Ecarter TSHISEKEDI et «KABILA» en proposant une 3ème personne
5 participants
Page 1 sur 1
Ecarter TSHISEKEDI et «KABILA» en proposant une 3ème personne
Ecarter TSHISEKEDI et «KABILA» en proposant une 3ème personne
(KongoTimes 23/12/2011) Il y aurait des tractations en cours pour mettre en place une 3è voie permettant d’éliminer Kabila et Tshisekedi. Cette 3è voie est souhaitée par une bonne frange de la société civile, l'Eglise aussi. Un coup de force pour faire partir Kabila présenterait des risques d’implosion sociale avec des conséquences collatérales selon certains analystes. Il vaut mieux, par une pression internationale, écarter les deux antagonistes en proposant une troisième personne qui mettrait en place un gouvernement d’union nationale devant préparer des nouvelles élections libres et transparentes.Mal élu, Kabila saura-t-il diriger ? La République Démocratique du Congo en période de sursis - Joseph Kabila a prêté serment le mardi 20 décembre 2011 dans un isolement diplomatique presque total. Plusieurs capitales du monde ont émis des réserves quant à la manière dont il a été élu. De l’intérieur, les partis politiques de l’opposition et une bonne frange de la population congolaise ne se reconnaissent pas dans les résultats rendus publics par Ngoyi Mulunda et sa CENI et confirmés plus tard par la Cour Suprême de Justice.Pour sa part, Etienne Tshisekedi se considère aussi comme président élu et promet de prêter aussi son serment devant le peuple congolais.
Il y a là, comme deux prétendants à un seul siège. Une situation confuse.Mais à l’heure actuelle, les analystes sont formels et estiment que la situation est pratiquement bloquée car aucun des deux antagonistes (Kabila et Tshisekedi) ne pourra diriger le pays dans la sérénité.Kabila a un sérieux problème au sein de la population congolaise dans sa majorité. Il ne pourra pas diriger le pays et s’il fait un forcing et bien la partition sera consommée. Pour preuve, tous les chefs des milices dans l’Est de la RD Congo sont aux aguets et prêts à déclencher les hostilités contre le régime actuel qualifié de valet des voisins rwandais et ougandais.La situation reste extrêmement tendue pour que la communauté internationale laisse Kabila aux commandes car tout peu basculer vers un chaos indescriptible. Cette communauté internationale ne pourrait avaliser ce chaos même si elle préfère un Kabila docile et manipulable pour ses intérêts à un Tshisekedi imprévisible.
Tshisekedi n’est pas un diplomate mais un opposant brut, disent les analystes. C’est quelqu’un d’âgé, imbu de lui-même, qui rêve de devenir le Moïse congolais envoyé pour sortir le peuple du gouffre. Aucun président africain ne le supporte. Il a dû quitter précipitamment l’Afrique du Sud car le régime Zuma ne supportait plus ses prises de position. Ayant été un farouche opposant aux régimes dictatoriaux de Mobutu et Kabila, la population congolaise pense qu’il est le seul capable de sortir la RDC de cette situation de misère qui perdurent plus de 40 ans. Son nationalisme outrancier le met en porte à faux avec les chefs d’Etat des pays voisins qui souhaitent voir un régime faible en RD Congo afin que leurs pays continuent de profiter des richesses de ce géant aux pieds d’argile.
De l’avis de plusieurs analystes, aucun président africain ne veut l’avoir comme collègue. En Occident, il est également non partant car peu conciliant.La RDC se trouve donc dans une situation très complexe avec d’une part un Joseph Kabila de moins en moins populaire à l’intérieur du pays et un Etienne Tshisekedi mal aimé des lobbies internationaux. L’Occident, même plus ou moins favorable à Joseph Kabila, ne peut pas s’hasarder à aller à contre courant de l’opinion publique interne de la RDC plus ou moins hostile au « fils de Laurent Désiré Kabila ». Aussi, Tshisekedi ne rassure pas encore.Devant ce tableau, il faudra compter avec le temps et le cours des choses sur terrain.Ni Kabila, ni Tshisekedi, c’est l’une des hypothèses qui pourrait être envisagée en vue de préserver la RDC d’autres dérapages.
Il est presque établi que nombre des Congolais souhaitent une alternative politique. C'est-à-dire le départ de Joseph Kabila de la présidence de la République. Dès lors, il est possible de jouer pour contenter, tant soit peu, la population congolaise en empêchant à Joseph Kabila d’exercer sans nécessairement le faire succéder par Tshisekedi. Reste à voir comment la population va se comporter dans les trois mois qui suivent ces élections contestées. Si Joseph Kabila arrive à maitriser la situation sur terrain, il n’est pas exclu qu’on le laisse exercer, le temps d’arriver à organiser d’autres élections qui finalement le bouteront dehors. Un temps de sursis de quelques mois, seul, permettrait de définir l’orientation à prendre pour résoudre la crise politique en RDC.
Il y aurait des tractations en cours pour mettre en place une 3è voie permettant d’éliminer Kabila et Tshisekedi, lesquels ne pourront jamais cohabiter comme au Kenya. Cette 3è voie est souhaitée par une bonne frange de la société civile, l'Eglise aussi. Un coup de force pour faire partir Kabila présenterait des risques d’implosion sociale avec des conséquences collatérales selon certains analystes. Il vaut mieux, par une pression internationale, écarter les deux antagonistes en proposant une troisième personne qui mettrait en place un gouvernement d’union nationale devant préparer des nouvelles élections libres et transparentes. Ainsi le président intérimaire ne pourra pas poser sa candidature afin d’éviter toute fraude possible. L'avenir proche sera riche en rebondissements.Joska Kaninda Nkole
© Copyright KongoTimes
(KongoTimes 23/12/2011) Il y aurait des tractations en cours pour mettre en place une 3è voie permettant d’éliminer Kabila et Tshisekedi. Cette 3è voie est souhaitée par une bonne frange de la société civile, l'Eglise aussi. Un coup de force pour faire partir Kabila présenterait des risques d’implosion sociale avec des conséquences collatérales selon certains analystes. Il vaut mieux, par une pression internationale, écarter les deux antagonistes en proposant une troisième personne qui mettrait en place un gouvernement d’union nationale devant préparer des nouvelles élections libres et transparentes.Mal élu, Kabila saura-t-il diriger ? La République Démocratique du Congo en période de sursis - Joseph Kabila a prêté serment le mardi 20 décembre 2011 dans un isolement diplomatique presque total. Plusieurs capitales du monde ont émis des réserves quant à la manière dont il a été élu. De l’intérieur, les partis politiques de l’opposition et une bonne frange de la population congolaise ne se reconnaissent pas dans les résultats rendus publics par Ngoyi Mulunda et sa CENI et confirmés plus tard par la Cour Suprême de Justice.Pour sa part, Etienne Tshisekedi se considère aussi comme président élu et promet de prêter aussi son serment devant le peuple congolais.
Il y a là, comme deux prétendants à un seul siège. Une situation confuse.Mais à l’heure actuelle, les analystes sont formels et estiment que la situation est pratiquement bloquée car aucun des deux antagonistes (Kabila et Tshisekedi) ne pourra diriger le pays dans la sérénité.Kabila a un sérieux problème au sein de la population congolaise dans sa majorité. Il ne pourra pas diriger le pays et s’il fait un forcing et bien la partition sera consommée. Pour preuve, tous les chefs des milices dans l’Est de la RD Congo sont aux aguets et prêts à déclencher les hostilités contre le régime actuel qualifié de valet des voisins rwandais et ougandais.La situation reste extrêmement tendue pour que la communauté internationale laisse Kabila aux commandes car tout peu basculer vers un chaos indescriptible. Cette communauté internationale ne pourrait avaliser ce chaos même si elle préfère un Kabila docile et manipulable pour ses intérêts à un Tshisekedi imprévisible.
Tshisekedi n’est pas un diplomate mais un opposant brut, disent les analystes. C’est quelqu’un d’âgé, imbu de lui-même, qui rêve de devenir le Moïse congolais envoyé pour sortir le peuple du gouffre. Aucun président africain ne le supporte. Il a dû quitter précipitamment l’Afrique du Sud car le régime Zuma ne supportait plus ses prises de position. Ayant été un farouche opposant aux régimes dictatoriaux de Mobutu et Kabila, la population congolaise pense qu’il est le seul capable de sortir la RDC de cette situation de misère qui perdurent plus de 40 ans. Son nationalisme outrancier le met en porte à faux avec les chefs d’Etat des pays voisins qui souhaitent voir un régime faible en RD Congo afin que leurs pays continuent de profiter des richesses de ce géant aux pieds d’argile.
De l’avis de plusieurs analystes, aucun président africain ne veut l’avoir comme collègue. En Occident, il est également non partant car peu conciliant.La RDC se trouve donc dans une situation très complexe avec d’une part un Joseph Kabila de moins en moins populaire à l’intérieur du pays et un Etienne Tshisekedi mal aimé des lobbies internationaux. L’Occident, même plus ou moins favorable à Joseph Kabila, ne peut pas s’hasarder à aller à contre courant de l’opinion publique interne de la RDC plus ou moins hostile au « fils de Laurent Désiré Kabila ». Aussi, Tshisekedi ne rassure pas encore.Devant ce tableau, il faudra compter avec le temps et le cours des choses sur terrain.Ni Kabila, ni Tshisekedi, c’est l’une des hypothèses qui pourrait être envisagée en vue de préserver la RDC d’autres dérapages.
Il est presque établi que nombre des Congolais souhaitent une alternative politique. C'est-à-dire le départ de Joseph Kabila de la présidence de la République. Dès lors, il est possible de jouer pour contenter, tant soit peu, la population congolaise en empêchant à Joseph Kabila d’exercer sans nécessairement le faire succéder par Tshisekedi. Reste à voir comment la population va se comporter dans les trois mois qui suivent ces élections contestées. Si Joseph Kabila arrive à maitriser la situation sur terrain, il n’est pas exclu qu’on le laisse exercer, le temps d’arriver à organiser d’autres élections qui finalement le bouteront dehors. Un temps de sursis de quelques mois, seul, permettrait de définir l’orientation à prendre pour résoudre la crise politique en RDC.
Il y aurait des tractations en cours pour mettre en place une 3è voie permettant d’éliminer Kabila et Tshisekedi, lesquels ne pourront jamais cohabiter comme au Kenya. Cette 3è voie est souhaitée par une bonne frange de la société civile, l'Eglise aussi. Un coup de force pour faire partir Kabila présenterait des risques d’implosion sociale avec des conséquences collatérales selon certains analystes. Il vaut mieux, par une pression internationale, écarter les deux antagonistes en proposant une troisième personne qui mettrait en place un gouvernement d’union nationale devant préparer des nouvelles élections libres et transparentes. Ainsi le président intérimaire ne pourra pas poser sa candidature afin d’éviter toute fraude possible. L'avenir proche sera riche en rebondissements.Joska Kaninda Nkole
© Copyright KongoTimes
honorable
Re: Ecarter TSHISEKEDI et «KABILA» en proposant une 3ème personne
C'EST LE PAYS DE CONGOLAIS OU CELUI DES VOISINS AVEC LEURS ESCLAVAGISTES BLANCS?
LORD MBAKAMA
Re: Ecarter TSHISEKEDI et «KABILA» en proposant une 3ème personne
Cela voudrait dire que le congo ne fait pas de progres, car cette troisième personne serait mise au pouvoir temporairement par une pression internationale, ce qui veut dire la communaute internationale. Encore!!. Mais cela fait 50 ans que cette communaute internationale decide qui sera ou qui ne sera pas au pouvoir au congo; rien ne change alors?. C'est encore une solution exterieur venant de personnes exterieurs. Moi je serait tres mefiant envers cette troisième personne car je sait que les pays qui feront pression pour la mettre au pouvoir sont exactement les memes pays qui beneficient des richesses du sous sol Congolais.Il vaut mieux, une pression internationale, écarter les deux antagonistes en proposant une troisième personne
Tehuti
Re: Ecarter TSHISEKEDI et «KABILA» en proposant une 3ème personne
En résumé, ce que cet article nous enseigne c'est que les grands de la CI reprochent à Tshisekedi de vouloir réagir pour le Congo comme les grands de la CI réagiraient pour leurs pays respectifs, comme Obama réagirait pour les Etats-Unis, Sarkozy pour la France, Cameron pour la Grande-Bretagne, etc. Et comme Congolais la question est de savoir si nous voudrions de quelqu'un qui agirait autrement.honorable a écrit:Ecarter TSHISEKEDI et «KABILA» en proposant une 3ème personne
(KongoTimes 23/12/2011) Il y aurait des tractations en cours pour mettre en place une 3è voie permettant d’éliminer Kabila et Tshisekedi. Cette 3è voie est souhaitée par une bonne frange de la société civile, l'Eglise aussi. Un coup de force pour faire partir Kabila présenterait des risques d’implosion sociale avec des conséquences collatérales selon certains analystes. Il vaut mieux, par une pression internationale, écarter les deux antagonistes en proposant une troisième personne qui mettrait en place un gouvernement d’union nationale devant préparer des nouvelles élections libres et transparentes.Mal élu, Kabila saura-t-il diriger ? La République Démocratique du Congo en période de sursis - Joseph Kabila a prêté serment le mardi 20 décembre 2011 dans un isolement diplomatique presque total. Plusieurs capitales du monde ont émis des réserves quant à la manière dont il a été élu. De l’intérieur, les partis politiques de l’opposition et une bonne frange de la population congolaise ne se reconnaissent pas dans les résultats rendus publics par Ngoyi Mulunda et sa CENI et confirmés plus tard par la Cour Suprême de Justice.Pour sa part, Etienne Tshisekedi se considère aussi comme président élu et promet de prêter aussi son serment devant le peuple congolais.
Il y a là, comme deux prétendants à un seul siège. Une situation confuse.Mais à l’heure actuelle, les analystes sont formels et estiment que la situation est pratiquement bloquée car aucun des deux antagonistes (Kabila et Tshisekedi) ne pourra diriger le pays dans la sérénité.Kabila a un sérieux problème au sein de la population congolaise dans sa majorité. Il ne pourra pas diriger le pays et s’il fait un forcing et bien la partition sera consommée. Pour preuve, tous les chefs des milices dans l’Est de la RD Congo sont aux aguets et prêts à déclencher les hostilités contre le régime actuel qualifié de valet des voisins rwandais et ougandais.La situation reste extrêmement tendue pour que la communauté internationale laisse Kabila aux commandes car tout peu basculer vers un chaos indescriptible. Cette communauté internationale ne pourrait avaliser ce chaos même si elle préfère un Kabila docile et manipulable pour ses intérêts à un Tshisekedi imprévisible.
Tshisekedi n’est pas un diplomate mais un opposant brut, disent les analystes. C’est quelqu’un d’âgé, imbu de lui-même, qui rêve de devenir le Moïse congolais envoyé pour sortir le peuple du gouffre. Aucun président africain ne le supporte. Il a dû quitter précipitamment l’Afrique du Sud car le régime Zuma ne supportait plus ses prises de position. Ayant été un farouche opposant aux régimes dictatoriaux de Mobutu et Kabila, la population congolaise pense qu’il est le seul capable de sortir la RDC de cette situation de misère qui perdurent plus de 40 ans. Son nationalisme outrancier le met en porte à faux avec les chefs d’Etat des pays voisins qui souhaitent voir un régime faible en RD Congo afin que leurs pays continuent de profiter des richesses de ce géant aux pieds d’argile.
De l’avis de plusieurs analystes, aucun président africain ne veut l’avoir comme collègue. En Occident, il est également non partant car peu conciliant.La RDC se trouve donc dans une situation très complexe avec d’une part un Joseph Kabila de moins en moins populaire à l’intérieur du pays et un Etienne Tshisekedi mal aimé des lobbies internationaux. L’Occident, même plus ou moins favorable à Joseph Kabila, ne peut pas s’hasarder à aller à contre courant de l’opinion publique interne de la RDC plus ou moins hostile au « fils de Laurent Désiré Kabila ». Aussi, Tshisekedi ne rassure pas encore.Devant ce tableau, il faudra compter avec le temps et le cours des choses sur terrain.Ni Kabila, ni Tshisekedi, c’est l’une des hypothèses qui pourrait être envisagée en vue de préserver la RDC d’autres dérapages.
Il est presque établi que nombre des Congolais souhaitent une alternative politique. C'est-à-dire le départ de Joseph Kabila de la présidence de la République. Dès lors, il est possible de jouer pour contenter, tant soit peu, la population congolaise en empêchant à Joseph Kabila d’exercer sans nécessairement le faire succéder par Tshisekedi. Reste à voir comment la population va se comporter dans les trois mois qui suivent ces élections contestées. Si Joseph Kabila arrive à maitriser la situation sur terrain, il n’est pas exclu qu’on le laisse exercer, le temps d’arriver à organiser d’autres élections qui finalement le bouteront dehors. Un temps de sursis de quelques mois, seul, permettrait de définir l’orientation à prendre pour résoudre la crise politique en RDC.
Il y aurait des tractations en cours pour mettre en place une 3è voie permettant d’éliminer Kabila et Tshisekedi, lesquels ne pourront jamais cohabiter comme au Kenya. Cette 3è voie est souhaitée par une bonne frange de la société civile, l'Eglise aussi. Un coup de force pour faire partir Kabila présenterait des risques d’implosion sociale avec des conséquences collatérales selon certains analystes. Il vaut mieux, par une pression internationale, écarter les deux antagonistes en proposant une troisième personne qui mettrait en place un gouvernement d’union nationale devant préparer des nouvelles élections libres et transparentes. Ainsi le président intérimaire ne pourra pas poser sa candidature afin d’éviter toute fraude possible. L'avenir proche sera riche en rebondissements.Joska Kaninda Nkole
© Copyright KongoTimes
Dernière édition par Libre Examen le 25/12/2011, 2:35 pm, édité 2 fois
Libre Examen
Re: Ecarter TSHISEKEDI et «KABILA» en proposant une 3ème personne
LE PROBLEME DU CONGO EST QUE LES INSTIUTIONS JUSQU A PRESENT EN PLACE NE FONT PAS LES INTERETS DU CONGO. LA SOLUTION QUE VOUS PROPOSEZ N EN EST PAS UNE CAR ELLE ELUDE LE FAIT QU ETIENNE TSHISEKEDI A BEL BIEN ETE ELU PAR LES CONGOLAIS. SEULEMENT UNE REPRESSION FEROCE ET SANGLANTE LUI EMPECHE D ASSUMER L IMPERIUM.
KOTA
Re: Ecarter TSHISEKEDI et «KABILA» en proposant une 3ème personne
KOTA,KOTA a écrit:LE PROBLEME DU CONGO EST QUE LES INSTIUTIONS JUSQU A PRESENT EN PLACE NE FONT PAS LES INTERETS DU CONGO. LA SOLUTION QUE VOUS PROPOSEZ N EN EST PAS UNE CAR ELLE ELUDE LE FAIT QU ETIENNE TSHISEKEDI A BEL BIEN ETE ELU PAR LES CONGOLAIS. SEULEMENT UNE REPRESSION FEROCE ET SANGLANTE LUI EMPECHE D ASSUMER L IMPERIUM.
Comment dès lors faire pour mettre fin à cette repression sanguinaire et briser la mise en résidence surveillée de Tshisekedi dans le pays de JKK ?
Libre Examen
Sujets similaires
» TSHISEKEDI A PARIS ! EST-CE LA MEUTE CHALEUREUSE QUI L'ACCUEILLE AU CONTRAIRE DES 'BANDOKI' SUFFIRA-T-ELLE A ÉCARTER LE FREIN RÉEL DE SA COALITION QU'IL MINIMISE STRATÉGIQUEMENT ? OSONS L’ESPÉRER !
» Kabila : Non assistance en personne en danger !
» Tshisekedi votera Kabila
» RENCONTRE TSHISEKEDI KABILA
» BOKETSHU MAUDIT TSHISEKEDI JUSQU'A SA 4ém GENERATION.
» Kabila : Non assistance en personne en danger !
» Tshisekedi votera Kabila
» RENCONTRE TSHISEKEDI KABILA
» BOKETSHU MAUDIT TSHISEKEDI JUSQU'A SA 4ém GENERATION.
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum