MBUTA MASHAKADO EST MORT

3 morts en 3 semaines c drole ca..im speachless....infos a verifier

BUGATTI VEYRON a écrit: 3 morts en 3 semaines c drole ca..im speachless....infos a verifier

Cavalier va trouver le lien étrange entre ces 3 morts.

Admin a écrit:

BUGATTI VEYRON a écrit: 3 morts en 3 semaines c drole ca..im speachless....infos a verifier

Cavalier va trouver le lien étrange entre ces 3 morts.

naboule bien...El Cavaliere nde TAHONDA to dIEU MUKUNA keiekiekeie vraiment...

Le chanteur Dieudonné Nzolantima alias Yaya Brown Mbuta Mashakado dans l’un de ses numéros



C’était un tempérament de feu sur scène, un authentique showman qui crevait l’écran lorsque son orchestre de l’époque, Zaïko Langa Langa se produisait à la télévision nationale. Plus tard, dans l’orchestre Yoka Lokole, il fera montre d’un sacré caractère en congédiant publiquement Papa Wemba. Lui-même quittera ce groupe et y reviendra en remontant sur scène sans négociation et surtout en criant qu’il réintégrait l’orchestre « na canaille kaka » traduisez « en se foutant de l’avis des autres » . Ainsi était Mbuta Mashakado « Yaya Brown ». Sa rivalité vivace avec Bimi Ombale dans Zaïko était de notoriété publique, mais les deux ont fini comme les meilleurs amis du monde. Quelques jours après la mort de Bimi, une rumeur l’annonce mort à deux reprises. Pris en tenaille par la peine de perdre un ami cher et l’absurdité de la rumeur le donnant mort relayée par la presse, Mbuta Mashakado s’est confié à AEM

AFRIQU’ÉCHOS MAGAZINE (AEM) : Mbuta Mashakado, plusieurs rumeurs vous concernant ont circulé, les plus optimistes ont annoncé votre sortie de l’hôpital et votre présence aux obsèques de Bimi... mais personne ne vous a vu au deuil...

MBUTA MASHAKADO (MBM) : Bimi était plus que mon frère et il n’ y avait pas de raison pour que je ne sois pas à ses funérailles. J’ai tout simplement été empêché de me rendre à ce deuil pour raisons de santé. N’eût été cela, j’allais y être présent car j’y tenais...

AEM : La mort de Bimi vous a certainement bouleversé, quelles sont les images, quels sont les souvenirs qui sont remontés dans votre esprit quand vous avez appris la nouvelle ?

MBM : Bimi Ombale était un grand artiste, un grand auteur-compositeur dont la chanson « Joliba » est parmi tant d’autres l’une de mes préférées. Malheureusement, dans notre pays, on ne reconnaît pas forcément les grands. En guise de souvenirs, je me souviens encore de l’époque où un producteur lui avait offert une voiture VW Passat pour sa chanson « Mwana Wabi ». Après les concerts, c’est souvent moi qui prenais le volant de sa voiture alors que sur scène nous nous livrions à une guerre impitoyable pour le leadership. C’était, en fait, une rivalité de façade.

AEM : Comment décririez-vous le chanteur et l’homme Bimi ?

MBM : C’était, comme je viens de le souligner, un grand artiste, un artiste doué, talentueux. Mais aussi, quelqu’un de très sociable dans la vie de tous les jours, un homme au grand coeur.

AEM : Comment avez-vous pris la rumeur qui vous a annoncé mort et qui a même été relancée encore vendredi 14 mai 2011 ?

MBM : J’ai vite compris... C’est comme si je venais de ressusciter, comme l’a été Christ. Vous savez que cette rumeur a encore été relayée vendredi soir sur la chaîne de radio télévision Digitalcongo ? Cette chaîne est pourtant basée à Kinshasa où je vis mais ses journalistes ne se sont même pas donné la peine de vérifier l’information. Dans ce pays, beaucoup de journalistes inventent des histoires sur des gens dans le but de se faire remarquer et d’approcher leurs victimes pour leur soutirer de l’argent. C’est bien dommage...

AEM : Pouvez-vous nous dire un mot sur vos soucis de santé ?

MBM : Je n’ai aucun commentaire à faire là-dessus, mais sachez que je vais bien.

AEM : Vous vous portez comme un charme ?

MBM : Je vous assure qu’il n’ y a rien de grave...

AEM : Jossart Nyoka Longo a déclaré qu’avant la mot de Bimi, vous ne vous quittiez plus, qu’est-ce qui a pu vous rapprocher à ce point ?

MBM : Nous avons compris que nos destins étaient liés, que nous avions besoin l’un de l’autre, que nous pouvions marcher ensemble. C’est vrai que lors de nos débuts dans Zaïko Langa-Langa, nous étions encore gamins et nous nous disputions le leadership. Il y avait même deux camps, celui des jeunes de Matonge et celui des jeunes issus d’autres quartiers. Mais au delà, nous étions amis et frères et nous le sommes restés.

AEM : Depuis votre retour de France et l’aventure Familia Dei, vous n’avez plus relancé votre carrière, avez-vous des regrets, des remords à ce sujet ?

MBM : Non, pas du tout ! J’avais tout simplement compris qu’il était temps d’arrêter... Car, dans la vie, il faut savoir ce que l’on veut...

AEM : Les anciens de ZLL se retrouvent souvent sur scène et vous êtes quasiment le seul qui n’est jamais remonté avec les autres anciens sur scène...

MBM : Vous aurez certainement remarqué que nous sommes tout le temps ensemble, aussi bien dans des moments de bonheur que dans des moments difficiles. Donc, on est resté amis et frères comme je l’ai souligné. Cependant, en tant que serviteur de Jésus, j’ai une autre vision. Tout en respectant mes frères et ce qu’ils font, je me suis tracé une autre voie, ma voie. C’est une autre vision ...

Propos recueillis par Jossart Muanza (AEM)

http://www.starducongo.com/Mbuta-Mashakado-Bimi-et-moi-avons-compris-que-nos-destins-etaient-lies_a3705.html

djino a écrit:MBUTA MASHAKADO ne serait pas mort selon site ya Ngambo !

C'est quoi ce délire

C’était un tempérament de feu sur scène, un authentique showman qui crevait l’écran lorsque son orchestre de l’époque, Zaïko Langa Langa se produisait à la télévision nationale. Plus tard, dans l’orchestre Yoka Lokole, il fera montre d’un sacré caractère en congédiant publiquement Papa Wemba. Lui-même quittera ce groupe et y reviendra en remontant sur scène sans négociation et surtout en criant qu’il réintégrait l’orchestre « na canaille kaka » traduisez « en se foutant de l’avis des autres » . Ainsi était Mbuta Mashakado « Yaya Brown ». Sa rivalité vivace avec Bimi Ombale dans Zaïko était de notoriété publique, mais les deux ont fini comme les meilleurs amis du monde. Quelques jours après la mort de Bimi, une rumeur l’annonce mort à deux reprises. Pris en tenaille par la peine de perdre un ami cher et l’absurdité de la rumeur le donnant mort relayée par la presse, Mbuta Mashakado s’est confié à AEM

AFRIQU’ÉCHOS MAGAZINE (AEM) : Mbuta Mashakado, plusieurs rumeurs vous concernant ont circulé, les plus optimistes ont annoncé votre sortie de l’hôpital et votre présence aux obsèques de Bimi... mais personne ne vous a vu au deuil...

MBUTA MASHAKADO (MBM) : Bimi était plus que mon frère et il n’ y avait pas de raison pour que je ne sois pas à ses funérailles. J’ai tout simplement été empêché de me rendre à ce deuil pour raisons de santé. N’eût été cela, j’allais y être présent car j’y tenais...

AEM : La mort de Bimi vous a certainement bouleversé, quelles sont les images, quels sont les souvenirs qui sont remontés dans votre esprit quand vous avez appris la nouvelle ?

MBM : Bimi Ombale était un grand artiste, un grand auteur-compositeur dont la chanson « Joliba » est parmi tant d’autres l’une de mes préférées. Malheureusement, dans notre pays, on ne reconnaît pas forcément les grands. En guise de souvenirs, je me souviens encore de l’époque où un producteur lui avait offert une voiture VW Passat pour sa chanson « Mwana Wabi ». Après les concerts, c’est souvent moi qui prenais le volant de sa voiture alors que sur scène nous nous livrions à une guerre impitoyable pour le leadership. C’était, en fait, une rivalité de façade.

AEM : Comment décririez-vous le chanteur et l’homme Bimi ?

MBM : C’était, comme je viens de le souligner, un grand artiste, un artiste doué, talentueux. Mais aussi, quelqu’un de très sociable dans la vie de tous les jours, un homme au grand coeur.

AEM : Comment avez-vous pris la rumeur qui vous a annoncé mort et qui a même été relancée encore vendredi 14 mai 2011 ?

MBM : J’ai vite compris... C’est comme si je venais de ressusciter, comme l’a été Christ. Vous savez que cette rumeur a encore été relayée vendredi soir sur la chaîne de radio télévision Digitalcongo ? Cette chaîne est pourtant basée à Kinshasa où je vis mais ses journalistes ne se sont même pas donné la peine de vérifier l’information. Dans ce pays, beaucoup de journalistes inventent des histoires sur des gens dans le but de se faire remarquer et d’approcher leurs victimes pour leur soutirer de l’argent. C’est bien dommage...

AEM : Pouvez-vous nous dire un mot sur vos soucis de santé ?

MBM : Je n’ai aucun commentaire à faire là-dessus, mais sachez que je vais bien.

AEM : Vous vous portez comme un charme ?

MBM : Je vous assure qu’il n’ y a rien de grave...

AEM : Jossart Nyoka Longo a déclaré qu’avant la mot de Bimi, vous ne vous quittiez plus, qu’est-ce qui a pu vous rapprocher à ce point ?

MBM : Nous avons compris que nos destins étaient liés, que nous avions besoin l’un de l’autre, que nous pouvions marcher ensemble. C’est vrai que lors de nos débuts dans Zaïko Langa-Langa, nous étions encore gamins et nous nous disputions le leadership. Il y avait même deux camps, celui des jeunes de Matonge et celui des jeunes issus d’autres quartiers. Mais au delà, nous étions amis et frères et nous le sommes restés.

AEM : Depuis votre retour de France et l’aventure Familia Dei, vous n’avez plus relancé votre carrière, avez-vous des regrets, des remords à ce sujet ?

MBM : Non, pas du tout ! J’avais tout simplement compris qu’il était temps d’arrêter... Car, dans la vie, il faut savoir ce que l’on veut...

AEM : Les anciens de ZLL se retrouvent souvent sur scène et vous êtes quasiment le seul qui n’est jamais remonté avec les autres anciens sur scène...

MBM : Vous aurez certainement remarqué que nous sommes tout le temps ensemble, aussi bien dans des moments de bonheur que dans des moments difficiles. Donc, on est resté amis et frères comme je l’ai souligné. Cependant, en tant que serviteur de Jésus, j’ai une autre vision. Tout en respectant mes frères et ce qu’ils font, je me suis tracé une autre voie, ma voie. C’est une autre vision ...

Propos recueillis par Jossart Muanza (AEM)

http://www.starducongo.com/Mbuta-Mashakado-Bimi-et-moi-avons-compris-que-nos-destins-etaient-lies_a3705.html