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LE BATONNIER MUYAMBO QUITTE OFFICIELLEMENT LA MAJORITE KABILISTE /DECLARATION VIDEO

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Message  KOTA 15/11/2014, 5:08 pm

LE BATONNIER MUYAMBO ET SON PARTI SCODE QUITTENT LA MAJORITE KABILISTE / VIDEO
par FreeDiomi le 15 novembre 2014
LE BATONNIER MUYAMBO QUITTE OFFICIELLEMENT LA MAJORITE KABILISTE /DECLARATION VIDEO Muyambo-quitte-mp

   
En plein vol pour Mbuji Mai, l’avion du Bâtonnier Jean-Claude Muyambo, Président National de la SCODE est détourné pour Lubumbashi et Muyambo quitte la Majorité dite Présidentielle, accuse les autorités kasaÏenne d’avoir mis en danger sa vie et celle de ces collaborateurs et il annonce qu’il rejoint l’opposition politique

******************************************************************************


RDC Joseph Kabila
Publié le 15-11-2014 Modifié le 15-11-2014 à 14:51
RDC: démission choc du bâtonnier Jean-Claude Muyambo
Par RFI
LE BATONNIER MUYAMBO QUITTE OFFICIELLEMENT LA MAJORITE KABILISTE /DECLARATION VIDEO 000_Par1568010_0Jean-Claude Muyambo -haut-parleur- en 2007.AFP PHOTO / LIONEL HEALING

  • [img(31.799999999999997px,23.799999999999997px)]http://scd.rfi.fr/sites/filesrfi/imagecache/rfi_43_small/sites/images.rfi.fr/files/aef_image/REP-DEM-CONGO_drapeau-%5BConverti%5D_0.png[/img] République Démocratique du Congo

Le bâtonnier Jean-Claude Muyambo, qui préside la Scode, la Solidarité congolaise pour la démocratie et le développement, rompt avec la majorité présidentielle. Il devait se se rendre à Mbuji Mayi au Kaisaï Oriental ce matin accompagné d'une délégation pour un meeting politique contre le maintien de Joseph Kabila au pouvoir après 2016. Mais, son vol a été dérouté sur Lubumbashi au Katanga.
Maître Jean-Claude Muyambo dénonce un « déni de démocratie » de la part du président Kabila et annonce en exclusivité sur l'antenne de RFI son passage à l'opposition.
« C’est fini, vous devez me considérer comme un opposant ; je suis devenu un opposant en République démocratique du Congo !
Kabila [simule] la démocratie et on accepte pas ça. On décolle et trente minutes plus tard le service de sécurité me demande de rentrer. Là je n’accepte pas ça. Je trouve qu’il n’y a pas de démocratie en République démocratique du Congo et je me désolidarise de monsieur Kabila et de la majorité présidentielle et j’entre dans l’opposition. Kabila et le gouverneur Kasanji ont mis ma vie en danger. Quand on décolle, on espère atterrir… C’est fini, je vais l’aider à quitter le pouvoir conformément à la Constitution... S’il ne respecte pas le calendrier d’ici la fin février (2015) nous allons manifester conformément à la constitution ».

http://democratiechretienne.org/2014/11/15/le-batonnier-muyambo-et-son-parti-scode-quittent-la-majorite-kabiliste-video/
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Message  GHOST 15/11/2014, 6:58 pm

Suspect LE BATONNIER MUYAMBO QUITTE OFFICIELLEMENT LA MAJORITE KABILISTE /DECLARATION VIDEO 293360 LE BATONNIER MUYAMBO QUITTE OFFICIELLEMENT LA MAJORITE KABILISTE /DECLARATION VIDEO 293360 LE BATONNIER MUYAMBO QUITTE OFFICIELLEMENT LA MAJORITE KABILISTE /DECLARATION VIDEO 293360 TOUT FAIT ....NOMBRE LE BATONNIER MUYAMBO QUITTE OFFICIELLEMENT LA MAJORITE KABILISTE /DECLARATION VIDEO 293360 LE BATONNIER MUYAMBO QUITTE OFFICIELLEMENT LA MAJORITE KABILISTE /DECLARATION VIDEO 293360
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Message  Admin 15/11/2014, 7:08 pm

Muyambo aujourd'hui et Katumbi probablement sous peu, le Katanga est entrain de lâcher Joseph Kabila Suspect
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LE BATONNIER MUYAMBO QUITTE OFFICIELLEMENT LA MAJORITE KABILISTE /DECLARATION VIDEO Empty Pas encore ecoute son speech

Message  voisin4 15/11/2014, 7:32 pm

Troll a écrit:Suspect LE BATONNIER MUYAMBO QUITTE OFFICIELLEMENT LA MAJORITE KABILISTE /DECLARATION VIDEO 293360 LE BATONNIER MUYAMBO QUITTE OFFICIELLEMENT LA MAJORITE KABILISTE /DECLARATION VIDEO 293360 LE BATONNIER MUYAMBO QUITTE OFFICIELLEMENT LA MAJORITE KABILISTE /DECLARATION VIDEO 293360 TOUT FAIT ....NOMBRE LE BATONNIER MUYAMBO QUITTE OFFICIELLEMENT LA MAJORITE KABILISTE /DECLARATION VIDEO 293360 LE BATONNIER MUYAMBO QUITTE OFFICIELLEMENT LA MAJORITE KABILISTE /DECLARATION VIDEO 293360


Plus d'espoir pour ceux du titanic qui n'ont pas pris place ds des barges, la mer est si glacee en ce 15 Avril 1912; je voulais ecrire en cette date d'avant la chasse des collabos de notre gd pays, alors on on essaie tant soit peu de se demarquer du restaurant de kingakati. To za na bino mayele!

" sniff... sniff, I am sorry guys, I didn't mean it, I didn't mean to kill all these 70 m innocent people qui ne demandaient qu'a vivre en paix la ou Nkolo ye Moko a tiaki bango.

De tte facon, ns n'avaliserons pas votre repentir de circonstance: Koffi, Kalombo, mapngi na beto kimbuta,...
j'ai pas oublie rwakanisigize et ruberwa

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Message  Jim KK 18/11/2014, 8:51 am

C´est son droit de quitter ou de rester dans la majorité!!! Suspect Suspect Suspect

Mais que vaut Jean Claude Muyambo dans la majorité? Rolling Eyes  Rolling Eyes  Rolling Eyes

Combien de députés a t-il dans la majorité?? Rolling Eyes  Rolling Eyes  Rolling Eyes

C´est une tempête dans un verre d'eau Arrow Arrow Arrow Arrow

Jim KK


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Message  mongo elombe 18/11/2014, 10:08 am

Il n'est plus bâtonnier depuis une dizaines d'années.

Comme l'écrit voisin4 opposant de circonstance parcequ'on lui a refusé un voyage et il ose parler de démocratie.

Vraiment nos politiques font honte si on ne le lui avait pas refusé le voyage, il y serait encore...
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Message  Hiro-Hito 18/11/2014, 6:17 pm

Perso, Je me demande si Kabila avait encore du tps a la tete du pays, Muyambo n'allait pas faire trop de bruits coe il le fait maintenant pour demander le depart de Kabila. Peut etre q l'histoire de Zoe cherchant a devenir Gouverneur ezo sala mobulu.

Neanmoins pour qlq1 coe Jim KK, au lieu de poser des questions sur ce que represente Muyambo dans la majorite (je dois rappeler qu'une majorite devient majorite a cause des individus, si on isoler Mende, Boshab etc, qcq'ils representent) j'allais dire au lieu de detourner le debat, il serait mieux de se poser des questions sur la validite de ses griefs contre ses anciens amis. Nous sommes neanmoins content qu'il se rendent compte aujourd'hui (seulement qd ca brule chez soi, qd c'etait chez le voisin...) qu'il y a une dictature, apres les Kudura, Kamerhe...




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Message  ndonzwau 18/11/2014, 7:43 pm

"Muyambo dit adieu à la "ferme de Kingakati". Une première.
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=9423
La ferme de Kingakati est ce «ranch» situé à 80 kilomètres de Kinshasa où «Joseph Kabila» a l’habitude de réunir les «manitous» de sa mouvance dite «Majorité présidentielle» (MP) pour cogiter sur les intérêts de l’oligarchie en place. Devenu opposant, Muyambo n’y sera plus invité. Le problème? Depuis le mois de juin 2013, un seul sujet occupe les esprits : la révision constitutionnelle. Les proches de «Kabila» ne parlent plus que de ça. L’intéressé, lui, n’a jamais pris position en public. Au grand dam de l’opinion. Un silence qui ne trompe personne sur le "rêve" du locataire du Palais de la Nation de briguer un troisième mandat. Le 30 août dernier, à la surprise générale, Jean-Claude Muyambo Kyassa (JCMK), président du parti «Scode» (Solidarité congolaise pour la démocratie et le développement), créait l’événement en annonçant l’hostilité de sa formation politique à toute modification de la charte fondamentale. «Il n’a jamais été question dans nos engagements que le président Kabila brigue un troisième mandat, dit-il. En 2016, il faut qu’il y ait l’alternance». Une prise de position accueillie comme une "déclaration de guerre" du fait notamment de la symbolique. Natif de la province du Katanga laquelle passe, à tort ou à raison, pour le «fief» du « raïs », Muyambo n’est donc pas n’importe qui. Pire, c’est la première fois que le pouvoir kabiliste est "défié" dans son «environnement naturel». Le «clan» accuse des fissures à un moment crucial. Samedi 15 novembre, «JCMK» est revenu à la charge en claquant purement et simplement la porte de la majorité. En cause, l’interdiction, par les autorités du Kasaï Oriental, d’un meeting qu’il devait animer à Mbuji Mayi. Dimanche 16 novembre, le très bouillant président de Scode a répondu à quelques questions de Congo Indépendant depuis Lubumbashi. Entretien.

"Exhorter la population de Mbuji-Mayi à rejeter toute idée de révision constitutionnelle". "Exiger de la Commission électorale nationale indépendante la publication d’un calendrier électoral global". Ce sont les deux messages fondamentaux que le président de Scode escomptait décliner devant les militants de son parti à Mbuji-Mayi. Le voyage n’a pas eu lieu. Les autorités provinciales du Kasaï Oriental ont interdit l’atterrissage de l’avion qui transportait la délégation venue de l’ex-capitale du cuivre. La suite est connue : cette formation politique a décidé de quitter la "Majorité présidentielle".
Soixante-douze heures après ce coup de gueule de Jean-Claude Muyambo Kyassa, le pouvoir kabiliste se fait discret. Une "sagesse" pour le moins inhabituelle. Le ministre des Médias, Lambert Mende Omalanga, qui affectionne la posture d’«aboyeur de la République» est aphone. Il a sans doute besoin de quelques "pastilles" pour soigner sa gorge. Une «riposte foudroyante» serait-elle en préparation dans le camp présidentiel? Les «sages» de la «MP» auraient-ils convaincu les «durs» du régime de laisser passer l’ouragan afin de «banaliser» la prise de position de l’enfant terrible du Katanga ? Deux questions qui restent sans réponse. Pour l’instant. Reste que c’est un sacré pavé que Muyambo a jeté dans la mare du « clan kabiliste ». Sans vouloir jouer au devin, on peut gager que plus rien ne sera comme avant. Le "rais" est nu!

"Compaoré a quitté le pouvoir par la petite porte...

A Lubumbashi, «JCMK» ne trouve pas des mots assez durs pour fustiger ses «ex-amis» de la majorité. Inutile de dire que l’ombre de «Joseph Kabila» est constamment en filigrane. Et ce, même si le locuteur clame "n’avoir rien contre le chef de l’Etat".
In tempore non suspecto, le président de Scode avait critiqué le projet du président Blaise Compaoré de modifier l’article 37 de la Constitution du Burkina Faso pour lui permettre de briguer un cinquième mandat. «C’est un conseil que je voulais donner au président Blaise Compaoré, dit-il. Je me demande aujourd’hui s’il avait de bons collaborateurs autour de lui. Je constate que l’ancien président avait préféré écouter les faucons de son entourage. Le résultat est là : il a quitté le pouvoir par la petite porte. Compaoré a eu tort de n’avoir pas compris qu’un vent nouveau souffle en Afrique et qu’il devait se contenter de terminer son mandat en décembre 2015».

Pour Muyabo, la chute de Compaoré est un message adressé autres dirigeants africains incapables de résister à la tentation de s’accrocher au pouvoir. « Si la modification de la Constitution avait réussi au Burkina, les autres dirigeants du continent allaient considérer ce fait comme un incitant pour agir dans le même sens», souligne l’ancien bâtonnier du barreau de Lubumbashi avant de revenir sur la position qu’il a exprimée le 30 août contre la modification de la loi fondamentale au Congo-Kinshasa. Cette annonce traduit-elle l’opinion générale au Katanga comme l’avait écrit un journal local ? Pour l’avocat lushois, le refus de l’amendement des articles de la Constitution procède d’un sentiment général qui prévaut non seulement au Sud mais aussi au Nord, à l’Est et à l’Ouest du pays. «Tout le monde dit non à la révision constitutionnelle, c’est ça la vérité », dit-il. Et d’ajouter : « Des membres du gouvernement dépêchés dans l’arrière-pays pour sensibiliser la population sur l’idée de révision constitutionnelle sont rentrés bredouilles sans obtenir l’adhésion populaire ». « Pourquoi n’ont-ils pas eu le courage de dire la vérité au Chef ?», s’est-il interrogé en soulignant que la position prise par son parti procède de la "volonté populaire".

Pour amener Muyambo à expliciter sa pensée, il n’était pas sans intérêt de lui demander si l’opposition à la modification de la Constitution découle de l’interdiction contenue dans les articles 70 et 220 ou plutôt des déceptions du fait des promesses non tenues par «Joseph Kabila»? Réponse : «Il y a tout d’abord l’interdiction contenue dans la Constitution. Il y a ensuite la misère totale. Les gens ne mangent pas à leur faim. Trouvez-vous normal qu’il y ait des localités où la population ne peut même pas avoir du savon et du sel ?». «Le président Kabila a fait ce qu’il pouvait faire, poursuit-il. Il a arrangé des routes. Il a construit des hôpitaux. Mais, il n’a jamais été question dans notre engagement qu’il puisse briguer un troisième mandat. Il appartenait à la majorité présidentielle de désigner un candidat à la présidentielle de 2016. Dans le cas contraire, je considère qu’il s’agit d’une conspiration contre le peuple». Rolling Eyes Rolling Eyes Rolling Eyes

Le peuple congolais mange par « délestage »

Jean-Claude Muyambo se serait-il exprimé avec la même intransigeance s’il était encore aux affaires ? «Le problème n’est pas là, tonne-t-il. Dès que j’ai commencé à faire savoir mon opposition à la révision constitutionnelle, j’ai été contacté pour entrer au gouvernement. Je peux vous assurer que l’entrée dans l’exécutif n’a jamais été dans mes calculs. Je suis devenu ministre en 2007 grâce à feu Guillaume Samba Kaputo. Il est temps qu’on change les mœurs politiques dans ce pays. Il est temps également que les hommes politiques apprennent à dire la vérité et à se mettre du côté de la population». Il poursuit : «Pour moi, il est immoral que je puisse manger trois fois par jour, alors que la population mange par délestage. A midi, papa et quelques enfants passent à table ; le soir ou le lendemain c’est le tour de la maman et d’autres enfants de manger...».
Dans ses déclarations liminaires, « JCMK » a annoncé son entrée dans l’opposition. Peut-on devenir un opposant crédible après avoir appartenu à la majorité présidentielle durant une dizaine d’années ? Réponse : «Mon opposition ne date pas d’aujourd’hui. Tout en étant membre de la majorité, j’avais l’habitude de formuler des critiques. Je n’ai pas été entendu».

Revenant sur l’incident survenu le samedi 15 novembre, il raconte : «J’ai été particulièrement choqué par ce que j’ai vécu le samedi. En ma qualité de membre de la majorité présidentielle, j’ai introduit ma requête le 4 octobre à la mairie de Mbuji-Mayi pour tenir une matinée politique. J’ai reçu une réponse positive. J’ai même payé les frais exigés. Quatre jours avant la manifestation, le maire adjoint a le culot de me signifier l’impossibilité de tenir ce meeting. Au motif qu’il y avait un problème de bandits armés dans la ville. Selon la Constitution, les organisateurs d’une manifestation publique doivent informer les autorités compétentes. Ce qui a été fait. Notre parti était prêt à prendre en charge le maintien de l’ordre.» «Je ne peux en aucun cas accepter cette façon de se comporter. Voilà pourquoi j’ai décidé de quitter la majorité ».

"Moïse Katumbi est mon frère"

Quel est le message qu’il comptait transmettre aux habitants de Mbuji-Mayi ? La réponse tombe comme un couperet : « J’avais deux messages. Primo : refuser toute modification de la Constitution pour éviter au pays de sombrer dans le chaos. Secundo : exiger de la Commission électorale nationale indépendante la publication du "calendrier global" des élections ». Pour Muyambo, ce n’est qu’à ces deux conditions que le Congo-Kinshasa "pourra éviter" ce qui s’est passé au Burkina Faso.
Lors de sa prise de position le 30 août, "JCMK" avait laissé entendre que plusieus autres personnalités allaient lui emboiter le pas. Trois mois après, rien ne s’est passé. C’est le silence plat. Ne se sent-il pas «un peu seul» ? «Pas du tout, dit-il. Le temps va me donner raison». Quel est l’état de ses relations avec le gouverneur de la Province du Katanga Moïse Katumbi Chapwe ? «Le gouverneur Katumbi est avant tout mon frère, dit-il. Certes, nous avons eu quelques différends comme cela arrive dans toutes les familles. Ces problèmes appartiennent désormais au passé. Rolling Eyes Rolling Eyes Sur le plan politique, je suis désormais dans l’opposition alors que lui est au pouvoir». A-t-il des nouvelles de «Moïse» ? Réponse sans fioritures : «Il a eu des ennuis de santé. Il a été empoisonné. Je ne suis pas en mesure de vous dire qui a voulu attenter à sa vie. D’ailleurs votre journal a parlé d’empoisonnement. Pour le moment, le gouverneur Katumbi reçoit des soins à l’étranger. Aux dernières nouvelles, il va mieux ». Ces informations émanent-elles de sources crédibles ? Il conclut : « Je vous dis que Moïse Katumbi est mon frère… »"



"L’humeur du moment"
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=9421
Deux semaines après la chute du Burkinabé Blaise Compaoré, des voix s’élèvent non seulement parmi les proches de celui-ci mais aussi au sein de l’opposition pour dire que le chef d’Etat déchu - dont le mandat devait s’achever en décembre 2015 - avait perdu le contact avec le "Burkina profond". Aussi, n’avait-il plus la capacité de prendre la température de ce que les spécialistes en communication appellent "l’humeur du moment".
C’est quoi donc l’humeur du moment? L’humeur du moment n’est rien d’autre que les "attentes" de la population. Des attentes qu’il faut analyser en termes de "préoccupations" ou de "vrais problèmes" qui sont au centre des soucis quotidiens des citoyens. (...)"



Compatriotiquement!

ndonzwau


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Message  djino 18/11/2014, 8:21 pm

Laughing Laughing Laughing Laughing Laughing Laughing

Ah les Congolais , toujours dans l'émotion Very Happy Very Happy Very Happy  Mais pas dans la raison Very Happy Very Happy Very Happy Very Happy

Combien de MUYAMBO compte l'opposition dite Républicaine à ce Jour ?

Combien de dissidents de la "Majorité" sont venus gonfler "l'opposition" dite Républicaine depuis l’avènement de JOSEPH et pour quel résultat Very Happy Very Happy Very Happy

Very Happy Very Happy Very Happy Very Happy  Kala té Francis KALOMBO na RUBERWA pé akokoma Opposant Very Happy Very Happy Very Happy Very Happy Very Happy Very Happy

djino


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Message  GHOST 18/11/2014, 11:29 pm

Rolling Eyes ..MUYAMBO...AU KATANGA

Quel est le "poids" politique de Muyambo au Katanga? C´est la bonne question qu il faut se poser...surtout de la part de mr Jim Like a Star @ heaven Like a Star @ heaven

Mama Mongo, Muyambo a été ..remarquable dans ses speech sur la revision ou le changement de la Constitution Like a Star @ heaven Like a Star @ heaven Pire, il a eu le "soutien" des étudiants de l´UNILU...et des katangais....avant de continuer sa campagne en Afrique du Sud où il s´est exprimé devant les hommes d´affaires et...des dirigeants de l´ANC What a Face What a Face ..Ce n´est pas un simple vol dans un avion...qui ferait de lui un "opposant"...quand certains dans la majorité se cachent soigneusement avant d´exprimer leur refus de voir Kanambe rester au pouvoir Like a Star @ heaven


Mr Djino "l´opposition" n´est pas un "club" privé où certains congolais ont reservés des places et possedent une sorte de monopole Razz N´importe quel membre de la fameuse "majorité" peut passer á l´opposition et devenir un opposant Embarassed Embarassed Exclamation
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Message  Mwana Ya Lola 19/11/2014, 9:49 am

Je me souviens encore de ce MUYAMBO qui avait fait tout un scandale il y a quelques mois à peine à l'aéro de L'Shi parce qu'on avait refusé que son Excellence entre dans un avion de ligne avec un garde armé d'un AK 47.

Mwana Ya Lola


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Message  until 19/11/2014, 10:52 am

Eza kaka miso makasi, ndoki té.
C’est ça le système democratic congolais.
Le type prend une très grande décision en plein vol d’avion, d’une manière brusk et non réfléchie, il dit « je kite la mouvance etc. » !!! Il n’a eu besoin d’aucun conseil de ses conseillers, il n’a eu besoin de consulter personne du comité directeur de son parti politik personnel ou familial !!!!

Kel democratie est-ce dans ce pays?
Des gens comme muilambo ou encore
Des tolards ki commandent, les hommes libres, depuis leurs trous à rats
Des malades irremplaçables etc.
Non, ces chefs de partis affairistes appelés à tort "politik" n’ont aucune conscience de la démocratie


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ndonzwau a écrit:
"Muyambo dit adieu à la "ferme de Kingakati". Une première.
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=9423
La ferme de Kingakati est ce «ranch» situé à 80 kilomètres de Kinshasa où «Joseph Kabila» a l’habitude de réunir les «manitous» de sa mouvance dite «Majorité présidentielle» (MP) pour cogiter sur les intérêts de l’oligarchie en place. Devenu opposant, Muyambo n’y sera plus invité. Le problème? Depuis le mois de juin 2013, un seul sujet occupe les esprits : la révision constitutionnelle. Les proches de «Kabila» ne parlent plus que de ça. L’intéressé, lui, n’a jamais pris position en public. Au grand dam de l’opinion. Un silence qui ne trompe personne sur le "rêve" du locataire du Palais de la Nation de briguer un troisième mandat. Le 30 août dernier, à la surprise générale, Jean-Claude Muyambo Kyassa (JCMK), président du parti «Scode» (Solidarité congolaise pour la démocratie et le développement), créait l’événement en annonçant l’hostilité de sa formation politique à toute modification de la charte fondamentale. «Il n’a jamais été question dans nos engagements que le président Kabila brigue un troisième mandat, dit-il. En 2016, il faut qu’il y ait l’alternance». Une prise de position accueillie comme une "déclaration de guerre" du fait notamment de la symbolique. Natif de la province du Katanga laquelle passe, à tort ou à raison, pour le «fief» du « raïs », Muyambo n’est donc pas n’importe qui. Pire, c’est la première fois que le pouvoir kabiliste est "défié" dans son «environnement naturel». Le «clan» accuse des fissures à un moment crucial. Samedi 15 novembre, «JCMK» est revenu à la charge en claquant purement et simplement la porte de la majorité. En cause, l’interdiction, par les autorités du Kasaï Oriental, d’un meeting qu’il devait animer à Mbuji Mayi. Dimanche 16 novembre, le très bouillant président de Scode a répondu à quelques questions de Congo Indépendant depuis Lubumbashi. Entretien.

"Exhorter la population de Mbuji-Mayi à rejeter toute idée de révision constitutionnelle". "Exiger de la Commission électorale nationale indépendante la publication d’un calendrier électoral global". Ce sont les deux messages fondamentaux que le président de Scode escomptait décliner devant les militants de son parti à Mbuji-Mayi. Le voyage n’a pas eu lieu. Les autorités provinciales du Kasaï Oriental ont interdit l’atterrissage de l’avion qui transportait la délégation venue de l’ex-capitale du cuivre. La suite est connue : cette formation politique a décidé de quitter la "Majorité présidentielle".
Soixante-douze heures après ce coup de gueule de Jean-Claude Muyambo Kyassa, le pouvoir kabiliste se fait discret. Une "sagesse" pour le moins inhabituelle. Le ministre des Médias, Lambert Mende Omalanga, qui affectionne la posture d’«aboyeur de la République» est aphone. Il a sans doute besoin de quelques "pastilles" pour soigner sa gorge. Une «riposte foudroyante» serait-elle en préparation dans le camp présidentiel? Les «sages» de la «MP» auraient-ils convaincu les «durs» du régime de laisser passer l’ouragan afin de «banaliser» la prise de position de l’enfant terrible du Katanga ? Deux questions qui restent sans réponse. Pour l’instant. Reste que c’est un sacré pavé que Muyambo a jeté dans la mare du « clan kabiliste ». Sans vouloir jouer au devin, on peut gager que plus rien ne sera comme avant. Le "rais" est nu!

"Compaoré a quitté le pouvoir par la petite porte...

A Lubumbashi, «JCMK» ne trouve pas des mots assez durs pour fustiger ses «ex-amis» de la majorité. Inutile de dire que l’ombre de «Joseph Kabila» est constamment en filigrane. Et ce, même si le locuteur clame "n’avoir rien contre le chef de l’Etat".
In tempore non suspecto, le président de Scode avait critiqué le projet du président Blaise Compaoré de modifier l’article 37 de la Constitution du Burkina Faso pour lui permettre de briguer un cinquième mandat. «C’est un conseil que je voulais donner au président Blaise Compaoré, dit-il. Je me demande aujourd’hui s’il avait de bons collaborateurs autour de lui. Je constate que l’ancien président avait préféré écouter les faucons de son entourage. Le résultat est là : il a quitté le pouvoir par la petite porte. Compaoré a eu tort de n’avoir pas compris qu’un vent nouveau souffle en Afrique et qu’il devait se contenter de terminer son mandat en décembre 2015».

Pour Muyabo, la chute de Compaoré est un message adressé autres dirigeants africains incapables de résister à la tentation de s’accrocher au pouvoir. « Si la modification de la Constitution avait réussi au Burkina, les autres dirigeants du continent allaient considérer ce fait comme un incitant pour agir dans le même sens», souligne l’ancien bâtonnier du barreau de Lubumbashi avant de revenir sur la position qu’il a exprimée le 30 août contre la modification de la loi fondamentale au Congo-Kinshasa. Cette annonce traduit-elle l’opinion générale au Katanga comme l’avait écrit un journal local ? Pour l’avocat lushois, le refus de l’amendement des articles de la Constitution procède d’un sentiment général qui prévaut non seulement au Sud mais aussi au Nord, à l’Est et à l’Ouest du pays. «Tout le monde dit non à la révision constitutionnelle, c’est ça la vérité », dit-il. Et d’ajouter : « Des membres du gouvernement dépêchés dans l’arrière-pays pour sensibiliser la population sur l’idée de révision constitutionnelle sont rentrés bredouilles sans obtenir l’adhésion populaire ». « Pourquoi n’ont-ils pas eu le courage de dire la vérité au Chef ?», s’est-il interrogé en soulignant que la position prise par son parti procède de la "volonté populaire".

Pour amener Muyambo à expliciter sa pensée, il n’était pas sans intérêt de lui demander si l’opposition à la modification de la Constitution découle de l’interdiction contenue dans les articles 70 et 220 ou plutôt des déceptions du fait des promesses non tenues par «Joseph Kabila»? Réponse : «Il y a tout d’abord l’interdiction contenue dans la Constitution. Il y a ensuite la misère totale. Les gens ne mangent pas à leur faim. Trouvez-vous normal qu’il y ait des localités où la population ne peut même pas avoir du savon et du sel ?». «Le président Kabila a fait ce qu’il pouvait faire, poursuit-il. Il a arrangé des routes. Il a construit des hôpitaux. Mais, il n’a jamais été question dans notre engagement qu’il puisse briguer un troisième mandat. Il appartenait à la majorité présidentielle de désigner un candidat à la présidentielle de 2016. Dans le cas contraire, je considère qu’il s’agit d’une conspiration contre le peuple». Rolling Eyes  Rolling Eyes  Rolling Eyes

Le peuple congolais mange par « délestage »

Jean-Claude Muyambo se serait-il exprimé avec la même intransigeance s’il était encore aux affaires ? «Le problème n’est pas là, tonne-t-il. Dès que j’ai commencé à faire savoir mon opposition à la révision constitutionnelle, j’ai été contacté pour entrer au gouvernement. Je peux vous assurer que l’entrée dans l’exécutif n’a jamais été dans mes calculs. Je suis devenu ministre en 2007 grâce à feu Guillaume Samba Kaputo. Il est temps qu’on change les mœurs politiques dans ce pays. Il est temps également que les hommes politiques apprennent à dire la vérité et à se mettre du côté de la population». Il poursuit : «Pour moi, il est immoral que je puisse manger trois fois par jour, alors que la population mange par délestage. A midi, papa et quelques enfants passent à table ; le soir ou le lendemain c’est le tour de la maman et d’autres enfants de manger...».
Dans ses déclarations liminaires, « JCMK » a annoncé son entrée dans l’opposition. Peut-on devenir un opposant crédible après avoir appartenu à la majorité présidentielle durant une dizaine d’années ? Réponse : «Mon opposition ne date pas d’aujourd’hui. Tout en étant membre de la majorité, j’avais l’habitude de formuler des critiques. Je n’ai pas été entendu».

Revenant sur l’incident survenu le samedi 15 novembre, il raconte : «J’ai été particulièrement choqué par ce que j’ai vécu le samedi. En ma qualité de membre de la majorité présidentielle, j’ai introduit ma requête le 4 octobre à la mairie de Mbuji-Mayi pour tenir une matinée politique. J’ai reçu une réponse positive. J’ai même payé les frais exigés. Quatre jours avant la manifestation, le maire adjoint a le culot de me signifier l’impossibilité de tenir ce meeting. Au motif qu’il y avait un problème de bandits armés dans la ville. Selon la Constitution, les organisateurs d’une manifestation publique doivent informer les autorités compétentes. Ce qui a été fait. Notre parti était prêt à prendre en charge le maintien de l’ordre.» «Je ne peux en aucun cas accepter cette façon de se comporter. Voilà pourquoi j’ai décidé de quitter la majorité ».

"Moïse Katumbi est mon frère"

Quel est le message qu’il comptait transmettre aux habitants de Mbuji-Mayi ? La réponse tombe comme un couperet : « J’avais deux messages. Primo : refuser toute modification de la Constitution pour éviter au pays de sombrer dans le chaos. Secundo : exiger de la Commission électorale nationale indépendante la publication du "calendrier global" des élections ». Pour Muyambo, ce n’est qu’à ces deux conditions que le Congo-Kinshasa "pourra éviter" ce qui s’est passé au Burkina Faso.
Lors de sa prise de position le 30 août, "JCMK" avait laissé entendre que plusieus autres personnalités allaient lui emboiter le pas. Trois mois après, rien ne s’est passé. C’est le silence plat. Ne se sent-il pas «un peu seul» ? «Pas du tout, dit-il. Le temps va me donner raison». Quel est l’état de ses relations avec le gouverneur de la Province du Katanga Moïse Katumbi Chapwe ? «Le gouverneur Katumbi est avant tout mon frère, dit-il. Certes, nous avons eu quelques différends comme cela arrive dans toutes les familles. Ces problèmes appartiennent désormais au passé. Rolling Eyes  Rolling Eyes Sur le plan politique, je suis désormais dans l’opposition alors que lui est au pouvoir». A-t-il des nouvelles de «Moïse» ? Réponse sans fioritures : «Il a eu des ennuis de santé. Il a été empoisonné. Je ne suis pas en mesure de vous dire qui a voulu attenter à sa vie. D’ailleurs votre journal a parlé d’empoisonnement. Pour le moment, le gouverneur Katumbi reçoit des soins à l’étranger. Aux dernières nouvelles, il va mieux ». Ces informations émanent-elles de sources crédibles ? Il conclut : « Je vous dis que Moïse Katumbi est mon frère… »"



"L’humeur du moment"
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=9421
Deux semaines après la chute du Burkinabé Blaise Compaoré, des voix s’élèvent non seulement parmi les proches de celui-ci mais aussi au sein de l’opposition pour dire que le chef d’Etat déchu - dont le mandat devait s’achever en décembre 2015 - avait perdu le contact avec le "Burkina profond". Aussi, n’avait-il plus la capacité de prendre la température de ce que les spécialistes en communication appellent "l’humeur du moment".
C’est quoi donc l’humeur du moment? L’humeur du moment n’est rien d’autre que les "attentes" de la population. Des attentes qu’il faut analyser en termes de "préoccupations" ou de "vrais problèmes" qui sont au centre des soucis quotidiens des citoyens. (...)"



Compatriotiquement!

until


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Message  King David 19/11/2014, 2:34 pm

Opposition, nom féminin
Sens 1 Rapport entre deux choses, deux personnes qui s'opposent. Synonyme affrontement Anglais opposition
Sens 2 Résistance à quelque chose, à quelqu'un. Synonyme affrontement Anglais opposition
Sens 3 Ensemble des adversaires d'un gouvernement [Politique].
Sens 4 Obstacle légal à une décision, un jugement [Droit]. Synonyme veto

opposition : 35 synonymes.
Synonymes affrontement, antagonisme, antinomie, antithèse, choc, combat, conflit, contestation, contradiction, contraste, désaccord, désobéissance, difficulté, dissension, dissentiment, dissidence, dissonance, divergence, division, divorce, duel, éloignement, heurt, hostilité, incompatibilité, minorité, objection, protestation, rébellion, refus.

http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/opposition/

Tout celui qui s'oppose à quelqu'un, à quelque chose devient opposant vis-à-vis de cette personne/chose.
Étienne Tshisekedi, alors qu'il était presque au sommet de l'État (Fondateur du Parti-État), s'était vu refusé (si mes souvenirs sont bons) le poste de Président de l'Assemblée Nationale au profit de Nzondomyo. Il est devenu par la suite opposant;

Vital Kamehere, alors Président de l'Assemblée Nationale, raconte qu'il n'avait pas été informé de l'entrée des troupes rwandaises en RDC avec l'autorisation du gouvernement, il s'y est opposé et est présentement opposé au gouvernement congolais;

L'Opposition n'est donc pas un club privé où il y a un standard pour y adhérer.
En France par exemple, l'UMP et le FN pour ne citer que ces deux partis, sont dans l'Opposition mais les deux n'ont pas la même plateforme.
Comme en RDC, rien ne dit que Opposition = UDPS. Il peut y avoir plusieurs plateformes dans une opposition et quitte à elles à former des alliances.
Quelque soit le passé de Muyambo, il dit qu'il a quitté la Majorité de Kabila, par le fait même, il s'y oppose à la réélection de ce dernier, il s'oppose à lui. Il est opposant, sinon il n'y aura aucun opposant car tous auront servi d'une manière ou d'une autre, le pouvoir établi.
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Message  Admin 19/11/2014, 4:33 pm

King David, je suis heureux que tu livres ici la définition du mot OPPOSITION car à lire certains frères et sœurs ici, on a l’impression que pour beaucoup l'opposition est un PARTI POLITIQUE ou une PLATEFORME regroupant des partis.
Non l'opposition est simplement le fait de s'opposer.
Donc Muyambo en s'opposant à Kabila et sa mouvance est véritablement en opposition comme Tshisekedi l'a été après s’être vu refusé la tête du parlement bien que le poste lui revenait alors qu'il était vice-président du parlement.

Maintenant on peut ne pas vouloir de Muyambo dans un regroupement ou un parti mais ce dernier reste dans son propre parti et est libre de s'opposer à Kabila.

Diomi Ndongala par exemple est un allié à l'Udps aujourd'hui, mais à Sun City il s'était opposé
à Tshisekedi pour se retrouver aux coté de Zahidi Ngoma et devenir son ministre dans le gouvernement de cohabitation avec pour Kabila comme président. Aujourd'hui Diomi est dans l'opposition.

Martin Fayulu s'était opposé au candidat de l'opposition Adam Bombole pour le poste de gouverneur de Kinshasa en soutenant Andre Kimbuta le candidat du PPRD, aujourd'hui Fayulu est dans l'opposition.
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Message  Ricky Gabrino 19/11/2014, 8:39 pm

Ndeko Admin, Je pense que les gens remettent en question la crédibilité des oppossants dès lors que les raisons qui les poussent á s'opposer sont beaucoup plus d'ordre personel qu'idéologique.

En polique , l'opposition se defini comme suite:


Toupictionnaire a écrit:En politique, l'opposition désigne l'ensemble des mouvements et partis qui s'opposent aux forces politiques détenant le pouvoir. Dans un régime représentatif (avec un parlement élu les citoyens), l'opposition est l'ensemble des partis qui n'appartiennent pas à la majorité parlementaire ou à la coalition au pouvoir.

Elément essentiel du pluralisme démocratique, l'opposition exprime ses divergences et ses points de vue critiques par rapport à l'action du gouvernement. Elle ne peut exister que si le système politique est organisé et reconnaît ses droits. Si sa lutte est clandestine, on parle de résistance.

En démocratie, l'opposition permet aux citoyens d'être informés de manière contradictoire sur la politique conduite par le gouvernement et de leur proposer une alternative politique sur la base d'un programme qui doit être réalisable (cf. alternance).
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Message  Admin 19/11/2014, 8:57 pm

Ricky Gabrino a écrit:Ndeko Admin, Je pense que les gens remettent en question la crédibilité des oppossants dès lors que les raisons qui les poussent á s'opposer sont beaucoup plus d'ordre personel qu'idéologique.

En polique , l'opposition se defini comme suite:


Toupictionnaire a écrit:En politique, l'opposition désigne l'ensemble des mouvements et partis qui s'opposent aux forces politiques détenant le pouvoir. Dans un régime représentatif (avec un parlement élu les citoyens), l'opposition est l'ensemble des partis qui n'appartiennent pas à la majorité parlementaire ou à la coalition au pouvoir.

Elément essentiel du pluralisme démocratique, l'opposition exprime ses divergences et ses points de vue critiques par rapport à l'action du gouvernement. Elle ne peut exister que si le système politique est organisé et reconnaît ses droits. Si sa lutte est clandestine, on parle de résistance.

En démocratie, l'opposition permet aux citoyens d'être informés de manière contradictoire sur la politique conduite par le gouvernement et de leur proposer une alternative politique sur la base d'un programme qui doit être réalisable (cf. alternance).
Je comprends ça ndeko Ricky Gabrino

Je reprends cette définition que tu viens de poster

En politique, l'opposition désigne l'ensemble des mouvements et partis qui s'opposent aux forces politiques détenant le pouvoir. Dans un régime représentatif (avec un parlement élu les citoyens), l'opposition est l'ensemble des partis qui n'appartiennent pas à la majorité parlementaire ou à la coalition au pouvoir.

Je crois que dans la situation qui nous préoccupe dans ce topic, ce Mr remplit les conditions Wink
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Message  KOTA 19/11/2014, 9:00 pm

Cher Admin,

vous relatez d une manière imprécise l histoire de la désignation du vice-président de l opposition à  l'époque du Dialogue Intercongolais.

Le Président Diomi Ndongala a soutenu l élection de la part de la composante opposition politique d Etienne Tshisekedi au point qu il était arrivé à bloquer cette désignation afin de convaincre Tshisekedi de se présenter à la réunion des Leaders de l opposition devant designer le vice président qui aurait du représenter cette composante du Dialogue dans l espace présidentiel.

Tshisekedi refusa de se présenter. La désignation fut renvoyée à plusieurs reprises à la demande de Diomi Ndongala, qui était à la tête de la plateforme Front pour la Survie de la Démocratie - Démocratie Chrétienne.

Diomi Ndongala a boycotté l élection du vice président représentant l opposition dans l espace présidentiel une fois que Tshisekedi manifesta son refus de se présenter à cette désignation. Eugène DIOMI NDONGALA n a jamais désigné Zahidi Ngoma comme représentant de l opposition non armée dans l espace présidentiel. Il était absent le jour de la désignation.


Entre DC et UDPS il n y avait pas d alliance car la Démocratie Chrétienne membre du FSD-DC, n était pas d accord avec l alliance ASD entre le RCD Goma et l'Udps et son opposition envers la composante armée fut  bien argumentée dans son discours de politique Général au Dialogue Intercongolais dont voici le lien:

http://democratiechretienne.org/2014/11/06/12-ans-apres-la-declaration-de-politique-generale-de-diomi-ndongala-au-dialogue-intercongolais-est-toujours-prophetiquement-dactualite/

Voilà démontré que même s il suffit de s'opposer pour se dire opposant - selon la définition littérale du terme -  la crédibilité du combat d une personnalité politique est évalué dans le long terme et par la cohérence de ses prises de position


Bien chez-vous

********************************
DEVOIR DE MEMOIRE
********************************
12 ANS APRES, LA DECLARATION DE POLITIQUE GENERALE DE DIOMI NDONGALA AU DIALOGUE INTERCONGOLAIS EST TOUJOURS PROPHETIQUEMENT D’ACTUALITE


DEVOIR DE MEMOIRE :
[size=32]DECLARATION DE POLITIQUE GENERALE
[/size] FRONT POUR LA SURVIE DE LA DEMOCRATIE-DEMOCRATIE CHRETIENNE ,
F.S.D/DC




ADRESSE DU COORDONNATEUR DU F.S.D
EUGENE DIOMI NDONGALA NZOMAMBU
A LA PLENIERE DU DIALOGUE INTERCONGOLAIS 
SUN CITY
AFRIQUE DU SUD, 8 MARS 2002

Excellence Monsieur le Facilitateur du Dialogue Inter Congolais,
Chers Compatriotes,

En ce jour historique pour le Congo, au nom de tous les délégués du FRONT POUR LA SURVIE DE LA DEMOCRATIE-DEMOCRATIE CHRETIENNE, je me fait le devoir de me joindre à vous tous pour souhaiter la pleine réussite de ce FORUM POLITIQUE SOUVERAIN représentatif de la nation congolaise toute entière.


Particulièrement, je tiens à remercier son Excellence Monsieur Tabou MBEKI, Président de la République d’Afrique du Sud, son Gouvernement et le grand peuple Sud Africain, pour l’hospitalité qu’ils offrent au Dialogue Inter Congolais et pour leur disponibilité à œuvrer pour la paix en Afrique Centrale.
Egalement, il est de mon devoir de féliciter Son Excellence Ketumile MASIRE et son bureau pour l’énorme travail abattu en vue de l’organisation des négociations politiques Inter Congolaises.
Conscients de leur part de responsabilité face à l’avenir du Congo, les délégués du FSD aux assises du Dialogue Inter Congolais renouvellent, à cette occasion, leur engagement d’œuvrer pour l’avènement  de la paix durable  et de la Démocratie pluraliste et représentative dans notre pays, le Congo,  qui depuis 1996 est secoué par l’enchainement de conflits armés on ne peut plus sanglants et humiliants pour la NATION Congolaise toute entière. La  crise multiforme que connaît notre pays est aussi due au fait que les congolais ont refusé de dialoguer.


Ceux qui détiennent le pouvoir par la force des armes et sans mandat formel, ont toujours évité tout débat sérieux  avec ceux qui s’opposent à leur politique.

C’est ainsi que depuis 1960, le couple POUVOIR – OPPOSITION  n’a jamais harmonieusement  travaillé dans l’intérêt suprême du peuple congolais.


C’est ainsi que, de leur côté, les gouvernés ne se sont jamais sentis conscientisés et interpellés par la manière dont le Congo a été géré, laissant, de ce fait, les dirigeants autoproclamés détruire notre patrimoine commun.
Sans que cela ne soit une excuse pour ses instigateurs, la guerre  actuelle ne serait donc qu’une conséquence tragique de cette conception  « FEODALE  » du pouvoir d’Etat et d’une carence chronique de LEGITIMATION DU POUVOIR.


Faut – il rappeler que le blocage du processus de démocratisation coïncide avec l’avènement du régime AFDL?

C’est pourquoi, le FSD  estime qu’il est nécessaire de relancer le processus de démocratisation  et s’atteler immédiatement  à soigner les maux chroniques qui frappent notre société:
le tribalisme, la corruption à grande échelle, les agissements  les mentalités contraires au développement et la négation du droit à la libre expression politique.
Fondé et entré en action en plein régime d’interdiction des activités politiques, le FRONT POUR LA SURVIE DE LA DEMOCRATIE a bravé la répression et la dictature pour revendiquer un véritable débat national devenu, grâce à l’Accord de Cessez-le feu de Lusaka, une réalité qui nous réunit en ce moment en Afrique du Sud.
Chers Compatriotes, d’autres peuples avant nous, confrontés aux mêmes difficultés, ont été capables de se réconcilier grâce à la mise en place de structures de concertation ayant abouti à la réconciliation nationale.
Dans cette optique, le FSD estime que la réconciliation national entre les fils et les filles du Congo demeure la voie obligée  à parcourir  pour arriver  à la RENAISSANCE de notre beau pays, basée sur la refondation de ses institutions étatiques et l’affirmation du droit du peuple congolais  à l’auto-détermination  sur l’ensemble du territoire national.

La tragédie des guerres congolaises d’une libération toujours factice, réside dans l’abandon à des forces étrangères alliées du contrôle d’une partie du territoire national ainsi que l’exploitation de nos ressources humaines et naturelles.
Le changement  d’ordre politique  qui est à l’ordre du jour du Dialogue Inter Congolais, permettra l’éclosion d’une véritable Démocratie Participative, à même de transformer le QUASI – ETAT  actuel en  ETAT en part entière, moderne, ouvert  aux impératifs de la  globalisation et qui ne sera plus l’OTAGE des stratégies sécuritaires des pays voisins.
ORDRE POLITIQUE NOUVEAU, parce que désormais, le pouvoir d’Etat  devra être perçu et vécu comme une charge, une responsabilité écrasante et plus jamais comme instrument de domination des masses.
Nous tous, délégués des différentes composantes du Dialogue Inter Congolais, partageons cette responsabilité commune.
Néanmoins, chers compatriotes, il nous incombe le devoir de reconnaître que le Congo présente d’autres réalités, tout aussi importantes  et qui ont rendu possible la tenue du Dialogue Inter congolais:

  • les Congolais forment une NATION UNIE  dans sa volonté de préserver l’intégrité territoriale du pays et l’inviolabilités de ses frontières;





  • les Congolais souhaitent ardemment la paix durable et un Dialogue franc, sans entrave ainsi qu’une chance de mettre en place leurs institutions politiques démocratiques, de se doter d’un gouvernement représentatif qui réalisera leur aspiration au développement économique et à la tenue d’élections libres et transparentes à brève échéance, ainsi que d’un Parlement de Transition, détenteur du pouvoir législatif, chargé de faire de la République Démocratique du Congo un Véritable Etat de droit, ayant à ses côte un magistrature indépendante.



Les éléments de la solution de la crise multidimensionnelle dont souffre le Congo sont, donc, déjà disponibles et leurs piliers fondamentaux sont les suivants:

1.le respect de l’Accord de Cessez-le feu de Lusaka et des résolutions pertinentes du Conseil de Sécurité de l’ONU;
2. la volonté politique, exprimée par les congolais, de renoncer  à la prise et à la conservation du pouvoir par la force, après une guerre meurtrière qui se terminera sans vainqueurs ni vaincus;
3.la participation active de l’opposition politique et de la société civile à l’établissement d’un NOUVEL ORDRE POLITIQUE.
Le Dialogue Inter Congolais nous offre le cadre institutionnel pour restituer à l’Etat son rôle et sa fonction de civilisation et, parallèlement,  rallumer l’espoir  du peuple congolais d’un futur meilleur.
Voilà pourquoi le FRONT POUR LA SURVIE DE LA DEMOCRATIE  prend l’engagement solennel d’entretenir les débat essentiellement sur les voies et les moyens susceptibles de restituer à l’Etat Congolais ses lettres de noblesse et au peuple congolais, son rôle fondamental de souverain primaire.
Le défi à relever est de lors double:

  •  rendre possible la PARTICIPATION EFFECTIVE DES CITOYENS  A LA GESTION DE LA RES PUBLICA;





  • RETABLIR L’AUTORITE DE L’ETAT SUR TOUTE L’ETENDUE DE LA RDC EN GARANTISSANT L’EFFECTIVITE DES RESOLUTIONS DU DIALOGUE INTER CONGOLAIS.



Et pour éviter qu’au terme de ce processus , la RDC ne devienne un îlot de Démocratie – pour laquelle nous luttons – entouré de régimes totalitaires dont la politique  REPRESSIVE exercée sur leurs oppositions continuera à déverser dans notre pays des réfugiés, des groupes armés et des conflits, il faudra exporter la culture du Dialogue au delà des frontières de la République Démocratique du Congo, cela devant faire expressément l’objet de la Conférence pour la paix en Afrique Centrale, à l’issue de laquelle il sera signé un Accord de Paix  formel entre les pays belligérants et l’Etat Congolais représenté à cet occasion, par les institutions issues du Dialogue Inter Congolais.

Ce qui est essentiel pour le FSD, c’est l’occasion historique offerte par ce Forum Politique Souverain, aussi bien aux belligérants qu’aux autres composantes sociales, de se retrouver, de se regarder les yeux dans les yeux en vue d’essayer de répondre ensemble à la seule et véritable question qui compte , à ce stade de notre histoire commune:
« QU’AVONS-NOUS FAIT ET QUE VOULONS – NOUS FAIRE DE CE GRAND ET BEAU PAYS QUI EST LE CONGO? »
C’est cela, nous semble-t-il, la finalité fondamentale du Dialogue Inter Congolais et elle exprime l’écrasante dimension de notre responsabilité envers la NATION CONGOLAISE, au service de laquelle  toutes les parties congolaises sont indistinctement appelées à œuvrer.

Cher Compatriotes,
nous tous,  dans cette salle, n’avons ni de chefs ni d’alliés militaires à qui nous devons rendre de comptes.

Que nos seules guides soient notre conscience et les intérêts supérieurs du peuple Congolais, puisqu’à la fin des travaux des assises historiques du Dialogue Inter Congolais, le seul et unique garant  des résolutions qui nous allons adopter sera le  peuple Congolais lui-même.


Que l’Eternel Très Haut bénisse le Congo.
Je vous remercie
EUGENE DIOMI NDONGALA NZOMAMBU,
COORDONNATEUR DU FSD
PRESIDENT NATIONAL DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, D.C.
KOTA
KOTA


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Message  ndonzwau 23/11/2014, 3:05 am

"Flash : Mende veut "frapper" la télévision de JC Muyambo
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=9435
Selon des sources à Kinshasa et à Lubumbashi, le ministre des Médias et porte-parole du gouvernement, Lambert Mende Omalanga, a menacé, jeudi 20 novembre, de faire suspendre la diffusion des émissions de la "RTLJ" (Radio télévision Lubumbashi "JUA") dont le siège se trouve au chef-lieu de la province du Katanga. Le propriétaire de cette chaîne n’est autre que l’avocat Jean-Claude Muyambo Kyassa qui vient de claquer la porte de la "Majorité présidentielle". Dans une intervention à la télévision d’Etat (RTNC) et à "Télé 50", Mende accuse ce média privé d’"incitation à la haine et insurrection". "Le motif invoqué par le ministre Mende est tout simplement fallacieux commente un confrère joint, vendredi, au téléphone à Lubumbashi. La véritable motivation est ailleurs". Et d’ajouter : "Depuis plusieurs semaines, la RTNJ diffuse en boucle des extraits de l’interview que Mende avait accordée le 8 mars 2014 aux journalistes Sophie Malibeau et Philippe Dessaint de TV5 Monde." A en croire ce confrère, "JUA" a particulièrement retenu le passage où Mende répond à la question de savoir si "Joseph Kabila" allait faire modifier la Constitution comme les autres chefs d’Etat africains. Pour mémoire, le ministre des Médias avait répondu comme suit : «Joseph Kabila respectera strictement ce qui est écrit dans la Constitution. Il n’y a pas plus de deux mandats consécutifs ? Il n’y aura pas plus de deux mandats consécutifs». Il ajoutait : «Je vais vous répéter ce que le Président nous a dit : En 2016, il y aura dans ce pays un passage de flambeau civilisé entre un président qui sort et un président qui entre». Philippe Dessaint répliquait : «Il y a des présidents qui ont dit ça mais au dernier moment, ils ont procédé à la modification de la Constitution… ». «Nous, c’est la République démocratique du Congo. Joseph Kabila, c’est Joseph Kabila», ripostait un Mende manifestement agacé. Il semble que c’est bien cet extrait de l’entretien qui a provoqué l’ire de "Lambert". "Mende est pris en flagrant délit de mensonge", conclut le confrère. A suivre."


"Katanga: la Radio Télé Lubumbashi Jua interdite de diffusion
° http://radiookapi.net/actualite/2014/11/22/katanga-la-radio-tele-lubumbashi-jua-interdite-de-diffusion/
La Radio Télévision Lubumbashi Jua (RTLJ), émettant à Lubumbashi (Katanga), est réduite au silence au terme d’un arrêté signé, jeudi 20 novembre, par le directeur de cabinet du ministre des Médias. Il reproche à cette entreprise audiovisuelle, appartenant à Jean-Claude Muyambo, d’«incitation à la haine et à l’insurrection». Les responsables de  la RRLJ qualifient cette décision de «politique».
Contacté, le ministre Lambert Mende précise que la suspension qui frappe la RTLJ est une mesure conservatoire pour non respect des dispositions légales de diffusion des entreprises privées du secteur audio-visuel.


D’après le ministre des Médias, il appartiendra au Conseil supérieur de l’audio-visuel et de la communication (Csac) de prendre une décision finale.
De son côté, le directeur général de la RTLJ, Guelord Mukanya, se dit surpris par cette mesure qu’il qualifie de «politique».
Il indique que cela  fait  3 ans que sa maison n’avait jamais changé sa grille de programme et il ne comprend pas pourquoi on les accuse d’incitation à la haine et à l’insurrection.
«Comment vous pouvez comprendre qu’après la réaction du bâtonnier Jean-Claude Muyambo, il y a des répercutions directes sur son entreprise. Ca ne s’explique pas. C’est une décision politique et non administrative», a dénoncé Guelord Mukanya.
Malgré cette décision ministérielle, la RTLJ continue de diffuser ses programmes. Cette mesure «conservatoire» tombe trois mois après que le ministre des Médias a interdit 61 journaux et périodiques de Kinshasa."



Compatriotiquement!

ndonzwau


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Message  ndonzwau 25/11/2014, 5:34 am

"Affaire RTLJ : des activistes de la société civile accusent Mende d’"excès de pouvoir"
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=9439
LE BATONNIER MUYAMBO QUITTE OFFICIELLEMENT LA MAJORITE KABILISTE /DECLARATION VIDEO JUA
Le logo de la RTLJ (Radio télévision Lubumbashi Jua)

Dans un communiqué daté du vendredi 21 novembre, des activistes de la Société civile, regroupés dans une organisation dénommée "la Concertation des Organisations non gouvernementales pour la Bonne gouvernance", basée à Lubumbashi, qualifient la décision du ministre des Médias, Lambert Mende Omalanga, suspendant les émissions de la RTLJ (Radio Télévision Lubumbashi JUA) d’"entorse grave au droit à l’information". Le groupement exprime ses "vives inquiétudes et protestations" face aux "violations sans cesse grandissantes du droit à l’information". Un droit pourtant "constitutionnellement garanti" au Congo-Kinshasa. Après avoir rappelé le motif invoqué par le ministre des Médias - en l’occurrence "incitation à la haine et à l’insurrection" -, "la Concertation" de reprocher à ce membre du gouvernement de n’avoir administré "la moindre preuve" à l’appui de sa décision. Et d’ajouter : "Il nous revient des informations fiables que la Primature, en convoquant les responsables du Conseil Supérieur de l’Audio Visuel Congolais (CSAC), a tenté de les persuader de formaliser cette suspension pourtant manifestement illégale et irrégulière de la RTLJ". La Concertation de s’étonner que cette ukase intervienne "quelques jours seulement" après que Jean Claude Muyambo Kyassa ait annoncé, en date du 14 novembre, le retrait de son parti de la "Majorité présidentielle". Pour ce groupement, la décision querellée viole non seulement l’article 24 de la Constitution qui garantit le droit à l’information, la liberté de presse, la liberté d’information et d’émission" mais aussi la loi organique n°11/001 du 10 janvier 2011 portant notamment attribution et fonctionnement du Conseil supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication (CSAC). Pour ces activistes de la société civile, le CSAC est seul compétent "pour contrôler et sanctionner les medias en cas de dérapage". Mende a, en conséquence, commis un "excès de pouvoir". Après avoir fustigé les "interférences régulières" de ce dernier dans le champ de compétences du CSAC - empêchant les Congolais d’avoir accès à une information objective" et pluraliste -, "la Concertation" exhorte le ministre des Médias de "rapporter immédiatement son arrêté qui viole gravement la législation en vigueur et porte atteinte à la liberté de presse constitutionnellement garantie ainsi que les instruments juridiques internationaux dûment ratifiés par la RD Congo". Ambiance!

Excès de pouvoir


La nouvelle de la suspension des émissions de la "RTLJ" est tombée le jeudi 20 novembre. Selon les éléments fournis par radio Okapi, cette mesure a été sanctionnée par un "arrêté" revêtu de la signature du directeur de cabinet du ministre des Médias.
Contacté par le média onusien, le ministre Mende aurait précisé qu’il s’agit d’une "mesure conservatoire". Il aurait ajouté : "il appartiendra au Conseil supérieur de l’audio-visuel et de la communication de prendre une décision finale".
On apprenait le même jeudi 20 jeudi que les émissions de la RTLJ étaient diffusées comme si de rien n’était.

Des observateurs n’ont pas manqué de manifester un étonnement en apprenant que l’arrêté mis en cause a été signé par le directeur de cabinet du ministre des Médias. Dans le droit administratif congolais, un arrêté est un acte exécutoire à portée générale ou individuelle d’un ou de plusieurs ministres. Le "dircab" peut, en revanche, signer une lettre par délégation de signature du ministre. Dans le cas contraire, il s’agit d’un cas typique d’excès de pouvoir. La décision mise en cause est illégale.
On ne pourrait que comprendre que le directeur général de la "RTLJ", Guelord Mukanya, qualifie l’ukase du ministre des Médias de «politique».
B.A.W

Ci-après le texte intégral du communiqué
CONCERTATION DES ONGs DE BONNE GOUVERNANCE


La suspension de la Radio Télévision Lubumbashi JUA par le ministre congolais de l’Information et presse, Monsieur Lambert Mende est une entorse grave au droit de l’information"

La Concertation des Organisations Non Gouvernementales pour la Bonne Gouvernance, une plate forme regroupant des organisations de la société civile congolaise pour la promotion des valeurs républicaines exprime ses vives inquiétudes et protestations au sujet des violations sans cesse grandissantes du droit à l’information constitutionnellement garanti en RDC, violation dont les pouvoirs publics se rendent coupables.
En effet, le dernier cas en date concerne la Radio Télévision Lubumbashi Jua, RTLJ en sigle, médias appartenant à Monsieur Jean-Claude Muyambo Kyassa et qui vient d’être frappé par une lettre du ministre congolais de l’Information et presse, Monsieur Lambert Mende Omalanga qui reprocherait à cette chaîne privée d’avoir diffusé des informations d’incitation à la haine et à l’insurrection, sans en apporter la moindre preuve.

Il nous revient des informations fiables que la Primature, en convoquant les responsables du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel Congolais (CSAC), a tenté de les persuader de formaliser cette suspension pourtant manifestement illégale et irrégulière de la RTLJ.
Il faut rappeler que cette sanction intervient quelques jours seulement après que Monsieur Jean Claude Muyambo Kyassa ait annoncé le retrait de son parti politique, dénommé Solidarité Congolaise pour la Démocratie et le Développement(SCODE) de la plateforme politique de la Majorité présidentielle. Ce retrait est intervenu à la suite de l’interdiction par l’Agence Nationale des Renseignements (ANR) d’atterrissage à Mbuji-Mayi de l’avion transportant des membres de la SCODE attendus dans la capitale diamantifère pour y tenir un meeting de mobilisation de la population contre la révision de la constitution du pays, en date de samedi 14 novembre 2014.

Le ministre Lambert Mende serait très remontée contre la RTLJ au motif qu’elle diffuse à longueur des journées l’interview qu’il avait accordé à la télévision française TV5 au cours duquel il affirmait parler au nom du président de la République en disant qu’en 2016, il y aura une remise et reprise entre un Président entrant et un Présidant sortant d’une manière civilisée.
Aussi, la lettre précitée du ministre des Médias, chargé des relations avec le Parlement et de l’Initiation à la nouvelle citoyenneté suspendant la RTLJ de toute émission viole intentionnellement les prescrits de l’article 24 de la Constitution qui garantit le droit à l’information, la liberté de presse, la liberté d’information et d’émission.

Cette lettre a été prise également en violation de la loi organique n°11/001 du 10 janvier 2011 portant composition, attribution et fonctionnement du Conseil supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication le CSAC qui est donc seul organe compétent pour contrôler et sanctionner les medias en cas de dérapage. Le ministre épinglé en tant que tel n’a donc pas qualité d’interdire ou de suspendre la RTLJ.
Pour la Concertation, seul le CSAC a la mission de veiller au respect de la loi fixant les modalités d’exercice de la liberté de presse en RDC et peut garantir le droit de la population à une information pluraliste, fiable et objective. En bref, en prenant une mesure intempestive et à contre temps, le Ministre Lambert MENDE a trahi son mépris envers la loi de RDC. Comme pour dire qu’il est au-dessus de la loi et que ses décisions ne souffriraient d’aucun contrôle.

Or, de telles interférences régulières du Ministre des Médias dans les attributions du CSAC empêchent les Congolais d’avoir accès à une information objective, et par conséquent les prédisposent à subir la pensée unique à travers les messages diffusés à longueur des journées par des médias officiels.
Eu égard à tout ce qui précède, la Concertation des Organisations Non Gouvernementales pour la Bonne Gouvernance recommandent :

Au ministre des Médias :
- De rapporter immédiatement son arrêté qui viole gravement la législation en vigueur et porte atteinte à la liberté de presse constitutionnellement garantie ainsi que les instruments juridiques internationaux dûment ratifiés par la RD Congo.
- De cesser toute interférence dans les attributions du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication

Au Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication :
- De saisir les instances judiciaires et le Parlement pour obtenir l’interpellation du ministre des médias pour toutes les violations des droits à l’information et ses interférences dans un domaine où ses prérogatives sont strictement limitées ;

A la Radio, Télévision Lubumbashi JUA :
- De saisir les instances judiciaires compétentes pour obtenir l’annulation de l’arrêté de suspension pris par le ministre des médias pour abus, voire excès de pouvoir.

Fait à Lubumbashi, le 21 novembre 2014"




"RDC: la Radio-Télévision Lubumbashi Jua interdite de diffusion
° http://www.rfi.fr/afrique/20141123-rdc-radio-television-lubumbashi-interdite-diffusion-rtlj-muyambo-kabila/[/size]
En RDC, la Radio-Télévision Lubumbashi Jua (RTLJ), émettant dans la capitale provinciale du Katanga, est interdite de diffusion « pour incitation à la haine et à l'insurrection ». C'est le motif invoqué par le ministère des Médias. Le propriétaire de la RTLJ, Jean-Claude Muyambo a quitté la majorité récemment pour basculer dans l'opposition.

Président d'un parti politique, Solidarité congolaise pour la démocratie et le développement (Scod), Jean-Claude Muyambo, avocat, a pris position publiquement contre toute tentative du maintien de Joseph Kabila après 2016. Pour la direction de la RTLJ, c'est ici qu'il faut trouver la raison de la décision du ministre des Médias et porte-parole du gouvernement d'interdire la chaîne de diffusion.
Il y a quelques jours, Jean-Claude Muyambo avait déjà été interdit de séjour à Mbuji-Mayi, chef-lieu du Kasaï-Oriental, où il comptait poursuivre la campagne débutée à Lubumbashi contre le changement de la Constitution.
Cette campagne est soutenue par la RTLJ qui a aussi entrepris de diffuser une séquence de l’entretien du porte-parole du gouvernement il y a quelques mois sur TV5. Dans cette séquence, on voit Lambert Mende déclarer qu’en 2016, le président Kabila passera de manière civilisée le pouvoir au président qui sera élu (voir la vidéo ci-dessous).

L'EXTRAIT DE L'ÉMISSION INTERNATIONALES DIFFUSÉ PAR LA RTLJ À 13'10

° https://www.youtube.com/watch?v=hYmp3dSKn5s

La RTLJ a également diffusé des prises de positions quant à l’agression des religieux catholiques à Lodja (Kasaï-Oriental), fief du porte-parole du gouvernement, après la déclaration des évêques sur la question de la révision constitutionnelle.
Pour la direction de la RTLJ, la décision de suspension qui frappe ce média est tout simplement politique et, pour elle, c’est à l’autorité de régulation de sanctionner le contenu des radios et télés jugé dangereux pour la société."



"(...)Liberté des médias

Sous le titre « La télévision JUA interdite de diffusion »Le Phare explique:  
« La Radio-Télévision Lubumbashi Jua (RTLJ), émettant dans la capitale provinciale du Katanga, est interdite de diffusion, depuis le 20 novembre 2014, au terme d’un arrêté signé par le directeur de cabinet du ministre des Médias « pour incitation à la haine et à l’insurrection ».Propriété de Jean-Claude Muyambo, président de la Solidarité congolaise pour la démocratie et le développement (Scode), ce dernier vient de quitter la Majorité présidentielle pour basculer dans l’opposition, après avoir pris position publiquement contre toute tentative du maintien du président Joseph Kabila au pouvoir après 2016.
Sa campagne est soutenue par la RTLJ qui a aussi entrepris de diffuser une séquence de l’entretien du porte-parole du gouvernement il y a quelques mois sur TV5. Dans cette séquence, on voit le ministre Lambert Mende déclarer qu’en 2016, le président Kabila passera de manière civilisée le pouvoir au président qui sera élu. La RTLJ a également diffusé des prises de positions sur l’agression des religieux catholiques à Lodja (Kasaï-Oriental), après la déclaration des évêques sur la question de la révision constitutionnelle. 
 Il convient de rappeler qu’il y a quelques jours, Jean-Claude Muyambo, avocat de son état, avait déjà été interdit de séjour à Mbuji-Mayi, chef-lieu du Kasaï-Oriental, où il comptait poursuivre la campagne débutée à Lubumbashi contre le changement de Constitution. 
Pour la direction de la RTLJ, la décision de suspension qui frappe ce média est tout simplement politique et, pour elle, c’est à l’autorité de régulation de sanctionner le contenu des radios et télés jugé dangereux pour la société. 
Sur la radio onusienne, Lambert Mende a tenu à préciser que la suspension qui frappe la RTLJ est une mesure conservatoire pour non respect des dispositions légales de diffusion des entreprises privées du secteur audio-visuel. D’après le ministre des Médias, il appartiendra au Conseil supérieur de l’audio-visuel et de la communication (Csac) de prendre une décision finale. 
De son côté, le directeur général de la RTLJ, Guelord Mukanya, se dit surpris par cette mesure qu’il qualifie de «politique». Il indique que cela  fait  3 ans que sa maison n’avait jamais changé sa grille des programmes et il ne comprend pas pourquoi on les accuse d’incitation à la haine et à l’insurrection
 » (...)"
° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=200082&Actualiteit=selected




Compatriotiquement!

ndonzwau


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Message  Hiro-Hito 14/12/2014, 4:48 pm

un discours creux, to lobela conviction, oh te

Hiro-Hito
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Message  Mathilde 8/1/2015, 10:52 pm



Mathilde
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Message  GHOST 14/1/2015, 8:56 pm

LE BATONNIER MUYAMBO QUITTE OFFICIELLEMENT LA MAJORITE KABILISTE /DECLARATION VIDEO 293360 Suspect Suspect MUYAMBO ? Rolling Eyes

Accusé d´être un opportuniste..qui semble-t-il est devenue "opposant en l´air, au bord d´un avion" Rolling Eyes voici Muyambo dans une rue de Kin entrain de braver Kanambe et entrain de marcher en compagnie des opposants..

Pire, lui le "katangais" s´exprime en Lingala pour mieux passer son message @ @ LE BATONNIER MUYAMBO QUITTE OFFICIELLEMENT LA MAJORITE KABILISTE /DECLARATION VIDEO 293360 LE BATONNIER MUYAMBO QUITTE OFFICIELLEMENT LA MAJORITE KABILISTE /DECLARATION VIDEO 293360
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Message  Mathilde 15/1/2015, 8:05 pm

Gabriel MOKIA - Jean Claude MUYAMBO CONTRE LE POUVOIR

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Message  Mathilde 18/1/2015, 3:34 am

LAMBERT MENDE COUPE LES SIGNALS DE CANAL KIN TV ET RADIO & TELE ELIKIA POUR EMPECHER L'OPPOSITION DE MOBILISER #PalaisDuPeuple Evil or Very Mad  Twisted Evil

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Message  Mathilde 28/3/2015, 10:51 pm

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Le Batonnier Jean-Claude Muyambo a recu la visite de Vital Kamerhe et de Pierre Kangudia ce week-end.
La Redaction de Code 243 TV NEWS lui souhaite un prompt retablissement et surtout une liberation par rapport a son arrestation arbitraire.
C'est sur Code 243 et nulle part ailleurs.
Abraham Luakabuanga pour Code 243 TV NEWS.
Mathilde
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