Santé de l'économie congolaise
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Santé de l'économie congolaise
Selon John Liosky (président intérimaire du FMI), loue les performances de l'économie congolaise au regard du contexte international et de l'histoire récente de la RDC. Le taux de croissance du PIB réel a été de 7% et le taux d'inflation en bas de 10% (pour la première fois depuis des années).
Cependant le climat des affaires souffre encore de la lourdeur causée par la multitude des taxes, des lois obsolètes, l'inefficacité de l'appareil de l'état et le manque d'infrastructure.
L'économie congolaise fait aussi preuve d'un manque des capacités productrices ... Exemple, la RDC importe 100.000 tonnes de poisson namibien alors que son propre réseau fluvial plus riche, reste inexploité.
Cependant le climat des affaires souffre encore de la lourdeur causée par la multitude des taxes, des lois obsolètes, l'inefficacité de l'appareil de l'état et le manque d'infrastructure.
L'économie congolaise fait aussi preuve d'un manque des capacités productrices ... Exemple, la RDC importe 100.000 tonnes de poisson namibien alors que son propre réseau fluvial plus riche, reste inexploité.
Dernière édition par Admin le 22/7/2011, 9:21 pm, édité 1 fois
Admin- Admin
Re: Santé de l'économie congolaise
Bon bilan avec de bonnes perspectives de croissance et de production pour l'avenir.Admin a écrit:Selon John Liosky (président intérimaire du FMI), loue les performances de l'économie congolaise au regard du contexte international et de l'histoire récente de la RDC. Le taux de croissance du PIB réel a été de 7% et le taux d'inflation en bas de 10% (pour la première fois depuis des années).
Cependant le climat des affaires souffre encore de la lourdeur causée par la multitude des taxes, des lois obsolètes, l'inefficacité de l'appareil de l'état et le manque d'infrastructure.
L'économie congolaise fait aussi preuve d'un manque des capacités productrices ... Exemple, la RDC importe 100.000 tonnes de poisson namibien alors que son propre réseau fluvial plus riche, reste inexploité.
lino
Re: Santé de l'économie congolaise
C'est dans le dernier numéro d'Afrique Magazinelino a écrit:Bon bilan avec de bonnes perspectives de croissance et de production pour l'avenir.Admin a écrit:Selon John Liosky (président intérimaire du FMI), loue les performances de l'économie congolaise au regard du contexte international et de l'histoire récente de la RDC. Le taux de croissance du PIB réel a été de 7% et le taux d'inflation en bas de 10% (pour la première fois depuis des années).
Cependant le climat des affaires souffre encore de la lourdeur causée par la multitude des taxes, des lois obsolètes, l'inefficacité de l'appareil de l'état et le manque d'infrastructure.
L'économie congolaise fait aussi preuve d'un manque des capacités productrices ... Exemple, la RDC importe 100.000 tonnes de poisson namibien alors que son propre réseau fluvial plus riche, reste inexploité.
Admin- Admin
Re: Santé de l'économie congolaise
Economie : La RDC n’arrive pas à décoller !
Malgré la reprise des secteurs agricole et minier, l’adoption de mesures macroéconomiques et institutionnelles, et l’implantation d’entreprises étrangères, la croissance et l’emploi n’arrivent pas à décoller en République démocratique du Congo (RDC).
Stagnation économique, chômage… Dans son dernier rapport, l’institution pose un regard sans concession sur le pays. Et à Kinshasa, des voix s’élèvent pour que naisse un modèle congolais de développement.
Le dernier rapport de la Banque mondiale sur la République démocratique du Congo (RDC), publié en juin sous l’intitulé « Accélérer la croissance et l’emploi », est clair. Malgré la reprise des secteurs agricole et minier, l’adoption de mesures macroéconomiques et institutionnelles, et l’implantation d’entreprises étrangères, la croissance et l’emploi n’arrivent pas à décoller.
Bien que redevenue positive depuis 2002, avec une moyenne de 5,3 % par an, la croissance n’a pas ramené le pays à son niveau de prospérité du début des années 1960, constate la Banque mondiale. L’inflation a certes fortement diminué, mais elle reste tributaire des mouvements du taux de change du dollar. La pauvreté touche 71 % des 66 millions d’habitants. Les investissements se sont limités aux régions minières et à la capitale, ce qui n’a pas permis de résorber un chômage élevé, notamment parmi les travailleurs qualifiés. « À Kinshasa, plus des deux tiers de la population active est considérée comme sans emploi ou sous-employée », note la Banque mondiale. L’emploi ne s’est en effet accru que dans les grandes entreprises – peu nombreuses – ou dans l’agriculture – qui n’offre pas de débouchés aux jeunes qualifiés.
Il est vrai que les années de conflit en RD Congo ont accéléré un déclin entamé dans les années 1980 et mis à mal les infrastructures de base. Mais la guerre n’explique pas tout. Cette stagnation est aussi à mettre sur le compte de l’absence de vision économique et l’inefficacité de l’État, souligne la Banque mondiale, qui, avec ce rapport, met un bémol aux satisfecit de l’actuel gouvernement sur son bilan et invite l’équipe qui sera issue des élections de novembre 2011 à formuler un programme économique, définir des priorités et coordonner les politiques arrêtées.
« Il faut faire émerger un vrai tissu de PME. Mais pour cela, il faut refonder l’État, le rendre efficace à travers l’adoption de politiques et de lois appropriées et donner un coup d’accélérateur au développement des infrastructures de base dans l’énergie, les transports et les télécommunications », complète Michel Nsomue, administrateur délégué de la Fédération nationale des artisans, petites et moyennes entreprises congolaises (Fenapec).
« Prêt-à-porter ». Si beaucoup de Congolais s’accordent sur l’intérêt de ce rapport – qui comble un vide en réalisant une base de données fiable sur l’économie et le climat des affaires –, ils en soulignent aussi les faiblesses. « La vision de la Banque mondiale s’inscrit dans la mondialisation. Elle favorise le marché international au détriment du marché intérieur, regrette Michel Nsomue. D’où le risque d’une accentuation de l’extraversion de notre économie. Par exemple, le secteur des télécoms, considéré dans le rapport comme un des plus dynamiques, est dans les mains de sociétés étrangères. Ce qui pose le problème de notre souveraineté. »
La balle est dans le camp des Congolais. Dans celui des autorités, d’abord, qui doivent « favoriser l’essor d’un marché intérieur et redéfinir leurs politiques, notamment monétaire et budgétaire », préconise Michel Nsomue. Dans celui de tous les citoyens, également. « On ne peut ni s’en tenir au prêt-à-porter que propose la banque, ni en rester au tête-à-tête entre l’État et les partenaires extérieurs. Il faut que tout le pays s’implique dans les débats et les analyses », martèle Yangu Kiakwama, gérant du centre commercial Maxi Food à Kinshasa et membre de la Convention des démocrates chrétiens (CDC). Il ajoute : « C’est à nous, Congolais, de faire des propositions et de produire notre propre vision. »
Par Muriel Devey, à Kinshasa
http://afrique.kongotimes.info/economie-technologie/economie-congolaise/economie-congo-arrive-pas-decoller.html
Malgré la reprise des secteurs agricole et minier, l’adoption de mesures macroéconomiques et institutionnelles, et l’implantation d’entreprises étrangères, la croissance et l’emploi n’arrivent pas à décoller en République démocratique du Congo (RDC).
Stagnation économique, chômage… Dans son dernier rapport, l’institution pose un regard sans concession sur le pays. Et à Kinshasa, des voix s’élèvent pour que naisse un modèle congolais de développement.
Le dernier rapport de la Banque mondiale sur la République démocratique du Congo (RDC), publié en juin sous l’intitulé « Accélérer la croissance et l’emploi », est clair. Malgré la reprise des secteurs agricole et minier, l’adoption de mesures macroéconomiques et institutionnelles, et l’implantation d’entreprises étrangères, la croissance et l’emploi n’arrivent pas à décoller.
Bien que redevenue positive depuis 2002, avec une moyenne de 5,3 % par an, la croissance n’a pas ramené le pays à son niveau de prospérité du début des années 1960, constate la Banque mondiale. L’inflation a certes fortement diminué, mais elle reste tributaire des mouvements du taux de change du dollar. La pauvreté touche 71 % des 66 millions d’habitants. Les investissements se sont limités aux régions minières et à la capitale, ce qui n’a pas permis de résorber un chômage élevé, notamment parmi les travailleurs qualifiés. « À Kinshasa, plus des deux tiers de la population active est considérée comme sans emploi ou sous-employée », note la Banque mondiale. L’emploi ne s’est en effet accru que dans les grandes entreprises – peu nombreuses – ou dans l’agriculture – qui n’offre pas de débouchés aux jeunes qualifiés.
Il est vrai que les années de conflit en RD Congo ont accéléré un déclin entamé dans les années 1980 et mis à mal les infrastructures de base. Mais la guerre n’explique pas tout. Cette stagnation est aussi à mettre sur le compte de l’absence de vision économique et l’inefficacité de l’État, souligne la Banque mondiale, qui, avec ce rapport, met un bémol aux satisfecit de l’actuel gouvernement sur son bilan et invite l’équipe qui sera issue des élections de novembre 2011 à formuler un programme économique, définir des priorités et coordonner les politiques arrêtées.
« Il faut faire émerger un vrai tissu de PME. Mais pour cela, il faut refonder l’État, le rendre efficace à travers l’adoption de politiques et de lois appropriées et donner un coup d’accélérateur au développement des infrastructures de base dans l’énergie, les transports et les télécommunications », complète Michel Nsomue, administrateur délégué de la Fédération nationale des artisans, petites et moyennes entreprises congolaises (Fenapec).
« Prêt-à-porter ». Si beaucoup de Congolais s’accordent sur l’intérêt de ce rapport – qui comble un vide en réalisant une base de données fiable sur l’économie et le climat des affaires –, ils en soulignent aussi les faiblesses. « La vision de la Banque mondiale s’inscrit dans la mondialisation. Elle favorise le marché international au détriment du marché intérieur, regrette Michel Nsomue. D’où le risque d’une accentuation de l’extraversion de notre économie. Par exemple, le secteur des télécoms, considéré dans le rapport comme un des plus dynamiques, est dans les mains de sociétés étrangères. Ce qui pose le problème de notre souveraineté. »
La balle est dans le camp des Congolais. Dans celui des autorités, d’abord, qui doivent « favoriser l’essor d’un marché intérieur et redéfinir leurs politiques, notamment monétaire et budgétaire », préconise Michel Nsomue. Dans celui de tous les citoyens, également. « On ne peut ni s’en tenir au prêt-à-porter que propose la banque, ni en rester au tête-à-tête entre l’État et les partenaires extérieurs. Il faut que tout le pays s’implique dans les débats et les analyses », martèle Yangu Kiakwama, gérant du centre commercial Maxi Food à Kinshasa et membre de la Convention des démocrates chrétiens (CDC). Il ajoute : « C’est à nous, Congolais, de faire des propositions et de produire notre propre vision. »
Par Muriel Devey, à Kinshasa
http://afrique.kongotimes.info/economie-technologie/economie-congolaise/economie-congo-arrive-pas-decoller.html
Mathilde
Re: Santé de l'économie congolaise
Merci Mathy, le texte que tu as mi est basé sur l'article de Jeune Afrique suivant.
Merci,
Le dernier rapport de la Banque mondiale sur la République démocratique du Congo (RDC), publié en juin sous l’intitulé « Accélérer la croissance et l’emploi », est clair. Malgré la reprise des secteurs agricole et minier, l’adoption de mesures macroéconomiques et institutionnelles, et l’implantation d’entreprises étrangères, la croissance et l’emploi n’arrivent pas à décoller.
Lire l'article sur Jeuneafrique.com : RDC : la Banque mondiale dresse un dur constat | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique
Bien que redevenue positive depuis 2002, avec une moyenne de 5,3 % par an, la croissance n’a pas ramené le pays à son niveau de prospérité du début des années 1960, constate la Banque mondiale. L’inflation a certes fortement diminué, mais elle reste tributaire des mouvements du taux de change du dollar. La pauvreté touche 71 % des 66 millions d’habitants. Les investissements se sont limités aux régions minières et à la capitale, ce qui n’a pas permis de résorber un chômage élevé, notamment parmi les travailleurs qualifiés.
Lire l'article sur Jeuneafrique.com : RDC : la Banque mondiale dresse un dur constat | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique
La balle est dans le camp des Congolais. Dans celui des autorités, d’abord, qui doivent « favoriser l’essor d’un marché intérieur et redéfinir leurs politiques, notamment monétaire et budgétaire », préconise Michel Nsomue. Dans celui de tous les citoyens, également. « On ne peut ni s’en tenir au prêt-à-porter que propose la banque, ni en rester au tête-à-tête entre l’État et les partenaires extérieurs. Il faut que tout le pays s’implique dans les débats et les analyses », martèle Yangu Kiakwama, gérant du centre commercial Maxi Food à Kinshasa et membre de la Convention des démocrates chrétiens (CDC). Il ajoute : « C’est à nous, Congolais, de faire des propositions et de produire notre propre vision. »
Lire l'article sur Jeuneafrique.com : RDC : la Banque mondiale dresse un dur constat | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique
http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAJA2633p100.xml0/pauvrete-rd-congo-banque-mondiale-kinshasardc-la-banque-mondiale-dresse-un-dur-constat.html
Merci,
Le dernier rapport de la Banque mondiale sur la République démocratique du Congo (RDC), publié en juin sous l’intitulé « Accélérer la croissance et l’emploi », est clair. Malgré la reprise des secteurs agricole et minier, l’adoption de mesures macroéconomiques et institutionnelles, et l’implantation d’entreprises étrangères, la croissance et l’emploi n’arrivent pas à décoller.
Lire l'article sur Jeuneafrique.com : RDC : la Banque mondiale dresse un dur constat | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique
Bien que redevenue positive depuis 2002, avec une moyenne de 5,3 % par an, la croissance n’a pas ramené le pays à son niveau de prospérité du début des années 1960, constate la Banque mondiale. L’inflation a certes fortement diminué, mais elle reste tributaire des mouvements du taux de change du dollar. La pauvreté touche 71 % des 66 millions d’habitants. Les investissements se sont limités aux régions minières et à la capitale, ce qui n’a pas permis de résorber un chômage élevé, notamment parmi les travailleurs qualifiés.
Lire l'article sur Jeuneafrique.com : RDC : la Banque mondiale dresse un dur constat | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique
La balle est dans le camp des Congolais. Dans celui des autorités, d’abord, qui doivent « favoriser l’essor d’un marché intérieur et redéfinir leurs politiques, notamment monétaire et budgétaire », préconise Michel Nsomue. Dans celui de tous les citoyens, également. « On ne peut ni s’en tenir au prêt-à-porter que propose la banque, ni en rester au tête-à-tête entre l’État et les partenaires extérieurs. Il faut que tout le pays s’implique dans les débats et les analyses », martèle Yangu Kiakwama, gérant du centre commercial Maxi Food à Kinshasa et membre de la Convention des démocrates chrétiens (CDC). Il ajoute : « C’est à nous, Congolais, de faire des propositions et de produire notre propre vision. »
Lire l'article sur Jeuneafrique.com : RDC : la Banque mondiale dresse un dur constat | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique
http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAJA2633p100.xml0/pauvrete-rd-congo-banque-mondiale-kinshasardc-la-banque-mondiale-dresse-un-dur-constat.html
Admin- Admin
Re: Santé de l'économie congolaise
La congestion du port de Matadi avec la présence de nombreux conteneurs sur son parc demeure au centre des préoccupations.
L'on sait que le directeur du département à la Société congolaise des ports et des transports (SCPT), ex-ONATRA avait fait état des dispositions prises par ses services afin de sortir de l'engrenage de la congestion du port de Matadi.
http://fr.allafrica.com/stories/201107250643.html
L'on sait que le directeur du département à la Société congolaise des ports et des transports (SCPT), ex-ONATRA avait fait état des dispositions prises par ses services afin de sortir de l'engrenage de la congestion du port de Matadi.
http://fr.allafrica.com/stories/201107250643.html
Admin- Admin
Re: Santé de l'économie congolaise
RDC: le cadre macroéconomique s’améliore, selon le magazine Forbes
L’économie congolaise est passée de 2,8% de croissance en 2009 à 7,2% en 2010. Et les projections du Fond monétaire international prévoient 6,5% pour 2011, selon les résultats du mois de juillet, publiés par le magazine américain Forbes.
http://radiookapi.net/economie/2011/07/28/rdc-le-cadre-macroeconomique-s’ameliore-selon-le-magazine-forbes/
L’économie congolaise est passée de 2,8% de croissance en 2009 à 7,2% en 2010. Et les projections du Fond monétaire international prévoient 6,5% pour 2011, selon les résultats du mois de juillet, publiés par le magazine américain Forbes.
http://radiookapi.net/economie/2011/07/28/rdc-le-cadre-macroeconomique-s’ameliore-selon-le-magazine-forbes/
Admin- Admin
Re: Santé de l'économie congolaise
Pour remettre en marche l'économie de la RDC,il faut des crossances à deux chiffres durant plus d'une décennie.En plus,l'assenissement du cadre macro-économique n'a pas forcement d'incidences sur la situation socio-économique de la population.
Je prefere un gouvernement qui fait moins de croissance mais qui adopte des mesures sociales éfficaces,pour le bien etre de sa population,que de suivre aveuglement le dictat du FMI.
Tonton Ricos
Re: Santé de l'économie congolaise
On ne peut pas faire un bon programme sociale s'il y a moins de croissance.Une bonne croissance a toujours des répercutions sur le socialTonton Ricos a écrit:
Pour remettre en marche l'économie de la RDC,il faut des crossances à deux chiffres durant plus d'une décennie.En plus,l'assenissement du cadre macro-économique n'a pas forcement d'incidences sur la situation socio-économique de la population.
Je prefere un gouvernement qui fait moins de croissance mais qui adopte des mesures sociales éfficaces,pour le bien etre de sa population,que de suivre aveuglement le dictat du FMI.
lino
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