Un ex-sbire de Ngbanda terminator parle et confesse maintenant la vérité
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Un ex-sbire de Ngbanda terminator parle et confesse maintenant la vérité
Repentant « Veni, vidi, vinci » du Révérend Makolo qui reconnaît les signes de Joseph Kabila après les avoir longtemps niés !
Kinshasa, 26/10/2011 / Politique
Eclairante confession du Révérend Makolo revenu des laboratoires d’Honoré Ngbanda, l’impénitent pourfendeur de Joseph Kabila. L’ex-sbire de « Terminator » a vu les changements qui s’opèrent en RDC sous la houlette du président Joseph Kabila et ne le conteste plus. Au contraire… Après avoir travaillé au sein de l’Alliance des Patriotes pour la Refondation du Congo (APARECO), le Révérend Makolo Kotambola est de retour à la raison. La raison qui le pousse à se repentir tout en confessant devant son Dieu et devant la Nation le mal auquel il a participé pour la ruine de la RDC à côté d’Honoré NGBANDA, leader de l’APARECO. « Veni, vidi, vinci », comme pour dire que sa démarche lui a permis de vaincre le mal. Dans cet article, le Révérend Makolo use de sa plume pour dévoiler la face cachée des détracteurs de Joseph Kabila.
Pendant longtemps, pendant très longtemps, j'ai crié, insulté et nié l'évidence. J'ai nié l'évidence en racontant à qui voulait m'entendre qu'il ne se passait rien au Congo, que le pays était entrain de se mourir, qu'aucune école n'était viable, qu'aucune route n'était construite, qu'il n'existait aucun hôpital selon les standards acceptables, que tout le monde dans le pays n'était que misère et souffrance.
Eh bien, je peux dire aujourd'hui que je me suis trompé. Je me suis trompé parce que quand je suis arrivé à Kinshasa, j'ai vu le contraire de tout ce que je racontais en Europe.
La vérité, c'est qu'au Congo les écoles existent, les hôpitaux se modernisent, les routes se construisent. Il suffit simplement de parcourir les artères de Kinshasa et ceux de l'arrière-pays pour s'en rendre compte. Certes, tout n'est pas encore fait, mais nul n'a raisonnablement le droit de dire que rien n'a été fait parce que le Congo que j'ai laissé en 2003 n'est pas celui que j'ai retrouvé en 2011. Ce pays a foncièrement changé dans le sens d'une amélioration indéniable.
Nul n'a le droit de dire que rien n'a été fait dans ce pays lorsque le Fonds Monétaire International et la Banque Mondiale ne tarissent pas d'éloges à l'endroit du gouvernement congolais pour sa politique économique.
« Veni, vidi, vinci ». Je suis venu, j'ai vu, j'ai vaincu.
Pendant longtemps, et même pendant très longtemps, j'ai vécu en Europe, enrobé dans un mensonge éhonté, un mensonge qui m'a extasié au point de me faire diffuser des choses abracadabrantesques, des choses dénuées de tout fondement logique. J'ai prétendu que le pays était occupé, qu'il n'y régnait aucune démocratie, qu'il était devenu une sorte de république bananière où l'on arrêtait les gens à tous bouts de champs, que Joseph Kabila était un ressortissant étranger, que son gouvernement n'était composé que des vulgaires collabos corrompus et incompétents pour qui le bien-être du peuple ne signifiait absolument rien, etc.
Eh bien, une fois encore, je dois dire que tout ceci n'était que pure affabulation et pur mensonge. Là aussi, je n'ai pas honte de reconnaitre que je me suis lourdement trompé. Je me suis trompé parce que je suis au Congo depuis maintenant deux mois, et qu'en deux mois, je n'ai jamais été inquiété ni par la police ni par personne. Je me déplace librement et en toute quiétude. Je ne crains ni la mort ni la prison. Preuve que ce pays n'est pas cet îlot de non droit qu'on a l'habitude de dépeindre dans un certain milieu de la diaspora congolaise en Occident.
Pour quelqu'un comme moi qui a passé l'essentiel de son temps à dire et à faire ce que j'ai dit et fait contre Joseph Kabila et tous les autres responsables politiques de ce pays, il y a franchement de quoi se féliciter des avancées notables dans le domaine de la démocratie au Congo. En outre, en revenant au Congo, je n'ai pas eu le sentiment de me trouver dans un pays sous occupation. Tout est calme et tout fonctionne d'ailleurs tout à fait normalement selon les prescrits constitutionnels et selon la volonté souveraine du peuple exprimé lors du scrutin de 2006. Toutes les institutions du pays sont sous l'autorité des Congolais. Je n'ai donc pas vu un quelconque sujet étranger à la tête d'aucune d'entre elles.
Le Président de la République s'appelle Joseph Kabila, citoyen Congolais originaire du Katanga par son père et du Maniema par sa mère. N'en déplaise à Honoré Ngbanda et les siens qui se complaisent encore à rêver du contraire. Je connais très bien ce mensonge honteux pour avoir participé activement à le diffuser à travers le monde. Un mensonge que ma conscience de chrétien et de citoyen commande de dénoncer aujourd'hui avec vigueur. Adolphe Muzito et l'ensemble des ministres de son gouvernement sont tous des Congolais responsables qui travaillent à la réalisation d'un avenir meilleur pour notre peuple.
Il est évident que la tâche n'est pas facile, mais qui peut dire que c'est facile de gérer un pays comme le Congo, rien n'est jamais facile pour ceux qui aiment mieux faire. Aussi le temps me manquerait de parler des animateurs de toutes les autres institutions comme le Parlement, les cours et tribunaux, etc. qui tous sont constitués de fils et filles de ce pays et qui se battent jour et nuit pour le faire sortir du gouffre dans lequel l'ont plongé ceux qui s'érigent en censeurs aujourd'hui, ceux-là même qui promettent d'offrir aux Congolais d'aujourd'hui ce qu'ils ont été incapables de donner aux Zaïrois d'alors. Quelle honte!
En rentrant au Congo, je me suis aperçu que le pays s'essaye à un bel apprentissage de la démocratie. La presse écrite et audiovisuelle n'est nullement muselée comme aux jours d'autrefois. Le plein et même le trop plein d'organes de presse sont là pour en témoigner. Les auditeurs et les téléspectateurs Congolais sont chaque jour les témoins de toutes sortes d'émissions au cours desquelles les invités se livrent parfois à des critiques directes et acerbes à l'endroit des dirigeants du pays sans être inquiétés. Tout ceci fait bel et bien partie du fonctionnement normal de toute démocratie responsable. C'est comme cela en France, en Belgique, aux Etats-Unis et maintenant au Congo. Nous ne pouvons que nous en réjouir.
Ce qui m'a le plus réjoui encore en rentrant, c'est que le Congo, comme tous les autres pays de démocratie, a renoué avec l'habitude des élections libres et transparentes. Cela fait longtemps et même très longtemps que ce pays n'a plus vu cela, surtout lorsque ceux qui s'érigent en censeurs aujourd'hui étaient au pouvoir. Elu Président de la République en 2006, Joseph Kabila s'apprête à s'en remettre au bon vouloir du peuple souverain qui sera appelé à se prononcer en toute liberté le 28 novembre 2011. Les députés aussi se préparent dans le cadre des législatives, ce qui explique d'ailleurs l'effervescence qu'on observe actuellement dans les états-majors des partis politiques dans le pays. Ceci constitue, à n'en point douter, un progrès considérable dans le domaine de la démocratie.
Je dis cependant que la démocratie est différente de l'insulte, que la démocratie se veut fondamentalement respect de l'autre et respect des institutions. En conséquence, tous ceux qui, au Congo comme en Occident, pensent que la démocratie leur donne la permission d'insulter les autres et d'user de la violence contre les autres ont tort. On peut critiquer l'action d'un homme politique, on peut même lui reprocher son mode de gouvernance, c'est normal en démocratie. Mais porter atteinte à son image et à son intégrité morale ou physique est un crime passible d'une peine de prison.
En démocratie, on peut critiquer un Chef d'Etat ou un ministre, mais on n'a le droit ni de l'invectiver ni encore de lui jeter des projectiles dangereux dans le but de lui faire du mal. En démocratie, on respecte même celui avec qui on est politiquement en désaccord. En démocratie, force doit rester aux idées, au débat contradictoire et au discours. Les biceps et la violence ne peuvent y avoir droit de cité.
« Veni, vidi, vinci ». Je suis venu, j'ai vu, j'ai vaincu. Je suis venu au Congo, j'ai vu la vérité et j'ai vaincu le mensonge. L'agréable spectacle de la métamorphose du pays qui s'offre à moi chaque jour qui passe est différent de l'image que j'ai voulu donner à mon pays et à ses dirigeants pendant longtemps. Aujourd'hui, après avoir vu la juste symétrie des faits et des réalisations, j'ai compris que j'avais raison de demander pardon au peuple et aux dirigeants Congolais pour tout le mal que je leur ai fait. Ce faisant, j'ai donc pris, en âme et conscience, la décision de changer et d'appeler tous ceux d'entre mes frères et sœurs qui continuent encore à s'abreuver dans la fontaine du mensonge à y renoncer dans l'intérêt supérieur du pays. Je vous le dis ainsi parce que moi, je suis venu, j'ai vu et je vaincu. Veni, vidi, vinci ».
Ainsi dit et raconté par le Révérend Makolo Kotambola.
Texte transmis par RJW, Roland Ngoie Kiloka, Président du Comite de Soutien Joseph Kabila Kabange 2011 rolandngoiek@yahoo.com, mailto: ngoiekiloka@hotmail.com, Montreal-Canada
Sources: http://www.digitalcongo.net/article/79237
Kinshasa, 26/10/2011 / Politique
Eclairante confession du Révérend Makolo revenu des laboratoires d’Honoré Ngbanda, l’impénitent pourfendeur de Joseph Kabila. L’ex-sbire de « Terminator » a vu les changements qui s’opèrent en RDC sous la houlette du président Joseph Kabila et ne le conteste plus. Au contraire… Après avoir travaillé au sein de l’Alliance des Patriotes pour la Refondation du Congo (APARECO), le Révérend Makolo Kotambola est de retour à la raison. La raison qui le pousse à se repentir tout en confessant devant son Dieu et devant la Nation le mal auquel il a participé pour la ruine de la RDC à côté d’Honoré NGBANDA, leader de l’APARECO. « Veni, vidi, vinci », comme pour dire que sa démarche lui a permis de vaincre le mal. Dans cet article, le Révérend Makolo use de sa plume pour dévoiler la face cachée des détracteurs de Joseph Kabila.
Pendant longtemps, pendant très longtemps, j'ai crié, insulté et nié l'évidence. J'ai nié l'évidence en racontant à qui voulait m'entendre qu'il ne se passait rien au Congo, que le pays était entrain de se mourir, qu'aucune école n'était viable, qu'aucune route n'était construite, qu'il n'existait aucun hôpital selon les standards acceptables, que tout le monde dans le pays n'était que misère et souffrance.
Eh bien, je peux dire aujourd'hui que je me suis trompé. Je me suis trompé parce que quand je suis arrivé à Kinshasa, j'ai vu le contraire de tout ce que je racontais en Europe.
La vérité, c'est qu'au Congo les écoles existent, les hôpitaux se modernisent, les routes se construisent. Il suffit simplement de parcourir les artères de Kinshasa et ceux de l'arrière-pays pour s'en rendre compte. Certes, tout n'est pas encore fait, mais nul n'a raisonnablement le droit de dire que rien n'a été fait parce que le Congo que j'ai laissé en 2003 n'est pas celui que j'ai retrouvé en 2011. Ce pays a foncièrement changé dans le sens d'une amélioration indéniable.
Nul n'a le droit de dire que rien n'a été fait dans ce pays lorsque le Fonds Monétaire International et la Banque Mondiale ne tarissent pas d'éloges à l'endroit du gouvernement congolais pour sa politique économique.
« Veni, vidi, vinci ». Je suis venu, j'ai vu, j'ai vaincu.
Pendant longtemps, et même pendant très longtemps, j'ai vécu en Europe, enrobé dans un mensonge éhonté, un mensonge qui m'a extasié au point de me faire diffuser des choses abracadabrantesques, des choses dénuées de tout fondement logique. J'ai prétendu que le pays était occupé, qu'il n'y régnait aucune démocratie, qu'il était devenu une sorte de république bananière où l'on arrêtait les gens à tous bouts de champs, que Joseph Kabila était un ressortissant étranger, que son gouvernement n'était composé que des vulgaires collabos corrompus et incompétents pour qui le bien-être du peuple ne signifiait absolument rien, etc.
Eh bien, une fois encore, je dois dire que tout ceci n'était que pure affabulation et pur mensonge. Là aussi, je n'ai pas honte de reconnaitre que je me suis lourdement trompé. Je me suis trompé parce que je suis au Congo depuis maintenant deux mois, et qu'en deux mois, je n'ai jamais été inquiété ni par la police ni par personne. Je me déplace librement et en toute quiétude. Je ne crains ni la mort ni la prison. Preuve que ce pays n'est pas cet îlot de non droit qu'on a l'habitude de dépeindre dans un certain milieu de la diaspora congolaise en Occident.
Pour quelqu'un comme moi qui a passé l'essentiel de son temps à dire et à faire ce que j'ai dit et fait contre Joseph Kabila et tous les autres responsables politiques de ce pays, il y a franchement de quoi se féliciter des avancées notables dans le domaine de la démocratie au Congo. En outre, en revenant au Congo, je n'ai pas eu le sentiment de me trouver dans un pays sous occupation. Tout est calme et tout fonctionne d'ailleurs tout à fait normalement selon les prescrits constitutionnels et selon la volonté souveraine du peuple exprimé lors du scrutin de 2006. Toutes les institutions du pays sont sous l'autorité des Congolais. Je n'ai donc pas vu un quelconque sujet étranger à la tête d'aucune d'entre elles.
Le Président de la République s'appelle Joseph Kabila, citoyen Congolais originaire du Katanga par son père et du Maniema par sa mère. N'en déplaise à Honoré Ngbanda et les siens qui se complaisent encore à rêver du contraire. Je connais très bien ce mensonge honteux pour avoir participé activement à le diffuser à travers le monde. Un mensonge que ma conscience de chrétien et de citoyen commande de dénoncer aujourd'hui avec vigueur. Adolphe Muzito et l'ensemble des ministres de son gouvernement sont tous des Congolais responsables qui travaillent à la réalisation d'un avenir meilleur pour notre peuple.
Il est évident que la tâche n'est pas facile, mais qui peut dire que c'est facile de gérer un pays comme le Congo, rien n'est jamais facile pour ceux qui aiment mieux faire. Aussi le temps me manquerait de parler des animateurs de toutes les autres institutions comme le Parlement, les cours et tribunaux, etc. qui tous sont constitués de fils et filles de ce pays et qui se battent jour et nuit pour le faire sortir du gouffre dans lequel l'ont plongé ceux qui s'érigent en censeurs aujourd'hui, ceux-là même qui promettent d'offrir aux Congolais d'aujourd'hui ce qu'ils ont été incapables de donner aux Zaïrois d'alors. Quelle honte!
En rentrant au Congo, je me suis aperçu que le pays s'essaye à un bel apprentissage de la démocratie. La presse écrite et audiovisuelle n'est nullement muselée comme aux jours d'autrefois. Le plein et même le trop plein d'organes de presse sont là pour en témoigner. Les auditeurs et les téléspectateurs Congolais sont chaque jour les témoins de toutes sortes d'émissions au cours desquelles les invités se livrent parfois à des critiques directes et acerbes à l'endroit des dirigeants du pays sans être inquiétés. Tout ceci fait bel et bien partie du fonctionnement normal de toute démocratie responsable. C'est comme cela en France, en Belgique, aux Etats-Unis et maintenant au Congo. Nous ne pouvons que nous en réjouir.
Ce qui m'a le plus réjoui encore en rentrant, c'est que le Congo, comme tous les autres pays de démocratie, a renoué avec l'habitude des élections libres et transparentes. Cela fait longtemps et même très longtemps que ce pays n'a plus vu cela, surtout lorsque ceux qui s'érigent en censeurs aujourd'hui étaient au pouvoir. Elu Président de la République en 2006, Joseph Kabila s'apprête à s'en remettre au bon vouloir du peuple souverain qui sera appelé à se prononcer en toute liberté le 28 novembre 2011. Les députés aussi se préparent dans le cadre des législatives, ce qui explique d'ailleurs l'effervescence qu'on observe actuellement dans les états-majors des partis politiques dans le pays. Ceci constitue, à n'en point douter, un progrès considérable dans le domaine de la démocratie.
Je dis cependant que la démocratie est différente de l'insulte, que la démocratie se veut fondamentalement respect de l'autre et respect des institutions. En conséquence, tous ceux qui, au Congo comme en Occident, pensent que la démocratie leur donne la permission d'insulter les autres et d'user de la violence contre les autres ont tort. On peut critiquer l'action d'un homme politique, on peut même lui reprocher son mode de gouvernance, c'est normal en démocratie. Mais porter atteinte à son image et à son intégrité morale ou physique est un crime passible d'une peine de prison.
En démocratie, on peut critiquer un Chef d'Etat ou un ministre, mais on n'a le droit ni de l'invectiver ni encore de lui jeter des projectiles dangereux dans le but de lui faire du mal. En démocratie, on respecte même celui avec qui on est politiquement en désaccord. En démocratie, force doit rester aux idées, au débat contradictoire et au discours. Les biceps et la violence ne peuvent y avoir droit de cité.
« Veni, vidi, vinci ». Je suis venu, j'ai vu, j'ai vaincu. Je suis venu au Congo, j'ai vu la vérité et j'ai vaincu le mensonge. L'agréable spectacle de la métamorphose du pays qui s'offre à moi chaque jour qui passe est différent de l'image que j'ai voulu donner à mon pays et à ses dirigeants pendant longtemps. Aujourd'hui, après avoir vu la juste symétrie des faits et des réalisations, j'ai compris que j'avais raison de demander pardon au peuple et aux dirigeants Congolais pour tout le mal que je leur ai fait. Ce faisant, j'ai donc pris, en âme et conscience, la décision de changer et d'appeler tous ceux d'entre mes frères et sœurs qui continuent encore à s'abreuver dans la fontaine du mensonge à y renoncer dans l'intérêt supérieur du pays. Je vous le dis ainsi parce que moi, je suis venu, j'ai vu et je vaincu. Veni, vidi, vinci ».
Ainsi dit et raconté par le Révérend Makolo Kotambola.
Texte transmis par RJW, Roland Ngoie Kiloka, Président du Comite de Soutien Joseph Kabila Kabange 2011 rolandngoiek@yahoo.com, mailto: ngoiekiloka@hotmail.com, Montreal-Canada
Sources: http://www.digitalcongo.net/article/79237
honorable
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