 20/02/2023
= https://amp.dw.com/fr/rdc-o%C3%B9-en-le-processus-%C3%A9lectoral-pr%C3%A9sidentielle-2023/a-64722622
Le 20 décembre 2023, les Congolais vont se rendre aux urnes. Contexte sécuritaire, jeux d’alliances politiques, respect du calendrier électoral, zoom sur l’état d’avancement des préparatifs des élections.
Le 24 décembre 2022, les opérations d’enrôlement des électeurs ont débuté dans la première aire opérationnelle de RDC. Alors que celle-ci devait s’achever le 23 janvier dernier, elle a été prolongée de 25 jours.
Notre première destination est la ville-province de Kinshasa.
La #RDCs’achemine vers une abstention historique. Seulement 46,31 % des Congolais sondés affirment qu’ils iront voter, le 20 décembre, leur futur président de la République.
Pour plus de détails
→ https://bit.ly/presidentielle-2023-abstention-rdcLa capitale de la République démocratique du Congo est située dans la première aire opérationnelle d’enrôlement des électeurs. Ici, malgré la prolongation de 25 jours du délai accordé par la Commission électorale nationale indépendante (CENI), beaucoup de Congolais risquent de ne pas obtenir leur carte d'électeur.
Pour plus de détails
→ https://[bit.ly/presidentielle-2023-abstention-rdc…[/size]
12:18 PM · Feb 16, 2023
Plusieurs raisons expliquent cette situation : le nombre réduit des centres d'enrôlement, l'insuffisance du matériel d'inscription et les pannes fréquentes des machines. Avec, Jean Noël Ba-Mweze, notre correspondant à Kinshasa, nous avons suivi pendant une journée des citoyens qui essaient de s’enrôler.
A environ, 1600 kilomètres de Kinshasa, à Béni, la population est confrontée à d’autres défis et questionnements. La ville est située sur le territoire de la province du Nord-Kivu.
RDC: certains observateurs se disent préoccupés par le respect du calendrier électoral. (Photo d'illustration)
Image : Dai Kurokawa/dpa/picture alliance]
En raison de l’insécurité, le gouvernement congolais a placé les provinces du Nord-Kivu et de l'Ituri sous un état de siège. Les habitants redoutent de vivre le même scénario qu’en 2018, quand les Congolais de Beni et Yumbi n’ont pas pu se rendre aux urnes. John Kanyunyu notre correspondant à Béni, est allé à la rencontre des habitants de sa province.
Le défis sécuritaire
La question des déplacés internes reste importante en République Démocratique du Congo. Sur l’ensemble du territoire, selon les dernières estimations du bureau de la coordination des affaires humanitaires en RDC (OCHA), on compte environ 5millions de personnes déplacées.
De Béni dans le Nord-Kivu, àl’Ituri, les préoccupations des habitants sont quasiment les mêmes..Radio GO FM
@gofm20222
L'[urlrl=https://twitter.com/hashtag/enr%C3%B4lement?ref_src=twsrc^tfw|twcamp^tweetembed|twterm^1626094072946458625|twgr^f24149d901f6c384be8e3753fda423815fad2a63|twcon^s1_&ref_url=https%3A%2F%2Fd-36548672913965650363.ampproject.net%2F2302271541000%2Fframe.html&src=hashtag_click]#enrôlement[/url] des électeurs commence ce 16février 2023 au Nord #Kivu en prélude des #elections en #RDC.
Quid des congolais dans les zones occupées par les rebelles du [/size]#M23 et ceux en déplacement loin de leurs circonscriptions? suivez la réponse de la #CENI sur #Gofm
6:40 AM · Feb 16, 2023
Dieudonné Lossa Dekhana, le coordinateur de la société civile de l’Ituri s’inquiète pour les personnes déplacées. Aussi, la sécurisation du processus électoral dans la province de l’Ituri est pour lui une source d’inquiétudes.
Dans les provinces sous état de siège, la société civile se dit préoccupée par l'enrôlement des personnes déplacées (Photo d'illustration)Image : Alexis Huguet/AFP/Getty Images
Glissement en vue ?
Le processus électoral est confronté à divers défis. Les acteurs politiques, eux, se préparent malgré tout déjà pour la bataille électorale. En RDC, difficile pour un seul parti politique de conquérir le pouvoir. D’où les jeux d’alliances qui ont déjà commencé par exemple au sein de l’opposition congolaise.
Pourtant, Bob Kabamba, politologue et professeur à l’université de Liège en Belgique pense qu’il y a très peu de chances, que le vote puisse avoir lieu le 20 décembre prochain.
Du côté de la CENI, on se veut rassurant. Patricia Nseya Mulela, rapporteure de la CENI assure qu’il y aura bien élection cette année et que le calendrier électoral sera respecté.
Cliquez sur l'image ci-dessous pour écouter notre émission spéciale
Emission spéciale élections RDC
"RDC: La CENI ne supporte pas de critiquer le processus électoral en cours, “c’est tellement sensible qu'on ne s'attaque pas à son intégrité” - 16 mars 2023
= https://actualite.cd/2023/03/16/rdc-la-ceni-ne-supporte-pas-de-critiquer-le-processus-electoral-en-cours-cest-tellement
"[RDC – Denis Kadima : « J’ai hâte d’en finir avec ces élections » - 15/03/2903
= https://www.jeuneafrique.com/1427360/politique/rdc-denis-kadima-jai-hate-den-finir-avec-ces-elections/
"Elections en RDC: près de 12.000 Congolais de la diaspora déjà enrôlés en vue des élections
-16 mars 2023
= https://afrique.lalibre.be/76258/elections-en-rdc-pres-de-12-000-congolais-de-la-diaspora-deja-enroles-en-vue-des-elections/
"Élections en RDC : "nous attendons les fonds parce qu'il y a beaucoup d'impératifs, de choses que nous devons vraiment réaliser" (Didi Manara) - 16 mars 2023
= https://actualite.cd/2023/03/16/elections-en-rdc-nous-attendons-les-fonds-parce-quil-y-beaucoup-dimperatifs-de-choses
= https://actualite.cd/2023/03/16/elections-2023-lassemblee-nationale-encourage-la-ceni-prendre-toutes-les-mesures
"Elections 2023 : l’Union européenne satisfaite de l’évolution du processus - MARS 10, 2023
= https://acpcongo.com/index.php/2023/03/10/elections-2023-lunion-europeenne-satisfaite-de-levolution-du-processus/
"
"
ndonzwau
Re: LA PLANIFICATION DE LA FRAUDE ÉLECTORALE !!! ON N'EN PARLE PAS ENCORE ASSEZ, C'EST POURTANT UN SUJET PRIORITAIRE DU PAYS !
"RDC-Élections 2023 : défi aux potentiels candidats à la présidentielle (Tribune de Jo Sekimonyo) - 16 mars 2023
= https://actualite.cd/2023/03/16/rdc-elections-2023-defi-aux-potentiels-candidats-la-presidentielle-tribune-de-jo
Jusque-là, la liste des êtres et des créatures annonçant qu'ils se présenteront aux élections en 2023 pour la plus haute fonction de la nation est en partie assez honteuse et en partie un point d'interrogation, pour tout esprit sain et informé, pourquoi ils le feraient.
Les retombées d'un cycle électoral après l'autre pousse certains esprits se demander si la démocratie est la voie à suivre pour sortir du cauchemar social et économique dans lequel se succèdent des générations de Congolais vivant dans le pays depuis l'indépendance.[/b]
On craint que lors du cycle électoral de 2023, une fois de plus, les Congolais ne prennent des décisions fondées sur les identités ethniques, et non sur un examen honnête de leur réalité et des problèmes auxquels la nation est confrontée. Elle est exacerbée par le fait que notre démocratie est devenue si défigurée (seuil, liste, vote indirect, etc…) qu'il est douteux qu'il s'agisse encore d'une démocratie, d'un mode de gouvernement qui dépend de la volonté du peuple.
Essentielle à une démocratie saine, l'amélioration de la qualité du dialogue public pré-électoral a jusqu'à présent été négligée. Et pourtant, c'est sa médiocrité en RDC qui garantit pratiquement que nous nous retrouverons toujours avec des représentants grossièrement inaptes ou terriblement égoïstes, ou tout au plus une permutation des mêmes.
Dupont Dupont
J'ai du mal à saisir la différence, idéologiquement, entre Moise Katumbi, Matata Mpoyo, Martin Fayulu, ou encore Denis Mukwege et le président Félix Tshisekedi ou son prédécesseur Joseph Kabila. Eux, comme leurs fans, ne semblent pas s'en soucier.Pire encore, il y a des noms mis en avant comme l'ancien leader de la CENI Corneille Nangaa pour des représentations purement ethniques ou provinciales sur la scène nationale, et rien de plus.
Armés du même esprit, ou pour le statu quo idéologique sur ce que c'est qu'être Congolais, ce que vaut un Congolais, qu'est-ce que le pacte national congolais, quel est le rôle et le pouvoir de l'Etat, et quels sont les piliers de l'économie politique nationale, leurs menus ne peuvent qu'être similaires, agrémentés de lamentations contre l'actuel président pour enflammer les naïfs.
Franchement, au lieu de chercher à être sur le bulletin de vote aux élections présidentielles, ils devraient plutôt convoquer d'abord des élections primaires et des caucus au sein de ce bloc conservateur congolais, y compris le président Tshisekedi, pour que le vainqueur affronte un candidat dont le menu et l'idéologie sont différents d'eux, un libéral comme moi, en décembre 2023.
Eh bien, je mets au défi ces potentiels candidats à la présidence de présenter leur menu au lieu des poèmes pour prouver que j'ai tort, ou belle est bien raison !Roulette russeEn 2019, les Congolais, dont moi, avaient espéré que Félix Tshisekedi serait le remède au niveau de vie misérable des Congolais en RDC.
Quatre ans plus tard, nous sommes amèrement déçus qu'il n'ait pas seulement échoué à placer la nation sur des rails appropriés, mais qu'il semble avoir aggravé les problèmes de sécurité et économiques.
Sur ce, il est essentiel de se demander pourquoi le président Féli Tshisekedi voudrait un second mandat et plutôt des excuses si cette fois il y a un menu à nous présenter en amont, puisqu'il n'en avait pas avant son premier mandat, clairement.
A noter qu'en 2018, comme Martin Fayulu et les autres candidats qui s'étaient alignés, il n'avait pas dit grand-chose de plus que "Kabila a échoué, il doit dégager, et je ferai mieux".
À ce stade, il est vraiment difficile de voir quel genre de torsion peut le sauver. Allons-nous droit vers un scénario Donald Trump avec des partisans prenant d'assaut le bureau de la CENI, ou un François Hollande jetant l'éponge ? Tout indique qu'il semble déterminé à prendre la très malsaine chance 1 sur 2 que la vraie balle atterrisse en position de tir, autrement dit un échec cuisant à l'élection, pour faire plaisir à son ego et à ses supporters zélés.
Cependant, lorsqu'il s'agit de son prédécesseur, aujourd'hui sénateur à vie, Joseph Kabila, cela lui convient de se contenter de jouer le rôle du Congolais Jerry John Rawlings au lieu de tenter sa chance à la roulette russe.Mon menuPlus que je ne le crois fermement, la RDC a trop longtemps eu besoin de changements globaux et radicaux, voire de révolutions, dans tous les sens.
Dans un article publié mi-février 2023 « Pourquoi je serais candidat à la présidence » j'ai présenté mon menu que je vais encore une fois énoncer ici, mais cette-fois ci de manière synthétique. Il contient cinq révolutions qui englobent plusieurs redéfinitions ou réorientations de nous et de notre monde.
1 Révolution sociale
Qu'est-ce qu'être congolais ?
La nationalité congolaise devrait être par naissance, jus soli.
Que vaut un Congolais ?
Soutenabilité – Fixer le salaire minimum à 1 $/h.
Prospérité - Accès à l'éducation qui veut dire matériels pédagogiques.
Dignité – Garantir une pension minimum à la retraite pour tous.
Quel est notre pacte national ?
La coexistence en tant qu'individus au lieu de la cohésion tribale et culturelle. Eliminer les chefferies de la nomenclature de l'état. Retracer les territoires et les provinces et de déplacer leurs centres pour créer une zone économique durable.
2 Révolution politique
Quel est le rôle de l'État ? Instaurer le système présidentiel pour fermer la porte tournante entre l'exécutif et le législatif.Dépouiller le pouvoir central de ces revenus du secteur tant de secteur tel que minier.
Réduction de la fonction publique et l'élimination du rôle et de l'influence de l'Église dans les affaires de l'État.
3 Révolution de politique économique
Quelle est l'orientation de l'économie politique nationale ? Discrimination positive au profit des citoyens congolais. Politique budgétaire expansionniste/budgétaire déficitaire pour soutenir l'économie.« Échelle » - Revitaliser la poste nationale. « Toile d'araignée » - Construction du chemin de fer.
4 Révolution financière
Enseigner aux Congolais à s'endetter au lieu d'épargner, de créer un écosystème dans lequel ils peuvent s'endetter, puis de leur apprendre à utiliser judicieusement la dette pour s'endetter davantage comme dans le monde moderne.Collecte de ce que l'on pourrait estimer à des centaines de milliards de dollars que la Belgique et les USA doivent à la RDC.
Faire chanter les économies avancées qui se trouvent être aussi les pollueurs sur le « changement climatique global » Initiative d'allégement de la dette HIC (pays très endettés comme les États-Unis, la Chine, la France) qui pourrait nous rapporter près d'un billion de dollars.
Les grandes économies sont aussi les nations les plus endettées. Donc, nous devrions tricher comme eux.
5 Révolution de la politique étrangère
Coloniser économiquement le monde.
Coloniser économiquement, socialement et culturellement l'Afrique centrale car tous nos voisins sont tous primitifs et continuent d'entraîner la RDC dans leur politique économique médiévale qui contribue largement à freiner notre développement social et notre modernisation économique.
Le quatrième pouvoir
Pour que les électeurs puissent prendre des décisions éclairées lors du choix de leurs représentants, ils doivent être bien informés de l'actualité. C'est pourquoi le défi incombe à la presse et aux médias, qui doivent assumer pleinement leur rôle de garde-fous et de diffuseurs d'informations et d'analyses fiables pour enrichir le dialogue national et clarifier la ligne de démarcation lorsqu'elle existe ou signaler qu'elle n'existe pas entre les candidats.
Ils doivent défier les candidats potentiels, au-delà des présidentielles, avec des questions pertinentes et difficiles, notamment comment ils financeraient la transformation sociale de la nation, le développ ement économique et briseraient le cauchemar congolais quotidien. Leur solution, s'ils en ont une, qu'ils proposeraient devrait définir dans quel réservoir idéologique les placer.
Smash ou passe
« L'exceptionnalisme » congolais est un fait du poids démographique, de la taille géographique, et de toutes les ressources stratégiques dont regorge la RDC. Mais il appartient aux Congolais de l'intérieur et de l'extérieur du pays de saisir cette opportunité la phase avant les élections de 2023 pour utiliser l'outil le plus efficace de transformation sociale et de développement économique, un dialogue national franc et sain s'alignant derrière des idées ou des idéologies et non des individus ou des tribus.
Après tout, la démocratie est un marché d'idées pour améliorer le niveau de vie dans une société, pas un concours de beauté ou ethnique.C'est vrai que je suis toujours tenté d'éclater de rire à chaque fois que quelqu'un s'approche de moi et me dit ou m'écrit que j'ai un bon menu et la motivation pour gagner la présidence, mais que je devrais abandonner car soi-disant le président Tshisekedi va gagner par fraude censée être déjà synchronisée.
Après que cela continue de se produire, je le prends d'abord comme un terrible affront pour lui et pour toute la nation, puis comme une échappatoire à nos responsabilités d'électeurs, souverains primaires et pierre angulaire de la nation.
Si longtemps ignoré le fait qu'il ne tient qu'à nous congolais de défaire ce qu'il a fallu plus d'un demi-siècle pour créer et entretenir, puis après l'indépendance jusqu'à aujourd'hui pour maintenir, tout le processus de pensée coloniale sur c'est qu'être Congolais, ce que vaut un Congolais, qu'est-ce que le pacte national congolais, quel est le rôle et le pouvoir de l'Etat, et quels sont les piliers de l'économie politique nationale.
Jo M. Sekimonyo
Auteur, théoricien, militant des droits de l’homme et économiste politique
"RDC: déjà 34 millions de personnes enrôlées sur les 49 millions attendues, la CENI optimiste - 19 mars 2023
= https://actualite.cd/2023/03/19/rdc-deja-34-millions-de-personnes-enrolees-sur-les-49-millions-attendues-la-ceni
"RDC: ne pas enrôler maintenant et réserver les sièges des entités touchées par l’offensive du M23, l’option envisagée par la CENI - 19 mars 2023
= https://actualite.cd/2023/03/19/rdc-ne-pas-enroler-maintenant-et-reserver-les-sieges-des-entites-touchees-par-loffensive
"RDC: c’est encore possible de respecter le délai constitutionnel malgré les prolongations des périodes d’enrôlement des électeurs (Denis Kadima) - 19 mars 2023
= https://actualite.cd/2023/03/19/rdc-cest-encore-possible-de-respecter-le-delai-constitutionnel-malgre-les-prolongations
"[/Elections en RDC: l’opposant Franck Diongo appelle à un «front» anti-Tshisekedi - 19/03/2023
= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20230319-elections-en-rdc-l-opposant-franck-diongo-appelle-%C3%A0-un-front-anti-tshisekedi
"Katumbi et Fayulu en baisse dans les sondages ( Berci,GEC)
-17 février 2023
= https://magazinelaguardia.info/2023/02/17/katumbi-et-fayulu-en-baisse-dans-les-sondages-bercigec/
"La CENI en zone de turbulences ! - 19 Mars 2023
= https://www.congoindependant.com/la-commission-electorale-nationale-independante-traverse-une-zone-de-turbulences/
"Elections 2023 : l’IRDH alerte sur le danger des discours d’exclusions -
17.03.2023
= https://magazinelaguardia.info/2023/03/17/lirdh-alerte-sur-le-danger-des-discours-dexclusion/
= https://magazinelaguardia.info/2023/03/15/ceni-71-delecteurs-deja-inscrits-dans-laire-operationnelle-2/
= https://actualite.cd/2023/03/19/rdc-cette-annee-la-ceni-attend-474-millions-usd-de-la-part-du-gouvernement-part-les
"
ndonzwau

» Monsengwo dit: "je dénoncerai la fraude électorale"
» La fraude électorale vient-elle de commencer ?
» Ticket présidentiel?
» S.O.S KASAÏ: POURQUOI ON N'EN PARLE PAS ASSEZ?
» LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
» La fraude électorale vient-elle de commencer ?
» Ticket présidentiel?
» S.O.S KASAÏ: POURQUOI ON N'EN PARLE PAS ASSEZ?
» LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|