Les entrepreneurs étrangers et congolais de la diaspora investissent de plus en plus en RDC.
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Les entrepreneurs étrangers et congolais de la diaspora investissent de plus en plus en RDC.
Notre compatriote Émile Bola (un ingénieur formé en Suisse) est par exemple l´auteur concepteur de l´actuel permis de conduire infalsifiable ivoirien, il a fait des projets pour la sécurisation des diplômes et l´identification des paysans ivoiriens.
Il parle des élections en RDC et pas étonnant qu´il travaille déjà avec les autorités congolaises et la CENI. Il vient de mettre en place la première tablette biométrique pour identifier, enrôler et faire le vote électronique.
Suivez notre compatriote !
https://www.youtube.com/watch?v=p-5NsfH3L8M
Il parle des élections en RDC et pas étonnant qu´il travaille déjà avec les autorités congolaises et la CENI. Il vient de mettre en place la première tablette biométrique pour identifier, enrôler et faire le vote électronique.
Suivez notre compatriote !
https://www.youtube.com/watch?v=p-5NsfH3L8M
Dernière édition par Jim KK le 24/12/2015, 12:26 pm, édité 1 fois
Jim KK
Re: Les entrepreneurs étrangers et congolais de la diaspora investissent de plus en plus en RDC.
Suivez la DIASPORA Congolaise Rentrée au Pays
Jim KK
Re: Les entrepreneurs étrangers et congolais de la diaspora investissent de plus en plus en RDC.
Ces Congolais qui réussissent à l'étranger et font le choix d'investir en RDC
Jim KK
Re: Les entrepreneurs étrangers et congolais de la diaspora investissent de plus en plus en RDC.
Les uns progressent en injuriologie les autres attendent pour piller ce qu'on est entrain de construire:twisted:
Imperium
Re: Les entrepreneurs étrangers et congolais de la diaspora investissent de plus en plus en RDC.
Congolese returnee strikes gold
Jim KK
Re: Les entrepreneurs étrangers et congolais de la diaspora investissent de plus en plus en RDC.
Un congolais de la diaspora investit dans l'agriculture congolaise
Jim KK
Re: Les entrepreneurs étrangers et congolais de la diaspora investissent de plus en plus en RDC.
Il n'y a pas de sot métier, il n'y a que de sottes gens
Bravo cher compatriote
Michaux Molay - Entrepreneur Congolais/Corbillard Business - Diaspora Congolaise
Bravo cher compatriote
Michaux Molay - Entrepreneur Congolais/Corbillard Business - Diaspora Congolaise
Jim KK
Re: Les entrepreneurs étrangers et congolais de la diaspora investissent de plus en plus en RDC.
Jus de fruits congolais 100% naturels, par deux jeunes de la diaspora
Jim KK
Re: Les entrepreneurs étrangers et congolais de la diaspora investissent de plus en plus en RDC.
Mr Jim KK,
Je n'ai pas eu le temps de lire tout de votre sujet mais à sa simple vue je me permets de vous dire Merci et Bravo d'introduire ce sujet d'optimisme et de réalisme pour le Congo : personne et surtout pas un entrepreneur qu'il vienne de la diaspora ou sur place ne désespère intimement du Congo, un "jeune et ouvert pays" à toutes les constructions entrepreunariales les plus prometteuses !
Les vrais entrepreneurs sont là à prendre des risques pour investir dans mille projets prometteurs ! Merci encore d'en parler mais soyez rassurés, nous n'en parlons peut-être pas assez ici mais ils n'ont pas attendu même parmi les cdforumeurs qu'on en parle pour qu'ils y aillent !
Perso, j'en ai moins la fibre et la capacité mais j'ai essayé et y reste par ma famille et des proches qui se débrouillent tant bien que mal; il y'a tant à construire et à potentiellement à gagner dans un pays où il y'a tant à construire et à reconstruire...
C'est là où il faut tempérer nos espoirs : il faut au Congo économique une meilleure sécurité judiciaire et sécuritaire que ne peut apporter qu'une administration correcte et elle ne peut venir que d'une autorité politique saine ! Trop dépendre d'un imprimatur politique prédateur qui conditionne tout à ses "rackets" pour vous donner droit à entreprendre librement et profitablement en a détourné plus d'un...
Voilà pourquoi non pas pour faire mon rabat-joie, je me permets d'ajouter à votre enthousiasme légitime cette précaution là combattre pour la nécessité d'un système politique meilleur que celui existant fin d'assurer à la diaspora entrepreneuse davantage de sécurité et de stabilité à se lancer ! Ne l'oublions pas trop rapidement, tous ceux qui s'y sont lancés vous révéleront maints obstacles indus qu'ils ont rencontrés au début ou dans la suite de leurs projets, et encore plus lorsqu'ils avaient une certaine envergure...
Ne confondons donc pas trop vite la nécessité et la légitimité de notre enthousiasme à entreprendre dans notre pays si prometteur et le refus de la critique de notre système et secte politique !
Sinon que ne pouvons-nous nous satisfaire et si besoin encourager à entreprendre dans notre pays aujourd'hui et demain !
A plus............
Compatriotiquement!
Je n'ai pas eu le temps de lire tout de votre sujet mais à sa simple vue je me permets de vous dire Merci et Bravo d'introduire ce sujet d'optimisme et de réalisme pour le Congo : personne et surtout pas un entrepreneur qu'il vienne de la diaspora ou sur place ne désespère intimement du Congo, un "jeune et ouvert pays" à toutes les constructions entrepreunariales les plus prometteuses !
Les vrais entrepreneurs sont là à prendre des risques pour investir dans mille projets prometteurs ! Merci encore d'en parler mais soyez rassurés, nous n'en parlons peut-être pas assez ici mais ils n'ont pas attendu même parmi les cdforumeurs qu'on en parle pour qu'ils y aillent !
Perso, j'en ai moins la fibre et la capacité mais j'ai essayé et y reste par ma famille et des proches qui se débrouillent tant bien que mal; il y'a tant à construire et à potentiellement à gagner dans un pays où il y'a tant à construire et à reconstruire...
C'est là où il faut tempérer nos espoirs : il faut au Congo économique une meilleure sécurité judiciaire et sécuritaire que ne peut apporter qu'une administration correcte et elle ne peut venir que d'une autorité politique saine ! Trop dépendre d'un imprimatur politique prédateur qui conditionne tout à ses "rackets" pour vous donner droit à entreprendre librement et profitablement en a détourné plus d'un...
Voilà pourquoi non pas pour faire mon rabat-joie, je me permets d'ajouter à votre enthousiasme légitime cette précaution là combattre pour la nécessité d'un système politique meilleur que celui existant fin d'assurer à la diaspora entrepreneuse davantage de sécurité et de stabilité à se lancer ! Ne l'oublions pas trop rapidement, tous ceux qui s'y sont lancés vous révéleront maints obstacles indus qu'ils ont rencontrés au début ou dans la suite de leurs projets, et encore plus lorsqu'ils avaient une certaine envergure...
Ne confondons donc pas trop vite la nécessité et la légitimité de notre enthousiasme à entreprendre dans notre pays si prometteur et le refus de la critique de notre système et secte politique !
Sinon que ne pouvons-nous nous satisfaire et si besoin encourager à entreprendre dans notre pays aujourd'hui et demain !
A plus............
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: Les entrepreneurs étrangers et congolais de la diaspora investissent de plus en plus en RDC.
En ce qui me concerne, je félicite nos compatriotes congolais de la diaspora qui prennent les risques d´investir en RDC. On peut voir que certains congolais de l’étranger ont suffisamment d’expertise, de compétences et d’expériences enrichissantes dans différents domaines qu’ils aimeraient partager avec leur pays d’origine pour l’aider à se redresser et renforcer ses capacités institutionnelles peu importe celui qui dirige la RDC.
Nous disons chaque fois que le Congo est un grand chantier, il le restera pour longtemps. Et il y a encore beaucoup à faire dans ce pays. Nous disons aussi que le Congo n´est pas un paradis et non plus un enfer sur terre.
Je crois et ca c´est mon avis personnel, que certains entrepreneurs de la diaspora congolaise pensent que, ne pas investir actuellement en RDC (malgré le niveau de vulnérabilité de son économie), peut être considéré comme une acceptation tacite de la situation, et donc une reconnaissance de la responsabilité partagée de la détérioration de la situation, par l’action de l’un et l’inaction de l’autre. Mais on dit aussi que : Qui ne risque rien n´a rien !!!
Nous respectons ceux qui "combattent" dans la diaspora (à 8000 km), sur internet, dans des vidéos pour dénoncer les méfaits du gouvernement actuel. C´est leur droit et la démocratie nous oblige la tolérance.
D’autre part, les gens qui manifestent à 8000 km, s´indignent et ne reconnaissent pas le gouvernement du président Kabila, devraient admettre que l’indignation seule ne suffit pas pour changer la situation au pays - telle qu’on aimerait bien qu’elle soit -, Il doivent comprendre que la realpolitik nous oblige (d´abord) à reconnaitre le gouvernement qui engage l’Etat congolais et c´est bien celui là qui est au pays - qu’on accepte ou non -, peu importe ce que l’on peut dire sur la légalité ou la légitimité des gouvernants actuels.
S´il y a à dialoguer ou à négocier, c´est seulement avec lui, dans un climat de confiance et de compréhension mutuelle pour trouver des solutions aux diverses préoccupations.
Nous disons encore bravo aux compatriotes entrepreneurs congolais de la diaspora.
Nous disons chaque fois que le Congo est un grand chantier, il le restera pour longtemps. Et il y a encore beaucoup à faire dans ce pays. Nous disons aussi que le Congo n´est pas un paradis et non plus un enfer sur terre.
Je crois et ca c´est mon avis personnel, que certains entrepreneurs de la diaspora congolaise pensent que, ne pas investir actuellement en RDC (malgré le niveau de vulnérabilité de son économie), peut être considéré comme une acceptation tacite de la situation, et donc une reconnaissance de la responsabilité partagée de la détérioration de la situation, par l’action de l’un et l’inaction de l’autre. Mais on dit aussi que : Qui ne risque rien n´a rien !!!
Nous respectons ceux qui "combattent" dans la diaspora (à 8000 km), sur internet, dans des vidéos pour dénoncer les méfaits du gouvernement actuel. C´est leur droit et la démocratie nous oblige la tolérance.
D’autre part, les gens qui manifestent à 8000 km, s´indignent et ne reconnaissent pas le gouvernement du président Kabila, devraient admettre que l’indignation seule ne suffit pas pour changer la situation au pays - telle qu’on aimerait bien qu’elle soit -, Il doivent comprendre que la realpolitik nous oblige (d´abord) à reconnaitre le gouvernement qui engage l’Etat congolais et c´est bien celui là qui est au pays - qu’on accepte ou non -, peu importe ce que l’on peut dire sur la légalité ou la légitimité des gouvernants actuels.
S´il y a à dialoguer ou à négocier, c´est seulement avec lui, dans un climat de confiance et de compréhension mutuelle pour trouver des solutions aux diverses préoccupations.
Nous disons encore bravo aux compatriotes entrepreneurs congolais de la diaspora.
Jim KK
Re: Les entrepreneurs étrangers et congolais de la diaspora investissent de plus en plus en RDC.
L'Hôtel Fatuma, oeuvre de l´ancien capitaine des leopards Shabani Nonda, s'inscrit dans une continuité parfaite de ce qu'un digne fils du pays est capable de faire.
Jim KK
Re: Les entrepreneurs étrangers et congolais de la diaspora investissent de plus en plus en RDC.
Interview RTNC création école aéronautique en RDC IACTC
Voilà le témoignage d'un héros qui n'en est pas vraiment un… ou plutôt qui l'est, mais à sa façon !
Joseph Sawumba, c'est son nom. L'homme a réussi dans le domaine aéronautique à l'étranger. Il décide de répondre à l'appel du président Kabila, dans le cadre de la reconstruction du pays, et d'apporter son expertise.
Voilà le témoignage d'un héros qui n'en est pas vraiment un… ou plutôt qui l'est, mais à sa façon !
Joseph Sawumba, c'est son nom. L'homme a réussi dans le domaine aéronautique à l'étranger. Il décide de répondre à l'appel du président Kabila, dans le cadre de la reconstruction du pays, et d'apporter son expertise.
Jim KK
Re: Les entrepreneurs étrangers et congolais de la diaspora investissent de plus en plus en RDC.
Un jeune entrepreneur donne les solutions à la diaspora congolaise pour pouvoir investir facilement
Jim KK
Re: Les entrepreneurs étrangers et congolais de la diaspora investissent de plus en plus en RDC.
Parcours d'un chef cuisinier congolais, de Bruxelles à Kinshasa
Jim KK
Re: Les entrepreneurs étrangers et congolais de la diaspora investissent de plus en plus en RDC.
Ces dernières années, plusieurs « intellectuels » congolais de la diaspora (la diaspora dynamique) sont rentrés au Congo pour créer des entreprises.
À LA DECOUVERTE DE LA DIASPORA DYNAMIQUE EN RD-CONGO
« Ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays. »
À LA DECOUVERTE DE LA DIASPORA DYNAMIQUE EN RD-CONGO
« Ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays. »
Jim KK
Re: Les entrepreneurs étrangers et congolais de la diaspora investissent de plus en plus en RDC.
FEMMES DE LA DIASPORA CONGOLAISE QUI VEULENT INVESTIR EN RDC
Jim KK
Re: Les entrepreneurs étrangers et congolais de la diaspora investissent de plus en plus en RDC.
Peut-être que c'est plus facile pour une femme.... (parce que)Jim KK a écrit:FEMMES DE LA DIASPORA CONGOLAISE QUI VEULENT INVESTIR EN RDC
Peut-être que c'est plus facile lorsqu'on rentre investir dans un domaine privé en arrosant "malheureusement" les uns et les autres des pot de vins à cause de notre système ou mentalité qui repose toujours sur ...(Madesu Ya Bana via article 15)
Mais vouloir s'associer avec le gouvernement pour faire quelque chose de grandiose,me laisse un peu un goût amère suite à l'expérience catastrophique de Mr Tabala Mawa dont Kwebe Kimpele nous raconte l'histoire.En faite il ne faut pas faire confiance à nos gouverneurs comme le Kimbuta et autres au nom de l'amour de la RDC tant que les choses ne sont pas claire parce que okoya kolela na munoko ya mboka.
El-Shaman
Re: Les entrepreneurs étrangers et congolais de la diaspora investissent de plus en plus en RDC.
El-Shaman a écrit:Peut-être que c'est plus facile pour une femme.... (parce que)Jim KK a écrit:FEMMES DE LA DIASPORA CONGOLAISE QUI VEULENT INVESTIR EN RDC
Peut-être que c'est plus facile lorsqu'on rentre investir dans un domaine privé en arrosant "malheureusement" les uns et les autres des pot de vins à cause de notre système ou mentalité qui repose toujours sur ...(Madesu Ya Bana via article 15)
Mais vouloir s'associer avec le gouvernement pour faire quelque chose de grandiose,me laisse un peu un goût amère suite à l'expérience catastrophique de Mr Tabala Mawa dont Kwebe Kimpele nous raconte l'histoire.En faite il ne faut pas faire confiance à nos gouverneurs comme le Kimbuta et autres au nom de l'amour de la RDC tant que les choses ne sont pas claire parce que okoya kolela na munoko ya mboka.
Kolela na mnoko ya mboka comme Tshisekedi alela???
zobattants
Re: Les entrepreneurs étrangers et congolais de la diaspora investissent de plus en plus en RDC.
Une dame de la diaspora fait Construire un centre de Santé a Selembao
Jim KK
Re: Les entrepreneurs étrangers et congolais de la diaspora investissent de plus en plus en RDC.
Na Souci ya Mboka , Maman Cécile atongi Maternité na Selembao!
Maboko po na Mama congolaise!!!
Maboko po na Mama congolaise!!!
Jim KK
Re: Les entrepreneurs étrangers et congolais de la diaspora investissent de plus en plus en RDC.
Jim KK a écrit:Na Souci ya Mboka , Maman Cécile atongi Maternité na Selembao!
Maboko po na Mama congolaise!!!
Chapeau bas ! Cecile
El-Shaman
Re: Les entrepreneurs étrangers et congolais de la diaspora investissent de plus en plus en RDC.
« J’ai tout quitté pour vivre au Congo-Kinshasa »
http://www.lemonde.fr/afrique/article/2015/07/10/j-ai-tout-quitte-pour-vivre-en-congo-kinshasa_4678723_3212.html
« La première impression, c’est qu’il y a tout à faire ici, s’enthousiasme Emile, 42 ans, senior manager d’Ecobank, élue « meilleure banque au monde des pays émergents » et « banque de l’année 2014 » sur le continent africain. C’est un sentiment fort de participer à quelque chose dont le potentiel est énorme, de construire une nouvelle Afrique, un meilleur Congo… »
Comme lui, après un séjour plus ou moins long en France, Magalie, 27 ans, et Rycky, 64 ans, ont fait le choix de tout quitter pour faire partie du renouveau de la République démocratique du Congo (RDC), ancienne colonie belge.
Ce mouvement migratoire dans le sens inverse des stéréotypes enchante les multinationales, contribue à la création de commerces par les locaux et favorise la formation d’une nouvelle élite.
Une destination privilégiée par sa diaspora
Avec son potentiel de salaires attractifs, de postes à responsabilité, de balades pittoresques et de cours de tennis, le rêve congolais séduit de nombreux candidats. Devenue une terre d’opportunités, la RDC est une destination privilégiée par sa diaspora. Riche en ressources naturelles et convoitées par les entreprises étrangères, elle est au centre des préoccupations énergétiques, politiques et économiques. « Tout le monde vient gagner de l’argent au Congo, alors pourquoi pas nous ? » se disent tous les Franco-Congolais candidats à l’expatriation.
Diplômés d’institutions européennes et nord-américaines, comme l’université des sciences et technologies de Lille 1, HEC Montréal ou encore l’université de Liverpool, ils sont attirés par leurs racines et ne considèrent plus leur départ avec inquiétude.
Relocalisé en Grande-Bretagne avec sa famille, Emile loge désormais au Grand Hôtel de Kinshasa, en attendant la venue de son épouse et de ses trois enfants. La France devient une destination de vacances, pour « se faire soigner » et manger ses plats préférés à volonté.
« Bana Poto », « Djika », « Bana Mikili » « Ba pros »… autant d’appellations pour désigner en lingala, la langue locale, cette nouvelle clientèle qui a les moyens. A « 20 dollars les 10 fraises, les 4 tomates et le paquet de céréales », l’Europe semble loin…
« Ce retour est un plus pour sa propre évolution, ne serait-ce que d’un point de vue socioprofessionnel et identitaire. Ce mouvement est difficile à chiffrer : il n’y a pas de politique de retour de la diaspora par le gouvernement, mais je ne pense pas qu’il en ait vraiment les moyens », analyse Sarah Demart, chercheuse en sociologie à l’université de Liège, spécialisée sur la question de la diaspora congolaise en France et en Belgique depuis dix ans.
La différence de rémunération importante avec l’Europe, le niveau de vie plutôt bas, les avantages en nature et l’absence d’impôts sur le revenu sont des critères non négligeables pour envisager le retour au pays ou l’expatriation.
Locataire d’une maison située dans la commune huppée de La Gombe, à Kinshasa, Magalie profite avec son conjoint de ce cadre de vie privilégié. Après son master d’économétrie obtenu à Paris XVII et une année d’alternance au service de statistiques d’Air France, partir pour Kinshasa s’est présentée pour elle comme une évidence.
« Si on veut pouvoir espérer, être carriériste, vouloir évoluer sans stress et ne pas recevoir des courriers de mauvaises nouvelles dans sa boîte aux lettres, il faut s’expatrier, dit la jeune responsable des statistiques du service finance contrôle de gestion de la banque Rawbank. Le Congo est un pays chaleureux, où il est bon de vivre et de s’épanouir. »
La « diaspourri »
À l’inverse de leurs aînés, détenir la nationalité française, belge ou américaine n’est plus un passeport pour l’obtention de postes à hautes responsabilités. Ce passe-droit a longtemps laissé un goût amer chez les locaux.
Qualifiés par les Kinois de « diaspourri » après la chute du régime de Mobutu en 1997, « leur comportement politique n’était pas différent de celui des mobutistes partisans du dictateur en matière de gestion de biens publics, par exemple, mais aussi en matière d’arrogance », ajoute la sociologue.
« Je ne pense pas que le fait que je sois Français m’ouvre des portes, assure Emile. Ce sont mes compétences, et ma nationalité n’a rien à voir. Il en sera de même pour un Américain. »
Les connaissances acquises durant les études et la durée des stages – de 3 à 18 mois – de l’enseignement supérieur français sont de réelles valeurs ajoutées. « Les salaires sont très attractifs mais varient d’une personne à une autre. C’est à cause de cette variation que cela reste tabou, continue Magalie. Deux personnes au profil équivalent ne gagneront pas la même chose, et la différence, d’une entreprise à une autre, peut varier de 50 %. »
Il n’existe donc pas de réglementation unique sur ce marché de l’emploi qui est avant tout celui des multinationales, ce que déplorent les nationaux n’ayant pas étudié à l’étranger. Certains chercheurs parlent même de « multicrise » ou de « crise totale de l’ampleur » pour qualifier la situation congolaise.
Rycky, coordinateur du programme de gouvernance au sein d’une ONG internationale américaine, préfère rester lucide sur la fragilité de son pays d’origine. Très actif dans le milieu associatif pour les migrants en France et détenteur d’un doctorat en psychologie de la faculté de Lille 1, il vit en RDC depuis plus de dix ans.
« Les opportunités sont là, mais il est impératif de contribuer à la recherche de la paix et au développement intégral du pays », rappelle-t-il. S’il est une chose sur laquelle tout le monde s’accorde, c’est que le rêve congolais n’est pas accessible à tous.
http://www.lemonde.fr/afrique/article/2015/07/10/j-ai-tout-quitte-pour-vivre-en-congo-kinshasa_4678723_3212.html
« La première impression, c’est qu’il y a tout à faire ici, s’enthousiasme Emile, 42 ans, senior manager d’Ecobank, élue « meilleure banque au monde des pays émergents » et « banque de l’année 2014 » sur le continent africain. C’est un sentiment fort de participer à quelque chose dont le potentiel est énorme, de construire une nouvelle Afrique, un meilleur Congo… »
Comme lui, après un séjour plus ou moins long en France, Magalie, 27 ans, et Rycky, 64 ans, ont fait le choix de tout quitter pour faire partie du renouveau de la République démocratique du Congo (RDC), ancienne colonie belge.
Ce mouvement migratoire dans le sens inverse des stéréotypes enchante les multinationales, contribue à la création de commerces par les locaux et favorise la formation d’une nouvelle élite.
Une destination privilégiée par sa diaspora
Avec son potentiel de salaires attractifs, de postes à responsabilité, de balades pittoresques et de cours de tennis, le rêve congolais séduit de nombreux candidats. Devenue une terre d’opportunités, la RDC est une destination privilégiée par sa diaspora. Riche en ressources naturelles et convoitées par les entreprises étrangères, elle est au centre des préoccupations énergétiques, politiques et économiques. « Tout le monde vient gagner de l’argent au Congo, alors pourquoi pas nous ? » se disent tous les Franco-Congolais candidats à l’expatriation.
Diplômés d’institutions européennes et nord-américaines, comme l’université des sciences et technologies de Lille 1, HEC Montréal ou encore l’université de Liverpool, ils sont attirés par leurs racines et ne considèrent plus leur départ avec inquiétude.
Relocalisé en Grande-Bretagne avec sa famille, Emile loge désormais au Grand Hôtel de Kinshasa, en attendant la venue de son épouse et de ses trois enfants. La France devient une destination de vacances, pour « se faire soigner » et manger ses plats préférés à volonté.
« Bana Poto », « Djika », « Bana Mikili » « Ba pros »… autant d’appellations pour désigner en lingala, la langue locale, cette nouvelle clientèle qui a les moyens. A « 20 dollars les 10 fraises, les 4 tomates et le paquet de céréales », l’Europe semble loin…
« Ce retour est un plus pour sa propre évolution, ne serait-ce que d’un point de vue socioprofessionnel et identitaire. Ce mouvement est difficile à chiffrer : il n’y a pas de politique de retour de la diaspora par le gouvernement, mais je ne pense pas qu’il en ait vraiment les moyens », analyse Sarah Demart, chercheuse en sociologie à l’université de Liège, spécialisée sur la question de la diaspora congolaise en France et en Belgique depuis dix ans.
La différence de rémunération importante avec l’Europe, le niveau de vie plutôt bas, les avantages en nature et l’absence d’impôts sur le revenu sont des critères non négligeables pour envisager le retour au pays ou l’expatriation.
Locataire d’une maison située dans la commune huppée de La Gombe, à Kinshasa, Magalie profite avec son conjoint de ce cadre de vie privilégié. Après son master d’économétrie obtenu à Paris XVII et une année d’alternance au service de statistiques d’Air France, partir pour Kinshasa s’est présentée pour elle comme une évidence.
« Si on veut pouvoir espérer, être carriériste, vouloir évoluer sans stress et ne pas recevoir des courriers de mauvaises nouvelles dans sa boîte aux lettres, il faut s’expatrier, dit la jeune responsable des statistiques du service finance contrôle de gestion de la banque Rawbank. Le Congo est un pays chaleureux, où il est bon de vivre et de s’épanouir. »
La « diaspourri »
À l’inverse de leurs aînés, détenir la nationalité française, belge ou américaine n’est plus un passeport pour l’obtention de postes à hautes responsabilités. Ce passe-droit a longtemps laissé un goût amer chez les locaux.
Qualifiés par les Kinois de « diaspourri » après la chute du régime de Mobutu en 1997, « leur comportement politique n’était pas différent de celui des mobutistes partisans du dictateur en matière de gestion de biens publics, par exemple, mais aussi en matière d’arrogance », ajoute la sociologue.
« Je ne pense pas que le fait que je sois Français m’ouvre des portes, assure Emile. Ce sont mes compétences, et ma nationalité n’a rien à voir. Il en sera de même pour un Américain. »
Les connaissances acquises durant les études et la durée des stages – de 3 à 18 mois – de l’enseignement supérieur français sont de réelles valeurs ajoutées. « Les salaires sont très attractifs mais varient d’une personne à une autre. C’est à cause de cette variation que cela reste tabou, continue Magalie. Deux personnes au profil équivalent ne gagneront pas la même chose, et la différence, d’une entreprise à une autre, peut varier de 50 %. »
Il n’existe donc pas de réglementation unique sur ce marché de l’emploi qui est avant tout celui des multinationales, ce que déplorent les nationaux n’ayant pas étudié à l’étranger. Certains chercheurs parlent même de « multicrise » ou de « crise totale de l’ampleur » pour qualifier la situation congolaise.
Rycky, coordinateur du programme de gouvernance au sein d’une ONG internationale américaine, préfère rester lucide sur la fragilité de son pays d’origine. Très actif dans le milieu associatif pour les migrants en France et détenteur d’un doctorat en psychologie de la faculté de Lille 1, il vit en RDC depuis plus de dix ans.
« Les opportunités sont là, mais il est impératif de contribuer à la recherche de la paix et au développement intégral du pays », rappelle-t-il. S’il est une chose sur laquelle tout le monde s’accorde, c’est que le rêve congolais n’est pas accessible à tous.
Jim KK
Re: Les entrepreneurs étrangers et congolais de la diaspora investissent de plus en plus en RDC.
Jim KK a écrit:« J’ai tout quitté pour vivre au Congo-Kinshasa »
Par Amanda Winnie Kabuiku (contributrice Le Monde Afrique)
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/afrique/article/2015/07/10/j-ai-tout-quitte-pour-vivre-en-congo-kinshasa_4678723_3212.html#pdsQB0v4v20lBfll.99
suspect:
http://www.lemonde.fr/afrique/article/2015/07/10/j-ai-tout-quitte-pour-vivre-en-congo-kinshasa_4678723_3212.html
« La première impression, c’est qu’il y a tout à faire ici, s’enthousiasme Emile, 42 ans, senior manager d’Ecobank, élue « meilleure banque au monde des pays émergents » et « banque de l’année 2014 » sur le continent africain. C’est un sentiment fort de participer à quelque chose dont le potentiel est énorme, de construire une nouvelle Afrique, un meilleur Congo… »
Comme lui, après un séjour plus ou moins long en France, Magalie, 27 ans, et Rycky, 64 ans, ont fait le choix de tout quitter pour faire partie du renouveau de la République démocratique du Congo (RDC), ancienne colonie belge.
Ce mouvement migratoire dans le sens inverse des stéréotypes enchante les multinationales, contribue à la création de commerces par les locaux et favorise la formation d’une nouvelle élite.
Une destination privilégiée par sa diaspora
Avec son potentiel de salaires attractifs, de postes à responsabilité, de balades pittoresques et de cours de tennis, le rêve congolais séduit de nombreux candidats. Devenue une terre d’opportunités, la RDC est une destination privilégiée par sa diaspora. Riche en ressources naturelles et convoitées par les entreprises étrangères, elle est au centre des préoccupations énergétiques, politiques et économiques. « Tout le monde vient gagner de l’argent au Congo, alors pourquoi pas nous ? » se disent tous les Franco-Congolais candidats à l’expatriation.
Diplômés d’institutions européennes et nord-américaines, comme l’université des sciences et technologies de Lille 1, HEC Montréal ou encore l’université de Liverpool, ils sont attirés par leurs racines et ne considèrent plus leur départ avec inquiétude.
Relocalisé en Grande-Bretagne avec sa famille, Emile loge désormais au Grand Hôtel de Kinshasa, en attendant la venue de son épouse et de ses trois enfants. La France devient une destination de vacances, pour « se faire soigner » et manger ses plats préférés à volonté.
« Bana Poto », « Djika », « Bana Mikili » « Ba pros »… autant d’appellations pour désigner en lingala, la langue locale, cette nouvelle clientèle qui a les moyens. A « 20 dollars les 10 fraises, les 4 tomates et le paquet de céréales », l’Europe semble loin…
« Ce retour est un plus pour sa propre évolution, ne serait-ce que d’un point de vue socioprofessionnel et identitaire. Ce mouvement est difficile à chiffrer : il n’y a pas de politique de retour de la diaspora par le gouvernement, mais je ne pense pas qu’il en ait vraiment les moyens », analyse Sarah Demart, chercheuse en sociologie à l’université de Liège, spécialisée sur la question de la diaspora congolaise en France et en Belgique depuis dix ans.
La différence de rémunération importante avec l’Europe, le niveau de vie plutôt bas, les avantages en nature et l’absence d’impôts sur le revenu sont des critères non négligeables pour envisager le retour au pays ou l’expatriation.
Locataire d’une maison située dans la commune huppée de La Gombe, à Kinshasa, Magalie profite avec son conjoint de ce cadre de vie privilégié. Après son master d’économétrie obtenu à Paris XVII et une année d’alternance au service de statistiques d’Air France, partir pour Kinshasa s’est présentée pour elle comme une évidence.
« Si on veut pouvoir espérer, être carriériste, vouloir évoluer sans stress et ne pas recevoir des courriers de mauvaises nouvelles dans sa boîte aux lettres, il faut s’expatrier, dit la jeune responsable des statistiques du service finance contrôle de gestion de la banque Rawbank. Le Congo est un pays chaleureux, où il est bon de vivre et de s’épanouir. »
La « diaspourri »
À l’inverse de leurs aînés, détenir la nationalité française, belge ou américaine n’est plus un passeport pour l’obtention de postes à hautes responsabilités. Ce passe-droit a longtemps laissé un goût amer chez les locaux.
Qualifiés par les Kinois de « diaspourri » après la chute du régime de Mobutu en 1997, « leur comportement politique n’était pas différent de celui des mobutistes partisans du dictateur en matière de gestion de biens publics, par exemple, mais aussi en matière d’arrogance », ajoute la sociologue.
« Je ne pense pas que le fait que je sois Français m’ouvre des portes, assure Emile. Ce sont mes compétences, et ma nationalité n’a rien à voir. Il en sera de même pour un Américain. »
Les connaissances acquises durant les études et la durée des stages – de 3 à 18 mois – de l’enseignement supérieur français sont de réelles valeurs ajoutées. « Les salaires sont très attractifs mais varient d’une personne à une autre. C’est à cause de cette variation que cela reste tabou, continue Magalie. Deux personnes au profil équivalent ne gagneront pas la même chose, et la différence, d’une entreprise à une autre, peut varier de 50 %. »
Il n’existe donc pas de réglementation unique sur ce marché de l’emploi qui est avant tout celui des multinationales, ce que déplorent les nationaux n’ayant pas étudié à l’étranger. Certains chercheurs parlent même de « multicrise » ou de « crise totale de l’ampleur » pour qualifier la situation congolaise.
Rycky, coordinateur du programme de gouvernance au sein d’une ONG internationale américaine, préfère rester lucide sur la fragilité de son pays d’origine. Très actif dans le milieu associatif pour les migrants en France et détenteur d’un doctorat en psychologie de la faculté de Lille 1, il vit en RDC depuis plus de dix ans.
« Les opportunités sont là, mais il est impératif de contribuer à la recherche de la paix et au développement intégral du pays », rappelle-t-il. S’il est une chose sur laquelle tout le monde s’accorde, c’est que le rêve congolais n’est pas accessible à tous.
"Rentrer ou rester, le dilemme des « cerveaux » africains diplômés des grandes écoles françaises"
° http://www.lemonde.fr/afrique/article/2015/02/27/rentrer-ou-rester-le-dilemme-des-cerveaux-africains-diplomes-des-grandes-ecoles-francaises_4584851_3212.html#Z8vsGOkhT4YDVyKl.99
"Les « expats » en Afrique, une espèce en voie de disparition"
° http://www.lemonde.fr/afrique/article/2015/06/30/les-expats-en-afrique-une-espece-en-voie-de-disparition_4664626_3212.html#hdbsBr4ujU67XK2K.99
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: Les entrepreneurs étrangers et congolais de la diaspora investissent de plus en plus en RDC.
Une firme du Koweit inverstit en RDC!
Le Gouvernement congolais et Rokomesko, un groupe immobilier de développement koweïtien, ont signé lundi à Kinshasa, un accord de 400 millions USD pour la construction des logements sociaux en RDC.
Le Gouvernement a été représenté par le ministre de l’Aménagement du territoire, Urbanisme et Habitat, Omer Egwake et la partie koweïtienne par le prince Fahad Ibrahim Al Rashid, chef de la délégation.
Le contrat vise à construire à Kinshasa, « une cité moderne répondant aux standards internationaux, comprenant en son sein des centres commerciaux, écoles, hôpitaux, marchés etc », a indiqué Luboya Mukadi Kaba, président de la Chambre de commerce et de l’Industrie RDC-Europe. Il pourra atteindre dans un proche avenir près de 15 milliards des dollars américains.
Le Gouvernement congolais et Rokomesko, un groupe immobilier de développement koweïtien, ont signé lundi à Kinshasa, un accord de 400 millions USD pour la construction des logements sociaux en RDC.
Le Gouvernement a été représenté par le ministre de l’Aménagement du territoire, Urbanisme et Habitat, Omer Egwake et la partie koweïtienne par le prince Fahad Ibrahim Al Rashid, chef de la délégation.
Le contrat vise à construire à Kinshasa, « une cité moderne répondant aux standards internationaux, comprenant en son sein des centres commerciaux, écoles, hôpitaux, marchés etc », a indiqué Luboya Mukadi Kaba, président de la Chambre de commerce et de l’Industrie RDC-Europe. Il pourra atteindre dans un proche avenir près de 15 milliards des dollars américains.
Jim KK
Re: Les entrepreneurs étrangers et congolais de la diaspora investissent de plus en plus en RDC.
Les entrepreneurs partent à l'assaut de la RDC
Jim KK
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