Problématique : Felix Tshisékédi : Aller ou pas au CENI ?

Hiro-Hito a écrit: Mais bo yebisaki biso awa q abandaki ko zwa lifuti na ye, e bandaki ko salema ndenge nini?

Vraiment… lokuta soki eleki to zali oubliger to loba:arrow:
Comment peut-il ko zwa kaniaka soki nanu a kotisa formulaire na ye kuna na parlement te ? Comment akoki ko zwa mbongo soki nanu apesa ba coordonnés na ye ya banque te na bureau ya parlement ? Kuna ezalaka kaka yo moko okeyi pe okotisi dossier après validation ya mandat na présence physique na yo. Non, batu lokola ba Zacharie il faut ba liya ata pneu un jour po ba sakanaka na ba congolais trop. Ezali magie te, procédure ya ko se faire payé na parlement wana ezali lolenge moko na ya ba compagnies oyo ezali na mikili… dossier il faut ekota na bureau du personnelle. Ye nanu akoma na parlement te sikoyo azalaka ko zwa mbongo yango na nzela nini?
 
Mbongo, ekoki na ngo kobima na caisse ya l’état mais ezali bloquer na bureau ya parlement, wana ezali ba mbongo ba Minaku na ba Kalombo ba kendaka ko lela ba ntaba na ba ganda ya Kin:shock:.
 
Na yebisaki un sénateur ya CD na privée que soki Felix andimi poste na CNI ako zwa vrai sabotagea ba lingaki ba boya nomination na ye soit disant que dossier na ye ezali non conforme na parlement… mais alekeli bango ma yele aboyi d’avance…Pour le punir nde ba longoli ye kaka une fois pour toute.
 
Lokuta ériger en système de gestion ne peut pas élever une nation même si son peuple est un peuple soit disant élu !!! ba Yuda bazanga kimia likolo ya lokuta…ba teyama bzanga kimia:evil: Mokili ezali na ba kolo na yango. Ils oublient souvent cette phrase de Koffi que...  Nzambe akabaka te mais adefisaka na bakisi même soki adefisi sans interet nioso ezali kaka ya ye à la fin oko zonga maboko pampa mutakala.
Bazo bunda na mopepe mais ba bosani que ezali yango nde ezo kosala ba vivre ko kamwa!!!
 
SpirituS

"Scandales des émoluments au sommet de l’UDPS - Tshisekedi siège avec le pouvoir
(AFRICANEWS/7sur7.cd)
° http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/scandales-des-emoluments-au-sommet-de-ludps-tshisekedi-siege-avec-le-pouvoir
Alors qu'il a laissé son fils percevoir les émoluments pendant 14 mois sans siéger à la chambre basse, le président de l’UDPS s’est montré complaisant avec sa sœur cadette, son directeur de campagne et deux autres élus qui ne boudent pas leur plaisir d’accéder à tous les avantages dus à leur rang de députés nationaux.
Etienne Tshisekedi est dans l’embarras. Sa réputation d’opposant irréductible et son image d’homme politique intègre et rigoureux sont mises à une rude épreuve. Soit que Tshisekedi est victime d’une véritable révolution de Palais, soit qu’il est coupable d’association» de malfaiteurs! Ses lieutenants qui se faisaient passer pour les plus loyaux sont tous démasqués, ils sont eus. Ils sont tous de faux saints. Félix Tshilombo Tshisekedi, Eugénie Tshika wa Mulumba, Alexis Mutanda, Astrid Madiya et Adalbert Makutu ont perçu, 14 mois durant, les émoluments et les différentes primes dues à leur rang de députés nationaux. Seuls Jean Maweja, le véritable élu de Mbuji-Mayi, où le parti a parachuté Tshilombo et Mutanda, Claude Kiringa, élu de Kutu, dans le Bandundu, font exception. Ils n’ont jamais entrepris une quelconque démarche pour la validation de leurs mandats comme ils n’ont pas perçu un seul franc du Trésor! Maweja, homme d’affaires prospère connu dans les milieux des diamantaires, et Kiringa, professeur en informatique intelligente à l’Université d’Ottawa, ont donc clairement renoncé à leurs mandats respectifs.

Eugénie Tshika, la propre soeur de Tshisekedi, élue de Kabeya Kamuanga Adalbert Makutu, élu d’Ilebo, et Astrid Madiya, élue de Kazumba -Kasaï Occidental-, les principaux pourfendeurs du groupe qui a eu le courage de s’assumer et de siéger librement à l’Assemblée nationale, ont eu accès à tout, jusqu’à la bienveillance du Bureau, qui a fait preuve de compromis, démontrant que le pouvoir ne s’acharne pas sur les opposants ! Tshika et Makutu ont bénéficié de tout : émoluments, primes, soins médicaux et jeeps! Alexis Mutanda, le directeur de campagne de Tshisekedi, lui, s’est dévoilé à la faveur de l’examen du rapport de la Commission PAJ, quand les pièces justifiant son absence prolongée ont été brandies à la plénière : des attestations médicales et des factures y relatives. Moralité : Mutanda est jaloux de son mandat. Avec son équipe, il parait être convaincu de son bon droit. Désormais, l’ombre est venue au jour. Les démasqués ne devraient plus reculer. Avec eux, leur mentor. Leur séquence restera dans les annales. Honte, ressentiment, colère, Tshisekedi n’a que ses yeux pour pleurer! –Akolela na munoko ya mboka, prédisait le pasteur Ngoy Mulunda. Face au scandale des émoluments indus, bondissent les accusations d’amateurisme, de duplicité, de complaisance et de complicité. Au regard des relations entre lui et les différents acteurs du scandale, Tshisekedi ne pouvait qu’être au courant. Brocardé comme jamais, le sphinx a le choix entre se justifier et ou continuer à entretenir une fausse image d’homme dur, emblématique, charismatique et surtout rigoureux, avec le risque de ne plus se faire entendre de personne: ni de ses anciens lieutenants devenus capitaines de leur propre conscience, ni de l’opinion générale, le «peuple» comme l’appelle Tutu lui-même.
A l’UDPS, chaque époque génère son scandale. Il y a eu une première vague, celle de Marcel Lihau, diabolisé, pousse à la porte de sortie pour avoir osé contredire Tshisekedi. Le brillant constitutionaliste quittera la barque non sans jeter le pavé dans la marre, dénonçant la coterie tribalo-ethinique. Depuis, la machine à diaboliser a tourné à plein régime broyant successivement François Muamba, Joseph Ngalula Mpandanjila, Dikonda wa Lumanisha, Protais Lumbu Maloba, Faustin Birindua, Ngoy Mukendi, Frédéric Kibasa, Charles Dia Onken Ambel... Puis, Lusanga Ngiele, Paul Kapita, Paul Bandoma... Puis encore Aka Matsha, Maitre Mukendi... et François Xavier Beltshika. On était à la veille du premier Congrès de l’UDPS. Et tout récemment, voici que, à la faveur de la mise en place des Institutions issues des élections du 28 novembre 2011, Samy Badibanga et ses amis sont honnis. Leur péché : contre le mot d’ordre du chef, ils ont installé leurs pénates à la chambre basse. Ce qui fait scandale aujourd’hui, c’est l’affaire de quatre fidèles de Tshisekedi qui ont officiellement refusé de siéger à l’Assemblée nationale mais n’ont jamais renoncé aux avantages dus à ce mandat.
Si Maweja et Kiringa peuvent aujourd’hui regarder Tshisekedi dans les yeux et le toiser pour complicité, Tshika, Félix, Makutu et Madiya, eux, se sont rendus coupables de parjure. Le scandale est à la fois caractérisé par la duplicité et le déni. Tout en affirmant être fidèle au mot d’ordre de Tshisekedi de boycotter les institutions de la République, le groupe avoue qu’il veut siéger, qu’il partage l’avis de la légion de Samy Badibanga mais n’a pas le même courage qu’elle.

Les autorisations de sortie pour Tshika... et les factures de Mutanda
L’émoi est total dans les allées de la dixième rue Limete. Militants et cadres de l’Union pour la démocratie et le progrès social –UDPS- assistent impuissants au scandale des émoluments au plus haut niveau de leur parti. Tshisekedi était-il au courant de cette affaire? Est-il complaisant? Quel sort va t-il réserver à ceux qui l’ont fait mentir plus d’une année durant? Et finalement qui exclura qui? Tshisekedi irait-il jusqu’à exclure sa soeur Eugénie Tshika du parti ou devrait-il lui-même renoncer à son propre poste dès lors que ses injonctions n’ont jamais été suivies par ses propres députés? Les questions pleuvent quand le Régime sort ragaillardi, donnant la preuve de sa disponibilité à trouver un compromis pour promouvoir la cohésion nationale. Tshisekedi avait préparé son coup de longue date. Homme discret et secret, il a su gérer l’affaire avec délicatesse, se présentant à l’opinion comme le malaimé du pouvoir, avec lequel, pourtant, il mange, il siège. On penserait à une révolution de Palais. Félix Tshilombo, son fils biologique, et sa petite soeur propre, Eugénie Tshika, ont été payés pendant plus d’une année comme député tout en restant dans les secrets du Sphinx. Non seulement qu’ils ont fait valider leurs mandats, mais aussi et surtout, ils ont accès aux émoluments et autres primes reconnues à un député national. Au cours de la séance plénière du samedi 15 juin 2013, tous les militants de l’UDPS sont restés pantois. Si Félix s’était justifié en affirmant il y a peu, en direct à la télé, «je ne touche pas à mes émoluments. Je les envois à ma base de Mbuji-Mayi», -difficile à vérifier, il n’a pu produire aucune justificative pour ses absences prolongées. Pendant ce temps, sa tante, Eugénie Tshika, a fait parvenir ses justificatifs à la PAJ. Entre autres, l’autorisation de sortie n°141/2013 pour se rendre en France du 1er février au 1er mars 2013. Comme Tshika, Madiya a, de son côté, transmis des autorisations de sortie. Notamment n°142 du 31janvier 2013, pour des vacances de 30 jours à Paris, n°130 du 28 janvier au 26 février2013 pour assister à une conférence des femmes élues organisée à Paris et n°314 du 15avril au 19mai2013 pour des soins médicaux en Inde.
Au-delà des émoluments, Madiya et Tshika ont donc eu droits aux soins médicaux et autres avantages.

Complaisance envers le clan et rigueur vis-à-vis d’autres collaborateurs
Directeur de campagne de Tshisekedi, l’ancien secrétaire général de l’UDPS Alexis Mutanda a toujours annexé une copie de sa carte de député national à toutes les correspondances adressées au Bureau de la chambre basse afin que nul n’en ignore ! Mutanda a expédié des factures des soins médicaux pour remboursement. Dans la pile, une facture émise depuis Bruxelles le 9 juillet 2012 par la dentiste Marcelle Mukoko, bien connue dans la capitale belge. Il y a également une facture signée J. Mandoux, médecin à la Clinique Saint Jean à Bruxelles, où Mutanda a l’habitude de faire soigner son mal de dents. Adalbert Makutu, lui, est le plus malin du groupe. Il s’est organisé pour ne rien rater : émoluments, primes, invisibles, en plus d’un crédit véhicule. Les faux saints ont finalement rejoint le bon camp, publiquement. Maintenant que l’affaire a éclaté au grand jour, la sentence de l’opposant radical est impatiemment attendue. Tout le monde aimerait entendre ce que racontera encore Ya Tshitshi au sujet de sa propre petite soeur ou de son propre fils. Si jusque hier il pouvait encore taire le scandale, aujourd’hui ça paraît mission impossible. « Tshisekedi savait bien que sa soeur et son fils touchaient leurs émoluments et autres primes à l‘Assemblée nationale. Il s‘était tout simplement décidé de ne pas en parler. Les linges sales se lavaient en famille», commente-t-on. On appelle cela complicité … coupable ! La crédibilité du lider maximo est fortement mise en doute. «Il ne pouvait jamais ignorer cette situation bien connue de toute sa famille qui du reste encourageait son fils et sa soeur à bouffer l’argent de l‘Etat sans en avoir la qualité et le droit», tape un élu de la Majorité. Tshisekedi aurait-il une double face? Evident! Son attitude trahit la complaisance et la complicité avec le clan et un semblant de rigueur vis-à-vis d’autres collaborateurs. Il est clair aujourd’hui que devant ce scandale, qui n’en est pas un en réalité parce que plusieurs proches de Tshisekedi se sont toujours interrogé sur la sincérité de leur leader lors des dernières élections, le chef de l’UDPS devrait se rendre à l’évidence et déclarer publiquement la fin de toutes les fatwas lancées contre le Régime au sein duquel il siège sans l’avouer au peuple. Entre temps, à Pétunias, la coterie est encore et toujours d’actualité."

SpirituS a écrit:ndeko Avocat de Mobutu, te validation esalamaka na cours suprême de justice oyo etindaka ba listes ya ba députés confirmés après contrôle pe traitement ya ba recours nioso. Listes wana nde ekotaka na parlement. Sima po ozwa kaniaka il faut okende en personne na parlement o kotisi Id na yo pe ba verifier que ezali yo, opesi pe ba numero ya compte na yo. Oko remplir formulaire pe o signer ya ngo en personne. Oyo ezali procedure adminitrative to koki ko bouder yango te. Etat congolais efutaka salaire ya ba deputes par trimestre ezali par virement na compte ya parlement selon budget na bango y compris salaires ya ba deputés. Soki bolingi bo yeba nani azo liya mbongo ya ba deputés wana entre autres Diomi et Felix bo tuna Minaku. Azongisaka mbongo wana na compte ya minister ya finace te! Ba liaka yango bango na bango.


SpirituS



Spiritus


Te, soki ba elire yo, demarche ya liboso okosala ezali ya ko se presenter na A.N, o retirer formulaire, o remplir yango, ba expliquer yo mosala na yo, pe balakisi yo place na yo ou bureau na yo, en même temps, ba tie quelque frais na disposition na yo, soki ozalaka neti na interieur,pona Hotel etc..A partir ya awa oza deja deputé pe ozo beneficier na ba droit nionso ya deputé..Soki osali demarche oyo te, oza nanu deputé te,po eza neti oboyi ko signer contrat pona mosala.. Yango felix na ba Diomi na misusu bawelisaki kosala demarche oyo, po yango nde ezalaka plus importante.

Apres nde basali  pleniere ya liboso pona ko definir comment ba ko pona bureau, apres ba poni bureau, ba sali ba commission apres nde ba commision moto eyaka ko se pencher pona ko valider ba deputés par province, oyo ezalaka nango formalité...Assemblée nationale, moto eko valider ba deputés...

Cour supreme sik'oyo ekoya pona kopesa confirmer election ya deputé ou ko traiter ba cas litigieux ou contentieux, tangu nanu e statuer te, ekati likambo te, oza deputé pe ozo jouir na ba droit na yo nionso. 
Donc, comptable ya assemblée nationale aza na liste ya ba honorables, moto azo sala virement selon ba données ba tika na ba formulaires....Donc moto moko te aza na droit ya koloba que kofuta bato wana te, po baza ba deputés..


L'avocat de Mobutu