Michelino Mavatiku Visi, meilleur guitariste de sa génération, est un grand artiste engagé !
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Michelino Mavatiku Visi, meilleur guitariste de sa génération, est un grand artiste engagé !
Michelino Mavatiku Visi, meilleur guitariste de sa génération, est un grand artiste engagé !
Par Freddy Mulongo, mardi 23 juillet 2013 à 20:08 :: radio :: #3817 :: rss
Michelino Mavatiku Visi est éprouvé, il a perdu sa mère. Artiste aux talents multiples, sa foi en Dieu l'a aidé à transcender sa douleur. Michelino Mavatiku Visi qu'on peut joindre au 0033 616312078 -michelino.mava@hotmail.com, est le meilleur guitariste de sa génération. Sa prestation au premier bal anticolonial, à la place Aligre dans le 11e arrondissement de Paris, demeure mémorable. Cela fait plus de trente ans qu'il n'a plus remis ses pieds à Kinshasa en République démocratique du Congo, alors que chaque année il a un billet Air France first class pour une destination de son choix. Michelino Mavatiku Visi est un artiste très engagé, ayant déjà subi les affres de la dictature, il ne pactise pas avec des régimes brutaux qui foulent aux pieds les droits humains. Et tout engagement pousse à des renoncements !
http://reveil-fm.com/index.php/2013/07/23/3817-michelino-mavatiku-visi-meilleur-guitariste-de-sa-generation-est-un-grand-artiste-engage
Par Freddy Mulongo, mardi 23 juillet 2013 à 20:08 :: radio :: #3817 :: rss
Michelino Mavatiku Visi est éprouvé, il a perdu sa mère. Artiste aux talents multiples, sa foi en Dieu l'a aidé à transcender sa douleur. Michelino Mavatiku Visi qu'on peut joindre au 0033 616312078 -michelino.mava@hotmail.com, est le meilleur guitariste de sa génération. Sa prestation au premier bal anticolonial, à la place Aligre dans le 11e arrondissement de Paris, demeure mémorable. Cela fait plus de trente ans qu'il n'a plus remis ses pieds à Kinshasa en République démocratique du Congo, alors que chaque année il a un billet Air France first class pour une destination de son choix. Michelino Mavatiku Visi est un artiste très engagé, ayant déjà subi les affres de la dictature, il ne pactise pas avec des régimes brutaux qui foulent aux pieds les droits humains. Et tout engagement pousse à des renoncements !
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Michelino Mavatiku Visi, meilleur guitariste de sa génération, est un grand artiste engagé !
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Michelino Mavatiku Visi, meilleur guitariste de sa génération, est un grand artiste engagé !
MICHELINO MAVATIKU VISI ILLUMINERA LE FESTIVAL DE LAMBALLE
Après sa première participation au festival de Lamballe, en 2006, Michelino Mavatiku Visi est réinviter à jouer aux Régalades d’été jeudi 8 août. Le guitariste congolais, l’un des plus talentueux de sa génération, continue d’émerveiller le public et suscite l’admiration des amateurs de la rumba congolaise.
Jeudi 8 août, les Régalades à Lamballe, ville du département des Côtes-d’Armor de la région de la Bretagne s’animeront au rythme de la rumba congolaise. Pour la deuxième fois, Michelino Mavatiku Visi, participera à ce rendez-vous d’été désormais incontournable de la vie culturelle en France.
En 2006, près de 4000 personnes ont été éblouis, sur la place du Marché de la capitale du Penthièvre, par le spectacle donné par ce génie de la guitare, dont les empreintes marqueront à jamais l’histoire musicale de la RDC.
Participer à ce festival a été un plaisir pour ce matadien , qui se plait à comparer Lamballe à sa ville natale de Matadi en RDC, à cause de ses routes qui montent et qui descendent et ensuite qui font transpirer.
DE VRAIS PROFESSIONNELS
Pour animer ces Régalades d’été 2013, l’auteur compositeur de « Yambi chérie », « Moussa », « Makfé », « Salima », pour ne citer que ces tubes, se fera accompagner par quelques individualités de la musique africaine. De vrais professionnels : Shakembo et Solo Sita (chanteurs), Dackson (guitare accompagnement), Da Mukela (guitare basse), Léon Kouamé ( batteur) et Roger Kom (saxophoniste).
Contrairement à la rumeur, selon laquelle Michelino Mavatiku Visi et son orchestre « Makfé » seraient invités à se produire, cet été, au festival d’Angoulême en France pour accompagner un jeune chanteur congolais de moindre calibre, il sied de noter que l’inventeur du rythme « Mi-composé », ne se produit plus sous le nom d’orchestre.
Depuis belle lurette, « Michita », pour les intimes, se fait accompagner par des chanteurs et musiciens de son choix. Et le festival d’Angoulême ne figure pas, cette année , à son programme.
« Depuis longtemps, je n’ai plus d’orchestre. Je travaille épisodiquement avec des personnes que j’estime à même de m’accompagner pour une production quelconque. Je m’acquitte de leurs droits et ça s’arrête là. Pour moi, le temps des orchestres est révolu. Ceux qui s’amusent à recréer l’orchestre Makfé dans leur imagination ont tort », s’insurge-t-il.
DEFENDRE LES COULEURS DE LA MUSIQUE CONGOLAISE
Michelino Mavatiku Visi et deux spectatrices sur scène (Lamballe 2006)
Après Cannes et Martinique en 2012, Michelino Mavatiku Visi , l’un des héritiers artistiques de Tabu Ley Rochereau et du Grand Maître Luambo Makiadi Franco, avec lesquels ils formèrent, en 1983, l’ensemble musical « Lisanga ya ba Nganga », n’entend pas dormir sur ses lauriers. Le festival de Lamballe lui offre une nouvelle occasion d’aller défendre les couleurs de la musique de la RDC.
« J’irai partout pour promouvoir la musique congolaise. Notre musique, très appréciée en Afrique et dans le monde, il y a peu, est actuellement en baisse de régime », se désole-t-il.
Créé en 2003, le festival de Lamballe est devenu un rendez-vous très prisé des amateurs de restauration traditionnelle. On y déguste de bons plats du pays et on y goûte du bon cidre de fabrication locale. Le public, unanimement enthousiaste, se laisse submerger par l’émotion quand la musique jouée en live reproduit le même effet que dans les concerts parisiens.
Comme en 2006, et tel que l’on connaît son savoir faire en la matière, Michelino Mavatiku Visi montrera aux Lamballais , cette année encore, une part de lui-même qu’il ne montre nulle part ailleurs. Pour que vive la rumba congolaise, qui sera bientôt inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco.
Robert Kongo, correspondant en France
Copyright Le Potentiel
Après sa première participation au festival de Lamballe, en 2006, Michelino Mavatiku Visi est réinviter à jouer aux Régalades d’été jeudi 8 août. Le guitariste congolais, l’un des plus talentueux de sa génération, continue d’émerveiller le public et suscite l’admiration des amateurs de la rumba congolaise.
Jeudi 8 août, les Régalades à Lamballe, ville du département des Côtes-d’Armor de la région de la Bretagne s’animeront au rythme de la rumba congolaise. Pour la deuxième fois, Michelino Mavatiku Visi, participera à ce rendez-vous d’été désormais incontournable de la vie culturelle en France.
En 2006, près de 4000 personnes ont été éblouis, sur la place du Marché de la capitale du Penthièvre, par le spectacle donné par ce génie de la guitare, dont les empreintes marqueront à jamais l’histoire musicale de la RDC.
Participer à ce festival a été un plaisir pour ce matadien , qui se plait à comparer Lamballe à sa ville natale de Matadi en RDC, à cause de ses routes qui montent et qui descendent et ensuite qui font transpirer.
DE VRAIS PROFESSIONNELS
Pour animer ces Régalades d’été 2013, l’auteur compositeur de « Yambi chérie », « Moussa », « Makfé », « Salima », pour ne citer que ces tubes, se fera accompagner par quelques individualités de la musique africaine. De vrais professionnels : Shakembo et Solo Sita (chanteurs), Dackson (guitare accompagnement), Da Mukela (guitare basse), Léon Kouamé ( batteur) et Roger Kom (saxophoniste).
Contrairement à la rumeur, selon laquelle Michelino Mavatiku Visi et son orchestre « Makfé » seraient invités à se produire, cet été, au festival d’Angoulême en France pour accompagner un jeune chanteur congolais de moindre calibre, il sied de noter que l’inventeur du rythme « Mi-composé », ne se produit plus sous le nom d’orchestre.
Depuis belle lurette, « Michita », pour les intimes, se fait accompagner par des chanteurs et musiciens de son choix. Et le festival d’Angoulême ne figure pas, cette année , à son programme.
« Depuis longtemps, je n’ai plus d’orchestre. Je travaille épisodiquement avec des personnes que j’estime à même de m’accompagner pour une production quelconque. Je m’acquitte de leurs droits et ça s’arrête là. Pour moi, le temps des orchestres est révolu. Ceux qui s’amusent à recréer l’orchestre Makfé dans leur imagination ont tort », s’insurge-t-il.
DEFENDRE LES COULEURS DE LA MUSIQUE CONGOLAISE
Michelino Mavatiku Visi et deux spectatrices sur scène (Lamballe 2006)
Après Cannes et Martinique en 2012, Michelino Mavatiku Visi , l’un des héritiers artistiques de Tabu Ley Rochereau et du Grand Maître Luambo Makiadi Franco, avec lesquels ils formèrent, en 1983, l’ensemble musical « Lisanga ya ba Nganga », n’entend pas dormir sur ses lauriers. Le festival de Lamballe lui offre une nouvelle occasion d’aller défendre les couleurs de la musique de la RDC.
« J’irai partout pour promouvoir la musique congolaise. Notre musique, très appréciée en Afrique et dans le monde, il y a peu, est actuellement en baisse de régime », se désole-t-il.
Créé en 2003, le festival de Lamballe est devenu un rendez-vous très prisé des amateurs de restauration traditionnelle. On y déguste de bons plats du pays et on y goûte du bon cidre de fabrication locale. Le public, unanimement enthousiaste, se laisse submerger par l’émotion quand la musique jouée en live reproduit le même effet que dans les concerts parisiens.
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Robert Kongo, correspondant en France
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