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KOMI BOMA/suicide

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Message  El-chaman 1/6/2009, 11:52 pm

L'histoire d'Algernon de Bonkers,un jeune et orgueilleux aristocrate,gravement mutilé pendant la guerre des Boers et qui,de désespoir,se SUICIDE.Son âme accède à l'astral,mais l'astral inferieur,car le suicide est un crime.

Algernon Reginald St Clair de Bonkers venait de s'affaisser sur le sol de la salle de bains.De son corps s'échappaient des sons ressemblant à des miaulements ou à des râles.Une femme de chambre qui passait dans le couloir s'arreta,saisie de peur et en tremblant appela derrier la porte.
-etes-vous bien,sir ? Vous sentez-vous bien ?
Ne recevant aucune réponse,elle decida à entrer.Au spectacle qu'elle découvrit,elle poussa un hurlement terrible qui monta dans un crescendo de plus en plus nourri.Puis des voix agitées se firent entendre ainsi que des bruits de pas dans l'escalier et le long du corridor.Les premiers arrivés s'arrêterent devant la porte avec une telle violence qu'ils arrachèrent presque la moquette.Puis,se groupant comme pour se donner du courage,ils risquerent un oeil par la porte restée entrouverte.
Algernon de Bonkers gisait la face contre le sol;le sang s'ecoulait d'une large entaille dans la gorge et avait déjà atteint le corps de la femme de sa chambre tombée inconsciente auprès de lui.
Soudain,elle eut un petit mouvement convulsif et ouvrit les yeux.regardant la mare de sang dans laquelle elle baignait-et avec un cri affreux qui ébranla les nerfs de ceux qui 'entouraient-elle eut une autre syncope.
Toujours gisant à terre,Algernon avait l'impression que les choses tournaient autour de lui,et que tout était ireel.Il entendait un bruit pénétrant,comme un rale,un bruit horrible de bouillonnement qui allait en diminuant à mesure que le sang s'ecoulait de son corps mutilé.
Il était conscient qu'un travail soperait en lui.Il y eut soudain un cri perçant qui projeta la femme de chambre contre lui.Le choc soudain chassa sir Algernon hors de sa propre enveloppe(son âme se separa de son corps physique),et il bondit vers le haut comme un ballon relié à une ficelle...
Pendant quelques seconde,il regarda autour de lui,confondu par cette experience.Il lui semblait qu'il flottait la face tournée vers le sol,et comme il regardait les deux corps sités au-dessous de lui,il vit qu'un cordon d'argent reliant son"nouveau"corps à l'ancien corps gisant inerte.Tandis qu'il observait le cordon,qui devenait gris sombre,d'horribles marques apparurent au point ou il joignait le corps,puis il se detacha et tomba tel un cordon ombilical...
Mais Algernon demeurait comme collé au plafond.Il appellait à l'aide,ne se rendant pas compte qu'il etait à l'exterieur d'un corps desormais sans vie,et dans le plan astral.Il était là,colle au plafond décoré de la maison ancestrale invisible à tous ceux qui venaient jeter un coup d'oeil dans la salle de bains,inspectant les lieux avec effroi,puis disparaissaient,remplacés par d'autres.Il vit la femme de chambre revenir à elle et l'entendit hurler d'effroi en se decouvrant dans une mare de sang,puis s'evanouir de nouveau.
Ce fut la voix du maitre d'hotel-une voix ferme et distinguée-qui vint rompre le silence.
-Voyons,voyons,dit-il,ne paniquons pas.Vous Bert,ajouta-t-il à l'intention du valet de pied,allez appeler la police;appelez également le Dr Mackinosh et,pendant que vous y etes,je pense que vous feriez bien de demander aussi l'entrepreneur des pompes funèbres.
Ayant donné ses ordres,il eut un geste imperieux à l'adresse du valet,qui s'en alla.
(...)le maitre d'hotel se lança ensuite dans une inspection minitieuse de la salle de bains.
-Ah,voila l'instrument,dit-il,avec lequel sir Algernon a mis fin à ses jours.Il designat du doigt un rasoir ouvert,tout maculé de sang,et qui avait glissé sur le coté de la baignoire...
(...)la police est ici,Mr harris,et le docteur,lui sera là 'un moment a l'autre.On parlait dans le hall et des pas lourds retentirent dans l'escalier,puis dans le couloir.
-Eh bien,que s'est-il passé ici ? dit une voix rude.Si je comprend bien,il ya eu suicide,mais etes-vous bien sur qu'il ne s'agit pas d'un meurtre ?
L'homme qui venait de parler-un policier en uniforme bleu-passa la tête par la porte de la salle de bains,cherchant d'un geste mécanique son carnet de notes dans la poche de sa veste.
(...)sans toucher,le docteur examina le corps attentivement.Puis d'un rapide mouvement du pied,il retourna completement et l'on vit les yeux grands ouvert qui regardaient fixement le plafond.
L'âme d'Algernon regardait vers le bas,fasciné par ce qu'il voyait.Tout lui semblait étrange,et pendant un moment il fut incapable de comprendre ce qui s'etait passé;mais une force inconnue le maintenait cloué au plafond.
L'Algernon vivant regardant,sous lui,les yeux morts,vitreux et ensaglantés du defunt Algernon.Il fixait le spectacle,son attention concentrée sur les mots de Harris.
-Oui,sir Algernon avait fait la guerre des Boers comme lieutenant,combattant noblement,et avait été blessé très serieusement.cette blessure,malheureusement,concernait une partie délicate de son anatomie que par égard pour les dames ici presentes,je ne peux préciser plus amplement.Et ces derniers temps son impossibilité a accomplir certaines choses le plongeait dans des crises de dépression,et d'autres que moi l'ont souvent entendu dire qu'une vie dans laquelle ces necessités sexuelles ne pouvaient etre satisfaites ne valait pas la peine d'etre vécue.Et il menacait d'y mettre fin.
(...)Puis il se saisit de son stéthoscope et appliqua l'une des extremités sur la poitrine du cadavre,placant l'autre contre son oreille.Chacun retenait son souffle.le dr secoua la tête d'un geste négatif en disant:
-TOUTE VIE EST ETEINTE,IL EST VRAIMENT MORT.
Il retira son stethoscope,le remit dans la sacoche destinée à cet usage,et se leva,s'essuyant les mains à la serviette que lui tendit la gouvernante.Le sergent designa d'un geste le rasoir en disant:
-Est-ce là,Dr l'instrument qui a mis fin aux jours de sir Algernon ?
Le dr jeta un regard vers le sol,puis ramassa le rasoir en se servant de la serviette et repondit:
-Oui,ceci a tranché la carotide.La mort a du etre instantanée.
(...)Collé au plafond,l'esprit de sir Algernon regardait vers le bas,completement fasciné.Soudain pour une quelconque raison,le sergent Murdock leva les yeux vers le plafond,laissa échapper un cri d'éffroi et s'ecroula sur le siege qui se brisa sous lui.
Sous le coup l'esprit de sir Algernon s'évanouit et lui-même perdit connaissance,conscient seulement d'un etrange bourdonnement,d'un tourbillonnement mysterieux,et de nuages noirs semblables à ceux qui s'échapperaient d'une lampe à petrole dont on aurait oublié de regler la meche.Ainsi l'obscurité descendit sur lui,et l'esprit de sir Algernon se desinteressa de ce qui se passait pour le moment du moins.
Algernon s'agita,comme le fait dans un sommeil artificiel provoqué par des drogues.De curieuse pensées se pressaient dans sa conscience incertaine,puis des éclats d'une musique céleste s'éleverent,suivis d'un flot de sons diabolique.Mal à l'aise,il remua,et la conscience lui revenant pendant un moment,il fut surpris par la lourdeur de ses mouvements;il avait l'impression d'être comme englué.S'éveillant en sursaut,Algernon essaya de s'asseoir mais il ne le put.Gagné par la panique,il découvrit que le mouvement lui était interdit.il toucha ses yeux pour voir s'ils etaient ouvert ou fermés,car aucune lumiere ne lui parvenait,Puis,baissant la main il chercha à sentir la texture du lit;mais le choc le fit recroqueviller,car sous lui,il n'y avait RIEN.
Il etait suspendu tel un poisson pris dans le saumur d'un reservoir à poisson.
Il essaya pendant un moment d'agiter faiblement les bras,comme fait le nageur cherchant à avancer contre le flot.Mais malgré les effort de ses pieds,de ses bras ouverts QUELQUE CHOSE le maintenait sur place.
Comprenant l'inutilité de ses efforts,mais surpris de decouvrir qu'ils ne le fatiguaient pas,il resta immobile et se prit à reflechir.
OU SUIS-JE ?se dit-il.
Oh,oui,je me souviens...j'avais décidé de me tuer,estimant inutile de continuer à vivre,frustré de la compagnie des femmes,à cause de mon impuissance.Quel malheur pour moi,murmuran-t-il en lui-même,que ces sales Boers aient choisi de me blesser à CET ENDROIT !.
"il se prit(l'âme se rememore)à repenser au passé;il revit le boer barbu qui levant son fusil avait tiré sur lui,non pas pour le tuer,mais visant délibérement avec un objectif bien defini celui de le frustrer de sa virilité.Il songeant ensuite au cher Vicaire qui avait recommandé la maison d'Algernon comme etant un refuge sûr pour les jeunes servantes ayant besoin de gagner leur vie.Puis il revit son pere qui avait dit,alors que le jeune homme était encore écolier:
-Algernon,mon garçon,tu dois apprendre les realités de la vie et découvrir avec quelques-unes des servantes que nous avons ici;tu verras qu'elles seront très utiles pour certains petits jeux;mais fais en sorte de ne pas prendre les choses au serieux.Ces classes inferieures sont là pour notre commodité.Tu seras de cet avis.
"OUI,pensa-t-il,même la gouvernante avait eu un petit sourire particulier,le jour ou l'on avait engagé une jeune servante spécialement accorte.Elle lui avait dit:
-Vous serez tout à fait en securité ici,ma fille,le maitre ne vous importunera pas;il est comme un de ces cheveaux dans le pré-vous savez-qui ont subi des soins spéciaux.Je vous repete que vous n'avez rien à craindre.Et la gouvernante s'en etait allée avec un petit ricanement espiegle.
Algernon revit sa vie(se defilé)dans le moindre details.L'ébranlement qu'avait causé la balle quand il l'avait recue,et les vomissements qui avaient suivi.Et il entendait encore le rire rauque du vieux fermier Boer s'ecriant:
-PLUS DE FILLES POUR TOI,MON GARS.Ce n'est pas toi qui assureras la descendance.Tu seras comme un de ces eunuques dont tu as du entendre parler.
Algernon se sentit rougir au souvenir de cette honte et il se rappela le plan à long terme qu'il avait concu CELUI DE SE SUICIDER après avoir decidé qu'il ne pouvait continuer à vivre dans de si étranges conditions;il avait trouvé intolerable les allusions du vicaire,un jour ou venu lui rendre visite,il lui avait parlé de son accident ajoutant combien il était heureux d'avoir un jeune homme sur et digne de confiance pour l'aider dans les réunions des paroissiennes et aux sessions d'ouvrages pour les oeuvres.
Le vicaire avait ajouté:
-Nous ne saurions être trop prudents,car nous ne pouvons pas risquer de ruiner le bon renom de notre église.Vous ne pensez pas ?
Ensuite,il y avait eu le docteur,le vieux dr de famille,Davis Mortmer,qui avait l'habitude de venir le soir....Nous prenions un verre de bon vin tous le deux,mais le plaisir s'évanouissait des qu'il disait:
-Ah,Algernon,je crois qu'il faut que je vous examine.Vous le savez,il importe de s'assurer que vous ne développez pas de caracteristiques feminine,il faut veiller par exemple,et très serieusement,à ce que le poil de votre visage ne tombe pas,car vous pourriez avoir des seins comme ceux d'une femme.Il importe surtout d'observer tout changement pouvant survenir dans le timbre de votre voix,car la chimie de votre corps s'est modifiée depuis que vous avez perdu certaines glandes.
Le dr l'avait alors regardé de façon cocasse pour voir comment il encaissait la chose,puis il avait enchainé en disant:
-Maintenant,je prendrais bien un autre verre.Vous avez là un excellent vin et votre pere s'y connaissait en luxes de toutes sortes et specialement ceux d'une certaine qualité.
Le pauvre Algernon en avait eu plus que son compte,le jour ou il avait entendu le maitre d'hotel dire à la gouvernante:
-Une chose terrible,vous savez,que celle qui est arrivée à sir Algernon-un jeune homme viril et si plein de vie,un tel honneur pour sa famille.Avant que vous soyez ici,et avant qu'il ne parte pour la guerre,il etait de toutes les chasses à courre et il était la coqueluche des matrones de la region.Invité dans toutes les soirées,on le considérait comme un gendre très souhaitable,et la mere de toute jeune fille débutant dans le monde avait les yeux sur lui.Mais à present,les meres de famille n'ont plus pour lui que commisération et elles savent que leur filles n'ont besoin de chaperon quand elles se trouvent en sa compagnie.Un jeune homme inoffensif,très inoffensif,en verité.
"Oui,pensa Algernon.C'est bien vrai.je me demande ce qu'ils auraient fait à ma place,gisant tout saglant,sur le champ de bataille;puis le chirurgien venant à moi,decoupant mon pantalon,et armé d'un couteau pointu amputant les restes de ce qui me différenciait d'une femme.Oh quelle agonie ce fut.Il existe maintenant cette drogue qu'on appelle chloroforme et qui supprime la douleur au cours d'une operations;mais,sur le champ de bataille,il n'y avait rien que le couteau et ce qu'on vous placait entre le dents afin de vous éviter de crier.Et ensuite la honte de la chose,la honte d'etre privé là en cet endroit".
Le soupir de subordonnés avec leur air embarassé et faisant des plaisanteries égrillardes dans son dos.
"Oui la honte de toute cette aventure.le derniere descendant d'une très ancienne famille,les de BONKERS venus avec l'invasion normande et qui avaient choisi de se fixer dans cette region de l'Angleterre,y batissant un grand manoir et y installant des fermiers.
Maintenant lui le dernier de la lignée,rendu impuissant en servant son pays,impuissant et ridicule aux yeux de ses pairs.Et qu'y a-t-il de risible dans un homme mutilé au service des autres ?Pour s'etre battu pour son pays,la famille allait s'éteindre"

ALGERNON GISAIT TOUJOURS,NI DANS L'AIR NI SUR LE SOL.Il était incapable de décider ou il se trouvait et ce qu'il était.Comme un poisson fraichement jeté hors de l'eau.Il se dit:
SUIS-JE MORT ? QU'EST-CE QUE LA MORT ? JE ME SUIS VU MORT,ALORS COMMENT SUIS-JE ICI ?
Ses pensées revinrent inévitablement aux événements survenus depuis son retour en Angleterre.Il se revit marchant avec une certaine difficulté,notant soigneusement les reactions de ses voisins,de sa famille et de ses domestiques.Puis l'idée avait germé en lui de se tuer,de mettre fin à une vie inutile.....(Apres plusieurs tentatives raté pour se tue)....
Et enfin,il y eut la derniere tentative.Il avait envoyé quelqu'un à Londre pour qu'on lui rapport le rasoir à la lame la plus effilée.C'etait un splendide instrument portant gravés le nom et l'écusson du fabricant.Il s'etait saisi de ce bel objet,l'avait longuement repassé sur le cuir et,d'un coup sec,s'etait ouvert la gorge d'une oreille à l'autre et seules les vertebres du cou avaient maintenu la tête sur les épaules.
Ainsi,il s'etait vu mort.Il savait qu'il l'etait conscient de s'etre tué,et ensuite,de ses yeux devenus vitreux,il s'etait vu sur le sol,depuis le plafond ou il etait fixé.Dans l'obscurité totale,il refléchissait profondement.
LA MORT ? QU'ETAIT-CE DONC QUE LA MORT ? Y AVAIT-T-IL QUELQUE CHOSE APRES ELLE ?
Il avait souvent agité le sujet,au mess,avec les officiers.Le pere avait essayé de leur expliquer la vie immortelle,la montée au paradis,et un hussard hardi,un major,avait repondu:
-Oh non,pere,je suis sur que tout ceci est sottise.La mort est la fin de tout.Si je tue un Boer,allez-vous me dire que j'irai tout droit au ciel ou dans l'autre lieu ? si je tue en lui traversant le coeur d'une balle et le maintiens au sol en posant le pieds sur sa poitrine,je peux vous assurer qu'il est mort,aussi mort qu'un porc empaillé.Quand on est mort,tout est bel et bien fini.


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El-chaman


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Message  El-chaman 2/6/2009, 12:42 pm

Tous les arguments concernant la vie après la mort lui revenaient à l'esprit.Pourquoi ne pouvait-on infirmer ou confirmer cette idée de l'existence d'une vie après la mort ?
"Si vous tuez un homme-eh bien,il est mort.Et si l'ame existe vous verrez alors quelque chose quitter ce corps"
Il ne pouvait cesser de méditer,se demandant ce qui s'etait passé et ou il était.Puis une idée lui traversa l'esprit:
Peut-etre ne s'agissait-il que d'un cauchemar et etait-il enfermé dans un asile à la suite d'un transport au cerveau ?Il promena ses mains autour de lui,tâtonnant soigneusement pour voir s'il n'etait pas attaché ou ceinturé,comme il arrive à certains fous.
Mais non,il flottait,tout comme un poisson flotte dans l'eau.
OU ETAIT-IL DONC ? MORT ? SUIS-JE MORT ? SI OUI,OU SUIS-JE,ET QUE FAIS-JE AINSI A FLOTTER PARESSEUSEMENT ?
Les mots du Pere revenaient à sa memoire:
-Quand vous quittez votre corps,un ange est là pour vous accueillir et vous guider.Vous serez jugé par Dieu lui-même,et connaitrez la punition qu'il decidera de vous infliger.
Algernon réflechit à l'ensemble du probleme:
Si Dieu était un Dieu bon,pourquoi un homme devrait-il sitôt mort etre puni ?Et s'il etait mort,comment pourrait-il etre affecté par une punition ?
Il etait là,pensa-t-il,gisant paisiblement,sans souffrance et sans joie particulieres.
Soudain il eut peur.Quelque chose se passa en lui.C'etait comme s'il y avait une main à l'interieur de son crâne.C'etait seulement une impression,la sensation que quelqu'un pensait à lui:
"SOIS EN PAIX,NE BOUGE PAS ET ECOUTE"
mais aucune voix lui parvenait.Pendant un moment,il essaya de se sauver,de courir.
Tout cela était par trop mysterieux,trop troublant;mais il etait cloué là.de nouveau l'impression revint:
"SOIS CALME,ET LIBERE-TOI DE CECI"
Algernon pensa en lui-même:
"je suis un officier et un gentleman,je ne dois pas me laisser aller à la panique mais etre un exemple pour mes hommes".
Et bien que très troublé,il se reprit et se laissa envahir par la paix et la tranquillité.
Soudain,il trembla et la panique l'envahit de nouveau.Il lui semblait que son crâne allait exploser.En lui l'obscurité se faisait plus dense,et bien qu'incapable de voir,il pouvait cependant sentir que de gros nuages plus noirs encore que l'obscurité tournaient autour de lui en l'enveloppant.
Puis dans toute cette noirceur ambiante,il lui sembla qu'un mince rai de lumiere le touchait et toutt au long de ce rai de lumiere venait l'impression:"PAIX,SOIS CALME,ET NOUS TE PARLERONS"
Grace à un effort surhumain,il parvint à maitriser sa panique.Le calme se fit en lui graduellement et de nouveau il resta immobile,attendant de futurs développements.Ils ne tardèrent pas:
"NOUS VOULONS VOUS AIDER,,,,,NOUS SOMMES TRES DESIREUX DE VOUS AIDER,MAIS VOUS NE NOUS LAISSEZ PAS AGIR"
Algernon reflechit,retournant cette idée dans sa tête.
"Vous ne nous laissez pas agir,repeta-t-il en lui-même.Mais je n'ai rien fait,rien dit.J'ignore qui ils sont et ne sais rien de ce qu'Ils vont faire.De plus je n'ai pas la moindre idée de l'endroit ou je suis.Ceci est-il la mort ? Négation ? Neant ? suis-je condamné à vivre ainsi dans cette obscurité pour l'éternité ? Mais,même ceci,pensa-t-il,pose probleme.Vivre ? Est-ce que je vis ?"
Des pensées multiples tourbillonaient en lui.Les enseignement de sa prime jeunesse lui revenaient en memoire:
"La mort n'existe pas,Je suis la ressurection;Dans la maison de mon Pere il y a plusieurs maison;Je vais préparer la voie pour vous;si vous vous conduisez bien,vous irez au Paradis,et dans le cas contraire,vous irez en enfer.Seuls les chretiens ont une chance d'aller au ciel".
Tant d'affirmations contradictoires,des malentendus-L'aveugle enseignant l'aveugle,les pretres et les maitres de l'ecole du dimanche gens qui s'aveugle eux-même en essayant d'éclairer ceux qu'ils estiment encore plus aveugles."L'Enfer ? qu'est-ce que ? Y a-t-il un Paradis ?
Une pensée puissante interropit ses cogitations:
"NOUS SOMMES PRÊT A VOUS AIDER,SI VOUS ACCEPTEZ D'ABORD LE PRINCIPE QUE VOUS ETES VIVANT ET QU'IL EXISTE UNE VIE APRES LA MORT.NOUS SOMMES PRÊTS A VOUS AIDER,SI VOUS-MÊME ETES DISPOSE A CROIRE AVEUGLEMENT EN NOUS,ET A CE QUE NOUS POUVONS VOUS ENSEIGNER."
A cette idée,le cerveau d'Algernon se revoltait.Qu'etait-ce donc que toute cette histoire d'aide ? Une sottise.En quoi pouvait-il croire ? s'il devait croire cela impliquait donc qu'il y avait un doute.ce qu'il voulait,c'etait des faits et non des croyances.Le premier fait etait qu'il s'etait tué de sa propre main;le second,qu'il avait vu son cadavre,et le troisieme qu'il se trouvait maintenant dans l'obscurité totale,immerge dans une substance apparemment gluante qui lui interdisait tout mouvement.Et des etres,des gens stupides envoyaient,il ne savait d'ou,des pensées en lui(à son cerveau),lui disant qu'il devait croire.Soit,MAIS CROIRE A QUOI ?


Dernière édition par chaman le 2/6/2009, 1:30 pm, édité 2 fois

El-chaman


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Message  taty 2/6/2009, 1:10 pm

Chaman,

Salut ! Où puis-je avoir le livre qui conte ce récit ? Ou soit le site internet.


tatilôtétatoux.
taty
taty


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Message  El-chaman 2/6/2009, 4:57 pm

.....Ce qui était une voix,une pensée ou une impression lui dit alors:
"VOUS ETES DANS LE PREMIERE STADE QUI SUIT LA MORT.SUR LA TERRE,VOUS AVEZ ETE MAL INFORME;ON VOUS A EGARE,ET SI VOUS TENEZ A SORTIR DE LA PRISON DANS LAQUELLE VOUS VOUS ETES ENFERME VOUS-MÊME,ALORS VOUS EN SORTIREZ".
Calmement,il reflechit à la question,puis pensa:"Si vous voulez que je croie,dites-moi d'abord ce qui m'arrive.Vous prétendez que je suis dans le stade qui suit la mort,alors que je croyais la mort était la fin de toutes choses"
"PRECISEMENT!rétorqua avec force la pensée ou la voix.PRECISEMENT!VOUS ETES ENVELOPPE DANS LES NUAGES DU DOUTE,LES NUAGES NOIRS DE LA DERAISON.VOUS ETES ENTOURE DE LA NOIRCEUR DE L'IGNORANCE ET,DE CET ISOLEMENT?VOUS ETES RESPONSABLE,VOUS VOUS L'ETES IMPOSE,ET VOUS SEUL POUVEZ LE DETRUIRE".
Algernon n'appreciait pas ce jugement,qui ressemblait à un blame."Je n'ai aucune raison de croire,pensa-t-il,je ne peux que suivre ce que l'on m'a appris.L'église m'a enseigné diverses choses,j'ai eu les maitres de l'ecole du dimanche,ainsi qu'une gouvernante,et vous pensez que je peux effacer tout ce qu'il m'ont dit,simplement parce qu'une impression inconnue et non identifiée s'adresse à mon esprit ? Faite quelque chose pour me montrer qu'il existe une chose derriere cette noirceur".
La noirceur se rompit soudain,s'ecartant comme les rideaux d'une scene pour permettre l'entrée des acteurs.Algernon fut soudain ebloui par le deversement d'une brillante lumiere et par de prodigieuses vibration dans l'atmosphere.Ce fut pour lui une extase qui failli lui arracher un cri,et ensuite le doute et la noirceur revinrent et l'enveloppèrent à nouveau.Doute,panique,récrimination contre lui-même et reproches contre les enseignements du monde.Il se prit à se douter de son bon sens.Comment de telles chose pourraient-elles être possible ? Il etait certain maintenant de ne pas avoir l'esprit dérangé et certain de ne pas etre victime d'hallucination.Il songea à cette plante bresilienne dont il avait absorbé les fruits.Et s'il souffrait des effets secondaire de cette ingestion,et partant d'hallucination ? Il avait vu son cadavre sur le sol-mais l'avait-il vu ?
Comment pouvait-il se voir,s'il etait mort ? Il pensa à la calvitie qu'il avait vue depuis le plafond,au sommet de la tête du maitre d'hotel.Si c'etait vrai,pourquoi alors ne l'avait-il pas vue plus tôt?
Pourquoi n'avoir pas remarqué que la gouvernante,visiblement,portait une perruque ? Il reflechit au probleme et oscilla entre la pensée que la vie après la mort était possible,et l'idée qu'il etait incontestablement dément.
"NOUS VOUS LAISSERONS PRENDRE VOTRE DECISION CAR LA LOI EST QU'UNE PERSONNE NE PEUT ETRE AIDEE QUE SI ELLE DEMANDE A L'ETRE.QUAND VOUS AUREZ DECIDE,DITES-LE,ET NOUS VIENDRONS.ET SOUVENEZ-VOUS QUE VOUS N'AVEZ AUCUNE ESPECE DE RAISON DE VOUS IMPOSER CET ISOLEMENT.CETTE NOIRCEUR EST UNE INVENTION DE VOTRE IMAGINATION."
Le temps n'avait aucune signification.Les pensées allaient et venaient,mais se demandait Algernon-quelle est la vitesse de la pensée ?combien des pensées avait-il eues ? s'il le savait,il lui serait possible,alors,de determiner depuis combien de temps il etait dans cette position et dans cette situation.Mais non,le temps n'avait desormais plus de sens.Pour autant qu'il pût en juger plus rien n'en avait.Il essaya de baisser les mains,en tâtant sous lui,mais il n'y avait rien.Au prix d'un effort extreme,il parvint à lever les bras.
Là encore,il ne trouva rien,ne sentit rien.si ce n'est l'impression d'arracher ses bras à une substance gluante...Puis il ramena ses mains sur son corps.


Dernière édition par chaman le 2/6/2009, 5:12 pm, édité 1 fois

El-chaman


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Message  El-chaman 2/6/2009, 5:59 pm

taty a écrit:Chaman,

Salut ! Où puis-je avoir le livre qui conte ce récit ? Ou soit le site internet.


tatilôtétatoux.
Comme je t'avais dit le 1er msg,le recit dont je parle est tiré du livre JE CROIS(I believe)de Lobsang Rampa dont Mongo Elombe avait cité le nom dans un chapitre ou l'ont parlaient de l'astral.Si tu veux approfondir dans ce genre des recit je te conseillerais ces livres de l'auteur que voici:
-LA VIE DE RAMPA
-LE TROIS VIES
-JE CROIS
-LE TROISIEME OEIL.
Il est dit de l'auteur ceci:Mardi Lobsang Rampa d'origine tibetaine devint medecin en chine,puis lors de la derniere guerre,aviateur,il est fait prisonnier et torturé par les Japonais.Il fut initié très jeune aux secrets de l'au-delà par des Lamas tibetains,triomphant par sa sagesse des épreuves d'une existence cruelle,approfondissant sa cesse sa science de l'astral.
Dans ce livre"JE CROIS" Lobsang Rampa relate sous forme de parabole le destin individuel:
Celui d'Algernon de Bonkers,un jeune et orgueilleux aristocrate,gravement mutilé pendant la guerre des Boers et qui,de désespoir,se SUICIDE.Son âme accede à l'astral,mais l'astral inferieure,car le SUICIDE EST UN CRIME.
Un nouveau destin terrestre lui est offert qui rachètera peut-etre cette existence brisée:
La vie humble et heroique d'un medecin des pauvres.Algernon saura-t-il l'assumer ? Peut-il esperer atteindre,apres sa mort,a une renaissance dans l'harmonie et l'astral superieur ?
Ndenge nakomaki liboso na supprime biloko misusu po façon Lobsang azo raconté yango,ba kombo azo tia ezo longola charme ya livre.En faite pour te dire la verité.Lobsang Rampa c'est un Adepte,mais ses differents livres comporte quand même des erreurs pour un ésoteriste.Par exemple na troisieme oeil tangu azo loba que bafungoli ye lisu(chakra oyo ezalaka na elongi entre deux yeux)il decrit son operation d'un façon physique.Ceux qui est tout a fait faux.Pcq troisieme bafungolaka yango nde wana té.Toujours na 3eme oeil soki otangi yango oko mona que azo loba que akufi pendant trois jours etc...apres azongi na nzoto nayé.
c'est faux il ne s'agit pas vraiment de la mort et ressurection na sens propre.Eza mort moko symbolique lors des certains rite ba initiée basalaka oko vivre vraiment liwa ndenge ezalaka,mais elingi koloba te que okufi.
Bon façon oyo azo koma par exemple sur les entites de l'au-dela dans ces livres parfois il exagere...ce qui lui avait valu ba critique makasi.
Mais a part ça Lobsang Rampa aza vrai adepte pour ceux qui connaissent et non un gard du new age ndenge ba komaka au sujet naye.
Bon ezalaki kk mua ba petits precisions quoi.

El-chaman


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Message  El-chaman 2/6/2009, 9:51 pm

...Sa tête etait bien là,ainsi que son cou et ses epaules et ses bras,bien sur,puisqu'il avait l'usage de ses mains.Mais il bondit veritablement,en decouvrant qu'il etait nu,et cette idée le fit rougir.Et si quelqu'un me trouvait ainsi ? On ne se montrait pas nu dans la classe à laquelle il appartenait.Ces choses ne se faisaient pas.Mais pour autant qu'il put l'affirmer,il avait encore sa dépouille humaine.Et ses doigts qui tataient et erraient s'immobilisèrent soudain,et il conclut qu'il etait vraiment fou-FOU-car ses doigts qui exploraient son corps rencontrèrent certaines parties intimes,meurtrie par le soldat boer,et dont le chirurgien avait pratiqué l'ablation.Ainsi il venait de se retrouver intact.
Il etait clair que c'etait son imagination.Très clairement,pensa-t-il,il avait regardé son corps qui sur le sol achevait de quitter le monde.Mais à cet instant l'idée lui vint qu'il avait regardé vers le bas.Comment pouvait-il regarder vers le bas,s'il etait vraiment ce corps en train de mourir ? Et s'il avait été capable de ragrer vers le bas,alors c'etait qu'une partie de lui.Son âme ou autre chose que vous appellerez comme vous voudrez avait du echapper du corps,et le simple fait qu'il ait pu regarder son propre corps indiquait qu'il existait"quelque chose"après la mort.
Il resta a meditait longuement.Son cerveau lui donnait l'impression de cliqueter comme une machine.De petit bribes des connaissance ramassées cà et là en divers point du monde se mettaient en place.Il pensa à une certaine religion...laquelle etait-ce donc ? Hindou ? Musulmane ? Il ne savait pas,mais c'etait une de ces étranges religions auxquelles seuls croient les indigenes,mais qui cependant enseignent que les hommes bons,quand ils meurent,se rendent en un lieu plein de filles consentantes.Consentantes ou pas,les filles n'etaient pas pour lui,et il suivit le fil de sa pensée.
La vie DOIT exister apres la mort;il doit y avoir quelque chose et quelqu'un sinon comment pourrait-il avoir dans son esprit pareille projection brillante ?
Algernon sursauta d'étonnement.
-Oh! L'aube vient! s'exclama-t-il.Il est vrai que l'obscurité maintenant faiblissait,de même que tout s'allégeait autour de lui;il s'enfonçait doucement jusqu'au moment ou ses mains étendues sous lui sentirent quelque chose.Et son corps continuant à s'enfoncer,Algernon découvrit alors que ses mains était capables de serrer.Non c'etait impossible ! Mais d'autres tentatives confirmèrent cette realité.Oui,ses mains étaient en contact avec une herbe tendre,et son corps détendu reposait sur un gazon dru.La lumiere se fit en lui:
Il comprit enfin qu'il n'etait plus dans le neant,mais dans un lieu physique ou se trouvaient d'autres choses que l'obscurité.Et tandis,qu'il en prenait conscience,l'obscurité continuait de decroitre et il se trouva comme enveloppé dans une brume légère,au travers de laquelle il voyait des formes vagues.Il ne pouvait les voir clairement,mais ces silhouettes etaient bien là.Il regarda vers le haut et une forme sombre apparut au-dessus de lui.Seules lui étaient visible deux mains étendues comme dans un geste de benediction;puis une voix que cette fois il entendit clairement parla dans un anglais d'eton ou d'oxford...
-LEVEZ VOS PIEDS,MON FILS.LEVEZ VOS PIEDS ET PRENEZ MA MAIN;SENTEZ QUE JE SUIS SOLIDE,TOUT COMME VOUS ET CECI SERA UNE PREUVE DE PLUS QUE VOUS ETES VIVANT DANS UN ETAT DIFFERENT,JE L'ADMETS MAIS VIVANT;ET PLUS VITE VOUS PRENDREZ CONSCIENCE QUE VOUS L'ETES ET COMPRENDREZ QUE LA VIE EXISTE APRES LA MORT,PLUS VITE VOUS SEREZ EN MESURE D'ENTRE DANS LA GRANDE REALITE.
Faiblement,Algernon tenta de se mettre sur ses pieds,mais maintenant les sensation avaient change;il semblait incapable de se servir de ses muscles comme il en avait l'habitude;de nouveau la voix s'eleva.
-IMAGINEZ-VOUS DANS L'ACTE DE VOUS LEVER,ESSAYEZ DE VOUS VOIR VOUS METTANT DEBOUT.
Ce que fit Algernon.A son grand étonnement,il découvrit qu'il se tenait debout et qu'une forme l'étreignait;forme qui se faisait de plus en plus brillante et plus précise,jusqu'au moment ou il vit clairement devant lui un homme d'age moyen,d'un aspect lumineux et vetu d'une robe jaune.
Algernon chercha à evaluer la hauteur de la silhouette,et son champ de vision le fit se rencontrer lui-même.Decouvrant qu'il etait nu,il laissa échapper un cri d'effroi.
-Oh!mais ou sont mes vetements ? je ne peux pas etre vu ainsi!
La forme lui sourit avec gentillesse en disant:
-LES VETEMENTS NE FONT PAS L'HOMME,MON AMI.ON VIENT AU MONDE NU.REFLECHISSEZ AUX VETEMENTS QUE VOUS AIMERIEZ PORTER ET VOUS LES TROUVEREZ SUR VOUS.
Algernon(pensa aux vetements qu'il voulait et sur le coups ceux-ci se trouva sur son corps
.....il failli s'evanoui par le phenomene heureuseument son gardien enrobe jaune le soutint)
Les paupiere d'Algernon battirent et,d'une voix faible,il murmura:
-Je crois,seigneur.Pardonnez-moi mes peches et pardonnez les offenses que j'ai commises.
L'homme laissa tomber sur lui un sourire de bienveillance et lui dit:
-JE NE SUIS PAS LE SEIGNEUR;JE NE SUIS QUE CELUI DONT LA TACHE EST D'AIDER CEUX QUI VIENNENT DE LA VIE TERRESTRE ET PENETRENT DANS CELLE-CI.
LE STADE INTERMEDIAIRE ET JE SUIS PRÊT A VOUS OFFRIR MON AIDE DES QUE VOUS SEREZ DISPOSE A LE RECEVOIR.


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Message  taty 2/6/2009, 10:27 pm

Chaman,

Voici ce que j'ai pu lire sur ce LOBSANG RAMPA : http://togopages.net/blog/?p=486

... Jusqu’au jour où, soudain, je découvre que le fameux moine qui m’accompagnait dans mes crises de spiritualité juvéniles se nommait en réalité Cyril Henry Hoskins, qu’il était né dans le Devonshire, que son père était plombier-zingueur à Londres et qu’à la parution de son premier livre, “Lobsang Rampa” n’avait en fait jamais quitté la Grande-Bretagne! Ah, sacré Rampa! Ce qui est bizarre dans l’affaire, c’est que je n’ai pas osé révéler à mon frère et à mon beau-frère cette découverte qui m’ébranla profondément et allait me confirmer dans cette intuition que j’avais des pouvoirs du Mot, de la Littérature...


tatilôtétatoux.
taty
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Message  El-chaman 2/6/2009, 11:03 pm

taty a écrit:Chaman,

Voici ce que j'ai pu lire sur ce LOBSANG RAMPA : http://togopages.net/blog/?p=486

... Jusqu’au jour où, soudain, je découvre que le fameux moine qui m’accompagnait dans mes crises de spiritualité juvéniles se nommait en réalité Cyril Henry Hoskins, qu’il était né dans le Devonshire, que son père était plombier-zingueur à Londres et qu’à la parution de son premier livre, “Lobsang Rampa” n’avait en fait jamais quitté la Grande-Bretagne! Ah, sacré Rampa! Ce qui est bizarre dans l’affaire, c’est que je n’ai pas osé révéler à mon frère et à mon beau-frère cette découverte qui m’ébranla profondément et allait me confirmer dans cette intuition que j’avais des pouvoirs du Mot, de la Littérature...


tatilôtétatoux.
OUI TATY JE CONNAIS TOUS CA.D'AILLEURS CES GRACES A TOUTE CES CAMPAGNES AU DIRE DE RAMPA LUI-MÊME QU'IL PRENDRA LA FUITE POUR SE REFUGIE AU CANADA A GALGARY"je crois".
IL FAUT SAVOIR QUE RAMPA AVAIT DIT UNE CHOSE SUR LUI QUI AVAIT CHOQUE LE MONDE LES JOURNALISTES A SON EPOQUE.IL AVAIT DIT QU'IL AVAIT CHANGER DE CORPS.SON ESPRIT AVAIT PENETRE DANS LE CORPS D'UN ANGLAIS QUI VOULAIT SE SUICIDE. ET SELON RAMPA IL DEVAIT PRENDRE CE CORPS POUR CONTINUE SA"mission".
BON CELA PEUT ETONNE BEAUCOUPS DES SCEPTIQUES,MAIS CES GENRES DES PHENOMENES BIEN QUE TRES RARE EXISTE.
SOKI OYEBI OYO NA BAS-CONGO TOZALAKI KOBENGA MUNDELE NGULU Arrow Question
BON RAMPA AVAIT AUSSI BCP D'ENNEMIS PARMIS LES NAZIS,ET CERTAINS BOUDHISTES MÊME.
DONC BAZALAKI KOSALELA YE CAMPAGNE MAKASI.SELON LES RENSEIGNEMENTS QUE J'AI RECU,IL NOUS A ETE DIT QUE SA MISSION CONSISTE A EVEILLE LES INQUIETUDES SPIRITUEL EN OCCIDENT.MOI PAR EXEMPLE JE NE SUIS D'ACCORD SUR BCP DES CHOSES QU'ENSEIGNE RAMPA....
MAIS IL Y A BEAUCOUPS DES CHOSES,BEAUCOUPS QU'IL A DIT SON VERIFIABLE ET CORRECT POUR UN MYSTIQUE,DONC UN IMPOSTEUR AKOKI KOYEBA YANGO TE.SAUF MUTU YA MYSTIQUE....
EN PLUS RAMPA A ENSEIGNA MINGI SUR ASTRAL YEBA QUE SERIE WANA NA EUROPE"nazi" BALINGAKI TE BATU BAYEBA BA SECRET NA BANGO.
A SUIVRE

El-chaman


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Message  taty 3/6/2009, 1:00 am

Chaman,

Po na ba makambo ya mundele ngulu, eske ezalaki vraiment ya solo ?
Na Bandal namona type moko penza na poso ya mundele, mais nzoto ya biso quoi. Baloba que aza mundele ngulu. Meka nanu ko expliquer ndenge ezalaki ko se passer.

tatilôtétatoux.
taty
taty


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Message  El-chaman 3/6/2009, 1:15 am

taty a écrit:Chaman,

Po na ba makambo ya mundele ngulu, eske ezalaki vraiment ya solo ?
Na Bandal namona type moko penza na poso ya mundele, mais nzoto ya biso quoi. Baloba que aza mundele ngulu. Meka nanu ko expliquer ndenge ezalaki ko se passer.

tatilôtétatoux.
Taty yeba que toza avant tout un esprit dans un corps.
Mundele ngulu eza ya solo,mais seule mutu ya mystique mutu ako yeba yé.Jamais boko yeba ye boye.
En faite eza ba rite,bazalaki kosala"okomona mutu akufi na mayi"Famille boleli ebembe,MAIS AKUFI NAYE TE scratch
Par des rite mystique okomona âme wana eko kota awa na poto na nzoto ya mundele.Mais oza TOUJOURS Africain.Et mindele wana bazalaki koya na Kinshasa avec Mbongo ebele,Okomona azo salisa famille moko boye,ko aider bino makasi.Et pourtant ye ayebi que aza NDEKO NA BINO OYO"akufaki pe bolela".Mais batu ya misu minei kaka mutu bazalaki koyeba que,MUNDELE BOYE ASALISA FAMILLE SONGOLO EZA NA NGO NDEKO NA BANGO Ngombo mais a changeant Nzoto.
Eza ba mystere.....Lobsang Rampa a changeant nzoto parceque ba japonais ba torturaka ye trop et corps physique naye ebebaki.
Ba Africain, afro Ba Tibetain bayebi makambu wana yako changer Nzoto.

El-chaman


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Message  El-chaman 3/6/2009, 1:19 am

Bon nake kolala lobi,je suis tres fatiguer

El-chaman


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Message  taty 3/6/2009, 1:22 am

Qu'est-ce qui arrive alors na âme ya corps oyo ye akoti ?

tatilôtétatoux.
taty
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Message  El-chaman 3/6/2009, 12:18 pm

taty a écrit:Qu'est-ce qui arrive alors na âme ya corps oyo ye akoti ?

tatilôtétatoux.
Na repondaki yo mais ekatani comme nawumelaki.
Hum!!!question nayo eza matata Very Happy
Yeba que makambu oyo soki to bandi koloba yango,batu bako mona yo ridicule,deranger,superstitieux pcq eza facile te esprit ya mutu oyo azali sceptique, limité juste sur le plan materiel, a saisir ba notions oyo.
Mais qu'importe ? Lao Tseu avait dit:
CELUI QUI SE MOQUE DE C'EST QU'IL NE CONNAIT PAS, NE PAS LOIN D'ETRE UN IDIOT.
Ya TATY oza chretien e oyebi que POSSESSION EST EXISTAKA ?
En faite esprit mususu akoki kokota na nzoto nayo....mais heure wana yo oza wapi ?
Toza bana ya KIN donc toyebi mystere.Serie moko okomona mutu akatisi zamba gorille.Vx dire azo kotisa esprit mususu na Nzoto naye...mais heure wana aza wapi ?
Na Chamanisme Veritable soki mutu aza posseder(liboma)ba Yaya na biso na chamanisme pona kobikisa ye,ba kotaka na monde INVISIBLE koluka esprit naye.Après avoir chassé l'entité etranger bako zongisa yo na nzoto nayo.Yango omoni un vrai Chaman alobaka a retablir mutu(pour dire qu'il a retablit son esprit dans son endroit initiale ndenge Nzambé asalaki ye).
Okoyoka:Ô un tel azalaka liboma ba mema ye epayi ya Chaman,Chaman abikisa ye.
Pour etre bref!
Ba âme wana ezalaka na monde veritable.
Na cas ya Lobsang eza un peu different....tanga livre"la vie de Rampa"oko comprendre.
Wana nde tokoki kosolola très bien.Parceque eza ba notion moko facile pour nous,mais difficile pour les autres ba comprendre yango.
Yeba que esprit eza na makambu ebele,eza na batu na mokili baza na don ya Ubiguité.
Vx dire akoki kozala na plusieurs endroit different en même temps.
Okomona vraiment ARAFAT azo solola nayo na mboka nayo.En même temps azo solola pe na Hiro Hito na state en même temps.O tomonaki ye na 10h kuna!JAMAIS KOMI BOMA/suicide 375270 NA 10h AZALAKI NA NGAI.
Tu deconne ou quoi!!!je te dis la verité tu me prend pour un menteur.
Eza makambu ya ba YAYA.
Aaaaaaa.....

El-chaman


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Message  taty 3/6/2009, 12:27 pm

Merci po na explication. Nga naza na ba préjugé te. Soki oza na ba masolo ya ko édifier bato sur oyo oyebi, komaka awa toujours. Moi je ne manquerais pas à vouloir en savoir plus.
Keba ba kengedila baza na cointar Laughing Laughing Laughing .

tatilôtétatoux.
taty
taty


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Message  mongo elombe 3/6/2009, 3:57 pm

Chaman est ce que tu pratiques? mpo okobangisa nga tu es trop à fond dedans.
mongo elombe
mongo elombe


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Message  El-chaman 3/6/2009, 4:14 pm

mongo elombe a écrit:Chaman est ce que tu pratiques? mpo okobangisa nga tu es trop à fond dedans.
Yaya ko banga te.

Nayebi que yo obangaka likambu ya voyage astral que mutu akoki ko kufa,
po ndenge toyoka musicien wana elephant ,
muasi naye ayaki kokuta ye,a simbi ye pe akufi.
Mais yeba que wana ezali astral te.
Na astral soki mutu a simbi yo oko lamuka.
To soki mutu atie makelele oko lamuka nayo.
To soki ba beti porte ou bien telephone eleli oko lamuka.
Jamais oko kufa.
Po soki ezalaki ndenge wana,ndele ngai nakufa deja mbala ebelé.


Dernière édition par El-chaman le 17/11/2009, 4:24 pm, édité 1 fois

El-chaman


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Message  mongo elombe 3/6/2009, 4:18 pm

Est ce que tu sais que certains ne reviennent pas de ces voyage vedire kufa selon ce qu'on dit, il n'a pas pu réintingrer son corps où son je ne sais quoi;
mongo elombe
mongo elombe


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Message  El-chaman 3/6/2009, 5:44 pm

mongo elombe a écrit:Est ce que tu sais que certains ne reviennent pas de ces voyage vedire kufa selon ce qu'on dit, il n'a pas pu réintingrer son corps où son je ne sais quoi;

Les"ont dit" mingi ezalaka na ngo verite te.
Nako developpe apres

El-chaman


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Message  El-chaman 17/11/2009, 12:55 pm

...Sans difficulté cette fois,Algernon se mit sur ses pieds et dit:
JE SUIS PRÊT A RECEVOIR L'AIDE QUE VOUS POUVEZ ME DONNER.
Mais...dites-moi,étes-vous allé à Eton ?
La forme sourit tout en repondant:
-APPELEZ-MOI SEULEMENT"ami",ET NOUS TRAITERONS PLUS TARD DE CES QUESTION.VOUS DEVEZ TOUT D'ABORD ENTRER DANS NOTRE MONDE.
Se détournant,il fit un geste de la main comme s'il écartait des rideaux-et le résultat,en fait,fut le même.Les nuages obscurs se dissipèrent,les ombres s'évanouirent et Algernon se trouva debout sur une herbe du vert plus intense qui se puisse imaginer.L'air,autour de lui,était comme chargé de vie.S'échappant de sources inconnues,des impressions de musique lui parvenaient:"une musique dans l'air".C'est ainsi qu'il aurait décrite et cela lui semblant très apaisant.
Des gens allaient et venaient,se promenant comme ils l'auraient fait dans un jardin public.Au premier abord,il eut devant ce spectacle l'impression qu'il pouvait se trouver à Hyde Park,à Londres;mais dans un Hyde Park particulièrement embelli.....
(...)
Venez,allons nous asseoir là,car je tiens à vous parler un peu de ce monde avant que nous n'allions plus avant-sinon votre rétablissement risquerait d'être retardé par ce que vous verrez ensuite.
-RETABLISSEMENT ! répéta Algernon.Mais point n'est besoin de me rétablir de quoi que ce soit.Je suis en excellent santé et parfaitement normal.Son ami sourit gentiment et dit à nouveau:
-Venez,asseyons-nous ici,d'ou nous pourrons voir les cygnes et autres gibiers d'eau,et vous aurez ainsi un aperçu de la nouvelle vie qui vous attend.
En rechignant,et mécontent à la pensée qu'il était considéré comme malade,il se laissa guider vers un banc proche.
Assyez-vous confortablement,lui dit l'ami,car j'ai cp à vous dire.Vs êtes à present dans un autre monde,sur un autre plan d'existence,et plus vous m'accorderez d'attention,plus vs progresserez aisément ds ce monde-ci.
Algernon fut très favorablement impressionné par le confort du siege sur lequel il se trouvait assis;semblant épouser ses formes,il ne ressemblait en rien à ceux des parcs de Londre qui s'effondraient souvent au moindre changement de position.Devant eux,une eau bleue sur laquelle glissaient majestueusement qlqs cygnes éclatants de blancheur.L'air était chaud et tout empli de vibrations.Une pensée soudain frappa Algernon-et cette pensée le choqua tellement qu'il faillit bondir de son siege:il n'y avait pas d'ombre ! levant les yeux,il vit que le soleil lui non plus n'existait pas.Le ciel entier était incandescent.
L'ami interrompit le cours de sa pensée.
-NOUS DEVONS MAINTENANT PARLER DE CERTAINES CHOSES;IL ME FAUT VOUS ECLAIRER SUR CE MONDE AVANT QUE VOUS N'ENTRIEZ DANS LA MAISON DE REPOS.
Algernon l'interrompit en disant:
-Je suis tout à fait étonné que vous portiez une robe jaune.Etes-vous membre de qlq culte,ou appartenez-vous à qlq ordre religieux ?
-Oh Dieu,quelle curieuse disposition d'esprit vs avez ! quelle importance peut bien avoir la couleur de ma robe et le fait que j'en porte une ?
Je ne le fais que pcq je trouve cela convenable ds la tâche que j'ai à accomplir.(et tout en souriant il ajouta:)
Vous portez bien un uniforme,un pantalon bleue marine,une jaquette rouge vif,et une bien curieuse coiffure.De plus vs avez un ceinturon blanc.Pourquoi êtes-vs affublé de si étrange façon ? Ici,on s'habille selon son désir,et personne ne critiquera la manière dont vous êtes vêtu.
Et,de la même façon je m'habille ds le style qui me convient pcq c'est ma tenue habituelle.Mais nous sommes en train de perdre du temps.
Algernon,ainsi réprimandé,se radoucit;regardant autour de lui,il vit d'autres personnes en robe jaune,conversant avec des hommes et des femmes en costumes très divers.Mais son compagnon lui parlait:
-JE DOIS VOUS DIRE QUE,SUR LA TERRE,VOUS ÊTES DANGEREUSEMENT TROMPES EN CE QUI CONCERNE LA VERITE DE LA VIE FUTUR.VOS CHEF RELIGIEUX SONT CONSTITUES DE GANG,CHACUN FAISANT SA PROPRE PUBLICITE PRÊCHANT POUR SA PROPRE MARCHANDISE,ET COMPLETEMENT INDIFFERENT A LA VERITE DE LA VIE ET DE L'APRES-VIE.
REGARDEZ TOUS CES GENS AUTOUR DE VOUS.POUVEZ-VOUS DIRE LEQUEL EST CHRETIEN,JUIF,MUSULMAN OU BOUDDHISTE ?
ET CEPENDANT TOUS LES GENS QUE VOUS VOYEZ DANS CE PARC-à l'exception de ceux en robe jaune-ONT UNE CHOSE EN COMMUN:
ILS SE SONT TOUS SUICIDES.
Algernon eut un sentiment d'horreur-tous étaient des suicidés.Il se dit alors qu'il était peut-être dans un asile de fous et que l'homme en robe jaune pouvait être un gardien.Il pensa au nombre de choses étranges survenues dans sa vie et qui avaient imposé un réel effort à son esprit.
-VOUS DEVEZ VOUS RENDRE COMPTE QUE LE SUICIDE EST UN CRIME GRAVE.PERSONNE NE DEVRAIT COMMETTRE UN TEL ACTE.AUCUNE RAISON NE PEUT LE JUSTIFIER,ET SI LES GENS SAVAIENT CE QU'ILS AURONT A ENDURER APRES,ILS NE SE LAISSERAIENT PAS ALLER A LE FAIRE.CECI,POURSUIVIT SON COMPAGNON,EST UN CENTRE DE RECEPTION OU SONT REHABILITES CEUX QUI ONT MIS FIN A LEUR JOURS,ILS SONT CONSEILLES PUIS RENVOYES SUR TERRE.JE VAIS D'ABORD VOUS PARLER DE LA VIE SUR TERRE ET SUR CE PLAN D'EXISTENCE.
Ils s'installèrent plus confortablement,et Algernon observa les cygnes qui glissaient paresseusement sur l'étang.Il remarqua que les arbres étaient emplis d'oiseaux et aussi d'écureuils;il nota également avec intérêt d'autres hommes et d'autres femmes en robe jaune,qui parlaient de ceux dont ils avaient la charge.
-LA TERRE EST UNE ECOLE D'ENSEIGNEMENT OU LES GENS APPRENNENT GRACE AUX EPREUVES-VU QU'ILS N'APPRENDRONT PAS PAR LA BIENVEILLANCE ET LA DOUCEUR.LES GENS VONT SUR LA TERRE TOUT COMME CEUX QUI VIVENT SUR TERRE VONT A L'ECOLE;ET AVANT DE DESCENDRE SUR LA TERRE,LES ENTTES QUI VONT OCCUPER UN CORPS TERRESTRE SONT CONSEILLEES SUR CE QUI EST POUR ELLES LE MEILLEUR TYPE DE CORPS,ET LES MEILLEURES CONDITIONS LEUR PERMETTANT D'APPRENDRE CE QU'ELLES ONT A APPRENDRE-OU POUR ETRE PLUS PRECIS,POUR APPRENDRE CE POUR QUOI ELLES RETOURNENT VRAIMENT SUR TERRE,VU QU'ELLES SONT,BIEN SUR,CONSEILLEES AVANT LEUR DEPART.VOUS FERZ CETTE EXPERIENCE VOUS-MÊME;AUSSI LAISSEZ-MOI VOUS PARLER DE CE PLAN PARTICULIER.NOUS AVONS ICI CE QUI EST CONNU COMME ETANT L'ASTRAL INFERIEUR.SA POPULATION DE PASSAGE N'EST FAITE QUE DE SUICIDES EXCLUSIVEMENT,CELA POUR LA RAISON QUE LE SUICIDE EST UN CRIME,ET QUE CEUX QUI LE COMMETTENT SONT MENTALEMENT DES INSTABLES.DANS VOTRE CAS,VOTRE SUICIDE EST DÛ AU FAIT QUE VOUS NE POUVIEZ PROCREER,QUE VOUS AVIEZ ETE MUTILE;MAIS VOUS ÊTES ALLE SUR LA TERRE POUR ENDURER CETTE CONDITION ET LA SURMONTER.ET JE VOUS DIS AVEC GRAVITE QU'AVANT D'ALLER SUR LA TERRE,VOUS AVEZ FAIT CE QU'IL FALLAIT POUR ETRE MUTILE-CE QUI VEUX DIRE QUE VOUS AVEZ ECHOUE A VOTRE TEST,ET QUE VOUS DEVEZ REVIVRE A NOUVEAU TOUTE CETTE EPREUVE,ET LA REVIVRE ENCORE SI VOUS ECHOUEZ UNE NOUVELLE FOIS.
Algernon éprouva une réelle tristesse.Il avait cru qu'en mettant fin à une existence qu'il estimait inutile,il avait fait là un geste noble-et on lui disait maintenant qu'il avait commis un crime et devrait l'expier.Mais son compagnon parlait...
-L'ASTRAL INFERIEUR EST TRES PROCHE DU PLAN TERRESTRE.ICI,NOUS VOUS PLACERONS DANS UN LIEU DE REPOS POUR VOUS FAIRE SUBIR UN TRAITEMENT.NOUS TENTERONS DE STABILISER VOTRE ETAT MENTAL;CETTE TENTATIVE VISERA A VOUS FORTIFIER EN VUE DE VOTRE RETOUR DEFINITIF SUR LA TERRE-SITOT QUE LA SITUATION SEMBLERA ÊTRE CELLE QUI CONVIENT.MAIS ICI,SUR CE PLAN ASTRAL,VOUS ETES LIBRE DE CIRCULER,OU VOLER SI VOUS LE VOULEZ-CECI SIMPLEMENT PAR LA PENSEE

El-chaman


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