revons un peu

geetaime a écrit:Que pensez-vous de ce message? Et de qui est-il?

Admin a écrit:

geetaime a écrit:Que pensez-vous de ce message? Et de qui est-il?

quelqu'un l'a déjà posté ici avec comme titre "rêvons un peu".
Je crois pour ma part qu'il s’agit d'un message venant d'un autre rêveur.
La triste réalité est que Kabila est encore là et restera encore là pour un bon bout de temps tant et aussi longtemps que nous aurons pour armes que nos rêves et nos souhaits.

ndonzwau a écrit:

Admin a écrit:

geetaime a écrit:Que pensez-vous de ce message? Et de qui est-il?

quelqu'un l'a déjà posté ici avec comme titre "rêvons un peu".
Je crois pour ma part qu'il s’agit d'un message venant d'un autre rêveur.
La triste réalité est que Kabila est encore là et restera encore là pour un bon bout de temps tant et aussi longtemps que nous aurons pour armes que nos rêves et nos souhaits.

Mais Admin, il faut fusionner ce sujet, ce message avait déjà été posté ici sur :

° https://congodiaspora.forumdediscussions.com/t5360-revons-un-peu

Pardon à Mme Geetaime, mais il n'y a aucun intérêt à le démultiplier sur le forum d'autant
que pour moi, c'est du charlatanisme, de l'obscurantisme ambiant des Congolais avec nos Eglises
de "sommeil" où "pasteurs, prophètes, bishops..." endorment les gens avec des sottises qu'on
veut prendre pour des prophéties de je ne sais quel Dieu...
Nzambe akosala te, biso batu tokobunda to tokobunda te, tokolonga to tokolonga te; il faut
qu'on arrête ce charlantanisme idiot, cette magie noire de quelques psychopates voleurs, pas
plus pasteurs que vous et moi qui prennent la religion pour un catharsis où n'existe même plus
la prière mais des predictions ridicules, des prophéties qui abêtissent davantage la population !

Ne rêvons pas, ce n'est pas Dieu qui viendra faire le boulot à notre place, s'il est celui
que disent les Ecritures, il nous a créé libres à son image pour que nous soyons nos arbitres
et non des manchots incapables de penser et de faire !!!
Arrêtons de rêver sinon c'est Kanambe qui prfitera de nos bêtises pour rester encore 30 ans
à ce poste !!!


Compatriotiquement!

Admin a écrit:

geetaime a écrit:Que pensez-vous de ce message? Et de qui est-il?

quelqu'un l'a déjà posté ici avec comme titre "rêvons un peu".
Je crois pour ma part qu'il s’agit d'un message venant d'un autre rêveur.
La triste réalité est que Kabila est encore là et restera encore là pour un bon bout de temps tant et aussi longtemps que nous aurons pour armes que nos rêves et nos souhaits.

geetaime a écrit:

Admin a écrit:

geetaime a écrit:Que pensez-vous de ce message? Et de qui est-il?

quelqu'un l'a déjà posté ici avec comme titre "rêvons un peu".
Je crois pour ma part qu'il s’agit d'un message venant d'un autre rêveur.
La triste réalité est que Kabila est encore là et restera encore là pour un bon bout de temps tant et aussi longtemps que nous aurons pour armes que nos rêves et nos souhaits.

Je n'avais pas vu le post, sorry.

mongo elombe a écrit:Des policiers rebelles ont pris le contrôle de la télévision d'Etat mardi aux Maldives, archipel paradisiaque de l'océan Indien où se déroulent depuis trois semaines des manifestations d'opposition contre le président Mohamed Nasheed.

Le président à démissionné aux dernières nouvelles.


Ca n'arrive qu'aux autres grrrrrrrrrrrr.

geetaime a écrit:

Admin a écrit:

geetaime a écrit:Que pensez-vous de ce message? Et de qui est-il?

quelqu'un l'a déjà posté ici avec comme titre "rêvons un peu".
Je crois pour ma part qu'il s’agit d'un message venant d'un autre rêveur.
La triste réalité est que Kabila est encore là et restera encore là pour un bon bout de temps tant et aussi longtemps que nous aurons pour armes que nos rêves et nos souhaits.

Je n'avais pas vu le post, sorry.

brown-man a écrit:

geetaime a écrit:

Admin a écrit:

geetaime a écrit:Que pensez-vous de ce message? Et de qui est-il?

quelqu'un l'a déjà posté ici avec comme titre "rêvons un peu".
Je crois pour ma part qu'il s’agit d'un message venant d'un autre rêveur.
La triste réalité est que Kabila est encore là et restera encore là pour un bon bout de temps tant et aussi longtemps que nous aurons pour armes que nos rêves et nos souhaits.

Je n'avais pas vu le post, sorry.

ah! Bon!
Quelle hypocrisie de ta part, t'as voulu reprendre le sujet afin d'entrainer dans la discussion les boudeurs reconnus de ce site mais qui te sont familier.(congokasai, libre expression kasaiene, tsipora du kasai, honorable kasaien..)

Mayele na bino toyebi yango
https://congodiaspora.forumdediscussions.com/post?p=104729&mode=quote
kasi ezali sans effets car le temps a changer

:bientot:

ndonzwau a écrit:

brown-man a écrit:

geetaime a écrit:

Admin a écrit:

geetaime a écrit:Que pensez-vous de ce message? Et de qui est-il?

quelqu'un l'a déjà posté ici avec comme titre "rêvons un peu".
Je crois pour ma part qu'il s’agit d'un message venant d'un autre rêveur.
La triste réalité est que Kabila est encore là et restera encore là pour un bon bout de temps tant et aussi longtemps que nous aurons pour armes que nos rêves et nos souhaits.

Je n'avais pas vu le post, sorry.

ah! Bon!
Quelle hypocrisie de ta part, t'as voulu reprendre le sujet afin d'entrainer dans la discussion les boudeurs reconnus de ce site mais qui te sont familier.(congokasai, libre expression kasaiene, tsipora du kasai, honorable kasaien..)

Mayele na bino toyebi yango
https://congodiaspora.forumdediscussions.com/post?p=104729&mode=quote
kasi ezali sans effets car le temps a changer

:bientot:

Mr BM,

Holà, comme vous y allez !!!

Désolé, je n'avais pas lu votre intervention ci-dessus sinon je vous aurais répondu de suite
méfiez-vous donc, Mr BM !..

Compatriotiquement!

brown-man a écrit:

ndonzwau a écrit:

brown-man a écrit:

geetaime a écrit:

Admin a écrit:

geetaime a écrit:Que pensez-vous de ce message? Et de qui est-il?

quelqu'un l'a déjà posté ici avec comme titre "rêvons un peu".
Je crois pour ma part qu'il s’agit d'un message venant d'un autre rêveur.
La triste réalité est que Kabila est encore là et restera encore là pour un bon bout de temps tant et aussi longtemps que nous aurons pour armes que nos rêves et nos souhaits.

Je n'avais pas vu le post, sorry.

ah! Bon!
Quelle hypocrisie de ta part, t'as voulu reprendre le sujet afin d'entrainer dans la discussion les boudeurs reconnus de ce site mais qui te sont familier.(congokasai, libre expression kasaiene, tsipora du kasai, honorable kasaien..)

Mayele na bino toyebi yango
https://congodiaspora.forumdediscussions.com/post?p=104729&mode=quote
kasi ezali sans effets car le temps a changer

:bientot:

Mr BM,

Holà, comme vous y allez !!!

Désolé, je n'avais pas lu votre intervention ci-dessus sinon je vous aurais répondu de suite
méfiez-vous donc, Mr BM !..

Compatriotiquement!

Ndonzwau: occupes-toi de tes oignons. Et ne joue pas au donneur des lecons ici.
J'ai tres mal dormi et laisse-moi tranquille.

Obandi pe kolekisa mingi. Yo nani?
P.S: je ne suis pas ton enfant et sache-le tres bien que je lutte pour le congo et non pour Tshisekedi. Un point et barre

Rêvons un peu et pourquoi pas détendons-nous un peu autrement !
Ca peut toujours être enrichissant; bon je veux dire, on ne sait jamais...

"Lettre d’un vieux con aux jeunes blancs-becs, pour leur éviter
de devenir des imbéciles d’âge moyen.
Par Guy De Boeck
° http://www.congoforum.be/upldocs/(2012%20n°3).pdf
Ayant l’âge de la retraite, je suis donc officiellement vieux. Il
m’est toujours loisible de me dire qu’à tout prendre, un vieux est un
gars qui a la chance d’être jeune depuis plus longtemps que les autres,
ce n’est là qu’une consolation purement verbale et un brin symbolique.
Ce qui aggrave mon cas, c’est que je ne suis pas un cas unique.
Lorsque, il y maintenant près de soixante six ans, j’annonçai au monde,
par un braillement sonore, qu’il faudrait désormais compter avec moi,
personne ne le remarqua. Non pas que j’eusse à me plaindre de
quelques indifférence de mes parents à mon égard. Rassurez-vous, mon
propos n’est pas de vous raconter une tranche de vie saignante sur
l’enfance malheureuse. Je veux simplement dire que l’on ne remarqua
pas particulièrement mes cris, même si j’y mettais du coeur, parce que je faisais partie d’une
chorale trop nombreuse et qu’il y avait alors des petits braillards dans tous les coins : on a
appelé cela les « baby-boom » et par la force des choses, cela débouche une soixantaine
d’années après sur un « papy boom ».Autrement dit, nous sommes dans une époque où il y a
beaucoup de vieux.
A quoi peuvent bien servir les vieux ? Une vénérable tradition littéraire veut que, si un
gugusse quelconque trempe sa plume dans l’encrier pour écrire sur une personne à cheveux
blancs et tant soit peu ridée, il trace obligatoirement des mots comme « sagesse » et
« expérience ». Il faudrait croire alors, camarades jeunots, que vous avez de la chance car
grâce au « papy boom » vous aurez à votre disposition des réservoirs vivants - ou au moins
vivotants – d’expérience et de sagesse en quantité telle qu’on en a rarement vu la pareille dans
l’histoire. La « sagesse » des vieillards ?… J’ai toujours eu tendance à répondre
courtoisement « Mon cul ! », me disant l’on ne peut pas donner de bons conseils simplement
parce qu’on ne peut plus donner le mauvais exemple et étant, au fond, du même avis que
Georges Brassens : « Le temps ne fait rien à l’affaire. Quand on est con, on est con ». Il m’a
toujours semblé que la « sagesse » qu’on nous attribue si généreusement était là pace qu’il
faut bien dire quelque chose et pou balancer à la tête des vieux un avantage susceptible de
compenser le fait d’avoir moins de cheveux, de manquer souvent de dents et, osons le dire
sans fard, de bander nettement moins dur qu’à vingt ans.

Pourtant un vieux sage africain, Amadou Hampate Ba pour être précis, disait, lui,
qu’un vieillard qui meurt, c’est « une bibliothèque qui brule ». Chouette, ça tombe bien. Moi
qui aime les bouquins…
Bien sûr, il se référait aux civilisations orales d’Afrique, où le passé n’existe sur
aucune autre étagère que la boite crânienne des vieux. Mais nous aurions tort de penser que
sous nos latitudes la chose ne serait pas vraie. Que saurions-nos de bien des choses de notre
assé si, à côté de la « vérité officielle », on n’avait pas recueilli aussi les souvenirs
populaires ? Et ils ne se réduisent pas à des anecdotes, loin de là ! Si, du temps de ma
lointaine jeunesse, j’avais mieux connu ce qui se raconte, à Liège ou dans le Hainaut, sur la
façon dont, sous Léopold II, les soldats tiraient sur les grévistes, j’aurais sans doute hésité
moins longtemps à admettre que ce même roi n’avait pas été, au Congo, le bienfaiteur
désintéressé dont me parlaient mes manuels scolaires. Je ne puis qu’en conclure que, en
l’occurrence, je suis resté un jeune con pendant plus longtemps que de raison, faute d’avoir de
vieux cons pour m’éclairer.
Entendons-nous bien, camarades blancs-becs, je ne suggère pas que vous devriez
écouter pieusement n’importe quel octogénaire qui raconte que le bon vieux temps est derrière
nous. Nous savons-tous que ce qu’il regrette dans e « bon vieux temps », c’est avant tout sa
propre jeunesse et, comme dans la chanson « Combien je regrette mon bras si dodu, ma
jambe bien faite et le temps perdu… ». Tant qu’à faire et remontant de génération en
génération, on finira par regretter le temps des crinolines, puis celui des armures, pour aboutir
tous dans une caverne, vêtus de slips en peau de mammouth et la massue à la main, à faire des
« tags » façon Lascaux. Ce sera charmant !

Ce que je veux dire, c’est que lorsque vos découvrez, entre ce que faisaient les
générations passées et ce qui se fait aujourd’hui, d’importantes différences, il pourrait être
extrêmement utile, pour vous-mêmes et pour vos descendants (je veux dire les petits crétins
qui, dans quelques années, vous traiteront à leur tour de vieux con), de vous demander
pourquoi ces différences existent, et de ne pas accepter trop facilement des réponses
simplistes comme « C’est le temps qui passe » ou « c’est le progrès ».
Il est bien évident que certains changements ne sont qu’affaire de mode. Mes premiers
souvenirs remontent aux années ’50. A ce moment-là, les gens étaient encre très marqués par
les privations de la guerre, surtout au niveau de la nourriture. Et les « ersatz » avaient laissé
un souvenir particulièrement amer. De ce fait, les commerçants avaient bien soin d’indiquer
qu’ils vendaient des denrées « au vrai beure » ou que la réclame de leur saucisson « pur porc »
ne devait pas être compris comme signifiant « 100 % de cochonneries ». Il est donc assez
marrant pour moi de me retrouver dans un monde où la publicité nous assure à tout bout de
champ que tout est « allégé », « dégraissé », « light » et je me demande parfois si, pour peu
que la tendance se précise et se renforce, nos arrière-petits-enfants ne se nourriront pas d’air
pur !

Lorsque j’étais petit, il était considéré comme normal et légitime que, pour punir les
enfants, on recoure à la violence physique. La fessée n’avait pas encore mauvaise réputation.
En réalité, si le principe existait, son application était assez rare. Et j’en suis toujours à me
demander si le marécage psycho-socio-pathologique dans lequel, à l’heure présente, l’on
enlise toute question touchant la pédagogie ou les rapports d’autorité vaut tellement mieux.
Qu’est-ce, finalement, qu’un châtiment corporel : c’est l’affirmation brutale (c’est le
cas de le dire) de ce que l’autorité repose avant tout sur un rapport de force. Cette affirmation
en contient implicitement une autre : l’autorité, et donc la définition sociale du bien et du mal,
peut changer, si le rapport de force change. La gamin fessé ne dit pas autre chose quand il
pense « Attends, et tu verras quand je serai grand ! ».
Au contraire, soumettre jeunes et vieux à une investigation psychanalytique et
sociologique visant à leur faire admettre leurs comportements comme « déviants »,
« pathologiques », « asociaux » les amène à admettre, à intérioriser l’idée que c’est en euxmêmes
qu’ils doivent rechercher la « maladie » qui les empêche d’avoir le comportement que
la société attend, ce qui implique que cette société, elle, est bonne et infaillible. On obtient
ainsi le consentement de tous à un désordre établi qui désire le consentement pour dissimuler
qu’il repose toujours purement et simplement sur la force. Et, bien évidemment, consentir à
un rapport de force, c’est renoncer à le changer !

En fait, j’ai l’impression qu’une bonne partie de ma vie m’a servi à assister à une
gigantesque entreprise de séduction, de persuasion, d’obtention du consentement et de
culpabilisation visant à ce que les gens intériorisent, dans ce que l’on veut bien leur laisser de
cerveau, qu’ils vivent dans une société qui se soucie d’eux, protège leurs droits et recherche la
justice, alors qu’elle est plus inégalitaire, plus injuste, plus déshumanisante qu’elle ne l’a
jamais été. Le prodige, ce n’est pas que le désordre établi ait pu se maintenir. L’ordre le plus
injuste peut se maintenir longtemps s’il s’appuie sur une force écrasante. Les exemples en
sont légion. L’exploit dont il faut saluer la grandeur, c’est que cela s’est passé avec le
consentement des intéressés, avec la complicité agissante des victimes.
Je ne vous parle pas du passé pour vous dire que j’ai bien rigolé dans ma jeunesse et
que je me souviens avec plaisir de telles et telles années comme étant « le bon vieux temps ».
Je suis en train de vous dire, et si vous le désirez vous pouvez vous en assurer en consultant
divers textes de lois nettement plus rébarbatifs que ma lettre, que les gens qui aujourd’hui ont
entre 50 et 70 ans ont pour principal souvenir d’avoir assisté à la plus considérable démolition
des Droits de l’Homme de l’histoire de l’humanité.
Il a fallu longtemps, et de nombreuses luttes, pour asseoir sérieusement le début d’un
embryon de garantie pour les Droits de l’Homme les plus élémentaires. Quand je dis
« élémentaires », j’entends par là : « indispensables à la vie », étant évidemment entendu que
pour qu’il y ait des droits, il faut qu’il y ait un homme vivant ? Cela veut dire qu’une société
ne saurait prétendre qu’elle respecte les droits de l’homme si elle ne lui assure pas ses besoins
de base : nourriture, logement, instruction, santé sans que cela soit d’aucune manière soumis à
des contraintes telles que, par exemple, les soi disant « lois du marché ». Tout au plus
pourrait-on admettre que l’on n’établisse pas d’un seul coup un tel ordre juste, mais que l’on y
aille progressivement, par une diminution progressive, au fil du temps, de la part qui en serait
soumise à des contraintes d’argent. Nous avons vu se passer le contraire.

Force m’est de constater que, si l’on regarde 50 ans en arrière, j’avais à l’époque des
droits mieux assurés qu’aujourd’hui. Face à l’arbitraire toujours possible de la police, mes
droits n’avaient pas encore été diminué au nom de la « lutte contre le terrorisme ». Un
« service public » était bien un service assuré à tous pour le coût le plus bas possible, et non
une affaire à privatiser au plus vite pour accroître les profits des banques en n’en gardant que
les aspects « rentables ». Le respect alors encore légalement obligatoire pour ma vie privée,
rendait très limitées les possibilités que l’on espionnât mes communications téléphoniques ou
ouvrît mon courrier. Si je me mettais en grève, l’on n’avait pas encore pensé à dépoussiérer
des lois datant de Léopold II pour lancer contre moi des huissiers, des juges et des flics. Et ; si
mon salaire était indexé, l’on avait encore le bon sens de reconnaître que c’était là une
pratique utile qui diminuait les possibilités de conflits sociaux, et non une « pratique belge
minoritaire, anormale et obsolète qui nuit à notre compétitivité ».
Nous avons assisté à une remarquable application du « théorème de la grenouille
cuite ». Si l’on jette un de ces batraciens dans une casserole d’eau bouillante, il saute dehors et
se sauve. Si par contre la grenouille est mise dans l’eau froide portée progressivement à
ébullition, elle se laisse cuire et meurt. L’étranglement de nos droits a eu lieu de façon
similaire. On peut même, en regardant en arrière, identifier les différentes louches d’eau
bouillante ajoutée au bouillon. Les politiques antisociales pudiquement dites « d’austérité »,
« de rigueur » ou « d’économies » qi sacrifient les pauvres au profit des riches nous ont été
administrées
- en 1960 pour assurer le plein emploi malgré a perte du Congo ;
- en 1970 parce que c’était la fin des « golden sixties » ;
- en 1980 parce que les Arabes augmentaient les prix du pétrole ;
- en 1990 pour éviter que l’on délocalise vers les pays de l’Est ;
- en 2000 parce qu’il fallait des efforts « écologiques » contre le réchauffement climatique ;
- en 2010 à case des subprimes, puis des Grecs, des Portugais, des Espagnols etc…
Bien entendu, comme je suis gâteux, je puis m’être trompé et avoir mis une cause à la
place d’une autre, mais je suis sûr qu’on nous les a servies toutes, avec en prime les Chinois
qui cassent les prix, les chômeurs qui ne veulent pas travailler (alors qu’ils sont dix fois plus
nombreux que les offres d’emplois) et les étrangers qui de toute manière foutent le bordel et
feraient mieux de rentrer chez eux.
Bien entendu, ce que je n’ai jamais entendu formuler, ou alors si faiblement… et de
plus en plus faiblement, car la grenouille était de plus en plus en agonie, c’est l’idée qu’il
serait peut-être temps d’essayer une autre politique.
Adieu, jeunes camarades, la mort qui vient ne me dérange pas trop , car l’enfer qui
vous attend ne me fait nulle envie.


"Actualité Scientifique
Quelques théorèmes

LOI DE MURPHY
Tout corps plongé dans une baignoire... déclenche systématiquement la sonnerie du téléphone
! (ça m'est arrivé pas + tard que ce matin !!)
LOI DE TATA JACQUELINE
C'est celui qui ronfle qui s'endort toujours le premier. (..et c'est celui qui s'énerve pas..)
PRINCIPE DE RUBY
La probabilité de rencontrer une personne de ta connaissance augmente quand tu es avec
quelqu'un avec qui tu ne veux pas être vu.
LOI DE BOOB
Quel que soit l'objet, il sera trouvé dans le dernier endroit dans lequel on l'aura cherché. (Tu
m'étonnes !!)
LOI DE LA GRAVITE SÉLECTIVE
En tout point de la surface du globe, toute biscotte tombera côté beurre.
OBSERVATION DE ZENONE
L'autre file va plus vite. (c'est vrai !!)
VARIATION DE O'BRIEN SUR L'OBSERVATION DE ZENONE
Si tu changes de file, celle que tu viens de quitter deviendra alors la plus rapide. (c'est
tellement vrai !!)
RÈGLE DE FLUGG
Plus est urgent le motif pour lequel tu es dans la file d'attente, plus sera lent l'employé du
guichet.
LOI DE ROGER
C'est seulement après que l'hôtesse a servi le café, que l'avion traverse une zone de
turbulences. (tout pareil pour le repas..et c'est encore pire !!)
EXPLICATION DE TONTON BERNARD
Le café est la cause principale de turbulences en altitude.
CINQUIÈME LOI DE YOUNG
Se tromper est humain, mais pour vraiment mettre le bordel, il faut y ajouter un ordinateur.
POSTULAT DU PARKING
C'est après avoir garé ta voiture à deux kilomètres de distance, que quatre places se libèrent
simultanément juste en bas de chez toi. (No comment, sujet beaucoup trop sensible en ce
moment !!!)