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Le Congo et l'absence de politique nationale de technologie

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Le Congo et l'absence de politique nationale de technologie Empty Le Congo et l'absence de politique nationale de technologie

Message  regarder et bien voir. 28/2/2011, 11:48 pm

Un article tres interessant a` lire. Tire' du magazine Articlonet. Ecrit par un compatriote Delphin Kyubua ( Maitrise en Technologie et Gestion de l'Informatique )
Je pourrais venir faire mes commentaires sur cet article si le temps me permet.

Voici l'article:


Résumé :
Ce document explore les réalités et défis technologiques en République Démocratique du Congo (RDC) dans le domaine de l’information et de communication. L’auteur, praticien-chercheur et professionnel du domaine, aborde les différents aspects sur la nécessité et le rôle de politiques nationales en matière des nouvelles technologies pour le développement, la bonne gouvernance et la gestion efficace/efficiente de l’action gouvernementale au Congo.
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Introduction
La technologie de l'information et de la communication (TIC ou IT pour «Information Technology» en anglais) devient de plus à plus une nécessité indispensable qui ne cesse de s'étendre dans le secteur privé autant que public partout au monde. Les TICs ou NTICs pour «Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication» sont des techniques utilisées dans le traitement automatique de l’information par des ordinateurs. Dans le secteur public du 21e siècle, qu’il soit pays développé ou en voie de développement, les NTICs offrent des solutions pour rendre l’action du gouvernement plus efficace; améliorer l’accessibilité et la qualité des services publics; simplifier la bureaucratie; encourager la démocratie participative et la transparence dans la gestion publique; etc.

La République Démocratique du Congo, plus peut être que tout autre pays en raison de ses multiples difficultés et problèmes aux diverses dimensions a énormément besoin de reformer la gestion des actions gouvernementales en se conformant aux nouvelles technologies devenues une préoccupation pressante de ce siècle. Un Congo modernisé dans le domaine des TICs, spécialement dans son secteur public peut efficacement mettre en place des mesures et des mécanismes appropriés pour l’augmentation des recettes nationales, la création d’emplois et la réduction des dépenses de l’Etat. Les NTICs offrent également des solutions adéquates au Congo pour mettre un terme à la culture de détournement des fonds publics et de la corruption dont les méfaits sont décriés par tous. D’où la nécessité d’une politique nationale d’adapter les nouvelles technologies aux besoins et réalités du peuple congolais s’impose.

Les nouvelles technologies sont-elles une priorité au Congo?
Dans le contexte actuel du Congo, l’investissement dans les efforts d’embrasser les TICs n’est, malheureusement pas considéré comme une priorité pourtant le développement du pays en dépend. Vu la dépendance que la technologie moderne impose dans presque tous les domaines de la vie, les NTICs s’avèrent incontournables pour une action efficace du gouvernement dans la réalisation de cinq chantiers prônés par le Chef de l’État Congolais, selon lesquels le peuple se remet au travail pour convertir les paramètres de la pauvreté en chantiers de prospérité. N’est pas curieux de constater qu’au 21 siècle, le mot «technologie» ne figure nulle part dans la vision politique du Chef de l’Etat Congolais au sujet de ses 100 stratégies/ propositions pour changer la face de la RDC?

Une politique nationale en matière des NTICs pour moderniser la gestion des ressources publiques aussi bien que des aides extérieures répondrait aux besoins prioritaires du pays en attirant la confiance des donateurs et des investisseurs étrangers. L’initiative multiplierait également les bénéfices que la RDC peut en tirer dans son intégration aux efforts régionaux de la stratégie d’implantation des Infrastructures de Communication et de Système d’Information National (ICSIN) de la Commission économique des Nations Unies pour l'Afrique, appelée Commission Economique pour l'Afrique (CEA). D’âpres la CEA, ces ICSINs servent de modèle dans la formulation de politique nationale en matière de technologie, la quelle détermine le rôle que le pays accorde aux TICs pour créer un environnement d'innovation, d'adoption et d'adaptation des technologies modernes.

Les réalisations, efforts en cours et manque à gagner
En dépit des quelques efforts en cours, le gouvernement congolais semble être réticent dans l'adoption des technologies modernes pour le développement socio-économique du pays. Dans le domaine de l’Internet, on note cependant qu’aujourd’hui quelques ministères (Finance, Santé Publique, Enseignement primaire, secondaire et professionnel, etc.) sont connectés à l’Internet. Bien que ces sites web manquent de consistance et présentent quelques lacunes techniques, ils sont quand même un pas dans la bonne direction. Le Projet Plateforme de Gestion de l’Aide et des Investissements (PGAI) dans le cadre du soutien technique du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) au gouvernement Congolais, en est aussi un bon exemple. Toutefois, il reste beaucoup à faire pour adapter le pays aux technologies contemporaines qui permettraient de soutenir efficacement les efforts gouvernementaux dans différents secteurs et promouvoir une communication plus transparente entre le Gouvernement, le peuple congolais et les donateurs.

En plus, les exemples similaires au détournement des salaires des militaires lors de l’attaque au Nord-Kivu par les forces de Laurent Nkunda et consorts sont légion. Il convient de souligner qu’avec l’outil moderne de technologie de l’information, le gouvernement congolais aurait pu prévenir un certain nombre des méfaits déplorés actuellement à travers le pays tels que par exemple, le maraudage de fonds publics et la mauvaise gestion dans la coordination de l’action gouvernementale. Sans doute, les avantages de mettre en place un système informatique de planification des ressources pour la réingénierie du processus administratifs, des services de finances; de contrôle et gestion du budget et des ressources humaines sont énormes au Congo.

Les défis des ressources et compétences nationales
Le défi national d’adapter le pays au rythme de ce siècle demande l’implication non seulement du gouvernement, mais aussi du secteur privé congolais et différents acteurs de la société civile (médias, ONGs, établissements d’enseignement, etc.) Les experts congolais prestant à l’étranger sont aussi un des acteurs incontournables. Point n’est besoin de démontrer que la diaspora congolaise regorge des compétences et expertises dans presque tous les domaines (enseignement, médecine, science et technologie, droit, business, génie, construction etc.) Malheureusement, toutes ces ressources ne sont pas encore à ce jour inventoriées dans une banque de données nationale pour être facilement accessible au besoin du pays à l’exemple du Programme de Migration pour le Développement en Afrique qui dispose d’une banque de données de quelques experts des pays des grands lacs (RDC, Burundi et Rwanda) résidant en Belgique.

En Amérique du Nord, une initiative similaire appelée Projet TOKTEN (Transfer Of Knowledge Through expatriates Nationals, en anglais) vient d’être lancée dans le but d’encourager le transfert des connaissances et compétences par l’intermédiaire des congolais comme des expatriés nationaux pendant de courtes durées de vacances ou congés annuels. Le Concept TOKTEN n’est pas nouveau car il existe dans beaucoup d’autres pays africains, asiatiques et moyen-orients. Le Projet vise de créer une base des données de profils des congolais volontaires qui s’enregistrent sur leur site web (www.toktendrcong.org). Avec cette initiative, les congolais prestants à l’étranger peuvent contribuer à relever certains défis des compétences dont leur Congo a besoin en important leurs expériences et expertise au service de leur pays, «Brain drain, Brain gain» comme cela se dit en anglais!! Tout en continuant de vivre dans leur pays d’accueil, le programme TOKTEN permettra ces experts Congolais de participer à la réalisation du rêve du Chef de l’Etat de faire le Congo la Chine de l’Afrique sans faire recours à des prestataires expatriés (étrangers).

La responsabilité politique du gouvernement Congolais
Dans un pays où l’accès à l’Internet demeure un luxe réservé seulement à une petite minorité de la population, le gouvernement a encore beaucoup à faire pour attirer les investisseurs. Certes, au Congo seuls les cadres des organisations non-gouvernementales (ONGs) surtout internationales qui ont souvent leurs propres réseaux privés, quelques hauts fonctionnaires de l’Etat et des hommes d’affaires ont accès facile sur le net. On remarque cependant un certain effort vers un changement. En janvier de cette année, une compagnie de télécommunications (MicroCom) a signé un contrat pluriannuel de plusieurs millions de dollars pour fournir le service Internet à haute vitesse (High-speed Internet connection) sur toute l’étendue du territoire national d'ici fin 2010. Dans l'état actuel de quasi-absence de lois et règlements favorisant l’accès sur le net au plus grand nombre de gens, les consommateurs risquent d’être, malheureusement à la merci de l'entrepreneur qui va contrôler le marché à son avantage et voir même imposer ses prix. Pourtant une vision stratégique nationale en matière des NTICs permettrait de protéger les intérêts de la population autant que ceux de l’entrepreneur comme cela se fait sous d'autres cieux.

Le prix excessif d’accès à l’Internet varie d’une région à une autre, car actuellement presque chaque région du pays est connectée sur un réseau différent. Par exemple, l’est du pays est en majorité sous le contrôle des sociétés rwandaises comme Supercell et Rwandatel ou Ougandaises comme BushNet, etc. Ce tarif de naviguer disproportionnel au coût de vie, est un problème critique auquel le Congo fait face par rapport aux autres pays de la région qui adaptent les efforts régionaux de la CEA pour s’embarquer au rythme du monde. Ce problème est peut-être attribué aux efforts congolais lents d’intégration régionale en infrastructure Internet. N’est ce pas ironique que le siège social de la plupart des compagnies qui offrent l’accès à l’Internet en RDC se trouve dans des pays voisins avec lesquels le Congo a des rapports conflictuels? Vu le manque de politique nationale en matière de technologie, il est même difficile de se rendre compte du degré de risques que cela représente au niveau même des secrets de l’État quand les communications des autorités du pays doivent transiter par les mêmes pays qui menacent leur intégrité territoriale.

Au Congo, pourtant avec plus de 60 million d’habitants comme potentiels clients, les bénéfices seraient énormes si le gouvernement adoptait une politique favorisant l’accès au réseau de communication au plus grand nombre de Congolais. Cela n'exige d’ailleurs aucune formule magique; mais simplement une vision du plan stratégique s’inscrivant au modèle de politique d’adaptation du pays aux nouvelles technologies modernes en vue de permettre aux citoyens ordinaires d’avoir aussi accès sur le net à un prix raisonnable.

En Afrique, certains pays voisins offrent déjà des programmes de formation à distance sur le net, très populaires pour les enseignants et d’autres professionnels qui veulent apprendre des nouvelles connaissances et compétences adaptées aux réalités actuelles du marché d’emploi compétitif. En Zambie, par exemple, à travers les programmes de la CEA, le besoin de formation à distance a été identifié et matérialisé avec le soutien d’une organisation canadienne qui a aidé le gouvernement à mettre en place une stratégie zambienne pour la formation à distance (en ligne) des enseignants et des gestionnaires.

N’est ce pas une perte de vue que pour le touriste et/ou l'investisseur du 21e siècle, le net constitue la principale ressource dans le choix du pays à visiter? L’absence sur l’Internet de sites web des différents ministères et/ou départements qui répondent aux normes et standards internationaux, présente le plus grand handicap aux efforts de développement plutôt que contribuer à la promotion des valeurs et ressources nationales de notre pays. Que ca soit sur le plan de la diplomatie commerciale ou politique du marketing d’attirer les touristes et/ou potentiels investisseurs au pays pour la relance de l’économie nationale, la présence efficace sur le net reste une nécessité indispensable dans le monde d’aujourd’hui.

Les perspectives d’avenir dans le domaine de la technologie au Congo
Le soutien technique du PNUD à la RDC à travers le Projet PGAI et d’autres systèmes ou services informatiques en vue d’améliorer l’efficacité de la gestion de l’aide extérieure, représente un effort très louable. Cet effort n’est pas cependant suffisant. Un Congo moderne nécessite que le gouvernement ait une vision plus large et non seulement focalisée sur les capacités de gérer les projets/portefeuilles du système PGAI financés par des donateurs. Le Congo doit ainsi, davantage s'investir à:

1. Informatiser les services de l’Etat dans les différents ministères, départements et services parastataux en créant des sites web modernes, consistants et qui répondent aux normes et/ou standards internationaux tout en tenant compte des besoins du peuple;

2. Définir une politique nationale capable d’attirer les investisseurs étrangers au Congo dans le domaine des TICs pour leur intégration dans la création d’emplois dans différents secteurs ;

3. Elaborer un plan stratégique d’adapter le pays aux efforts régionaux selon la vision du gouvernement sur la politique nationale de technologie moderne pour encourager la bonne gouvernance et la lutte contre la corruption ;

4. Proposer des solutions technologiques d’aider à contribuer à l’augmentation des recettes publiques dans le secteur des régies financières et améliorer le système de contrôle et de gestion des entreprises publiques;

5. Donner des conseils d’expert en matière sur les opportunités d’usage des TICs pour appuyer l'action gouvernementale dans différents domaines tels que l’éducation, la recherche, la santé, la gestion de la forêt, l’emploi, l’armée, la sécurité nationale, la culture, le tourisme, l’agriculture, etc. ;

6. Elaborer de politiques d’encourager les entrepreneurs privés (nationaux, étrangers et/ou congolais de l’étranger) d’intervenir dans le développement des TICs ;

7. Développer des ressources et compétences capables de proposer des orientations et choix technologiques appropriés aux besoins congolais selon les priorités et la politique du Gouvernement ;

8. Mettre en place un système d’évaluation de l’impact et de la performance de différents programmes du gouvernement dans la transparence totale et d’une manière coordonnée ;

9. Définir la politique de sécurité informatique et doter les services gouvernementaux des e-mails (courriels électroniques officiaux) non configurés sur des serveurs publiques (Yahoo, Hotmail etc.);

10. Promouvoir l'utilisation efficace des NTICs dans les secteurs publics et privés.

Recommandations
En dépit des problèmes que connaît la RDC, la politique nationale en matière de technologie moderne devrait faire partie de son plan stratégique de développement dans l’économie mondiale compétitive. Au Congo, les efforts à la vitesse lente du gouvernement de se conformer aux exigences des NTICs deviennent une inquiétude qui nécessite une vision nationale sur les nouvelles technologies.

Dans le cadre de reformes gouvernementales ou initiative de la stratégie de réduction de la pauvreté, la Direction nationale de technologie reste non seulement le mécanisme pour mettre en œuvre la vision globale de la CEA au Congo à travers les efforts régionaux, mais aussi un cadre technique pour l'intégration des TICs dans les programmes de développement national. Le nouveau département congolais de technologie répondrait également aux défis de manque des politiques de sécurité informatique pour la protection des communications et échanges d’information de l’état, des entreprises privées et publiques.

Conclusion
L’actuel état des infrastructures de technologies de l’information et des communications en RDC nécessite une vision pour le développement socio-économique du Congo, déphasé avec les progrès et l’évolution que sont en train de survenir dans le monde. Un Congo informatisé, efficient dans le marketing de ses richesses et potentialités et connecté au reste du monde dans les domaines des TICs ou NTICs s’imposerait économiquement sur le plan tant régional qu’international et contribuerait efficacement à l’amélioration des conditions de vie de son peuple. Cela s’avère pratiquement impossible avec l’absence de politique nationale en matière de technologie moderne, facteur indispensable pour le développement, la gestion efficiente et la bonne gouvernance au Congo comme partout ailleurs. Une question de volonté politique et non de défi technologique.


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Le Congo et l'absence de politique nationale de technologie Empty Re: Le Congo et l'absence de politique nationale de technologie

Message  regarder et bien voir. 3/3/2011, 8:24 am

Sur le plan technique, cet article est impecable et surtout est presente' a` un niveau de vision et de planification. Seulement tout revient au meme. Ce programme devrait aussi faire partie de l'un des plans economiques du pays. Le congo rd doit arriver a` un niveau de production pour qu'il arrive a` se faire respecter et se faire reconnaitre comme souverain et independant. Effectivement la modernisation de la technologie et de la comunication est l'outil techniquement parlant a` doter le pays de capacite's de produire a` un cout bas et ainsi concurencer d'autres pays. Si la production d'un produit coute cher, son prix de vente sera cher egalement. par contre d'autres pays vendeurs peuvent avoir un prix tres reduit. Il faut arriver a` ce point de se comparer avec d'autres. Tant que le Congo sera encore dans la recherche des necessite's basiques, il ne sera jamais independant et souverain.

En ce qui concerne la comunication, je veux me rassurer que trois elements sont de grandes importances et doivent etre inclus. De nouvelles cables en fibres optiques, installation de nouveaux relais, developpement et achat de nos propres satelites.
Concernant le fibre optique on en a deja` parle' a` maintes reprises, les gens ont quand meme l'idee de son avanatage. On a vraiment besoin de nouveaux relais, tres important pour les besoins de communication aujourd'hui. De's qu'un appel quite une station satelitaire ou un poste de telecomunication, le relai moderne qui veut dire de transmission microwave doit remplacer les vieux poteaux de bois connecte's par des fils de comunication. Le relai moderne n'a plus besoin de fil, mais il recoit une comunication, l'amplifie et la renvoie a` son voisin qui procede les memes activite's. Ainsi la comunication demeure pure, sans distortion, sans coupure et en vitesse. je verais si je pourrais expliquer techniquement comment cela se passe avec le relai moderne.
Developpement surtout et achat de nos propres satelites parce que chaque pays possede des informations vitales et classe'es qui ne doivent pas se permettre de passer aux etrangers. Alors ce n'est pas prudent d'utiliser, de louer toutes formes de comunication opere'es par des etrangers.

Il y a trop a` faire au Congo. Le grand drame c'est que quand certains obtiennent le pouvoir sans l'approbation complete des congolais, ils passent leur temps a` s'assurer du pouvoir le prochain mandat, ils n'ont pas assez de temps pour se concentrer au developpemnt du pays. Ainsi ils transforment les recettes de l'Etat en monnaie courante pour s'octroyer tout a` leur solde pour un prochain pouvoir assure'. C'est ca le grand probleme. Mais si quelqu'un obtient le pouvoir par l'aval du peuple, il aura assez de temps a` se pencher au developpement et a` l'expnasion economique du pays.

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Le Congo et l'absence de politique nationale de technologie Empty Re: Le Congo et l'absence de politique nationale de technologie

Message  regarder et bien voir. 6/4/2011, 3:31 am

Je viens d'ajouter un sujet dans la rubrique sciences et technologies " Trois elements importants a` moderniser dans la telecommunication au Congo". Ca va dans le me sens pour appuyer mon argument precedent sur ce sujet " Le Congo est l'absence de ..." comme j'avais promis.

regarder et bien voir.


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Le Congo et l'absence de politique nationale de technologie Empty Re: Le Congo et l'absence de politique nationale de technologie

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