L´Afrique du Sud annonce officiellement avoir expulsé Mr. Tshisekedi du territoire

Troll a écrit:

C´est le prochain Président du Congo..qui utlise un avion sud-africain et des pilotes sud-africains dans sa campagne..
Si cette information est réelle, alors la RSA peut dèjà oublier l´électricité d´Inga..et ses troupes dans la MONUSCO seront expulsées du territoire congolais avant fin decembre

Mr MYC, oye lisusu dans quelques semaines, vous allez changer sans doute de ton après constaté que les propos de Tshitshi fait de lui le Président élu du Congo

To si to zui rendez-vous..

Ba misusu, ba kanga fibunda na bango: BO ZO ZONGA NA RWANDA

"REVUE DE LA PRESSE CONGOLAISE DE CE LUNDI (CongoForum)
° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=182328&Actualiteit=selected
(...)L’Agence Congolaise de Presse (ACP) rapporte que le Président sud-africain et président de l’organe de la SADC en matière de politique, de défense et de sécurité, Jacob Zuma, a lancé un appel aux acteurs politiques congolais à contribuer, chacun à son niveau, à l’organisation des élections apaisées en RDC. L’appel du Président Zuma est contenu dans le communiqué final qui a sanctionné sa visite officielle en RDC samedi, à Lubumbashi, sur invitation de son homologue congolais Joseph Kabila.
(Ce grand intérêt de l’Afrique du Sud pour le Congo n’est peut-être pas pure gentillesse. En pleine campagne pour sa réélection à la présidence, JKK a signé avec l'Afrique du Sud un protocole d'accord pour la mise en valeur du potentiel hydro-électrique d'Inca. Une signature qui n'a rien du fruit du hasard. En tournée électorale au Katanga, JKK souhaite relancer le complexe d'Inga dans l'Ouest de la RDC. Ce barrage hydro-électrique géant sur le fleuve Congo tourne au ralenti depuis plusieurs années, faute de moyens financiers. Construits entre 1972 et 1982, Inga I et II ne permettent même pas d'alimenter convenablement en électricité la capitale, Kinshasa, en raison de l’ancienneté des installations et du manque de maintenance. Deux autres projets sont à l'étude depuis très longtemps : Inga III, également sur les chutes d'Inga et le Grand Inga en rive droite du fleuve. Le protocole signé avec l'Afrique du Sud concernerait le site du Grand Inga. Une signature entre les présidents sud-africain et congolais qui tombe à pic. JKK vante dans sa tournée ses "5 chantiers". Ce vaste programme de construction d'infrastructures (route, pont, voies ferrées…) prévoit également l'accès à l'eau et à l'électricité de la population congolaise… ce qui est loin d'être le cas. Cet accord arrive à point nommé. Grand Inga est le plus important projet hydroélectrique dans le monde. Il pourrait produire jusqu'à 40.000 Mw d'électricité, soit deux fois plus d'énergie que le barrage des Trois Gorges en Chine, et plus du tiers de l'électricité totale actuellement produite sur tout le continent africain. Seulement voilà, le Ministre de l'énergie congolais, Gilbert Tshongo, n'a donné aucun détail sur la nature des travaux, le coût, et le financement du projet. Son ministère indique que toutes ces précisions seront connues "dans six mois" … bien après les élections. En matière électorale, ce qui est iportant est de promettre, de siger des accords, parfois de poser une première pierre. L’électricité peut attendre… NdlR) (....)"

Jim KK a écrit:Vous êtes hors sujet Mr Regarder et bien voir.
Vous avez un langage inintelligible, un style très confus. C´est ce qu´on appelle CHARABIA. Et c´est même très ridicule.

Mr. RBV si même j´étais un simple ingénieur d´application comme vous le dites, je n´aurais même pas honte !!! Mais rassurez vous : côté études (j´ai fais polytech. en RFA) et titres Jim kk est BLINDÉ. La barre est très haute si je peux me permettre de le dire ainsi .
Donc il n a pas à apprendre d´un Regarder et bien voir dans le domaine d´automobiles. Depuis que Jim kk a terminé ses études à 27 ans (il est arrivé en RFA à 17 ans après le bac en math-phys.) il a travaillé et dirige actuellement une équipe au sein du département de « recherches et développement » dans une multinationale. Il a 41 ans.

Tala kaka mais toleka!
Oyo ezali thème mususu.

Ecoutez Mr. vous n´avez pas le monopole d´aimer le Congo. Si vous êtes fanatique de Tshisekedi alors acceptez au moins que les autres portent leurs choix à Kamehre ou bien Kashala ou bien Kabila. C´est la démocratie.

Mwana ya Congo a écrit:Tres irresponsable. il ne parle pas comme un homme politik mais comme un enfant. soki to lobi oh tolobaka lool ... il est encore a l'epok de Mobutu

Mwana ya Congo a écrit:Tres irresponsable. il ne parle pas comme un homme politik mais comme un enfant. soki to lobi oh tolobaka lool ... il est encore a l'epok de Mobutu

Libre Examen a écrit:

Mwana ya Congo a écrit:Tres irresponsable. il ne parle pas comme un homme politik mais comme un enfant. soki to lobi oh tolobaka lool ... il est encore a l'epok de Mobutu

MYC,
Votre opinion est la bienvenue mais il faut accepter qu'elle ne soit pas partagée par tous. Okoki na yo koloba denge olingi, dima mpe basusu baloba denge balingi... On peut avoir des idées diamétralement opposées mais demeurer respectueux, c'est ça qui fait la beauté de la chose.

En fait soki to lobi oh tolobaka... ne serait-ce point déjà enfantin en soi ?

Je comprends maintenant pourquoi les rwandais n'ont jamais pu prononcer bien le mot "élections présidentielles". Car, à la place de L ils mettent toujours R.
Évidemment c'est parce qu'en cette période tout le monde est tendu et on le voit bien même sur ce forum

Paix

Jim KK a écrit:Mr. Ndonzwau,

Je viens de remarquer comme vous que le lien que j´ai posté (Radio bbc) ne parle plus de l´expulsion de Tshisekedi. Et pourtant il parlait bel et bien d´abord de l´expulsion et en suite du fameux contrat en rapport avec le barrage d´INGA. C´était même le jour ou le président J. Zuma était à Kin.

Je crois qu´il y a des membres de bonne fois dans ce forum pour affirmer ce que je dis.

Mwana ya Congo a écrit:Tres irresponsable. il ne parle pas comme un homme politik mais comme un enfant. soki to lobi oh tolobaka lool ... il est encore a l'epok de Mobutu

Le gouvernement pris au piège

Visant particulièrement Etienne Tshisekedi, la CENI et le gouvernement congolais ont demandé à la CPI de se saisir de la question des violences pré et post-électorales. La CPI n'en demandait pas mieux et a immédiatement publié un communiqué confirmant « son engagement à veiller à ce que le processus en cours ne conduise à aucun acte de violence, ni à aucun crime sur des populations civiles. »

La CPI va plus loin eh affirmant dans son communiqué quelle « suit la situation électorale avec la plus grande vigilance au Congo, où des investigations sont en cours depuis juin 2003.»

Prenant le Ministre de la Justice Luzolo Bambi au mot, le communiqué de la CPI enfonce le clou en rappelant qu'elle est « désormais habilitée à enquêter et à documenter tout crime ou cas de violence au sein des juridictions congolaises, en coordination avec les cours et tribunaux du pays, et qu'elle prendra sans tarder les actions nécessaires pour ce faire. » Il ne fait aucun doute que les massacres des Bundu dia Kongo, tout comme les agressions armées en plein centre-ville dans la capitale, font partie des violences post électorales de 2007 qui ne manqueront pas d'intéresser la CPI.

Enfin, la CPI lance l'estocade en rappelant dans le même communiqué que « ceux qui sont déjà suspectés d'avoir commis des crimes graves, comme M. Bosco TANGANDA pour qui un mandat d'arrêt a été lancé, doivent être arrêtés et poursuivis devant la Cour. » A plusieurs reprises, Kinshasa a ouvertement refusé de livrer à la Cour l'ex-milicien, aujourd'hui intégré dans l'armée régulière, consacrant ainsi l'impunité que la CPI condamne.

Cette déclaration indique très clairement que la présence de la CPI dans le processus en cours devient un facteur de risque pour le gouvernement qui s'était jusque-là illustré par des abus et exactions répétés de la part des forces de l'ordre, restés impunis. Les observateurs estiment que la présence de la CPI est une aubaine pour la communauté internationale et pour l'opposition politique, qui ne savaient plus comment s'y prendre face aux abus répétés et aux menaces des forces de l'ordre contre des civils. Les observateurs les plus avertis pensent que les sorties répétées d'Etienne Tshisekedi relèvent ainsi d'une stratégie délibérée, de main de maître, pour contrer le pouvoir en place qui utilise abusivement et impunément la force publique avant et pendant le processus électoral, à la manière de Robert Mugabe au Zimbabwe, afin d'intimider les électeurs et de tuer dans l'œuf toute velléité de contestation d'une probable tentative de holdup électoral.

Convergence de vues entre la CPI et l'UDPS

Comme la CPI, l'UDPS se bat inlassablement pour l'établissement d'un Etat de droit au Congo et la fin de l'impunité, deux éléments qui constituent le coeur du programme de gouvernement proposé par Etienne Tshisekedi. Le leader de l'UDPS inscrit ses appels à l'autodéfense dans le cadre de l'exercice d'un droit légitime, inscrit dans la constitution, de contester tout pouvoir qui abuse de ses droits contre le peuple et viole la loi fondamentale.

La CPI n'en dit pas moins en concluant ainsi son communiqué : « Le processus électoral ne doit pas entretenir un sentiment d'impunité de la part de ceux qui commettent des crimes graves. Il doit plutôt renforcer l'Etat de droit et combattre l'impunité. »

Etienne Tshisekedi expulsé d’Afrique du Sud



Etienne Tshisekedi a été expulsé d’Afrique du Sud suite à ses propos qu’il a tenus sur Radio France Internationale et Radio Lisanga Télévision. Un coup dur pour le candidat n°11 qui attendait encore les fonds pour le financement de sa campagne. Alors que les Congolais attendent de ferme pied la tenue le 28 novembre prochain, certains candidats en mauvaise position ont tenté mais en vain de faire capoter le processus électoral et briser l’espoir de tout un peuple.

Un malheur ne vient jamais seul. Après avoir été expulsé d’Afrique du Sud pour incitation à la haine et à la violence, le leader de l’Udps, Etienne Tshisekedi Wa Mulumba n’est pas encore au bout de ses peines. Son avion a mis cap sur la Zambie où il est inopinément arrivé hier jeudi, avant d’atterrir sur Kisangani, en province Orientale, où il était plutôt attendu.

Là ce n’est pas du tout Joseph Kabila qui a détourné son avion pour la Zambie, le gouvernement lui ayant déjà délivré les autorisations requises pour son aéronef. C’est une vadrouille inexpliquée alors qu’on l’attendait pour le voir entrer de plain-pied dans la campagne qui a déjà atteint sa vitesse de croisière en son absence.

Mathilde a écrit:

Hiro-Hito a écrit:

Mwana ya Congo a écrit:Tres irresponsable. il ne parle pas comme un homme politik mais comme un enfant. soki to lobi oh tolobaka lool ... il est encore a l'epok de Mobutu

Myc, il ne faut pas aller tres vite en besogne
Dis moi un peu, apres avoir lu l'article q je mettrais en bas, si le vieux ne savait pas de koi il parlait? Et tu as dit qu'il ne parle pas coe un homme politik? lol, ce vieux d'environ 80 ans semble avoir tjr de l'avance

Le gouvernement pris au piège

Visant particulièrement Etienne Tshisekedi, la CENI et le gouvernement congolais ont demandé à la CPI de se saisir de la question des violences pré et post-électorales. La CPI n'en demandait pas mieux et a immédiatement publié un communiqué confirmant « son engagement à veiller à ce que le processus en cours ne conduise à aucun acte de violence, ni à aucun crime sur des populations civiles. »

La CPI va plus loin eh affirmant dans son communiqué quelle « suit la situation électorale avec la plus grande vigilance au Congo, où des investigations sont en cours depuis juin 2003.»

Prenant le Ministre de la Justice Luzolo Bambi au mot, le communiqué de la CPI enfonce le clou en rappelant qu'elle est « désormais habilitée à enquêter et à documenter tout crime ou cas de violence au sein des juridictions congolaises, en coordination avec les cours et tribunaux du pays, et qu'elle prendra sans tarder les actions nécessaires pour ce faire. » Il ne fait aucun doute que les massacres des Bundu dia Kongo, tout comme les agressions armées en plein centre-ville dans la capitale, font partie des violences post électorales de 2007 qui ne manqueront pas d'intéresser la CPI.

Enfin, la CPI lance l'estocade en rappelant dans le même communiqué que « ceux qui sont déjà suspectés d'avoir commis des crimes graves, comme M. Bosco TANGANDA pour qui un mandat d'arrêt a été lancé, doivent être arrêtés et poursuivis devant la Cour. » A plusieurs reprises, Kinshasa a ouvertement refusé de livrer à la Cour l'ex-milicien, aujourd'hui intégré dans l'armée régulière, consacrant ainsi l'impunité que la CPI condamne.

Cette déclaration indique très clairement que la présence de la CPI dans le processus en cours devient un facteur de risque pour le gouvernement qui s'était jusque-là illustré par des abus et exactions répétés de la part des forces de l'ordre, restés impunis. Les observateurs estiment que la présence de la CPI est une aubaine pour la communauté internationale et pour l'opposition politique, qui ne savaient plus comment s'y prendre face aux abus répétés et aux menaces des forces de l'ordre contre des civils. Les observateurs les plus avertis pensent que les sorties répétées d'Etienne Tshisekedi relèvent ainsi d'une stratégie délibérée, de main de maître, pour contrer le pouvoir en place qui utilise abusivement et impunément la force publique avant et pendant le processus électoral, à la manière de Robert Mugabe au Zimbabwe, afin d'intimider les électeurs et de tuer dans l'œuf toute velléité de contestation d'une probable tentative de holdup électoral.

Convergence de vues entre la CPI et l'UDPS

Comme la CPI, l'UDPS se bat inlassablement pour l'établissement d'un Etat de droit au Congo et la fin de l'impunité, deux éléments qui constituent le coeur du programme de gouvernement proposé par Etienne Tshisekedi. Le leader de l'UDPS inscrit ses appels à l'autodéfense dans le cadre de l'exercice d'un droit légitime, inscrit dans la constitution, de contester tout pouvoir qui abuse de ses droits contre le peuple et viole la loi fondamentale.

La CPI n'en dit pas moins en concluant ainsi son communiqué : « Le processus électoral ne doit pas entretenir un sentiment d'impunité de la part de ceux qui commettent des crimes graves. Il doit plutôt renforcer l'Etat de droit et combattre l'impunité. »

http://www.7sur7.cd/index.php?option=com_content&view=article&id=27277:retombees-inattendues-des-declarations-detienne-tshisekedi-invitee-en-rdc-la-cpi-reclame-illico-bosco-ntanganda&catid=24:le-phare

Jim KK a écrit:Mr. Ndonzwau,
[...]
Je crois qu´il y a des membres de bonne fois dans ce forum pour affirmer ce que je dis.