FLASH: KANYAMA VIENT D ENLEVER ENCORE DIOMI NDONGALA AU CENTRE CANA CE SOIR A 22H30
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djino
piélé de dongo
mongo elombe
KOTA
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FLASH: KANYAMA VIENT D ENLEVER ENCORE DIOMI NDONGALA AU CENTRE CANA CE SOIR A 22H30
Démocratie Chrétienne
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LE COLONEL KANYAMA A LA TETE DE 20 POLICIERS VIENT D ENLEVER SANS MANDAT A 22H00 AU CENTRE CANA LE DEPUTE EUGENE DIOMI NDONGALA.
LES POLICIERS ONT BRUTALISE LE PERSONNEL DE CANA ET PARTICULIEREMENT LES RECEPTIONISTES POUR DEMANDER OU SE TROUVAIT DIOMI NDONGALA. IL L ONT PRIS DE FORCE ET AMANER AVERS UNE DESTINATION INCONNUE. L AGENT DE SECURITE MAMBA QUI ETAIT A LA PORTE DU CENTRE A ETE AUSSI ENLEVE.
LA FAMILLE DIOMI ET LA DEMOCRATIE CHRETIENNE EXPRIMENT DES VIVES CRAINTES POUR L INTEGRITE PHISIQUE DU DEPUTE DIOMI NDONGALA ET DEMANDENT A TOUS LES CONGOLAIS EPRIS DE JUSTICE DE SE MOBILISER CONTRE CET HARCELEMENT POLITICO-JUDICIARE QUI VIT LE DISSIDENT DIOMI NDONGALA DEPUIS PLUSIEURS ANNEES
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LE COLONEL KANYAMA A LA TETE DE 20 POLICIERS VIENT D ENLEVER SANS MANDAT A 22H00 AU CENTRE CANA LE DEPUTE EUGENE DIOMI NDONGALA.
LES POLICIERS ONT BRUTALISE LE PERSONNEL DE CANA ET PARTICULIEREMENT LES RECEPTIONISTES POUR DEMANDER OU SE TROUVAIT DIOMI NDONGALA. IL L ONT PRIS DE FORCE ET AMANER AVERS UNE DESTINATION INCONNUE. L AGENT DE SECURITE MAMBA QUI ETAIT A LA PORTE DU CENTRE A ETE AUSSI ENLEVE.
LA FAMILLE DIOMI ET LA DEMOCRATIE CHRETIENNE EXPRIMENT DES VIVES CRAINTES POUR L INTEGRITE PHISIQUE DU DEPUTE DIOMI NDONGALA ET DEMANDENT A TOUS LES CONGOLAIS EPRIS DE JUSTICE DE SE MOBILISER CONTRE CET HARCELEMENT POLITICO-JUDICIARE QUI VIT LE DISSIDENT DIOMI NDONGALA DEPUIS PLUSIEURS ANNEES
KOTA
Re: FLASH: KANYAMA VIENT D ENLEVER ENCORE DIOMI NDONGALA AU CENTRE CANA CE SOIR A 22H30
Si c'est vrai le but c'est quoi, il a encore violé? Ndoto ooo nini? Ses militaires l'est ça ne leur dit rien makasi kaka épaï ya mba citoyens? Un vrai cauchemar.
mongo elombe
Re: FLASH: KANYAMA VIENT D ENLEVER ENCORE DIOMI NDONGALA AU CENTRE CANA CE SOIR A 22H30
MISE A JOUR A 02H50
NOUS VENONS DE RECEVOIR LE TEMOIGNAGE DE L AGENT DE SECURITE MAMBA QUI VIENT D ETRE LIBERE: LE PRESIDENT DIOMI NDONGALA EST BLESSE AU BRAS ET IL SERAIT DETENU AUX SERVICES SPECIAUX PRES PRES DE IEC. NI SON AVOCAT NI LA MONUSCO N ONT PU LE RENCONTRER.
NOUS VENONS DE RECEVOIR LE TEMOIGNAGE DE L AGENT DE SECURITE MAMBA QUI VIENT D ETRE LIBERE: LE PRESIDENT DIOMI NDONGALA EST BLESSE AU BRAS ET IL SERAIT DETENU AUX SERVICES SPECIAUX PRES PRES DE IEC. NI SON AVOCAT NI LA MONUSCO N ONT PU LE RENCONTRER.
KOTA
Re: FLASH: KANYAMA VIENT D ENLEVER ENCORE DIOMI NDONGALA AU CENTRE CANA CE SOIR A 22H30
Enfin il y a cas même justice dans ce pays, si cette nouvelle est vrai, on peut que se rejouir pour ces pauvres enfants car l'homme aprés qu'il soit caché pendant 100 jours, le voila maintenant aux mains de la police du Pays. Est que la justice suit son cours normal.
piélé de dongo
Re: FLASH: KANYAMA VIENT D ENLEVER ENCORE DIOMI NDONGALA AU CENTRE CANA CE SOIR A 22H30
"Diomi Ndongala "enlèvé" par la police politique de "Joseph Kabila""
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=7920
"RDC : le député Diomi Ndongala arrêté par la police"
° http://radiookapi.net/actualite/2013/04/09/rdc-le-depute-diomi-ndongala-arrete-par-la-police/
Compatriotiquement
ndonzwau
Re: FLASH: KANYAMA VIENT D ENLEVER ENCORE DIOMI NDONGALA AU CENTRE CANA CE SOIR A 22H30
Trop c'est trop! Ebongo ya Tshitshi azo lobela likambo oyo te pona nini???? UDPS soki bazalaka na ba stratèges, nde ba mobiliser diaspora pe ba trasnféré dossier na ba médias internationaux.
Mr Kota, il faut mettre ceux qui soutiennent ce guignol devant leurs responsabilités. J'espère que vous avez déjà contacté les ambassadeurs occidentaux à Kin. Ya en a marre à la fin!!!
Mr Kota, il faut mettre ceux qui soutiennent ce guignol devant leurs responsabilités. J'espère que vous avez déjà contacté les ambassadeurs occidentaux à Kin. Ya en a marre à la fin!!!
Tsippora
Re: FLASH: KANYAMA VIENT D ENLEVER ENCORE DIOMI NDONGALA AU CENTRE CANA CE SOIR A 22H30
MEMORANDUM SUR LE DEPUTE DISSIDENT EUGENE DIOMI NDONGALA, PRESIDENT NATIONAL DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, D.C. ET PORTE PAROLE DE LA MAJORITE PRESIDENTIELLE POPULAIRE, M.P.P, PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
LES FAITS
Le 08/04/2013 à 22h00, un commande de 20 policiers avec à leur tête le Colonel Kanyama, alias « Esprit de mort », débarquent au siège de la Démocratie Chrétienne sur Avenue Colonel Ebeya au numéro 7, défalquant les murs de la parcelle et agressant physiquement la sentinelle et toutes les personnes présentes sur le lieu, particulièrement M.lle Annie Fuala, secrétaire Exécutive de la D.C..
Ils demandent aux infortunés – entre un coup de crosse et une gifle – où se trouve Eugène Diomi Ndongala. Ils ne présentent aucun document légal justifiant la violation nocturne de domicile.
Par la suite, ils se rendent au Centre Cana, sur Avenue des Palmiers à la Gombe, où l’agent de sécurité qui est à la porte leur demande l’exhibition d’un document justifiant leur entrée nocturne dans l’enceinte du Centre. N’exhibant aucun mandat, ils défalquent le mur et brutalisent l’agent de sécurité. Le commando pénètre à l’intérieur du Centre et agresse les réceptionnistes avant même de leur poser des questions : une s’en sortira avec des gifles et l’autre avec un bras tordu. Ils demandent ensuite de leur indiquer où se trouve le député Diomi Ndongala. Le député Diomi Ndongala les approche demandant les raisons de ces violences et lui-même est agressé et jeté au sol par les policiers du commando, en recevant, entre autres, un coup de pied au bras. Blessé, il sera amené à une destination inconnue. Aucun document n’est exhibé pour justifier cette descente violente. Aucune justification n’est donné à Diomi Ndongala pour lui expliquer les raisons de cette descente violente et nocturne, contraire à la loi congolaise qui interdit toute action en exécution même d’ actes de justice la nuit.
Tant Eugène Diomi Ndongala que l’agent de sécurité Mamba sont amenés vers une destination inconnue.
La famille Diomi et les responsables de la Démocratie Chrétienne alertent la Monusco et les Ong des droits de l’homme, malgré l’heure nocturne, afin de demander leur aide pour localiser les personnes enlevées.
C’est l’agent de sécurité qui sera relâché tard la nuit, qui indiquera le lieu de détention de Diomi Ndongala et indiquera à la famille que celui-ci a été blessé au bras.
Le matin du 09/04/2013, Eugène Diomi Ndongala est transféré du cachot de l’Inspection Provinciale de la Police au Parquet Général de la République.
Il sera auditionné tard l’après-midi par l’Avocat Général qui l’informera de l’existence d’un mandat d’amener à son nom, daté 18 janvier 2013, selon lui.
Les avocats du député Diomi Ndongala mettront en exergue le fait qu’aucune invitation ou même convocation n’a jamais été envoyée au Député Diomi Ndongala, dont la résidence est connue à Kinshasa par les services du PGR.
Après une brève audition pendant laquelle on lui reproche des accusations incohérentes contenues dans le réquisitoire du PGR daté juillet 2012, et sans affronter le fond des accusations, il sera placé directement en détention provisoire à la prison de Makala. Il devrait être auditionné encore le 10/04/2013.
<p style="text-align: justify;">Plusieurs sources internes au système judiciaire indiquent que le mandant d’amener formellement daté 18/01/2013 a été en réalité émis le 08/04/2013 et pré-daté. Elles confirment aussi que Diomi Ndongala n’a jamais été ni invité ni convoqué par les magistrats avant le 08/04/2013.
<blockquote>Cela signifie que l’objectif de l’énième mise en scène et de l’action violente de Kanyama était manifestement d’humilier, tabasser et emprisonner le Président de la Démocratie Chrétienne.
</blockquote>Il sied de souligner que depuis le mois de décembre 2012, deux requête en inconstitutionnalité ont été introduites à la Cour suprême de Justice par Maitre Richard Bondo, avocat de Diomi Ndongala, dénonçant l’inconstitutionnalité du réquisitoire du PGR daté 19 Juillet 2012 ainsi que la procédure de la levée de l’immunité du député Diomi Ndongala, celle-ci n’ayant respecté plusieurs dispositions du Règlement d’ordre Intérieur de l’Assemblée Nationale, ni la Constitution en vigueur en RDC. Selon l’art.121 de la Constitution, les requetés en inconstitutionnalité ont un effet suspensif de toute action judiciaire ou administrative. Des lors, jusqu’à l’examen de la part de Cour suprême de Justice des deux requête en inconstitutionnalité, l’action menée par la justice ou la police après le dépôt des deux requêtes est illégale, surtout que les PGR ainsi que l’Assemblée Nationale ont été saisies par des correspondances des avocats de Diomi Ndongala les informant des recours en inconstitutionnalité valablement déposés.
Face à cette énième manipulation de la justice – qui n’a pas de gêne à se prévaloir des services « violents » des « hooligans » en uniforme de la police-politique dirigée par le Colonel Kanyama -
la DC dénonce l’incarcération du Président Eugène Diomi Ndongala en tant que prisonnier politique.
LE CONTEXTE POLITIQUE
Les collaborateurs du Président Diomi Ndongala mettent en relation le réveil soudain de ce dossier (fabriqué par le pouvoir kabila lui-même et instrumentalisé tel un « serpent de mer » qu’on réveil ou bien on endormi selon les exigences du moment), avec les récentes prises de position du porte-parole de la MPP qui a donné récemment des conférences de presse critiquant la politique sécuritaire et économique de l’actuel pouvoir en place à Kinshasa. En particulier, sa dénonciation de la responsabilité du régime Kabila dans la « Somalisation du Kivu » serait à la base de la volonté de le faire taire en évoquant, pour l’énième fois , le « serpent de mer » des accusations fantaisistes et contradictoires lancées contre Diomi Ndongale depuis le 26/06/2012, date de l’occupation policière illégale et du pillage du siège de la Démocratie Chrétienne par les homme du Colonel Kanyama pendant 2 mois, avec, en parallèle, la mise en détention au secret de Diomi Ndongala pendant 3 mois.
Il sied de souligner que depuis juin 2012, 7 militants de la Démocratie Chrétienne et de la MPP, ont été détenus au secret pendant des longs périodes par les services de sécurité congolais. En particulier, le Journaliste chargé de la communication et presse de la Démocratie Chrétienne, Verdict Mituntwa est détenu au secret – sans droit de visite – à l’ANR depuis bientôt trois mois.
Les raisons du harcèlement politico-judiciaire dont fait l’objet la Démocratie Chrétienne et ses dirigeants depuis 2010, en particulier, résident dans la participation active de notre parti au soutien de la candidature d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba à l’élection présidentielle.
Ce soutien s’est matérialisé avant, avec la fondation de la plateforme électorale « Union Sacrée pour l’Altenrance, USA » en sigle et, après, avec la revendication de la vérité des urnes et la dénonciation de la crise de légitimité qui paralyse le régime Kabila.
En particulier, la décision du député Eugène Diomi Ndongala de boycotter l’Assemblée Nationale jusqu’à ce que un Dialogue sérieux ne soit mis en place afin de résoudre la grave crise de légitimité qui mine les fondations des instituions politiques issues de la fraude électorale, constitue la position la plus combattue par le régime Kabila.
L’initiative prise par le Président National de la Démocratie Chrétienne de lancer, avec l’UDPS et plus de 50 formations politiques qui revendiquent pacifiquement la vérité des urnes, la Majorité Présidentielle populaire, MPP en sigle, a été interprétée par l’exécutif en place à Kinshasa comme une menace politique qu’il fallait neutraliser par un montage politico-judiciare visant à faire taire Eugène Diomi Ndongala.
<blockquote>Voilà pourquoi celui-ci est devenu l’homme à abattre, physiquement et politiquement.
</blockquote>Depuis le lancement de la MPP en avril 2012, l’incapacité du régime en place de continuer à gouverner par défi est éclatée au grand jour, manifestant la présence d’une opinion politique congolaise qui dénonce la crise de légitimité et la nécessité de lancer un programme sérieux de reformes en RDC.
D’ailleurs, les faiblesses du processus de démocratisation en RDC, mises en exergue par l’Accord Cadre d’Addis Abeba signé par 11 pays et 4 organisations internationales, confirment la nécessité de mettre un terme à l’intolérance politique aveugle et la répression systématique de l’opposition en RDC. En particulier, le nombre grandissant des prisonniers politiques et l’instrumentalisation honteuse de la justice à des fins politiques ne font qu’empoisonner le climat politique, en contradiction avec les engagements politiques souscrits personnellement par Joseph Kabila à Addis Abeba au nom de la République Démocratique du Congo.
<blockquote>Dans cette optique, la Démocratie Chrétienne demande aux partenaires de la R.D. Congo de soutenir effectivement le redémarrage du processus de démocratisation actuellement en panne. Ce soutien ne peut commencer à se manifester que par la revendication de la libération des prisonniers politiques en général et du député Eugène Diomi Ndongala, en particulier.
</blockquote><p style="text-align: justify;"><p style="text-align: justify;"><p style="text-align: justify;"> Fait à Kinshasa, le 10/04/2013
Freddy Kita,
Secrétaire Général de la Démocratie Chrétienne,
DC
http://democratiechretienne.org/2013/04/10/memorandum-sur-le-depute-dissident-eugene-diomi-ndongala-president-national-de-la-democratie-chretienne-d-c-et-porte-parole-de-la-majorite-presidentielle-populaire-m-p-p-prisonnier-politique-du/
LES FAITS
Le 08/04/2013 à 22h00, un commande de 20 policiers avec à leur tête le Colonel Kanyama, alias « Esprit de mort », débarquent au siège de la Démocratie Chrétienne sur Avenue Colonel Ebeya au numéro 7, défalquant les murs de la parcelle et agressant physiquement la sentinelle et toutes les personnes présentes sur le lieu, particulièrement M.lle Annie Fuala, secrétaire Exécutive de la D.C..
Ils demandent aux infortunés – entre un coup de crosse et une gifle – où se trouve Eugène Diomi Ndongala. Ils ne présentent aucun document légal justifiant la violation nocturne de domicile.
Par la suite, ils se rendent au Centre Cana, sur Avenue des Palmiers à la Gombe, où l’agent de sécurité qui est à la porte leur demande l’exhibition d’un document justifiant leur entrée nocturne dans l’enceinte du Centre. N’exhibant aucun mandat, ils défalquent le mur et brutalisent l’agent de sécurité. Le commando pénètre à l’intérieur du Centre et agresse les réceptionnistes avant même de leur poser des questions : une s’en sortira avec des gifles et l’autre avec un bras tordu. Ils demandent ensuite de leur indiquer où se trouve le député Diomi Ndongala. Le député Diomi Ndongala les approche demandant les raisons de ces violences et lui-même est agressé et jeté au sol par les policiers du commando, en recevant, entre autres, un coup de pied au bras. Blessé, il sera amené à une destination inconnue. Aucun document n’est exhibé pour justifier cette descente violente. Aucune justification n’est donné à Diomi Ndongala pour lui expliquer les raisons de cette descente violente et nocturne, contraire à la loi congolaise qui interdit toute action en exécution même d’ actes de justice la nuit.
Tant Eugène Diomi Ndongala que l’agent de sécurité Mamba sont amenés vers une destination inconnue.
La famille Diomi et les responsables de la Démocratie Chrétienne alertent la Monusco et les Ong des droits de l’homme, malgré l’heure nocturne, afin de demander leur aide pour localiser les personnes enlevées.
C’est l’agent de sécurité qui sera relâché tard la nuit, qui indiquera le lieu de détention de Diomi Ndongala et indiquera à la famille que celui-ci a été blessé au bras.
Le matin du 09/04/2013, Eugène Diomi Ndongala est transféré du cachot de l’Inspection Provinciale de la Police au Parquet Général de la République.
Il sera auditionné tard l’après-midi par l’Avocat Général qui l’informera de l’existence d’un mandat d’amener à son nom, daté 18 janvier 2013, selon lui.
Les avocats du député Diomi Ndongala mettront en exergue le fait qu’aucune invitation ou même convocation n’a jamais été envoyée au Député Diomi Ndongala, dont la résidence est connue à Kinshasa par les services du PGR.
Après une brève audition pendant laquelle on lui reproche des accusations incohérentes contenues dans le réquisitoire du PGR daté juillet 2012, et sans affronter le fond des accusations, il sera placé directement en détention provisoire à la prison de Makala. Il devrait être auditionné encore le 10/04/2013.
<p style="text-align: justify;">Plusieurs sources internes au système judiciaire indiquent que le mandant d’amener formellement daté 18/01/2013 a été en réalité émis le 08/04/2013 et pré-daté. Elles confirment aussi que Diomi Ndongala n’a jamais été ni invité ni convoqué par les magistrats avant le 08/04/2013.
<blockquote>Cela signifie que l’objectif de l’énième mise en scène et de l’action violente de Kanyama était manifestement d’humilier, tabasser et emprisonner le Président de la Démocratie Chrétienne.
</blockquote>Il sied de souligner que depuis le mois de décembre 2012, deux requête en inconstitutionnalité ont été introduites à la Cour suprême de Justice par Maitre Richard Bondo, avocat de Diomi Ndongala, dénonçant l’inconstitutionnalité du réquisitoire du PGR daté 19 Juillet 2012 ainsi que la procédure de la levée de l’immunité du député Diomi Ndongala, celle-ci n’ayant respecté plusieurs dispositions du Règlement d’ordre Intérieur de l’Assemblée Nationale, ni la Constitution en vigueur en RDC. Selon l’art.121 de la Constitution, les requetés en inconstitutionnalité ont un effet suspensif de toute action judiciaire ou administrative. Des lors, jusqu’à l’examen de la part de Cour suprême de Justice des deux requête en inconstitutionnalité, l’action menée par la justice ou la police après le dépôt des deux requêtes est illégale, surtout que les PGR ainsi que l’Assemblée Nationale ont été saisies par des correspondances des avocats de Diomi Ndongala les informant des recours en inconstitutionnalité valablement déposés.
Face à cette énième manipulation de la justice – qui n’a pas de gêne à se prévaloir des services « violents » des « hooligans » en uniforme de la police-politique dirigée par le Colonel Kanyama -
la DC dénonce l’incarcération du Président Eugène Diomi Ndongala en tant que prisonnier politique.
LE CONTEXTE POLITIQUE
Les collaborateurs du Président Diomi Ndongala mettent en relation le réveil soudain de ce dossier (fabriqué par le pouvoir kabila lui-même et instrumentalisé tel un « serpent de mer » qu’on réveil ou bien on endormi selon les exigences du moment), avec les récentes prises de position du porte-parole de la MPP qui a donné récemment des conférences de presse critiquant la politique sécuritaire et économique de l’actuel pouvoir en place à Kinshasa. En particulier, sa dénonciation de la responsabilité du régime Kabila dans la « Somalisation du Kivu » serait à la base de la volonté de le faire taire en évoquant, pour l’énième fois , le « serpent de mer » des accusations fantaisistes et contradictoires lancées contre Diomi Ndongale depuis le 26/06/2012, date de l’occupation policière illégale et du pillage du siège de la Démocratie Chrétienne par les homme du Colonel Kanyama pendant 2 mois, avec, en parallèle, la mise en détention au secret de Diomi Ndongala pendant 3 mois.
Il sied de souligner que depuis juin 2012, 7 militants de la Démocratie Chrétienne et de la MPP, ont été détenus au secret pendant des longs périodes par les services de sécurité congolais. En particulier, le Journaliste chargé de la communication et presse de la Démocratie Chrétienne, Verdict Mituntwa est détenu au secret – sans droit de visite – à l’ANR depuis bientôt trois mois.
Les raisons du harcèlement politico-judiciaire dont fait l’objet la Démocratie Chrétienne et ses dirigeants depuis 2010, en particulier, résident dans la participation active de notre parti au soutien de la candidature d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba à l’élection présidentielle.
Ce soutien s’est matérialisé avant, avec la fondation de la plateforme électorale « Union Sacrée pour l’Altenrance, USA » en sigle et, après, avec la revendication de la vérité des urnes et la dénonciation de la crise de légitimité qui paralyse le régime Kabila.
En particulier, la décision du député Eugène Diomi Ndongala de boycotter l’Assemblée Nationale jusqu’à ce que un Dialogue sérieux ne soit mis en place afin de résoudre la grave crise de légitimité qui mine les fondations des instituions politiques issues de la fraude électorale, constitue la position la plus combattue par le régime Kabila.
L’initiative prise par le Président National de la Démocratie Chrétienne de lancer, avec l’UDPS et plus de 50 formations politiques qui revendiquent pacifiquement la vérité des urnes, la Majorité Présidentielle populaire, MPP en sigle, a été interprétée par l’exécutif en place à Kinshasa comme une menace politique qu’il fallait neutraliser par un montage politico-judiciare visant à faire taire Eugène Diomi Ndongala.
<blockquote>Voilà pourquoi celui-ci est devenu l’homme à abattre, physiquement et politiquement.
</blockquote>Depuis le lancement de la MPP en avril 2012, l’incapacité du régime en place de continuer à gouverner par défi est éclatée au grand jour, manifestant la présence d’une opinion politique congolaise qui dénonce la crise de légitimité et la nécessité de lancer un programme sérieux de reformes en RDC.
D’ailleurs, les faiblesses du processus de démocratisation en RDC, mises en exergue par l’Accord Cadre d’Addis Abeba signé par 11 pays et 4 organisations internationales, confirment la nécessité de mettre un terme à l’intolérance politique aveugle et la répression systématique de l’opposition en RDC. En particulier, le nombre grandissant des prisonniers politiques et l’instrumentalisation honteuse de la justice à des fins politiques ne font qu’empoisonner le climat politique, en contradiction avec les engagements politiques souscrits personnellement par Joseph Kabila à Addis Abeba au nom de la République Démocratique du Congo.
<blockquote>Dans cette optique, la Démocratie Chrétienne demande aux partenaires de la R.D. Congo de soutenir effectivement le redémarrage du processus de démocratisation actuellement en panne. Ce soutien ne peut commencer à se manifester que par la revendication de la libération des prisonniers politiques en général et du député Eugène Diomi Ndongala, en particulier.
</blockquote><p style="text-align: justify;"><p style="text-align: justify;"><p style="text-align: justify;"> Fait à Kinshasa, le 10/04/2013
Freddy Kita,
Secrétaire Général de la Démocratie Chrétienne,
DC
http://democratiechretienne.org/2013/04/10/memorandum-sur-le-depute-dissident-eugene-diomi-ndongala-president-national-de-la-democratie-chretienne-d-c-et-porte-parole-de-la-majorite-presidentielle-populaire-m-p-p-prisonnier-politique-du/
KOTA
Re: FLASH: KANYAMA VIENT D ENLEVER ENCORE DIOMI NDONGALA AU CENTRE CANA CE SOIR A 22H30
Diomi Ndongala « enlèvé » par la police politique de « Joseph Kabila »/ CONGOINDEPENDANT
par mpp le 10 avril 2013
par mpp le 10 avril 2013
Diomi Ndongala « enlèvé » par la police politique de « Joseph Kabila » Sur la photo: Eugène Diomi Ndongala est à droite d’Etienne Tshisekedi Dans un communiqué diffusé, mardi 9 avril, à 0h20, Rigobert Kuta, annonce l’arrestation du député national Eugène Diomi Ndongala. Celui-ci est, par ailleurs, porte-parole de la « Majorité présidentielle populaire », un cartel des partis qui soutient Etienne Tshisekedi wa Mulumba. Selon ce communiqué, Eugène Diomi Ndangala, président de la Démocratie chrétienne (DC), « a été enlevé à Kinshasa depuis 22H30 par le service de sécurité congolaise et la police nationale ». Il serait détenu « dans le cachot du Camp Lufungula » où se trouve le tristement célèbre quartier général de la police nationale. « Sa vie est danger », souligne le communiqué. Que reproche-t-on à cet opposant politique proche d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba? L’auteur de ces lignes a joint au téléphone, mardi 9 avril, à 11h48, le général Charles Bisengimana, patron ad intérim de la police nationale. But : obtenir la réponse à cette épineuse question. Réponse du policier : « Veuillez poser la question au parquet général de la République. C’est là que se trouve Diomi Ndongala ». Selon une source bien informée, le président de la DC a bel et bien passé la nuit du lundi dans une cellule miteuse du Camp Lufungula. « Il a été transféré mardi matin, vers 8 heures, au parquet général de la République ». Selon la même source, l’arrestation de ce parlementaire aurait été opérée sous la direction du colonel Kanyama Bilolo sur la base d’un mandat d’arrêt émis …le 28 janvier dernier. Selon Rigobert Kuta, le vendredi 5 avril, le secrétaire général de la « Démocratie chrétienne » a animé un point de presse au cours duquel, il a dénoncé le maintien en détention de deux membres de cette formation politique. Diomi avait prévu de tenir une conférence de presse ce mardi à l’hôtel Canan. « Le jeu du chat et de la souris » Diomi Ndongala et la police politique de « Joseph Kabila » jouent au « chat et à la souris » depuis que le premier a choisi de soutenir jusqu’au bout Etienne Tshisekedi wa Mulumba. Et ce dès lendemain des élections législatives et présidentielle du 28 novembre 2011. A l’instar des millions d’autres Congolais, cet opérateur politique est convaincu que le leader de l’UDPS est le véritable vainqueur de ce scrutin présidentiel. Autrement dit, « Joseph Kabila » lui a volé sa « victoire ». Elu député national du district kinois de la Funa, Diomi s’est abstenu de rejoindre l’hémicycle de l’Assemblée nationale conformément au mot donné par « Tshitshi ». Le samedi 23 juin 2012, l’homme organisait un office religieux à la cathédrale Notre Dame «pour soutenir» les forces loyalistes déployées au Nord Kivu face aux mutins du M23. L’invité-vedette de cette manifestation n’était autre que Tshisekedi qui a été chaleureusement applaudi. Pour la petite histoire, le président de l’UDPS se trouvait, depuis janvier, en « résidence surveillée » de facto. C’est au cours de cette célébration qu’aurait germé l’idée de mettre sur pieds une plateforme dénommée la « Majorité présidentielle populaire » (MPP). La charte de cette organisation devait être signée le mercredi 27 juin au même endroit. C’est le jour choisi par la police politique de « Joseph Kabila » pour « enlever » Diomi. Le 17 juillet, le procureur général de la République, Flory Kabange Numbi, demandait au président de l’Assemblée nationale la levée de l’immunité parlementaire de ce député «en vue de permettre d’exercer des poursuites judiciaires à sa charge devant la juridiction compétente du chef de viol (…)». Près de quatre mois après sa « disparition », c’est un Diomi barbu qui fait sa réapparition le 11 octobre. Selon ses premières déclarations, il a été déposé par des «inconnus» à quelques mètres du Centre supérieur militaire à Binza Ozone. Des agissements inimaginables dans un Etat qui s’est affublé de l’épithète « démocratique » et où le pluralisme politique est consacré dans la Constitution. Le vendredi 28 décembre, Diomi Ndongala décide de se rendre à Brazzaville via le Beach Ngobila. A sa grande surprise, il est interpellé par des agents de l’ANR (Agence nationale de renseignements) agissant «sur ordre de la haute hiérarchie». Personne ne prend la peine de lui notifier les motifs de son arrestation qui va durer plusieurs heures. Dépendant directement de la Présidence de la République – pour ne pas dire de « Joseph Kabila -, les agents de l’ANR se considèrent au-dessus des lois. Aucun magistrat ne peut exercer un quelconque droit de regard sur leurs activités. Incapables de prévenir l’irruption des Maï Maï Ba Kata Katanga le 23 mars dernier à Lubumbashi, les « hommes » de Kalev Mutond ont choisi la facilité en s’acharnant sur un acteur politique non-armé dont le « crime » est d’avoir des convictions politiques contraires à celles de « Joseph Kabila ». Dans le communiqué précité, Kuta prévient que « la majorité présidentielle populaire tiendra le régime de Kabila pour responsable de tout ce qui pourrait arriver à Monsieur Eugène Diomi Ndongala ». Affaire à suivre. B.A.W © Congoindépendant 2003-2013 <table border="0" cellSpacing="2" cellPadding="0" width="100%"><tr><td>9 Réactions </td></tr></table><table cellSpacing="0" cellPadding="2" width="100%"><tr><td>Lubilanshi [k.apia2@hotmail.fr] 09/04/2013 15:42:15 En tout cas trop c’est trop, Kabila exagère en arretant comme cela les gens sans scrupule, Les ressortissants du Bas Congo attendent quoi pour reagir? et Tshisekedi qui organisait des marches, et journées mortes au temps de Mobutu pourquoi est-il devenu muet? Pouquoi il ne bouge pas? Kabila est Rwandais et il torture et tue les congolais comme bon le semble sachant très bien que les Congolais ont peur de la mort et des balles et contents d’aller donner leurs maigres avoirs aux « pasteurs » aventuriers et autres musiciens, Quelle honte pour ce peuple, qui a eu l’occasion de reneverser la vaapeur le jour où Bemba avait tromatiséé les forces de Kabila, personne n’est sorti pour soutenir le mouvement et pendant plusieurs heures jusq’à ce que Bemba arrête les opérations et la suite on la connait. Pauvres Congolais qui attendent toujours les dix chiffres de Western Union venant de leurs proches qui travaillent durement hors du Pays pendant que les Rwandais et autres bandits étrangers qui sont en RDC accumulent de richesses qu’ils extorquent aux Congolais, pauvres peuple qui a vendu son histoire et qui vend maintenant sa memoire; heureusement il ya quelques Congolais qui sont decidés à faire tout pour remettre ce Pays aux mains des fils et filles de ce Pays. Kapia ka nkuni </td></tr></table><table cellSpacing="0" cellPadding="2" width="100%"><tr><td>Merci Congo [Mercicongo@yahoo.fr] 09/04/2013 15:43:47 Diomi ne devient-il pas un *produit d’échange* ? Pourquoi avoir attendu que Sassou vienne en France pour que la police politique de Kanambe mette sa main sur ce dernier ? Qu’on se dise certaines vérités afin que tout le monde le sache. Hollande avec ses ministres lors du sommet de la Francophonie à Kinshasa : n’est-ce pas que son Mr Fabius et Cie ont rencontré Diomi ? Que se sont-ils dit ? Dernièrement, Diomi a été cueilli au beach Ngobila en allant à Brazzaville pour rencontrer qui ? Kanambe qui vient finalement de mettre sa main sur ce digne fils Kongo afin de vérifier si le poison dans ses veines produits ses effets : croit-il que Diomi serait le seul à lui tenir tête ? Voilà ce qui va vous choquer tous. A l’aide de nos connaissance, nous allons mettre sur le toile la liste de tous les Kanambistes qui ont des comptes en Europe et publier les adresses de leurs afin que les Congolais le sachent. Si Kanambe et/ou Numbi envoient Diomi à Makala, la suite, c’est la tête de Kanambe qui serait mise sur le plateau. Pourquoi s’en tenir à une paisible citoyen qui êtes plus intelligent que toi et dont le papa est connu de tous voire ses actions pour notre indépendance ? Où sont alors les membres de la DC pour crier haut et fort que trop c’est trop ? Au finish, Kanambe dira aux amis Occidentaux de Diomi que pour le libérer , il nous faut un deal et voilà comment Sassou joue la carte qui gagne. Qui l’aurait cru ? Parquet général, pourquoi Makenga et Cie ne sont jamais convoqués par ce fameux * marché central * ? Nous invitons les défenseurs des droits humains de s’unir pour sauver ce paisible citoyens et leader politique Kongo. Sa vie est en danger et peut-être que ses jours sont à compter. </td></tr></table><table cellSpacing="0" cellPadding="2" width="100%"><tr><td> </td></tr></table><table cellSpacing="0" cellPadding="2" width="100%"><tr><td>JC Baka [jclaudebaka@yahoo.fr] 09/04/2013 17:02:58 Que Mr kabila ,actule président de la république sache une chose que le Congo ,c’est notre pays nous devons le gérer comme un patrimoine nous légué par nos ancêtres.Qu’il autorise la libération immédiate d’Eugène Diomi sinon un seul cheveux de sa tête que ce mr aura fait tomber ^criera vengeance même ce premier cité prendra son exil en Inde ou en chine. A bon entendeur que cela lui soit signifier dans sa langue de Kinyarwanda. JC Baka </td></tr></table><table cellSpacing="0" cellPadding="2" width="100%"><tr><td>Lidjo [lidjoma@gmail.com] 09/04/2013 17:17:31 Aussi longtemps qu’il sera considéré comme un agitateur opposé au président Kabila, il sera dérangé. Voyez vous que la majorité des opposants siégeant à l’assemblée nationale sont libres d’aller et de venir parce qu’ils ne contestent pas la légitimité de Kabila , ils ont décidé de composer avec lui et sont même prêts à lui accorder une nouvelle légitimité avec les fameuses concertations nationales. </td></tr></table><table cellSpacing="0" cellPadding="2" width="100%"><tr><td>NKWA NGOLO ZONSO [nkwangolozonso@gmail.com] 09/04/2013 18:22:43 Cet article souligne avec raison que « les agents de l’ANR se considèrent au-dessus des lois. Aucun magistrat ne peut exercer un quelconque droit de regard sur leurs activités ». Et je vois déjà des réactions d’indignation pointer à l’horizon. Pourtant, il convient d’analyser le comportement de ces agents. Pourquoi se considèrent-ils au-dessus des lois? La réponse est simple. Parce que le Chef d’Etat dont ils dépendent directement se trouve déjà au-dessus des lois. Qu’est-ce qui le place dans une telle position ? Est-ce sa volonté ou sa force personnelle qui serait supérieure à celle de tous les Congolais réunis ? Non. Ce qui le place dans cette position, c’est la grande capacité de patronage que les institutions du pays lui confèrent. Celles-ci lui laissent le libre choix de nommer et de démettre qui il veut et comme il veut dans nombre de piliers par excellence du pouvoir. Conséquence, il devient intouchable par les lois du pays. Le rôle des institutions fiables doit consister à réduire sensiblement ce pouvoir de patronage ; ce qui n’a jamais été le cas dans les structures démocratiques mises en place par les Africains. Dans la démocratie occidentale que les Africains ont toujours imitée pour leur plus grand malheur, le Chef d’Etat ne nomme pas qui il veut et comme il veut à tous les piliers du pouvoir. Il ne limoge pas qui il veut comme il veut. Par ailleurs, des mécanismes appropriés assurent l’indépendance d’autres corps constitués de l’Etat que le Chef d’Etat ne peut manipuler à sa guise et cela en toute impunité. Compter sur la bonne volonté, la conscience ou encore l’amour patriotique des dirigeants, c’est être naïf. Partout au monde, il faut concevoir et mettre en place des freins effectifs à l’exercice du pouvoir. Sans cela, on peut continuer à maudire le ciel et à vouer aux gémonies ses propres dirigeants, mais rien ne changera. </td></tr></table><table cellSpacing="0" cellPadding="2" width="100%"><tr><td>Kolomboka [kolomboka@yahoo.fr] 09/04/2013 20:36:53 Qu’en pense Etienne Tshisekedi autour de cette enième arrestation arbitraire?Entretemps,les congolais observent et ne veulent pas agir.Les congolais veulent que les arabes viennent agir à leur place.Ce qui est fort dommage. </td></tr></table><table cellSpacing="0" cellPadding="2" width="100%"><tr><td>zele matombe [zelematombe@yahoo.com] 09/04/2013 21:14:19 Tout indique que le calvaire de l’honorable Diomi Ndongala vient de son soutient sans faille au combat de Mr Etienne Tshisekedi pour le triomphe de la demaocratie dans notre pays le Congo. Alors le leader de l’UDPS doit s’impliquer personnellement pour que ce digne fils recouvre sa liberte,ceux ci a travers les sit ins devant les organes judiciaires,les representations diplomatiques,faire le grand bruit. </td></tr></table><table cellSpacing="0" cellPadding="2" width="100%"><tr><td>kanambe hyppo [hyppokanambe@yahoo.olive.fr] 09/04/2013 21:34:16 monsieur kanambe sache le que Dieu est au déssus de toutes les armes et les hommes que t’as pour ta protection.Psaumes 127,1 http://democratiechretienne.org/2013/04/10/diomi-ndongala-enleve-par-la-police-politique-de-joseph-kabila-congoindependant/ </td></tr></table> |
KOTA
Re: FLASH: KANYAMA VIENT D ENLEVER ENCORE DIOMI NDONGALA AU CENTRE CANA CE SOIR A 22H30
RDC : l'opposant Diomi Ndongala détenu à la prison de Makala
Disparu », puis retrouvé vivant en octobre 2012, Eugène Diomi Ndongala est désormais placé en détention prévention à la prison centrale de Kinshasa. L’opposant congolais, proche d’Étienne Tshisekedi, est poursuivi pour viol sur mineures. Sa formation politique dénonce un « harcèlement politico-judiciaire ».
Le feuilleton Diomi Ndongala se poursuit à Kinshasa. Après sa « disparition » en juin 2012 et sa « réapparition », vivant, à la veille du sommet de la Francophonie dans la capitale congolaise, en octobre dernier, le président de la Démocratie chrétienne (DC) est de nouveau arrêté par la police. Sa famille et ses proches ont déclaré que, le 8 avril à 22 heures (heure locale), l’opposant congolais a été « pris de force et emmené vers une destination inconnue ».
Diomi Ndongala est poursuivi pour « viol sur deux mineures ». Selon les sources judiciaires, il aurait invité, mi-juin 2012, deux filles issues d’une même famille dans ses bureaux de la commune de la Gombe, au centre ville de Kinshasa, puis les aurait violées, après les avoir droguées. Ce que le suspect et son parti nient tout en dénonçant un « harcèlement politico-judiciaire ».
Diomi Ndongala, une menace ?
Élu député national dans la ville de Kinshasa à l’issue des législatives de 2011, Eugène Diomi Ndongala fait partie de ceux qui ont refusé de siéger dans l’hémicycle pour protester contre la réélection controversée de Joseph Kabila. Revendiquant la victoire d’Étienne Tshisekedi, arrivé deuxième, le président de la DC a même lancé, en avril 2012, la « Majorité présidentielle populaire » (MPP), plateforme regroupant l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) et les autres partis et associations de la société civile qui continuent à réclamer la « vérité des urnes ». Une initiative qui, selon la DC, a été « interprétée par l’exécutif en place à Kinshasa comme une menace politique qu’il fallait neutraliser par un montage politico-judiciaire visant à faire taire Eugène Diomi Ndongala ».
Le 8 janvier, l’Assemblée nationale lève son immunité parlementaire pour permettre à la justice de « faire son travail ». Quelques jours plus tard, Diomi Ndongala dépose une plainte contre le père de deux filles qui l’accusent de les avoir violées. Il les incrimine, à son tour, d’ « imputation dommageable et d’association des malfaiteurs ».
Pas de répit cependant pour celui qui se fait appeler le « député dissident ». Après son arrestation manu militari la veille, Diomi Ndongala a été placé, le 9 avril, en détention préventive au Centre pénitencier de rééducation de Kinshasa, connu sous le nom de la « Prison de Makala ». Si les faits lui reprochés sont établis, l’opposant congolais risque une peine de 20 d’emprisonnement.
---
Trésor Kibangula
http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20130410132353/rd-congo-kinshasa-etienne-tshisekedi-udpsrdc-l-opposant-diomi-ndongala-detenu-a-la-prison-de-makala.html
Mathilde
Re: FLASH: KANYAMA VIENT D ENLEVER ENCORE DIOMI NDONGALA AU CENTRE CANA CE SOIR A 22H30
CHERE TSIPPO, TOUS LES AMBASSADEURS ET SPECIALEMENT CEUX DE L UNION EUROPEENNE SUIVENT DE PRES LE CAS DU DEPUTE DIOMI NDONGALA ET ILS SONT INFORMES DANS LES DETAILS SUR LES MANIGANCES DU REGIME CONTRE DIOMI NDONGALA
KOTA
Re: FLASH: KANYAMA VIENT D ENLEVER ENCORE DIOMI NDONGALA AU CENTRE CANA CE SOIR A 22H30
Le proc a du lourd: les enregistrements ou l'on peut entendre Diomi dire: "olata string wana ya rouge" Ekoyinda!
L'avocat de Mobutu
L'avocat de Mobutu
KOTA a écrit:CHERE TSIPPO, TOUS LES AMBASSADEURS ET SPECIALEMENT CEUX DE L UNION EUROPEENNE SUIVENT DE PRES LE CAS DU DEPUTE DIOMI NDONGALA ET ILS SONT INFORMES DANS LES DETAILS SUR LES MANIGANCES DU REGIME CONTRE DIOMI NDONGALA
L'avocat de Mobutu
Re: FLASH: KANYAMA VIENT D ENLEVER ENCORE DIOMI NDONGALA AU CENTRE CANA CE SOIR A 22H30
Diomi Ndongala, une menace ?
Élu député national dans la ville de Kinshasa à l’issue des législatives de 2011, Eugène Diomi Ndongala fait partie de ceux qui ont refusé de siéger dans l’hémicycle pour protester contre la réélection controversée de Joseph Kabila. Revendiquant la victoire d’Étienne Tshisekedi, arrivé deuxième, le président de la DC a même lancé, en avril 2012, la « Majorité préside...ntielle populaire » (MPP), plateforme regroupant l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) et les autres partis et associations de la société civile qui continuent à réclamer la « vérité des urnes ». Une initiative qui, selon la DC, a été « interprétée par l’exécutif en place à Kinshasa comme une menace politique qu’il fallait neutraliser par un montage politico-judiciaire visant à faire taire Eugène Diomi Ndongala ».
LU SUR JEUNE AFRIQUE DU 09/04/2013
TOUT EST DIT
Élu député national dans la ville de Kinshasa à l’issue des législatives de 2011, Eugène Diomi Ndongala fait partie de ceux qui ont refusé de siéger dans l’hémicycle pour protester contre la réélection controversée de Joseph Kabila. Revendiquant la victoire d’Étienne Tshisekedi, arrivé deuxième, le président de la DC a même lancé, en avril 2012, la « Majorité préside...ntielle populaire » (MPP), plateforme regroupant l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) et les autres partis et associations de la société civile qui continuent à réclamer la « vérité des urnes ». Une initiative qui, selon la DC, a été « interprétée par l’exécutif en place à Kinshasa comme une menace politique qu’il fallait neutraliser par un montage politico-judiciaire visant à faire taire Eugène Diomi Ndongala ».
LU SUR JEUNE AFRIQUE DU 09/04/2013
TOUT EST DIT
KOTA
Re: FLASH: KANYAMA VIENT D ENLEVER ENCORE DIOMI NDONGALA AU CENTRE CANA CE SOIR A 22H30
Enlevement de Diomi Ndongala : Exclusivité Mme Patricia Diomi s'explique
Mathilde
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