TSUNAMI POPULAIRE AU MEETING DE NDJILI SAINT THERESE - LES PREMIERES IMAGES
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TSUNAMI POPULAIRE AU MEETING DE NDJILI SAINT THERESE - LES PREMIERES IMAGES
TSUNAMI POPULAIRE A NDJILI SAINT THERESE: LES PREMIERES IMAGES
par FreeDiomi le 4 août 2014
http://democratiechretienne.org/2014/08/04/tsunami-populaire-a-ndjili-saint-therese-les-premieres-images/
Concernant ces publicités
par FreeDiomi le 4 août 2014
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KOTA
Re: TSUNAMI POPULAIRE AU MEETING DE NDJILI SAINT THERESE - LES PREMIERES IMAGES
Meeting populaire UNC, UDPS, ECIDE et kanda ya ba kinois contre changement ya constitution
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: TSUNAMI POPULAIRE AU MEETING DE NDJILI SAINT THERESE - LES PREMIERES IMAGES
RDC – Freddy Kita dela DC: "Kabila n’a plus d’autre option, il doit partir en 2016 !"/JEUNE AFRIQUE
par FreeDiomi le 5 août 2014
RDC – Freddy Kita : "Kabila n’a plus d’autre option, il doit partir en 2016 !"
Joseph Kabila(657) – Freddy Kita(2)
04/08/2014 à 17:42 Par Trésor Kibangula
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http://democratiechretienne.org/2014/08/05/rdc-freddy-kita-dela-dc-kabila-na-plus-dautre-option-il-doit-partir-en-2016-jeune-afrique/
KOTA
Re: TSUNAMI POPULAIRE AU MEETING DE NDJILI SAINT THERESE - LES PREMIERES IMAGES
RDC: Jean-Bertrand Ewanga interpellé au lendemain du meeting de l’opposition
Le secrétaire général de l’Union pour la nation congolaise (UNC), le député Jean-Bertrand Ewanga, a été arrêté mardi 5 août matin à Kinshasa par des agents de l’Agence nationale des renseignements (ANR). Il serait entendu au Parquet général de la République. Le motif de cette interpellation n’est pas connu. Elle intervient au lendemain du meeting animé à Kinshasa par plusieurs partis de l’opposition, dont l’UNC de Vital Kamerhe, pour protester contre le projet de révision de la constitution en RDC.
Jean-Baudouin Mayo, secrétaire interfédéral de l’UNC pour la ville de Kinshasa revient sur les conditions de cette arrestation :
«Dans la nuit, sa parcelle était entourée par les agents de sécurité. Vers 06h10, ils ont escaladé les murs. Ils sont entrés. Ils avaient un mandat d’arrêt. C’étaient des agents de l’ANR.»
Il pense que la victime a été d’abord amenée à l’ANR. «Après Monsieur Ewanga m’a appelé pour me dire qu’il était au Parquet général de la République», a-t-il poursuivi.
Jean-Baudouin Mayo a par ailleurs dénoncé la manière dont le numéro 2 de l’UNC a été appréhendé :
«Nous regrettons ce genre de méthodes qui ne correspondent pas à la manière de travailler d’un Etat démocratique. Honorable Ewanga est un responsable. Il suffit de l’inviter le jour: on lui communique les faits qui lui seraient éventuellement reprochés, on l’arrête. Un mandat d’arrêt, on n’en abuse pas. Vous venez chez quelqu’un à 03heures du matin !»
Le motif de l’interpellation du secrétaire général de l’UNC n’est pas connu jusque là. «Hier, il a tenu avec les autres leaders de l’opposition un meeting. Je crois que c’est lié à cela», a estimé Jean-Baudouin Mayo.
Au cours de cette manifestation sur la place Sainte Thérèse de Kinshasa/N’djili, les orateurs – dont M. Ewanga – avaient réaffirmé leur opposition à la révision constitutionnelle, avant d’appeler Joseph Kabila à un dialogue inclusif – conformément à l’accord-cadre d’Addis-Abeba – d’ici la fin du mois d’octobre, afin «d’organiser son départ en douceur».
http://radiookapi.net/actualite/2014/08/05/rdc-jean-bertrand-ewanga-interpelle-au-lendemain-du-meeting-de-lopposition/#.U-Db_uNdVvA
Le secrétaire général de l’Union pour la nation congolaise (UNC), le député Jean-Bertrand Ewanga, a été arrêté mardi 5 août matin à Kinshasa par des agents de l’Agence nationale des renseignements (ANR). Il serait entendu au Parquet général de la République. Le motif de cette interpellation n’est pas connu. Elle intervient au lendemain du meeting animé à Kinshasa par plusieurs partis de l’opposition, dont l’UNC de Vital Kamerhe, pour protester contre le projet de révision de la constitution en RDC.
Jean-Baudouin Mayo, secrétaire interfédéral de l’UNC pour la ville de Kinshasa revient sur les conditions de cette arrestation :
«Dans la nuit, sa parcelle était entourée par les agents de sécurité. Vers 06h10, ils ont escaladé les murs. Ils sont entrés. Ils avaient un mandat d’arrêt. C’étaient des agents de l’ANR.»
Il pense que la victime a été d’abord amenée à l’ANR. «Après Monsieur Ewanga m’a appelé pour me dire qu’il était au Parquet général de la République», a-t-il poursuivi.
Jean-Baudouin Mayo a par ailleurs dénoncé la manière dont le numéro 2 de l’UNC a été appréhendé :
«Nous regrettons ce genre de méthodes qui ne correspondent pas à la manière de travailler d’un Etat démocratique. Honorable Ewanga est un responsable. Il suffit de l’inviter le jour: on lui communique les faits qui lui seraient éventuellement reprochés, on l’arrête. Un mandat d’arrêt, on n’en abuse pas. Vous venez chez quelqu’un à 03heures du matin !»
Le motif de l’interpellation du secrétaire général de l’UNC n’est pas connu jusque là. «Hier, il a tenu avec les autres leaders de l’opposition un meeting. Je crois que c’est lié à cela», a estimé Jean-Baudouin Mayo.
Au cours de cette manifestation sur la place Sainte Thérèse de Kinshasa/N’djili, les orateurs – dont M. Ewanga – avaient réaffirmé leur opposition à la révision constitutionnelle, avant d’appeler Joseph Kabila à un dialogue inclusif – conformément à l’accord-cadre d’Addis-Abeba – d’ici la fin du mois d’octobre, afin «d’organiser son départ en douceur».
http://radiookapi.net/actualite/2014/08/05/rdc-jean-bertrand-ewanga-interpelle-au-lendemain-du-meeting-de-lopposition/#.U-Db_uNdVvA
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: TSUNAMI POPULAIRE AU MEETING DE NDJILI SAINT THERESE - LES PREMIERES IMAGES
KOTA a écrit:
RDC – Freddy Kita dela DC: "Kabila n’a plus d’autre option, il doit partir en 2016 !"/JEUNE AFRIQUE
par FreeDiomi le 5 août 2014
RDC – Freddy Kita : "Kabila n’a plus d’autre option, il doit partir en 2016 !"
Joseph Kabila(657) – Freddy Kita(2)
Kabila a deja dit qu'il ne se representera plus par respect de la constitution...
Kabila doit partir en 2016? ce n'est plus "likambo ya Verite des Urnes???? Discours ya usurpation ekeyi wapi?
Ecoutez, bokosa ceux qui ne veulent pas voir et comprendre...
zobattants
Re: TSUNAMI POPULAIRE AU MEETING DE NDJILI SAINT THERESE - LES PREMIERES IMAGES
PS
Compatriotiquement
"Jean-Bertrand Ewanga arrêté par des agents de l’ANR
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=9154
Jean-Bertrand Ewanga Is’éwanga,
Secrétaire général de l’UNC (Union pour la Nation Congolaise), Jean-Bertrand Ewanga Is’Ewanga a été interpellé ce mardi 5 août à 6 heures du matin par des agents de l’Agence nationale de renseignements (ANR) accompagnés par quelques membres de la garde prétorienne de "Joseph Kabila". Cette interpellation a lieu en l’absence du président de cette formation politique, Vital Kamerhe. Celui-ci se trouve à Washington où une rencontre avec les forces politiques et sociales de l’opposition est prévue en marge de la réunion entre le président Barack Obama et une quarantaine de chefs d’Etat africains.
"Dès 3 heures du matin, des hommes encagoulés appartenant à la garde présidentielle ont escaladé les murs de sa résidence, rapporte un témoin. Ils ont attendu jusqu’à 6 heures avant de forcer les portes de la maison pour se saisir de sa personne". Cette arrestation est en rapport avec le meeting organisé la veille par les forces politiques et sociales de l’opposition.
Dans un communiqué publié le mardi 29 juillet sous la signature de Jean-Bertrand Ewanga (UNC), Martin Fayulu Madidi (ECIDé - Forces du Changement) et Bruno Mavungu Puati (UDPS), les forces politiques et sociales de l’opposition annonçaient l’organisation d’un meeting lundi 4 août à la Place Sainte Thérèse dans la commune kinoise de Ndjili. "La manifestation a connu un franc succès avec la présence d’une foule immense", commente un opposant.
Selon des informations encore fragmentaires, plusieurs orateurs ont pris la parole non seulement pour rejeter le calendrier électoral élaboré par la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) mais aussi pour exiger le "départ immédiat" de "Joseph Kabila". "Il n’a pas gagné les élections en 2011, a pu dire un des intervenants. Il a volé la victoire en 2011 en utilisant les forces dites de sécurité". "Joseph Kabila doit céder la place à ceux qui ont gagné ces consultations politiques. C’est à ceux-ci que reviendra la responsabilité de faire réviser la Constitution dans la sérénité". Des propos qui ont pu irriter les "super faucons" du régime.
"L’heure est grave; elle est même très grave dans notre pays", pouvait-on lire dans le communiqué précité. Une allusion aux sorties médiatiques d’Aubin Minaku, président de l’Assemblée nationale et secrétaire général de la "majorité présidentielle" et d’Evariste Boshab secrétaire général du parti présidentiel, respectivement le 17 et le 29 juillet. Sans omettre le ministre de l’Intérieur Richard Muyej. Les trois responsables politiques ont confirmé la volonté de la mouvance kabiliste d’initier la révision de la Constitution sans indiquer le "bien-fondé" de cette démarche.
La manifestation de la Place Sainte Thérèse était une occasion pour donner la réplique des forces politiques et sociales de l’opposition. "Nous voulons dire à la mouvance kabiliste que notre peuple ne se laissera pas faire. Car, il s’agit du combat entre le Bien et le Mal en société", avaient prévu les signataires du texte. Une affaire à suivre."
"RDC: un cadre de l'opposition arrêté après une manifestation"
° http://www.rfi.fr/afrique/20140805-rdc-ewanga-unc-opposition-arrete-manifestation/]
Jean-Bertrand Ewanga (assis au milieu) avec à ses côtés Koloso Sumayili (G) et Bruno Mavungu (D), membres de l’opposition congolaise, lors d’un meetting contre la révision de la Constitution, à Kinshasa, le 4 août 2014.
"RDC : un cadre de l’UNC arrêté pour « outrage au chef de l’Etat »"
° http://afrikarabia.com/wordpress/rdc-un-cadre-de-lunc-arrete-pour-outrage-au-chef-de-letat/
"Kinshasa : arrestation d’un cadre de l’opposition au lendemain d’un rassemblement "
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=9157
"RDC: l’opposition appelle Joseph Kabila à un dialogue « pour son départ en douceur »
° http://radiookapi.net/actualite/2014/08/04/rdc-lopposition-appelle-joseph-kabila-dialogue-pour-son-depart-en-douceur/#.U-EKRtJ_sgc
Jean Bertrand Ewanga, secrétaire général de l'UNC lors d'un meeting de l'opposition politique congolaise lundi 4 août à Kinshasa.
L’opposition politique congolaise invite le président de la République, Joseph Kabila, à un dialogue d’ici la fin du mois d’octobre, afin « d’organiser son départ en douceur ». L’UDPS d’Etienne Tshisekedi, l’UNC de Vital Kamerhe et le RCD/K Ml de Mbusa Nyamwisi et leurs alliés ont fait cet appel lundi 4 août lors de leur meeting organisé à Kinshasa.
Dans son message, Bruno Mavungu, secrétaire général de l’Unions pour la démocratie et le progrès social (UDPS), a déclaré que l’opposition veut amener Joseph Kabila à ce dialogue pour organiser son départ en douceur, de manière à préserver la paix dans le pays.
Pour ce parti d’opposition, ce dialogue serait conforme aux accords d’Addis-Abeba [NDLR : signé le 24 février 2013 par onze chefs d’Etats africains].
« Il [Joseph Kabila] a fait sortir un autre jeu en parlant des élections. La famille politique de M Kabila est actrice dans ces élections. Nous attendons le retour de Kabila des Etats-Unis, pour que nous allions au dialogue pour organiser son départ », a affirmé Bruno Mavungu.
Joseph Kabila a organisé en octobre 2013 les concertations nationales auxquelles ont pris part les partis politiques membres de la Majorité présidentielle et ceux de l’opposition.
Plusieurs recommandations ont été formulées à l’issue de ces assises, dont la formation d’un gouvernement de cohésion nationale. Jusqu’à ce jour, cela n’a jamais été fait. L’UDPS et l’UNC notamment avaient boycotté ces assises."
Des leaders des partis de l'opposition réunis au meeting qu'ils ont organisé lundi 4 août à la place Sainte Thérèse à Kinshasa.
Des membres des partis politiques réunis à la place Sainte Thérèse à Ndjili pour assister au meeting de l'opposition à Kinshasa.
Pour Jean-Bertrand Ewanga secrétaire général de l’Union pour la nation congolaise (UNC), le dialogue inclusif-selon l’accord cadre d’Addis-Abeba-ne devait pas être confondu aux concertations nationales qui, du reste « constituent un échec ».
« Ces concertations nationales ont été une tricherie de M. Kabila. La résolution 2098 du conseil de sécurité des Nations unies exige un dialogue inclusif. Il [Joseph Kabila] a monté une histoire à sa taille et les résultats c’est ce que nous connaissons. Il veut réviser la constitution et cherche le referendum. Nous devons l’obliger à partir », a-t-il indiqué.
L’opposition réunie se dit confiant quant à l’aboutissement de ces assises avant la fin du mois d’octobre prochain."
"Meeting de N’Djili : test réussi pour l’opposition
° http://www.lephareonline.net/meeting-de-ndjili-test-reussi-pour-lopposition/
L’incertitude a plané pendant plusieurs jours sur la tenue ou non à Ndjili du meeting des partis de l’opposition opposés à la révision de la Constitution, plus précisément de l’article 220. C’est seulement la veille de ce rendez-vous que l’Hôtel de ville, à travers un courrier adressé aux organisateurs, a enfin donné son quitus.
Le précieux sésame enfin délivré, sympathisants et militants de l’Udps, l’Unc, de l’Ecidé, du RCD/ KML, de l’Udemo… et munis des drapeaux de leurs partis, .sont venus en masse à la place Sainte Thérèse, hier lundi 4 août 2014 suivre les messages de Busa, Chalupa, Kalele, Ewanga, Mwenze Kongolo , Vuemba, Mavungu… L’assistance nombreuse hier à Ndjili ; ne s’est pas ennuyée. Chants, cris, à la gloire d’Etienne Tshisekedi, mais hostiles au pouvoir en place en RDC, étaient au rendez-vous. La présence discrète et insignifiante des forces de l’ordre a contribué au bon déroulement de ce meeting.
L’opposition a consolidé son front commun hier à Ndjili. Plusieurs personnes laissent entendre qu’Etienne Tshisekedi agit souvent en solo, a fait observer le modérateur de cette matinée politique, Joseph Kapika. En voyant de nombreux opposants à ce meeting, on se rend compte que cette assertion est fausse. Vital Kamerhe, Fayulu et Gilbert Tshimanga se trouvent au pays de l’Oncle Sam pour prendre part au sommet USA- Afrique. Félix Tshisekedi est en Belgique dans le cadre de la commémoration du centenaire de la première guerre mondiale, a précisé ce cadre de l’Udps. A l’appel des sigles de leurs regroupements ou partis, les animateurs des différents courants de l’opposition présents sur le podium se levaient pour saluer l’assistance, placer un petit mot et en même temps décliner leurs noms. Le public s’est rendu compte de la présence de l’UPC de Thomas Lubanga, du Puna, de Radeco de Tatcher Lusamba, …à cette activité.
Orné des banderoles des partis et plate formes politiques appelés au meeting de Ndjili, le podium apprêté pour la circonstance a refusé du monde. On pouvait lire sur quelques banderoles le texte suivant : Soki osimbi Constitution o ko tacher( ndlr si tu veux modifier la Loi fondamentale, tu vas te salir). C’est peu après 12 heures que les choses sérieuses ont vraiment commencé. Il y a eu dans un premier temps l’exécution de l’hymne national.
Beaudouin Mayo a été la première personne à tenir le micro pour chauffer la foule.
Il a entonné quelques airs populaires entre autres « Eh yayi mambu eh, to signer eyoma (ndlr nous allons faire du grabuge) qui ont été repris en chœur par la foule. L’orchestre retenu pour agrémenter cette journée, a accompagné Mayo et le public par ses partitions rythmiques.
Chalupa : Le changement viendra du peuple.
Fortement réclamé par la foule, Jacques Chalupa a commencé par remercier le public pour le soutien que les Congolais lui ont apporté pendant sa période de détention à la prison centrale de Makala. Il a dit que le changement est censé venir de la population. Le peuple doit pousser les politiciens à parachever ce processus dans la mesure où les acteurs politiques représentent une poignée des personnes, a indiqué cet opposant.
Le prof Kalele a été l’une des stars de la journée d’hier. Dans son intervention, il a fait savoir qu’en réalité Joseph Kabila brigue un quatrième mandat car il est à la tête du pays depuis 2001 et organisé dans un premier temps les élections en 2006. Il a fait observer que les Belges ne voulaient pas voir les Congolais accéder à l’indépendance et ont fini par céder. Le même modus opérandi s’est répété avec Mobutu et Laurent Désiré Kabila, a-t-il précisé. Aujourd’hui, on veut créer un autre MPR bis.
«Si les choses se sont bien passées aujourd’hui, c’est qu’on ne nous a pas accordés un cadeau».
«On doit avoir le mental de gagneur si on veut faire de grandes choses. Nous devons donc passer de la parole à l’acte».
« Vous avez montré que le peuple congolais n’est pas mort », a fait savoir de son côté le président de la société civile du Congo.
La RDC est un pays doté d’énormes potentialités et dont la population n’en bénéficie pas, a ajouté Christopher Ngoy. Et d’ajouter qu’il y a des pétitions qui ont été signées pour montrer notre détermination de s’opposer à la révision de la Constitution suivie de la création du regroupement dénommé « Sauvons la RDC ». L’un des mécanismes à mettre en place pour mettre en échec les manœuvres du pouvoir est le boycott du référendum, a-t-il noté.
Pascaline Kudura : «On s’est battues pour faire triompher la vérité»
La représentante de la MPP/ Fis est revenue sur les problèmes nés de la publication des résultats du scrutin de 2011. La ville de Kinshasa a été militarisée. Les mamans se sont levées et ont fait des sit in auprès devant certaines ambassades pour dénoncer les fraudes électorales et faire entendre leurs voix, a indiqué Pascaline Kudura.
Elle en est arrivée ensuite à l’Accord cadre d’Addis-Abeba censé faire revenir les choses à la normale en RDC. Elle a plaidé en faveur de la libération de Diomi, Kuthino et d’autres personnes mises au frais pour leurs opinions. Le meeting a pris fin vers 15 heures."
"Maturité !
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=3517
La date du 4 août 2014, restera longtemps gravée dans les annales de l’histoire politique du Congo, autant que le 24 avril 1990. Si la deuxième date correspond à la démocratisation du pays, sonnant le glas du régime dictatorial de Mobutu, pour un saut dans le multipartisme, à 3 partis politiques d’abord, puis vers le pluralisme politique, à outrance ; la première date inaugure, quant à elle, une « série » des libertés d’expression avec l’organisation du meeting de l’opposition politique, toutes tendances confondues, à N’djili, place Sainte Thérèse. L’occasion, il ne fallait pas la louper. Les vétérans, ceux qui ont battu le macadam il y a belle lurette, aux côtés de ceux qui ont l’habitude de braver la police en certaines circonstances, puis les autres, les novices ayant décidé de s’engager dans une démonstration de force, se sont retrouvés à la Tshangu. Milieu populaire par prédilection, ils étaient par milliers, franchement. Leurs leaders, montés au créneau, se sont débobinés, à tour de rôle. Bruno Mavungu de l’UDPS, Jean-Bertrand Ewanga de l’UNC, Matthieu Kalele de PNTC, Jean-Claude Vuemba, Pascaline Kudura du FIS, Mwenze Kongolo, Koloso Sumahili, Steve Mbikayi du PT, Jean-Lucien Bussa, Ngoy Christopher de la société civile…, Chacun dans sa langue (français, swahili, kikongo…), non comme lors de la construction de la tour de Babel, a donné le message. Celui-ci a porté, en substance, sur l’appel lancé au Chef de l’Etat, Joseph Kabila, pour un dialogue, sans exclusive. Ce, en prévision de 2016. Les concertations nationales ayant accouché d’une souris, disent-ils. Un autre appel à la vigilance, invite la population à rejeter toute révision constitutionnelle. Voilà, la démonstration de force passée, l’heure est au constat. Plus personne n’a déploré le moindre incident, ni accrochage, même si pouvoir et opposition se regardaient en chiens de faïences. Police déployée, vigilante, mais préoccupée à encadrer, à distance, des membres de l’opposition. L’on signale qu’un mot d’ordre de la hiérarchie a suffi. De l’autre côté, les ténors de l’opposition, leurs membres sont restés accrochés aux différents discours. Pour tout esprit critique, c’est là un comportement responsable, qui convient pour la construction et la consolidation de la démocratie en République Démocratique du Congo. Ce fait, à lui seul, dénote la maturité. Les deux camps sont priés de s’y engager, fermement, pour le bonheur des congolais. C’est eux, les souverains primaires, à qui revient de sanctionner, positivement ou négativement. A chaque camp de savoir à quoi s’en tenir, dans la suite des événements."
"RDC: manifestation contre la révision de la Constitution"
° http://www.rfi.fr/afrique/20140804-rdc-manifestation-contre-revision-constitution-udps-kabila/
"Révision constitutionnelle : la démocratie à l'épreuve
° http://lepotentielonline.com/index.php?option=com_content&view=article&id=9598:revision-constitutionnelle-la-democratie-a-l-epreuve&catid=85:a-la-une&Itemid=472
Meetings autorisés de l’Opposition
Les partisans de la révision et ceux opposés à cette démarche ont désormais la voie libre pour la mobilisation de la population. Preuves ? Le PPRD a annoncé les couleurs à travers un meeting à son siège de la Gombe. Les ténors de l’Opposition, dont l’UDPS, l’UNC et l’ECIDE ont, eux aussi, eu droit à la parole lors d’un meeting populaire organisé hier lundi à la Place Sainte Thérèse de N’Djili. Le ton est donc donné. Au dernier virage, tous jurent cependant de se référer au souverain primaire.(...)"
"(...)Meeting Ste Thérèse
Un premier signe de l’aspect très polémique des comptes-rendus de cet événement réside dans les chiffres. Il est habituel d’entendre que les manifestants étaient « 1000 d’après les organisateurs, 500 suivant la police », soit un rapport du simple au double. Mais ici, les estimations vont de quelques centaines à plusieurs dizaines de milliers, soit un rapport de un à cent. Les « quelques centaines » proviennent de RFI. Seul, le journal La Prospérité cite un chiffre précis : 35.000 participants. Mais voilà, La Prospérité est une feuille en général plutôt favorable au pouvoir en place qui n’a donc aucune raison de « gonfler » les chiffres. Alors, qui croire ?(...)"
° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=199201&Actualiteit=selected
"Meeting de l'opposition. Echec et mât"
° http://www.groupelavenir.org/spip.php?article1257
° http://forumdesas.org/spip.php?article1692
° http://radiookapi.net/actualite/2014/08/03/nord-kivu-la-population-appelee-sopposer-la-modification-de-la-constitutionrt/
° http://www.lephareonline.net/mavungu-insiste-sur-la-verite-des-urnes/
° http://forumdesas.org/spip.php?article1691
° http://radiookapi.net/actualite/2013/11/07/concertations-nationales-la-recommandation-la-plus-importante-ete-appliquee-selon-mende/
Compatriotiquement
Dernière édition par ndonzwau le 5/8/2014, 11:19 pm, édité 1 fois
ndonzwau
Re: TSUNAMI POPULAIRE AU MEETING DE NDJILI SAINT THERESE - LES PREMIERES IMAGES
ndonzwau a écrit:PS
Des leaders des partis de l'opposition réunis au meeting qu'ils ont organisé lundi 4 août à la place Sainte Thérèse à Kinshasa.
Des membres des partis politiques réunis à la place Sainte Thérèse à Ndjili pour assister au meeting de l'opposition à Kinshasa.
Point 1:
Je vois Mwenze Kongolo, que vous aviez traiter de tous les qualificatifs quand il etait au pouvoir... Est il devenu saint a vos yeux???
Inconstance, quand tu nous tiens!!!!
"Meeting de N’Djili : test réussi pour l’opposition
Point 2: Jusqu'a quand l'opposition se mettra toujours a tester ses strategies a la "Edingwe Moto na Ngenge"? Pensez vous vraiment que nous sommes a l'epoque ou edingwe marchait sur les avenues pour attirer les gens a payer les matches de catches????
L’opposition a consolidé son front commun hier à Ndjili. Plusieurs personnes laissent entendre qu’Etienne Tshisekedi agit souvent en solo, a fait observer le modérateur de cette matinée politique, Joseph Kapika. En voyant de nombreux opposants à ce meeting, on se rend compte que cette assertion est fausse. Vital Kamerhe, Fayulu et Gilbert Tshimanga se trouvent au pays de l’Oncle Sam pour prendre part au sommet USA- Afrique.
Ils ne sont pas invites et ils ne verront pas Obamer... lisez forumsdesasPAS DE RENCONTRE AVEC OBAMA Depuis son annonce, la nouvelle du voyage des politiciens congolais pour Washington a jeté le pavé dans la marre au sein du microcosme politique du pays. A Kinshasa, principalement, les commentaires sont allés dans tous les sens. Dans les rangs de l’Opposition, on ne s’est pas empêché de soutenir que les questions liées au projet de révision constitutionnelle et au calendrier électoral seront discutées lors de cette rencontre qu’organise l’Ong américaine. Enjeux politiques obligent ! Certains membres de l’Opposition vont même loin. A qui veut les entendre, ces opposants prétendent rencontrer le Président américain pour lui exprimer leurs desiderata. Pourtant, dans les couloirs de la Maison blanche, on apprend que rien de pareil. Barack Obama n’accordera aucune audience. Même pas à l’un des chefs d’Etat africain invité au Sommet. Alors, si déjà au plus haut niveau de la sphère du pouvoir, le Président américain n’aura pas le temps de recevoir en aparté l’un de ses homologues, aurait-il vraiment du temps à perdre pour recevoir des politiciens rd congolais, par ailleurs invités d’une structure non gouvernementale ? A priori, on s’aperçoit que ceux des leaders de l’Opposition qui ont soutenu la thèse d’une rencontre avec Barack Obama ont simplement voulu amuser la galerie au sein de leurs partis politiques respectifs. a écrit:
Félix Tshisekedi est en Belgique dans le cadre de la commémoration du centenaire de la première guerre mondiale, a précisé ce cadre de l’Udps.
Il est toujours empeche quand il s'agit de manifester sur les rues... need i remind you?
vous souvenez vous de la marche d'apres les elections de 2011?
Apres tout, il faut sacrifier les enfants d'autrui et epargner l'heritier, fils a maman.
entre nous, etait il vraiment necessaire de participer a cette histoire de la 1 ere guerre mondiale pendant "l'avenir de tout un pays est en jeux"??? quelles sont vos priorites, chers opposants???
Il a entonné quelques airs populaires entre autres « Eh yayi mambu eh, to signer eyoma (ndlr nous allons faire du grabuge) qui ont été repris en chœur par la foule. L’orchestre retenu pour agrémenter cette journée, a accompagné Mayo et le public par ses partitions rythmiques.
Ouais... c'est ca... l'opposition du congo se distinguent dans les chansons du groupe kake( animation politique)
pas besoin de continuer, votre opposition est tres nulle...
zobattants
Re: TSUNAMI POPULAIRE AU MEETING DE NDJILI SAINT THERESE - LES PREMIERES IMAGES
RDC – Freddy Kita dela DC: "Kabila n’a plus d’autre option, il doit partir en 2016 !"/JEUNE AFRIQUE
par FreeDiomi le 5 août 2014
RDC – Freddy Kita : "Kabila n’a plus d’autre option, il doit partir en 2016 !"
Joseph Kabila(657) – Freddy Kita(2)
04/08/2014 à 17:42 Par Trésor Kibangula
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Freddy Kita, secrétaire général de la Démocratie chrétienne (DC), le 4 août 2014 à Paris. © Elena Blum/J.A.
L’opposition congolaise a tenu lundi un "meeting populaire" à Kinshasa. De passage à Paris, un de ses membres, Freddy Kita, secrétaire général de la Démocratie chrétienne (DC), explique à "Jeune Afrique" le sens de cette mobilisation. Interview.
Appel à la mobilisation au Nord-Kivu, "meeting populaire" à Kinshasa, l’opposition congolaise passe à l’offensive. Malgré l’absence de certains de ses leaders – Vital Kamerhe, Martin Fayulu, Félix Tshisekedi notamment – qui séjournent à Washington, plusieurs partis qui s’opposent au projet gouvernemental de révision constitutionnelle, ont organisé, le 4 août, un rassemblement à la place Sainte-Thérèse, dans le sud-est de la capitale congolaise.
"C’est désormais l’heure de l’action, a confié à Jeune Afrique Lydie Omanga, conseillère de Vital Kamerhe, président de l’Union pour la nation congolaise (UNC), satisfaite de la "réussite" de la manifestation qui s’est déroulée dans le calme. En présence de différents opposants politiques dont Mwenze Kongolo, ancien ministre de la Justice sous Laurent-Désiré Kabila, Bruno Mavungu, secrétaire général de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), Jean-Lucien Busa, transfuge du Mouvement pour la libération du Congo (MLC) ainsi que quelques représentants de la société civile kinoise.
M.me Kudura de la MPP/DC Oratrice au Meeting de l’Opposition à Sainte Thèrese
De passage à Paris, Freddy Kita, secrétaire général de la Démocratie chrétienne (DC, opposition), a de son côté salué la démarche, soulignant que "c’est le début de la mobilisation du peuple".
Jeune Afrique : Peut-on considérer que l’opposition congolaise est plus que jamais déterminée à barrer la route à une éventuelle modification de la Constitution pouvant permettre au président Joseph Kabila de se représenter en 2016 ?
Freddy Kita : Ce n’est pas une affaire d’opposition politique, mais c’est le peuple congolais dans son ensemble qui veut dire "non" à ce pouvoir qui le gouverne par défi. Aujourd’hui, l’économie de la RDC se trouve par terre, les conditions sociales de la population laissent à désirer, l’insécurité bat son plein, mais Joseph Kabila cherche encore à s’accrocher au pouvoir. Le peuple, lui, est fatigué. Il se lève pour montrer son indignation. C’est le début de la mobilisation du peuple.
Que répondez-vous à la majorité au pouvoir lorsqu’elle affirme que tout projet de révision constitutionnelle n’est pas forcément illégal, dès lors qu’il ne touche pas aux articles verrouillés de la Constitution ?
Le départ de Kabila en 2016 semble être un objectif qui réunit l’opposition congolaise, réputée pour ses divisions et ses luttes internes…
Même 10 enfants issus d’une même famille ne parlent jamais un même langage. L’important est qu’ils se reconnaissent tous d’un même père. C’est le cas aujourd’hui de l’opposition congolaise. Au-delà de nos divergences, nous faisons bloc pour nous opposer à toute modification de la Constitution.
>> Lire aussi : Kabila ou la stratégie du félin
Au même moment à Washington s’ouvre le Sommet États-Unis – Afrique, qu’est-ce que votre parti, la Démocratie chrétienne (DC), et l’opposition en RDC attendent-elles de cette rencontre à laquelle participe également le président Joseph Kabila ?
C’est aux Congolais de résoudre les problèmes de la RDC. Nous devons donc continuer à nous mobiliser pour nous prendre en charge. La communauté internationale n’est là que pour nous accompagner dans cette démarche.
En attendant, le leader de votre parti, Eugène Diomi Ndongala, condamné pour viol, continue à croupir en prison et les parties civiles demandent désormais des dommages et intérêts importants…
Ce n’est pas une surprise. Nous savons que Joseph Kabila est derrière ce scénario. C’est un père de famille. Un grand leader politique.Après sa condamnation arbitraire, il continue de mener son combat depuis sa cellule…
Jeuneafrique.com
par FreeDiomi le 5 août 2014
RDC – Freddy Kita : "Kabila n’a plus d’autre option, il doit partir en 2016 !"
Joseph Kabila(657) – Freddy Kita(2)
04/08/2014 à 17:42 Par Trésor Kibangula
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Freddy Kita, secrétaire général de la Démocratie chrétienne (DC), le 4 août 2014 à Paris. © Elena Blum/J.A.
L’opposition congolaise a tenu lundi un "meeting populaire" à Kinshasa. De passage à Paris, un de ses membres, Freddy Kita, secrétaire général de la Démocratie chrétienne (DC), explique à "Jeune Afrique" le sens de cette mobilisation. Interview.
Appel à la mobilisation au Nord-Kivu, "meeting populaire" à Kinshasa, l’opposition congolaise passe à l’offensive. Malgré l’absence de certains de ses leaders – Vital Kamerhe, Martin Fayulu, Félix Tshisekedi notamment – qui séjournent à Washington, plusieurs partis qui s’opposent au projet gouvernemental de révision constitutionnelle, ont organisé, le 4 août, un rassemblement à la place Sainte-Thérèse, dans le sud-est de la capitale congolaise.
"C’est désormais l’heure de l’action, a confié à Jeune Afrique Lydie Omanga, conseillère de Vital Kamerhe, président de l’Union pour la nation congolaise (UNC), satisfaite de la "réussite" de la manifestation qui s’est déroulée dans le calme. En présence de différents opposants politiques dont Mwenze Kongolo, ancien ministre de la Justice sous Laurent-Désiré Kabila, Bruno Mavungu, secrétaire général de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), Jean-Lucien Busa, transfuge du Mouvement pour la libération du Congo (MLC) ainsi que quelques représentants de la société civile kinoise.
M.me Kudura de la MPP/DC Oratrice au Meeting de l’Opposition à Sainte Thèrese
De passage à Paris, Freddy Kita, secrétaire général de la Démocratie chrétienne (DC, opposition), a de son côté salué la démarche, soulignant que "c’est le début de la mobilisation du peuple".
Jeune Afrique : Peut-on considérer que l’opposition congolaise est plus que jamais déterminée à barrer la route à une éventuelle modification de la Constitution pouvant permettre au président Joseph Kabila de se représenter en 2016 ?
Freddy Kita : Ce n’est pas une affaire d’opposition politique, mais c’est le peuple congolais dans son ensemble qui veut dire "non" à ce pouvoir qui le gouverne par défi. Aujourd’hui, l’économie de la RDC se trouve par terre, les conditions sociales de la population laissent à désirer, l’insécurité bat son plein, mais Joseph Kabila cherche encore à s’accrocher au pouvoir. Le peuple, lui, est fatigué. Il se lève pour montrer son indignation. C’est le début de la mobilisation du peuple.
Que répondez-vous à la majorité au pouvoir lorsqu’elle affirme que tout projet de révision constitutionnelle n’est pas forcément illégal, dès lors qu’il ne touche pas aux articles verrouillés de la Constitution ?
Pourquoi doit-on toujours modifier la Constitution lorsqu’on s’approche des échéances électorales en RDC ? Avant la présidentielle de 2011, la majorité mécanique au Parlement a ramené le scrutin à un tour et aujourd’hui elle cherche encore à bidouiller le texte constitutionnel pour permettre à son champion de briguer un autre mandat. Nous ne sommes pas d’accord. Si elle tient à son projet de révision, elle doit attendre la fin du processus électoral de 2016. Nous savons que Joseph Kabila a peur de quitter le pouvoir. Peur de se retrouver demain devant la Cour pénale internationale (CPI) pour des crimes qu’il a commis dans le pays. Mais, il n’y a plus d’autre option : en 2016, il doit partir !Joseph Kabila a peur de quitter le pouvoir.
Le départ de Kabila en 2016 semble être un objectif qui réunit l’opposition congolaise, réputée pour ses divisions et ses luttes internes…
Même 10 enfants issus d’une même famille ne parlent jamais un même langage. L’important est qu’ils se reconnaissent tous d’un même père. C’est le cas aujourd’hui de l’opposition congolaise. Au-delà de nos divergences, nous faisons bloc pour nous opposer à toute modification de la Constitution.
>> Lire aussi : Kabila ou la stratégie du félin
Au même moment à Washington s’ouvre le Sommet États-Unis – Afrique, qu’est-ce que votre parti, la Démocratie chrétienne (DC), et l’opposition en RDC attendent-elles de cette rencontre à laquelle participe également le président Joseph Kabila ?
C’est aux Congolais de résoudre les problèmes de la RDC. Nous devons donc continuer à nous mobiliser pour nous prendre en charge. La communauté internationale n’est là que pour nous accompagner dans cette démarche.
En attendant, le leader de votre parti, Eugène Diomi Ndongala, condamné pour viol, continue à croupir en prison et les parties civiles demandent désormais des dommages et intérêts importants…
Ce n’est pas une surprise. Nous savons que Joseph Kabila est derrière ce scénario. C’est un père de famille. Un grand leader politique.Après sa condamnation arbitraire, il continue de mener son combat depuis sa cellule…
C’est ce qui dérange et qui a provoqué ce nouveau rebondissement de l’affaire au civil.Il publie chaque semaine le "Carnet d’un prisonnier politique".
Jeuneafrique.com
KOTA
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