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L’Opposition Politique a toutes les chances de gagner les élections

4 participants

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L’Opposition Politique a toutes les chances de gagner les élections  Empty L’Opposition Politique a toutes les chances de gagner les élections

Message  KOTA 7/3/2011, 3:13 pm

Conférant avec la presse écrite hier :
EUGENE DIOMI NDONGALA :


« L’Opposition Politique a toutes les chances de gagner les élections »
La Référence Plus, 04 mars 2011
L’Opposition Politique a toutes les chances de gagner les élections  Lareferenceplus03032011
Face à la presse hier vendredi 4 mars 2011 ai siège de son parti la Démocratie Chrétienne (D.C.), Eugène Diomi Ndongala a affirmé sans ambages que l’opposition politique détrônera le Chef de l’Etat Joseph Kabila de son fauteuil présidentiel, lors des élections prochaines. Pour Diomi Ndongala, l’opposition dispose d’une chance historique pour se hisser en tête de ces élections, pour la simple raison que le pouvoir en place ne sera pas capable de présenter un véritable bilan, après dix ans de gestion calamiteuse.
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« Aucune réalisation ex novo palpable sur le terrain, pourtant, tous les moyens étaient à la disposition du pouvoir, mais qui a brillé par une mauvaise gouvernance malgré toutes les recettes générées par les concessions minières, par exemple, mais qui ont pris une destination autre que le trésor public » a martelé le président national de la D.C.</BLOCKQUOTE>
La chance pour l’opposition de gagner les élections, dit-il, est accentuée d’autre part le vent de changement qui secoue les pays africains en général, citant entre autre la situation en Côte d’Ivoire, où le président Alassane Ouattara a été reconnu vainqueur de l’élection présidentielle par toute la communauté internationale face à Laurent Gbagbo ; tandis que le climat en RDC est propulsé par le changement souhaité par la majorité du peuple.
C’est face à ce tableau que l’opposition trouve une chance de gagner ces élections, souligne-t-il.

S’organiser au sein de l’opposition.
Mais comment procéder ?
Il faut mettre de l’ordre au sein de l’opposition, explique Diomi Ndongala, donnant raison au président national de l’UDPS, M Etienne Tshisekedi wa Mulumba, qui estime que chaque parti de l’opposition doit d’abord s’organise en son sein. A ce sujet, le président de la DC est serein.
« Mon parti est non seulement organisé mais aussi implanté sur l’ensemble du territoire national et a pignon sur rue. C’est pour cette raison d’ailleurs que nous sommes placés en très bonne position lors des élections de 2006. Mais la tricherie aidant, il y a eu colportage au niveau des résultats, à cause de son refus de signer une alliance avec le pouvoir en place, avoue-t-il, ajoutant que la DC figure parmi les anciens parti de l’opposition politique non armée, hormis l’UDPS d’Etienne Tshisekedi .
D’où pour lui, l’idée avancée par ce dernier tombe à pic. A ce sujet, poursuit-il, la DC se préparait déjà pour des concertations politique dans son sein, lesquelles furent retardées par son arrestation à Moanda pour des motifs qui d écoulent de l’intimidation et de l’intolérance politique, le pouvoir en place connaissant sa capacité de mobilisation sur le terrain politique.
A une question sur le choix d’un seul candidat de cette opposition, le président de la DC affirme que cela n’est pas impossible comme le pensent certaines mauvaises langues, mais pour le moment, il est très tôt d’en parler, étant donné que certains partis politiques prétendument de l’opposition non pas encore convaincu et risquent de distraire ceux qui militent effectivement dans l’opposition politique.
Faire échec à la révision constitutionnelle.
Parlant de la révision constitutionnelle, Diomi Ndongala jure la main sur le cœur que son parti s’opposera jusqu’à la dernière énergie, surtout que cette modification adoptée « à la hussarde » risque d’être à la base d’un bain de sang- avertit-il-, à cause des conséquences sur le plan post-électoral.
« Cela risque même de perturber le processus politique en cours, au cas où on appliquerait le forcing pour élire un président minoritaire.
<BLOCKQUOTE>
« D’ailleurs, si le Chef de l’Etat est patriote dans le vrai sens du mot, je lui conseillerai de ne pas se représenter à la magistrature suprême, au regard de la situation du moment, et pour avoir raté l’occasion de reformer le Congo pendant 10 ans de pouvoir ».
Diomi Ndongala estime en effet que rien n’a été fait, car même les travaux effectués sur le Boulevard du 30 Juin, par exemple, ne sont que des travaux de réhabilitation d’une artère déjà existante ; idem pour le Boulevard Lumumba ; alors qu’à l’intérieur des quartiers de Kinshasa, aucune réalisation n’est signalée. Ne parlons pas des provinces…Cela n’est pas digne d’un programme sérieux de reconstruction.
</BLOCKQUOTE>
Bien au contraire, la population congolaise continue a croupir dans une misère noire, par manque d’eau, d’électricité, de scolarisation des enfants, de soins de santé, de transport en commun. Pour ce dernier cas, il suffit de contempler les colonnes de gens qui marchent à pied du centre ville de Kinshasa jusqu’aux quartiers périphériques de la capitale par manque de moyens de transport.
« Si l’on a le souci de la bonne gouvernance, beaucoup de choses changerait dans ce pays : création d’emplois, paiement des salaires décents, amélioration des soins de santé et de l’éducation, création au moins à Kinsahsa, d’un société de transport digne de ce nom », dit-il, citant l’exemple concret du passé :
« Avant le régime de Kabila I et II, c’étaient le bus de la Sotraz qui attendaient les gens dans les arrêts et non le contraire », rappelle-t-il, citant aussi quelques unes des réalisation concrète du passé :
Barrage d’Inga (aujourd’hui scandaleusement en état de délabrement à cause de l’incurie ambiante), le Stade des Martyrs, le Palais du Peuple, le Pont Marechal, etc.


<BLOCKQUOTE>
Pour Diomi Ndongala, la gestion actuelle de la « res publica « est plutôt caractérisée par la corruption, la concussion, l’achat des consciences, l’hypothèque du pays au profit des intérêts étrangers, le verrouillage des média qui ne distillent que des discours propagandistes non différents de ceux de la II République, avec la différence qu’aujourd’hui nous vivons à l’époque des autoroutes de l’information….</BLOCKQUOTE>
A une question sur l’avènement de la CENI (Commission Electorale Nationale Indépendante), Eugène Diomi Ndongala est de l’avis qu’il a eu vice de forme et, encore une fois, piétinement des dispositions légales.
<BLOCKQUOTE>
A l’en croire, la CEI (Commission Electorale Indépendante) ne devait pas procéder directement à la remise et reprise avec la nouvelle institution à la tête du processus électoral sans présenter, au préalable, son rapport au Parlement, qui devait, à son tour l’entériner. Il craint donc qu’à ce niveau, que les mêmes défaillances reprochées à la CEI – surtout par rapport aux violations de la loi électorale – puissent refaire surface, en ce qui concerne surtout l’accomplissement des tâches qui auraient du être accomplies exclusivement par la CENI (enrôlements des électeurs, compilation des listes, recrutement du personnel, etc).</BLOCKQUOTE>
Prié de dire un mot sur l’attaque du 27 Février à la résidence du Chef de l’Etat, le leader de la DC dit que jusque là, personne ne connaît la vérité, car même le pouvoir en place s’est contredit à plusieurs reprises (coup d’Etat manqué, terrorisme d’un groupe armé non identifié, etc.).


Personne donc ne peut dire ce qui s’est passé réellement passé dans cette zone hautement protégée de la capitale.
La leçon qu’il faut en tirer- dit-il, est qu’on ne peut pas diriger un pays distillant des mensonges et contre-vérités au sommet de l’Etat.
Cela affecte la crédibilité des institutions au pouvoir.
<BLOCKQUOTE>
Dans un Etat de Droit, un Président de la République, qui aurait été victime d’un attaque dans sa propre résidence officielle, aurait du au moins fixer l’opinion publique congolaise en personne afin de la rassurer – étant politiquement son émanation – et faire taire les rumeurs de toutes sortes qui déstabilisent le pays.</BLOCKQUOTE>
Vu que rien de cela n’a été fait, il faudra en déduire que ce n’était que du bluff, qui malheureusement donne une très mauvaise image du pays.
Concluant son intervention, le Président Diomi Ndongala a fixé rendez-vous aux militantes et militants de la DC au 2° Congrès Ordinaire prévu le 06 Avril prochain à la Salle des Congrès du Centre Kimbanguiste dans la Commune de Kasa-Vubu.


Par José Wakadila

http://fsddc.wordpress.com/2011/03/06/diomi-ndongala-%c2%ab-l%e2%80%99opposition-politique-a-toutes-les-chances-de-gagner-les-elections-%c2%bb/
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Message  Brebis du Ha'mashiah 11/3/2011, 5:10 pm

Quelles elections Question Continuer a rever Exclamation Meme si y a elections la soi disante opposition ne gagnera jamais. Comment faire des elections avec des occupants. La phrase de Mbemba ne vous dit rien: J'ai accepte l' inacceptable. Ti sikoyo bozo comprendre kaka te que mutu wana po alongua kaka par la force.

Brebis du Ha'mashiah


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Message  Hiro-Hito 12/3/2011, 12:30 am

Cet article du journal Le Phare a ete repris par Digital Congo, je ne sais pas si celui qui l'a poste sur Digital l'avait lu, lool, si c n'est pas par megarde, alors le peuple doit veiller sur ces gens qui semble desesperes et qui peuvent tt faire pour se maintenir au pouvoir. Je reprends l'article en integralite, car avec Digital on doit etre prudent, vous vous rappelez de l'article de l'interview de Kabila aux USA, qu'on avait retire rapidement et accuser Ngbanda coe si il etait l'editeur en chef de Digital et l'Avenir?

Transmission des directives spéciales du président Joseph Kabila aux ténors de l’Alliance de la majorité présidentielle AMP

Le Président Joseph Kabila Kabange a, en sa qualité d’autorité morale de l’Alliance de la majorité présidentielle (AMP), transmis aux membres de cette plate­forme des directives à observer en vue d’affronter les échéances électorales qui pointent à l’horizon, a déclaré jeudi le Secrétaire exécutif adjoint de l’AMP, Koyagialo Gbase le Gerengbo, à l’issue d’une réunion qui s’est tenue dans la ferme présidentielle de Kingakati, dans la commune de Maluku.

M. Koyagialo a par ailleurs annoncé qu’au cours de cette rencontre, un comité ad hoc constitué de cinq personnes a été mis sur pied en vue de procéder à la restructuration de l’AMP et à la révisitation de certaines dispositions de la charte de cette plate-forme.

Il a enfin fait savoir qu’il a été également question, au cours de cette réunion, de survoler le climat qui prévaut au sein de la coalition gouvernementale au pouvoir et de lever certaines options dont les contenus seront rendus publics incessamment. Cette réunion, rappelle-t-on, fait suite au conclave du comité politique de l’AMP qui s’était réuni dernièrement pendant trois jours à Kingakati.

L’AMP en veillée d’armes préélectorale élabore des stratégies pour contrer l’opposition

Le président joseph Kabila a de nouveau battu le rappel des troupes au sein de l’Amp jeudi. Tous les ténors de l’Alliance se sont retrouvés à la ferme présidentielle de Kingakati autour de son autorité morale en vue d’évaluer froidement le contexte préélectoral de l’heure. De cette évaluation, il est sorti une décision importante pour la famille politique du Chef de l’Etat : une commission de stratégies a été montée toutes affaires cessantes. Cette dernière a pour mission d’étudier toutes les stratégies possibles pouvant assurer une victoire incontestable et sans appel du candidat de la Majorité.

Le temps est dur. En 2006, l’Amp n’avait pas pris autant de précautions. Sûr de son propos, elle s’était jetée à l’eau sans trop réfléchir. Mais aujourd’hui, les défis électoraux font un peu frémir. En face, l’adversaire paraît plus décidé que jamais et promet de faire mouche.

L’on croyait que la révision institutionnelle allait jeter la confusion au sein de l’opposition. On dirait qu’elle a plutôt produit un effet contraire. Elle a littéralement dopé la détermination des opposants. Presque tous, en dehors du Mlc, sont d’accord pour une candidature unique de l’opposition dont le profil est presque déjà connu.

Cette soudaine collusion des forces d’alternance a obligé l’Amp à reculer de quelques pas dans son optimisme. Avant la fin de l’année, la Majorité croyait qu’il n’y aurait pas match en 2011. Mais, dès l’annonce de la candidature de Tshisekedi à la présidence suivie de son retour spectaculaire au pays, la Majorité s’est vue obligée de bien ajuster son monocle. Elle y a été davantage invitée lorsque l’un de ses pions gagnants a officiellement quitté le navire pour le camp adverse.

Tiercé et quinté gagnants

Au départ, beaucoup au sein de l’Amp avaient minimisé jusqu’à la raillerie l’impact de cette défection. Mais, lorsqu’elle s’est annoncée dans l’affectivité, il a fallu d’abord retenir son souffle avant d’essayer de se ressaisir. Et la parade fut trouvée ou du moins l’espérait-on avec la suppression du premier tour. Pourtant, même alors, le problème est resté entier. Les différentes combinaisons qui se sont annoncées sur le terrain n’ont rien de la banalité et de la routine de 2006. Et puis, il y a le passif du mandat finissant qu’il faut assumer Contrairement aux opposants, la Majorité est contrainte de présenter un bilan alors que l’adversaire n’a aucune obligation dans ce sens. Il n’a juste que le loisir de critiquer, de minimiser l’évaluation des exploits réalisés en face. Comme on peut le constater, la tâche de la première est vraiment ardue. Celle de la seconde n’est qu’une promenade de santé.

C’est une donne nouvelle et fondamentalement contraire à la dynamique de 2006. A cette année-là, nul ne pouvait diaboliser la gestion de l’autre pour autant que celle du pays avait impliqué tout le monde. L’échec ou le succès était collectif. Inversement, aujourd’hui, un camp doit d’abord rendre compte de son programme pendant que l’autre est libre de tout engagement.

L’un est vierge, l’autre ne l’est plus. La marge de manoeuvre devient trop étroite et les combinaisons indomptables. Il faut donc des stratégies pour monter de toute urgence un plan d’attaque capable de mettre l’adversaire en déroute. Voilà tout le sens de la rencontre de Kingankati jeudi.

Il y a 5 ans, feu Guillaume Samba Kaputo s’était révélé vraiment providentiel pour le camp présidentiel. A défaut d’une matière grise de son calibre, il faut néanmoins trouver des cerveaux capables de relever les défis énormes de la présidentielle à venir. C’est la tâche confiée aux 5 membres constituant la Commission de stratégies.

ACP/Le Palmarès

http://www.digitalcongo.net/article/74305
Hiro-Hito
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Message  ndonzwau 12/3/2011, 3:30 pm

"L’ouverture du colloque du PPRD se transforme
en champ de bataille !

° http://www.aparecordc.org/forum//galerie//documents/12998836611707.pdf
Selon un membre du PPRD présent sur les lieux, la cause de cet affrontement est due à l’interdiction d’accès au Colloque faite aux membres du PPRD de Pius Mabuilu..."


Compatriotiquement!


ndonzwau


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