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Tout est faux chez Kabila

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Message  KOTA 4/9/2010, 9:44 pm

Re: Gratuité de l’Enseignement Primaire en RDC
de kota le Sam Sep 04, 2010 1:20 pm

Il s agit d un enieme effet d annonce sans lendemain, typique de la politique spectacle kabiliste:

~ la paix au Kivu? Une blague de mauvais gout
~ la reconstruction du Congo: Une affaire de refection d un Boulevard finance en detournant l argent du pedage de la Nationale N*1(en delabrement deja, naturellement, faute d entretien) rien de plus...
~ le smig pour tous? Un leurre...
~ une celebration du cinquantenaire de l independance du Congo preteduement fasteuse mais sans jouissance populaire et sous l enseigne de la honte apres le retard du defile des forces armees congolaises pour attendre l arrivee a la tribune d honneur de deux genocidaires du peuple congolais, Kagame et Museveni
~ une democratie de facade ou les defenseurs des droits de l homme sont tues par des policiers sous des seances de torture sans que la justice ne bouge effectivement
~ un pays ou un candidat finance a titre prive une commission electorale qui aurait etre dechue depuis des annees de ses fonctions en faveur dune CENI prefiguree par la Constitution et dont le president s apprete de nouveau a faire sortir de son chapeau de prestidigitateur des resultats faintaisistes en faveur de son employeur et ses hommesvde main...
~ un pays ou les opposants, a qui n est pas reconnue lal iberte d expression, manifestation et association...,n ont pas de choix entre se plier aux fausses regles de la democrature ambiante ou bien operer dans la clandestinite 

Kabila continue de se moquer des congolais, au sujet de gratuite de l enseignement comme aussi a propos de la paix, le developpement ou bien la democratie: tout est faux chez Kabila

Yves Kota


Début du message transféré :

Expéditeur: Fsddc <democratiechretienne@yahoo.fr>
Date: 4 septembre 2010 18:38:47 UTC+01:00
Destinataire: "democratie_chretienne@yahoogroups.com" <democratie_chretienne@yahoogroups.com>
Objet: Gratuité de façade de l'enseignement primaire: effet d'annonce électoral, encore une fois...




Dernières infos
04.09.10 Le Potentiel / EDITORIAL: Gratuité de façade
La rentrée scolaire 2010-2011 est annoncée pour le lundi 6 septembre prochain. Avec, en prime, la gratuité « effective de l’enseignement primaire dans les établissements public », annoncée le 30 août dernier à Kananga par le chef de l’Etat. 
Mais, les parents d’élèves ne sont réjouis de la nouvelle que durant un laps de temps, le ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et professionnel ayant résolu de jouer au rabat-joie.
Sans attendre une décision du gouvernement que le chef de l’Etat « charge de prendre toutes les dispositions nécessaires pour rendre effective la gratuité de l’enseignement dans tous les établissements publics dès la rentrée dès la rentrée scolaire 2010-2011 », il a vite faire d’en réduire la portée.

« La gratuité (…) sera rendue effective en deux phases », a-t-il décrété, en lieu et place du Conseil des ministres.

Son communiqué « officiel », publié à la suite de celui du président de la République, décrète que la première phase « concerne les classes de première, deuxième et troisième années primaires dans toutes les provinces hormis les villes de Kinshasa et de Lubumbashi où le taux d’exclusion et l’indice de parité, fille-garçon, sont les plus faibles du pays ».

Alors que « l’enseignement primaire est obligatoire et gratuit dans les établissements publics », aux termes de l’alinéa 5 de l’article 43 de la Constitution. « L’éradication de l’analphabétisme (étant) un devoir national pour la réalisation duquel le gouvernement doit élaborer un programme spécifique », souligne l’article 44.

Et sans autre précision et dans un style sibyllin, il a, tout aussi souverainement, décidé que « la gratuité sera étendue dans la seconde phase aux autres classes du primaire et aux villes de Kinshasa et de Lubumbashi ».

Si « le ministre est responsable de son département », l’article 93 l’astreint à appliquer « le programme gouvernemental dans son ministère, sous la direction et la coordination du Premier ministre. Il statue par voie d’arrêter », généralement débattu en Conseil de ministres.

Dès lors, rien ne saurait justifier le fait qu’il appelle, d’un côté, « tous les enfants à l’école » et, de l’autre, en discrimine une grande partie « dès la rentrée scolaire 2010-2011 ». Prenant ainsi le chef de l’Etat à contre-pied.

Par ailleurs, la part du budget réservée chaque année à l’Education nationale étant « généralement inférieure à 5% », les Congolais sont curieux de connaître « la hauteur » des frais de fonctionnement qui « seront alloués aux écoles publiques ainsi qu’à tous les bureaux gestionnaires ».

Outre cette gratuité de façade, les pouvoirs publics doivent trouver des solutions durables à la démotivation des enseignants et du personnel de l’Education nationale, l’inexistence et l’insuffisance du matériel didactique, la corruption et au clientélisme dans l’évaluation des apprenants.

« L’enseignement n’est plus élitiste mais plutôt de masse, au détriment de sa qualité et l’enseignant mal payé, clochardisé et sans sécurité sociale », déplorent des syndicats des enseignants.

Droits de reproduction et de diffusion réservés © Le Potentiel< Retour

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04.09.10 Le Potentiel / EDITORIAL: Gratuité de façade
La rentrée scolaire 2010-2011 est annoncée pour le lundi 6 septembre prochain. Avec, en prime, la gratuité « effective de l’enseignement primaire dans les établissements public », annoncée le 30 août dernier à Kananga par le chef de l’Etat. 
Mais, les parents d’élèves ne sont réjouis de la nouvelle que durant un laps de temps, le ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et professionnel ayant résolu de jouer au rabat-joie.
Sans attendre une décision du gouvernement que le chef de l’Etat « charge de prendre toutes les dispositions nécessaires pour rendre effective la gratuité de l’enseignement dans tous les établissements publics dès la rentrée dès la rentrée scolaire 2010-2011 », il a vite faire d’en réduire la portée.

« La gratuité (…) sera rendue effective en deux phases », a-t-il décrété, en lieu et place du Conseil des ministres.

Son communiqué « officiel », publié à la suite de celui du président de la République, décrète que la première phase « concerne les classes de première, deuxième et troisième années primaires dans toutes lest provinces hormis les villes de Kinshasa et de Lubumbashi où le taux d’exclusion et l’indice de parité, fille-garçon, sont les plus faibles du pays ».

Alors que « l’enseignement primaire est obligatoire et gratuit dans les établissements publics », aux termes de l’alinéa 5 de l’article 43 de la Constitution. « L’éradication de l’analphabétisme (étant) un devoir national pour la réalisation duquel le gouvernement doit élaborer un programme spécifique », souligne l’article 44.

Et sans autre précision et dans un style sibyllin, il a, tout aussi souverainement, décidé que « la gratuité sera étendue dans la seconde phase aux autres classes du primaire et aux villes de Kinshasa et de Lubumbashi ».

Si « le ministre est responsable de son département », l’article 93 l’astreint à appliquer « le programme gouvernemental dans son ministère, sous la direction et la coordination du Premier ministre. Il statue par voie d’arrêter », généralement débattu en Conseil de ministres.

Dès lors, rien ne saurait justifier le fait qu’il appelle, d’un côté, « tous les enfants à l’école » et, de l’autre, en discrimine une grande partie « dès la rentrée scolaire 2010-2011 ». Prenant ainsi le chef de l’Etat à contre-pied.

Par ailleurs, la part du budget réservée chaque année à l’Education nationale étant « généralement inférieure à 5% », les Congolais sont curieux de connaître « la hauteur » des frais de fonctionnement qui « seront alloués aux écoles publiques ainsi qu’à tous les bureaux gestionnaires ».

Outre cette gratuité de façade, les pouvoirs publics doivent trouver des solutions durables à la démotivation des enseignants et du personnel de l’Education nationale, l’inexistence et l’insuffisance du matériel didactique, la corruption et au clientélisme dans l’évaluation des apprenants.

« L’enseignement n’est plus élitiste mais plutôt de masse, au détriment de sa qualité et l’enseignant mal payé, clochardisé et sans sécurité sociale », déplorent des syndicats des enseignants.

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