Bisengimana nouveau chef d'Etat Major?
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Amara
Tonton Ricos
Decamo Fils
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Bisengimana nouveau chef d'Etat Major?
Une nouvelle est tombée. Elle m'a été transmise par une dame, activiste des droits de l'homme. D'après le message, Bisengimana, le chef de la police qui assumait l'interim de John Numbi, vient d'être nommé chef d'Etat Major des FARDC.
Mais je ne suis pas en mesure de confirmer la nouvelle car au deuil d'où je viens, j'ai reçu une nouvelle qui ne la confirme. Une belle-soeur venait de joindre au téléphone un frère de Didier Etumba présentement à Mbuji Mayi.
Les heures qui viennent pourront nous éclairer davantage.
Mais je ne suis pas en mesure de confirmer la nouvelle car au deuil d'où je viens, j'ai reçu une nouvelle qui ne la confirme. Une belle-soeur venait de joindre au téléphone un frère de Didier Etumba présentement à Mbuji Mayi.
Les heures qui viennent pourront nous éclairer davantage.
Decamo Fils
Re: Bisengimana nouveau chef d'Etat Major?
Le limogeage du general Didier Etumba est une bonne chose pour la resistance.
Ce general qui connait au moins tous les plans de la Kanambie,peut fournir des informations precieuses. Et aussi,beaucoups des militaires Congolais ne voudront plus servir sous les ordres des generaux dont ils ignorent les origines.
General Didier Etumba,referez vous à votre grand frère qui à l'époque vous avez initié au metier de soldat,en l'occurence le general Donatien Mahele.
Le general Mahele,qui était Kinois comme vous,avait sacrifié sa vie,pour sauver celle des milliers des habitants de la capitale,qui risquaient d'etre pris en tenaille entre deux feux.Il avait preferé arreter les frais,en laissant les soldats de l'AFDL entrés à Kin,sans qu'il y ait échange de tir d'arme.
Il avait appliqué le sermon militaire jusqu'à la fin,meme si malheureusement,il avait été manipulé par les Ricains,qui ne lui avaient meme par accorder une protection,vis à vis de la DSP.
Tonton Ricos
Re: Bisengimana nouveau chef d'Etat Major?
COMMUNIQUE DE PRESSE N°046/RDC/VSV/CE/2011
LA VSV CONTRE LES ENLEVEMENTS DES MILITAIRES, POLICIERS ET CIVILS A KINSHASA
La Voix des Sans-Voix pour les droits de l’homme (VSV) exprime ses vives inquiétudes sur la vie et la sécurité des militaires des Forces Armées de la RDCongo (FARDC) et civils, victimes des actes d’enlèvements à Kinshasa, de la part des hommes armés en uniforme depuis le début du mois de décembre 2011.
A titre illustratif, il ya lieu de citer les cas ci-après :
- Capitaine Musungilayi Kabongo, S1 bataillon Blindé de la Garde Républicaine (GR) résident au camp militaire Badiadingi, Kinshasa/Miont-Ngafula, enlevé le 02 décembre 2011 en compagnie d’une autre personne non autrement identifiée ;
- Major Nguma (EPS-FARDC), résident au camp militaire Kokolo, Kinshasa/Bandalungwa, enlevé la nuit du 01 au 02 décembre 2011 ;
- Premier Lieutenant Mbambi Lenda (Génie de construction des FARDC), résident au camp militaire Kokolo, Kinshasa/Bandalungwa, enlevé la nuit du 01 au 02 décembre 2011;
- Premier Lieutenant Epombo Isongani, enlevé la nuit du 01 au 02 décembre 2011 ;
- Lieutenant Gualano Ngele Alexis (dispo EMG-FARDC) résident au camp militaire Kokolo, Kinshasa/Bandalungwa, enlevé la nuit du 01 au 02 décembre 2011.
Pour capitaine Musangilayi Kabongo et son compagnon d’infortune, les six (6) hommes armés venus opérer à son domicile sans mandat ni autres titres sous commandement du major Nyembo ont embarqué ces derniers dans un véhicule et les ont conduits vers une destination inconnue. Les mêmes militaires détiendraient une liste reprenant les noms de plusieurs militaires recherchés pour des raisons inconnues.
Pour les autres victimes, elles ont été enlevées au camp militaire Kokolo après que les assaillants aient réussi à entrer dans leurs domiciles après avoir cassé les portes d’entrée.
Avant de d’emmener les victimes, les hommes armés ont administré de mauvais traitements à ces dernières ainsi qu’à leurs proches et membres de famille
trouvés sur place. A la même occasion, des fouilles systématiques vaines ont été faites dans les domiciles des victimes sous prétextes de rechercher des armes de guerre et munitions y cachées. Les victimes ont été embarquées dans une jeep des FARDC et conduites vers une destination inconnue.
Après recherches, les victimes ont été retrouvées en détention au secret dans le cachot de l’ex DEMIAP sis Kinshasa/Kintambo dans des conditions inhumaines. Privées de la nourriture et toutes autres visites des membres de familles, avocats, défenseurs des droits de l’homme…
Des informations parvenues à la VSV font état des enlèvements planifiés de plusieurs militaires des Forces Armées de la RDCongo (FARDC) et agents de la Police Nationale Congolaise (PNC) dont plusieurs seraient déjà gardés au secret dans des cachots de la DEMIAP, du camp Tshatshi, du Camp militaire Kokolo, de l’immeuble Groupe Litho Moboti (GLM)… ne dépendant pas de parquets.
La VSV craint que les enlèvements des militaires et policiers enregistrés depuis la tenue des élections présidentielle et législatives du 28 novembre 2011 ne soient liés au contexte politique actuel de la RDCongo et demeure, par ce fait, inquiète quant à la vie et la sécurité des victimes exposées, désormais, au risque d’exécution sommaire et extrajudiciaire, de la torture et autres traitements cruels, inhumains et dégradants.
La VSV recommande au gouvernement de la RDCongo de :
- Localiser et libérer tous les militaires et civils gardés au secret ou les déférer devant une juridiction compétente en cas des griefs sérieux à charge;
- Garantir l’intégrité physique et psychologique des victimes ;
- Cesser tous les actes d’enlèvements dont les militaires des FARDC et civils font l’objet ;
- Ouvrir une enquête indépendante en vue de faire toute la lumière sur ces enlèvements des militaires et civils ainsi que sur les allégations d’existence d’un plan de victimisation des militaires, civils et policiers, établir les responsabilités et sanctionner les coupables, commanditaires et exécutants conformément à la loi.
Fait à Kinshasa, le 06 décembre 2011.
LA VOIX DES SANS VOIX POUR LES DROITS DE L’HOMME (VSV)
Like · · Follow post · 19 minutes ago near Troyes, France
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LA VSV CONTRE LES ENLEVEMENTS DES MILITAIRES, POLICIERS ET CIVILS A KINSHASA
La Voix des Sans-Voix pour les droits de l’homme (VSV) exprime ses vives inquiétudes sur la vie et la sécurité des militaires des Forces Armées de la RDCongo (FARDC) et civils, victimes des actes d’enlèvements à Kinshasa, de la part des hommes armés en uniforme depuis le début du mois de décembre 2011.
A titre illustratif, il ya lieu de citer les cas ci-après :
- Capitaine Musungilayi Kabongo, S1 bataillon Blindé de la Garde Républicaine (GR) résident au camp militaire Badiadingi, Kinshasa/Miont-Ngafula, enlevé le 02 décembre 2011 en compagnie d’une autre personne non autrement identifiée ;
- Major Nguma (EPS-FARDC), résident au camp militaire Kokolo, Kinshasa/Bandalungwa, enlevé la nuit du 01 au 02 décembre 2011 ;
- Premier Lieutenant Mbambi Lenda (Génie de construction des FARDC), résident au camp militaire Kokolo, Kinshasa/Bandalungwa, enlevé la nuit du 01 au 02 décembre 2011;
- Premier Lieutenant Epombo Isongani, enlevé la nuit du 01 au 02 décembre 2011 ;
- Lieutenant Gualano Ngele Alexis (dispo EMG-FARDC) résident au camp militaire Kokolo, Kinshasa/Bandalungwa, enlevé la nuit du 01 au 02 décembre 2011.
Pour capitaine Musangilayi Kabongo et son compagnon d’infortune, les six (6) hommes armés venus opérer à son domicile sans mandat ni autres titres sous commandement du major Nyembo ont embarqué ces derniers dans un véhicule et les ont conduits vers une destination inconnue. Les mêmes militaires détiendraient une liste reprenant les noms de plusieurs militaires recherchés pour des raisons inconnues.
Pour les autres victimes, elles ont été enlevées au camp militaire Kokolo après que les assaillants aient réussi à entrer dans leurs domiciles après avoir cassé les portes d’entrée.
Avant de d’emmener les victimes, les hommes armés ont administré de mauvais traitements à ces dernières ainsi qu’à leurs proches et membres de famille
trouvés sur place. A la même occasion, des fouilles systématiques vaines ont été faites dans les domiciles des victimes sous prétextes de rechercher des armes de guerre et munitions y cachées. Les victimes ont été embarquées dans une jeep des FARDC et conduites vers une destination inconnue.
Après recherches, les victimes ont été retrouvées en détention au secret dans le cachot de l’ex DEMIAP sis Kinshasa/Kintambo dans des conditions inhumaines. Privées de la nourriture et toutes autres visites des membres de familles, avocats, défenseurs des droits de l’homme…
Des informations parvenues à la VSV font état des enlèvements planifiés de plusieurs militaires des Forces Armées de la RDCongo (FARDC) et agents de la Police Nationale Congolaise (PNC) dont plusieurs seraient déjà gardés au secret dans des cachots de la DEMIAP, du camp Tshatshi, du Camp militaire Kokolo, de l’immeuble Groupe Litho Moboti (GLM)… ne dépendant pas de parquets.
La VSV craint que les enlèvements des militaires et policiers enregistrés depuis la tenue des élections présidentielle et législatives du 28 novembre 2011 ne soient liés au contexte politique actuel de la RDCongo et demeure, par ce fait, inquiète quant à la vie et la sécurité des victimes exposées, désormais, au risque d’exécution sommaire et extrajudiciaire, de la torture et autres traitements cruels, inhumains et dégradants.
La VSV recommande au gouvernement de la RDCongo de :
- Localiser et libérer tous les militaires et civils gardés au secret ou les déférer devant une juridiction compétente en cas des griefs sérieux à charge;
- Garantir l’intégrité physique et psychologique des victimes ;
- Cesser tous les actes d’enlèvements dont les militaires des FARDC et civils font l’objet ;
- Ouvrir une enquête indépendante en vue de faire toute la lumière sur ces enlèvements des militaires et civils ainsi que sur les allégations d’existence d’un plan de victimisation des militaires, civils et policiers, établir les responsabilités et sanctionner les coupables, commanditaires et exécutants conformément à la loi.
Fait à Kinshasa, le 06 décembre 2011.
LA VOIX DES SANS VOIX POUR LES DROITS DE L’HOMME (VSV)
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Amara
Re: Bisengimana nouveau chef d'Etat Major?
Qui a dit que l’histoire ne se répète pas… ?
Posted on 6 décembre 2011by http://dc-kin.net
Qui a dit que l’histoire ne se répète pas… ?
L’inspecteur général par intérim de la Police Nationale congolaise vient de réveiller les vieux démons de 1960. La question qui s’ensuit est, sûrement, celle de savoir si les hommes politiques congolais en ont pris conscience…
Le général Charles Bisengimana, Chef a.i. de la Police Nationale congolaise, a proclamé, tout haut, sur les antennes de Radio Okapi, la radio onusienne en République Démocratique du Congo, ce lundi 5 décembre 2011, que « après les élections sera comme avant les élections ».
Les Congolais n’ont pas la mémoire courte. En 1960, alors que le Congo venait d’accéder à l’indépendance, un autre général, belge celui-là, « commandant en chef de la Force Publique avant comme après l’indépendance », E. Janssens, avait déclaré sans baisser les yeux : « après l’indépendance égale avant l’indépendance ».
Serait-il utile, aujourd’hui, de remettre en mémoire les conséquences néfastes de cette déclaration irresponsable en rapport avec l’évolution de la situation générale du Congo indépendant ?
Cinquante et un ans après l’indépendance de la RD Congo, l’histoire semble mordicus se répéter. Un haut cadre de la Police nationale congolaise se permet - à la veille de la proclamation des résultats provisoires de la présidentielle, un rendez-vous aussi important que celle de l’indépendance -, de faire une déclaration qui dénote de la provocation pure et du mépris éhonté vis-à-vis du Congo et des Congolais de la part de celui qui est perçu comme une émanation de Joseph Kabila et son bras armé à Kinshasa.
Les observateurs de la vie politique congolaise n’ont pas oublié que – lors de la série des manifestations de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, parti cher à Etienne Tshisekedi, manifestations réclamant l’audit du fichier électoral -, les éléments déguisés en policiers congolais qui tiraient à bout portant et à balles réelles sur les manifestants en fuite ne faisaient pas partie de l’Inspection provinciale de Kinshasa, mais de l’Inspection principale de la police nationale qui était, il y a quelques années sous la férule de celui qui avait organisé un guet-apens qui avait débouché sur l’assassinat de l’activiste droits de l’Homme et Président de la voix des sans voix, Floribert Chebeya. Ils n’ont pas oublié, non plus, que le général Bisengimana est accusé, par le rapport de la commission canadienne d’enquête sur les massacres en RDC entre 1996 et 1997, d’être l’auteur des crimes imprescriptibles pendant cette période. De là à dire que ce présumé auteur de ces crimes a intérêt à ce qu’ « après les élections soit comme avant les élections » pour que lui et son quarteron accusés de tous ces crimes continuent non seulement à être protégés par le régime en place, mais aussi à bénéficier gracieusement des deniers publics.
L’histoire récente du personnage suscité éclaire d’un jour nouveau ses déclarations et précise les contours de ses intentions comme aussi de celles des siens. Elle permet, en sus, de mieux comprendre l’acharnement de ceux qui sont au pouvoir actuellement en RDC quant à leur volonté inébranlable de se maintenir, à tout prix, au pouvoir.
<BLOCKQUOTE>
A cela s’ajoutent les déclarations du secrétaire exécutif du parti présidentiel sur le plateau de la chaîne « mouvancière », TV 50, déclarations qui ne font que confirmer le hold-up électoral planifié depuis longtemps : « nous avons l’armée, la police, les forces de sécurité et les finances et allons imposer l’ordre, entendez notre ordre politique », a-t-il souligné.
</BLOCKQUOTE>
Le général Charles Bisengimana sait qu’il est un maillon important dans le complot ourdi, dans un simulacre d’élections chaotiques et idéales pour les singes agiles et les pécheurs en eau trouble, contre la République Démocratique du Congo.
De toute manière, le peuple congolais doit savoir que nul autre que lui-même ne le sauvera et ne lui évitera d’être continuellement un champ de bataille. Car les forces extérieures ne sont intéressées que par les seules richesses naturelles et autres n’ont pas grand intérêt à ce qu’il y règne la paix.
Seul un Congo apaisé et pacifié pourra être vraiment la Patrie de tous les Congolais. Ce qui nous pousse à souhaiter de tout cœur non seulement le retour de la paix, mais la sortie de tout ce cycle de violence et de barbarie politiques installé par des « institutions placebo » dans notre pays, institutions dont le but est d’assouvir la soif effrénée de pouvoir d’une horde de politiciens corrompus et souvent sans vision d’avenir pour notre pays.
Ce faisant, il s’impose de briser les chaînes de la peur. Ne dit-on pas qu’une paix armée n’en est jamais une, car elle ne convient qu’à des peuples condamnés à vivre en exil et sous la domination. Et ce sont des peuples voués, en fait à disparaître.
Kinshasa, le 05 décembre 2011
Ee Bosuka Nkele
http://fsddc.wordpress.com/2011/12/06/qui-a-dit-que-lhistoire-ne-se-repete-pas/
Posted on 6 décembre 2011by http://dc-kin.net
Qui a dit que l’histoire ne se répète pas… ?
L’inspecteur général par intérim de la Police Nationale congolaise vient de réveiller les vieux démons de 1960. La question qui s’ensuit est, sûrement, celle de savoir si les hommes politiques congolais en ont pris conscience…
Le général Charles Bisengimana, Chef a.i. de la Police Nationale congolaise, a proclamé, tout haut, sur les antennes de Radio Okapi, la radio onusienne en République Démocratique du Congo, ce lundi 5 décembre 2011, que « après les élections sera comme avant les élections ».
Les Congolais n’ont pas la mémoire courte. En 1960, alors que le Congo venait d’accéder à l’indépendance, un autre général, belge celui-là, « commandant en chef de la Force Publique avant comme après l’indépendance », E. Janssens, avait déclaré sans baisser les yeux : « après l’indépendance égale avant l’indépendance ».
Serait-il utile, aujourd’hui, de remettre en mémoire les conséquences néfastes de cette déclaration irresponsable en rapport avec l’évolution de la situation générale du Congo indépendant ?
Cinquante et un ans après l’indépendance de la RD Congo, l’histoire semble mordicus se répéter. Un haut cadre de la Police nationale congolaise se permet - à la veille de la proclamation des résultats provisoires de la présidentielle, un rendez-vous aussi important que celle de l’indépendance -, de faire une déclaration qui dénote de la provocation pure et du mépris éhonté vis-à-vis du Congo et des Congolais de la part de celui qui est perçu comme une émanation de Joseph Kabila et son bras armé à Kinshasa.
Les observateurs de la vie politique congolaise n’ont pas oublié que – lors de la série des manifestations de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, parti cher à Etienne Tshisekedi, manifestations réclamant l’audit du fichier électoral -, les éléments déguisés en policiers congolais qui tiraient à bout portant et à balles réelles sur les manifestants en fuite ne faisaient pas partie de l’Inspection provinciale de Kinshasa, mais de l’Inspection principale de la police nationale qui était, il y a quelques années sous la férule de celui qui avait organisé un guet-apens qui avait débouché sur l’assassinat de l’activiste droits de l’Homme et Président de la voix des sans voix, Floribert Chebeya. Ils n’ont pas oublié, non plus, que le général Bisengimana est accusé, par le rapport de la commission canadienne d’enquête sur les massacres en RDC entre 1996 et 1997, d’être l’auteur des crimes imprescriptibles pendant cette période. De là à dire que ce présumé auteur de ces crimes a intérêt à ce qu’ « après les élections soit comme avant les élections » pour que lui et son quarteron accusés de tous ces crimes continuent non seulement à être protégés par le régime en place, mais aussi à bénéficier gracieusement des deniers publics.
L’histoire récente du personnage suscité éclaire d’un jour nouveau ses déclarations et précise les contours de ses intentions comme aussi de celles des siens. Elle permet, en sus, de mieux comprendre l’acharnement de ceux qui sont au pouvoir actuellement en RDC quant à leur volonté inébranlable de se maintenir, à tout prix, au pouvoir.
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A cela s’ajoutent les déclarations du secrétaire exécutif du parti présidentiel sur le plateau de la chaîne « mouvancière », TV 50, déclarations qui ne font que confirmer le hold-up électoral planifié depuis longtemps : « nous avons l’armée, la police, les forces de sécurité et les finances et allons imposer l’ordre, entendez notre ordre politique », a-t-il souligné.
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Le général Charles Bisengimana sait qu’il est un maillon important dans le complot ourdi, dans un simulacre d’élections chaotiques et idéales pour les singes agiles et les pécheurs en eau trouble, contre la République Démocratique du Congo.
De toute manière, le peuple congolais doit savoir que nul autre que lui-même ne le sauvera et ne lui évitera d’être continuellement un champ de bataille. Car les forces extérieures ne sont intéressées que par les seules richesses naturelles et autres n’ont pas grand intérêt à ce qu’il y règne la paix.
Seul un Congo apaisé et pacifié pourra être vraiment la Patrie de tous les Congolais. Ce qui nous pousse à souhaiter de tout cœur non seulement le retour de la paix, mais la sortie de tout ce cycle de violence et de barbarie politiques installé par des « institutions placebo » dans notre pays, institutions dont le but est d’assouvir la soif effrénée de pouvoir d’une horde de politiciens corrompus et souvent sans vision d’avenir pour notre pays.
Ce faisant, il s’impose de briser les chaînes de la peur. Ne dit-on pas qu’une paix armée n’en est jamais une, car elle ne convient qu’à des peuples condamnés à vivre en exil et sous la domination. Et ce sont des peuples voués, en fait à disparaître.
Kinshasa, le 05 décembre 2011
Ee Bosuka Nkele
http://fsddc.wordpress.com/2011/12/06/qui-a-dit-que-lhistoire-ne-se-repete-pas/
KOTA
Re: Bisengimana nouveau chef d'Etat Major?
Vraiment?link a écrit:c'est le cousin de Lino
Gardez votre calme dans la défaite,sieur Link
lino
Re: Bisengimana nouveau chef d'Etat Major?
lino a écrit:Vraiment?link a écrit:c'est le cousin de Lino
Gardez votre calme dans la défaite,sieur Link
Mr lino
ce monsieur bisengimana c'est un tueur tu le sais je le sais sauf que c'est encore des pauvre congolais deja affamé par ton raîs qu'il va abattre et moi ça me dérange heureusement ba qui tétue nan bino esukaka na net na ba forums.
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