MON RETOUR

Admin a écrit:
la CI commence à reagir tranquillement ...

Dirk Van Der Maelen.
Le député socialiste flamand Dirk Van der Maelen s'en prend vivement à la politique conciliante du gouvernement vis-à-vis du président congolais Joseph Kabila, dans un entretien accordé au Soir.

Ce n'est pas la CI.C'est un député flamand de l'opposition qui critiquait la venus des soldats congolais(donc francophone) pour la fête de l'indépendance.Les partis francophone de la majorité sont plutôt pour la venus des soldats congolais.C'est un problème belgo belge

Tsippora a écrit:Lino, Donc les flamands s'opposent a la venue des FARDC pcq ils sont francophones??? Ko kamwa! Na soni, na mawa

lino a écrit:On ne peut pas réparer en 3 ans ce que les belges ont mis 80 ans à construire et que Mobutu à mis 32 ans à détruire.Un peu de patience,laisser les chinois démontrer leurs savoir faire.On aura assez des paramètres pour établir un bilan général en 2011 ,Dieu voulant..

King David a écrit:
Pauvre Mr Lino oublie que 2011 c'est dans 9 mois. Il faut être insencé pour avancer de telles inepties. Si vous n'avez encore rien fait depuis que vous êtes au pouvoir (1996), pensez-vous établir un bilan général en quelques mois?
Boyokaka pe ata mwa soni.
Aux images réelles de Kinshasa publiées, vous rispostez par des maquettes virtuelles en oubliant que votre compère Kemet nous avait abreuvé des maquettes d'autoroutes allemandes depuis 2006. Il ne s'avise plus de nous parler de ces autoroutes aujourd'hui.
Lino, en 14 ans de pouvoir, vous n'êtes pas en mesure de produire une seule image de vos nombreuses réalisations?

Troll a écrit:Mr LINO

Decidement vous n´êtes pas kinois..sinon vous alliez savoir que les avenues de Kin ne dataient pas toutes de la colonisation et Mobutu a construit une grande partie de ces infrastructures á Kin ...
[

La marche volontaire que vous faisiez sur le boulevard du 30 juin, on la fait toujours sauf que maintenant, elle n'est plus volontaire. Les moyens de transport étant difficiles, les gens optent pour la marche.

Avec 600 têtes d’érosions, Kinshasa va disparaître

Par Le Potentiel

Les « Bana Léo », qui vivaient dans une verdoyante ville traversée par des avenues aux noms évocateurs (Palmiers, aujourd’hui Kasa-Vubu, et Cocotiers, récemment Huileries), ne pouvaient s’imaginer dans les années 50 que les Kinois seraient en 2010 sous la menace de 600 têtes d’érosions. Qui, a affirmé le chef de l’Etat en novembre dernier, seront combattues par une « structure nationale antiérosive » à mettre en place début 2010. Mais, de la coupe aux lèvres, la promesse aura bien du mal à se réaliser, Kinshasa pouvant s’effacer brutalement de la carte de la RDC à tout instant.

Encore un indice,je suis de M.O.L.O.K.A.I., bana litonge savent... ,pour le reste j'aime pas parler de moi dans des forums.J'ai même des vidéos personnels de kinshasa en pire que ça mais je n'attribut pas cette situation à J Kabila.

Celui qui nous a plongé dans cette situation c'est MOBUTU ,C'est un problème bien plus grave et plus sérieux.Il faut regarder les CHIFFRES de l'évolution économique de La RDC depuis sa création pour comprendre la situation à laquelle on se trouve.Les routes ne sont que Les conséquences de cette situation.La Corruption (coop) et les vols généralises sont d'autres causes de cette situation

Malgré l'important potentiel du pays, la corruption s'est très tôt installée, sous le régime de Mobutu Sese Seko (1965-1997), avec une mainmise du pouvoir sur l'économie pour en détourner les profits dans le cadre d'un enrichissement personnel12. La désorganisation du pays était telle qu'au début des années 1990, l'économie souterraine du Zaïre était estimée à trois fois le montant officiel du PIB

Ce n'est que quelques mois après l’âge d’or du Congo, c’est-à-dire à partir de 1973, quand le pays est touché par une crise économique aiguë, que la corruption se généralise, principalement à cause de la privatisation par Mobutu de nombreuses entreprises à son nom ou aux noms de ses proches (zaïrianisation) et des politiques de grands travaux (éléphants blancs)38. De manière générale, les nouveaux propriétaires de biens économiques et financiers n'étaient pas suffisamment préparés pour assurer une gestion de moyen et de long terme de l'outil de production. Ceux[réf. nécessaire] qui n’ont pas fait faillite ont placé d’immenses investissements en Occident. Mobutu détourne les devises d’État de telle façon qu'en 1984, il est un des hommes les plus riches de la planète avec 4 milliards de dollars, l’équivalent de la dette extérieure du pays.
Par ce mouvement, la corruption élit domicile dans toutes les structures du pays. À l'arrivée de Laurent Désiré Kabila, vinrent aussi les politiques impopulaires et une nouvelle impulsion, qui, justement, vont temporiser cette vague.
Le gouvernement de transition n'a pas ébauché de projets efficaces pour combattre la corruption. D'ailleurs, avec le « 1+4 », la corruption atteint de nouveaux sommets. En revanche, l'avènement de la Troisième République témoigne de la volonté de tourner la page en changeant l'image du pays. Ainsi, on sent une "ferme volonté" d’éradiquer la corruption.
À l'été 2007, le gouvernement congolais s'est lancé dans la campagne de « changement des mentalités ». Une campagne qui a été fortement critiquée en raison de sa courte durée.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Économie_de_la_République_démocratique_du_Congo

Comment Mobutu a détruit le Zaïre
C était le pays le plus riche et le plus prometteur de l Afrique postcoloniale. Le maréchal-président qui la tenu sous sa coupe pendant plus de trente ans en a fait l un des plus pauvres et des plus instables du continent.
L'ancien Congo belge, aux dires des experts, avait tout pour réussir lorsqu'il a accédé à l'indépendance en 1960. Véritable «scandale géologique», le sous-sol regorgeait de cuivre, de cobalt, d'or et de diamants. Le potentiel de production hydroélectrique offert par le Zaïre et ses affluents était exceptionnel. La terre, fertile et bien arrosée, laissait imaginer un enviable destin de grenier de l'Afrique. Trente ans plus tard, le pays est l'un des plus pauvres du monde. Le PNB par habitant, qui atteignait 377 dollars en 1956, est aujourd'hui inférieur à 120 dollars.
http://hebdo.nouvelobs.com/hebdo/parution/p1670/articles/a49512-notre_ami_le_dictateur.html

Flick de Kolwezi a écrit:Lino de pepito,
avoir un projet n´est pas un probléme,
mais le grand problème africain en général et congolais en particulier,
c´est la réalisation de ce projet, car aucun projet Congolo-congolais se réalise,
pour voir des fruits sur un projet precis, c´est quand on ajoute une autre nationalité.
Je trouve que les africains devraient apprendre á avoir le sens de la résponsabilité.
C´est vrai que les photos de Dave sont à l´extréme, mais c´est plutôt ca l´image
qu´on recoit de Kinshasa,car le travaux marchent trop lentement.
Attendons l´Urec prendre le pouvoir tu verras tshipora comme gouveurneuse de la ville de Kinshasa
avec son minsitre Urbaine Mongo Elombe comment la ville sera propre dans un court delais.

Admin a écrit:Lino,

Ok même si tu ne veux pas reconnaitre que la situation était mieux sous Mobutu ce n’est pas grave na kuzu oyebi que tu as tort.

Alors avançons dans le débat … Quand Kabila s’est présenté pour le mandat en cours il nous avait promis des miracles et ça malgré que Mobutu avait laissé les caisses de l’État vides.
Maintenant qu’il n’a pas su tenir sa promesse, le bon sens exige qu’il laisse la place aux gens compétents car la tache est au delà de ses capacités.

MYC,

Et après … Comme disait Felix Wazekwa ... , je pense que l’initiative privée peut être le catalyseur de cette reconstruction … Une gestion privatisée des autoroutes avec système de péage par exemple pourrait être une solution.

Il faudrait une politique d’urbanisation repensée encore là je ne le vois pas sans le privée. L’exemple de la cité mama Mobutu, Motel Fiki, Salongo que Troll a cité (construit sous Mobutu pour l’information de Lino), devrait nous servir d’exemple, mais il faudrait y incorporer une politique de salubrité gérée par des privées dont les services seraient payés obligatoirement par les occupants moyennant une taxe spéciale par exemple. Évidemment le gouvernement trouvera sans compte en taxant ces compagnies privées. Ce sont quelques exemples qui peuvent en moins de temps 2 ans tout au plus changer la RDC.

Le Sénégal cité par Troll ou même le Rwanda est dans cette voie et on peut en mesurer déjà les effets.
Pour remettre ce pays dans les rails, il nous faut simplement avoir une vision, faire appel aux gens compétents, faire preuve de bonne gouvernance et d’une meilleure gestion.

C’est la raison pour laquelle je tiens à la structure qui est en gestation. J’estime que bcp dans la diaspora peuvent apporter leur pierre mais il faut auparavant des incitateurs attractifs en notre faveur et des garanties juridiques solides.

Tsippora a écrit:Admin, je suis tt a fait d'accord avec toi. Les panafricanistes socialistes d'une autre epoque diraient que c'est du neoliberalisme. Selon moi, nos Etats en faillite ne peuvent rien faire, ils l'ont demontre, c'est comme tu dis de l'entreprise privee que viendra le salut du Congo!

Pour ce qui est des coffres vides laisses par Mobutu, Lino devrait peut-etre nous dire les montants de reserves monetaires de la Banque centrale, juste pour rire un peu

Admin a écrit:Lino,

Ok même si tu ne veux pas reconnaitre que la situation était mieux sous Mobutu ce n’est pas grave na kuzu oyebi que tu as tort.

Alors avançons dans le débat … Quand Kabila s’est présenté pour le mandat en cours il nous avait promis des miracles et ça malgré que Mobutu avait laissé les caisses de l’État vides.
Maintenant qu’il n’a pas su tenir sa promesse, le bon sens exige qu’il laisse la place aux gens compétents car la tache est au delà de ses capacités.

MYC,

Et après … Comme disait Felix Wazekwa ... , je pense que l’initiative privée peut être le catalyseur de cette reconstruction … Une gestion privatisée des autoroutes avec système de péage par exemple pourrait être une solution.

Il faudrait une politique d’urbanisation repensée encore là je ne le vois pas sans le privée. L’exemple de la cité mama Mobutu, Motel Fiki, Salongo que Troll a cité (construit sous Mobutu pour l’information de Lino), devrait nous servir d’exemple, mais il faudrait y incorporer une politique de salubrité gérée par des privées dont les services seraient payés obligatoirement par les occupants moyennant une taxe spéciale par exemple. Évidemment le gouvernement trouvera son compte en taxant ces compagnies privées. Ce sont quelques exemples qui peuvent en moins de temps 2 ans tout au plus changer la RDC.

Le Sénégal cité par Troll ou même le Rwanda est dans cette voie et on peut en mesurer déjà les effets.
Pour remettre ce pays dans les rails, il nous faut simplement avoir une vision, faire appel aux gens compétents, faire preuve de bonne gouvernance et d’une meilleure gestion.

C’est la raison pour laquelle je tiens à la structure qui est en gestation. J’estime que bcp dans la diaspora peuvent apporter leur pierre mais il faut auparavant des incitateurs attractifs en notre faveur et des garanties juridiques solides.