Il parrait que Tshisekedi pourrait prendre la primature.

Il y a une forte et secrete demarche menee par les occidentaux pour qu'il y ait partage du pouvoir. Information a` analyser. Suivez:

Tshisekedi prêt à accepter la primature et la cohabitation avec Kabila!

Publié le 08/03/2012 | Par bakolokongo

Après la démission d’Adolphe Muzito, plusieurs scenarios et combines politiciennes sont entrepris dans la course à la primature en RDC. Les derniers renseignegments qui viennent de parvenir subitement à la rédaction de Bakolokongo.com dont la réputation du courage de la vérité et de révélation est connue de tous les patriotes, font état de la dernière ligne droite des conciliabules entre Joseph Kabila et Etienne Tshisekedi pour le poste de premier ministre.

Des sources diplomatiques à Kinshasa contactées par notre rédaction, il revient que Joseph Kabila aurait mis une bagatelle très importante et séduisante en jeu pour convaincre le président de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), par puissances étrangères interposées, à accepter le poste de premier ministre afin de mettre un terme décisif à la crise postélectorale du maestro Ngoy Mulunda de la Ceni. Tous les moyens sont mis en jeu pour y aboutir, apprend-on avec assurance. Raisons et motivations avancées, «sauver le Congo, favoriser la cohésion nationale, pour résoudre la crise postélectorale par une «solution politique sage» sinon le pays risque de sombrer dans la guerre civile dont les conséquences pourraient être très fatales pour la démocratie et l’intégrité territoriale. Même le proche entourage de l’imposteur sanguinaire Joseph Kabila à Kinshasa a confirmé l’information, par moquerie ou provocation à l’opinion hostile au régime de Kinshasa.

Des arguments relatifs à son âge et à la dernière chance d’inscrire son nom dans l’histoire politique de la démocratie congolaise amorcée depuis 2006, dans laquelle Tshisekedi est quasi absent, ont été vivement évoquées pour convaincre le candidat no.13 de la mascarade du 28 novembre dernier par les émissaires des puissances étrangères désignés pour accomplir cette mission de haute stratégie.

D’après les mêmes sources, ces derniers arguments auraient attiré la sensibilité d’Etienne Tshisekedi, celui qui a rejeté la victoire de Joseph Kabila pour s’autoproclamer président élu de la RDC et a dans la suite prêté serment ; les émissaires des pays étrangers qui ont défilé nuitamment à tour de rôle à Limeté ont fait savoir à Tshisekedi la nécessite de designer un premier ministre d’origine kasaienne pour stabiliser le paysage politique kasaien, résoudre et unifier la classe politique fragile des deux Kasai. Cet homme doit être un poid lourd politique qui puisse s’imposer dans les deux Kasai et constituer une force d’interposition entre la majorité et l’oposition comme ce fut le cas avec Antoine Gizenga en 2006 dans le Bandundu contestataire et hostile à Joseph Kabila et apaiser les deux provinces.

A entendre nos renseignants, Tshisekedi n’a pas répondu par oui ou non, n’a pas donné sa vraie position mais a cependant avancé déjà une condition fondamentale : «le partage verticale du pouvoir qui consisterait au partage égal des ministères et des chambres du parlement où il aurait même exigé la présidence du sénat». Reste à savoir si cette démarche des combines politiciennes aboutira comme les renseignements le confirment. Reste à savoir si le maitre de Limete cédera-t-il pour échanger des accolades avec celui dont il a énergiquement rejeté la réélection à la tête du pays pour un nouveau mandat de cinq ans. Si cela se confirmait et se réaliserait, Etienne Tshisekedi sera à son ième rendez-vous avec la trahison dans l’histoire politique de la RDC et battra tous les recors de haute trahison de la patrie et du peuple congolais.

Face à ces renseignements et cette situation dangereuse qui compromettrait la nation, la rédaction de Bakolokongo.com reste très prudente, se réserve de faire tout commentaire ou d’exprimer un quelconque sentiment, d’apporter un quelconque jugement et laisse le soin à l’opinion nationale d’apprécier. Rien ne sert de s’agiter ou de trop chercher car, le temps étant meilleur juge et meilleur médecin, l’avenir proche nous éclairera.

En attendant l’aboutissement des négociations secrètes entre les deux hommes, Joseph Kabila dont la réélection est vivement contestée par la communauté nationale et internationale a procédé à la désignation d’un premier ministre intérimaire en la personne de son collabo Louis Koyagialo Ngbase te Gerengbo, Originaire de la province de l’Equateur, plus précisément de l’ethnie Ngbandi et très proche de feu le maréchal Mobutu. Jusque-là Vice – premier ministre, ministre des Postes et Nouvelles technologies de la communication du gouverenement démissionnaire Muzito, le collabo Louis Koyagialo avait en effet été accusé et même condamné pour une participation au massacre -jamais avérée- des étudiants de l’Université de Lubumbashi en mai 1990. Adjoint de feu Katumba Mwanke au secrétariat exécutif de l’Alliance de la Majorité Présidentielle (AMP) du régime d’occupation sanguinaire, il l’a remplacé après sa démission en décembre2009 avant de céder la direction de la majorité à Aubin Minaku en juillet 2011.

Congo Kinshasa Colère des parlementaires débout sur la situation politique 2..congomikili

https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=I2_A2jgUK2s

Pona batu oyo qui ne regrettent rien de tout ce qui s'est passe', ils ne peuvent pas ko-comprendre necessite ya komona opposition completement inclue dans la direction de ce nouveau mandat.

Thsisekedi ou un autre opposant(parmi les tenors de l'opposition) a` la primature, ekozala facon moko ya ko-appaiser les esprits ya ba millions ya ba congolais qui croient jusqu'aujourd'hui que leur vote a ete vole'. Normalement batu oyo bazali ko se moquer na partage du pouvoir oyo biso tokomi ko-souhaite doivent reflechir que soki Congo ezalaki penza na democratie, ba fraudes nioso oyo ba peuple bazalaki kokanga batu ya Pprd en pleine action, ekokaki ko-coute kabila forfait pe akokaki kokama annuler de la course. Mais lokola mboka na biso democratie ezalaka ya kombo, yango wana Ceni abimisi Kabila president. Toza lisusu kuna te, po faute ezalaki nde ya biso ba congolais na ya thisekedi qui avaient oublie' que tozali ko-vivre na mokili ya jungle ou` ba ruse', ba mechants, ba aventuries, na ba plus forts nde mutu balongaka.

Yango wana ba mindele misusu comme toujours na biso, nous croyons que le partage de pouvoir ekozala une sortie de la crise. Parce que soki la MP e-confisque pouvoir nioso, tozomona deja tendance ya ba anciens chefs rebelles ya Est pe ya Nord du Congo ya ko-bouder pouvoir na bango. Ba frictions ekozala makasi dans l'exercise du pouvoir a` tout le niveau a` tel point que ba services ekozala bien administre te epayi ba peuple, alors toko suka na 5 ans lisusu ya zunguluke. Soki mutu alingi Congo malamu, akolinga a-soutenir idee oyo ya partage du pouvoir.

moleki nzela a écrit:Il y a une forte et secrete demarche menee par les occidentaux pour qu'il y ait partage du pouvoir. Information a` analyser. Suivez:

Tshisekedi prêt à accepter la primature et la cohabitation avec Kabila!

Publié le 08/03/2012 | Par bakolokongo

Après la démission d’Adolphe Muzito, plusieurs scenarios et combines politiciennes sont entrepris dans la course à la primature en RDC. Les derniers renseignegments qui viennent de parvenir subitement à la rédaction de Bakolokongo.com dont la réputation du courage de la vérité et de révélation est connue de tous les patriotes, font état de la dernière ligne droite des conciliabules entre Joseph Kabila et Etienne Tshisekedi pour le poste de premier ministre.

Des sources diplomatiques à Kinshasa contactées par notre rédaction, il revient que Joseph Kabila aurait mis une bagatelle très importante et séduisante en jeu pour convaincre le président de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), par puissances étrangères interposées, à accepter le poste de premier ministre afin de mettre un terme décisif à la crise postélectorale du maestro Ngoy Mulunda de la Ceni. Tous les moyens sont mis en jeu pour y aboutir, apprend-on avec assurance. Raisons et motivations avancées, «sauver le Congo, favoriser la cohésion nationale, pour résoudre la crise postélectorale par une «solution politique sage» sinon le pays risque de sombrer dans la guerre civile dont les conséquences pourraient être très fatales pour la démocratie et l’intégrité territoriale. Même le proche entourage de l’imposteur sanguinaire Joseph Kabila à Kinshasa a confirmé l’information, par moquerie ou provocation à l’opinion hostile au régime de Kinshasa.

Des arguments relatifs à son âge et à la dernière chance d’inscrire son nom dans l’histoire politique de la démocratie congolaise amorcée depuis 2006, dans laquelle Tshisekedi est quasi absent, ont été vivement évoquées pour convaincre le candidat no.13 de la mascarade du 28 novembre dernier par les émissaires des puissances étrangères désignés pour accomplir cette mission de haute stratégie.

D’après les mêmes sources, ces derniers arguments auraient attiré la sensibilité d’Etienne Tshisekedi, celui qui a rejeté la victoire de Joseph Kabila pour s’autoproclamer président élu de la RDC et a dans la suite prêté serment ; les émissaires des pays étrangers qui ont défilé nuitamment à tour de rôle à Limeté ont fait savoir à Tshisekedi la nécessite de designer un premier ministre d’origine kasaienne pour stabiliser le paysage politique kasaien, résoudre et unifier la classe politique fragile des deux Kasai. Cet homme doit être un poid lourd politique qui puisse s’imposer dans les deux Kasai et constituer une force d’interposition entre la majorité et l’oposition comme ce fut le cas avec Antoine Gizenga en 2006 dans le Bandundu contestataire et hostile à Joseph Kabila et apaiser les deux provinces.

A entendre nos renseignants, Tshisekedi n’a pas répondu par oui ou non, n’a pas donné sa vraie position mais a cependant avancé déjà une condition fondamentale : «le partage verticale du pouvoir qui consisterait au partage égal des ministères et des chambres du parlement où il aurait même exigé la présidence du sénat». Reste à savoir si cette démarche des combines politiciennes aboutira comme les renseignements le confirment. Reste à savoir si le maitre de Limete cédera-t-il pour échanger des accolades avec celui dont il a énergiquement rejeté la réélection à la tête du pays pour un nouveau mandat de cinq ans. Si cela se confirmait et se réaliserait, Etienne Tshisekedi sera à son ième rendez-vous avec la trahison dans l’histoire politique de la RDC et battra tous les recors de haute trahison de la patrie et du peuple congolais.

Face à ces renseignements et cette situation dangereuse qui compromettrait la nation, la rédaction de Bakolokongo.com reste très prudente, se réserve de faire tout commentaire ou d’exprimer un quelconque sentiment, d’apporter un quelconque jugement et laisse le soin à l’opinion nationale d’apprécier. Rien ne sert de s’agiter ou de trop chercher car, le temps étant meilleur juge et meilleur médecin, l’avenir proche nous éclairera.

En attendant l’aboutissement des négociations secrètes entre les deux hommes, Joseph Kabila dont la réélection est vivement contestée par la communauté nationale et internationale a procédé à la désignation d’un premier ministre intérimaire en la personne de son collabo Louis Koyagialo Ngbase te Gerengbo, Originaire de la province de l’Equateur, plus précisément de l’ethnie Ngbandi et très proche de feu le maréchal Mobutu. Jusque-là Vice – premier ministre, ministre des Postes et Nouvelles technologies de la communication du gouverenement démissionnaire Muzito, le collabo Louis Koyagialo avait en effet été accusé et même condamné pour une participation au massacre -jamais avérée- des étudiants de l’Université de Lubumbashi en mai 1990. Adjoint de feu Katumba Mwanke au secrétariat exécutif de l’Alliance de la Majorité Présidentielle (AMP) du régime d’occupation sanguinaire, il l’a remplacé après sa démission en décembre2009 avant de céder la direction de la majorité à Aubin Minaku en juillet 2011.

Je ne sais pas, mais je crois que ce qui se passe dans la tete de Tshisekedi c'est ceci:

-Quel genre de primature? Comme je l'ai deja ecrit, ce serait de l'aventure si c'est pour offrir une primature a` Tshisekedi du style Muzito ou` le financement des services et activites de l'Etat appartient a` la presidence et ou` le gouvernement est la` que pour elaborer l'apect technique des programmes de l'Etat, signatures et approbation doivent venir de la presidence. Une telle primature ne servira a` rien. Wana ekozala lokola Tshisekedi cracherait aux morts survenus lors des manifestations electorales. Il faut remettre a` l'opposition la primature telle que prevue dans la constitution, la` au moins le pays pourra fonctionner et on pourra dire qu'il ya eu partage du pouvoir.

-Une primature de consensus. Toboyi que ezala primature moko ya nomination ou` apres 1 ou 2 ans Kabila revoque Tshisekedi. Wana ekozala ba jeux na ba blagues. Le but de ce partage du pouvoir ezali l'unite nationale et l'evitement de conflits, alors le partage du pouvoir de la primature a` l'opposition il faut ezala garantie pour tout ce mandat de 5 ans. Ca doit etre un consensus qu'aucune partie ezali kondima defaite des elections presidentielles alors partagez la presidence et la primature pendant 5 ans pour chacun. De ce fait Kabila akozala jamais na pouvoir ya ko-demettre Thsiskedi pendant ce mandat qui vient de commencer.

Plus tu possède, plus tu veux posséder, et plus tu es possédé!!!
La libération des peuples du Kongo se fera par le peuple lui même et non par la politique imposée.
La fin sera sanglante, le jugement sera INTRANSIGEANT. Mais, peuple du Kongo, la libération éternelle est proche. Le serpent sent que sa fin est proche, il remue sa queue dans tous les sens. Tenez bon, peuple du Kongo, POUR L'AMOUR DE DIEU TENEZ BON.

Vautrin a écrit:Plus tu possède, plus tu veux posséder, et plus tu es possédé!!!
La libération des peuples du Kongo se fera par le peuple lui même et non par la politique imposée.
La fin sera sanglante, le jugement sera INTRANSIGEANT. Mais, peuple du Kongo, la libération éternelle est proche. Le serpent sent que sa fin est proche, il remue sa queue dans tous les sens. Tenez bon, peuple du Kongo, POUR L'AMOUR DE DIEU TENEZ BON.

Vautrin,
Message recu

Plusieurs sources le confirment : Kabila offre la Primature à un fils du Bas-Congo


C'est depuis plus de cinquante ans qu'aucune personnalité originaire de la province du Bas-Congo n'a été nommée Premier ministre. Joseph-Désiré Mobutu, Laurent-Désiré Kabila et Joseph Kabila. Personne de ces trois chefs de l'Etat n'a pensé offrir la Primature à un Ne-Kongo. Même lors des partages «équitable et équilibré du pouvoir», le Bas-Congo n'avait jamais retenu l'attention des acteurs politiques congolais.

Cette fois-ci, confirment des sources proches du pouvoir, Joseph Kabila est décidé à donner la Primature à un fils de la province du Bas-Congo. Les mêmes sources citent avec certitude le nom de Simon-Floribert Mbatshi Mbatshia. Elu député national dans le Lukula lors des élections législatives du 28 novembre 2011, il a renoncé à son poste de gouverneur pour siéger à l'assemblée nationale. Et cela, malgré les appels des acteurs de la Société civile du Bas-Congo qui veulent le voir encore à la tête de leur province.

link a écrit:Plusieurs sources le confirment : Kabila offre la Primature à un fils du Bas-Congo


C'est depuis plus de cinquante ans qu'aucune personnalité originaire de la province du Bas-Congo n'a été nommée Premier ministre. Joseph-Désiré Mobutu, Laurent-Désiré Kabila et Joseph Kabila. Personne de ces trois chefs de l'Etat n'a pensé offrir la Primature à un Ne-Kongo. Même lors des partages «équitable et équilibré du pouvoir», le Bas-Congo n'avait jamais retenu l'attention des acteurs politiques congolais.

Cette fois-ci, confirment des sources proches du pouvoir, Joseph Kabila est décidé à donner la Primature à un fils de la province du Bas-Congo. Les mêmes sources citent avec certitude le nom de Simon-Floribert Mbatshi Mbatshia. Elu député national dans le Lukula lors des élections législatives du 28 novembre 2011, il a renoncé à son poste de gouverneur pour siéger à l'assemblée nationale. Et cela, malgré les appels des acteurs de la Société civile du Bas-Congo qui veulent le voir encore à la tête de leur province.

Les orginaires de Bas Congo sont par nature administratifs. Ce ne sera pas mal comme choix. Mais seulement comme a dit l'auteur du sujet, il faut que la primature se permette de tous ses pouvoirs garantis par la constitution. L'exercise de gouverner doit lui revenir ainsi que le financement. On a entendu que selon les accords, les occidentaux percevront 80 % de nos resources minieres et 20 % sera notre. On voit bien qu'avec le 20% qui nous reste plus les impots et autres taxes sur le commerce, un gouvernement professionnel et efficient pourra remettre le pays sur le rail et faire en sorte que toutes les populations beneficient des activites economiques du pays.

Mais si les nouveaux dirigeants de la MP vont se permettre de se comporter en terrain conquis et matter le gouvernement, la` ils nous laisseront pas le choix de voir autrement.