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Adolphe Muzito qualifie de « positif » le bilan de 5 dernières années du gouvernement congolais

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Adolphe Muzito qualifie de « positif » le bilan de 5 dernières années du gouvernement congolais Empty Adolphe Muzito qualifie de « positif » le bilan de 5 dernières années du gouvernement congolais

Message  lino 7/11/2011, 10:32 pm

Bilan ya 5 ans de J Kabila ezali POSITIF!

Adolphe Muzito appelle à voter pour Kabila au regard de son bilan élogieux
Kinshasa, 06/11/2011 / Politique

Après avoir fait la reddition des comptes en cinq années d’action gouvernementale, le Premier ministre a estimé qu’il s’agit d’un bilan positif. Et de conclure, eu égard à ce bilan, J. Kabila mérite d’être reconduit à la tête du pays

La présente législature qui vit ses derniers jours vient d’être clôturée officiellement. Cela sur une note chiffrée au terme du bilan présenté par le gouvernement. En effet, le Premier ministre, Adolphe Muzito, a présenté hier vendredi 4 novembre le bilan chiffré de son gouvernement sous la houlette du président de la République, Joseph Kabila Kabange. C’était au cours de la conférence de presse qu’il a animée hier vendredi au Grand Hôtel Kinshasa.

Un moment fort, disions-nous, tant cet exercice attendu et qui complète l’adresse du président de la République à la nation le 14 septembre à Kingakati (banlieue est de la capitale), intervient en pleine campagne électorale pour les élections 2011. Moment important qui permet au gouvernement des «nationalistes de gauche», pour ne pas reprendre les propres termes du Premier ministre, de faire la reddition des comptes afin que l’opinion tant nationale qu’internationale apprécie le travail accompli. Et puisque tout le monde s’est engagé dans les élections, Adolphe Muzito a saisi cette opportunité pour dégager les perspectives d’avenir. Le Premier ministre a donc fait le bilan de cinq années de l’action gouvernementale, présenté les repères essentiels, évoquer la genèse de cette action gouvernementale avant d’indiquer les actions futures.

Aussi, a-t-il rappelé les premières quarante années postcoloniales caractérisées par une régression du Congo pendant que d’autres pays construisaient leurs appareils étatiques et développaient leurs économies. Ensuite, il s’est attardé sur l’histoire de la lutte du peuple congolais marquée par deux étapes : celle de la lutte de libération, et l’autre de l’avènement de Joseph Kabila Kabage à la tête du pays. Phase qui coïncide avec l’arrêt de la décadence et l’engagement de la nation sur la voie de la croissance. La dernière partie de cette deuxième phase est celle de la législature qui s’achève et qui a jeté les bases de l’édification de la nation ; de l’économie pour son essor vers le progrès. La seconde étape pointe à l’horizon avec les élections en vue, avec au bout du tunnel faire de la RDC un pays émergent.

Les chiffres

Entrant dans le vif du sujet, le Premier ministre a mis un accent particulier sur 5 domaines : politique, économique, financier, monétaire et social. Au plan politique, il s’est attardé sur l’héritage légué en 2007. C’est-à-dire, un pays en proie à des rébellions sous-tendues par des guerres d’agression, l’insécurité, la désorganisation et l’incurie administrative. Ajouter à cela l’affaiblissement de la justice découlant de la précarité des magistrats, l’insuffisance d’effectifs et de juridictions ainsi que l’impunité. Bien plus, a dit le Premier ministre, «cette situation a fait perdre à l’Etat congolais son droit de parole dans nombreux forums. En l’occurrence à l’ONU, l’UA et la SADC. Sans oublier la clochardisation de nos diplomates à l’étranger avec d’importants arriérés de loyers et de salaires.

Au regard de cette situation, sous la houlette du chef de l’Etat, «le gouvernement de la Majorité a réussi à mettre fin à la guerre et à l’invasion des troupes étrangères sur le territoire national. Conciliant l’approche diplomatique, la négociation politique et la force, le gouvernement a réussi à ramener la paix dans la partie Est du pays et dans le reste du territoire national», a dit le Premier ministre. Avant d’ajouter : «Certes, des poches de résistance assez réduites persistent encore à l’Est du pays. Mais les éléments de nos forces armées, avec l’appui logistique de la MONUSCO, s’emploient à les nettoyer».

En matière de droits et libertés publiques,

le Premier ministre souligne que «les diverses manifestations des partis politiques et des associations, le nombre croissant d’organes de presse ainsi que le débat politique sur les différentes chaînes de télévision, illustrent à suffisance que la liberté d’expression est aujourd’hui garantie en RDC». Mais que le gouvernement regrette et condamne fermement les assassinats des activistes des droits de l’Homme et journalistes. D’où ces efforts entrepris dans le domaine de la justice dans le but de sa meilleure distribution. Il s’agit de la moralisation de la profession à travers l’application des sanctions positives à l’égard des magistrats méritants et des sanctions négatives à l’endroit de ceux qui se sont illustrés par des actes répréhensibles ; de l’amélioration des conditions salariales et de travail des magistrats ; de la réorganisation du Conseil supérieur de la magistrature dans le sens de renforcer l’autonomie du pouvoir judiciaire, de la création de nouvelles juridictions et du renforcement des effectifs des magistrats à travers le recrutement de 2 000 nouveaux magistrats, portant ainsi les effectifs à près de 4 000 magistrats contre 2 000 en 2006, et les juridictions à 280 contre 200 en 2006. Au plan international, le gouvernement a apuré ses arriérés redevenant ainsi éligible, en plus de la réouverture des ambassades du Rwanda, du Burundi et de l’Ouganda. Le tout au rythme d’un véritable chassé-croisé diplomatique.

Au plan économique,

le Premier ministre, après avoir dressé un tableau sombre hérité en 2006, a précisé que sous l’impulsion du président de la République, le gouvernement a engagé un vaste programme de développement et de modernisation des infrastructures économiques et sociales, appelé « 5 chantiers. En 4 ans, avec des ressources propres et l’appui des partenaires au développement, à réhabiliter ou à construire : 6 000 km de routes dont 1 500 km des routes bitumées ; 300 km de voirie urbaine dont 150 km à Kinshasa ; 100 ponts de longue portée ; 2 000 écoles primaires et secondaires, 100 hôpitaux et centres de santé ; une dizaine d’établissements d’enseignement supérieur et universitaire dont l’IBTP/Kinshasa, les universités de Kindu, de Bukavu, de Lubumbashi, de Kisangani, de Kinshasa et de l’UPN.

Le gouvernement a également démarré la construction de plusieurs barrages hydroélectriques, notamment de Zongo, Kakobola et le Gand Katende ; permis la réalisation, disons le forage, de près de 200 puits d’eau dans les milieux urbains et ruraux avec comme conséquence positive immédiate sur le PIB dont le taux de croissance dépasse aujourd’hui 6%. Cette croissance économique positive est aussi impulsée par les investissements directs étrangers de l’ordre de 2,5 milliards de dollars USD. En outre, le nombre d’entreprises s’est accru considérablement pour se situer autour de 15 000 en 2011 contre 10 000, il y a de cela 5 ans. Le revenu par habitant est passé de 90 USD en 2001 à 220 USD en 2011.

Evoquant la revisitation des contrats miniers, le Premier ministre a précisé que la part de l’Etat dans le capital social des joint-ventures est passée en moyenne de 5% avant la revisitation à 30% après l’opération ; que le nombre de projets miniers en phase de production a augmenté de 3 à 8 projets ; et que les recettes fiscales de l’Etat ont fortement augmenté.

Dans le domaine financier, le Budget du gouvernement est passé de 900 millions en 2006 à 1,8 milliard en 2007 pour passer aujourd’hui en 2011 à 3 milliards et demi. Le taux d’inflation est tombé de 36% à 10% en 2010. L’atteinte du point d’achèvement de l’Initiative PPTE a permis à la RDC de prétendre à une annulation de 90% de sa dette. «Ce qui amène notre dette de 100% du PIB à moins de 3%. Cette position a également permis à la RDC d’accéder à de nouveaux marchés financiers», a dit le Premier ministre en instant sur l’obtention d’un crédit de 6 milliards de dollars USD de la part des partenaires chinois pour des investissements et des travaux des infrastructures.

Sur le plan monétaire,
le Premier ministre a insisté sur le fait que les performances du gouvernement sont évidentes : le taux de change dès 2007 est redevenu stable et cela pendant toute la législature ; la recapitalisation de la Banque centrale à hauteur de 1 milliard USD, à travers une reconnaissance de dette de l’Etat pour laquelle le Trésor public paye les intérêts de 9 millions USD par mois ; la position de la Banque centrale et celle des banques commerciales s’est nettement améliorée jusqu’à atteindre plus de 600 millions de dollars américains ; le volume des réserves de change de la BCC a atteint le niveau record de près de 1 milliard et demi de dollars, représentant un peu plus de 2 mois d’importation ; les dépôts des banques ont, eux aussi, atteint cette année le niveau historique de près de 2 milliards de dollars américains dont 800 millions en monnaie nationale ; l’encours à des crédits aux entreprises au 30 septembre a dépassé la contre valeur de 700 millions USD ; le nombre des banques agréées a triplé en 5 ans en passant de 7 en 2006 à 22 banques en 2011 ; le nombre des comptes en banques est passé de 100 000 comptes en 2006 à 600 000 en 2011.

En ce qui concerne le social,
le Premier ministre a reconnu que les avancées obtenues sont nombreuses. Mais leurs effets ne sont pas suffisamment perceptibles du fait de l’étendue vaste du désastre hérité dans ce secteur. «La pauvreté et le chômage n’ont pas suffisamment reculé malgré la croissance économique», a enchaîné le Premier ministre.

Il n’empêche qu’à l’initiative du gouvernement, plusieurs infrastructures sociales ont été réhabilitées ou construites : la construction de 2 000 écoles primaires et secondaires, la construction de 80 hôpitaux et centres de santé, la réhabilitation et la construction d’une dizaine d’établissements d’enseignement supérieur et universitaire, la gratuité de l’enseignement primaire au premier degré, l’allocation des frais de fonctionnement aux écoles publiques, la distribution des bancs et kits scolaires dans les écoles pour une valeur globale de 30 millions de USD, la vaccination de quelque 6 millions d’enfants contre la poliomyélite, les tétanos et la rougeole, la distribution des anti- rétroviraux à près de 1 million de malades du SIDA, la distribution de moustiquaires imprégnées.

La rémunération des professeurs d’université est passée de 400 USD à 2 000 USD pour les moins gradés et de 500 USD à 2100 pour les plus gradés. Les médecins les moins gradés touchent désormais 600 USD contre 200 USD et les plus gradés 1 000 USD contre 300 USD, tandis que les magistrats les moins gradés a vu son salaire passé de 300 USD à 700 USD et les plus gradés de 600 USD à 1 200 USD. En plus, des enseignants ont été mécanisés, faisant passer l’enveloppe salariale mensuelle de 10 millions USD pour 200 mille effectifs en 2006 à 26 millions de dollars pour 400 effectifs en 2011. Le salaire des enseignants est passé de 30 à 70 USD pour les moins gradés et de 70 à 90 USD pour les plus gradés.

Quant aux salaires de soldat et du policier, l’ambition du gouvernement est de donner plus de 100 dollars au dernier soldat et policier en plus de l’amélioration de leurs conditions sociales.

Dans le domaine de l’eau et l’électricité,
le gouvernement a entrepris la construction à Kinshasa de 3 bassins de décantation de 100 000 m3 chacun pour augmenter la desserte en eau dans les communes de Mont-Ngafula ; le forage de 200 puits d’eau avec l’assistance de la coopération belge et indienne, le financement de la réhabilitation des centrales de Ruzizi I, de Inga I et II, et Nsanga dans le Katanga ; la construction des barrages de la Ruzizi II, Zongo II, et le financement des études de faisabilité technique et financière pour la construction de Inga III.
lino
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Message  Mathilde 1/12/2014, 9:44 pm

Muzito : « Joseph Kabila a multiplié la richesse du pays par dix en 15 ans » Adolphe Muzito qualifie de « positif » le bilan de 5 dernières années du gouvernement congolais 676450 Adolphe Muzito qualifie de « positif » le bilan de 5 dernières années du gouvernement congolais 676450 Adolphe Muzito qualifie de « positif » le bilan de 5 dernières années du gouvernement congolais 676450

L’exercice citoyen via des ateliers de réflexions, d’échanges et débats qu’organise depuis le 31 octobre le Parti Lumumbiste unifié (Palu) pour commémorer ses 50 ans d’existence se poursuit sans désemparer. Samedi 29 novembre, le parti cinquantenaire a convié l’élite congolaise ainsi que les forces vives à la réflexion à Béatrice Hôtel où il était question d’évaluer l’économie congolaise, 54 ans après. Fort de son expérience d’homme de terrain, d’ancien inspecteur des Finances, d’ancien ministre du Budget, d’ancien Premier ministre, Adolphe Muzito, faisant le diagnostic de cette économie, indique que sous Joseph Kabila, le PIB (produit intérieur brut) est passé de 4 milliards de dollars à 40 milliards pendant 15 ans. Le Raïs a donc multiplié la richesse du pays par dix, affirme le Premier ministre honoraire Muzito.


http://7sur7.cd/new/muzito-joseph-kabila-a-multiplie-la-richesse-du-pays-par-dix-en-15-ans/
Mathilde
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Message  Mathilde 1/12/2014, 9:46 pm

Muzito : « Joseph Kabila a multiplié la richesse du pays par dix en 15 ans » Adolphe Muzito qualifie de « positif » le bilan de 5 dernières années du gouvernement congolais 676450  Adolphe Muzito qualifie de « positif » le bilan de 5 dernières années du gouvernement congolais 676450  Adolphe Muzito qualifie de « positif » le bilan de 5 dernières années du gouvernement congolais 676450

L’exercice citoyen via des ateliers de réflexions, d’échanges et débats qu’organise depuis le 31 octobre le Parti Lumumbiste unifié (Palu) pour commémorer ses 50 ans d’existence se poursuit sans désemparer. Samedi 29 novembre, le parti cinquantenaire a convié l’élite congolaise ainsi que les forces vives à la réflexion à Béatrice Hôtel où il était question d’évaluer l’économie congolaise, 54 ans après. Fort de son expérience d’homme de terrain, d’ancien inspecteur des Finances, d’ancien ministre du Budget, d’ancien Premier ministre, Adolphe Muzito, faisant le diagnostic de cette économie, indique que sous Joseph Kabila, le PIB (produit intérieur brut) est passé de 4 milliards de dollars à 40 milliards pendant 15 ans. Le Raïs a donc multiplié la richesse du pays par dix, affirme le Premier ministre honoraire Muzito.



http://7sur7.cd/new/muzito-joseph-kabila-a-multiplie-la-richesse-du-pays-par-dix-en-15-ans/
Mathilde
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Message  KOTA 1/12/2014, 11:26 pm

MUZITO ET KABILA ONT MULTIPLIE PAR DIX « LEUR PROPRE RICHESSE », PAS CELLE DES CONGOLAIS: HALTE A LA KLEPTOCRATIE QUI SE MOQUE DE LA PAUVRETE DES CONGOLAIS


par FreeDiomi le 1 décembre 2014

Adolphe Muzito qualifie de « positif » le bilan de 5 dernières années du gouvernement congolais Cresus1
Par une tentative maladroite de trouver, à tout prix, quelques notes positives à la désastreuse gouvernance Kabiliste, l’ancient Premier Ministre Muzito vient de déclarer à la presse que Kabila aurait multiplier par dix la richesse de la RDC…
Celui que les Kinois ont appelé le « Cresus national » pour sa capacité de multiplier ses propres richesses par dix lors de sa défaillante prestation en tant que chef de l’Executif national, avait fait  l’objet d’âpres critiques et dénonciations  au sein de sa « majorité » au point qu’un député de celle-ci avait du s’exiler – le cas du Député Gecoco – à la suite de la dénonciation documentée des innombrables propriétés  immobilières  acquises par Muzito alors qu’ il était chef du gouvernement….
D’ailleurs Muzito  a-t-il une quelconque crédibilité en matière de bonne gouvernance?
DERNIEREMENT,  LA SOCIETE TENKE FUNGURUME A DECLARE OFFICIELLEMENT DANS LE CADRE DE L INITIATIVE ITIE DE TRANSPARENCE DE L EXPLOITATION DES RESSOURCES MINIERES, AVOIR VERSE A L ETAT CONGOLAIS LE MONTANT DE 31 MILLIONS DE DOLLARS ALORS QUE LES TAXES DECLARES DANS LA DERNIERE REDDITION DES COMPTES DE 2014 EN PARALLELE AVEC L APPROBATION DU DERNIER BUDGET, FONT ETAT DE MOINS DE 5 MILLIONS DE DOLLARS POUR TOUT LES SECTEUR MINIER.
Tenke Fungurume Mining : l’argent versé à l’Etat par TFM fait polémique au mininistère des Finances
http://7sur7.cd/new/tenke-fungurume-mining-largent-verse-a-letat-par-tfm-fait-polemique-au-min-des-finances/

LES KLEPTOMANES QUI NOUS GOUVERNENT DOIVENT  ARRETER DE JOUER AVEC LES CHIFFRES ET SE METAMORPHOSER EN PRESTIDIGIATATEURS D’UNE  CROISSANCE TOUJOURS ABSTRAITE, D’ AUTANT PLUS QUE MEME SI L’ EXPLOITATION DES RESSOURCES DE LA RDC A AUGMENTE, ELLE NE PROFITE EN RIEN AU PEUPLE CONGOLAIS, DONT LE REVENU PRO CAPITA EST PARMIS LE PLUS BAS AU MONDE AU MOMENT OU NOUS ECRIVONS CES LIGNES.
http://democratiechretienne.org/2013/10/02/rdc-le-pays-le-plus-pauvre-au-monde-selon-le-revenu-gdp-2013-394-de-moyenne-de-revenu-par-habitant-selon-le-fmi/Adolphe Muzito qualifie de « positif » le bilan de 5 dernières années du gouvernement congolais Top-10-poorest-country-in-the-world-fmi

LIRE: LES PRESTIDIGITATIONS ECONOMIQUES DE MATATA DEMASQUEES
 http://democratiechretienne.org/2014/11/27/les-prestidigitations-economiques-de-matata-demasquees/

DES LORS, SI AUGMENTATION DE L’ EXPORTATION DE MINERAIS NON TRANSFORMES IL Y A EU, LES BENEFICIARES DE CETTE EXPLOITATION ANARCHIQUE ET EXTRAVERTIE DIGNE D’ UNE  ECONOMIE DE COMPTOIR, NE SONT AUTRES QUE   LES MULTINATIONALES ET LES APPARATCHIKS DU REGIME KABILA QUI TRANSFERENT TOUS ALLEGREMENT  – POUR NE PAS DIRE RECYCLENT SANS CONTROLE – LES FRUITS DE LEUR KLEPTOMANIE DANS LE PARADIS FISCAUX, COMME LA SUISSE,  LES ILE VIERGES OU BIEN LES ILES KAYMANNES.
ARRETEZ DE PRENDRE LES CONGOLAIS POUR DES IGNARES.
D’ AUTANT PLUS QUE  SELON LES REVELATIONS DE LA PRESSE INTERNATIONALE, IL SERAIT PLUS OPPORTUN DE DIRE QUE KABILA A MULTIPLIE SA PROPRE RICHESSE PAR DIX – DIXIT LE JOURNALISTE D’  INVESTIGATION DU JOURNAL FORBES,  M. MINITER – AINSI QUE LES EDITORIALISTES DU  JOURNAL ALLEMAND TAZ ET ENCORE PLUS RECEMMENT LA PERSONNALITE ONUSIENNE JEAN  ZIEGLER:

http://democratiechretienne.org/2014/11/18/jean-ziegler-denonce-les-dirigeants-congolais-qui-cachent-leur-argent-du-sang-en-suisse-video-article-de-jean-pierre-mbelu/

LE JOURNALISTE RICHARD MINITER DU JOURNAL FORBES CONFIRME QUE KABILA POSSEDE 15 MILLIARDS EN COMPTES OFF-SHORE/ EXCLUSIVITE CODE 243 http://democratiechretienne.org/2014/08/06/le-journaliste-richard-miniter-du-journal-forbes-confirme-que-kabila-possede-15-milliards-en-comptes-off-shore-exclusivite-code-243/

D’  AILLEURS, MUZITO APPELLE AUSSI LE « CRESUS » CONGOLAIS,  FAIT PARTIE DE CES APPARATCHIKS QUI ON BIEN PROFITE DE LEUR POSITION DE POUVOIR POUR S’ ENRICHIR AU DETRIMENT DU TRESOR PUBLIQUE.
LISEZ:

Adolphe Muzito, le Crésus congolais est un pseudo-nationaliste !

http://archives-lepost.huffingtonpost.fr/article/2011/10/12/2612316_adolphe-muzito-le-cresus-congolais-est-un-pseudo-nationaliste.html


12/10/2011 à 16h48 – mis à jour le 12/10/2011
Adolphe Muzito, le Crésus congolais est un pseudo-nationaliste !
Arrivée au pouvoir sans un clou dans ses poches, Adolphe Muzito, 54 ans, est aujourd’hui le Crésus congolais. Il est le   millionnaires excentrique  du dimanche que regorge aujourd’hui la République démocratique du Congo. Homme sans envergure, politicailleur du ventre depuis qu’il a été nommé le 28 novembre 2008 pour remplacer   son oncle Antoine Gizenga, vieillisant,  fatigué, amorphe et improductif  à la primature, Adolphe Muzito clame son nationalisme, comme pour se donner bonne conscience mais démenti par des actes. Qu’a-t-il fait dans l’améloiration du bien-être des Congolais ? Absolument, rien ! Si ce n’est la course vers l’enrichissement personnel.  Tenez, sa fille aux Etats-Unis fut interpellé par le FBI  pour blanchiment d’argent car elle recevait  plusieurs  virements banquaires de plus de 50 milles dollars par semaine, envoyé par son kléptocrate de père. Adolphe Muzito comme d’ailleurs Modeste Mutinga Mutuishayi un autre apparatchick du Joséphisme, a profité de sa position de Premier ministre pour s’octroyer une chaîne de Télévision RTVS à Kinshasa , sans que cela n’émeuve les Dr Kikwata qui se targuent d’être des intellos.
En moins de trois ans qu’il trône comme Premier ministre, Adolphe Muzito s’est acquis plusieurs immeubles dans la capitale. Pire le mangecrate a même le toupet d’avoir sa propre entreprise d’aviation. Au delà de plusieurs immeubles qu’il a spoliés, Adolphe Muzito ne s’est pas empêché dès  sa nomination à la primature, d’engager  plus de 250 conseillers dont les 200 de sa province d’origine le Bandundu.
Faut-il parler des ébénistes turques qu’il a fait venir à Kinshasa pour fabriquer des portes dont une seule était évaluée à 2500$ alors  la majorité de centres de santé de la capitale manquent de médicaments ?
Son action à la primature  a souvent été vivement critiquée, un club diplomatique lui a décerné en avril dernier le prix de l’homme politique de l’année, on connait tous comment  ses prix sont attribués et quel prix ?
 L’ interview d’Adolphe Muzito à l’hebdo Jeune Afrique du 29 septembre 2011 , au titre déprimant  que nous vous proposons, laisse pantois.
Adolphe Muzito qualifie de « positif » le bilan de 5 dernières années du gouvernement congolais Muzito2
 

Adolphe Muzito: Non, la RDC n’est pas riche….

 
La présidentielle du 28 novembre ne comportera qu’un seul tour, contre deux lors de la dernière élection. Comprenez-vous que l’opposition ait émis des doutes quant à la transparence du scrutin ?
 
Adolphe Muzito : Je ne vois pas en quoi la révision de la Constitution [adoptée mi-janvier, NDLR] prédispose à plus de contestations qu’en 2006. Il y avait eu des contestations cette année-là, dans un scrutin à deux tours. Quant au candidat qui sera élu, ce sera celui qui aura fédéré autour de lui les forces les plus représentatives de l’échiquier politique et de la nation, contrairement à ce que nous avons connu en 2006.
C’est-à-dire ?
 
En 2006, une fracture géo-ethnique s’est manifestée au premier tour. Il y avait l’Est d’un côté et l’Ouest de l’autre. C’était un clivage caricatural. Le président de la République a été élu dans le Nord, l’Est et le Sud. Il a fallu attendre le second tour pour qu’il le soit dans tout le pays. Une élection à un seul tour obligera les leaders à faire des alliances plus représentatives de la nation. Le clivage sera idéologique.
Les violences qui ont opposé, début septembre, des partisans de l’opposant Étienne Tshisekedi à des sympathisants du parti du président Kabila vous inquiètent-elles ?
 
Ce n’est pas la première fois, et cela va se régler. Un clivage entre deux groupes partisans ne peut pas compromettre la volonté du peuple.
 
La Commission électorale nationale indépendante (Ceni) et son président, dont l’impartialité est mise en cause par l’opposition, peuvent-ils garantir une élection libre et transparente ?
 
Nous avons donné à la Ceni tous les moyens matériels et logistiques. Nous sommes soutenus par la communauté internationale, qui, jusqu’à preuve du contraire, continue de faire confiance à son président. Si l’opposition a quelque chose à dire, il y a une procédure à suivre.
À Kinshasa, certains disent qu’il y a deux gouvernements : le vôtre et, à côté, un gouvernement parallèle, composé de quelques personnes autour du chef de l’État, et qui décide de tout. Est-ce le cas ?
Non. Il n’y a qu’un seul gouvernement : celui que je dirige. Il existe des domaines, comme la défense, la sécurité, la diplomatie, qui relèvent du chef de l’État et nous nous concertons. Quant au reste, c’est le Premier ministre qui est responsable politiquement.
Avoir deux têtes de l’exécutif facilite-t-il les choses ?
 
Dans le système actuel, la vision et les décisions du président de la République sont contrebalancées par le Parlement. Il n’a pas la gestion directe des affaires gouvernementales. Sa marge de manœuvre est donc réduite, d’autant que nous avons une majorité très hétéroclite. Moi, je suis pour un régime présidentiel. Un pays qui doit se construire a besoin d’un leadership, pas autocratique mais en tout cas décisif.
Il y a un an, la RDC atteignait le point d’achèvement de l’Initiative PPTE. Pourtant, le quotidien des Congolais est toujours très difficile…
 
L’atteinte du point d’achèvement ne signifie pas la fin des problèmes sociaux, mais consacre l’annulation de la dette et du paiement des intérêts de cette dette, qui s’élevait à 14 milliards de dollars. Concrètement, nous économisons aujourd’hui 500 millions de dollars par an. Mais que représente cette somme à l’échelle d’un pays comme le nôtre ? Une goutte d’eau ! Cela ne signifie pas que l’État congolais aura des recettes en plus !
Cela ne changera donc rien ?
 
Le problème, c’est que nous n’avons pas assez d’argent pour financer les infrastructures de base, qui sont le préalable à l’investissement privé. C’est un cercle vicieux. Le fait, par exemple, qu’il n’y ait pas d’électricité, ni de routes, ni de banques dans nos provinces n’attire pas les investisseurs. Il y a bien des guichets, notamment dans le Bas-Congo et le Kasaï, mais les autres provinces n’intéressent pas les banquiers à cause du faible niveau de l’activité économique… Dans ces conditions, comment produire ou créer des emplois ?
Les Congolais sont pourtant persuadés que leur pays est très riche et que cela profite uniquement à la classe dirigeante…
 
Ce concept de richesse me déçoit. Les gens vivent dans une illusion collective, et c’est dramatique que cette réflexion soit partagée par les élites de mon pays. C’est vrai : nous avons beaucoup d’or, de diamants, de cuivre, de cobalt, etc. Mais c’est une richesse que nous n’avons jamais réussi à mettre en valeur. Le président a commencé à le faire, mais à peine a-t-il commencé que l’on veut des résultats !
Le gouvernement est donc sur la bonne voie ?
 
Il faudra du temps pour que cette première génération de Congolais qui se met à investir, avec le soutien de la communauté financière internationale, réussisse. Quand Joseph Kabila est arrivé au pouvoir, il y avait sept banques au Congo, toutes en faillite. Aujourd’hui, il y en a vingt-deux. Nous n’avons pas non plus d’épargne : à peine 2 milliards de dollars… C’est très insuffisant pour espérer développer un pays.
Le produit intérieur brut (PIB) de la RDC est lui aussi très faible…
 
Il avoisine 13 milliards de dollars par an, à peu près comme au Congo-Brazzaville. Sauf que, là-bas, ils sont 3 millions, alors que nous sommes 60 millions ! Cela leur fait un revenu moyen annuel de 4 000 dollars par habitant, quand le nôtre plafonne à 200 dollars ! Lorsque Joseph Kabila est arrivé, on en était à 90 dollars. Sur le papier, c’est un taux de croissance de 100 %, mais, dans les faits, c’est toujours peu.
L’optimisme est-il permis ?
 
Oui. Quand on se souvient des horreurs, des douleurs vécues par ce peuple… Quand on se souvient qu’il y a quatre ans c’était encore la guerre, que le pays n’avait pas de réserves de change, qu’on ne payait pas les salaires, que, dans les forums internationaux, le Congo était privé de parole à cause d’arriérés de cotisations, qu’il y a deux ans il fallait équiper une armée composite… On a hérité d’une Banque centrale en faillite, de finances exsangues… En se souvenant de tout cela, on dit : « Bravo, ce peuple est fort, courageux ! Il va relever les défis. »
Les Congolais attendent toutefois que les hommes politiques fassent plus pour améliorer leurs conditions de vie…
 
Je comprends ce peuple, mais il croit que les solutions peuvent venir comme ça. Les intellectuels pensent la même chose, parce qu’ils ont été abrutis par l’ancien régime. Nous n’avons pas appris à débattre, à savoir ce qu’est le budget de l’État, sa relation avec le niveau de vie des gens et l’activité économique. Les gens pensent qu’on peut avoir des provinces comme le Kasaï ou le Bandundu, sans ressources, sans banques, et être riche en même temps !
La classe politique d’aujourd’hui est-elle différente de celle qui existait sous Mobutu en termes de souci du bien public ?
 
C’est la même classe politique, la même élite. La différence, c’est qu’aujourd’hui le peuple peut sanctionner l’homme politique dans les urnes.
 
Certaines pratiques – corruption, passe-droits… – sont également les mêmes…
 
Le contexte matériel ne prédispose pas à un comportement plus moral. Le pays s’est paupérisé à un point tel que les gens ont développé certains comportements pour survivre. Toute la société est gangrenée. C’est dans la durée, grâce à la démocratie et à la mise en place de garde-fous, que cela peut changer. Et vu les résultats de la gouvernance sur les finances publiques, des résultats salués par nos partenaires, les perspectives sont bonnes.
Comment expliquez-vous que quelques personnalités construisent autant, à Kinshasa notamment, si le pays est si pauvre ?
 
Le pays tout entier se construit, et l’enrichissement que cela démontre n’est pas réparti de manière équitable, mais le développement de l’économie commence toujours par des îlots. Par ailleurs, on ne peut pas dire que ces bâtiments soient la seule propriété des ministres. Des dirigeants construisent grâce à des partenariats avec des promoteurs immobiliers.

On dit que, vous-même, vous vous êtes beaucoup enrichi grâce à votre position…

 
Ce sont encore des rumeurs. Je peux simplement vous dire que je ne peux pas devenir plus pauvre que je ne l’étais avant d’entrer en politique. J’avais déjà des biens immobiliers.
N’est-il pas facile de tout mettre sur le dos de l’ère Mobutu ?
 
Le régime actuel est en place depuis une décennie. Ne pouvait-il pas changer les choses ? Le pouvoir actuel n’est là que depuis quatre ans. Lorsque Joseph Kabila est arrivé, en 2001, à la mort de son père, la guerre n’était pas finie. Pendant la transition, il a été obligé de diriger avec les rebelles. Que peut-on attendre d’un tel pouvoir ? On ne peut pas évaluer l’action de Kabila pendant ces années où il n’avait pas l’exclusivité du pouvoir. C’est maintenant que le pays est en train de se construire.
La décentralisation est un échec. Comment l’expliquez-vous ?
 
Comment décentraliser un vide ? Quel est le budget de nos provinces, de nos villes, de nos territoires ?
Pourquoi alors vous être lancés dans cette aventure ?
 
C’est là toute la difficulté ! La Constitution stipule que les provinces doivent garder 40 % des recettes et rétrocéder les 60 % restants à l’État. Mais les provinces n’ont pas de recettes propres : elles n’ont rien à retenir ni à rétrocéder ! Actuellement, l’État ne fait rentrer de l’argent que grâce à trois provinces : le Katanga, Kinshasa et le Bas-Congo, et un peu dans le Nord-Kivu et le Sud-Kivu. Et même l’apport des provinces les plus riches au budget de l’État est quasi nul. Si vous comparez le budget de Kinshasa à celui de Luanda ou à celui de Brazzaville, c’est le jour et la nuit !
Cette décentralisation est-elle une aberration ?
 
La décentralisation est une revanche sur la dictature, mais elle a été mal conçue. On pouvait bien garder le pays dans sa configuration ancienne, tout en donnant des compétences aux provinces sans trop élargir la structure administrative, qui, aujourd’hui, est très coûteuse.
Votre formation, le Parti lumumbiste unifié (Palu), s’est alliée au Parti du peuple pour le renouveau et la démocratie (PPRD) du chef de l’État. Tout se passe bien entre vous ?
 
Oui. Nous avons connu des couacs, c’est vrai, mais les institutions sont restées stables, ce qui n’est pas rien pour un gouvernement de coalition dans un régime semi-parlementaire.
Certains de vos camarades voudraient vous voir quitter la majorité…
 
On ne va pas quitter la majorité au moment où nous nous préparons à aller aux élections. Il faut chercher plutôt à constituer une autre majorité avant, pendant et après les élections. Là-dessus, la position du patriarche [Antoine Gizenga] est claire : la majorité ne doit pas présenter plusieurs candidats à la présidentielle.
Et rejoindre l’opposition ?
 
Je ne peux pas m’allier à des gens dont je ne partage pas la vision.
Quels rapports entretenez-vous avec Kabila ?
 
Ils sont très bons. C’est un camarade de gauche. Nous sommes des descendants de gens qui ont fait de la résistance. C’est aussi le chef des institutions. Je crois avoir bénéficié de son expérience, parce qu’il est à la tête du pays depuis dix ans.
Les législatives seront organisées le même jour que la présidentielle. Qu’en attend le Palu ?
 
Ce que nous souhaitons, c’est avoir au moins 200 députés. Il ne faut pas que le peuple disperse son pouvoir en le donnant à une nébuleuse. Il faut qu’il le donne à trois ou quatre formations politiques. Certaines seront dans l’opposition, d’autres dans la majorité. Mais si le pouvoir est dispersé, la gestion sera compliquée.
*******************************************

APRES L’ AFFAIRE DE LA FEMME DU PREMIER MINISTRE CONGOLAIS CONTROLEE A ZAVENTEN AVEC DES MALETTES DE PLUSIEURS CENTAINES DE MILLIERS DE DOLLARS NON DECLARES , VOICI LA CONFIRMATION AU PARLEMENT D’UN CAS TYPIQUE DE MANIFESTE CORRUCTION
Adolphe Muzito qualifie de « positif » le bilan de 5 dernières années du gouvernement congolais CRESUS1
CONCLUSION DE LA QUESTION ORALE AVEC DEBAT ADRESSEE A SON EXCELLENCE MONSIEUR LE PREMIER MINISTRE PAR L’HONORABLE JEAN LUCIEN BUSSA TONGBA 28/04/2010

EXTRAITS:
6. Questions relatives à la mauvaise gouvernance, à la corruption et à l’enrichissement illicite
- Je tiens le Premier Ministre pour personnellement responsable de l’institutionnalisation de la corruption comme mode de gestion et d’instrumentalisation politique des acteurs. Regardez-moi dans les yeux !
Honorables Députés, dans le cadre du contrôle parlementaire, la Commission Economique Financière de l’Assemblée nationale avait jugé nécessaire d’entendre le 1er Ministre, agissant comme Ministre du Budget d’alors, sur trois dossiers importants qui sentent l’odeur de corruption.
Il s’agit du paiement de 5.856.200 $ Us à la société SODIPRO pour une commande des filets de pêche, des fertilisants et des produits agro-alimentaires; de la lettre de garantie de paiement en faveur de la Banque congolaise relative au marché public en préfinancement conclu entre le Gouvernement congolais et les entreprises du Groupe MIKE « EGM Construct» en date du 02 juin 2007 pour un montant de 10.000.000. $ Us et de l’ordre permanent et établissement des billets à ordre concernant le paiement de la créance de la Banque congolaise sur l’Etat congolais chiffrée à la somme de 68.618.973 $ Us.
A ce sujet, Monsieur le Ministre du Budget de l’époque et actuel Premier Ministre n’a jamais daigné répondre à la lettre de l’Honorable Président de l’Assemblée nationale lui adressée en date du 09 décembre 2009 et l’invitant à se présenter devant la Commission Economique et Financière de l’Assemblée nationale en date du 11 décembre 2009 pour être entendu sur ces 3 dossiers, faisant ainsi obstruction au contrôle parlementaire.
- le manque de volonté politique pour lutter contre la corruption et l’enrichissement illicite.
- Il est paradoxal de constater qu’au moment où le peuple croupit dans la misère, certains membres du Gouvernement de la République rivalisent de zèle pour s’enrichir sans cause. On nous parle de l’affairisme de certains membres du Gouvernement, et des sources
bien informées attribuent au Premier Ministre les acquisitions suivantes :
 le Cercle ELAÏS à plusieurs millions de dollars américains ;
 la construction en puissance de 40 villas à KINKOLE ;
 la création d’une société aérienne (BAN AIR) dotées de deux avions;
 la construction d’une Salle de fêtes moderne au quartier LIVULU dans la commune de LEMBA ;
 la construction par des ouvriers allemands d’un immeuble de plus de 10 étages au quartier SOCIMAT dans la commune de la Gombe,
 la construction d’un immeuble de 4 étages sur la 3ème Rue LIMETE, Quartier Industriel ;
 la Résidence GAIGA sur le Boulevard du 30 Juin ;
 Un gros bateau géré par la société SAFRICAS , et j’en passe.
Ceci me parait scandaleux ! C’est pourquoi, il serait bon que les dispositions de l’article 99 de la Constitution soient appliquées avec rigueur par la Cour Suprême de Justice.


INTERPELLATION DU DEPUTE GECOCO DU PREMIER MINISTRE MUZITO: LE JOUR DE L’ INTERPELLATION,  L’  ASSEMBLEE NATIONALE FUT ENVAHIE PAR DES KULUNA  ENVOYES POUR EMPECHER LA TENUE DE LA PLENIERE.

 
DEVOIR DE MEMOIRE…
Marc Mawete
© democratiechretienne.org

http://democratiechretienne.org/2014/08/06/le-journaliste-richard-miniter-du-journal-forbes-confirme-que-kabila-possede-15-milliards-en-comptes-off-shore-exclusivite-code-243/
KOTA
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Message  GHOST 2/12/2014, 1:20 am

Laughing Laughing Mr KOTA

Si Kanambe a multiplié les pains..hem la richesse du Congo par 10...Pourquoi le budget ne depasse même pas 10 milliards de dollars?

[color=#0066ff]Si Muzito est si satisfait de Kanambe, pourquoi il n´ya pas de route entre Kikwit et Gungu? Pourquoi il n´y a pas d´eau courante á Gungu ou Kikwit:x [/color]

Quel est ce "bilan" multiplié par 10 dont parle Muzito Laughing Laughing Shocked Il a été un PM très incompetant, l´un des pires depuis l´independance du Congo tongue tongue
GHOST
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Message  KOTA 3/12/2014, 2:09 pm

RDC : une société malade de ses politiciens et de son élite / JEUNE AFRIQUE
par FreeDiomi le 3 décembre 2014
Adolphe Muzito qualifie de « positif » le bilan de 5 dernières années du gouvernement congolais 00290347_8e66ff04c8c7152856cbe75db867593e_arc614x376_w210_us1
 
RDC : une société malade de ses politiciens et de son élite


02/12/2014 à 08:26 Par Freddy Matungulu Mbuyamu Ilankir



Freddy Matungulu Mbuyamu Ilankir a été ministre de l’Économie, des Finances, et du Budget de la République démocratique du Congo (avril 2001-février 2003).
J’accuse et je crie ma révolte, au nom de tous les congolais de la majorité silencieuse; de ces compatriotes méritants, indignés et déçus, qui ne comprennent plus ce qui se passe chez nous en République démocratique du Congo et sont à la recherche légitime de nouvelles façons d’être, d’agir, et d’exister. Tous ces nombreux congolais du nord au sud, de l’est à l’ouest, ceux de l’intérieur et ceux de l’extérieur, qui pensent que la dignité, l’excellence et la démocratie peuvent aussi être congolais. Ma révolte entend honorer la mémoire de toutes les victimes de la tragédie congolaise, de même que la bravoure de ces compatriotes de grande référence, d’hier et d’aujourd’hui, qui ont excellé dans leurs domaines professionnels ou ont dit non à la compromission pour que vive la nation congolaise de Kasumbalesa à Gbadolite, et de Boma à Aru, en passant par Kinshasa et Goma.
La société congolaise est malade ; malade de ses politiciens, malade de son élite, malade de ses antivaleurs. Le Congo plus beau qu’avant dont nous rêvons devient chaque jour plus lointain qu’avant. Je dénonce notre société si avariée qui ne crée finalement plus que de la corruption, de la méfiance, de l’hostilité mutuelle et de la misère. Je dénonce la destruction de notre nation par ceux qui transforment l’homme congolais en être passif, malléable et corvéable à souhait, privé du sentiment d’avoir de la valeur.

Après chaque victoire décisive sur l’ennemi, les plus vaillants de nos officiers militaires, nos héros, sont systématiquement et impunément éliminés, fauchés comme de l’herbe inutile. Au nom de tous les sans voix, je dénonce ces forfaitures !

Je dénonce ce débat faux et anachronique sur la révision et le référendum constitutionnels
Je dénonce cette ‘’élite’’ intellectuelle et politique qui affectionne les titres d’Honorable et d’Excellence, mais qui chaque jour se déshonore en excellant dans toutes les vilénies, absolument toutes, pour parvenir au sommet d’une hiérarchie sociale devenue nauséabonde ou s’y maintenir à tout prix, en entretenant la détresse et la déshumanisation de notre société désemparée.

Je dénonce ces dirigeants politiques qui, après avoir exclu le peuple du processus de désignation de ses représentants, mettent toute leur énergie à vanter une croissance économique sans pain pour l’homme de la rue, dont ils sont en réalité les seuls vrais bénéficiaires visibles.

Je dénonce ce débat faux et anachronique sur la révision et le référendum constitutionnels ; référendum que leurs Excellences n’auraient jamais osé envisager si le principe d’un scrutin transparent et équitable était acquis.
J’appelle la majorité silencieuse de notre peuple et l’ensemble de la communauté internationale au nécessaire sursaut en faveur de la République. À la jeunesse congolaise, à juste titre si frustrée, je rappelle que, comme l’a démontré celle du Burkina Faso, chaque génération a le choix entre trahir et accomplir sa mission, et que si celui qui lutte peut perdre, celui qui ne lutte pas a déjà tout perdu !
En tant que peuple, nous, congolais, avons la responsabilité collective de forger le chemin qui nous mènera à ce Congo plus beau qu’avant,  pourvoyeur d’harmonie et de prospérité pour la majorité désireuse de travailler dans le respect des lois de la République. Ce chemin ne nous sera pas donné. Notre devoir sacré est de le tailler, au besoin dans la pierre, en  levant nos fronts longtemps courbés !

http://democratiechretienne.org/2014/12/03/rdc-une-societe-malade-de-ses-politiciens-et-de-son-elite-jeune-afrique/
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Message  Jim KK 3/12/2014, 8:47 pm

Je n´aime pas des statistiques. Il y a souvent de très grandes différences entre ces trucs si on les compare. On ne sait pas toujours quelle motivation ont les gens qui les publient. Voici ci-dessous les 25 pays le plus pauvres du monde.  La publication est de mars 2014.

http://www.cridem.org/C_Info.php?article=654404
https://www.cia.gov/library/publications/the-world-factbook/

La RDC n´est pas parmi les 25 pays les plus pauvres !!!

Il y a beaucoup à faire en RDC et c´est logique, surtout avec le désordre actuel au Congo. Mais que mon pays soit le premier des pays les plus pauvres de la planète c´est archifaux.
Les habitants de l´Afghanistan, Haïti, bande de Gaza, Sud Soudan, Syrie, Kosovo et Burkina Faso vivent mieux que les congolais ???

AH zambe!!! Shocked  Shocked  Sad

25. Mali

Indice de pauvreté: 36,5
IPC: 6,5%
Taux de chômage: 30%

L’un des pays les plus pauvres du monde, le Mali dépend des mines d’or et les exportations agricoles, ce qui explique pourquoi l’état budgétaire du pays dépend du prix de l’or et de l’agriculture. Environ 10% de la population est nomade et environ 80 pour cent de la population active travaille dans l’agriculture et la pêche.

24. Mauritanie

Indice de pauvreté: 37
IPC: 7%
Taux de chômage: 30%

La moitié de la population est encore dépendante de l’agriculture et de l’élevage comme gagne pain, et la pauvreté est endémique. L’économie locale dépend fortement des exportations de matières premières, principalement de minerai de fer. Ces exportations sont à peu près la seule raison pour laquelle l’économie a progressé de 5 pour cent l’année dernière.

23. Iran

Indice de pauvreté: 39,1
IPC: 23,6%
Taux de chômage: 15,5%

Le contrôle des prix, les subventions et les lois strictes qui régissent et empêche la croissance du secteur privé, se révèlent être un véritable frein à l’économie, comme c’est la monnaie nationale qui se déprécie rapidement. C’est pourquoi la corruption est endémique, et les activités commerciales illégales sont abondantes. L’économie est aussi fortement dépendante du pétrole, et a souffert des sanctions internationales. Le taux de chômage se maintient à des niveaux record.

22. Maldives

Indice de pauvreté: 40,8
IPC: 12,8%
Taux de chômage: 28%

C’est un bel endroit pour des vacances et c’est une bonne chose-tourisme qui représente 30% du PIB des Maldives et plus de 60 pour cent des recettes. Mais les arrivées de touristes en baisse et les dépenses du gouvernement lourds ont pris un péage sur l’économie locale, provoquant une forte inflation et un taux de chômage qui est presque doublé depuis 2010.

21. La bande de Gaza

Indice de pauvreté: 43,5
IPC: 3,5%
Taux de chômage: 40%

Depuis que le Hamas a pris le contrôle du territoire en Juin 2007, la fermeture des frontières imposées par Israël ont conduit à une détérioration de l’économie déjà faible, en plus du chômage, le taux de pauvreté est élevé et une forte détérioration du secteur privé qui reposait principalement sur ​​les exportations.

20. Bosnie-Herzégovine

Indice de pauvreté : 45,5
IPC: 2,2%
Taux de chômage: 43,3%

La guerre interethnique entre 1992 et 1995 a causé la montée en flèche du chômage et la chute de la production nationale de 80 pour cent, et le pays ne s’est pas tout à fait rétabli depuis. La monnaie locale est rattachée à l’euro, qui maintient l’inflation sous contrôle. En 2011, une impasse parlementaire a quitté la Bosnie sans un gouvernement depuis plus d’un an, ce qui a causé le FMI à arrêter le versement de l’aide.

19. Yémen

Indice de pauvreté : 46,4
IPC: 11,4%
Taux de chômage: 35%

Fortement dépendante des ressources pétrolières en baisse dont 25 pour cent du PIB du pays provient du pétrole. Le PIB Yéménite a chuté de plus de 10 pour cent en 2011, mais cette baisse a ralenti à 1,9 pour cent en 2012. Le gouvernement essaie de diversifier l’économie, mais doit faire face à la baisse des ressources en eau, le chômage élevé et un taux élevé de croissance démographique.

18. Haïti

Indice de pauvreté: 46,5
IPC: 5,9%
Taux de chômage: 40,6%

Même avant le tremblement de terre en 2010, 80 pour cent de la population haïtienne vit sous le seuil de pauvreté, et 54 pour cent dans une pauvreté abjecte, et grande partie de la population a un accès limité à l’éducation. Le pays se remet encore du désastre du tremblement de terre, et doit faire face à une corruption endémique.

17. Swaziland

Indice de pauvreté: 48,4
IPC: 8,4%
Taux de chômage: 40%

Le Swaziland est fortement tributaire de l’Afrique du Sud, 60 pour cent de ses exportations et 90 pour cent de ses importations en proviennent. La crise économique mondiale a frappé les exportations du Swaziland durement, et la diminution des recettes a poussé le pays dans la crise financière. La monnaie locale est rattachée au rand sud-africain, si l’inflation n’est pas trop mal, le pays souffre d’un chômage élevé.

16. Afghanistan

Indice de pauvreté: 48,8
IPC: 13,8%
Taux de chômage: 35%

Afghanistan se remet toujours d’une décennie de conflits et doit encore faire face à des niveaux élevés de corruption, la faiblesse du gouvernement, et la médiocrité des infrastructures publiques. L’aide étrangère, l’agriculture et l’industrie des services de plus en plus du secteur aident le pays à se relever, mais il souffre toujours d’une forte inflation et le chômage.

15. îles Marshall

Indice de pauvreté: 48,9
IPC: 12,9%
Taux de chômage: 36%

Une bonne chose que l’économie locale a en sa faveur c’est l’assistance du gouvernement américain. Le tourisme est sa meilleure chance pour la croissance économique, mais emploie actuellement seulement 10 pour cent de la population active. La réduction des effectifs, la sécheresse, la baisse dans la construction, le déclin du tourisme, faibles revenus, et le non renouvellement des licences de pêche ont été un frein à l’économie.

14. Sénégal

Indice de pauvreté: 49,5
IPC: 1,5%
Taux de chômage: 48%

Bien qu’il ait reçu beaucoup d’aide étrangère, le Sénégal souffre d’approvisionnement énergétique qui est fiable actuellement, ce qui a conduit à des protestations publiques et est en partie la cause du chômage élevé.

13. Kenya

Indice de pauvreté: 50,1
IPC: 10,1%
Taux de chômage: 40%

La corruption et la dépendance sur quelques produits primaires spécifiques dont les prix sont restés bas ont freiné l’économie du Kenya. Le taux de chômage a toujours été très élevé. Cependant, le pétrole a été découvert au Kenya en Mars 2012, ce qui pourrait aider à relancer son économie chancelante.

12. Lesotho

Indice de pauvreté: 51,1
IPC: 6,1%
Taux de chômage: 45%

Le Lesotho est le troisième plus haut coefficient de GINI dans le monde, ce qui signifie que l’inégalité des revenus est particulièrement élevée ici. La croissance devrait augmenter en raison de grands projets d’infrastructure, mais le secteur manufacturier très faible et ainsi que l’agriculture sont un frein à l’économie. Chômage endémique est aussi un gros problème.

11. Soudan

Indice de pauvreté: 51,5
IPC: 31,5%
Taux de chômage: 20%

Il y a eu la sécession du Sud-Soudan en Juillet 2011, c’est la région du pays qui avait été responsable de près des trois quarts de la production de pétrole l’ex-Soudan, ce qui a été un coup dur pour l’économie du Soudan. Le pays est en train d’essayer de trouver de nouvelles façons de générer des revenus, sans grand succès. Soudan introduit une nouvelle monnaie, « la livre soudanaise », mais la valeur de la monnaie diminue depuis son introduction. Hausse de l’inflation, qui a atteint 47 pour cent en Novembre, est un énorme problème.

10. Syrie

Indice de pauvreté: 51,7
IPC: 33,7%
Taux de chômage: 18%

Économie de la Syrie est encore en train craquée par le conflit qui a commencé en 2011. En 2012, le PIB syrien diminue en raison des sanctions internationales et de réduction de la consommation et la production nationale. En plus d’un taux de chômage en hausse, il a augmenté de plus de trois points de pourcentage en 2012, le pays connaît également une forte inflation due à la livre syrienne qui continue de baisser.

9. Kosovo

Indice de pauvreté: 53,6
IPC: 8,3%
Taux de chômage: 45,3%

Le pays le plus pauvre d’Europe, le revenu annuel moyen par habitant est de $ 7,400. Les envois de fonds en provenance d’autres pays européens, principalement la Suisse, l’Allemagne et les pays nordiques compte pour 18 pour cent du PIB. Bien que l’économie du Kosovo a procédé geste significatif dans la transition vers un système fondé sur le marché l’année dernière, le chômage reste un problème endémique.

8. Népal

Indice de pauvreté: 54,3
IPC: 8,3%
Taux de chômage: 46%

Un des pays les moins avancés dans le monde, soit environ un quart de la population du Népal vit en dessous du seuil de pauvreté. L’agriculture est le moteur de l’économie népalaise, ce qui représente plus d’un tiers de son PIB. La guerre civile, un conflit de travail, son enclavement géographique et la susceptibilité aux catastrophes naturelles aggravent son économie déjà fragile.

7. Namibie

Indice de pauvreté: 57
IPC: 5,8%
Taux de chômage: 51,2%

Fortement tributaire des ressources minérales, la Namibie exporte beaucoup de diamants, de l’uranium et de l’or. Toutefois, le secteur minier emploie seulement 3 pour cent de la population active du pays. Comme il n’y a pas grand-chose d’autre à faire, près de la moitié des travailleurs de la Namibie sont sans emploi. L’inégalité des revenus est absurde ici, même si le pays affiche un PIB par habitant élevé, la Namibie a les plus hauts coefficients de GINI: 70,7%.

6. Djibouti

Indice de pauvreté: 63,3
IPC: 4,3%
Taux de chômage: 59%

De maigres ressources naturelles et peu d’industries, le chômage à Djibouti est ridiculement élevé. La seule raison pour laquelle l’inflation est faible parce que le franc djiboutien est lié au dollar. En conséquence, le franc djiboutien est artificiellement élevé, ce qui rend encore plus difficile pour le pays de payer ses dettes.

5. Turkménistan

Indice de pauvreté: 70,5
IPC: 10,5%
Taux de chômage: 60%

L’agriculture ne représente que 8 pour cent du chiffre d’affaire du Turkménistan, mais emploie la moitié de la main-d’œuvre. Le pays souffre d’une corruption rampante et la mauvaise gestion de son gouvernement autoritaire. Et il ne va pas mieux. Selon le World Factbook de la CIA, « Les perspectives générales dans un proche avenir sont décourageantes à cause de la corruption endémique, un système éducatif médiocre, mauvaise utilisation des revenus pétroliers du gouvernement et du gaz, et de la réticence Ashgabat à adopter les réformes de marché. »

4. Belarus

Indice de pauvreté: 71
IPC: 70%
Taux de chômage: 1%

En 2011, une crise financière a commencé en Biélorussie, déclenchée par les hausses salariales du gouvernement non étayées pour des tendances de productivité. Bien qu’il ait reçu des milliards de dollars de la « Russian-dominated Eurasian Economic Community Bail-out Fund », la banque russe Sberbank appartenant à l’Etat, et la vente des Beltranzgas d’État russe Gazprom pour 2,5 milliards de dollars, pour tenter d’aider à stabiliser l’économie du Bélarus, mais le rouble (monnaie nationale) a perdu 60 pour cent de sa valeur en 2012 et est toujours en baisse. Mais au moins, presque tout le biélorusse à la recherche d’un emploi trouve du travail car 50 pour cent de la population active employée par le gouvernement, le pays possède un des taux de chômage les plus bas au monde.

3. Burkina Faso

Indice de pauvreté: 81,5
IPC: 4,5%
Taux de chômage: 77%

Le Burkina Faso a une population nombreuse et très peu de ressources naturelles. L’économie du pays dépend de l’agriculture, du coton et de l’or. Le pays est encore sous le choc des effets après d’une grave sécheresse en 2011 qui a décimé les pâturages et les récoltes, et le pays souffre d’un chômage endémique.

2. Libéria

Indice de pauvreté: 90,5
IPC: 5,5%
Taux de chômage: 85%

Un pays à faible revenu fortement tributaire de l’aide étrangère, l’économie du Libéria a été détruite par la guerre civile et la mauvaise gestion du gouvernement. En 2010, le Libéria était si pauvre que ses 5 milliards de dollars de la dette internationale ont été définitivement éliminés. L’économie locale a connu une croissance à un rythme soutenu dans le passé, et ce principalement en raison de riches ressources naturelles et les prix élevés des matières premières. Ce qui explique pourquoi 85 pour cent de la population active du pays ne peut pas trouver un emploi stable.

1. Zimbabwe

Indice de pauvreté: 103,3
IPC: 8,3%
Taux de chômage: 95%

Plusieurs organisations des droits humains ont dénoncé le gouvernement du Zimbabwe de violer les droits fondamentaux tels que la liberté de réunion et la protection de la loi. La violence et l’intimidation sont monnaie courante dans les tactiques politiques, et les dirigeants politiques ont pour la plupart échoué à se mettre d’accord sur toutes les questions clés en suspens au cours des dernières années. La croissance économique du Zimbabwe est au ralenti, en partie à cause des mauvaises récoltes et des revenus faibles du diamant.

Jim KK


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Message  KOTA 3/12/2014, 9:09 pm

La RDC est le pays à plus forte densité de pauvreté au monde selon la BM: 88 % de la population se situent en deçà du seuil de pauvreté /BANQUE MONDIALE


par FreeDiomi le 15 avril 2014

Adolphe Muzito qualifie de « positif » le bilan de 5 dernières années du gouvernement congolais 150414

Adolphe Muzito qualifie de « positif » le bilan de 5 dernières années du gouvernement congolais WB-LOGO-FR

Selon la Banque mondiale, la croissance seule ne suffira pas à mettre fin à la pauvreté

10 avril 2014



WASHINGTON, 10 avril 2014 – Selon un nouveau document de la Banque mondiale présenté aujourd’hui, la croissance reste une condition nécessaire mais non suffisante de la réduction de la pauvreté. Chaque pays doit accompagner ses efforts de développement par des politiques allouant davantage de ressources aux plus démunis, par le biais du processus même de croissance, à travers la promotion d’une croissance faisant moins d’exclus, ou via des programmes publics tels que les transferts monétaires directs et assortis de conditions.
L’étude souligne par ailleurs qu’on ne peut pas se contenter d’aider les individus à sortir de l’extrême pauvreté : il faut aussi s’assurer, qu’à terme, ces personnes ne restent pas bloquées juste au-dessus du seuil de pauvreté faute d’opportunités leur permettant d’améliorer leurs revenus.
« La croissance économique a joué un rôle de premier plan pour réduire l’extrême pauvreté et améliorer le quotidien de nombreux pauvres, estime le président du Groupe de la Banque mondiale, Jim Yong Kim. Mais même si tous les pays conservaient le rythme de progression de ces 20 dernières années et si la répartition des revenus restait identique, la pauvreté dans le monde ne reculerait que de 10 points de pourcentage d’ici 2030, sachant qu’elle s’établissait à 17,7 % en 2010. Un tel résultat est tout simplement insuffisant. Si nous voulons mettre fin à l’extrême pauvreté, nous devons tout mettre en œuvre pour rendre la croissance plus inclusive et améliorer le ciblage des programmes d’aide sur les pauvres. »
« Mettre fin à l’extrême pauvreté d’ici 2030, ajoute Jim Yong Kim, c’est faire reculer de 50 millions chaque année le nombre de personnes vivant avec moins de 1,25 dollar par jour — les plus pauvres des pauvres. Autrement dit, faire en sorte qu’un million d’individus s’extirpent chaque semaine de la pauvreté au cours des 16 années qui viennent. Je mesure l’extraordinaire difficulté de cet objectif, mais je suis convaincu que nous pouvons y arriver. Nous pouvons devenir la génération qui aura vaincu l’extrême pauvreté. »
La croissance seule ne parviendra pas à mettre fin à l’extrême pauvreté d’ici 2030, expliquent les auteurs du document, parce qu’à mesure que celle-ci recule, les effets intrinsèques à la croissance tendent à toucher un nombre plus limité de pauvres. À ce stade en effet, la plupart des personnes vivant toujours dans le dénuement le plus extrême sont dans des situations éminemment délicates à redresser.
Une aggravation des inégalités de revenus peut atténuer l’impact positif de la croissance sur la pauvreté. Les inégalités économiques ne sont pas seulement graves en tant que telles : dans les pays où les écarts de revenus se creusent, elles réduisent aussi l’efficacité de la croissance, voire en annulent les bienfaits, alors que, pour un taux de croissance donné, les progrès obtenus sur le front de la pauvreté sont plus importants là où les inégalités reculent. Quand bien même les inégalités n’évolueraient pas, le « pouvoir de réduction de la pauvreté » associé à la croissance économique serait moindre dans les pays plus inégaux au départ. Ce qui explique que les objectifs du Groupe de la Banque mondiale de mettre fin à l’extrême pauvreté et de promouvoir une prospérité partagée soient étroitement liés : pour être durables, les avancées visant à éliminer l’extrême pauvreté exigent que l’on s’intéresse, parallèlement, au sort des 40 % les plus pauvres de la population.
« Il est regrettable de constater que, dans notre monde prospère, plus d’un milliard d’êtres humains vivent dans le dénuement le plus total. Félicitons-nous que le Groupe de la Banque mondiale appelle non seulement à atténuer la pauvreté mais, surtout, à y mettre fin et à œuvrer pour un monde plus équitable. Pour réussir, nous aurons certes besoin de détermination, mais aussi d’idées originales et d’innovation, car l’économie se comporte parfois étrangement », analyse Kaushik Basu, premier vice-président et économiste en chef de la Banque mondiale.
Cet objectif de promouvoir une prospérité partagée, approuvé en 2013 par les actionnaires de la Banque mondiale, donne matière à mieux décrypter le phénomène de l’inégalité des revenus et des chances. Alors que de réels progrès ont été obtenus sur le fond de la lutte contre l’extrême pauvreté, un grand nombre de personnes restent pauvres, souvent pénalisées par un manque de perspectives. Le fait de s’intéresser précisément aux 40 % de la population qui se situent au bas de l’échelle des revenus peut aider à s’assurer qu’eux aussi tirent pleinement parti du progrès économique.
Si nous voulons aider cette frange de la population, nous devons connaître ses particularités. Or, la situation diffère d’un pays à l’autre. Ainsi au Rwanda, 63 % de la population vit dans le plus grand dénuement : l’extrême pauvreté concerne donc bien plus que 40 % des habitants. En Colombie en revanche, le phénomène ne touche que 8 % de la population et, en Turquie, seuls 1,3 % des habitants sont considérés comme extrêmement pauvres selon les normes internationales.
Il existe en outre des disparités multiples. Au Bangladesh, deux tiers des 40 % les plus pauvres vivent dans les zones rurales, contre 23 % au Brésil ; 11 % des 40 % des Rwandais vivant dans l’extrême pauvreté ont fait des études secondaires, pour 55 % en Turquie ; et 63 % des 40 % des Philippins les plus pauvres travaillent dans l’agriculture, mais ils ne sont que 11 % en Jordanie.
« Les difficultés que nous avons à identifier ces 40 % les plus pauvres dans un pays donné soulignent tout l’enjeu de la conception de politiques au cas par cas pour pouvoir les atteindre », souligne Jos Verbeek, auteur principal du document et économiste principal au sein du Groupe d’étude des perspectives de développement de la Banque mondiale.
Pour s’attaquer à la pauvreté, nous devons savoir où se concentrent le plus grand nombre de pauvres et, dans le même temps, nous focaliser sur les pays où les conditions de vie sont les plus difficiles. Cela exige des initiatives concertées là où se retrouve la masse de ces populations : en Inde (33 %), en Chine (13 %), au Nigéria (7 %), au Bangladesh (6 %) et en République démocratique du Congo (RDC) (5 %). À eux cinq, ces pays réunissent 760 millions de pauvres sur 1,2 milliard à l’échelle planétaire. Avec l’Indonésie, le Pakistan, la Tanzanie, l’Éthiopie et le Kenya, ce sont pratiquement 80 % des individus les plus démunis du monde qui sont concernés. C’est donc sur ces dix pays qu’il faut agir en priorité pour pouvoir mettre fin à l’extrême pauvreté.
Adolphe Muzito qualifie de « positif » le bilan de 5 dernières années du gouvernement congolais 150414

Mais cela ne doit pas faire oublier tous ces pays, plus petits, où la proportion d’habitants vivant en deçà du seuil de pauvreté est nettement plus importante. Dans 16 d’entre eux, plus de la moitié de la population vit dans un dénuement extrême. Les cinq pays où la densité de pauvreté est la plus forte sont la RDC (où 88 % de la population se situent en deçà du seuil de pauvreté), le Libéria (84 %), le Burundi et Madagascar (81 % dans les deux cas) et la Zambie (75 %). On voit par là qu’il importe autant de réduire la pauvreté dans ces pays que de marquer des points là où les taux de pauvreté absolue sont bien supérieurs.


Pour atteindre ces deux objectifs, le Groupe de la Banque mondiale doit adapter son aide en fonction du degré d’urbanisation de chaque pays, de l’ampleur de ses besoins énergétiques, du niveau de développement des services essentiels, des aptitudes de chaque habitant et des capacités des pouvoirs publics. La réussite passera par le déploiement à grande échelle de solutions dont on sait qu’elles peuvent changer la donne, qu’il s’agisse de programmes pour améliorer l’assainissement dans les villes en plein essor, de projets garantissant une utilisation plus efficace de l’eau dans l’agriculture et, ailleurs, de l’élargissement de la couverture santé des personnes à faible revenu ou de l’extension des programmes de transition entre l’aide sociale et le travail là où le chômage des jeunes atteint des proportions considérables.
De la même manière, les progrès accomplis pour améliorer le quotidien des populations ne pourront par perdurer si les conséquences environnementales du développement économique ne sont pas prises en compte. Pour favoriser un développement économique durable, nous devons déployer des processus de croissance plus propres, plus résilients et plus efficaces dans leur utilisation des ressources, tout en préservant un rythme d’expansion suffisant.
http://www.banquemondiale.org/fr/news/press-release/2014/04/10/ending-poverty-requires-more-than-growth-says-wbg

http://democratiechretienne.org/2014/04/15/la-rdc-est-le-pays-a-plus-forte-densite-de-pauvrete-au-monde-selon-la-bm-88-de-la-population-se-situent-en-deca-du-seuil-de-pauvrete-banque-mondiale/
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Message  Jim KK 4/12/2014, 8:54 am

Selon la même banque mondiale fin Octobre: 29.10.2014

Doing Business 2015: la RDC améliore sa cote

La Banque mondiale a publié ce mercredi, 29 octobre son rapport Doing Business 2015. Et, la République démocratique du Congo est classée parmi les dix pays du monde qui ont le plus amélioré leur environnement des affaires au cours de l’année.

Les différentes reformes entreprises par la RDC dans le domaine  des affaires ont largement influé sur sa position au classement de la Banque mondiale qui, annuellement, évalue le niveau des pays quant aux opportunités d’affaires qu’ils offrent aux potentiels investisseurs. Dans son rapport Doing Business 2015, la RDC se classe en ordre utile sur les 189 pays du monde qui accordent plus de facilités dans le domaine des affaires. Non seulement qu’elle maintient sa position de l’année dernière, la RDC figure aujourd’hui parmi les dix économies couvertes par Doing Business ayant le plus amélioré leur environnement des affaires au cours de l’année en cours.  

De la création d’entreprise au raccordement à l’électricité en passant par l’obtention de prêts (accès à l’information de crédit), à la protection des investisseurs minoritaires, au paiement des taxes et impôts et à l’obtention de permis de construire (domaines couverts par Doing Business), la RDC a pu tirer son épingle du jeu en se conformant aux exigences de la Banque mondiale, en rapport avec ses reformes économiques. Dans ce rapport, la RDC est félicitée notamment pour avoir allégé les conditions de création des entreprises, par la mise en place  du guichet unique. Depuis la réforme de 2013, en effet, 4.200 nouvelles entreprises ont été créées sur l'ensemble du territoire national.

La réduction d’autorisations nécessaires imposées aux abonnés pour les nouvelles connections ont également pesé dans la balance, autant que l’amélioration constatée dans l’accès de l’information sur le crédit par l’établissement d’un registre du crédit. Ce n’est pas tout. La RDC s’est également distinguée dans le renforcement de la loi sur la protection des investisseurs minoritaires. Dorénavant, il est établi que le conseil d’administration soit informée des opérations entre personnes ou entités apparentées. La même loi autorise par ailleurs les actionnaires à consulter les documents relatifs à ces opérations et de nommer des commissaires aux comptes,  chargés de l’examen et de la vérification de telles transactions.

Autre fait ayant plaidé en faveur de la RDC, c’est celui d'avoir simplifié les déclarations d’impôt sur le revenu des sociétés et l'abrogation de la loi sur le paiement du montant minimum imposé en fonction de la taille de l’entreprise. Nonobstant l’augmentation du taux de l’impôt minimum forfaitaire appliqué au chiffre d’affaires annuel  ainsi que celle des frais liés au permis de construire, des faits que regrette la Banque mondiale, la RDC compte tout de même parmi les pays réformateurs qui, forcent l’admiration de cette institution financière internationale pour avoir engagé des réformes facilitant la pratique des affaires.

A noter que le Tadjikistan, le Bénin, le Togo, la Côte d’Ivoire, le Sénégal, Trinité-et-Tobago, la République démocratique du Congo, l’Azerbaïdjan, l’Irlande et les Emirats Arabes Unis figurent parmi les pays qui se sont le plus améliorés entre 2013 et 2014 dans les domaines couverts par Doing Business.


http://www.adiac-congo.com/content/doing-business-2015-la-rdc-ameliore-sa-cote-22506

Jim KK


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Message  GHOST 4/12/2014, 1:12 pm

Very Happy BANQUE MONDIALE Very Happy Very Happy Sad Sad

Mes excuses pour ce rire, mais la BM...comme réference de l´amelioration...ou du bilan de la RDC Shocked Shocked Sorry Sad Si dans la capitale, il n´ya pas toujours de l´électricité et de l´eau courante pour tous les kinois..et que la "BM" Place la RDC parmis ceux des pays qui semble-t-il ont ameliorés leur "doing business" Very Happy Very Happy

Au sein même du Parlement, les deputés de la Majorité se demandaient recement pourquoi les recettes du petrole ne figurent pas sur la liste du budget Shocked Shocked

C´est cela le "doing business" Rolling Eyes Rolling Eyes Embarassed
GHOST
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