Les aventures et malheurs au Congo
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Re: Les aventures et malheurs au Congo
Mathilde a écrit:Eliezer Ntambwe
[b]Shame shameeeee
Ce micro me rapelle le Dust Swiffer de Proctor and Gamble...
Continuez...
zobattants
Re: Les aventures et malheurs au Congo
Tokomi wapi avec honorable MPUELA, personne ne doit libérer le peuple, le peuple doit se libérer
Mathilde
Re: Les aventures et malheurs au Congo
Prix du maïs en hausse : échec de la politique agricole du Gouvernement
Les fêtes de fin d’année sont généralement l’occasion pour les spéculateurs de tous bords de jongler avec les prix des denrées alimentaires, dont les besoins sont particulièrement en hausse en cette circonstance, pour réaliser des bénéfices dans des proportions pour le moins scandaleuses.
Soucieux de renverser la tendance à l’aube de l’année 2014, le gouvernement Matata avait pris les devants pour barrer la route à la spéculation et permettre ainsi aux populations congolaises de fêter joyeusement la fin des troubles récurrents à l’Est de la République.
A cet effet, d’importants fonds ont été distribués, notamment aux gouvernorats des provinces du Bandundu et du Bas-Congo en vue de relancer la production agricole destinée à combler le déficit chronique de la capitale. De ce fait, le gouvernement espérait casser la spirale des augmentations des prix qui accompagnent d’année en année les festivités de Noël et de Nouvel An.
Hélas, la réalité qui apparait aujourd’hui est on ne peut plus affligeante. C’est comme si le Trésor public a investi dans les tonneaux de Danaïdes, car la production tant attendue s’est avérée nettement en dessous du niveau qu’elle aurait dû atteindre. A Kinshasa, où les retombées de l’investissement gouvernemental auraient du être constatées dans l’assiette des plus démunis, la déception est d’autant plus amère que les prix du maïs et du manioc n’ont pas baissé. Constats faits au terminal d’arrivée des véhicules de gros tonnage transportant ces produits en provenance du Bandundu, ainsi que sur les marchés et «wenze» où s’approvisionnent les ménages kinois. La troïka stratégique elle-même (réunion périodique du suivi de la situation économico-financière de la RDC sous la présidence du Premier ministre MatataPonyo et regroupant entre autres le vice-Premier Ministre et Ministre du Budget, le Ministre de l’Economie et du commerce, le Ministre Délégué aux Finances, le Gouverneur de la Banque centrale du Congo et le Directeur de cabinet du Premier Ministre en tant que rapporteur) vient d’en faire le malheureux constat, en confirmant la hausse des prix du sac de maïs dans tous les grands centres de la province du Bandundu, l’un des greniers de Kinshasa avec la province du Bas-Congo, telle qu’elle a été dénoncée par la Fédération des entreprises du Congo.Le fait, pour la Troika, de déplorer cette situation tout en promettant de prendre des mesures correctives, ne réduit en rien la preuve que cet état des choses traduit pour le gouvernement l’aveu d’un échec.
En effet, selon la FEC/Bandundu qui s’était confiée à nos confrères de radio Okapi, un sac de maïs est passé de 40.000 FC (43 $ US) à 90.000 FC (97 $ US) et celui du manioc de 20.000 FC (21 $ US) à 35.000 FC voire 40.000 FC (38 à 43 $ US). Le patronat de cette province voisine de la capitale attribue cette flambée des prix à la rareté de ces produits et à l’abondance des pluies qui s’abattent ces derniers temps à travers le Bandundu, empêchant la croissance de ces produits agricoles. S’inquiétant de cette situation, la FEC conteste la viabilité de plusieurs projets présents dans cette entité en appui au secteur agricole.
Campagne agricole 2013 : un budget en-déça des standards
internationaux
Il y a lieu de souligner que malheureusement, l’aveu de ce déficit criant de la production de ces aliments de base apporte de l’eau au moulin des détracteurs de l’Etat congolais : ce dernier est loin d’assurer la sécurité alimentaire à la population. C’est dire aussi que l’agriculture tout comme la pêche ne bénéficient pas encore de toutes les attentions dont elle a droit en tant que secteur contributeur à hauteur de 55% du produit intérieur brut (PIB) en RDC.
En effet, malgré les millions de dollars injectés grâce auxquels le Premier ministre tente de convaincre l’opinion sur sa détermination de relancer la production agricole, on est toujours très loin du compte, car jusqu’aujourd’hui ce secteur n’est financé qu’à hauteur de moins de 10% du budget national,le minimum à respecter, selon la déclaration de Maputo de 2003, pour les Etats de la SADC.
Les récents budgets (2012 et 2013) ne l’ayant pas respecté, l’on est en droit de se demander si pour 2014 la volonté politique se montrera à la hauteur des attentes de la population, laquelle a pourtant droit à accéder à une nourriture saine en qualité et en quantité. Et pas seulement à l’occasion des festivités de fin d’année. Autre raison d’inquiétude : même si ce budget oscille souvent entre 2 et 4%, c’est des fois moins de 1% qui est réellement décaissé, du moins selon les plaintes répétées de la société civile qui assimile les millions déclarés à de la poudre aux yeux.
Echec de l’utilisation rationnelle des tracteurs…
Ainsi donc, la RDC continuera à quémander des dons à l’étranger pour combler ses déficits de production agricole, à l’instar notamment des récents 7,8 millions de dollars du Japon pour la fourniture du riz d’origine américaine et thaïlandaise dont les recettes de vente à un prix inférieur à celui pratiqué sur les marchés locaux serviront à financer des projets de développement socio-économique.
Cette hausse des prix de ces denrées alimentaires de base ainsi que le déficit de production qu’elle suppose sont par ailleurs révélateurs d’une autre situation. Il s’agit de l’échec de l’utilisation irrationnel des tracteurs et autres matériels aratoires distribués dans les provinces. Et, à quelques exceptions près, de la distribution des semences. L’impréparation des acquéreurs tout autant que le manque de suivi et de contrôle à tous les niveaux des exécutifs national et provinciaux ne sont pas étrangers à cette faillite. Au bas-Congo par exemple, le ministre provincial de l’Agriculture a été révoqué pour détournement des fonds destinés à la campagne agricole 2013.
Faut-il attendre l’interpellation du ministre de l’Agriculture à l’Assemblée nationale ou l’envoi sur terrain d’une commission d’enquête parlementaire pour voir des têtes tomber ou des «kuluna en cravate » envoyés en prison ?
Deux «éléphants blancs» à incriminer aussi
Autre organe à incriminer dans ce déficit : les Réserves stratégiques, un service aux allures d’un éléphant blanc qui gère pourtant des fonds importants mais qui ne remplit guère sa mission. Que possède donc ce service dans « ses réserves » ? Quel déficit en riz, manioc, maïs, maïs, arachide, poisson, huile de palme… est-il encore capable de combler sur les marchés urbains et provinciaux ? L’homme de la rue ne garde de ce service qu’un vague souvenir du temps de Mzee, où des cantines dotées de produits de consommation courante vendus moins cher étaient ouvertes.
Le Service national, l’autre service à incriminer dans ce déficit, n’est plus que l’ombre de lui-même alors que naguère, il contribuait à la baisse considérable des prix (et aussi à l’absorption de la main- d’œuvre) par sa production agricole à l’intérieur du pays (Kanyama au Katanga, périphérie de Kinshasa notamment). Il avait suscité beaucoup d’espoir et mobilisé des bras pour une production à visibilité nulle.
Aujourd’hui, Réserves stratégiques et Service national n’existent plus que de noms et seraient devenus inutilement et férocement budgétivore.
LA SOLUTION : RESTAURER LE SERVICE NATIONAL DANS UNE NOUVELLE DIMENSION
Il est inconcevable que dans ce vaste pays d’Afrique centrale qu’est la RDC, doté des millions de bras valides inutilisés et gâté par la nature ( terres arables à perte de vue, pluies abondantes, poissons mourant de vieillesse dans les lacs, fleuve et innombrables rivières utiles pour arroser de vastes étendues), l’on continue de crier à l’insuffisance de la production agricole et piscicole.
C’est que le mal, comme vient de le démontrer le malheureux épisode des fonds engloutis dans les deux provinces voisines et pourvoyeuses de Kinshasa sans résultats concrets, réside dans la stratégie globale visant à une réelle sécurité alimentaire. Cette stratégie, telle que l’avait comprise M’Zee Laurent Kabila, consiste tout simplement à confier cette responsabilité aux animateurs aguerris dans le domaine agricole, des hommes de terrain capables de fédérer les jeunes et les paysans dans une expérience pilote, notamment les provinces de Bandundu et du Bas-Congo. Et cela par le canal d’un Service National à vocation et à structures nouvelles, incluant à la fois l’actuel Service National et les Réserves stratégiques qui ont fait la preuve de leur inefficacité.
Il y va du salut de la Nation et de la crédibilité, en cette matière, du gouvernement Matata dont il convient honnêtement de saluer les efforts déjà accomplis sur d’autres fronts sous l’impulsion du Président de la République Joseph Kabila Kabange.-
Correspondance particulière de Jean SATO
Les fêtes de fin d’année sont généralement l’occasion pour les spéculateurs de tous bords de jongler avec les prix des denrées alimentaires, dont les besoins sont particulièrement en hausse en cette circonstance, pour réaliser des bénéfices dans des proportions pour le moins scandaleuses.
Soucieux de renverser la tendance à l’aube de l’année 2014, le gouvernement Matata avait pris les devants pour barrer la route à la spéculation et permettre ainsi aux populations congolaises de fêter joyeusement la fin des troubles récurrents à l’Est de la République.
A cet effet, d’importants fonds ont été distribués, notamment aux gouvernorats des provinces du Bandundu et du Bas-Congo en vue de relancer la production agricole destinée à combler le déficit chronique de la capitale. De ce fait, le gouvernement espérait casser la spirale des augmentations des prix qui accompagnent d’année en année les festivités de Noël et de Nouvel An.
Hélas, la réalité qui apparait aujourd’hui est on ne peut plus affligeante. C’est comme si le Trésor public a investi dans les tonneaux de Danaïdes, car la production tant attendue s’est avérée nettement en dessous du niveau qu’elle aurait dû atteindre. A Kinshasa, où les retombées de l’investissement gouvernemental auraient du être constatées dans l’assiette des plus démunis, la déception est d’autant plus amère que les prix du maïs et du manioc n’ont pas baissé. Constats faits au terminal d’arrivée des véhicules de gros tonnage transportant ces produits en provenance du Bandundu, ainsi que sur les marchés et «wenze» où s’approvisionnent les ménages kinois. La troïka stratégique elle-même (réunion périodique du suivi de la situation économico-financière de la RDC sous la présidence du Premier ministre MatataPonyo et regroupant entre autres le vice-Premier Ministre et Ministre du Budget, le Ministre de l’Economie et du commerce, le Ministre Délégué aux Finances, le Gouverneur de la Banque centrale du Congo et le Directeur de cabinet du Premier Ministre en tant que rapporteur) vient d’en faire le malheureux constat, en confirmant la hausse des prix du sac de maïs dans tous les grands centres de la province du Bandundu, l’un des greniers de Kinshasa avec la province du Bas-Congo, telle qu’elle a été dénoncée par la Fédération des entreprises du Congo.Le fait, pour la Troika, de déplorer cette situation tout en promettant de prendre des mesures correctives, ne réduit en rien la preuve que cet état des choses traduit pour le gouvernement l’aveu d’un échec.
En effet, selon la FEC/Bandundu qui s’était confiée à nos confrères de radio Okapi, un sac de maïs est passé de 40.000 FC (43 $ US) à 90.000 FC (97 $ US) et celui du manioc de 20.000 FC (21 $ US) à 35.000 FC voire 40.000 FC (38 à 43 $ US). Le patronat de cette province voisine de la capitale attribue cette flambée des prix à la rareté de ces produits et à l’abondance des pluies qui s’abattent ces derniers temps à travers le Bandundu, empêchant la croissance de ces produits agricoles. S’inquiétant de cette situation, la FEC conteste la viabilité de plusieurs projets présents dans cette entité en appui au secteur agricole.
Campagne agricole 2013 : un budget en-déça des standards
internationaux
Il y a lieu de souligner que malheureusement, l’aveu de ce déficit criant de la production de ces aliments de base apporte de l’eau au moulin des détracteurs de l’Etat congolais : ce dernier est loin d’assurer la sécurité alimentaire à la population. C’est dire aussi que l’agriculture tout comme la pêche ne bénéficient pas encore de toutes les attentions dont elle a droit en tant que secteur contributeur à hauteur de 55% du produit intérieur brut (PIB) en RDC.
En effet, malgré les millions de dollars injectés grâce auxquels le Premier ministre tente de convaincre l’opinion sur sa détermination de relancer la production agricole, on est toujours très loin du compte, car jusqu’aujourd’hui ce secteur n’est financé qu’à hauteur de moins de 10% du budget national,le minimum à respecter, selon la déclaration de Maputo de 2003, pour les Etats de la SADC.
Les récents budgets (2012 et 2013) ne l’ayant pas respecté, l’on est en droit de se demander si pour 2014 la volonté politique se montrera à la hauteur des attentes de la population, laquelle a pourtant droit à accéder à une nourriture saine en qualité et en quantité. Et pas seulement à l’occasion des festivités de fin d’année. Autre raison d’inquiétude : même si ce budget oscille souvent entre 2 et 4%, c’est des fois moins de 1% qui est réellement décaissé, du moins selon les plaintes répétées de la société civile qui assimile les millions déclarés à de la poudre aux yeux.
Echec de l’utilisation rationnelle des tracteurs…
Ainsi donc, la RDC continuera à quémander des dons à l’étranger pour combler ses déficits de production agricole, à l’instar notamment des récents 7,8 millions de dollars du Japon pour la fourniture du riz d’origine américaine et thaïlandaise dont les recettes de vente à un prix inférieur à celui pratiqué sur les marchés locaux serviront à financer des projets de développement socio-économique.
Cette hausse des prix de ces denrées alimentaires de base ainsi que le déficit de production qu’elle suppose sont par ailleurs révélateurs d’une autre situation. Il s’agit de l’échec de l’utilisation irrationnel des tracteurs et autres matériels aratoires distribués dans les provinces. Et, à quelques exceptions près, de la distribution des semences. L’impréparation des acquéreurs tout autant que le manque de suivi et de contrôle à tous les niveaux des exécutifs national et provinciaux ne sont pas étrangers à cette faillite. Au bas-Congo par exemple, le ministre provincial de l’Agriculture a été révoqué pour détournement des fonds destinés à la campagne agricole 2013.
Faut-il attendre l’interpellation du ministre de l’Agriculture à l’Assemblée nationale ou l’envoi sur terrain d’une commission d’enquête parlementaire pour voir des têtes tomber ou des «kuluna en cravate » envoyés en prison ?
Deux «éléphants blancs» à incriminer aussi
Autre organe à incriminer dans ce déficit : les Réserves stratégiques, un service aux allures d’un éléphant blanc qui gère pourtant des fonds importants mais qui ne remplit guère sa mission. Que possède donc ce service dans « ses réserves » ? Quel déficit en riz, manioc, maïs, maïs, arachide, poisson, huile de palme… est-il encore capable de combler sur les marchés urbains et provinciaux ? L’homme de la rue ne garde de ce service qu’un vague souvenir du temps de Mzee, où des cantines dotées de produits de consommation courante vendus moins cher étaient ouvertes.
Le Service national, l’autre service à incriminer dans ce déficit, n’est plus que l’ombre de lui-même alors que naguère, il contribuait à la baisse considérable des prix (et aussi à l’absorption de la main- d’œuvre) par sa production agricole à l’intérieur du pays (Kanyama au Katanga, périphérie de Kinshasa notamment). Il avait suscité beaucoup d’espoir et mobilisé des bras pour une production à visibilité nulle.
Aujourd’hui, Réserves stratégiques et Service national n’existent plus que de noms et seraient devenus inutilement et férocement budgétivore.
LA SOLUTION : RESTAURER LE SERVICE NATIONAL DANS UNE NOUVELLE DIMENSION
Il est inconcevable que dans ce vaste pays d’Afrique centrale qu’est la RDC, doté des millions de bras valides inutilisés et gâté par la nature ( terres arables à perte de vue, pluies abondantes, poissons mourant de vieillesse dans les lacs, fleuve et innombrables rivières utiles pour arroser de vastes étendues), l’on continue de crier à l’insuffisance de la production agricole et piscicole.
C’est que le mal, comme vient de le démontrer le malheureux épisode des fonds engloutis dans les deux provinces voisines et pourvoyeuses de Kinshasa sans résultats concrets, réside dans la stratégie globale visant à une réelle sécurité alimentaire. Cette stratégie, telle que l’avait comprise M’Zee Laurent Kabila, consiste tout simplement à confier cette responsabilité aux animateurs aguerris dans le domaine agricole, des hommes de terrain capables de fédérer les jeunes et les paysans dans une expérience pilote, notamment les provinces de Bandundu et du Bas-Congo. Et cela par le canal d’un Service National à vocation et à structures nouvelles, incluant à la fois l’actuel Service National et les Réserves stratégiques qui ont fait la preuve de leur inefficacité.
Il y va du salut de la Nation et de la crédibilité, en cette matière, du gouvernement Matata dont il convient honnêtement de saluer les efforts déjà accomplis sur d’autres fronts sous l’impulsion du Président de la République Joseph Kabila Kabange.-
Correspondance particulière de Jean SATO
regarder et bien voir
Re: Les aventures et malheurs au Congo
Une mafia a` la Snel causant de faux delestages dans certains coins de la capital laissant des habitants dans le noir pour des raisons non encore elucidee's:
On constate en effet qu’en dépit de l’amélioration sensible de la situation, certains spécialistes de la truanderie continuent a organiser des délestages sauvages et injustifiés dans plusieurs communes de la capitale. Tel est le cas notamment de Lemba où certaines cabines, a l’image de Righini 5, sont particulièrement visées. Alors que le courant est régulier dans la zone, il se trouve paradoxalement des agents véreux pour organiser des délestages injustifiés qui visent constamment le départ 4. Malgré les plaintes maintes fois formulées, la situation ne s’améliore pas, au point de pousser la clientèle à s’adresser directement à la haute direction.
Ce comportement de certains agents de la Snel est à bannir et il faut espérer que des enquêtes vont être diligentées pour connaître les motivations de ce groupe et prendre en même temps des dispositions devant les mettre hors d’état de nuire. A la veille de la libéralisation effective du secteur d’électricité, chacun doit réaliser que la bataille à venir va se dérouler sur le terrain de la qualité du service rendu a la clientèle. C’est ici et maintenant qu’il faut passer le message aux agents et surtout, leur faire comprendre que leur maintien en fonction est tributaire de leur capacité de capter la confiance de la clientèle et non le contraire.
On constate en effet qu’en dépit de l’amélioration sensible de la situation, certains spécialistes de la truanderie continuent a organiser des délestages sauvages et injustifiés dans plusieurs communes de la capitale. Tel est le cas notamment de Lemba où certaines cabines, a l’image de Righini 5, sont particulièrement visées. Alors que le courant est régulier dans la zone, il se trouve paradoxalement des agents véreux pour organiser des délestages injustifiés qui visent constamment le départ 4. Malgré les plaintes maintes fois formulées, la situation ne s’améliore pas, au point de pousser la clientèle à s’adresser directement à la haute direction.
Ce comportement de certains agents de la Snel est à bannir et il faut espérer que des enquêtes vont être diligentées pour connaître les motivations de ce groupe et prendre en même temps des dispositions devant les mettre hors d’état de nuire. A la veille de la libéralisation effective du secteur d’électricité, chacun doit réaliser que la bataille à venir va se dérouler sur le terrain de la qualité du service rendu a la clientèle. C’est ici et maintenant qu’il faut passer le message aux agents et surtout, leur faire comprendre que leur maintien en fonction est tributaire de leur capacité de capter la confiance de la clientèle et non le contraire.
regarder et bien voir
Re: Les aventures et malheurs au Congo
RDC makambo solution eza nini mindele bazonga mpo mboka ebonga? Lokoso na lokoso corruptible pour quelques miettes.
http://m.teletshangu.com/Incroyable-Un-helicoptere-cloue-au-sol-par-la-douane-congolaise-disparait-a-Bunia_a584.html?com#comments
http://m.teletshangu.com/Incroyable-Un-helicoptere-cloue-au-sol-par-la-douane-congolaise-disparait-a-Bunia_a584.html?com#comments
mongo elombe
Re: Les aventures et malheurs au Congo
mongo elombe a écrit:RDC makambo solution eza nini mindele bazonga mpo mboka ebonga? Lokoso na lokoso corruptible pour quelques miettes.
http://m.teletshangu.com/Incroyable-Un-helicoptere-cloue-au-sol-par-la-douane-congolaise-disparait-a-Bunia_a584.html?com#comments
ME, franchement makambo ya evasion de douane, moyen ya ko-condamner yango eza te. Ata yo moko 2 millions de dollars a` payer, benefice ango ya combien mutu akosala po afuta 2 millions de dollars en douanes? Meme si on dit c'est a` cause de penalites' et autres frais, c'est de l'escroquerie parce que des` le debut, le proprietaire n'a pas pu payer de grands impots ou taxes excessifs exiges' sur l'appareil. Oui, ndenge ebungi c'est une aventure, reste a` savoir si c'est le jeu du proprietaire ou de quelques uns de la compagnie douaniere qui ont fait evader la chose.
regarder et bien voir
Re: Les aventures et malheurs au Congo
regarder et bien voir a écrit:
ME, franchement makambo ya evasion de douane, moyen ya ko-condamner yango eza te. Ata yo moko 2 millions de dollars a` payer, benefice ango ya combien mutu akosala po afuta 2 millions de dollars en douanes? Meme si on dit c'est a` cause de penalites' et autres frais, c'est de l'escroquerie parce que des` le debut, le proprietaire n'a pas pu payer de grands impots ou taxes excessifs exiges' sur l'appareil. Oui, ndenge ebungi c'est une aventure, reste a` savoir si c'est le jeu du proprietaire ou de quelques uns de la compagnie douaniere qui ont fait evader la chose.
Mais non, RBV, on ne peut pas encourager le mal. On ne peut pas accepter que des individus se fassent corrompre pour faciliter une fraude fiscale car différence entre Mpiana na ba agent wana eza wapi?
Ces sociétés travaillent dans le secteur minier, ils font sortir nos richesses vers des pays voisins et doivent payer. En Occident nous avons vu des sociétés payer de fortes amendes en milliards USD comme Microsoft, Google et les sociétés de tabac pour ne citer que quelques unes.
DURA LEX, SED LEX
King David
Re: Les aventures et malheurs au Congo
Yango nde mboka ekoki ko bonga te soki to instaure Etat de droit te. Il faut mettre fin a l'arbitraire et a la corruption institutionalisee. C'est bien d'exiger aux compagnies etrangeres de payer des impots mais est-ce base sur un bareme raisonnable? Est-ce previsible et systematique ou bien n'importe quel agent de l'Etat avec un peu d'autorite peut imposer ses propres regles? Qui est a blamer le corrupteur ou le corrompu? Comme les investissements etrangers ne profitent qu'au regime de toute facon, perso, je n'ai aucune sympathie pour ces arnaqueurs. C'est un cas d'arroseur arrose, a mon humble avis.
Tsippora
Re: Les aventures et malheurs au Congo
Kie kie kie, oui King David et Tshipora ont tous deux raison. Combien de ces companies evadent la douane, et pire evadent nos services de controle et ne se conforment pas aux conditions de travail des ouvriers? Alors soki pe ekomi match retour qu'elles soient taxees' comme ce n'est pas permis; Ya biso nini kuna na kati? Ca nous regarde pas.
En conclusion comme il est dit, nous manquons: Etat de droit (d'ailleurs le centre des problemes, a` mon avis), la lutte contre la corruption et la confiscation de l'Appareil de l'Etat par des individus.
En conclusion comme il est dit, nous manquons: Etat de droit (d'ailleurs le centre des problemes, a` mon avis), la lutte contre la corruption et la confiscation de l'Appareil de l'Etat par des individus.
regarder et bien voir
Re: Les aventures et malheurs au Congo
RDC : arrestation d'un haut responsable du premier parti d'opposition
Un haut responsable du principal parti d'opposition en République démocratique du Congo, l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), a été arrêté dans le centre du pays le 2 janvier, a annoncé sa formation politique. Bruno Kabatshi a été transféré à Kinshasa, où il est détenu dans un lieu inconnu.
« Bruno Kabatshi (...) a été arrêté (...) après un débat contradictoire avec un membre du PPRD » (Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie, au pouvoir), a affirmé Augustin Kabuya, porte-parole adjoint de l'UDPS. « Il s'est bien défendu. Après l'émission, il a été arrêté sur ordre du gouverneur de la province », a ajouté M. Kabuya.
OPPOSANT FAROUCHE À JOSEPH KABILA
Le chef de l'UDPS, Etienne Tshisekedi, 81 ans, est né au Kasaï occidental, province riche en diamants, comme sa voisine du Kasaï oriental, mais dont les habitants sont très pauvres. Lors de l'élection présidentielle contestée de 2011, ce dernier s'était autoproclamé président « élu » face à son rival et actuel président, Joseph Kabila, au pouvoir depuis 2001. Selon les résultats officiels, M. Tshisekedi était arrivé en deuxième place lors de cette présidentielle qui s'était jouée à un tour.
Le pays connaît une nouvelle vague de violence. La veille, de violents affrontements ont opposé les forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) à des Maï-Maï Bakata Katanga près de Lubumbashi, la deuxième ville de la République démocratique du Congo, au sud du pays.
Ces affrontements se sont déroulés dans un contexte troublé en RDC où une série d'attaques dans de nombreuses villes, dont Kinshasa. Des assauts qualifiés d'« offensive terroriste » par le gouvernement, qui avaient fait plus de cent morts, lundi 30 décembre.
http://www.lemonde.fr/afrique/article/2014/01/07/rdc-arrestation-d-un-haut-responsable-du-premier-parti-d-opposition_4344233_3212.html
Un haut responsable du principal parti d'opposition en République démocratique du Congo, l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), a été arrêté dans le centre du pays le 2 janvier, a annoncé sa formation politique. Bruno Kabatshi a été transféré à Kinshasa, où il est détenu dans un lieu inconnu.
« Bruno Kabatshi (...) a été arrêté (...) après un débat contradictoire avec un membre du PPRD » (Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie, au pouvoir), a affirmé Augustin Kabuya, porte-parole adjoint de l'UDPS. « Il s'est bien défendu. Après l'émission, il a été arrêté sur ordre du gouverneur de la province », a ajouté M. Kabuya.
OPPOSANT FAROUCHE À JOSEPH KABILA
Le chef de l'UDPS, Etienne Tshisekedi, 81 ans, est né au Kasaï occidental, province riche en diamants, comme sa voisine du Kasaï oriental, mais dont les habitants sont très pauvres. Lors de l'élection présidentielle contestée de 2011, ce dernier s'était autoproclamé président « élu » face à son rival et actuel président, Joseph Kabila, au pouvoir depuis 2001. Selon les résultats officiels, M. Tshisekedi était arrivé en deuxième place lors de cette présidentielle qui s'était jouée à un tour.
Le pays connaît une nouvelle vague de violence. La veille, de violents affrontements ont opposé les forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) à des Maï-Maï Bakata Katanga près de Lubumbashi, la deuxième ville de la République démocratique du Congo, au sud du pays.
Ces affrontements se sont déroulés dans un contexte troublé en RDC où une série d'attaques dans de nombreuses villes, dont Kinshasa. Des assauts qualifiés d'« offensive terroriste » par le gouvernement, qui avaient fait plus de cent morts, lundi 30 décembre.
http://www.lemonde.fr/afrique/article/2014/01/07/rdc-arrestation-d-un-haut-responsable-du-premier-parti-d-opposition_4344233_3212.html
Mathilde
Re: Les aventures et malheurs au Congo
Il a fait ce qu'il sait faire Babacon, il y a eu des députés qui ont parles de tout dit des vérités surtout celui qui a dit que le premier ministre s'est acheté un avion et que ça voyage en 1ère classe avec femme, petites femmes etc etc moi j'aimerai qu'on nous montre ceux là.
Il y a même un qui a dit au président oza kobanga nini? Toza kofinga bango mais certains disent la vérité à leurs risques et périls.
Il y a même un qui a dit au président oza kobanga nini? Toza kofinga bango mais certains disent la vérité à leurs risques et périls.
mongo elombe
Re: Les aventures et malheurs au Congo
SELON LE MINISTRE DE L’INTERIEUR LA PLANIFICATION DES ATTAQUES DU 30/12/2013 A KINSHASA-LUBUMBASHI ET KINDU ETAIT CONNUE – ALORS POURQUOI ON NE LES A PAS NEUTRALISES EN AVANCE ? / LE POTENTIEL
par mpp le 9 janvier 2014
Révélations du gouvernement à la question d’actualité http://democratiechretienne.org/2014/01/09/selon-le-ministre-de-linterieur-la-planification-des-attaques-du-30122013-a-kinshasa-lubumbashi-et-kindu-etait-connue-alors-pourquoi-on-ne-les-a-pas-neutralises-en-avance-le-potentiel/
[url=http://lepotentielonline.com/images/photos/CARRICAT 60230001.jpg][/url]
par mpp le 9 janvier 2014
Révélations du gouvernement à la question d’actualité http://democratiechretienne.org/2014/01/09/selon-le-ministre-de-linterieur-la-planification-des-attaques-du-30122013-a-kinshasa-lubumbashi-et-kindu-etait-connue-alors-pourquoi-on-ne-les-a-pas-neutralises-en-avance-le-potentiel/
[url=http://lepotentielonline.com/images/photos/CARRICAT 60230001.jpg][/url]
KOTA
Re: Les aventures et malheurs au Congo
KOTA a écrit:SELON LE MINISTRE DE L’INTERIEUR LA PLANIFICATION DES ATTAQUES DU 30/12/2013 A KINSHASA-LUBUMBASHI ET KINDU ETAIT CONNUE – ALORS POURQUOI ON NE LES A PAS NEUTRALISES EN AVANCE ? / LE POTENTIEL
par mpp le 9 janvier 2014
Révélations du gouvernement à la question d’actualité http://democratiechretienne.org/2014/01/09/selon-le-ministre-de-linterieur-la-planification-des-attaques-du-30122013-a-kinshasa-lubumbashi-et-kindu-etait-connue-alors-pourquoi-on-ne-les-a-pas-neutralises-en-avance-le-potentiel/
[url=http://lepotentielonline.com/images/photos/CARRICAT 60230001.jpg][/url]
PS
° http://www.apareco-rdc.com/
° http://www.info-apareco.com/audio-mp3/REACTION%20ET%20REVELATION.mp3[/url]
° http://www.apareco-rdc.com/index.php/a-la-une/actualites/1534-pretendue-tentative-de-coup-d-etat-a-kinshasa-le-temoignage-d-un-rescape-revele-la-macabre-mise-en-scene-de-kabila-pour-massacrer-des-kuluna-et-des-kata-katanga.html
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: Les aventures et malheurs au Congo
INFO RFI : en RDC, l’armée a perquisitionné une des résidences de John Numbi, ancien chef de la police
L'étau de la justice est-il en train de se resserrer autour de l'ancien chef de la police congolaise, John Numbi ? Celui qui était encore l'un des hommes fort du régime Kabila avant la suspension de ses fonctions il y a trois ans a vu, ce lundi 20 janvier, pour la première fois, l'une de ses propriétés à Lubumbashi perquisitionnée. Selon une source proche de l’enquête, l’armée aurait arrêté 6 combattants maï maï pour être interrogés et saisi une roquette RPG. Selon des sources concordantes, la perquisition d'une deuxième propriété a été interrompue pour des raisons encore inconnues. Il n’a pas été possible, dans l’immédiat, de connaître les raisons de ces perquisitions. John Numbi, suspendu depuis plus de trois ans pour son implication présumée dans l'assassinat de l'activiste des droits de l'homme Floribert Chebeya, vient d'être remplacé à la tête de la police nationale. Ces dernières semaines, son nom a été régulièrement cité par différentes sources dans les troubles meurtriers du 30 décembre dernier à Kinshasa et à Lubumbashi.
Mathilde
Re: Les aventures et malheurs au Congo
Avec cent mois d’arriérés de salaire, les agents de la poste annoncent une marche à Kinshasa
(KINSHASA)- Les agents de la Société commerciale des postes et télécommunications seront dans la rue jeudi pour manifester leur colère et exiger du gouvernement le payement de leurs cent mois d’arriérés de salaire.
‘‘ La situation est critique. Les agents ne savent plus comment vivre pourtant nos cris de détresse arrivent auprès des autorités’’, a indiqué l’ingénieur Lukusa, président national de l’intersyndicale de la Sctp. La marche partira du siège de leur entreprise jusqu’à la primature où un mémo sera déposé au cabinet du premier ministre.
La délégation syndicale recommande à l’exécutif de payer au moins 30% de leurs salaires chaque mois. Depuis quelques semaines, le chef du gouvernement a ordonné à la Banque centrale de bloquer les comptes de la Sctp sans une moindre explication. Les agents de la Sctp vivent maintenant de la solidarité familiale, a déploré un agent de la poste. Ils ont appelé au sens d’humanisme de Matata Ponyo pour qu’il lève cette mesure de sceller les comptes de l’entreprise. L’ingénieur Lukusa rappelle que le même mémo avait été déjà déposé à l’assemblée nationale et au sénat. Avec cent mois d’arriérés de salaire, les agents de la Sctp sont devenus comme des clochards et des misérables, a ajouté un autre syndicaliste.
http://www.7sur7.cd/index.php/8-infos/585-avec-cent-mois-d-arrieres-de-salaire-les-agents-de-la-poste-annoncent-une-marche-a-kinshasa#.Ut2ZTxDFLIU
Mathilde
Re: Les aventures et malheurs au Congo
Vidéo: BAS-CONGO: Massacre à MATADI, un policier ouvrent le feu sur les véhicules de transport, et tire à bout portant sur la population
Oh My God !!!
Oh My God !!!
Mathilde
Re: Les aventures et malheurs au Congo
les images sont terrible Mathy j'ai pas regardé jusqu'à la fin
C un peuple maudit désolé je n'arrive pas à comprendre je ne comprends rien du tout après 100 ans le sang coule et coule si c n'est pas les guerres le manque des soins médicaux soit la famine soit les kuluna soit l'immigration clandestines les assassina viol massacre et que des atrocités c fou ! ! qui va arrêter tout sa triste réalité .
Et quand allons nous construire prospérer jouir de nos richesses nos ressources eh mawa trop .
C un peuple maudit désolé je n'arrive pas à comprendre je ne comprends rien du tout après 100 ans le sang coule et coule si c n'est pas les guerres le manque des soins médicaux soit la famine soit les kuluna soit l'immigration clandestines les assassina viol massacre et que des atrocités c fou ! ! qui va arrêter tout sa triste réalité .
Et quand allons nous construire prospérer jouir de nos richesses nos ressources eh mawa trop .
Mathilde a écrit:Vidéo: BAS-CONGO: Massacre à MATADI, un policier ouvrent le feu sur les véhicules de transport, et tire à bout portant sur la population
Oh My God !!!
Invité- Invité
Re: Les aventures et malheurs au Congo
Del Cielo
C'est vraiment incroyable ce qui se passe au pays...shame shame.
C'est vraiment incroyable ce qui se passe au pays...shame shame.
laelce_luz del Cielo a écrit: les images sont terrible Mathy j'ai pas regardé jusqu'à la fin
C un peuple maudit désolé je n'arrive pas à comprendre je ne comprends rien du tout après 100 ans le sang coule et coule si c n'est pas les guerres le manque des soins médicaux soit la famine soit les kuluna soit l'immigration clandestines les assassina viol massacre et que des atrocités c fou ! ! qui va arrêter tout sa triste réalité .
Et quand allons nous construire prospérer jouir de nos richesses nos ressources eh mawa trop .Mathilde a écrit:Vidéo: BAS-CONGO: Massacre à MATADI, un policier ouvrent le feu sur les véhicules de transport, et tire à bout portant sur la population
Oh My God !!!
Mathilde
Re: Les aventures et malheurs au Congo
Les images de MBUJI MAYI en feu "une dizaine de morts et de blessés enregistrés "
Mathilde
Re: Les aventures et malheurs au Congo
Mathilde a écrit:Les images de MBUJI MAYI en feu "une dizaine de morts et de blessés enregistrés "
Bizarre. L'explosion s'est produite dans un camp militaire. D'après le gouverneur, il n'y aurait aucune perte de vie chez les militaires mais on ne voit aucun militaire venir aider. Mais on voit des petits enfants venir aider. Où sont passés les militaires ?
Libre Examen
Re: Les aventures et malheurs au Congo
RDC : plus de 20 morts dans l'explosion d'un dépôt de munitions
Vue prise le 25 janvier 2014 d'une maison détruite au camp militaire Brigade à Mbuji-Mayi. AFP
L'explosion d'un dépôt de munitions vendredi à Mbuji-Mayi, dans le centre de la République démocratique du Congo, a fait plus de vingt morts et une cinquantaine de blessés, a indiqué samedi la Mission des Nations unies dans le pays (Monusco).
"Plus d'une vingtaine de morts, une cinquantaine de blessés et de nombreuses maisons détruites ont provoqué la désolation dans la ville", écrit la Monusco dans un communiqué.
Les autorités congolaises avaient fait état vendredi d'un bilan "partiel" de cinq morts. Joints par l'AFP samedi, plusieurs responsables congolais n'avaient pas pu ou pas voulu communiquer de nouveaux chiffres sur les pertes en vies humaines provoquées par la catastrophe.
Selon l'ONU, le chef de la Monusco, Martin Kobler, a demandé au bureau de la Mission à Mbuji-Mayi "d’aider et de soutenir les autorités locales pour faire face à cette situation".
Mbuji-Mayi est la capitale de la province du Kasaï-Oriental. L'explosion s'était produite vendredi en début d'après-midi dans un dépôt situé dans le camp militaire Brigade, près du grand marché de la ville.
Selon les autorités congolaises, la foudre serait la cause de cette catastrophe : elle aurait provoqué un incendie ayant entraîné des explosions en chaîne. Vendredi soir, le présentateur de la télévision publique avait parlé d'un "désastre" ayant provoqué "la mort et la désolation".
Un photographe travaillant pour l'AFP a indiqué que l'explosion avait provoqué des dégâts dans un rayon de plusieurs dizaines de mètres. Certaines maisons en brique ont été soufflées, l'explosion ne laissant que quelques pans de murs debout, d'autres incendiées.
Les munitions étaient entassées sous des abris en tôle sur une surface d'environ 30 mètres sur 50; toutes n'ont pas explosé. Un cratère d'environ un mètre cinquante de profondeur était visible à l'endroit où étaient semble-t-il stockés des obus.
Vendredi, un témoin avait indiqué avoir vu deux personnes mortes - une femme et son enfant - à l'hôpital Bonzola, proche du lieu du drame, et plusieurs autres amputées.
A la télévision publique, le gouverneur de la province, Alphonse Ngoy Kasanji, avait affirmé de son côté que la vie avait repris à Mbuji-Mayi quelques heures après le drame, mais plusieurs sources indiquaient que la ville était encore perturbée samedi.
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Mathilde
Re: Les aventures et malheurs au Congo
UNC: Message de de compassion de Vital Kamerhe à la population de Mbuji Mayi
Mathilde
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