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Re: Pages actualités... Rien que les liens d'actus
KENGO CONFIRME L´INFO DE LA RFI
www.lepotentiel.comcite une source de www.radiookapi.net pour contredire les affirmations de MENDE qui semble-t-il IGNORE TOUT..même en étant ministre de l´intoxication ..
En effet, le Président du Senat CONFIRME que le Président Kanambe a mis en place une commission pour étudier les revisions de la Constitution ..
Et maintenant Pas des débats sur ce sujet au Senat sans doute, bango nions ba kangi pema
www.lepotentiel.comcite une source de www.radiookapi.net pour contredire les affirmations de MENDE qui semble-t-il IGNORE TOUT..même en étant ministre de l´intoxication ..
En effet, le Président du Senat CONFIRME que le Président Kanambe a mis en place une commission pour étudier les revisions de la Constitution ..
Et maintenant Pas des débats sur ce sujet au Senat sans doute, bango nions ba kangi pema
GHOST
Re: Pages actualités... Rien que les liens d'actus
Troll, la RDC c'est un feuilleton avec de mauvais acteurs, MENDE continue ses génuflexions à l'aveugle mawa plein heureusement que le ridicule ne tue pas.
Il va mettre KENGO au niouf ?
Il va mettre KENGO au niouf ?
mongo elombe
Re: Pages actualités... Rien que les liens d'actus
sans commentaire....
(c un texte traduit de l'anglais)
Le président rwandais salue les progrès en RD Congo liens
AP, NEW YORK
Mercredi 23 septembre 2009, Page 6
Président du Rwanda, a déclaré lundi son pays et les voisins de la République démocratique du Congo (RDC ou RD Congo) faisaient de "très bons progrès" dans le rétablissement de la paix à déchirées par la guerre en Afrique centrale.
Paul Kagame a déclaré une offensive Janvier par les forces des deux pays visant à désarmer les combattants hutus rwandais en RD Congo a réalisé une percée majeure »en diminuant drastiquement les combats et d'affaiblir sérieusement le commandement des rebelles hutus.
Toutefois, Kagame a déclaré les deux pays reconnaissent «qu'il ya encore beaucoup de travail à faire."
"Nous faisons de très bons progrès", at-il déclaré dans un discours à l'Institut international de la paix. "Les principaux problèmes ont été résolus. C'est le point de départ. "
Afrique centrale la région des Grands Lacs a été un foyer d'instabilité politique et les combats depuis le génocide de 1994 au Rwanda a vu plus de 500.000 personnes, la plupart d'entre eux de la minorité tutsie du pays, abattus par un régime d'extrémistes de la majorité hutue.
Après que des rebelles tutsi dirigé par Paul Kagame a mis fin au génocide, les Hutus extrémistes ont fui vers le Congo voisin de l'Est.
Depuis lors, le Rwanda a, de concert avec l'Ouganda voisin, envahi à deux reprises RD Congo - en 1994 et 1998. Au cours de chaque invasion Rwanda a déclaré qu'il était de traquer le milices rwandaises. La deuxième invasion a déclenché une durée de cinq ans, la guerre des Six nations en RD Congo qui a tué environ 3 millions de personnes.
RD du Congo de suspendre les relations diplomatiques avec le Rwanda de son soutien d'un mouvement rebelle dont la mission était de traquer les combattants hutus rwandais dans l'est du Congo après le génocide.
Kagame ont contesté la thèse que le Rwanda est intervenu en RD Congo pour exploiter ses riches ressources naturelles, en utilisant la chasse aux auteurs du génocide comme prétexte.
"Le Rwanda n'a pas la capacité d'exploiter nos propres ressources minérales, dit-il, donc" comment pouvons-nous tirer profit de ceux de la RDC?
L'ONU a créé une force de paix en RD Congo en Novembre 1999 que Kagame dit était très coûteux et n'a pas atteint "les résultats correspondants,« parce que les combats ont continué et les rebelles hutus n'ont pas été désarmés.
Rwanda et la RD Congo ont normalisé leurs relations en 2007, et en Janvier, les deux armées ont fait équipe en place et mené une offensive conjointe réussi à volatils est du Congo.
"La situation a maintenant changé fondamentalement parce que le Rwanda et la RDC reconnaissent tous deux maintenant que nous devons travailler ensemble pour trouver des réponses à la paix pour le Congo», a déclaré Kagamé.
«Sur le front politique et diplomatique, nous avons maintenant échangé des ambassadeurs avec la RDC, ouvrant la voie à davantage d'efforts dans les domaines les plus importants de la croissance économique et développement, y compris des projets conjoints dans l'énergie, l'environnement, le commerce et l'investissement, dit-il.
(c un texte traduit de l'anglais)
Le président rwandais salue les progrès en RD Congo liens
AP, NEW YORK
Mercredi 23 septembre 2009, Page 6
Président du Rwanda, a déclaré lundi son pays et les voisins de la République démocratique du Congo (RDC ou RD Congo) faisaient de "très bons progrès" dans le rétablissement de la paix à déchirées par la guerre en Afrique centrale.
Paul Kagame a déclaré une offensive Janvier par les forces des deux pays visant à désarmer les combattants hutus rwandais en RD Congo a réalisé une percée majeure »en diminuant drastiquement les combats et d'affaiblir sérieusement le commandement des rebelles hutus.
Toutefois, Kagame a déclaré les deux pays reconnaissent «qu'il ya encore beaucoup de travail à faire."
"Nous faisons de très bons progrès", at-il déclaré dans un discours à l'Institut international de la paix. "Les principaux problèmes ont été résolus. C'est le point de départ. "
Afrique centrale la région des Grands Lacs a été un foyer d'instabilité politique et les combats depuis le génocide de 1994 au Rwanda a vu plus de 500.000 personnes, la plupart d'entre eux de la minorité tutsie du pays, abattus par un régime d'extrémistes de la majorité hutue.
Après que des rebelles tutsi dirigé par Paul Kagame a mis fin au génocide, les Hutus extrémistes ont fui vers le Congo voisin de l'Est.
Depuis lors, le Rwanda a, de concert avec l'Ouganda voisin, envahi à deux reprises RD Congo - en 1994 et 1998. Au cours de chaque invasion Rwanda a déclaré qu'il était de traquer le milices rwandaises. La deuxième invasion a déclenché une durée de cinq ans, la guerre des Six nations en RD Congo qui a tué environ 3 millions de personnes.
RD du Congo de suspendre les relations diplomatiques avec le Rwanda de son soutien d'un mouvement rebelle dont la mission était de traquer les combattants hutus rwandais dans l'est du Congo après le génocide.
Kagame ont contesté la thèse que le Rwanda est intervenu en RD Congo pour exploiter ses riches ressources naturelles, en utilisant la chasse aux auteurs du génocide comme prétexte.
"Le Rwanda n'a pas la capacité d'exploiter nos propres ressources minérales, dit-il, donc" comment pouvons-nous tirer profit de ceux de la RDC?
L'ONU a créé une force de paix en RD Congo en Novembre 1999 que Kagame dit était très coûteux et n'a pas atteint "les résultats correspondants,« parce que les combats ont continué et les rebelles hutus n'ont pas été désarmés.
Rwanda et la RD Congo ont normalisé leurs relations en 2007, et en Janvier, les deux armées ont fait équipe en place et mené une offensive conjointe réussi à volatils est du Congo.
"La situation a maintenant changé fondamentalement parce que le Rwanda et la RDC reconnaissent tous deux maintenant que nous devons travailler ensemble pour trouver des réponses à la paix pour le Congo», a déclaré Kagamé.
«Sur le front politique et diplomatique, nous avons maintenant échangé des ambassadeurs avec la RDC, ouvrant la voie à davantage d'efforts dans les domaines les plus importants de la croissance économique et développement, y compris des projets conjoints dans l'énergie, l'environnement, le commerce et l'investissement, dit-il.
Invité- Invité
Re: Pages actualités... Rien que les liens d'actus
Ca c'est une vrai urgence en RDC.
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Digitalcongo.net 3.0
| Déjŕ Kinshasa de voir le roi Albert II de Belgique présent au 50ème anniversaire de l’Indépendance de l
Kinshasa, 26/09/2009 / Politique
Le ministre des Affaires étrangères A. Thambwe Mwamba a exprimé à son homologue belge Yves Leterme rencontré à New York le souhait des Congolais de voir le roi Albert II aux festivités du 50ème anniversaire de l’Indépendance de la RDC en prélude à une invitation en ce sens que le président Joseph Kabila pourra envoyer au souverain belge
Les médias occidentaux, voire congolais, se sont perdus en conjecture au sujet de la venue ou non du roi des Belges en Rdc pour rehausser de sa présence les festivités du cinquantenaire de l’indépendance du Congo. Il y a un moment, cette préoccupation était passée dans les oubliettes en attendant la réponse diplomatique du roi.Si on en reparle ce jour, c’est sans doute à la suite de Alexis Thambwe Mwamba, ministre congolais des Affaires étrangères, qui a dépoussiéré le dossier en évoquant encore une fois la possibilité de la présence du roi des Belges à Kinshasa.
Cette fois, Thambwe Mwamba a parlé de la question de la manière la plus officielle qui soit au cours de l’entretien qu’il a eu avec le chef de la diplomatie belge, Yves Leterme.
Pour le chef de la diplomatie congolaise donc, on n’a pas encore renoncé au souhait de voir le roi des Belges venir symboliquement relancer la reprise entre la Belgique et la Rdc. Le ministre a apporté la précision qui s’imposait en démontrant que l’on était allé vite en besogne. D’aucuns avaient prétendu que l’invitation avait déjà été adressée.
Les dirigeants congolais avaient tout simplement évoqué la possibilité à laquelle ils semblent tenir de voir le roi des Belges à Kinshasa le 30 juin 2010. Le souverain belge sera certainement le premier des invités de marque de la Rdc, une des personnalités dont les marques permettront de donner aux festivités les couleurs attendues.
Deuxième visite, la première comme roi
Albert II, alors prince était déjà venu à Kinshasa. Son passage, au moment où Baudouin 1er occupait encore la mémoire collective des Congolais, a été inaperçu. Et pourtant si Baudouin a marqué les esprits des Congolais, c’est parce que, non seulement il a été le dernier monarque qui régnait sur aussi bien la Belgique que le Congo, le Rwanda et le Burundi, mais aussi, il a été au Congo plus d’une fois soit en 1955, en 1960 et en 1990.
C’est en fait, depuis la colonisation, le premier souverain belge qui a visité le Congo. C’était, pensaient les Congolais, le roi à la dimension humaine. Si Albert II refuse de perpétuer la tradition, il y a risque que, dans l’opinion congolaise, que soit logé à la même enseigne ceux qui avaient régné avant Baudouin 1er, C’est-à-dire ceux pour qui, le Congo n’était qu’une lointaine ferme.
Profitant de l’Assemblée générale de l’Onu, le ministre congolais des Affaires étrangères a lancé officiellement l’invitation au souverain belge. Il n’aurait pas lancé l’invitation, la Rdc ne serait pas dans l’attente de la réaction du roi. Car, a déclaré Alexis Thambwe Mwamba : « Je ne peux pas savoir quelle sera la réponse que le roi va donner ». En Belgique comme en Rdc, on ne voit aucune raison qui pourrait empêcher l’arrivée d’Albert II dans la capitale congolaise. Les deux pays qui ont renoué après une longue crise, ont besoin des gestes, des signaux forts du genre déplacement du roi.
Attente de l’invitation de Joseph Kabila
Selon l’agence Belga, le ministre belge des affaires étrangères, Yves Leterme a « prévenu qu’il ne fallait pas « aller trop vite en besogne ». Pour lui après l’invitation orale du ministre Alexis Thambwe Mwamba, il faut que Joseph Kabila, président de la Rdc, lance une invitation définitive. C’est seulement après cette invitation qu’on pourra envisager ce que pourra être la réponse du souverain belge. Mais, le chef de la diplomatie belge s’est engagé à se faire l’interprète des intentions des autorités congolaises auprès du roi.
La Belgique est un pays particulier. Un pays où les crises intérieures influencent les relations avec la Rdc. De même, plus d’une fois, la Rdc a été au centre des crises belges ? C’est le cas de la dernière crise qui a divisé le monde politique belge. On peut rappeler que ce n’est pas la première invitation que Joseph Kabila lance au roi des Belges. Alors que le pays sortait des premières élections libres, démocratiques et transparentes et venait de mettre en place des institutions issues des urnes, Joseph Kabila avait manifesté son intention de voir le souverain belge visiter le Congo.
Mais, il fallait compter avec les divisions en Belgique pour que le roi ne réponde pas à l’invitation de Kinshasa. C’est pour cette raison qu’on a besoin de métrologues pour renseigner si en dernière minute il n’y aura pas un nuage inattendu pour empêcher le souverain de rehausser de sa présence le cinquantenaire de l’indépendance de la République démocratique du Congo.
Yves Leterme se rendra en Rdc
En attendant, selon la même source, on est certain que le ministre belge des Affaires étrangères, Yves Leterme, lui, se rendra au Congo à une date qui reste à fixer. La déclaration a été faite par Yves Leterme lui-même à l’issue de son entretien avec son homologue congolais. Annonçant l’invitation que lui avait adressée Alexis Thambwe Mwamba, le chef de la diplomatie belge a déclaré : « Je compte m’y rendre dans les prochains mois, tout comme au Rwanda et au Burundi, pour voir la situation sur place ».
Selon Belga, « Les deux ministres ont salué la normalisation intervenue en janvier dernier entre Bruxelles et Kinshasa, M. Thambwe Mwamba annonçant même que le gouvernement congolais allait autoriser la réouverture du consulat belge à Bukavu, le chef-lieu de la province du Sud-Kivu (est) « dans les prochaines semaines ».
Pour rappel, deux consulats belges, de Lubumbashi et de Bukavu, avaient été fermés, au même moment Kinshasa fermait de façon unilatérale son consulat à Anvers. Le consulat belge de Lubumbashi a été ouvert dernièrement au cours de ce mois de septembre 2009. Il reste que celui de Bukavu rouvre après cette promesse du gouvernement congolais par le ministre des Affaires étrangères. On doit cette reprise saluée par tous, aux efforts diplomatiques du gouvernement Muzito. Ce dernier avait renoué le dialogue avec son homologue belge, Herman Van Rompuy, à travers la déclaration commune du 24 janvier 2009.
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| Déjŕ Kinshasa de voir le roi Albert II de Belgique présent au 50ème anniversaire de l’Indépendance de l
Kinshasa, 26/09/2009 / Politique
Le ministre des Affaires étrangères A. Thambwe Mwamba a exprimé à son homologue belge Yves Leterme rencontré à New York le souhait des Congolais de voir le roi Albert II aux festivités du 50ème anniversaire de l’Indépendance de la RDC en prélude à une invitation en ce sens que le président Joseph Kabila pourra envoyer au souverain belge
Les médias occidentaux, voire congolais, se sont perdus en conjecture au sujet de la venue ou non du roi des Belges en Rdc pour rehausser de sa présence les festivités du cinquantenaire de l’indépendance du Congo. Il y a un moment, cette préoccupation était passée dans les oubliettes en attendant la réponse diplomatique du roi.Si on en reparle ce jour, c’est sans doute à la suite de Alexis Thambwe Mwamba, ministre congolais des Affaires étrangères, qui a dépoussiéré le dossier en évoquant encore une fois la possibilité de la présence du roi des Belges à Kinshasa.
Cette fois, Thambwe Mwamba a parlé de la question de la manière la plus officielle qui soit au cours de l’entretien qu’il a eu avec le chef de la diplomatie belge, Yves Leterme.
Pour le chef de la diplomatie congolaise donc, on n’a pas encore renoncé au souhait de voir le roi des Belges venir symboliquement relancer la reprise entre la Belgique et la Rdc. Le ministre a apporté la précision qui s’imposait en démontrant que l’on était allé vite en besogne. D’aucuns avaient prétendu que l’invitation avait déjà été adressée.
Les dirigeants congolais avaient tout simplement évoqué la possibilité à laquelle ils semblent tenir de voir le roi des Belges à Kinshasa le 30 juin 2010. Le souverain belge sera certainement le premier des invités de marque de la Rdc, une des personnalités dont les marques permettront de donner aux festivités les couleurs attendues.
Deuxième visite, la première comme roi
Albert II, alors prince était déjà venu à Kinshasa. Son passage, au moment où Baudouin 1er occupait encore la mémoire collective des Congolais, a été inaperçu. Et pourtant si Baudouin a marqué les esprits des Congolais, c’est parce que, non seulement il a été le dernier monarque qui régnait sur aussi bien la Belgique que le Congo, le Rwanda et le Burundi, mais aussi, il a été au Congo plus d’une fois soit en 1955, en 1960 et en 1990.
C’est en fait, depuis la colonisation, le premier souverain belge qui a visité le Congo. C’était, pensaient les Congolais, le roi à la dimension humaine. Si Albert II refuse de perpétuer la tradition, il y a risque que, dans l’opinion congolaise, que soit logé à la même enseigne ceux qui avaient régné avant Baudouin 1er, C’est-à-dire ceux pour qui, le Congo n’était qu’une lointaine ferme.
Profitant de l’Assemblée générale de l’Onu, le ministre congolais des Affaires étrangères a lancé officiellement l’invitation au souverain belge. Il n’aurait pas lancé l’invitation, la Rdc ne serait pas dans l’attente de la réaction du roi. Car, a déclaré Alexis Thambwe Mwamba : « Je ne peux pas savoir quelle sera la réponse que le roi va donner ». En Belgique comme en Rdc, on ne voit aucune raison qui pourrait empêcher l’arrivée d’Albert II dans la capitale congolaise. Les deux pays qui ont renoué après une longue crise, ont besoin des gestes, des signaux forts du genre déplacement du roi.
Attente de l’invitation de Joseph Kabila
Selon l’agence Belga, le ministre belge des affaires étrangères, Yves Leterme a « prévenu qu’il ne fallait pas « aller trop vite en besogne ». Pour lui après l’invitation orale du ministre Alexis Thambwe Mwamba, il faut que Joseph Kabila, président de la Rdc, lance une invitation définitive. C’est seulement après cette invitation qu’on pourra envisager ce que pourra être la réponse du souverain belge. Mais, le chef de la diplomatie belge s’est engagé à se faire l’interprète des intentions des autorités congolaises auprès du roi.
La Belgique est un pays particulier. Un pays où les crises intérieures influencent les relations avec la Rdc. De même, plus d’une fois, la Rdc a été au centre des crises belges ? C’est le cas de la dernière crise qui a divisé le monde politique belge. On peut rappeler que ce n’est pas la première invitation que Joseph Kabila lance au roi des Belges. Alors que le pays sortait des premières élections libres, démocratiques et transparentes et venait de mettre en place des institutions issues des urnes, Joseph Kabila avait manifesté son intention de voir le souverain belge visiter le Congo.
Mais, il fallait compter avec les divisions en Belgique pour que le roi ne réponde pas à l’invitation de Kinshasa. C’est pour cette raison qu’on a besoin de métrologues pour renseigner si en dernière minute il n’y aura pas un nuage inattendu pour empêcher le souverain de rehausser de sa présence le cinquantenaire de l’indépendance de la République démocratique du Congo.
Yves Leterme se rendra en Rdc
En attendant, selon la même source, on est certain que le ministre belge des Affaires étrangères, Yves Leterme, lui, se rendra au Congo à une date qui reste à fixer. La déclaration a été faite par Yves Leterme lui-même à l’issue de son entretien avec son homologue congolais. Annonçant l’invitation que lui avait adressée Alexis Thambwe Mwamba, le chef de la diplomatie belge a déclaré : « Je compte m’y rendre dans les prochains mois, tout comme au Rwanda et au Burundi, pour voir la situation sur place ».
Selon Belga, « Les deux ministres ont salué la normalisation intervenue en janvier dernier entre Bruxelles et Kinshasa, M. Thambwe Mwamba annonçant même que le gouvernement congolais allait autoriser la réouverture du consulat belge à Bukavu, le chef-lieu de la province du Sud-Kivu (est) « dans les prochaines semaines ».
Pour rappel, deux consulats belges, de Lubumbashi et de Bukavu, avaient été fermés, au même moment Kinshasa fermait de façon unilatérale son consulat à Anvers. Le consulat belge de Lubumbashi a été ouvert dernièrement au cours de ce mois de septembre 2009. Il reste que celui de Bukavu rouvre après cette promesse du gouvernement congolais par le ministre des Affaires étrangères. On doit cette reprise saluée par tous, aux efforts diplomatiques du gouvernement Muzito. Ce dernier avait renoué le dialogue avec son homologue belge, Herman Van Rompuy, à travers la déclaration commune du 24 janvier 2009.
mongo elombe
Re: Pages actualités... Rien que les liens d'actus
Aussi disponible à la une de congodiaspora.com.
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5ian64lW4cwn-vB04fjTWoivYLlww
André Philippe Futa meurt dans son sommeil!!!
Mort naturelle? Mort suspecte?
L'équipe Congodiasora transmet les condoléances à la famille éprouvée.
Admin
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5ian64lW4cwn-vB04fjTWoivYLlww
André Philippe Futa meurt dans son sommeil!!!
Mort naturelle? Mort suspecte?
L'équipe Congodiasora transmet les condoléances à la famille éprouvée.
Admin
Admin- Admin
Re: Pages actualités... Rien que les liens d'actus
Elu député européen aux dernières élections européennes, Louis Michel était, mercredi 30 septembre, l’invité de la toute nouvelle émission politique de la RTBF-Tv intitulée : «Répondez à la question». L’émission est animée par le duo de choc Johanne Montay et François de Brigode.
Après avoir évoqué les questions «domestiques» relatives notamment à l’état de santé du MR (Mouvement réformateur), les deux journalistes ont changé de registre vers la fin de l’émission. Joseph Kabila est-il capable de reconstruire l’Etat congolais ?, lance De Brigode. «Joseph Kabila est tout à fait capable de reconstruire l’Etat», répond le député européen. Et d’ajouter : «Le grand problème de la République démocratique du Congo est qu’il n’y a plus d’Etat.» N’êtes-vous pas entrain de faire preuve de romantisme? «Nullement, je suis un réaliste». François de Brigode revient à la charge. Joseph Kabila est-il encore l’homme de la situation ? «Je pense qu’il est encore l’homme de la situation. Mais il doit avoir un entourage volontariste…».
Les questions posées par ce journaliste de la télévision publique belge francophone sont révélatrices de ce qu’on pourrait appeler «l’humeur du moment» au sein de l’opinion belge. Après avoir été «adulé» en Occident en général et en Belgique en particulier, le «raïs» congolais semble vivre une période de vaches maigres au plan de l’image. L’hebdomadaire «Le Vif/L’express» a été le premier, dans un reportage intitulé «Kabila n’est pas Obama», à décocher des critiques sur la gestion du pays trois ans après les élections de 2006. Le magazine d’ironiser sur les fameux «Cinq chantiers du chef de l’Etat» tout en critiquant Kabila pour son mutisme assourdissant. Tout récemment, le quotidien flamand «Het Belang van Limburg» titrait à sa Une : « La RD Congo est une caricature d’Etat de droit». Le journal évoquait notamment les intimidations subies par les défenseurs des droits humains. Louis Michel paraît décidé à rester «cohérent» avec lui-même.
Lors de l’élection présidentielle démocratique de 2006, Louis Michel, alors commissaire européen, n’avait pas fait mystère de sa sympathie pour Joseph Kabila. Une sympathie qui l’a poussé à «décréter» la prohibition de certains thèmes lors de la campagne électorale. Dans une interview accordée à l’hebdomadaire «Jeune Afrique», en mai 2006, l’ancien chef de la diplomatie belge bannissait tout débat sur les origines ou le parcours personnel de président-candidat Joseph Kabila. C’est la fameuse «Congolité», assimilée à de la xénophobie qui, elle, signifie l’hostilité manifestée à l’égard de l’étranger. Un aveu de l’infiltration des institutions politiques congolaises par des sujets étrangers?
Louis Michel avait fait encore «mieux» en déclarant, le 18 juin 2006, sur le plateau de la télévision ces mots : «Kabila représente l’espoir pour le Congo». Cette petite phrase n’avait pas manqué de choquer plus d’un Congolais de la diaspora surpris par cet éloge qui ne se fonde sur aucun élément objectif quantifiable sur le terrain. Alors que le pouvoir paraît impuissant face à l’insécurité et l’instabilité qui fait rage dans les provinces du Kivu et dans la Province orientale. Sans omettre les contre-performances en matière économique et sociale ainsi que la corruption qui gangrène les institutions du pays.
La sortie médiatique de «Tonton Michel» sur RTL a engendré une «grave incompréhension» (c’est un euphémisme) entre les libéraux francophones et certains segments de la communauté congolaise de Belgique. Il n’est pas exclu que cette incompréhension se transforme en une divergence fondamentale après la prestation de mercredi à la RTBF.
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EKOMI TEMPS babamba ye SAPATO.
Après avoir évoqué les questions «domestiques» relatives notamment à l’état de santé du MR (Mouvement réformateur), les deux journalistes ont changé de registre vers la fin de l’émission. Joseph Kabila est-il capable de reconstruire l’Etat congolais ?, lance De Brigode. «Joseph Kabila est tout à fait capable de reconstruire l’Etat», répond le député européen. Et d’ajouter : «Le grand problème de la République démocratique du Congo est qu’il n’y a plus d’Etat.» N’êtes-vous pas entrain de faire preuve de romantisme? «Nullement, je suis un réaliste». François de Brigode revient à la charge. Joseph Kabila est-il encore l’homme de la situation ? «Je pense qu’il est encore l’homme de la situation. Mais il doit avoir un entourage volontariste…».
Les questions posées par ce journaliste de la télévision publique belge francophone sont révélatrices de ce qu’on pourrait appeler «l’humeur du moment» au sein de l’opinion belge. Après avoir été «adulé» en Occident en général et en Belgique en particulier, le «raïs» congolais semble vivre une période de vaches maigres au plan de l’image. L’hebdomadaire «Le Vif/L’express» a été le premier, dans un reportage intitulé «Kabila n’est pas Obama», à décocher des critiques sur la gestion du pays trois ans après les élections de 2006. Le magazine d’ironiser sur les fameux «Cinq chantiers du chef de l’Etat» tout en critiquant Kabila pour son mutisme assourdissant. Tout récemment, le quotidien flamand «Het Belang van Limburg» titrait à sa Une : « La RD Congo est une caricature d’Etat de droit». Le journal évoquait notamment les intimidations subies par les défenseurs des droits humains. Louis Michel paraît décidé à rester «cohérent» avec lui-même.
Lors de l’élection présidentielle démocratique de 2006, Louis Michel, alors commissaire européen, n’avait pas fait mystère de sa sympathie pour Joseph Kabila. Une sympathie qui l’a poussé à «décréter» la prohibition de certains thèmes lors de la campagne électorale. Dans une interview accordée à l’hebdomadaire «Jeune Afrique», en mai 2006, l’ancien chef de la diplomatie belge bannissait tout débat sur les origines ou le parcours personnel de président-candidat Joseph Kabila. C’est la fameuse «Congolité», assimilée à de la xénophobie qui, elle, signifie l’hostilité manifestée à l’égard de l’étranger. Un aveu de l’infiltration des institutions politiques congolaises par des sujets étrangers?
Louis Michel avait fait encore «mieux» en déclarant, le 18 juin 2006, sur le plateau de la télévision ces mots : «Kabila représente l’espoir pour le Congo». Cette petite phrase n’avait pas manqué de choquer plus d’un Congolais de la diaspora surpris par cet éloge qui ne se fonde sur aucun élément objectif quantifiable sur le terrain. Alors que le pouvoir paraît impuissant face à l’insécurité et l’instabilité qui fait rage dans les provinces du Kivu et dans la Province orientale. Sans omettre les contre-performances en matière économique et sociale ainsi que la corruption qui gangrène les institutions du pays.
La sortie médiatique de «Tonton Michel» sur RTL a engendré une «grave incompréhension» (c’est un euphémisme) entre les libéraux francophones et certains segments de la communauté congolaise de Belgique. Il n’est pas exclu que cette incompréhension se transforme en une divergence fondamentale après la prestation de mercredi à la RTBF.
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EKOMI TEMPS babamba ye SAPATO.
mongo elombe
Re: Pages actualités... Rien que les liens d'actus
v
Sa vie ne se résume plus qu’à une longue file d’attente. Depuis qu’il est arrivé en France le 30 novembre 2009, Mikobi ne cesse de faire la queue. Au guichet de la préfecture, devant les centres d’accueil, pour trouver un hébergement ou de la nourriture.
Prendre son mal en patience
A 32 ans, Mikobi demande la protection de la France. Il assure avoir subi six mois de tortures dans un cachot militaire à Goma, au Nord Kivu, une région de l’Est de la République démocratique du Congo. Au motif qu’il récupérait les enfants enrôlés dans l’armée. «Je n’ai pas eu de procès dans les règles», s’offusque-t-il. Il a réussi à s’évader et rentrer en France grâce à un passeport emprunté. Et une enveloppe de plusieurs milliers de dollars, remis à son passeur. Ce dernier l’aurait même hébergé quelques jours en région parisienne. «Toi et moi, nous sommes quittes», lui a-t-il lancé avant de l’abandonner dans la capitale, le 8 décembre dernier.
Recueilli par une association d’aide aux réfugiés, il entame sa première démarche à la Préfecture de police (PP). Il doit s’y rendre pour déclarer sa présence aux services de l’Etat. Problème: seules vingt premières demandes d’asile sont enregistrées chaque jour. Il doit donc se trouver dans les premières places pour avoir une chance d’être reçu. Mikobi décide de se présenter la veille. Le 4 janvier, il s’installe donc devant l’annexe de la PP, boulevard Ney (18e). Il est 13h. Au fur et à mesure que la journée, puis la nuit, avancent, la file grossit. Au lever du jour, une centaine de personnes l’ont rejoint. Ils ont aménagé des abris de fortune avec quelques cartons, des couvertures de survie et des palettes de bois.
Vers 8h, les premiers policiers font leur apparition. Ils sont là pour encadrer les requérants et filtrer les entrées. «Aucune première demande ne rentre aujourd’hui. Revenez demain», ordonne froidement l’un d’entre eux. Mikobi, lui, ne bronche pas. «Hier aussi, les policiers avaient dit ça pour décourager les gens», se rassure-t-il. Sa détermination est payante car après dix-huit heures de patience, il est le premier à être reçu. Son rendez-vous durera trente minutes.
Porte-monnaie volé
Quand Mikobi ne fait pas la queue devant la préfecture, il occupe ses journées à trouver un lieu pour dormir. Il est régulièrement hébergé à la Boulangerie, une ancienne caserne du 18e, reconvertie en centre d’accueil. «Je sens que ça ne va pas, dans ma tête. Ce n’est pas facile. J’ai envie de crier, mais il faut que je sois fort», lâche-t-il en discutant avec le responsable du lieu. Bagarres, embrouilles rythment son quotidien. Il assure s’être fait voler son porte-monnaie. «Un gros problème pour moi, c’est les transports. Comment je peux les payer?», angoisse-t-il. A deux reprises, il s’est fait contrôler par des agents de la RATP, qui l’ont verbalisé. Un obstacle dont il se serait bien passé. «Maintenant je dois prendre rendez-vous avec une association pour rédiger une lettre et expliquer ma situation au directeur [de la RATP].»
D’ici à un mois, Mikobi devrait recevoir une aide de l’Etat. Environ 10 € par jour. Il attend désormais une place dans un centre d’accueil pour demandeurs d’asile (Cada). «Pas avant cinq mois. Car il est sans enfant, jeune et en bonne santé», explique-t-on à France terre d’asile. Mardi dernier, une étape importante dans son parcours a été franchie: il a déposé son dossier complet à la préfecture, ce qui lui aura finalement pris deux mois. Son cas est désormais étudié à l’Office français de protection des réfugiés et des demandeurs d’asile (Ofpra). Au mieux, il aura une réponse d’ici à mai. Au pire, il devra patienter près de neuf mois. En 2009, l’Ofpra a rejeté 86,8% des demandes examinées.
>> A cause des débordements dans les commentaires, nous nous voyons contraints de fermer cet article aux commentaires. Merci de votre compréhension.
Sa vie ne se résume plus qu’à une longue file d’attente. Depuis qu’il est arrivé en France le 30 novembre 2009, Mikobi ne cesse de faire la queue. Au guichet de la préfecture, devant les centres d’accueil, pour trouver un hébergement ou de la nourriture.
Prendre son mal en patience
A 32 ans, Mikobi demande la protection de la France. Il assure avoir subi six mois de tortures dans un cachot militaire à Goma, au Nord Kivu, une région de l’Est de la République démocratique du Congo. Au motif qu’il récupérait les enfants enrôlés dans l’armée. «Je n’ai pas eu de procès dans les règles», s’offusque-t-il. Il a réussi à s’évader et rentrer en France grâce à un passeport emprunté. Et une enveloppe de plusieurs milliers de dollars, remis à son passeur. Ce dernier l’aurait même hébergé quelques jours en région parisienne. «Toi et moi, nous sommes quittes», lui a-t-il lancé avant de l’abandonner dans la capitale, le 8 décembre dernier.
Recueilli par une association d’aide aux réfugiés, il entame sa première démarche à la Préfecture de police (PP). Il doit s’y rendre pour déclarer sa présence aux services de l’Etat. Problème: seules vingt premières demandes d’asile sont enregistrées chaque jour. Il doit donc se trouver dans les premières places pour avoir une chance d’être reçu. Mikobi décide de se présenter la veille. Le 4 janvier, il s’installe donc devant l’annexe de la PP, boulevard Ney (18e). Il est 13h. Au fur et à mesure que la journée, puis la nuit, avancent, la file grossit. Au lever du jour, une centaine de personnes l’ont rejoint. Ils ont aménagé des abris de fortune avec quelques cartons, des couvertures de survie et des palettes de bois.
Vers 8h, les premiers policiers font leur apparition. Ils sont là pour encadrer les requérants et filtrer les entrées. «Aucune première demande ne rentre aujourd’hui. Revenez demain», ordonne froidement l’un d’entre eux. Mikobi, lui, ne bronche pas. «Hier aussi, les policiers avaient dit ça pour décourager les gens», se rassure-t-il. Sa détermination est payante car après dix-huit heures de patience, il est le premier à être reçu. Son rendez-vous durera trente minutes.
Porte-monnaie volé
Quand Mikobi ne fait pas la queue devant la préfecture, il occupe ses journées à trouver un lieu pour dormir. Il est régulièrement hébergé à la Boulangerie, une ancienne caserne du 18e, reconvertie en centre d’accueil. «Je sens que ça ne va pas, dans ma tête. Ce n’est pas facile. J’ai envie de crier, mais il faut que je sois fort», lâche-t-il en discutant avec le responsable du lieu. Bagarres, embrouilles rythment son quotidien. Il assure s’être fait voler son porte-monnaie. «Un gros problème pour moi, c’est les transports. Comment je peux les payer?», angoisse-t-il. A deux reprises, il s’est fait contrôler par des agents de la RATP, qui l’ont verbalisé. Un obstacle dont il se serait bien passé. «Maintenant je dois prendre rendez-vous avec une association pour rédiger une lettre et expliquer ma situation au directeur [de la RATP].»
D’ici à un mois, Mikobi devrait recevoir une aide de l’Etat. Environ 10 € par jour. Il attend désormais une place dans un centre d’accueil pour demandeurs d’asile (Cada). «Pas avant cinq mois. Car il est sans enfant, jeune et en bonne santé», explique-t-on à France terre d’asile. Mardi dernier, une étape importante dans son parcours a été franchie: il a déposé son dossier complet à la préfecture, ce qui lui aura finalement pris deux mois. Son cas est désormais étudié à l’Office français de protection des réfugiés et des demandeurs d’asile (Ofpra). Au mieux, il aura une réponse d’ici à mai. Au pire, il devra patienter près de neuf mois. En 2009, l’Ofpra a rejeté 86,8% des demandes examinées.
>> A cause des débordements dans les commentaires, nous nous voyons contraints de fermer cet article aux commentaires. Merci de votre compréhension.
mongo elombe
Re: Pages actualités... Rien que les liens d'actus
Aux kabidolatres : quand on veut la paix on se donne les moyens et on le paie de sa personne.
Botala baninga. Le SOUDAN et le TCHAD exemple à suivre pour le bien de la RDC.
lue dans le site de Jeune Afrique.
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"J'affirme aux peuples soudanais et tchadien que nous avons complètement tourné la page", a-t-il déclaré lors d'un discours dans le "pavillon de l'amitié", nom du centre des Congrès de Khartoum.
"Cette visite a mis fin à tous les problèmes entre le Tchad et le Soudan", a ensuite ajouté à l'aéroport le président Béchir, lors d'une conférence de presse conjointe avec son homologue tchadien Idriss Deby Itno, qui a conclu mardi sa première visite sur le sol soudanais depuis 2004.
"Je suis venu le coeur ouvert et la main tendue pour écrire une nouvelle page de nos relations. Je n'ai pas de doute que les mêmes sentiments et la même volonté animent mon frère, monsieur le président Omar Hassan Ahmed el-Béchir", a déclaré le président tchadien devant un millier de personnes réunies au centre des Congrès.
Les relations entre les deux voisins africains ont été "profondément affectées" par la crise du Darfour, région soudanaise limitrophe du Tchad en proie depuis 2003 à une guerre civile complexe, a reconnu le président tchadien.
Botala baninga. Le SOUDAN et le TCHAD exemple à suivre pour le bien de la RDC.
lue dans le site de Jeune Afrique.
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"J'affirme aux peuples soudanais et tchadien que nous avons complètement tourné la page", a-t-il déclaré lors d'un discours dans le "pavillon de l'amitié", nom du centre des Congrès de Khartoum.
"Cette visite a mis fin à tous les problèmes entre le Tchad et le Soudan", a ensuite ajouté à l'aéroport le président Béchir, lors d'une conférence de presse conjointe avec son homologue tchadien Idriss Deby Itno, qui a conclu mardi sa première visite sur le sol soudanais depuis 2004.
"Je suis venu le coeur ouvert et la main tendue pour écrire une nouvelle page de nos relations. Je n'ai pas de doute que les mêmes sentiments et la même volonté animent mon frère, monsieur le président Omar Hassan Ahmed el-Béchir", a déclaré le président tchadien devant un millier de personnes réunies au centre des Congrès.
Les relations entre les deux voisins africains ont été "profondément affectées" par la crise du Darfour, région soudanaise limitrophe du Tchad en proie depuis 2003 à une guerre civile complexe, a reconnu le président tchadien.
mongo elombe
Re: Pages actualités... Rien que les liens d'actus
Lue sur le site médiacongo trop long , je mets juste le titre. Il y comme un vent de révolte mais comme toujours quelques dollars et ils rentreront dans les rangs à moins qu'ils deviennent LUCIDES, il n'est jamais trop tard...............
Pagaille dans les Assemblées provinciales : les députés provinciaux veulent chasser bureaux, gouverneurs et ministres
Pagaille dans les Assemblées provinciales : les députés provinciaux veulent chasser bureaux, gouverneurs et ministres
mongo elombe
Re: Pages actualités... Rien que les liens d'actus
Kinshasa : 16 février, les Congolais se souviennent du massacre des chrétiens
Tous les intervenants sont revenus sur la journée 16 février 2010, où les
chrétiens avaient été massacrés durant le régime du Maréchal Mobutu. Ces
derniers réclamaient dans une marche pacifique, la réouverture de la conférence
nationale souveraine, fermé par le premier ministre d’alors, Nguz-a-Karl-Ibond.
http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&a=26437
16 février 1992 - 16 février 2010, 18 ans après : les Congolais se
souviennent du massacre des Chrétiens
Il y a 18 ans la Société Civile avait organisé une inoubliable marche pour
la réouverture de la Conférence nationale souveraine (Cns) fermée sous le
gouvernement Nguz, marche au cours duquel les chrétiens ont été massacrés en
victimes de la démocratie que le régime dictatorial agonisant de Mobutu a
vainement cherché à mater. Gare à la récupération politicienne de ce jour de
gloire nationale !
Le 16 février 1992, les Chrétiens s’étaient mobilisés dans la rue pour
réclamer la réouverture des travaux de la Cns fermés par le Premier ministre
Nguz. L’initiative est venue du comité laïc de coordination dont les acteurs
sont Pierre Lumbi, actuel ministre des Infrastructures et François Kandolo.
http://www.digitalcongo.net/article/64669
REVUE DE LA PRESSE CONGOLAISE DE CE MARDI 16 FEVRIER 2010
16 février 1992 - 16 février 2010, il y a 18 ans jour pour jour la marche
pacifique des chrétiens pour l’obtention de l’ouverture de la Conférence
Nationale Souveraine était réprimée dans le sang. La presse congolaise dénonce
toute récupération politicienne de cet anniversaire douloureux
Journée historique, celle de 16 février 2010 en est une. Elle marque, en effet,
le 18ème anniversaire du massacre des chrétiens, dont la marche pacifique pour
réclamer l’ouverture de la Conférence nationale souveraine (CNS), fut réprimée
dans le sang par les forces mobutistes réfractaires au changement.
« 16 février : ne crachez pas sur les « morts de la démocratie », prévient LE
POTENTIEL qui consacre sa manchette à ce douloureux anniversaire. Le quotidien
de l’avenue Bas – Congo rappelle que cette marche pacifique fût l’initiative
exclusive de la Société civile apolitique. Mais curieusement, l’on assiste à un
élan très fort d’une récupération politicienne avec comme objectif la
reconfiguration du paysage politique en prévision de prochaines élections.
Scandaleux.
http://www.digitalcongo.net/article/64649
lino
Re: Pages actualités... Rien que les liens d'actus
Des tirs de mitrailleuses et d'armes lourdes ont retenti jeudi 18 février à Niamey, capitale du Niger, rapportent des témoins. Ces tirs semblent provenir du quartier du palais présidentiel, au-dessus duquel s'est formé un nuage de fumée, mais on ignore quels en sont les auteurs.(le monde)
mongo elombe
Re: Pages actualités... Rien que les liens d'actus
vDECLARATION POLITIQUE DU MOUVEMENT DU PEUPLE CONGOLAIS POUR LA REPUBLIQUE (MPCR) EN RAPPORT AU REMANIEMENT DE L’EQUIPE GOUVERNEMENTALE MUZITO II DU 20 FEVRIER 2010 Après analyse et contact de la situation ; le Bureau Politique du MPCR, Parti Politique de l’Opposition radicale, décrie et dénonce ce qui suit : - La persistance de la prédominance des ressortissants de l’Est dans le Gouvernement de la République ; - Le grand nombre des postes ministériels ; - Le non respect de la géopolitique dans l’équipe gouvernementale ; le mépris de la parité au sein du Gouvernement ; - La confiscation de l’appareil de l’Etat par les Chefs des Partis Politiques. C’est pourquoi, nous attirons l’attention du peuple congolais que par rapport au temps, aux moyens et aux objectifs assignés à ce Gouvernement, qu’il s’agit là, purement et simplement des manœuvres de conservation et pérennisation du pouvoir aux objectifs électoralistes. Nous en appelons le Peuple Congolais à ouvrir l’œil et le bon. Seulement à ce moment là, que le Congolais fera le bon choix, un choix judicieux. Fait à Kinshasa, le 23 Février 2010 Pour le MPCR Me. Christian TATY NIMY Directeur du Bureau Politique
La prospérité.
La prospérité.
mongo elombe
Re: Pages actualités... Rien que les liens d'actus
Il y a eu combiens de journalistes tué au KIVU franchement quand je lis ça, ça me révolte et ça me conforte dans kabila n'est pas à sa place et ne vaut pas la RDC. Un vrai foutage de gueule.
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*Pierre Lumbi Okongo, Conseiller Spécial du Chef de l’Etat en matière de sécurité est monté hier au créneau pour condamner, de la manière la plus énergique, le meurtre du Journaliste Patient Chebeya à Beni.
A l’en croire, ce crime crapuleux contre un homme qui ne faisait rien d’autre que remplir son devoir d’informer et qui s’inscrit dans une série d’autres crimes de même nature contre des journalistes, ne restera pas impuni. Mais en attendant les résultats des enquêtes déjà engagées au niveau de tous les services sur place à Beni pour connaître les circonstances exactes et le mobile de ce crime odieux
, Pierre Lumbi a exprimé les regrets et la compassion du Chef de l’Etat et du Gouvernement à l’endroit de la famille du Journaliste assassiné et à l’endroit de toute la corporation des journalistes de la RD-Congo. Il en a profité pour rassurer tous les congolais, en particulier les journalistes, de la détermination du Chef de l’Etat à protéger les libertés fondamentales, notamment celle d’expression, à protéger les journalistes dans l’exercice de leur métier et à garantir leur indépendance
. ‘‘C’est pourquoi, le Président de la République et tout le Gouvernement s’engagent à tout mettre en œuvre pour retrouver les coupables, et les sanctionner sévèrement afin de décourager définitivement, dans notre pays, la culture du crime organisé et impuni’’, a-t-il conclu. Pour sa part, Journaliste En Danger exprime sa révolte après l’assassinat d’un sixième journaliste à l’Est de la RDC.
JED exige des autorités locales des explications sur cette série de meurtres qui visent les professionnels des médias et attend qu’aucune piste d’enquête ne soit négligée pour connaître le mobile de ce crime. Il est le sixième journaliste à être tué à l’Est de la République Démocratique du Congo, après Pascal Kabungulu, Serge Maheshe, Patrick Kikuku, Didace Namujimbo et Bruno Koko Chirambiza. Patient Chebeya Bankome alias Montigomo, c’est de lui qu’il s’agit, a été froidement abattu, à son domicile, devant sa femme par des hommes armés non autrement identifiés, malgré les implorations.
Les faits se passent à Beni, troisième ville de la Province du Nord-Kivu, aux environs de 22h30 locales, le lundi 5 avril 2010, lorsque Patient Chebeya, revenant du Studio Panorama, son studio d’enregistrement, se voit encercler par des militaires qui, manifestement, guettaient son arrivée, juste au moment où sa chère épouse lui ouvrait la porte. Sans trop de formalités, l’infortuné confrère a été dépouillé de son sac contenant des cassettes vidéo, son téléphone portable et une somme d’argent, avant d’être fauché à bout portant de six balles. A en croire son épouse jointe par Journaliste En Danger, les assaillants ont refusé de céder à toutes supplications du journaliste, arguant qu’ils avaient reçu mission de le tuer.
Pierre Lumbi monte au créneau C’en est trop. Des crimes odieux contre les professionnels des médias dans cette partie de la République où l’intolérance a la peau dure. Toute personne éprise de paix et des libertés fondamentales, particulièrement celle d’expression, ne peut aucunement rester indifférente. Encore moins le Chef de l’Etat. Hier, mercredi 7 avril 2010, au cours d’un point de presse, son Conseiller Spécial en matière de sécurité, Pierre Lumbi Okongo est sorti de sa réserve pour condamner, de la manière la plus énergique, ce crime crapuleux contre un homme qui ne faisait rien d’autre que remplir son devoir d’informer.
Cet incident malheureux, a rappelé le Conseiller Spécial du Chef en matière de sécurité, survient au moment où tous les efforts du Chef de l’Etat et du Gouvernement sont canalisés en vue de stabiliser et de sécuriser l’ensemble du pays ; rassurer les investisseurs et assurer la protection des personnes et de leurs biens. Ce crime, a-t-il martelé, est d’autant plus odieux qu’il s’inscrit dans une série d’autres crimes de même nature contre des journalistes, ceux-là mêmes qui incarnent la liberté d’expression en République Démocratique du Congo. Pour le Chef de l’Etat, a fait savoir Pierre Lumbi, ce crime ne restera pas impuni.
En attendant les résultats des enquêtes déjà engagées au niveau de tous les services sur place à Beni pour connaître les circonstances exactes et le mobile de ce crime odieux, Pierre Lumbi a exprimé les regrets et la compassion du Chef de l’Etat et du Gouvernement à l’endroit de la famille du Journaliste assassiné et à l’endroit de toute la corporation des journalistes de la RD-Congo. Au nom du Chef de l’Etat, Lumbi Pierre a présenté ses condoléances les plus attristées à Mme Chebeya et à ses enfants, avant de leur exprimer toute sa tristesse, sa compassion de même que sa solidarité.
Il n’a pas oublié de présenter les mêmes sentiments à toute la famille journalistique touchée au plus profond d’elle-même et traumatisée dans sa mission d’informer. Pierre Lumbi en a profité pour rassurer tous les congolais, en particulier les journalistes, de la détermination du Chef de l’Etat à protéger les libertés fondamentales, notamment celle d’expression, à protéger les journalistes dans l’exercice de leur métier et à garantir leur indépendance.
‘‘C’est pourquoi, le Président de la République et tout le Gouvernement s’engagent à tout mettre en œuvre pour retrouver les coupables, et les sanctionner sévèrement afin de décourager définitivement, dans notre pays, la culture du crime organisé et impuni’’, a-t-il conclu. JED révolté Pour sa part, Journaliste En Danger exprime sa révolte après l’assassinat d’un sixième journaliste à l’Est de la RDC. Ce faisant, JED exige des autorités locales des explications sur cette série de meurtres qui vise les professionnels des médias et attend qu’aucune piste d’enquête ne soit négligée pour connaître le mobile de ce crime.
LPM Assassinat de Patient Chebeya à Beni, JED révolté ! Un sixième journaliste tué à l’Est de la RD congo Kinshasa, 06 avril 2010 Journaliste en danger (JED) exprime sa révolte après l’assassinat d’un sixième journaliste à l’Est de la RD Congo. JED exige des autorités locales des explications sur cette série de meurtres qui vise les professionnels des médias et attend qu’aucune piste d’enquête ne soit négligée pour connaître le mobile de ce crime. PATIENT CHEBEYA BANKOME, plus connu sous le nom de MONTIGOMO, 35 ans, journaliste cameraman indépendant respecté travaillant pour plusieurs télévisions à Béni, troisième ville du Nord Kivu, à l’est de la RD Congo, a été tué par balles, lundi 5 avril 2010 vers 22h30’ locales dans sa résidence de la commune de Mulekera par trois hommes armés et en tenue militaire. Selon les informations recoupées à Béni par Journaliste en danger (JED), Montigomo revenait de son studio d’enregistrement appelé Studio Panorama lorsqu’il a été encerclé, devant la porte de sa maison, par ses assaillants qui manifestement guettaient son arrivé, juste au moment où son épouse lui ouvrait la porte. Il a été dépouillé de son sac contenant des cassettes vidéo, son téléphone portable et une somme d’argent dont le montant n’a pas été précisé avant d’être entraîné vers le milieu de la cour où il a été abattu à bout portant de six balles dans le corps.
Selon les témoignages de son épouse qui a assisté à la scène, les assaillants ont refusé de céder à toutes les supplications du journaliste et de son épouse en disant qu’ils étaient venus pour le tuer. Jusqu’au matin du mardi 6 avril, le corps sans vie de Montigomo gisait sur le sol alors que le commandement de la sécurité de la ville de Béni annonçait l’arrestation, deux heures après le crime, de deux suspects dans la commune de Ruwenzori à quelques 5 Km du lieu du forfait.
Joint au téléphone par JED en début d’après-midi, un journaliste sur place a indiqué que les autorités locales ainsi qu’un médecin légiste sont arrivés sur les lieux au matin pour procéder aux constats habituels et à l’examen du corps. « Le corps du journaliste est tellement amoché qu’il sera inhumé aujourd’hui même » a indiqué la même source. Patient Chebeya Bankome est le sixième journaliste tué à l’est de la RD Congo depuis 2005. Avant lui, Pascal Kabungulu, Serge Maheshe, Patrick Kikuku, Didace Namujimbo et Bruno Kolo Chirambiza ont trouvé la mort dans des circonstances non clairement élucidées jusqu’à ce jour. Selon des sources concordantes, Chebeya était un journaliste cameraman très en vue qui a couvert tous les conflits armés qui ont eu lieu à l’est de la RD Congo particulièrement en Ituri. JED
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*Pierre Lumbi Okongo, Conseiller Spécial du Chef de l’Etat en matière de sécurité est monté hier au créneau pour condamner, de la manière la plus énergique, le meurtre du Journaliste Patient Chebeya à Beni.
A l’en croire, ce crime crapuleux contre un homme qui ne faisait rien d’autre que remplir son devoir d’informer et qui s’inscrit dans une série d’autres crimes de même nature contre des journalistes, ne restera pas impuni. Mais en attendant les résultats des enquêtes déjà engagées au niveau de tous les services sur place à Beni pour connaître les circonstances exactes et le mobile de ce crime odieux
, Pierre Lumbi a exprimé les regrets et la compassion du Chef de l’Etat et du Gouvernement à l’endroit de la famille du Journaliste assassiné et à l’endroit de toute la corporation des journalistes de la RD-Congo. Il en a profité pour rassurer tous les congolais, en particulier les journalistes, de la détermination du Chef de l’Etat à protéger les libertés fondamentales, notamment celle d’expression, à protéger les journalistes dans l’exercice de leur métier et à garantir leur indépendance
. ‘‘C’est pourquoi, le Président de la République et tout le Gouvernement s’engagent à tout mettre en œuvre pour retrouver les coupables, et les sanctionner sévèrement afin de décourager définitivement, dans notre pays, la culture du crime organisé et impuni’’, a-t-il conclu. Pour sa part, Journaliste En Danger exprime sa révolte après l’assassinat d’un sixième journaliste à l’Est de la RDC.
JED exige des autorités locales des explications sur cette série de meurtres qui visent les professionnels des médias et attend qu’aucune piste d’enquête ne soit négligée pour connaître le mobile de ce crime. Il est le sixième journaliste à être tué à l’Est de la République Démocratique du Congo, après Pascal Kabungulu, Serge Maheshe, Patrick Kikuku, Didace Namujimbo et Bruno Koko Chirambiza. Patient Chebeya Bankome alias Montigomo, c’est de lui qu’il s’agit, a été froidement abattu, à son domicile, devant sa femme par des hommes armés non autrement identifiés, malgré les implorations.
Les faits se passent à Beni, troisième ville de la Province du Nord-Kivu, aux environs de 22h30 locales, le lundi 5 avril 2010, lorsque Patient Chebeya, revenant du Studio Panorama, son studio d’enregistrement, se voit encercler par des militaires qui, manifestement, guettaient son arrivée, juste au moment où sa chère épouse lui ouvrait la porte. Sans trop de formalités, l’infortuné confrère a été dépouillé de son sac contenant des cassettes vidéo, son téléphone portable et une somme d’argent, avant d’être fauché à bout portant de six balles. A en croire son épouse jointe par Journaliste En Danger, les assaillants ont refusé de céder à toutes supplications du journaliste, arguant qu’ils avaient reçu mission de le tuer.
Pierre Lumbi monte au créneau C’en est trop. Des crimes odieux contre les professionnels des médias dans cette partie de la République où l’intolérance a la peau dure. Toute personne éprise de paix et des libertés fondamentales, particulièrement celle d’expression, ne peut aucunement rester indifférente. Encore moins le Chef de l’Etat. Hier, mercredi 7 avril 2010, au cours d’un point de presse, son Conseiller Spécial en matière de sécurité, Pierre Lumbi Okongo est sorti de sa réserve pour condamner, de la manière la plus énergique, ce crime crapuleux contre un homme qui ne faisait rien d’autre que remplir son devoir d’informer.
Cet incident malheureux, a rappelé le Conseiller Spécial du Chef en matière de sécurité, survient au moment où tous les efforts du Chef de l’Etat et du Gouvernement sont canalisés en vue de stabiliser et de sécuriser l’ensemble du pays ; rassurer les investisseurs et assurer la protection des personnes et de leurs biens. Ce crime, a-t-il martelé, est d’autant plus odieux qu’il s’inscrit dans une série d’autres crimes de même nature contre des journalistes, ceux-là mêmes qui incarnent la liberté d’expression en République Démocratique du Congo. Pour le Chef de l’Etat, a fait savoir Pierre Lumbi, ce crime ne restera pas impuni.
En attendant les résultats des enquêtes déjà engagées au niveau de tous les services sur place à Beni pour connaître les circonstances exactes et le mobile de ce crime odieux, Pierre Lumbi a exprimé les regrets et la compassion du Chef de l’Etat et du Gouvernement à l’endroit de la famille du Journaliste assassiné et à l’endroit de toute la corporation des journalistes de la RD-Congo. Au nom du Chef de l’Etat, Lumbi Pierre a présenté ses condoléances les plus attristées à Mme Chebeya et à ses enfants, avant de leur exprimer toute sa tristesse, sa compassion de même que sa solidarité.
Il n’a pas oublié de présenter les mêmes sentiments à toute la famille journalistique touchée au plus profond d’elle-même et traumatisée dans sa mission d’informer. Pierre Lumbi en a profité pour rassurer tous les congolais, en particulier les journalistes, de la détermination du Chef de l’Etat à protéger les libertés fondamentales, notamment celle d’expression, à protéger les journalistes dans l’exercice de leur métier et à garantir leur indépendance.
‘‘C’est pourquoi, le Président de la République et tout le Gouvernement s’engagent à tout mettre en œuvre pour retrouver les coupables, et les sanctionner sévèrement afin de décourager définitivement, dans notre pays, la culture du crime organisé et impuni’’, a-t-il conclu. JED révolté Pour sa part, Journaliste En Danger exprime sa révolte après l’assassinat d’un sixième journaliste à l’Est de la RDC. Ce faisant, JED exige des autorités locales des explications sur cette série de meurtres qui vise les professionnels des médias et attend qu’aucune piste d’enquête ne soit négligée pour connaître le mobile de ce crime.
LPM Assassinat de Patient Chebeya à Beni, JED révolté ! Un sixième journaliste tué à l’Est de la RD congo Kinshasa, 06 avril 2010 Journaliste en danger (JED) exprime sa révolte après l’assassinat d’un sixième journaliste à l’Est de la RD Congo. JED exige des autorités locales des explications sur cette série de meurtres qui vise les professionnels des médias et attend qu’aucune piste d’enquête ne soit négligée pour connaître le mobile de ce crime. PATIENT CHEBEYA BANKOME, plus connu sous le nom de MONTIGOMO, 35 ans, journaliste cameraman indépendant respecté travaillant pour plusieurs télévisions à Béni, troisième ville du Nord Kivu, à l’est de la RD Congo, a été tué par balles, lundi 5 avril 2010 vers 22h30’ locales dans sa résidence de la commune de Mulekera par trois hommes armés et en tenue militaire. Selon les informations recoupées à Béni par Journaliste en danger (JED), Montigomo revenait de son studio d’enregistrement appelé Studio Panorama lorsqu’il a été encerclé, devant la porte de sa maison, par ses assaillants qui manifestement guettaient son arrivé, juste au moment où son épouse lui ouvrait la porte. Il a été dépouillé de son sac contenant des cassettes vidéo, son téléphone portable et une somme d’argent dont le montant n’a pas été précisé avant d’être entraîné vers le milieu de la cour où il a été abattu à bout portant de six balles dans le corps.
Selon les témoignages de son épouse qui a assisté à la scène, les assaillants ont refusé de céder à toutes les supplications du journaliste et de son épouse en disant qu’ils étaient venus pour le tuer. Jusqu’au matin du mardi 6 avril, le corps sans vie de Montigomo gisait sur le sol alors que le commandement de la sécurité de la ville de Béni annonçait l’arrestation, deux heures après le crime, de deux suspects dans la commune de Ruwenzori à quelques 5 Km du lieu du forfait.
Joint au téléphone par JED en début d’après-midi, un journaliste sur place a indiqué que les autorités locales ainsi qu’un médecin légiste sont arrivés sur les lieux au matin pour procéder aux constats habituels et à l’examen du corps. « Le corps du journaliste est tellement amoché qu’il sera inhumé aujourd’hui même » a indiqué la même source. Patient Chebeya Bankome est le sixième journaliste tué à l’est de la RD Congo depuis 2005. Avant lui, Pascal Kabungulu, Serge Maheshe, Patrick Kikuku, Didace Namujimbo et Bruno Kolo Chirambiza ont trouvé la mort dans des circonstances non clairement élucidées jusqu’à ce jour. Selon des sources concordantes, Chebeya était un journaliste cameraman très en vue qui a couvert tous les conflits armés qui ont eu lieu à l’est de la RD Congo particulièrement en Ituri. JED
mongo elombe
Re: Pages actualités... Rien que les liens d'actus
Pourtant c'est bien écrit,mais tellement que oyina muana batu...c'est toujours lui le coupablemongo elombe a écrit:Il y a eu combiens de journalistes tué au KIVU franchement quand je lis ça, ça me révolte et ça me conforte dans kabila n'est pas à sa place et ne vaut pas la RDC. Un vrai foutage de gueule.
‘‘C’est pourquoi, le Président de la République et tout le Gouvernement s’engagent à tout mettre en œuvre pour retrouver les coupables, et les sanctionner sévèrement afin de décourager définitivement, dans notre pays, la culture du crime organisé et impuni’’, a-t-il conclu. Pour sa part, Journaliste En Danger exprime sa révolte après l’assassinat d’un sixième journaliste à l’Est de la RDC.
lino
TO BOYI LOKUTA, INTOX, MÉDIOCRITÉ INTELLECTUELLE, MALHONNÊTETÉ INTELLECTUELLE, AFFABULATIONS, DIFFAMATIONS, CALOMNIES, JALOUSIE, MOTEMA LIKUNDU,
Wapi sergent TROLL? KAFUMBA na COPIER COLLER lokola diahrée! Élodie MOBUTU mongo elombe a écrit:
Il y a eu combiens de journalistes tué au KIVU franchement quand je lis ça, ça me révolte et ça me conforte dans kabila n'est pas à sa place et ne vaut pas la RDC. Un vrai foutage de gueule.
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*Pierre Lumbi Okongo, Conseiller Spécial du Chef de l’Etat en matière de sécurité est monté hier au créneau pour condamner, de la manière la plus énergique, le meurtre du Journaliste Patient Chebeya à Beni.
A l’en croire, ce crime crapuleux contre un homme qui ne faisait rien d’autre que remplir son devoir d’informer et qui s’inscrit dans une série d’autres crimes de même nature contre des journalistes, ne restera pas impuni. Mais en attendant les résultats des enquêtes déjà engagées au niveau de tous les services sur place à Beni pour connaître les circonstances exactes et le mobile de ce crime odieux
, Pierre Lumbi a exprimé les regrets et la compassion du Chef de l’Etat et du Gouvernement à l’endroit de la famille du Journaliste assassiné et à l’endroit de toute la corporation des journalistes de la RD-Congo. Il en a profité pour rassurer tous les congolais, en particulier les journalistes, de la détermination du Chef de l’Etat à protéger les libertés fondamentales, notamment celle d’expression, à protéger les journalistes dans l’exercice de leur métier et à garantir leur indépendance
. ‘‘C’est pourquoi, le Président de la République et tout le Gouvernement s’engagent à tout mettre en œuvre pour retrouver les coupables, et les sanctionner sévèrement afin de décourager définitivement, dans notre pays, la culture du crime organisé et impuni’’, a-t-il conclu. Pour sa part, Journaliste En Danger exprime sa révolte après l’assassinat d’un sixième journaliste à l’Est de la RDC.
JED exige des autorités locales des explications sur cette série de meurtres qui visent les professionnels des médias et attend qu’aucune piste d’enquête ne soit négligée pour connaître le mobile de ce crime. Il est le sixième journaliste à être tué à l’Est de la République Démocratique du Congo, après Pascal Kabungulu, Serge Maheshe, Patrick Kikuku, Didace Namujimbo et Bruno Koko Chirambiza. Patient Chebeya Bankome alias Montigomo, c’est de lui qu’il s’agit, a été froidement abattu, à son domicile, devant sa femme par des hommes armés non autrement identifiés, malgré les implorations.
Les faits se passent à Beni, troisième ville de la Province du Nord-Kivu, aux environs de 22h30 locales, le lundi 5 avril 2010, lorsque Patient Chebeya, revenant du Studio Panorama, son studio d’enregistrement, se voit encercler par des militaires qui, manifestement, guettaient son arrivée, juste au moment où sa chère épouse lui ouvrait la porte. Sans trop de formalités, l’infortuné confrère a été dépouillé de son sac contenant des cassettes vidéo, son téléphone portable et une somme d’argent, avant d’être fauché à bout portant de six balles. A en croire son épouse jointe par Journaliste En Danger, les assaillants ont refusé de céder à toutes supplications du journaliste, arguant qu’ils avaient reçu mission de le tuer.
Pierre Lumbi monte au créneau C’en est trop. Des crimes odieux contre les professionnels des médias dans cette partie de la République où l’intolérance a la peau dure. Toute personne éprise de paix et des libertés fondamentales, particulièrement celle d’expression, ne peut aucunement rester indifférente. Encore moins le Chef de l’Etat. Hier, mercredi 7 avril 2010, au cours d’un point de presse, son Conseiller Spécial en matière de sécurité, Pierre Lumbi Okongo est sorti de sa réserve pour condamner, de la manière la plus énergique, ce crime crapuleux contre un homme qui ne faisait rien d’autre que remplir son devoir d’informer.
Cet incident malheureux, a rappelé le Conseiller Spécial du Chef en matière de sécurité, survient au moment où tous les efforts du Chef de l’Etat et du Gouvernement sont canalisés en vue de stabiliser et de sécuriser l’ensemble du pays ; rassurer les investisseurs et assurer la protection des personnes et de leurs biens. Ce crime, a-t-il martelé, est d’autant plus odieux qu’il s’inscrit dans une série d’autres crimes de même nature contre des journalistes, ceux-là mêmes qui incarnent la liberté d’expression en République Démocratique du Congo. Pour le Chef de l’Etat, a fait savoir Pierre Lumbi, ce crime ne restera pas impuni.
En attendant les résultats des enquêtes déjà engagées au niveau de tous les services sur place à Beni pour connaître les circonstances exactes et le mobile de ce crime odieux, Pierre Lumbi a exprimé les regrets et la compassion du Chef de l’Etat et du Gouvernement à l’endroit de la famille du Journaliste assassiné et à l’endroit de toute la corporation des journalistes de la RD-Congo. Au nom du Chef de l’Etat, Lumbi Pierre a présenté ses condoléances les plus attristées à Mme Chebeya et à ses enfants, avant de leur exprimer toute sa tristesse, sa compassion de même que sa solidarité.
Il n’a pas oublié de présenter les mêmes sentiments à toute la famille journalistique touchée au plus profond d’elle-même et traumatisée dans sa mission d’informer. Pierre Lumbi en a profité pour rassurer tous les congolais, en particulier les journalistes, de la détermination du Chef de l’Etat à protéger les libertés fondamentales, notamment celle d’expression, à protéger les journalistes dans l’exercice de leur métier et à garantir leur indépendance.
‘‘C’est pourquoi, le Président de la République et tout le Gouvernement s’engagent à tout mettre en œuvre pour retrouver les coupables, et les sanctionner sévèrement afin de décourager définitivement, dans notre pays, la culture du crime organisé et impuni’’, a-t-il conclu. JED révolté Pour sa part, Journaliste En Danger exprime sa révolte après l’assassinat d’un sixième journaliste à l’Est de la RDC. Ce faisant, JED exige des autorités locales des explications sur cette série de meurtres qui vise les professionnels des médias et attend qu’aucune piste d’enquête ne soit négligée pour connaître le mobile de ce crime.
LPM Assassinat de Patient Chebeya à Beni, JED révolté ! Un sixième journaliste tué à l’Est de la RD congo Kinshasa, 06 avril 2010 Journaliste en danger (JED) exprime sa révolte après l’assassinat d’un sixième journaliste à l’Est de la RD Congo. JED exige des autorités locales des explications sur cette série de meurtres qui vise les professionnels des médias et attend qu’aucune piste d’enquête ne soit négligée pour connaître le mobile de ce crime. PATIENT CHEBEYA BANKOME, plus connu sous le nom de MONTIGOMO, 35 ans, journaliste cameraman indépendant respecté travaillant pour plusieurs télévisions à Béni, troisième ville du Nord Kivu, à l’est de la RD Congo, a été tué par balles, lundi 5 avril 2010 vers 22h30’ locales dans sa résidence de la commune de Mulekera par trois hommes armés et en tenue militaire. Selon les informations recoupées à Béni par Journaliste en danger (JED), Montigomo revenait de son studio d’enregistrement appelé Studio Panorama lorsqu’il a été encerclé, devant la porte de sa maison, par ses assaillants qui manifestement guettaient son arrivé, juste au moment où son épouse lui ouvrait la porte. Il a été dépouillé de son sac contenant des cassettes vidéo, son téléphone portable et une somme d’argent dont le montant n’a pas été précisé avant d’être entraîné vers le milieu de la cour où il a été abattu à bout portant de six balles dans le corps.
Selon les témoignages de son épouse qui a assisté à la scène, les assaillants ont refusé de céder à toutes les supplications du journaliste et de son épouse en disant qu’ils étaient venus pour le tuer. Jusqu’au matin du mardi 6 avril, le corps sans vie de Montigomo gisait sur le sol alors que le commandement de la sécurité de la ville de Béni annonçait l’arrestation, deux heures après le crime, de deux suspects dans la commune de Ruwenzori à quelques 5 Km du lieu du forfait.
Joint au téléphone par JED en début d’après-midi, un journaliste sur place a indiqué que les autorités locales ainsi qu’un médecin légiste sont arrivés sur les lieux au matin pour procéder aux constats habituels et à l’examen du corps. « Le corps du journaliste est tellement amoché qu’il sera inhumé aujourd’hui même » a indiqué la même source. Patient Chebeya Bankome est le sixième journaliste tué à l’est de la RD Congo depuis 2005. Avant lui, Pascal Kabungulu, Serge Maheshe, Patrick Kikuku, Didace Namujimbo et Bruno Kolo Chirambiza ont trouvé la mort dans des circonstances non clairement élucidées jusqu’à ce jour. Selon des sources concordantes, Chebeya était un journaliste cameraman très en vue qui a couvert tous les conflits armés qui ont eu lieu à l’est de la RD Congo particulièrement en Ituri. JED
*CNMM a écrit:
Où est le Sergent TROLL ?
Vive l'IMMUNITÉ "KANAMBEPHOBE" ...
KAFUMBA na "COPIER COLLER" lokola pupulu (diahrée) !...
*CNMM
Dernière édition par *CNMM le 12/4/2010, 2:01 am, édité 1 fois
*CNMM
Re: Pages actualités... Rien que les liens d'actus
Lino au bout du 6ème journaliste ça c'est au KIVU et dans toute la RDC???????? où bien il n'était pas au courant des autres morts et pendant qu'on y est pourquoi ne pas rechercher tout ceux qui tuent, pillent, massacre au KIVU Hein???????
mongo elombe
Re: Pages actualités... Rien que les liens d'actus
En effet, le président de la DCT a lancé cet appel dimanche en indiquant qu’il s’agissait de la paie des salaires et des primes mensuelles de 53 anciens agents percepteurs de Safricom mis à la disposition de l’Hôtel de ville à l’époque du gouverneur Kimbunda.
La Confédération démocratique du travail (CDT), organisation défenderesse des intérêts professionnels des travailleurs, demande au gouverneur de la ville de Kinshasa, de payer les salaires et primes mensuelles des agents percepteurs du marché central de Kinshasa.
Le président de la CDT, M. Paul Muamba Mununu Kavula-Mbedi, a lancé cet appel dans une déclaration parvenue dimanche à l’ACP, tout en précisant qu’il s’agit de 53 anciens agents de SAFRICOM mis à la disposition de l’Hôtel de ville à l’époque du gouverneur Kimbunda en vue d’améliorer et de maintenir en bon état les infrastructures du marché ainsi que d’une trentaine d’autres agents relevant de l’Hôtel de ville.
Pour le président de la CDT, ces gens reconnus comme agents de l’Etat, avaient totalisé 24 mois d’arriérés de salaire à l’époque du gouverneur Kimbunda. Son successeur Kimbembe Mazunga avait, quant à lui, épongé 4 mois de ses arriérés tandis que le gouverneur Kimbuta, qui vient de totaliser 4 ans à la tête de l’Hôtel de ville, n’a jusqu’ici donné aucune solution au problème de ces deux groupes d’agents malgré toutes les démarches effectuées à ce jour. digitalpropagande
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Fini l'impunité de la vraie racaille na mawa pour les autres vraiment intouchable.
La Confédération démocratique du travail (CDT), organisation défenderesse des intérêts professionnels des travailleurs, demande au gouverneur de la ville de Kinshasa, de payer les salaires et primes mensuelles des agents percepteurs du marché central de Kinshasa.
Le président de la CDT, M. Paul Muamba Mununu Kavula-Mbedi, a lancé cet appel dans une déclaration parvenue dimanche à l’ACP, tout en précisant qu’il s’agit de 53 anciens agents de SAFRICOM mis à la disposition de l’Hôtel de ville à l’époque du gouverneur Kimbunda en vue d’améliorer et de maintenir en bon état les infrastructures du marché ainsi que d’une trentaine d’autres agents relevant de l’Hôtel de ville.
Pour le président de la CDT, ces gens reconnus comme agents de l’Etat, avaient totalisé 24 mois d’arriérés de salaire à l’époque du gouverneur Kimbunda. Son successeur Kimbembe Mazunga avait, quant à lui, épongé 4 mois de ses arriérés tandis que le gouverneur Kimbuta, qui vient de totaliser 4 ans à la tête de l’Hôtel de ville, n’a jusqu’ici donné aucune solution au problème de ces deux groupes d’agents malgré toutes les démarches effectuées à ce jour. digitalpropagande
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Fini l'impunité de la vraie racaille na mawa pour les autres vraiment intouchable.
mongo elombe
Re: Pages actualités... Rien que les liens d'actus
Les ministres participant au 4ème Conseil des ministres de la Commission de paix et de sécurité de l’Afrique centrale (COPAX), tenue à N’Djamena, au Tchad, du 2 au 4 avril 2010, ont félicité et encouragé le Président congolais Joseph Kabila Kabange pour les efforts qu’il ne cesse de déployer pour le retour d’une paix durable en Afrique centrale.
Selon un communiqué de presse du ministère de la Coopération internationale et régionale parvenu jeudi à l’ACP, le 4ème conseil des ministres de COPAX a pris d’importantes décisions relatives aux actions de paix dans la région, notamment l’envoi d’une commission en République Centrafricaine pour essayer de rapprocher les acteurs politiques et les amener à adopter un cadre de gestion politique incluant un calendrier électoral. La commission aura aussi pour tâche de régler les questions liées à la sécurité dans ce pays.
Selon un communiqué de presse du ministère de la Coopération internationale et régionale parvenu jeudi à l’ACP, le 4ème conseil des ministres de COPAX a pris d’importantes décisions relatives aux actions de paix dans la région, notamment l’envoi d’une commission en République Centrafricaine pour essayer de rapprocher les acteurs politiques et les amener à adopter un cadre de gestion politique incluant un calendrier électoral. La commission aura aussi pour tâche de régler les questions liées à la sécurité dans ce pays.
mongo elombe
Re: Pages actualités... Rien que les liens d'actus
Mais ne revendiquent, ni ne protestent... continuent par contre a travailler comme si de rien n'etait. Donc, tout le monde sait comment ils font pour nourir leur progenitures... On appel ca "Shida "
mongo elombe a écrit:En effet, le président de la DCT a lancé cet appel dimanche en indiquant qu’il s’agissait de la paie des salaires et des primes mensuelles de 53 anciens agents percepteurs de Safricom mis à la disposition de l’Hôtel de ville à l’époque du gouverneur Kimbunda.
La Confédération démocratique du travail (CDT), organisation défenderesse des intérêts professionnels des travailleurs, demande au gouverneur de la ville de Kinshasa, de payer les salaires et primes mensuelles des agents percepteurs du marché central de Kinshasa.
Le président de la CDT, M. Paul Muamba Mununu Kavula-Mbedi, a lancé cet appel dans une déclaration parvenue dimanche à l’ACP, tout en précisant qu’il s’agit de 53 anciens agents de SAFRICOM mis à la disposition de l’Hôtel de ville à l’époque du gouverneur Kimbunda en vue d’améliorer et de maintenir en bon état les infrastructures du marché ainsi que d’une trentaine d’autres agents relevant de l’Hôtel de ville.
Pour le président de la CDT, ces gens reconnus comme agents de l’Etat, avaient totalisé 24 mois d’arriérés de salaire à l’époque du gouverneur Kimbunda. Son successeur Kimbembe Mazunga avait, quant à lui, épongé 4 mois de ses arriérés tandis que le gouverneur Kimbuta, qui vient de totaliser 4 ans à la tête de l’Hôtel de ville, n’a jusqu’ici donné aucune solution au problème de ces deux groupes d’agents malgré toutes les démarches effectuées à ce jour. digitalpropagande
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Fini l'impunité de la vraie racaille na mawa pour les autres vraiment intouchable.
Mwana ya Congo
Re: Pages actualités... Rien que les liens d'actus
Au Quartier «Ma campagne», dans la commune de Ngaliema, toutes les conversations tournent autour du déguerpissement manu militari de l’ancien ministre de l’Information, Dominique Sakombi Inongo de sa villa dont il est propriétaire depuis une trentaine d’années. Le nouvel acquéreur n’est autre que Zoé Kabila, le jeune frère du «raïs». L’homme n’a aucune occupation rémunérée mais brasserait, dit-on, plusieurs millions de dollars...
Kinshasa. Correspondance.
La semaine dernière, le tout nouveau directeur du cabinet présidentiel, Gustave Beya Siku, s’était fendu d’un communiqué assez étrange appelant la vigilance de la population congolaise suite à la recrudescence «des cas d’escroquerie et de chantage commis ces derniers temps par des personnes se présentant comme mandataires de la présidence de la République.» Selon lui, «ces escrocs procèdent par des actes de chantage et de trafic d’influence, commis au détriment de simples citoyens.» «Ils se présentent soit comme des mandataires de la présidence de la République, soit comme de proches collaborateurs du chef de l’Etat.»
Pour éradiquer ces actes d’escroquerie qui sont loin d’être nouveaux, le «dircab» invite la population à «ne pas se laisser abuser par des sollicitations téléphoniques, verbales, SMS ou des messages transmis par Internet» et «à dénoncer ces délinquants pour qu’ils soient déférés devant la justice.»
Ce communiqué de la Présidence de la République a manifestement été reçu cinq sur cinq par les Kinois. Une source locale au Quartier Ma Campagne a contacté, vendredi 23 avril, par mail, la rédaction de Congoindependant. «Des militaires de la garde présidentielle, raconte-t-il, ont été déployés hier au Quartier Ma Campagne. Ils ont été envoyés par Zoé Kabila pour faire déguerpir l’ancien ministre Dominique Sakombi-Inongo.» Pourquoi ? Pour trouver la réponse à cette question, notre rédaction a tenté sans succès de joindre au téléphone l’ancien conseiller en communication de Mzee Laurent Désiré Kabila. Après recoupements, notre journal est en mesure de confirmer qu’un «contentieux immobilier» serait au centre d’un «bras de fer» entre Sakombi-Inongo et le frère cadet du chef de l’Etat congolais. En un mot, «Zoé» prétend avoir acheté auprès d’un «quidam» la villa qu’occupe Sakombi depuis trente ans. Villa que celui-ci aurait lui-même achetée auprès d’un ancien gouverneur de la Banque du Zaïre. Il s’agirait de Pierre Pay-Pay wa Syakasighe.
La suite sur congoindependant.
La semaine dernière, le tout nouveau directeur du cabinet présidentiel, Gustave Beya Siku, s’était fendu d’un communiqué assez étrange appelant la vigilance de la population congolaise suite à la recrudescence «des cas d’escroquerie et de chantage commis ces derniers temps par des personnes se présentant comme mandataires de la présidence de la République.» Selon lui, «ces escrocs procèdent par des actes de chantage et de trafic d’influence, commis au détriment de simples citoyens.» «Ils se présentent soit comme des mandataires de la présidence de la République, soit comme de proches collaborateurs du chef de l’Etat.»
Pour éradiquer ces actes d’escroquerie qui sont loin d’être nouveaux, le «dircab» invite la population à «ne pas se laisser abuser par des sollicitations téléphoniques, verbales, SMS ou des messages transmis par Internet» et «à dénoncer ces délinquants pour qu’ils soient déférés devant la justice.»
Ce communiqué de la Présidence de la République a manifestement été reçu cinq sur cinq par les Kinois. Une source locale au Quartier Ma Campagne a contacté, vendredi 23 avril, par mail, la rédaction de Congoindependant. «Des militaires de la garde présidentielle, raconte-t-il, ont été déployés hier au Quartier Ma Campagne. Ils ont été envoyés par Zoé Kabila pour faire déguerpir l’ancien ministre Dominique Sakombi-Inongo.» Pourquoi ? Pour trouver la réponse à cette question, notre rédaction a tenté sans succès de joindre au téléphone l’ancien conseiller en communication de Mzee Laurent Désiré Kabila. Après recoupements, notre journal est en mesure de confirmer qu’un «contentieux immobilier» serait au centre d’un «bras de fer» entre Sakombi-Inongo et le frère cadet du chef de l’Etat congolais. En un mot, «Zoé» prétend avoir acheté auprès d’un «quidam» la villa qu’occupe Sakombi depuis trente ans. Villa que celui-ci aurait lui-même achetée auprès d’un ancien gouverneur de la Banque du Zaïre. Il s’agirait de Pierre Pay-Pay wa Syakasighe.
La suite sur congoindependant.
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Une blague attendons les vérifications.
mongo elombe
Re: Pages actualités... Rien que les liens d'actus
kie kie kie Ce moussaillon avait escroqué un ami à moi, opportuniste, qui voulait à tout prix être accrédité ambassadeur de la RDC quelque part en Occident. Zoé Kabola, après lui avoir soutiré quelques milliers de dollars et des cadeaux en nature, avait changé de numéro de téléphone et plus aucun signe de vie jusqu'aujourd'hui. Mobutu est parti, vive la famille Kabo Kanambe.
vieux mokrekese
vieux mokrekese
mongo elombe a écrit:Au Quartier «Ma campagne», dans la commune de Ngaliema, toutes les conversations tournent autour du déguerpissement manu militari de l’ancien ministre de l’Information, Dominique Sakombi Inongo de sa villa dont il est propriétaire depuis une trentaine d’années. Le nouvel acquéreur n’est autre que Zoé Kabila, le jeune frère du «raïs». L’homme n’a aucune occupation rémunérée mais brasserait, dit-on, plusieurs millions de dollars... Kinshasa. Correspondance.
taty
Re: Pages actualités... Rien que les liens d'actus
mongo elombe a écrit:Au Quartier «Ma campagne», dans la commune de Ngaliema, toutes les conversations tournent autour du déguerpissement manu militari de l’ancien ministre de l’Information, Dominique Sakombi Inongo de sa villa dont il est propriétaire depuis une trentaine d’années. Le nouvel acquéreur n’est autre que Zoé Kabila, le jeune frère du «raïs». L’homme n’a aucune occupation rémunérée mais brasserait, dit-on, plusieurs millions de dollars...Kinshasa. Correspondance.
La semaine dernière, le tout nouveau directeur du cabinet présidentiel, Gustave Beya Siku, s’était fendu d’un communiqué assez étrange appelant la vigilance de la population congolaise suite à la recrudescence «des cas d’escroquerie et de chantage commis ces derniers temps par des personnes se présentant comme mandataires de la présidence de la République.» Selon lui, «ces escrocs procèdent par des actes de chantage et de trafic d’influence, commis au détriment de simples citoyens.» «Ils se présentent soit comme des mandataires de la présidence de la République, soit comme de proches collaborateurs du chef de l’Etat.»
Pour éradiquer ces actes d’escroquerie qui sont loin d’être nouveaux, le «dircab» invite la population à «ne pas se laisser abuser par des sollicitations téléphoniques, verbales, SMS ou des messages transmis par Internet» et «à dénoncer ces délinquants pour qu’ils soient déférés devant la justice.»
Ce communiqué de la Présidence de la République a manifestement été reçu cinq sur cinq par les Kinois. Une source locale au Quartier Ma Campagne a contacté, vendredi 23 avril, par mail, la rédaction de Congoindependant. «Des militaires de la garde présidentielle, raconte-t-il, ont été déployés hier au Quartier Ma Campagne. Ils ont été envoyés par Zoé Kabila pour faire déguerpir l’ancien ministre Dominique Sakombi-Inongo.» Pourquoi ? Pour trouver la réponse à cette question, notre rédaction a tenté sans succès de joindre au téléphone l’ancien conseiller en communication de Mzee Laurent Désiré Kabila. Après recoupements, notre journal est en mesure de confirmer qu’un «contentieux immobilier» serait au centre d’un «bras de fer» entre Sakombi-Inongo et le frère cadet du chef de l’Etat congolais. En un mot, «Zoé» prétend avoir acheté auprès d’un «quidam» la villa qu’occupe Sakombi depuis trente ans. Villa que celui-ci aurait lui-même achetée auprès d’un ancien gouverneur de la Banque du Zaïre. Il s’agirait de Pierre Pay-Pay wa Syakasighe.
La suite sur congoindependant.=============================================================================================================Une blague attendons les vérifications.
Sis,
Ce n'est pas une blague ......na confirmer yo...!
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Pages actualités... Rien que les liens d'actus
Vieux Mokresks, je me pose la question, si c´est vraiment nécessaire d´éscroquer quand on est jeune frére de chef d´état dans nos pays africains, alors qu´il n´y a presqu´ aucune porte qui s´ouvre par force pour obtenir tout ce qu´on veut. Moi en plus quand Mama Enyele a.k.a. Mongo Elombe aura le ministère du Sport et Loisir dans le futur gouvernement de YA ZAMBO, étant son jeune frére, j´aurai au moins des billets gratuits pour tous les Match de Motema-Pembe et des Léopards.vieux mokrekese a écrit:kie kie kie Ce moussaillon avait escroqué un ami à moi, opportuniste, qui voulait à tout prix être accrédité ambassadeur de la RDC quelque part en Occident. Zoé Kabola, après lui avoir soutiré quelques milliers de dollars et des cadeaux en nature, avait changé de numéro de téléphone et plus aucun signe de vie jusqu'aujourd'hui. Mobutu est parti, vive la famille Kabo Kanambe.
vieux mokrekesemongo elombe a écrit:Au Quartier «Ma campagne», dans la commune de Ngaliema, toutes les conversations tournent autour du déguerpissement manu militari de l’ancien ministre de l’Information, Dominique Sakombi Inongo de sa villa dont il est propriétaire depuis une trentaine d’années. Le nouvel acquéreur n’est autre que Zoé Kabila, le jeune frère du «raïs». L’homme n’a aucune occupation rémunérée mais brasserait, dit-on, plusieurs millions de dollars... Kinshasa. Correspondance.
Flick de Kolwezi
Re: Pages actualités... Rien que les liens d'actus
Kieeeeee, T'inquiète Inspecta on partagera une part du gâteau quand tu me donneras ton bilan toute les semaines, c'est triste de voir des gens qui n'ont rien devenir des millionnaires et se permettrent certaines choses.
SAKOMBI l'a bien cherché n'est ce pas????????? puisque l'ntérêt de la nation n'a jamais comptés pour eux, je ne m'inquiète pas pour lui aza na mba ndako mosusu ça c'est sûr et certain.
Zoé aza mosenzi ce n'est plus le ma campagne d'avant. 'Il a achété chez un quidam?" ye moko quidam, RDC eloko makasiiiiiiiiii si c'est vrai.
SAKOMBI l'a bien cherché n'est ce pas????????? puisque l'ntérêt de la nation n'a jamais comptés pour eux, je ne m'inquiète pas pour lui aza na mba ndako mosusu ça c'est sûr et certain.
Zoé aza mosenzi ce n'est plus le ma campagne d'avant. 'Il a achété chez un quidam?" ye moko quidam, RDC eloko makasiiiiiiiiii si c'est vrai.
mongo elombe
Re: Pages actualités... Rien que les liens d'actus
Le gouverneur de la ville province de Kinshasa, André Kimbuta a interdit la fabrication et la vente d’eau en sachet, communément appelée : « eau pure ». Au cours d’une réunion, jeudi 20 mai, avec les fabricants d’eau pure et de sachets, André Kimbuta leur a demandé d’utiliser des bouteilles en lieu et place de sachets.
Cette décision entre dans le cadre de l’assainissement de la capitale congolaise polluée par des sachets utilisés, entre autre, par les usines d’eau pure.
La ministre et porte-parole du gouvernement provincial, Thérèse Olenga, précise:
<BLOCKQUOTE>
« A partir du 1er juin, plus d’eau en sachet en circulation. Cette mesure n’a été prise pas hier ou avant-hier, mais plutôt depuis avril 2009. Nous encourageons qu’ils aillent même à des demi mesures en forme de bouteilles ou en forme de pots.»</BLOCKQUOTE>
De leur coté, les fabricants d’eau pure en sachet se disent disposés à respecter cette décision.
Toutefois, ils estiment que le temps qui leur est accordé pour écouler leur stock est très court.
Ils demandent un moratoire d’un mois.
Ces opérateurs économiques évoquent aussi le coût élevé que nécessitera l’utilisation de bouteilles à la place de sachets. Ça demande des matériaux beaucoup plus performants, précisent-ils.
Les fabricants qui ne se conformeraient pas à cette mesure sont passibles de paiement d’une amende allant de 100 à 1000 dollars américains et/ou de la fermeture de leurs usines.
Copyright Radio Okapi
==============================================================================================================
Ca se lève et ça prends une décision sans se poser des questions comme la conséquences de la décision, le délai, le pour, le contre, le coût des bouteilles, s'il jettent les sachets pourquoi pas les bouteilles??? le prix sera t'il le même, les grossistes ariveront t'ilse a écouler leurs socks le 1er juin?
Pourquoi ne pas conscientiser les consommateurs??, franchement c'est comme la décision sur le changement de passeports, KIMBUTA décide Amen.
Cette décision entre dans le cadre de l’assainissement de la capitale congolaise polluée par des sachets utilisés, entre autre, par les usines d’eau pure.
La ministre et porte-parole du gouvernement provincial, Thérèse Olenga, précise:
<BLOCKQUOTE>
« A partir du 1er juin, plus d’eau en sachet en circulation. Cette mesure n’a été prise pas hier ou avant-hier, mais plutôt depuis avril 2009. Nous encourageons qu’ils aillent même à des demi mesures en forme de bouteilles ou en forme de pots.»</BLOCKQUOTE>
De leur coté, les fabricants d’eau pure en sachet se disent disposés à respecter cette décision.
Toutefois, ils estiment que le temps qui leur est accordé pour écouler leur stock est très court.
Ils demandent un moratoire d’un mois.
Ces opérateurs économiques évoquent aussi le coût élevé que nécessitera l’utilisation de bouteilles à la place de sachets. Ça demande des matériaux beaucoup plus performants, précisent-ils.
Les fabricants qui ne se conformeraient pas à cette mesure sont passibles de paiement d’une amende allant de 100 à 1000 dollars américains et/ou de la fermeture de leurs usines.
Copyright Radio Okapi
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Ca se lève et ça prends une décision sans se poser des questions comme la conséquences de la décision, le délai, le pour, le contre, le coût des bouteilles, s'il jettent les sachets pourquoi pas les bouteilles??? le prix sera t'il le même, les grossistes ariveront t'ilse a écouler leurs socks le 1er juin?
Pourquoi ne pas conscientiser les consommateurs??, franchement c'est comme la décision sur le changement de passeports, KIMBUTA décide Amen.
mongo elombe
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