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Pour les apparatchiks du régime, la constitution sera révisée à tout prix…

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Message  KOTA 7/8/2013, 12:06 pm

Pour les apparatchiks du régime, la constitution sera révisée à tout prix… LA-UNE2

Pour les apparatchiks du régime, la constitution sera révisée à tout prix…

par mpp le 7 août 2013

rais


Moïse Ekanga, Evariste Boshab, Me Nkulu Kilonbo, Matata Ponyo et Aubin Minaku s’y attèllent  Le groupe de cinq à l’œuvre…

Ils sont cinq comme les doigts d’une main au fourneau du diable. Si  ce ne sont pas des diables eux-mêmes, ce sont tout de même des apprentis sorciers qui s’escriment à trouver les voies et moyens de faire sauter  le verrou. Tous du PPRD (Pouvoir du Parti pour la Régression de la  Démocratie).

1. Eva, secrétaire général du PPRD et auteur du très  « tristement célèbre » ouvrage « Entre la révision constitutionnelle ou  l’inanition de la Nation », une caution scientifique au tripatouillage  qui se prépare.

2. Me Norbert Nkulu, ambassadeur au Rwanda, qui passe si peu de temps à son poste. Il fut le défenseur de JKK à l’audience sur  la contestation des résultats de la présidentielle de 2006.

3. Moïse  Ekanga, surnommé « Monsieur les 5 chantiers ». Il connaît les tenants et les aboutissants de tous les dossiers (obscurs ou pas) en rapport avec  les 5 chantiers et les infrastructures. Pour se donner une conscience  tranquille, le frère Ekanga a déboursé plus de 300 mille dollars pour  corrompre le bon Dieu en achetant pour son église une concession. 4.  Augustin Matata, premier ministre et membre du PPRD.

5. Aubin Minaku,  président de l’Assemblée nationale et Secrétaire général de la Majorité  Présidentielle. Ils sont donc les cinq maîtres de l’ouvrage « démon-cratie ». Le groupe de cinq partagé… Dans le monde des démons, tous n’ont pas le même degré de nuisance.  Dans ce pré-carré, deux positions s’affrontent. La première (défendue  par Evariste Boshab, Moïse Ekanga et Me Nkulu Kilombo) voudrait  ouvertement la modification de l’article 220 de la Constitution quel  qu’en soit le prix. La deuxième (chère à Aubin Minaku et Matata Ponyo),  pense qu’il ne faudrait pas s’y risquer. Ils conseillent à JKK de se  trouver un « Dmitri Medvedev », quitte à retourner à reprendre le  pouvoir une législature après. Mais la RDC n’est pas la Russie, et  Joseph Kabila n’est pas Vladimir Poutine. CM

Les stratégies du malin (PPRD)

A l’école du diable, on y apprend qu’à faire du mal
Pour les apparatchiks du régime, la constitution sera révisée à tout prix… Diable-001


 Tout le monde n’a pas accès au sacro-saint. L’endroit où se prennent  des grandes décisions. Seuls quelques initiés jouissent de ce privilège. Seul le groupe de cinq y a accès. Ce groupe préconise trois options  pour maintenir JKK au pouvoir: 1. Infiltrer les concertations  nationales. 2. Recueillir 200 mille signatures afin de déposer une  pétition à l’Assemblée nationale. 3. Faire ajourner les élections en  2016 prétextant un manque d’argent pour le faire. 4. Dans le pire des  cas, présenter Maman Ô comme candidate à la présidence à la place de son mari.

1. Les concertations nationales, une aubaine…

La fin justifie les moyens, dit-on. Le groupe de cinq sait bien que  beaucoup vont y participer en quête qui du per diem, qui d’un poste, et  qui des certains avantages que seul le pouvoir pourrait offrir. Le  pouvoir prévoit non seulement  d’y injecter des taupes pour faire  pencher les résolutions de son coté, mais aussi d’y gagner « des âmes ». Qui pourrait alors s’opposer aux résolutions adoptées par majorité  simple. La stratégie est d’amener l’opposition (la vraie) à tomber dans  son propre piège. Ces concertations pourraient légitimer certaines  options, dont la révision constitutionnelle. La fameuse conférence  nationale de Mobutu sert, à ce sujet, d’inspiration. L’opposition qui la voulait souveraine croyait, en obtenant cette revendication, pouvoir  signer l’arrêt de mort de Mobutu. Elle en sortit fragilisée, divisée,  déchirée. En fin elle y laissa ses plumes. Mobutu était toujours bien  vissé dans son strapontin. Au cas où les concertations ne conduiraient pas à l’objectif? Le  groupe de cinq (surtout Ekanga, Eva et Me Nkulu, les plus extrémistes du groupe) préconise un Plan B: Une pétition.

2. La pétition, un moyen légal

La pétition est un droit reconnu aux populations d’exprimer une  demande directe. Elle a ceci d’incontestable qu’elle est  constitutionnelle. Elle se présente le plus souvent sous la forme d’un  ensemble de signatures au bas d’un texte. Ces signatures sont  généralement recueillies dans la rue par des volontaires. Une pétition  peut concerner tous les sujets de la vie nationale, y compris la  modification de l’article verrouillé 220. Ainsi, déposée aux deux  chambres (à prédominance acquise à JKK), elle serait adoptée sans  l’ombre d’un doute. Au cas où le plan B échouerait? Il y a déjà un Plan C. Jouer les prolongations.

3. L’absence des moyens financiers, une cause de justification

Peut-on organiser les élections sans argent? Et si le gouvernement  déclarait en manquer, qui pourrait l’y contraindre? N’y a-t-il pas déjà  un précédent qui servirait d’un cas d’école? Les élections provinciales  et locales n’ont pas encore été organisées jusqu’ici faute d’argent.  Est-ce à dire que les sénateurs, les assemblées provinciales, les  gouvernements provinciaux sont illégitimes? La présidentielle pourrait  alors attendre deux ou trois ans. Ce cas de figure pourrait légitimer  des insurrections à gauche, des rébellions à droite. Dans ce cas, JKK  pourrait rester au pouvoir le temps qu’il faudrait jusqu’à la  pacification totale du pays. Un Plan D? La carte de la première dame.

4. Maman Ô, pourquoi pas?

Pourquoi pas? Elle est une citoyenne de ce pays. Serait-elle la  première « Première Dame » à succéder à son mari dans l’histoire de  l’humanité? Là encore, il existe un précédent: Cristina Elisabet  Fernández de Kirchne! Elle est l’actuelle présidente de l’Argentine,  élue dès le premier tour avec 45,23 % des suffrages exprimés et réélue  le 24 octobre 2011, également au premier tour, avec 53,96 % des voix.  Elle est investie le 10 décembre 2007, succédant à son mari Néstor  Kirchner, qui meurt trois ans plus tard. Maman Ô pourrait sauver les meubles. Surtout avec le concours du tout nouveau curé de la CENI, les carottes seront vite cuites.

Ngwamba B


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KOTA
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