RDC : à quand la liberté économique ? (Oasis Kodila Tedika)
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mongo elombe
Orduna
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RDC : à quand la liberté économique ? (Oasis Kodila Tedika)
Lu pour nous. Cette réflexion s'ajoute dans la kyrielle de beaucoup d'autres sur le sujet, pendant le pays se prépare à "célébrer" les 50 ans d'"INDÉPENDANCE" (?). Comment être indépendant quand on doit attendre tout de l'étranger (Occident) ?
République Démocratique du Congo : à quand la liberté économique ?
Une analyse d’Oasis Kodila Tedika, économiste congolais (RDC).
Depuis des années déjà des indicateurs sérieux font remarquer unanimement que la République démocratique du Congo (RDC) se retrouve en toute queue de peloton en matière de liberté économique. Le rapport Doing business de la Banque mondiale la place encore cette année à la 182ème position en termes de facilité de faire des affaires, soit l’avant-dernière place. L’indice de liberté économique du Wall Street Journal et de l’Heritage Foundation va dans le même sens : 173ème position sur 179 pour 2009.
Lire l'article au complet :
http://www.afrik.com/article18564.html
République Démocratique du Congo : à quand la liberté économique ?
Une analyse d’Oasis Kodila Tedika, économiste congolais (RDC).
Depuis des années déjà des indicateurs sérieux font remarquer unanimement que la République démocratique du Congo (RDC) se retrouve en toute queue de peloton en matière de liberté économique. Le rapport Doing business de la Banque mondiale la place encore cette année à la 182ème position en termes de facilité de faire des affaires, soit l’avant-dernière place. L’indice de liberté économique du Wall Street Journal et de l’Heritage Foundation va dans le même sens : 173ème position sur 179 pour 2009.
Lire l'article au complet :
http://www.afrik.com/article18564.html
Orduna
Re: RDC : à quand la liberté économique ? (Oasis Kodila Tedika)
Les prix du maïs commencent à baisser au Katanga, depuis qu'il est produit localement par les entreprises minières et des petits agriculteurs qui s’en étaient longtemps désintéressés. Mais la production reste très insuffisante et la province dépend encore de la Zambie pour son approvisionnement.
"En 2009, nous achetions un sac de farine de maïs de 25 kg importé de Zambie à 25 000 Fc (27,7 $). Aujourd’hui il ne coûte que 15 000 Fc (16,6 $)", se réjouit Jacky Mwambuyi, une vendeuse de ce produit, base de l'alimentation au Katanga. Cette baisse de prix est observée depuis que le gouverneur de cette province minière du sud-est de la Rd Congo a lancé, en 2008, un appel à tous pour retourner au travail de la terre. "Les mines sont épuisables, a prévenu Moïse Katumbi. Voilà pourquoi nous devons investir dans l’agriculture pour réduire nos importations agricoles car nous avons une terre fertile." Chaque entreprise minière basée dans la province est appelée à cultiver 500 ha de champs de maïs, chaque société commerciale 100 ha et les petits agriculteurs au moins 1 ha.
Aujourd’hui, de vastes champs sont visibles le long des routes qui mènent à Lubumbashi, la capitale provinciale. Quelques grosses entreprises minières y ont déjà investi. Bazano mining notamment avec ses 700 ha cultivés, a déjà mis sa production de maïs moulu sur le marché local, ainsi que First Quantum qui possède 500 ha de champs. Le gouverneur lui-même cultive pour donner l’exemple, tout comme la ferme Espoir (700 ha) du président Kabila à 12 km de Lubumbashi. Elle attend ses premières récoltes en juin prochain.
Maigres efforts
Les autorités de la province parlent de "révolution verte", appelée aussi "cuivre vert". "Avec un ha par agriculteur, nous ne dépendrons plus de la Zambie. Et si tout le monde s’y met, nous exporterons au lieu d’importer", commente Barthélemy Mumba, le ministre provincial de l’Agriculture, pêche et élevage. Nombre de paysans qui avaient abandonné l’agriculture pour se livrer à l’exploitation artisanale des minerais jugée plus rentable, commencent à retourner aussi à la terre. Sur la route de Likasi, Zacharie Ndomba, un vieil agriculteur comme de milliers d’autres, n’aimait pas cultiver le maïs jugé difficile et très coûteux. Révolté par la hausse vertigineuse des prix durant les dernières années, il s'est résolu à en cultiver 2 ha. "J’ai décidé de ne manger cette année que du maïs de mon propre champ", se félicite-t-il.
Mais ces premiers efforts restent insuffisants. Selon le ministre provincial de l’Agriculture, la production actuelle de maïs s’élève à 300 000 t/an, soit à peine un tiers des besoins du Katanga évalués à un million de tonnes. Le déficit à combler est énorme. Ce qui énerve un peu le gouverneur Moïse. En février, il a lancé une ferme mise en garde aux entreprises minières qui ne se pressent pas à rejoindre le "cuivre vert". Dix-sept d’entre elles ont été interdites d’exporter leurs minerais tant qu’elles n’investiraient pas un sou dans l’agriculture. Elles ont une année pour le faire, et doivent aussi vendre des engrais aux paysans et Ongs qui cultivent le maïs…
Donner les moyens aux paysans (la suite sur médiacngo, je n'arrive pas à tout copier)
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C'est une bonne chose n'est ce pas??? moi de temps en temps, je me demande si KATUMBI au vue de la façon dont il se démène au KATANGA ne devrait pas se présenter aux élections.
"En 2009, nous achetions un sac de farine de maïs de 25 kg importé de Zambie à 25 000 Fc (27,7 $). Aujourd’hui il ne coûte que 15 000 Fc (16,6 $)", se réjouit Jacky Mwambuyi, une vendeuse de ce produit, base de l'alimentation au Katanga. Cette baisse de prix est observée depuis que le gouverneur de cette province minière du sud-est de la Rd Congo a lancé, en 2008, un appel à tous pour retourner au travail de la terre. "Les mines sont épuisables, a prévenu Moïse Katumbi. Voilà pourquoi nous devons investir dans l’agriculture pour réduire nos importations agricoles car nous avons une terre fertile." Chaque entreprise minière basée dans la province est appelée à cultiver 500 ha de champs de maïs, chaque société commerciale 100 ha et les petits agriculteurs au moins 1 ha.
Aujourd’hui, de vastes champs sont visibles le long des routes qui mènent à Lubumbashi, la capitale provinciale. Quelques grosses entreprises minières y ont déjà investi. Bazano mining notamment avec ses 700 ha cultivés, a déjà mis sa production de maïs moulu sur le marché local, ainsi que First Quantum qui possède 500 ha de champs. Le gouverneur lui-même cultive pour donner l’exemple, tout comme la ferme Espoir (700 ha) du président Kabila à 12 km de Lubumbashi. Elle attend ses premières récoltes en juin prochain.
Maigres efforts
Les autorités de la province parlent de "révolution verte", appelée aussi "cuivre vert". "Avec un ha par agriculteur, nous ne dépendrons plus de la Zambie. Et si tout le monde s’y met, nous exporterons au lieu d’importer", commente Barthélemy Mumba, le ministre provincial de l’Agriculture, pêche et élevage. Nombre de paysans qui avaient abandonné l’agriculture pour se livrer à l’exploitation artisanale des minerais jugée plus rentable, commencent à retourner aussi à la terre. Sur la route de Likasi, Zacharie Ndomba, un vieil agriculteur comme de milliers d’autres, n’aimait pas cultiver le maïs jugé difficile et très coûteux. Révolté par la hausse vertigineuse des prix durant les dernières années, il s'est résolu à en cultiver 2 ha. "J’ai décidé de ne manger cette année que du maïs de mon propre champ", se félicite-t-il.
Mais ces premiers efforts restent insuffisants. Selon le ministre provincial de l’Agriculture, la production actuelle de maïs s’élève à 300 000 t/an, soit à peine un tiers des besoins du Katanga évalués à un million de tonnes. Le déficit à combler est énorme. Ce qui énerve un peu le gouverneur Moïse. En février, il a lancé une ferme mise en garde aux entreprises minières qui ne se pressent pas à rejoindre le "cuivre vert". Dix-sept d’entre elles ont été interdites d’exporter leurs minerais tant qu’elles n’investiraient pas un sou dans l’agriculture. Elles ont une année pour le faire, et doivent aussi vendre des engrais aux paysans et Ongs qui cultivent le maïs…
Donner les moyens aux paysans (la suite sur médiacngo, je n'arrive pas à tout copier)
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C'est une bonne chose n'est ce pas??? moi de temps en temps, je me demande si KATUMBI au vue de la façon dont il se démène au KATANGA ne devrait pas se présenter aux élections.
mongo elombe
Re: RDC : à quand la liberté économique ? (Oasis Kodila Tedika)
Moi aussi je trouve que Katumbi se débrouille bien pour le Katanga, il a un charisme, c'est ce genre de "leadership" qui peut-être manque au Zaire !
kinmasta
Re: RDC : à quand la liberté économique ? (Oasis Kodila Tedika)
vLe ministre de Commerce extérieur, Bernard Biando Sango, a apporté des réponses aux questions des sénateurs sur son projet de modification de la loi sur le commerce. Un texte très critiqué par les sénateurs, dont la plupart pensent que ce projet de loi ne protége pas les nationaux.
Ce projet de loi présenté par le ministre de Commerce extérieur vise à supprimer l’exclusivité de l’exercice du commerce aux nationaux.
Pour le ministre Biando Sango, l’objectif est d’améliorer le climat des affaires.
Ce projet de loi, selon lui, fait donc partie de l’arsenal juridique que la RDC doit modifier pour se conformer aux exigences de l’Organisation pour l’harmonisation des droits des affaires en Afrique (Ohada).
Mais, la plus grande majorité des sénateurs se sont opposés estimant que le Gouvernement ne protége pas l’entreprenariat national.
La loi de 1973 est celle de la zaïrianisation, qui accordait l’exclusivité aux congolais des activités commerciales. C’est notamment :
Cette loi a été, par suite, modifiée pour accorder uniquement l’autorisation de commerce en gros aux expatriés.
D’après les sénateurs, plus de 70% d’activités de commerce sont détenus par les expatriés.
Dans tous les cas, le projet de loi a été envoyé à la commission économique et financière du Sénat pour un examen plus approfondi.
radio okapi
Ce projet de loi présenté par le ministre de Commerce extérieur vise à supprimer l’exclusivité de l’exercice du commerce aux nationaux.
Pour le ministre Biando Sango, l’objectif est d’améliorer le climat des affaires.
Ce projet de loi, selon lui, fait donc partie de l’arsenal juridique que la RDC doit modifier pour se conformer aux exigences de l’Organisation pour l’harmonisation des droits des affaires en Afrique (Ohada).
Mais, la plus grande majorité des sénateurs se sont opposés estimant que le Gouvernement ne protége pas l’entreprenariat national.
La loi de 1973 est celle de la zaïrianisation, qui accordait l’exclusivité aux congolais des activités commerciales. C’est notamment :
- le commerce d’importation,
- le commerce d’exportation,
- le commerce de transit,
- le commerce en gros, demi-gros et en détails.
Cette loi a été, par suite, modifiée pour accorder uniquement l’autorisation de commerce en gros aux expatriés.
D’après les sénateurs, plus de 70% d’activités de commerce sont détenus par les expatriés.
Dans tous les cas, le projet de loi a été envoyé à la commission économique et financière du Sénat pour un examen plus approfondi.
radio okapi
mongo elombe
Re: RDC : à quand la liberté économique ? (Oasis Kodila Tedika)
La Zambie..grande puissance agricole
On se demande si..les dirigeants congolais ont le temps d´observer et d´apprendre La Zambie exporte du mais au Katanga mais les congolais n´ont pas pris le temps d´étudier..comment ce pays est devenue subitement le grenier de l´Afrique Australe ..
En effet, la Zambie a pris la place du Zimbabwe..pire le Zimbawe importe du mais de la Zambie ..
En effet, les dirigeants zambiens ont acceptés d´accorder de la terre aux fermiers blancs chassés par Mugabe en quelques années, la production agro-industrielle de la Zambie est entrain d´atteindre..le niveau du Zimbawe.
Question
Les senateurs ou les gouverneurs congolais n´ont toujours pas eu le temps de reclamer au gouvernement un projet de loi...qui peut faire venir des industriels dans le domaine agro-industriel
Ce que..le Congo ne peut avancer qu´en attirant des capitaux et des technologies....la meilleure de manière serait d´accorder des subventions en faveur..des étrangers..au lieu de retourner vers des lois datées de 1973
Faut-il "proteger" les nationaux ou favoriser des étrangers capables de faire avancer le Congo.. Le cas de la Zambie et très bientôt le Nigeria qui a opté pour la même stratégie sans oublier l´Angola qui coopere avec ..Israel..
On se demande si..les dirigeants congolais ont le temps d´observer et d´apprendre La Zambie exporte du mais au Katanga mais les congolais n´ont pas pris le temps d´étudier..comment ce pays est devenue subitement le grenier de l´Afrique Australe ..
En effet, la Zambie a pris la place du Zimbabwe..pire le Zimbawe importe du mais de la Zambie ..
En effet, les dirigeants zambiens ont acceptés d´accorder de la terre aux fermiers blancs chassés par Mugabe en quelques années, la production agro-industrielle de la Zambie est entrain d´atteindre..le niveau du Zimbawe.
Question
Les senateurs ou les gouverneurs congolais n´ont toujours pas eu le temps de reclamer au gouvernement un projet de loi...qui peut faire venir des industriels dans le domaine agro-industriel
Ce que..le Congo ne peut avancer qu´en attirant des capitaux et des technologies....la meilleure de manière serait d´accorder des subventions en faveur..des étrangers..au lieu de retourner vers des lois datées de 1973
Faut-il "proteger" les nationaux ou favoriser des étrangers capables de faire avancer le Congo.. Le cas de la Zambie et très bientôt le Nigeria qui a opté pour la même stratégie sans oublier l´Angola qui coopere avec ..Israel..
GHOST
Re: RDC : à quand la liberté économique ? (Oasis Kodila Tedika)
Orduna a écrit:Lu pour nous. Cette réflexion s'ajoute dans la kyrielle de beaucoup d'autres sur le sujet, pendant le pays se prépare à "célébrer" les 50 ans d'"INDÉPENDANCE" (?). Comment être indépendant quand on doit attendre tout de l'étranger (Occident) ?
République Démocratique du Congo : à quand la liberté économique ?
Une analyse d’Oasis Kodila Tedika, économiste congolais (RDC).
Depuis des années déjà des indicateurs sérieux font remarquer unanimement que la République démocratique du Congo (RDC) se retrouve en toute queue de peloton en matière de liberté économique. Le rapport Doing business de la Banque mondiale la place encore cette année à la 182ème position en termes de facilité de faire des affaires, soit l’avant-dernière place. L’indice de liberté économique du Wall Street Journal et de l’Heritage Foundation va dans le même sens : 173ème position sur 179 pour 2009.
Lire l'article au complet :
http://www.afrik.com/article18564.html
Dans ce monde il n y a pas de miracles. Le Bon Dieu a deja etabli ses lois et les principes lesquels gouvernent l'humanite'. Celui qui va se soumettre, avancera; et celui qui ne va pas se soumettre ira nulle part. C'est pour dire que Le Congo avancera que quand il va se soumettre aux principes economiques de developpement et de base.
Ce n'est plus le temps de jouer au semblant sur laquelle est priorite' ou laquelle ne l'est pas, mais le moment de tout executer concernant les principes economiques. Il y a tant de bonnes propositions qui sont tombe'es devant les sourds, ca ne sert a` rien de les repeter.
A` mon avis il y a certains elements lesquels je souhaite voir les plus: les prets et des aides financieres internationales et un certain pourcentage de recettes nationales doivent aller uniquement dans la rehabilitation des usines congolaises existant depuis l'epoque coloniale, a` la production des capitaux qui est qu'on doit arriver a` produire des outils et des machines qui a` leur tour vont nous aider a` produire efficiemment en moins de depenses. Je ne parle pas des fabrications modernes, mais celles de premiere porte'e pour nous aider a` produire et a` vendre des produits ne fut ce que semi-finis au lieu de vendre des produits bruts et de qualite’ inferieure. Les gabonais, les senegalais et tant d'autres pays africains produisent et vendent, ce ne sont pas de produits egalant a` ceux des puissances etrangeres mais qui leur font regenerer des fortunes ainsi maintenir leurs economies.
Le gouvenement par faute de moyens doit se comporter en secteur prive' qui veut dire doit chercher a` beaucoup gagner dans tout ce qu'il entreprend. Dans ce sens la contre-valeur que les chinois recoivent a` la substition des routes qu'ils construisent et de loin moins avantageux pour les congolais. Personne ne sait combien de minerais sont echange's contre les routes construites, et ces routes sont elles efficientes de maniere d'avoir allege'es la souffrance d'une maniere aux congolais? C'est aux congolais de repondre.
Mais voici comment le gouvernement devait se comporter en secteur prive'. L'avenue ou la route Kasa-Vubu par exemple traverse 4 communes(a` titre d'exemple). Ce qui impliquera que l'avenue soit percue en 4 portions. Chaque portion est sous l'autorite' d'une juridiction en l'occurence l'institution communale ou municipale. C'est a` cette institution de reconnaitre si la portion de l'avenue qui passe sa commune est a` rehabiliter ainsi que d'autres routes de la commune. De`s qu'elle etabli oui, l'institution engage des firmes professionnelles pour concevoir une nouvelle route par exemple ou une rehabilitation de la route ; la firme avec la proposition de conception ou maquette plaisante sera paye’e et confiera sa conception a` la juridiction. Cette juridiction ou institution confiera a` son tour a` la plus grande autorite’ l’hotel de ville par exemple, et de la` toute l'echelle jusqu'au ministere charge’. Des que toutes les conceptions ou modeles des rehabilitations, maintenances ou nouvelles routes arrivent aux mains du gouvernement, ce dernier maintenant lance un appel aux compagnies de construction qui ont les moyens de construction au pays comme a` l’etranger. Moyen de construction veut dire possession des equipements, machines, outils de travail. La charge des compagnies de construction se presente comme suit, sur 100% du cout, 65% va pour les materiaux, materiels, equipements, outils et autres, le 35% va aux mains d’œuvres. Dans ce cas on trouve ca avantageux pour le gouvernement congolais, il aurait pu payer que 65% a` une compagine de construction au lieu de 100% du cout parce quec'est nous qui allons fournir des ouvriers. La compagnie de construction qui chargerait le moins cher par rapport a` d’autres mais possedant l’experience professionnelle aurait le contrat. Ou encore plusieurs contrats pourrait etre octroye’s a` differentes compagnies mais le processus et la selection reste les memes. Si cette direction des choses aurait été suivie, le peuple congolais allait moins depenser concernant ces routes qu’on voit. La methode actuelle de construction des routes en contre valeur avec des contrats miniers avance moins le pays et c’est les congolais qui perdent. Ca n’a pas été’ un bon choix sur le plan economique.
regarder et bien voir.
Re: RDC : à quand la liberté économique ? (Oasis Kodila Tedika)
Ice na le novo balimwe bakei Kin babandi mosala Boza wapi??
.
http://www.mediacongo.net/show.asp?doc=33123
100 commentaires.
Voilà ce que font les autres vedire oluka mba solutions pour ne plus dépendre des autres............
http://www.rfi.fr/emission/20121208-1-qatar-securite-alimentaire.
.
http://www.mediacongo.net/show.asp?doc=33123
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Voilà ce que font les autres vedire oluka mba solutions pour ne plus dépendre des autres............
http://www.rfi.fr/emission/20121208-1-qatar-securite-alimentaire.
mongo elombe
Re: RDC : à quand la liberté économique ? (Oasis Kodila Tedika)
mongo elombe a écrit: Ice na le novo balimwe bakei Kin babandi mosala Boza wapi??
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Bonjour Ma Mongo, nazali, j'étais juste un peu en vacances, déjà terminés quelle tristesse! . Kin, pas encore, mais tangu mususu Lenovo akeyi
Ice cream- Moderatrice
Re: RDC : à quand la liberté économique ? (Oasis Kodila Tedika)
mongo elombe a écrit: Ice na le novo balimwe bakei Kin babandi mosala Boza wapi??
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http://www.mediacongo.net/show.asp?doc=33123
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Voilà ce que font les autres vedire oluka mba solutions pour ne plus dépendre des autres............
http://www.rfi.fr/emission/20121208-1-qatar-securite-alimentaire.
Hello Mongo! Nazalaki hors de mon pays et un peu occupe' mais na zongi déjà. Nakendaki kin te et je ne Pense pas y aller ds 1 future proche. Peut être après pension na ko kende
Invité- Invité
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