Le cas de Katumbi chapwe
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Le cas de Katumbi chapwe
PROCESSUS ÉLECTORAL. #KATUMBI : LES CAROTTES SERAIENT CUITES ! (Texte de #Omer_Nsongo) congo30juin /
#Bruxelles_qui l’a #entêté est en train de le laisser s’enterrer…
Si jamais il a un jour le courage d’écrire ses mémoires, #Moïse_Katumbi va révéler l’identité des personnalités politiques et économiques #belges qui lui ont fait croire qu’il détenait toutes les aptitudes pour succéder à #Joseph #Kabila et disposait de tous les atouts pour être meilleur que son ex-chef.
Car l’arrogance avec laquelle, de retour d’un voyage en Occident, il avait lancé en 2015 son fameux » #troisième #penalty, #non ! » ne pouvait se justifier que par l’assurance d’un soutien puissant.
Après tout, avec notamment #Pierre #Lumbi, il s’était convaincu d’appartenir au #club_fermé des gens qui connaissent bien #Joseph_Kabila.
Deux ans et demi après la fronde de septembre-décembre 2015, on assiste plutôt à l’effet inverse : c’est Joseph Kabila qui connaît mieux ses « hommes ». Le « coup K.O. » à la congolaise survenu le 8 août 2018 en dit long. Il a pris de court tout le monde, Ensemble compris…
Pourtant, cela ne devrait jamais être le cas. Pour la bonne et simple raison que 2007 à 2018, Joseph Kabila a fait preuve d’une constante remarquable en renouvelant continuellement son engagement à #respecter_la #Constitution, s’agissant évidemment de son mandat.
Nul n’étant prophète chez lui, c’est de l’extérieur que vient la reconnaissance de cette constante.
En effet, dans leur déclaration commune, la #Représentante_Spéciale du #Secrétaire_général_des_Nations #Unies en République démocratique du Congo et les Ambassadeurs ou Chefs de mission du #Canada, des #Etats-Unis, de la #Suisse, de l’#Union #africaine ainsi que de l’#Union #européenne, en accord avec les Chefs de mission de l’UE à Kinshasa, ont #salué «la décision du Président #Joseph_Kabila d’avoir tenu son engagement de respecter la #Constitution_congolaise»
et le 9 août 2018, le secrétaire général de l’Onu, #Antonio_Guterres, a abondé dans le même sens en saluant, lui aussi, «la décision du président de la République Joseph Kabila Kabange, de respecter la constitution de la RDC, comme il l’a #toujours énoncé» !
Évidemment, en interne, l’Opposition radicale #continue de présenter la décision du Chef de l’Etat en résultat des pressions qu’elle a exercées concomitamment avec le peuple.
#Heureusement que la réalité et la #vérité ne remettent pas en cause la constante reconnue par les partenaires extérieurs traditionnels.
ET CE SERA LA BAVURE
Le tort de #Moïse Katumbi est d’avoir joué la carte ethno-provinciale dans la succession de Laurent-Désiré Kabila et de Joseph Kabila, tous Katangais comme lui.
Pour peu qu’il ait eu un sens d’État et de l’État, il aurait compris qu’après justement le premier Kabila (1997- 2001) et le second Kabila (2001 à ce jour), soit une vingtaine d’années, une carte katangaise passait et passerait mal dans l’opinion congolaise, géopolitiquement parlant.
De même, d’ailleurs, que la carte équatorienne après 32 ans de Mobutu sur l’ensemble pays (1965-1997) et les 5 ans de Bemba sur une bonne partie de l’Equateur (1998-2003).
Si Moïse Katumbi n’a pas eu le temps de le comprendre, Félix Antoine Tshilombo Tshisekedi, lui, l’a compris à temps !
Et avec lui, plusieurs candidats de l’Opposition à la présidentielle dont la demi-douzaine originaire de l’ex-#Bandundu (Antoine Gizenga, Freddy Matungulu, Martin Fayulu, Adolphe Muzito, Tryphon Kin-Kiey et Marie-Laure Kawanda).
Ce qui signifie, concrètement, que Moïse Katumbi avait tout à gagner à rester fidèle à Joseph Kabila et à #attendre son heure soit sous la quatrième, soit sous la cinquième mandature.
Hélas !, il s’est #empressé de prendre la succession, et encore de la manière la moins recommandée en politique : le bras de fer avec son chef au prix d’une trahison avérée.
L’opinion avertie retient (et retiendra) qu’il a choisi le moment où la Mp cherchait avec l’Udps la solution idoine pour gérer ensemble le Dialogue consacré aux préparatifs des élections pour s’interposer et y mettre fin.
Rappel des faits : 10 décembre 2015. Paris. A l’issue de la rencontre « Katumbi-Fatshi », la solution politique MP/UDPS est renvoyée aux calendes grecques.
15-16 décembre 2015. L’Opposition radicale se retrouve en Ile de #Gorée.
8-10 juin 2016. Elle crée à Bruxelles-Genval la plateforme «Rassemblement».
Au cours de tous ces rendez-vous, tout dialogue avec la MP est rejeté, même celui facilité par l’Union africaine à la demande pourtant du Conseil de sécurité de l’Onu. Il faudra attendre l’initiative de la Cenco pour voir cette Opposition accepter de dialoguer avec la même MP, au centre interdiocésain à Kinshasa. D’où l’Accord politique global et inclusif du 31 décembre 2016.
Sur ces entrefaites, il y a eu des manifestations publiques marquées par des actes de violence dont on aurait pu se faire l’économie. Visiblement, l’Opposition radicale, pilotée plus par #Moïse_Katumbi que par Etienne Tshisekedi, va se préoccuper moins des enjeux électoraux que des sanctions occidentales contre les acteurs institutionnels de la politique et de la sécurité.
Katumbi sera aidé dans sa croisade par l’eurodéputée italienne Cécile Kyenge d’origine congolaise, native du…Katanga !
Se croyant au-dessus de la loi et même de la morale, Moïse Katumbi ira jusqu’à tenter les 3 et 4 août 2018 son aventure à Kasumbalesa consistant à rentrer par la force en RDCongo par sa province d’origine, quitte à créer une crise politique et sécuritaire en interne et une crise diplomatique en externe,
tout cela parce que tenant absolument à se présenter en candidat dans un contexte géopolitique pourtant défavorable au Katanga ! Et ce sera la bavure ayant certainement effrayé ses parrains occidentaux !
La Belgique de Louis Michel et de Didier Reynders
Heureusement, comme relevé dans la chronique intitulée « Katumbi a failli étrangler le Congo via le Katanga !« , les Congolais du Katanga n’ont pas suivi l’appel au soulèvement populaire leur lancé les 3 et 4 août 2018 par Delly Sessanga et Olivier Kamitatu.
On imagine seulement les conséquences de cet appel si ces compatriotes avaient répondu positivement ! Non seulement que la sécurité au pays et dans la région aurait été perturbée, mais en plus le processus électoral serait lui-même bloqué.
On n’en serait à ce moment au mieux sous le régime d’état d’urgence ou d’état de siège, au pire dans le fameux schéma « Transition Sans Kabila ». Dans l’un ou l’autre cas, la configuration politique en RDCongo aurait changé.
Ne pouvant rien par lui-même, Moïse Katumbi aurait-il été incité à entreprendre cette aventure ?
Quelle que soit la réponse à donner, la seule et unique vérité à demeurer est que les carottes sont bel et bien cuites pour lui. Il ne sera jamais Président de la République, avec ou sans arrêt du Conseil d’État, instance judiciaire d’ailleurs non encore opérationnelle.
Même dans l’histoire des puissances occidentales, aucun État fédéré (cas du Texas aux Usa), ni département (cas du Limousin et de la Corrèze en France) n’a réussi à donner trois fois de suite un Président de la République.
Dès la fronde G7, la sonnette d’alarme était tirée dans ce sens. Elle s’est en plus appuyée sur la sentence biblique en Marc 3 : 24-25 selon laquelle «Si un royaume est divisé contre lui-même, ce royaume ne peut subsister; et si une maison est divisée contre elle-même, cette maison ne peut subsister».
L’exception congolaise n’a été que dans la tête de Moïse Katumbi, probablement influencé et convaincu par une certaine Belgique, celle qui depuis 1960 ne voit le Congo qu’au travers du diamant, du cuivre, du cobalt et de l’uranium et non des citoyens qui en constituent le peuple. C’est la Belgique de Louis Michel et de Didier Reynders.
58 ans après l’Indépendance du Congo, elle doit bien se demander si Moïse Katumbi est réellement une carte valable, quand bien même elle soit la préférée d’une partie de la Cenco et du Clc, contraints déjà à constater que depuis plusieurs mois, leur «champion» ne se pavane plus avec des effets vestimentaires à l’effigie de la Vierge Sainte Marie ! Preuve, si besoin est, qu’il a un double personnage.
De quoi alerter Bruxelles capitale de Belgique, siège de l’Union européenne et centre de l’Otan !
Omer Nsongo die Lema
#Bruxelles_qui l’a #entêté est en train de le laisser s’enterrer…
Si jamais il a un jour le courage d’écrire ses mémoires, #Moïse_Katumbi va révéler l’identité des personnalités politiques et économiques #belges qui lui ont fait croire qu’il détenait toutes les aptitudes pour succéder à #Joseph #Kabila et disposait de tous les atouts pour être meilleur que son ex-chef.
Car l’arrogance avec laquelle, de retour d’un voyage en Occident, il avait lancé en 2015 son fameux » #troisième #penalty, #non ! » ne pouvait se justifier que par l’assurance d’un soutien puissant.
Après tout, avec notamment #Pierre #Lumbi, il s’était convaincu d’appartenir au #club_fermé des gens qui connaissent bien #Joseph_Kabila.
Deux ans et demi après la fronde de septembre-décembre 2015, on assiste plutôt à l’effet inverse : c’est Joseph Kabila qui connaît mieux ses « hommes ». Le « coup K.O. » à la congolaise survenu le 8 août 2018 en dit long. Il a pris de court tout le monde, Ensemble compris…
Pourtant, cela ne devrait jamais être le cas. Pour la bonne et simple raison que 2007 à 2018, Joseph Kabila a fait preuve d’une constante remarquable en renouvelant continuellement son engagement à #respecter_la #Constitution, s’agissant évidemment de son mandat.
Nul n’étant prophète chez lui, c’est de l’extérieur que vient la reconnaissance de cette constante.
En effet, dans leur déclaration commune, la #Représentante_Spéciale du #Secrétaire_général_des_Nations #Unies en République démocratique du Congo et les Ambassadeurs ou Chefs de mission du #Canada, des #Etats-Unis, de la #Suisse, de l’#Union #africaine ainsi que de l’#Union #européenne, en accord avec les Chefs de mission de l’UE à Kinshasa, ont #salué «la décision du Président #Joseph_Kabila d’avoir tenu son engagement de respecter la #Constitution_congolaise»
et le 9 août 2018, le secrétaire général de l’Onu, #Antonio_Guterres, a abondé dans le même sens en saluant, lui aussi, «la décision du président de la République Joseph Kabila Kabange, de respecter la constitution de la RDC, comme il l’a #toujours énoncé» !
Évidemment, en interne, l’Opposition radicale #continue de présenter la décision du Chef de l’Etat en résultat des pressions qu’elle a exercées concomitamment avec le peuple.
#Heureusement que la réalité et la #vérité ne remettent pas en cause la constante reconnue par les partenaires extérieurs traditionnels.
ET CE SERA LA BAVURE
Le tort de #Moïse Katumbi est d’avoir joué la carte ethno-provinciale dans la succession de Laurent-Désiré Kabila et de Joseph Kabila, tous Katangais comme lui.
Pour peu qu’il ait eu un sens d’État et de l’État, il aurait compris qu’après justement le premier Kabila (1997- 2001) et le second Kabila (2001 à ce jour), soit une vingtaine d’années, une carte katangaise passait et passerait mal dans l’opinion congolaise, géopolitiquement parlant.
De même, d’ailleurs, que la carte équatorienne après 32 ans de Mobutu sur l’ensemble pays (1965-1997) et les 5 ans de Bemba sur une bonne partie de l’Equateur (1998-2003).
Si Moïse Katumbi n’a pas eu le temps de le comprendre, Félix Antoine Tshilombo Tshisekedi, lui, l’a compris à temps !
Et avec lui, plusieurs candidats de l’Opposition à la présidentielle dont la demi-douzaine originaire de l’ex-#Bandundu (Antoine Gizenga, Freddy Matungulu, Martin Fayulu, Adolphe Muzito, Tryphon Kin-Kiey et Marie-Laure Kawanda).
Ce qui signifie, concrètement, que Moïse Katumbi avait tout à gagner à rester fidèle à Joseph Kabila et à #attendre son heure soit sous la quatrième, soit sous la cinquième mandature.
Hélas !, il s’est #empressé de prendre la succession, et encore de la manière la moins recommandée en politique : le bras de fer avec son chef au prix d’une trahison avérée.
L’opinion avertie retient (et retiendra) qu’il a choisi le moment où la Mp cherchait avec l’Udps la solution idoine pour gérer ensemble le Dialogue consacré aux préparatifs des élections pour s’interposer et y mettre fin.
Rappel des faits : 10 décembre 2015. Paris. A l’issue de la rencontre « Katumbi-Fatshi », la solution politique MP/UDPS est renvoyée aux calendes grecques.
15-16 décembre 2015. L’Opposition radicale se retrouve en Ile de #Gorée.
8-10 juin 2016. Elle crée à Bruxelles-Genval la plateforme «Rassemblement».
Au cours de tous ces rendez-vous, tout dialogue avec la MP est rejeté, même celui facilité par l’Union africaine à la demande pourtant du Conseil de sécurité de l’Onu. Il faudra attendre l’initiative de la Cenco pour voir cette Opposition accepter de dialoguer avec la même MP, au centre interdiocésain à Kinshasa. D’où l’Accord politique global et inclusif du 31 décembre 2016.
Sur ces entrefaites, il y a eu des manifestations publiques marquées par des actes de violence dont on aurait pu se faire l’économie. Visiblement, l’Opposition radicale, pilotée plus par #Moïse_Katumbi que par Etienne Tshisekedi, va se préoccuper moins des enjeux électoraux que des sanctions occidentales contre les acteurs institutionnels de la politique et de la sécurité.
Katumbi sera aidé dans sa croisade par l’eurodéputée italienne Cécile Kyenge d’origine congolaise, native du…Katanga !
Se croyant au-dessus de la loi et même de la morale, Moïse Katumbi ira jusqu’à tenter les 3 et 4 août 2018 son aventure à Kasumbalesa consistant à rentrer par la force en RDCongo par sa province d’origine, quitte à créer une crise politique et sécuritaire en interne et une crise diplomatique en externe,
tout cela parce que tenant absolument à se présenter en candidat dans un contexte géopolitique pourtant défavorable au Katanga ! Et ce sera la bavure ayant certainement effrayé ses parrains occidentaux !
La Belgique de Louis Michel et de Didier Reynders
Heureusement, comme relevé dans la chronique intitulée « Katumbi a failli étrangler le Congo via le Katanga !« , les Congolais du Katanga n’ont pas suivi l’appel au soulèvement populaire leur lancé les 3 et 4 août 2018 par Delly Sessanga et Olivier Kamitatu.
On imagine seulement les conséquences de cet appel si ces compatriotes avaient répondu positivement ! Non seulement que la sécurité au pays et dans la région aurait été perturbée, mais en plus le processus électoral serait lui-même bloqué.
On n’en serait à ce moment au mieux sous le régime d’état d’urgence ou d’état de siège, au pire dans le fameux schéma « Transition Sans Kabila ». Dans l’un ou l’autre cas, la configuration politique en RDCongo aurait changé.
Ne pouvant rien par lui-même, Moïse Katumbi aurait-il été incité à entreprendre cette aventure ?
Quelle que soit la réponse à donner, la seule et unique vérité à demeurer est que les carottes sont bel et bien cuites pour lui. Il ne sera jamais Président de la République, avec ou sans arrêt du Conseil d’État, instance judiciaire d’ailleurs non encore opérationnelle.
Même dans l’histoire des puissances occidentales, aucun État fédéré (cas du Texas aux Usa), ni département (cas du Limousin et de la Corrèze en France) n’a réussi à donner trois fois de suite un Président de la République.
Dès la fronde G7, la sonnette d’alarme était tirée dans ce sens. Elle s’est en plus appuyée sur la sentence biblique en Marc 3 : 24-25 selon laquelle «Si un royaume est divisé contre lui-même, ce royaume ne peut subsister; et si une maison est divisée contre elle-même, cette maison ne peut subsister».
L’exception congolaise n’a été que dans la tête de Moïse Katumbi, probablement influencé et convaincu par une certaine Belgique, celle qui depuis 1960 ne voit le Congo qu’au travers du diamant, du cuivre, du cobalt et de l’uranium et non des citoyens qui en constituent le peuple. C’est la Belgique de Louis Michel et de Didier Reynders.
58 ans après l’Indépendance du Congo, elle doit bien se demander si Moïse Katumbi est réellement une carte valable, quand bien même elle soit la préférée d’une partie de la Cenco et du Clc, contraints déjà à constater que depuis plusieurs mois, leur «champion» ne se pavane plus avec des effets vestimentaires à l’effigie de la Vierge Sainte Marie ! Preuve, si besoin est, qu’il a un double personnage.
De quoi alerter Bruxelles capitale de Belgique, siège de l’Union européenne et centre de l’Otan !
Omer Nsongo die Lema
Imperium
Re: Le cas de Katumbi chapwe
Imperium a écrit:
Katumbi sera aidé dans sa croisade par l’eurodéputée italienne Cécile Kyenge d’origine congolaise, native du…Katanga !
Se croyant au-dessus de la loi et même de la morale, Moïse Katumbi ira jusqu’à tenter les 3 et 4 août 2018 son aventure à Kasumbalesa consistant à rentrer par la force en RDCongo par sa province d’origine, quitte à créer une crise politique et sécuritaire en interne et une crise diplomatique en externe,
tout cela parce que tenant absolument à se présenter en candidat dans un contexte géopolitique pourtant défavorable au Katanga ! Et ce sera la bavure ayant certainement effrayé ses parrains occidentaux !
La Belgique de Louis Michel et de Didier Reynders
Heureusement, comme relevé dans la chronique intitulée « Katumbi a failli étrangler le Congo via le Katanga !« , les Congolais du Katanga n’ont pas suivi l’appel au soulèvement populaire leur lancé les 3 et 4 août 2018 par Delly Sessanga et Olivier Kamitatu.
... leur «champion» ne se pavane plus avec des effets vestimentaires à l’effigie de la Vierge Sainte Marie ! Preuve, si besoin est, qu’il a un double personnage.
Omer Nsongo die Lema
Omer Nsongo Die Lema, le "Emile Zola" Congolais...
Well Done Sir!!!!
zobattants
Re: Le cas de Katumbi chapwe
Laissez Katumbi rentrer au pays et allons tous aux élections, pourquoi avez-vous si peur de lui? On ne vous demande pas d´aller écraser les testicules du pape sinon l´inclusivité aux élections.
Comme on dit chez nous : Ntaku nkomi yi lendi ntaku mvuanza vedire la fesse gauche doit être traitée de la même façon que la fesse droite
Comme on dit chez nous : Ntaku nkomi yi lendi ntaku mvuanza vedire la fesse gauche doit être traitée de la même façon que la fesse droite
Arafat
Re: Le cas de Katumbi chapwe
Mbuta, personne ne refuse que Katumbi retourne au congo.Arafat a écrit:Laissez Katumbi rentrer au pays et allons tous aux élections, pourquoi avez-vous si peur de lui? On ne vous demande pas d´aller écraser les testicules du pape sinon l´inclusivité aux élections.
Comme on dit chez nous : Ntaku nkomi yi lendi ntaku mvuanza vedire la fesse gauche doit être traitée de la même façon que la fesse droite
Il est originaire du congo puisque ne au congo.
le probleme est que Katumbi a perdu sa nationalite congolaise des qu'il avait acquis celle de la Zambie ensuite celle de l'italie.
le monsieur, croyant etre plus malin que les autres, il abandonna la nationalite Zambienne, mais garda celle de l'italie pendant 17 ans.( deja il est poursuivable par la justice pour avoir cache qu'il n'etait plus congolais.)
-Katumbi, n'a jamais introduit la demande pour reprendre sa nationalite congolaise...
Yango, ba maffioso ya politique congolaise bazalaka kaka na ba nationalite italienne? Cas Diomi et Katumbi.
zobattants
Re: Le cas de Katumbi chapwe
"Kengo Wadondo plaide pour le retour de Katumbi et sa participation au processus électoral
° https://www.politico.cd/en-clair/interviews/2018/08/20/kengo-wadondo-plaide-pour-le-retour-de-katumbi-et-sa-participation-au-processus-electoral.html
Leon Kengo Wadondo, président du Sénat (deuxième personnalité politique de la RDC) plaide pour le retour de Moïse Katumbi au pays et sa participation au processus électoral en cours.
Il l’a dit ce lundi dans une interview avec nos confrères de la Radio France internationale.
Le président du sénat congolais dit souhaiter vivement la participation de tout le monde au processus électoral.
“Je suis pour que Moïse Katumbi rentre et se présente. On doit donner à tout le monde les memes cartes pour que l’on ne critique pas qu’on a exclu l’un ou l’autre” a t il déclaré ce lundi à RFI.
Pour Kengo Wadondo, exclure Moïse Katumbi c’est avoir peur que ce dernier puisse être élu.""Au sujet des poursuites judiciaires à l’encontre de Moïse Katumbi, Leon Kengo Wadondo parle “des faits politiques” et préconise que le concerné demande une amnistie du président de la république."
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: Le cas de Katumbi chapwe
ndonzwau a écrit:"Kengo Wadondo plaide pour le retour de Katumbi et sa participation au processus électoral"Au sujet des poursuites judiciaires à l’encontre de Moïse Katumbi, Leon Kengo Wadondo parle “des faits politiques” et préconise que le concerné demande une amnistie du président de la république."
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Amnistie ya wapi???
Qu'il rentre a kin au lieu de pleurnicher chez Herman Cohen...
Qu'il introduise sa demande de recouvrement de nationalite.
pour ce qui concerne la date pour le depot de candidature, mawa car il est deja tard...
On ne changera pas la constitution pour une seule personne.
Touche pas a MA CONSTITUTION, criaient a tue tete les zopozants...
Soit nous respectons la constitution de la RDC ou bien le congo devient une republique bananiere comme la Grece dont Kyungu wa kumwanza est aussi citoyen
zobattants
Re: Le cas de Katumbi chapwe
Oui mais ils sont nombreux dans ce cas, ebongo Badibanga azalaki nommé 1er ministre ndenge nini et pourtant aza Belge. A-t-il introduit une demande pour recouvrer sa nationalité congolaise? Il paraît que oui, le ministre de la justice avait reglé ce problème au bout de quelques minutes seulement, pourquoi deux poids deux mesures. Ne gâchons pas ces élections même si le président Kabila a un problème personnel avec Katumbi, le pays ne doit pas être pris en otage. Soyons quand même sérieux une seconde pendant tout le temps que Katumbi était Gouverneur et haut cadre du PPRD, personne n´était au courant de sa "douteuse" nationalité.[i][/i]zobattants a écrit:Mbuta, personne ne refuse que Katumbi retourne au congo.Arafat a écrit:Laissez Katumbi rentrer au pays et allons tous aux élections, pourquoi avez-vous si peur de lui? On ne vous demande pas d´aller écraser les testicules du pape sinon l´inclusivité aux élections.
Comme on dit chez nous : Ntaku nkomi yi lendi ntaku mvuanza vedire la fesse gauche doit être traitée de la même façon que la fesse droite
Il est originaire du congo puisque ne au congo.
le probleme est que Katumbi a perdu sa nationalite congolaise des qu'il avait acquis celle de la Zambie ensuite celle de l'italie.
le monsieur, croyant etre plus malin que les autres, il abandonna la nationalite Zambienne, mais garda celle de l'italie pendant 17 ans.( deja il est poursuivable par la justice pour avoir cache qu'il n'etait plus congolais.)
-Katumbi, n'a jamais introduit la demande pour reprendre sa nationalite congolaise...
Yango, ba maffioso ya politique congolaise bazalaka kaka na ba nationalite italienne? Cas Diomi et Katumbi.
Arafat
Re: Le cas de Katumbi chapwe
ndonzwau a écrit:"Kengo Wadondo plaide pour le retour de Katumbi et sa participation au processus électoral
° https://www.politico.cd/en-clair/interviews/2018/08/20/kengo-wadondo-plaide-pour-le-retour-de-katumbi-et-sa-participation-au-processus-electoral.html
Leon Kengo Wadondo, président du Sénat (deuxième personnalité politique de la RDC) plaide pour le retour de Moïse Katumbi au pays et sa participation au processus électoral en cours.
Il l’a dit ce lundi dans une interview avec nos confrères de la Radio France internationale.
Le président du sénat congolais dit souhaiter vivement la participation de tout le monde au processus électoral.
“Je suis pour que Moïse Katumbi rentre et se présente. On doit donner à tout le monde les memes cartes pour que l’on ne critique pas qu’on a exclu l’un ou l’autre” a t il déclaré ce lundi à RFI.
Pour Kengo Wadondo, exclure Moïse Katumbi c’est avoir peur que ce dernier puisse être élu.""Au sujet des poursuites judiciaires à l’encontre de Moïse Katumbi, Leon Kengo Wadondo parle “des faits politiques” et préconise que le concerné demande une amnistie du président de la république."
Compatriotiquement!
"INVITÉ AFRIQUE
Le président du Sénat en RDC: «Je suis pour que Katumbi rentre et se présente»
° http://www.rfi.fr/emission/20180821-leon-kengo-wa-dondo-je-suis-moise-katumbi-rentre-presente
Léon Kengo wa Dongo, président du Sénat de la République démocratique du Congo lors de la 4e Conférence mondiale des présidents de parlements à New York le 31 août 2015.
Il est le deuxième personnage de l’Etat congolais après le président Joseph Kabila et s’exprime très rarement dans les médias. Léon Kengo Wa Dondo sort de son silence à quatre mois de la présidentielle dans une interview exclusive accordée à RFI. Par trois fois Premier ministre de Mobutu, depuis 2007, il est président du Sénat et membre du Front commun pour le Congo (FCC) formé autour du président Kabila. Il s’exprime sur l’organisation des élections, le choix d’Emmanuel Ramazani comme dauphin et plaide pour la participation de tous aux élections.
RFI : Avez-vous été surpris par la décision de Joseph Kabila de renoncer à un troisième mandat ?
Léon Kengo Wa Dondo : Non, c’est prévu dans la Constitution. Il n’a fait que respecter la Constitution.
Etiez-vous au courant de ce choix ?
Pas personnellement, il ne me l’a pas dit, mais c’était de l’entendement commun.
Pourquoi le président Kabila a-t-il renoncé, selon vous ? Est-ce la pression populaire, la pression de l’opposition, ou bien des pressions internationales ?
Non. Je ne peux pas entrer dans ces considérations. Le président Kabila est le seul qui a observé la Constitution. Il faut plutôt rendre hommage.
Emmanuel Ramazani Shadary, dont on dit qu’il n’a pas de base électorale, a-t-il l’étoffe pour l’emporter selon vous ?
Je ne me suis pas appesanti sur son profil. Il ne vient pas orphelin à cette élection, il a un père, Joseph Kabila, qui l’a présenté, qui va le soutenir.
Pour vous, il n’y a aucun doute sur le fait qu’il sera élu ?
L’élection, c’est un nom devant son peuple. Même si le président l’a désigné, ça peut ne pas aller.
D’autres disent qu’il a fait un choix à la Medvedev-Poutine. Est-ce la raison du choix d'Emmanuel Ramazani Shadary ?
C’est peut-être l’une des raisons, mais elle n’est pas nécessaire et suffisante.
Est-ce un scénario que vous envisagez ?
C’est un scénario crédible. Le président est le garant de la Constitution. Il a respecté cette Constitution, personne ne peut émettre de critiques. Analysons tout : il fait passer Ramazani, Ramazani peut être élu une fois, lui peut revenir. Moi, je crois qu’il a bien joué. S’il revient après, il peut rester autant qu’il veut.
Que pensez-vous de la situation de Moïse Katumbi qui, sous la menace d’une arrestation, n’a pas pu se présenter à la présidence ?
On doit faire en sorte que tous ceux qui veulent se présenter se présentent. Je suis pour que Moïse Katumbi rentre et se présente. Et il n’est pas dit, parce qu’il se présente, qu’il sera élu. On doit donner à tout le monde les mêmes cartes de manière à ce qu’on ne critique pas qu’on a exclu l’un ou l’autre. L’exclure c’est avoir peur qu’il se présente et qu’il puisse être élu. Il vaut mieux qu’il se présente. S’il n’est pas élu, il baissera ses prétentions. Et s’il est élu, c’est très bien, il est le fils du pays.
Pourtant, Moïse Katumbi a été condamné à trois ans de prison. Les autorités considèrent que c’est un fugitif, même si lui conteste la légalité de la procédure contre lui.
Oui, mais maintenant nous sommes au début des élections. Mon souhait le plus clair, c’est que tout le monde se présente. Et comme il a été condamné, qu’il demande au président de pouvoir l’amnistier. La seule possibilité qu’il ait, c’est de bénéficier de l’amnistie, comme ce que l’on poursuit sont des faits politiques.
Dans la course, il y a également Jean-Pierre Bemba. Avez-vous été surpris par son acquittement ?
Non, j’ai été heureux parce que Jean-Pierre Bemba, de par son père, Jeannot Bemba, est un peu mon fils. Je considère que c’est bien qu’il puisse entrer dans cette lutte électorale. Il a le profil que je considère comme apte à se présenter à l’élection présidentielle. Mais s’il y a dans la loi électorale quelques handicaps quelconques, j’opte pour la loi.
Vous êtes un homme de droit. Est-ce qu’à vos yeux, sa candidature est valide au regard de la loi électorale ?
Il est condamné pour subornation de témoins. Si les faits principaux pour lesquels il a été poursuivi sont considérés comme non établis, la subornation de témoins est une infraction auxiliaire.
Vous considérez que dans la mesure où l’affaire principale tombe, la condamnation pour subornation de témoin doit tomber.
C’est ça. Je ne suis pas juge de faits, mais je considère que l’on aurait dû l’acquitter aussi.
La candidature unique de l’opposition, est-ce que vous y croyez ?
Moi, je crois. Si l’opposition veut sortir gagnante, ils doivent se mettre tous ensemble. S’ils ne le font pas, je doute qu’il gagne.
Pour le moment, les négociations sont difficiles.
Oui, je sais que les négociations sont difficiles parce que chacun veut être candidat, mais si tout le monde se met ensemble, je suis sûr qu’il y aura, cette fois-ci, une alternative.
Est-ce un scénario d'affrontement est-ouest qui se dessine, comme en 2006 ?
C’est un affrontement éternel. Tant qu’il aura l'est et l'ouest, ceux de l’ouest, aujourd’hui disent : « Kabila a fait son mandat, il faut que cette fois-ci, il y ait quelqu’un de l’ouest ». C’est équitable, non ?
Finalement, vous qui avez toujours tenu à garder votre statut d’indépendant, vous avez signé la charte du Front commun pour le Congo [FCC, la nouvelle plateforme électorale initiée par le président Joseph Kabila]. Qu’est-ce qui fait que vous avez sauté le pas ?
Pour donner à cette charte une crédibilité.
Est-ce qu’un nouveau parti-Etat est ce qu’il faut, selon vous, à la RDC ?
Il ne faut plus refaire ça. Nous avons connu tous les torts d’un parti-Etat, nous devons laisser les candidats libres, des partis libres, de pouvoir se présenter librement et le meilleur gagne.
Qui allez-vous soutenir ? Emmanuel Ramazani Shadary ?
J’attends que la Commission électorale [Céni] présente la liste des candidats à l’élection présidentielle. Je ferai mon choix. Je l’ai fait déjà une fois.
En 2006, vous aviez soutenu Jean-Pierre Bemba. Le ferez-vous à nouveau si sa candidature est validée ?
Je le dirai en temps voulu.
Cela signifie que vous n’êtes pas du tout certain de soutenir d'Emmanuel Ramazani Shadary bien que signataire de la charte.
Mais cette charte ne veut pas dire que l’on doit soutenir obligatoirement Shadary. On a aussi le droit de regard. Je suis libre.
Est-ce que le retrait du président Joseph Kabila suffit, selon vous, à écarter le risque d’une déstabilisation du pays à l’occasion du processus électoral ?
Si Ramazani est élu, il n’est pas dit qu’il pourra achever son mandat. J’espère qu’il pourra achever son mandat, mais je dis qu’aujourd’hui, au point de vue politique, la RDC est calme, nous souhaitons de tous nos vœux que cela se poursuive.
Pourtant, l’opposition conteste notamment l’utilisation de la machine à voter. Seriez-vous favorable à un audit de cette machine pour apaiser les esprits ?
Mais je crois que si les opérateurs politiques considèrent que cette machine n’est pas fiable, il faut soumettre ça à l’expertise.
La Céni [Commission électorale] s’y oppose pour le moment ?
La Céni a ses raisons et les politiques ont les leurs.
Etes-vous donc favorable à un audit ?
Bien sûr. Je ne critique pas la machine parce que je ne connais pas la fiabilité de cette machine, mais si tout le monde dit qu’elle risque de désorienter les électeurs et bien il faut suivre.
Autre point noir dans le paysage du processus électoral, le fichier que l’OIF [Organisation internationale de la Francophonie] juge perfectible avec notamment six millions d’électeurs enregistrés sans empreintes donc potentiellement fictifs. Cela vous inquiète-t-il ?
Oui, cela m’inquiète pour la simple raison qu’au début d’une élection, il faut que tout le monde se mette d’accord sur les paramètres, de manière à ce qu’il n’y ait pas de critiques. Trop de critiques tuent l’élection.
Jusqu’à présent la RDC a refusé toutes les propositions d’appui logistique à l’organisation du scrutin au nom de sa souveraineté. Mais beaucoup d’observateurs doutent de la capacité de Kinshasa à financer ces élections. Pensez-vous que Kabila devrait accepter cette aide extérieure ?
Joseph Kabila a dit clairement, devant le corps constitué, « nous ne voulons pas de financement extérieur, nous même nous nous suffisons ». Je suppose qu’un président de la République ne peut pas dire ça, urbi et orbi, sans qu’il ait pris toutes les dispositions nécessaires pour que les élections se déroulent dans la transparence.
D’autres estiment que cela pourrait être in fine un argument utilisé pour un nouveau report du scrutin.
Si cela s’avère exact, ce serait très grave pour le président. Non, il faut que les élections se tiennent le 23 décembre et la parole du président doit rester crédible.
Pensez-vous que pour les condamnés à mort de 2003, qui ont été condamnés suite à l’assassinat de Laurent-Désiré Kabila, l’heure du pardon et de la grâce est venue aujourd’hui ?
Oui, je crois.
Ce sont des innocents qui sont en prison ?
Ça, je ne sais pas le dire mais s’ils ont commis un crime politique, ce crime politique doit bénéficier de l’amnistie.
Vous avez déjà porté ce message à Joseph Kabila ?
Nous en avons parlé quelques fois.
Qu’est-ce qu’il vous a répondu ?
Mais à ce moment-là, il n’était pas prêt, mais aujourd’hui, je crois, l’eau a coulé sous les ponts, il doit être prêt. Il pourrait faire bénéficier soit de la grâce, soit de l’amnistie."
"RDC: « Mon souhait est que Katumbi rentre et se présente à la présidentielle » (Kengo)"
° http://www.congoindependant.com/rdc-mon-souhait-est-que-katumbi-rentre-et-se-presente-a-la-presidentielle-kengo/
"Kengo s’émancipe du FCC : « Cette charte ne veut pas dire qu’on doit soutenir obligatoirement Shadary »"
° https://cas-info.ca/kengo-semancipe-du-fcc-cette-charte-ne-veut-pas-dire-quon-doit-soutenir-obligatoirement-shadary/
"RDC: Pour kengo, Katumbi et Bemba doivent pouvoir être candidats"
° https://afrique.lalibre.be/23369/rdc-le-president-du-senat-plaide-pour-le-retour-de-katumbi/
"RDC : « La charte du FCC ne veut pas dire qu’on doit obligatoirement soutenir Shadary » (Kengo)"
° https://actualite.cd/2018/08/21/rdc-la-charte-du-fcc-ne-veut-pas-dire-quon-doit-obligatoirement-soutenir-shadary-kengo/
"RDC: L. Kengo plaide pour le retour de M. Katumbi et lui conseille de solliciter l’amnistie de J. Kabila"
° http://7sur7.cd/new/rdc-l-kengo-plaide-pour-le-retour-de-m-katumbi-et-lui-conseille-de-solliciter-lamnistie-de-j-kabila/
"RDC: Pour Léon Kengo, Jean-Pierre Bemba est éligible à la prochaine Présidentielle"
° https://www.politico.cd/actualite/la-une/2018/08/21/rdc-pour-leon-kengo-jean-pierre-bemba-est-eligible-a-la-prochaine-presidentielle.html
"Course à la présidence: Le schéma Bemba mis à nu"
° http://groupelavenir.org/course-a-la-presidence-le-schema-bemba-mis-a-nu/
"Présidentielle 2018. Bemba : le schéma en difficulté !"
° https://laprosperiteonline.net/2018/08/20/presidentielle-2018-bemba-le-schema-en-difficulte/
"LE CAS BEMBA À L’ÉPREUVE DE L’ABC DE L’ETAT DE DROIT"
° http://www.forumdesas.org/spip.php?article16740
° http://www.forumdesas.org/spip.php?article16746
"Excès de zèle"
° http://www.lepotentielonline.com/
"Un collectif des avocats contre-attaque le mandat international lancé par Kinshasa"
° http://www.lepotentielonline.com/
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: Le cas de Katumbi chapwe
"Katumbi : “Je n’ai pas besoin d’être amnistié parce que je n’ai rien fait”"
° http://actualite.cd/2018/08/22/katumbi-je-nai-pas-besoin-detre-amnistie-parce-que-je-nai-rien-fait/
L’ex-gouverneur du Katanga, Moïse Katumbi, condamné à 3 ans de prison rejette la proposition du président du sénat, Kengo wa Dondo, de demander l’amnistie auprès du président Joseph Kabila. Kengo, qui a fait cette proposition lors d’une interview à la RFI estime que l’amnistie permettrait à Katumbi de rentrer au pays.
“Moise Katumbi n’a pas besoin d’être amnistié parce que je n’ai rien fait”, a rétorqué le président d’Ensemble mardi lors d’une conférence de presse en son cabinet à Bruxelles, préférant insister sur l’inclusivité des élections.
“Les élections doivent être transparentes et inclusives si nous voulons la paix dans notre pays. Le président Kengo a bien souligné que c’était des procès politiques. Je demanderais à Monsieur Kabila d’abandonner ces procès”, a ajouté Moïse Katumbi.
Candidat déclaré à la présidentielle de cette année, l’ancien membre du camp présidentiel n’a pas pu rentrer au pays pour déposer son dossier de candidature à la Commission électorale nationale indépendante (CENI), suite aux multiples ennuis judiciaires, notamment celui relatif à sa nationalité.
“J’ai vu une liste des gens qui ont la double nationalité et on présente Moise Katumbi comme un italien. Il faut alors laisser le gouvernement italien m’arrêter. Je suis un congolais. Je suis né au Congo, heureusement même l’aide-accoucheuse là vit encore. J’ai des amis avec qui on a grandi, j’ai joué dans la cité, j’ai fait l’internat, j’avais ma carte du Zaïre, j’étais même en train de la regarder aujourd’hui (mardi)”, a-t-il martelé, qualifiant de “sa campagne” les poursuites judiciaires dont il fait l’objet.
Mardi, Lambert Mende, porte-parole du gouvernement a affirmé que le mandat d’arrêt international lancé par les autorités congolaises contre Katumbi reste valable et donc exécutoire en vertu de l’article 103 du code de procédure pénale. Ce, contrairement aux explications de la défense qu’il n’a pas hésité de qualifier de “tricherie intellectuelle”, car affirmant que ledit mandat d’arrêt international est inopportun, l’opposant n’étant pas fugitif et n’ayant jamais été condamné par un jugement irrévocable.
“Le prévenu qui était en état de détention au moment du jugement ou dont l’arrestation immédiate a été ordonnée par le Tribunal, demeure en cet état nonobstant appels (alinéa 1); toutefois il peut demander à la juridiction d’appel sa mise en liberté ou sa mise en liberté provisoire… (alinéa 2)”, a écrit Lambert Mende qui précise que l’opposant peut “trouver son salut que, si et seulement si, déjà en détention”.
Mais pour Katumbi, cela relève d’une “distraction” pour éviter “d’organiser les élections”. “Le mandat d’arrêt international est lancé contre un italien?”, s’interroge le président d’Ensemble avant de réitérer son retour au pays.
“Le Congo a beaucoup de frontières, je passerai peut-être par Goma, je passerai peut-être par Kinshasa. Je suis libre, je vais rentrer chez nous”, a souligné Moise Katumbi, parlant de ses tentatives de rentrer par le poste frontalier de Kasumbalesa en début août en provenance de la Zambie."
"Conférence de presse de Katumbi : Eclaircissements sur les événement de Kasumbalesa"
"Moise Katumbi, J Kabila a abandonné le 3è faux penalty, que du gachis"
"Mandat d’arrêt international : “Katumbi ne peut trouver son salut que si déjà en détention”, insiste Mende"
° http://actualite.cd/2018/08/21/mandat-darret-international-katumbi-ne-peut-trouver-son-salut-que-si-deja-en-detention-insiste-mende/
"Moïse Katumbi se dit heureux que le "3e faux penalty n’ait pas été tiré" en RDC"
° https://www.mediacongo.net/article-actualite-41428_moise_katumbi_se_dit_heureux_que_le_3e_faux_penalty_n_ait_pas_ete_tire_en_rdc.html
"CANDIDATURE DE KATUMBI : LA CHARITÉ BIEN TARDIVE DE KENGO"
° http://www.lobservateur.bf/index.php?option=com_k2&view=item&id=2990:candidature-de-katumbi-la-charit%C3%A9-bien-tardive-de-kengo&Itemid=148
"Retour de Katumbi : Kengo tacle Kabila"
° http://www.lepotentielonline.com/
"REVUE DE PRESSE AFRIQUE
A la Une: le débat sur la présidentielle se corse en RDC"
° http://www.rfi.fr/emission/20180822-une-le-debat-presidentielle-corse-rdc
"RDC-présidentielle: Katumbi projette une table-ronde pour parler de la candidature de l’opposition"
° https://actualite.cd/2018/08/22/rdc-presidentielle-katumbi-projette-une-table-ronde-pour-parler-de-la-candidature-de-lopposition/
"Affaire Katumbi : « L’intervention de Kengo montre que nous avons affaire à un procès politique » (Sessanga)"
° https://www.radiookapi.net/2018/08/22/actualite/politique/affaire-katumbi-lintervention-de-kengo-montre-que-nous-avons-affaire
"L’appel des églises"
° http://www.lepotentielonline.com/
"Non… Monsieur Kengo !"
° http://www.lephareonline.net/non-monsieur-kengo/
"KENGO : CONTROVERSE ET MYSTÈRE AUTOUR D’UNE INTERVIEW"
° https://www.forumdesas.org/spip.php?article16771
° https://www.radiookapi.net/2018/08/17/actualite/en-bref/rdc-le-mandat-darret-international-contre-moise-katumbi-est-un
° https://cas-info.ca/le-conseil-oecumenique-exhorte-la-ceni-a-prendre-des-mesures-courageuses-pour-garantir-la-tenue-des-elections-credibles-pacifiques-et-inclusives/
° https://www.radiookapi.net/2018/08/16/actualite/justice/mandat-darret-international-contre-moise-katumbi-un-theatre-de-mauvais
° http://www.lephareonline.net/affaire-katumbi-lensemble-prepare-actions-de-rue/
° http://www.latempete.info/apres-deux-tentatives-avortees-retour-de-moise-katumbi-au-pays-ensemble-pour-le-changement-ne-capitule-pas/
° https://www.mediacongo.net/article-actualite-41338_presidentielle_2018_jean_claude_vuemba_appelle_au_boycott_des_elections_sans_moise_katumbi.html
° http://www.jeuneafrique.com/618213/politique/rdc-le-president-du-senat-appelle-a-la-participation-de-moise-katumbi-a-lelection-presidentielle/
° https://afrique.lalibre.be/23369/rdc-le-president-du-senat-plaide-pour-le-retour-de-katumbi/
° http://www.jeuneafrique.com/617348/politique/rdc-un-meeting-des-partisans-de-katumbi-empeche-a-lubumbashi/
° http://www.rfi.fr/afrique/20180811-rdc-soutiens-moise-katumbi-saisissent-le-conseil-etat
° https://cas-info.ca/mende-a-kengo-la-charte-dit-clairement-que-les-membres-vont-soutenir-une-seule-candidature-a-la-presidentielle/
° http://www.congoactuel.com/moise-katumbi-sera-arrete-des-son-arrivee-a-lubumbashi-police/
"RDC : à la recherche du candidat unique de l’opposition
° http://afrikarabia.com/wordpress/rdc-a-la-recherche-du-candidat-unique-de-lopposition/
° https://laprosperiteonline.net/2018/08/21/candidature-commune-de-lopposition-jean-marc-kabund-ludps-ne-soutiendra-que-felix-tshisekedi/
Compatriotiquement!
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ndonzwau
Re: Le cas de Katumbi chapwe
PS
Compatriotiquement!
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# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
"Moïse Katumbi: « J’aime beaucoup relever les défis… »
° http://www.congoindependant.com/moise-katumbi-jaime-beaucoup-relever-les-defis/
Le bras de fer Katumbi-« Kabila » continue à tenir en haleine l’opinion tant congolaise qu’internationale. Mardi 21 août, l’ancien gouverneur du Katanga est sorti de son silence après sa tentative d’entrer au pays pour se faire enrôler et déposer son dossier de candidature à l’élection présidentielle prévue le 23 décembre. Il a animé un point de presse restreint aux médias citoyens de la diaspora congolaise de Belgique. Les bureaux bruxellois de la coalition politique « Ensemble pour le changement » ont servi de cadre. C’était pour lui l’occasion de commenter l’évolution du processus électoral et de donner de plus amples détails sur son voyage. Dans un mot introductif, Olivier Kamitatu Etsu, directeur de cabinet et porte-parole de Moïse Katumbi Chapwe a précisé qu’il est désormais clair que « toutes les actions » menées contre celui-ci « relevaient de la mascarade judiciaire ». Selon lui, le remplacement du passeport semi-biométrique par le « biométrique » avait pour but d’empêcher Katumbi de poursuivre « son intense campagne diplomatique pour le respect de la Constitution, de l’Accord de la Saint Sylvestre et de la tenue des élections crédibles ». Pour « Olivier », face à une série de déconvenues, « Joseph Kabila » a fini par recourir aux « voies de fait ». Objectif: empêcher l’ancien gouverneur du Katanga d’aller déposer sa candidature. Ambiance!
« LE TROISIÈME FAUX PENALTY »
Mardi 21 août, « Moïse », comme l’appellent ses proches et sympathisants, n’était pas comme à son habitude tiré à quatre épingles. Il s’est présenté vêtu d’un polo de couleur blanche et d’un veston.
Avant de répondre aux questions des représentants des médias congolais, il a évoqué les incendies qui ont ravagé plusieurs dizaines de maisons à Bukavu. « Au lieu de s’occuper des problèmes qui touchent au bien-être de la population, le pouvoir en place préfère s’occuper de Moïse Katumbi », lance-t-il. Et d’annoncer, dans la foulée, qu’une délégation du regroupement politique « Ensemble pour le changement » sera dépêchée au chef-lieu du Sud-Kivu pour assister « nos frères ».
Comment va-t-il après son voyage mouvementé à Kasumbalesa? « Je vais très bien ». Il ajoute aussitôt: « Je suis en forme. J’aime beaucoup relever les défis ». Taquin, Katumbi d’estimer que « c’est le Front pour le Congo (FCC) et Monsieur Kabila qui doivent passer des moments difficiles ». Et ce pour n’avoir pas pu « marquer le troisième faux penalty ». Optimiste, l’ancien gouverneur dit haut et fort son espoir de rentrer au pays afin de postuler. « Il nous reste encore les mois de septembre, octobre et novembre », fait-il remarquer.
De retour d’un long « séjour médical » en Europe, Katumbi, alors gouverneur du « Grand Katanga » est arrivé le 23 décembre 2014 à Lubumbashi. Il reçut un accueil digne d’une « star ». Devant une foule immense venue l’écouter à la Place de la poste, il lance sa célèbre métaphore du « troisième faux pénalty inacceptable ». Chacun est allé de son interprétation. « Joseph Kabila » – qui par personnes interposées ne faisait plus mystère de son ambition de briguer un troisième mandat – se trouvait en villégiature dans ses fermes de Kashamata et de Kundelungu. Les propos du « Gouv' » seront interprétés comme un « affront personnel » au « raïs ». C’est la « guerre »! En septembre 2015, « Moïse » démissionne de son poste de gouverneur avant de prendre le chemin de l’exil en juin 2016 dans les conditions que l’on sait.
« PROCÈS POLITIQUES »
Tout au long de ce point de presse, l’orateur va répéter à plusieurs reprises sa « grande joie » de voir que « Joseph Kabila » a choisi son « dauphin ».
Que pense-t-il de l’interview accordée à Radio France Internationale mardi 21 août par le président du sénat Léon Kengo wa Dondo? Dans cet entretien, ce dernier a exhorté implicitement Katumbi de solliciter une « amnistie » auprès du Président de la République.
Après avoir reconnu la pertinence de certains propos tenus par le Président de la Chambre haute du Parlement à savoir notamment l’inclusivité qui doit caractériser les consultations politiques à venir, l’ancien gouverneur lance: « Je n’ai pas besoin d’être amnistié ». Pour lui, la raison est simple: « Je n’ai rien fait ». Il invite aussitôt « Monsieur Kabila » à abandonner les « procès politiques » ouverts contre lui.
Pour Katumbi, le plus important maintenant est de faire en sorte que les élections soient libres, transparentes et inclusives. Il n’a pas omis la sacro-sainte « unité de l’opposition ». Il remercie, au passage, « ses frères » de l’opposition (Félix Tshisekedi, Martin Fayulu, Jean-Pierre Bemba, Vital Kamerhe et Freddy Matungulu) pour leur soutien.
Pour lui, les forces de l’opposition ne doivent pas retomber dans les erreurs commises lors de la présidentielle de 2011 en se présentant en ordre dispersé. « Il n’y a qu’un seul poste de Président de la République. Nous allons nous réunir pour évoquer la question relative au candidat commun de l’opposition », souligne-t-il. « Si on choisit quelqu’un d’autres que ce soit Jean-Pierre Bemba, Felix Tshisekedi, Martin Fayulu ou Vital Kamerhe, nous allons l’accompagner ». Et de marteler: « Le plus important pour les forces de l’opposition est d’avoir un seul candidat ».
DES VIES HUMAINES BROYÉES
Olivier Kamitatu et Moïse Katumbi
Katumbi Chapwe s’est montré intransigeant en ce qui concerne la « machine à voter »: « Nous ne pouvons en aucun cas accepter cette machine à voter ». De même, il exige l’audit du fichier électoral de la Commission électorale nationale indépendante afin d’élaguer les 10 millions d’enrôlés sans empreintes digitales.
Qu’en est-il du mandat d’arrêt international émis à son encontre? Pour lui, cette annonce relève de la « pure distraction ». A l’appui de cette thèse, il lance: « S’il y avait un mandat d’arrêt international, je ne pourrais pas être avec vous ». Et de s’étonner avec une pointe d’ironie de voir l’Etat congolais délivrer un mandat contre un « citoyen italien »
Il a, par ailleurs, abordé la question relative à la fameuse liste des personnes détenant une nationalité étrangère. Après avoir noté que la mention « Italien » est reprise à côté de son nom sur ladite liste, l’ancien gouverneur n’a pas caché sa stupéfaction de n’y avoir trouvé aucun détenteur de la nationalité tanzanienne. « Sur cette liste, je n’ai pas vu des Tanzaniens alors que nous les connaissons ». Une allusion claire à « Joseph Kabila » et sa fratrie. Il poursuit: « Les gens venus de la Tanzanie étaient entrés au pays avec quels documents d’identité? Lorsque Joseph Kabila est venu de la Tanzanie détenait-il un passeport zaïrois? »
Pour Katumbi, le pouvoir kabiliste cherche à détourner l’attention de la population de véritables enjeux. « Nous n’allons pas donner un jour de plus au président Kabila », dit-il. A-t-il un problème particulier avec « Kabila »? « Je n’ai pas de problème personnel avec Joseph Kabila. Notre différend trouve son origine dans le non-respect de la Constitution ».
Pour lui, c’est un gâchis au regard de toutes les vies humaines broyées. Il conclut: « Aucun Congolais ne votera pour le FCC. Voter pour le FCC équivaut à voter pour des assassins. Je regrette tous ces morts inutiles. C’est là que Joseph Kabila a trahi le peuple congolais »."[/size]
Compatriotiquement!
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# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
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Re: Le cas de Katumbi chapwe
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# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
"Moïse Katumbi: « J’aime beaucoup relever les défis… »
° http://www.congoindependant.com/moise-katumbi-jaime-beaucoup-relever-les-defis/
Le bras de fer Katumbi-« Kabila » continue à tenir en haleine l’opinion tant congolaise qu’internationale. Mardi 21 août, l’ancien gouverneur du Katanga est sorti de son silence après sa tentative d’entrer au pays pour se faire enrôler et déposer son dossier de candidature à l’élection présidentielle prévue le 23 décembre. Il a animé un point de presse restreint aux médias citoyens de la diaspora congolaise de Belgique. Les bureaux bruxellois de la coalition politique « Ensemble pour le changement » ont servi de cadre. C’était pour lui l’occasion de commenter l’évolution du processus électoral et de donner de plus amples détails sur son voyage. Dans un mot introductif, Olivier Kamitatu Etsu, directeur de cabinet et porte-parole de Moïse Katumbi Chapwe a précisé qu’il est désormais clair que « toutes les actions » menées contre celui-ci « relevaient de la mascarade judiciaire ». Selon lui, le remplacement du passeport semi-biométrique par le « biométrique » avait pour but d’empêcher Katumbi de poursuivre « son intense campagne diplomatique pour le respect de la Constitution, de l’Accord de la Saint Sylvestre et de la tenue des élections crédibles ». Pour « Olivier », face à une série de déconvenues, « Joseph Kabila » a fini par recourir aux « voies de fait ». Objectif: empêcher l’ancien gouverneur du Katanga d’aller déposer sa candidature. Ambiance!
« LE TROISIÈME FAUX PENALTY »
Mardi 21 août, « Moïse », comme l’appellent ses proches et sympathisants, n’était pas comme à son habitude tiré à quatre épingles. Il s’est présenté vêtu d’un polo de couleur blanche et d’un veston.
Avant de répondre aux questions des représentants des médias congolais, il a évoqué les incendies qui ont ravagé plusieurs dizaines de maisons à Bukavu. « Au lieu de s’occuper des problèmes qui touchent au bien-être de la population, le pouvoir en place préfère s’occuper de Moïse Katumbi », lance-t-il. Et d’annoncer, dans la foulée, qu’une délégation du regroupement politique « Ensemble pour le changement » sera dépêchée au chef-lieu du Sud-Kivu pour assister « nos frères ».
Comment va-t-il après son voyage mouvementé à Kasumbalesa? « Je vais très bien ». Il ajoute aussitôt: « Je suis en forme. J’aime beaucoup relever les défis ». Taquin, Katumbi d’estimer que « c’est le Front pour le Congo (FCC) et Monsieur Kabila qui doivent passer des moments difficiles ». Et ce pour n’avoir pas pu « marquer le troisième faux penalty ». Optimiste, l’ancien gouverneur dit haut et fort son espoir de rentrer au pays afin de postuler. « Il nous reste encore les mois de septembre, octobre et novembre », fait-il remarquer.
De retour d’un long « séjour médical » en Europe, Katumbi, alors gouverneur du « Grand Katanga » est arrivé le 23 décembre 2014 à Lubumbashi. Il reçut un accueil digne d’une « star ». Devant une foule immense venue l’écouter à la Place de la poste, il lance sa célèbre métaphore du « troisième faux pénalty inacceptable ». Chacun est allé de son interprétation. « Joseph Kabila » – qui par personnes interposées ne faisait plus mystère de son ambition de briguer un troisième mandat – se trouvait en villégiature dans ses fermes de Kashamata et de Kundelungu. Les propos du « Gouv' » seront interprétés comme un « affront personnel » au « raïs ». C’est la « guerre »! En septembre 2015, « Moïse » démissionne de son poste de gouverneur avant de prendre le chemin de l’exil en juin 2016 dans les conditions que l’on sait.
« PROCÈS POLITIQUES »
Tout au long de ce point de presse, l’orateur va répéter à plusieurs reprises sa « grande joie » de voir que « Joseph Kabila » a choisi son « dauphin ».
Que pense-t-il de l’interview accordée à Radio France Internationale mardi 21 août par le président du sénat Léon Kengo wa Dondo? Dans cet entretien, ce dernier a exhorté implicitement Katumbi de solliciter une « amnistie » auprès du Président de la République.
Après avoir reconnu la pertinence de certains propos tenus par le Président de la Chambre haute du Parlement à savoir notamment l’inclusivité qui doit caractériser les consultations politiques à venir, l’ancien gouverneur lance: « Je n’ai pas besoin d’être amnistié ». Pour lui, la raison est simple: « Je n’ai rien fait ». Il invite aussitôt « Monsieur Kabila » à abandonner les « procès politiques » ouverts contre lui.
Pour Katumbi, le plus important maintenant est de faire en sorte que les élections soient libres, transparentes et inclusives. Il n’a pas omis la sacro-sainte « unité de l’opposition ». Il remercie, au passage, « ses frères » de l’opposition (Félix Tshisekedi, Martin Fayulu, Jean-Pierre Bemba, Vital Kamerhe et Freddy Matungulu) pour leur soutien.
Pour lui, les forces de l’opposition ne doivent pas retomber dans les erreurs commises lors de la présidentielle de 2011 en se présentant en ordre dispersé. « Il n’y a qu’un seul poste de Président de la République. Nous allons nous réunir pour évoquer la question relative au candidat commun de l’opposition », souligne-t-il. « Si on choisit quelqu’un d’autres que ce soit Jean-Pierre Bemba, Felix Tshisekedi, Martin Fayulu ou Vital Kamerhe, nous allons l’accompagner ». Et de marteler: « Le plus important pour les forces de l’opposition est d’avoir un seul candidat ».
DES VIES HUMAINES BROYÉES
Olivier Kamitatu et Moïse Katumbi
Katumbi Chapwe s’est montré intransigeant en ce qui concerne la « machine à voter »: « Nous ne pouvons en aucun cas accepter cette machine à voter ». De même, il exige l’audit du fichier électoral de la Commission électorale nationale indépendante afin d’élaguer les 10 millions d’enrôlés sans empreintes digitales.
Qu’en est-il du mandat d’arrêt international émis à son encontre? Pour lui, cette annonce relève de la « pure distraction ». A l’appui de cette thèse, il lance: « S’il y avait un mandat d’arrêt international, je ne pourrais pas être avec vous ». Et de s’étonner avec une pointe d’ironie de voir l’Etat congolais délivrer un mandat contre un « citoyen italien »
Il a, par ailleurs, abordé la question relative à la fameuse liste des personnes détenant une nationalité étrangère. Après avoir noté que la mention « Italien » est reprise à côté de son nom sur ladite liste, l’ancien gouverneur n’a pas caché sa stupéfaction de n’y avoir trouvé aucun détenteur de la nationalité tanzanienne. « Sur cette liste, je n’ai pas vu des Tanzaniens alors que nous les connaissons ». Une allusion claire à « Joseph Kabila » et sa fratrie. Il poursuit: « Les gens venus de la Tanzanie étaient entrés au pays avec quels documents d’identité? Lorsque Joseph Kabila est venu de la Tanzanie détenait-il un passeport zaïrois? »
Pour Katumbi, le pouvoir kabiliste cherche à détourner l’attention de la population de véritables enjeux. « Nous n’allons pas donner un jour de plus au président Kabila », dit-il. A-t-il un problème particulier avec « Kabila »? « Je n’ai pas de problème personnel avec Joseph Kabila. Notre différend trouve son origine dans le non-respect de la Constitution ».
Pour lui, c’est un gâchis au regard de toutes les vies humaines broyées. Il conclut: « Aucun Congolais ne votera pour le FCC. Voter pour le FCC équivaut à voter pour des assassins. Je regrette tous ces morts inutiles. C’est là que Joseph Kabila a trahi le peuple congolais »."[/size]
Compatriotiquement!
PS
"Qualifiant de « tricherie intellectuelle » Le Gouvernement contredit les avocats de Katumbi"
° http://groupelavenir.org/qualifiant-de-tricherie-intellectuelle-le-gouvernement-contredit-les-avocats-de-katumbi/
° https://www.mediacongo.net/article-actualite-41452_mandat_d_arret_international_contre_moise_katumbi_le_gouvernement_contredit_les_avocats_de_l_ancien_gouverneur.html
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Dernière édition par ndonzwau le 23/8/2018, 5:04 pm, édité 1 fois
ndonzwau
Re: Le cas de Katumbi chapwe
zobattants a écrit:Mbuta, personne ne refuse que Katumbi retourne au congo.Arafat a écrit:Laissez Katumbi rentrer au pays et allons tous aux élections, pourquoi avez-vous si peur de lui? On ne vous demande pas d´aller écraser les testicules du pape sinon l´inclusivité aux élections.
Comme on dit chez nous : Ntaku nkomi yi lendi ntaku mvuanza vedire la fesse gauche doit être traitée de la même façon que la fesse droite
Il est originaire du congo puisque ne au congo.
le probleme est que Katumbi a perdu sa nationalite congolaise des qu'il avait acquis celle de la Zambie ensuite celle de l'italie.
le monsieur, croyant etre plus malin que les autres, il abandonna la nationalite Zambienne, mais garda celle de l'italie pendant 17 ans.( deja il est poursuivable par la justice pour avoir cache qu'il n'etait plus congolais.)
-Katumbi, n'a jamais introduit la demande pour reprendre sa nationalite congolaise...
Yango, ba maffioso ya politique congolaise bazalaka kaka na ba nationalite italienne? Cas Diomi et Katumbi.
Ton Kabila est de quelle nationalité? Pour une fois sois honnête on lui reproche d'avoir une autre nationalité et beaucoup des députés, sénateurs, gouverneurs et autres dans nos instances ont d'autres nationalités donc la loi ne s'applique que pour Katumbi omoni bozoba na bino?
mongo elombe
Re: Le cas de Katumbi chapwe
Nous savons tous que Kabila est de Nationalite congolaise. Soki olingi ko creer realite nayo etali yo na Ngbanda...mongo elombe a écrit:zobattants a écrit:Mbuta, personne ne refuse que Katumbi retourne au congo.Arafat a écrit:Laissez Katumbi rentrer au pays et allons tous aux élections, pourquoi avez-vous si peur de lui? On ne vous demande pas d´aller écraser les testicules du pape sinon l´inclusivité aux élections.
Comme on dit chez nous : Ntaku nkomi yi lendi ntaku mvuanza vedire la fesse gauche doit être traitée de la même façon que la fesse droite
Il est originaire du congo puisque ne au congo.
le probleme est que Katumbi a perdu sa nationalite congolaise des qu'il avait acquis celle de la Zambie ensuite celle de l'italie.
le monsieur, croyant etre plus malin que les autres, il abandonna la nationalite Zambienne, mais garda celle de l'italie pendant 17 ans.( deja il est poursuivable par la justice pour avoir cache qu'il n'etait plus congolais.)
-Katumbi, n'a jamais introduit la demande pour reprendre sa nationalite congolaise...
Yango, ba maffioso ya politique congolaise bazalaka kaka na ba nationalite italienne? Cas Diomi et Katumbi.
Ton Kabila est de quelle nationalité? Pour une fois sois honnête on lui reproche d'avoir une autre nationalité et beaucoup des députés, sénateurs, gouverneurs et autres dans nos instances ont d'autres nationalités donc la loi ne s'applique que pour Katumbi omoni bozoba na bino?
Quand les kabila vivaient en cachette parce que Mzee a decide de combattre la dictature de Mobutu, toi, tu dansais dans le groupe Kake pour honorer ton guide et lui exprimer ton amour...Voila
zobattants
Re: Le cas de Katumbi chapwe
zobattants a écrit:Nous savons tous que Kabila est de Nationalite congolaise. Soki olingi ko creer realite nayo etali yo na Ngbanda...mongo elombe a écrit:zobattants a écrit:Mbuta, personne ne refuse que Katumbi retourne au congo.Arafat a écrit:Laissez Katumbi rentrer au pays et allons tous aux élections, pourquoi avez-vous si peur de lui? On ne vous demande pas d´aller écraser les testicules du pape sinon l´inclusivité aux élections.
Comme on dit chez nous : Ntaku nkomi yi lendi ntaku mvuanza vedire la fesse gauche doit être traitée de la même façon que la fesse droite
Il est originaire du congo puisque ne au congo.
le probleme est que Katumbi a perdu sa nationalite congolaise des qu'il avait acquis celle de la Zambie ensuite celle de l'italie.
le monsieur, croyant etre plus malin que les autres, il abandonna la nationalite Zambienne, mais garda celle de l'italie pendant 17 ans.( deja il est poursuivable par la justice pour avoir cache qu'il n'etait plus congolais.)
-Katumbi, n'a jamais introduit la demande pour reprendre sa nationalite congolaise...
Yango, ba maffioso ya politique congolaise bazalaka kaka na ba nationalite italienne? Cas Diomi et Katumbi.
Ton Kabila est de quelle nationalité? Pour une fois sois honnête on lui reproche d'avoir une autre nationalité et beaucoup des députés, sénateurs, gouverneurs et autres dans nos instances ont d'autres nationalités donc la loi ne s'applique que pour Katumbi omoni bozoba na bino?
Quand les kabila vivaient en cachette parce que Mzee a decide de combattre la dictature de Mobutu, toi, tu dansais dans le groupe Kake pour honorer ton guide et lui exprimer ton amour...Voila
Bozoba esila te les Kabila vivait en cachette? Comme ton Kabila tu répètes sans réfléchir de toi m^me. Kieee ce que tu fais depuis des années ce n'est pas un déni des réalités? Nga jamais nakomelela Mobutu mbodo lokola yo oui nous avons eu deux périodes mais toi ton incompétent de Kabila tue et tue le Congo avec ses médiocre toujours en train de lui exprimer ton amour.
Botika Katumbi azonga bandes de peureux.
mongo elombe
Re: Le cas de Katumbi chapwe
A propos de Katumbi !?
Certains d’entre nous lui refusent d'emblée la qualité d’opposant crédible en raison de son itinéraire marqué par sa longue connivence avec le régime, d’autres l’excommunient à l’avance pour la possession d’une nationalité étrangère (italienne voire zambienne), d’autres encore le rejettent pour des capacités (intellectuelles) insuffisantes ou pour une personnalité avec éthique douteuse pour un futur Magistrat Suprême…
Moi à ce stade je porte sur son cas un jugement différent sinon différé mais m'empresse aussitôt de spécifier que je n’ai aucune proximité tribalo-régionale ni ne partage vraiment une idéologie politique avec lui, (ce serait même le contraire, car en effet mes convictions sont moins libérales - du point de vue économique s’entend - que peuvent être les siennes).
Dans tous le cas je ne viens pas porter ici un jugement vraiment politique, cela viendra sans doute en son temps, pour lui comme pour tous les autres candidats ;c'est la procédure qui me heurte …
Ainsi donc selon moi, le problème principal que pose le cas Katumbi aujourd’hui est qu’on lui refuse indûment de présenter sa candidature à la présidentielle en refusant cavalièrement son retour au pays !
On aurait pas tort d"en déduire que "JK' y instrumentalise une haine personnelle et en a peur qu''il batte son camp et partant lui-même. Inacceptable !
A-t-il une autre nationalité que la Congolaise, italienne ou zambienne, pour être écarté de la liste des candidats ?
Pour le mieux, ce n’est ni au Président, ni à son Gouvernement via ses ministres notamment de la Justice et notre fameux Tchaku, son porte-parole, ni à la Ceni qui n’est qu’un organe administratif ni à la presse ni même au peuple à travers ses rumeurs de le décréter mais à une décision de justice par exemple lorsque sa candidature sera soumise aux instances judiciaires pour validation.
Entre-temps on sait de lui sans discussion qu’il est né au Katanga, d’un père d’origine étrangère et d’une mère Congolaise (ses origines partagées entre le Congo belge, Zaïre/Congo et la Zambie sont une réalité commune aux frontières, mais il semble bien qu’elle ait opté ou avait été Zaïro-Congolaise de son vivant), il a grandi, étudié et travaillé au Zaïre/Congo, ses voisins et condisciples de classe peuvent en témoigner contrairement à certains autres imposteurs.
Des affaires le concernant lui interdisent-elles de candidater ? Là aussi ça se discute on subodore à l’avance que les condamnations expéditives qui lui été infligées ont de toute évidence ont été fondées sur des considérations politiques plutôt que vraiment juridiques. Katumbi me semble donc autorisé à les contester et à bénéficier d'une instruction et d'un jugement plus légal
Plus généralement, a-t-il un profil à travers sa personnalité et son itinéraire qui en fait candidat moins indiqué ? C’est d’abord au peuple d’en décider via les urnes et pas aux oukases épars des uns et des autres.
Particulièrement ne convoquer principalement à la barre que sa connivence passée avec le régime est peut-être un motif nécessaire mais pas suffisant à mon avis : de toujours et partout on connait ses divorces en politique sur des prétextes avouables ou non avouables, ils n'ont pas toujours interdit à un protagoniste de prouver par la suite son meilleur. Que des divorces ne connaissons-nous pas d’ailleurs dans la vie commune, ils sont sans doute regrettables jamais rédhibitoires à condamner pour toujours la dignité des protagonistes.
Mutatis mutandis, personnellement j’ai pris le parti d’approuver ses protestations : le procès qui lui est fait est d’abord politicien, illégal, dans tous les cas prématuré sinon arbitraire ; cela lui donne le droit de rentrer au pays et de présenter sa candidature quitte entre-temps que l’arbitraire ambiant continue et le mette en prison mais alors qu’on lui permettre une défense équitable…
Voilà mon son différent : pour moi rejoindre la meute qui l’excommunie à l’avance c’est non seulement participer du même arbitraire que nous désapprouvons dans ce régime mais aussi réhabiliter quelque part les méfaits du régime et ainsi le conforter !
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Certains d’entre nous lui refusent d'emblée la qualité d’opposant crédible en raison de son itinéraire marqué par sa longue connivence avec le régime, d’autres l’excommunient à l’avance pour la possession d’une nationalité étrangère (italienne voire zambienne), d’autres encore le rejettent pour des capacités (intellectuelles) insuffisantes ou pour une personnalité avec éthique douteuse pour un futur Magistrat Suprême…
Moi à ce stade je porte sur son cas un jugement différent sinon différé mais m'empresse aussitôt de spécifier que je n’ai aucune proximité tribalo-régionale ni ne partage vraiment une idéologie politique avec lui, (ce serait même le contraire, car en effet mes convictions sont moins libérales - du point de vue économique s’entend - que peuvent être les siennes).
Dans tous le cas je ne viens pas porter ici un jugement vraiment politique, cela viendra sans doute en son temps, pour lui comme pour tous les autres candidats ;c'est la procédure qui me heurte …
Ainsi donc selon moi, le problème principal que pose le cas Katumbi aujourd’hui est qu’on lui refuse indûment de présenter sa candidature à la présidentielle en refusant cavalièrement son retour au pays !
On aurait pas tort d"en déduire que "JK' y instrumentalise une haine personnelle et en a peur qu''il batte son camp et partant lui-même. Inacceptable !
A-t-il une autre nationalité que la Congolaise, italienne ou zambienne, pour être écarté de la liste des candidats ?
Pour le mieux, ce n’est ni au Président, ni à son Gouvernement via ses ministres notamment de la Justice et notre fameux Tchaku, son porte-parole, ni à la Ceni qui n’est qu’un organe administratif ni à la presse ni même au peuple à travers ses rumeurs de le décréter mais à une décision de justice par exemple lorsque sa candidature sera soumise aux instances judiciaires pour validation.
Entre-temps on sait de lui sans discussion qu’il est né au Katanga, d’un père d’origine étrangère et d’une mère Congolaise (ses origines partagées entre le Congo belge, Zaïre/Congo et la Zambie sont une réalité commune aux frontières, mais il semble bien qu’elle ait opté ou avait été Zaïro-Congolaise de son vivant), il a grandi, étudié et travaillé au Zaïre/Congo, ses voisins et condisciples de classe peuvent en témoigner contrairement à certains autres imposteurs.
Des affaires le concernant lui interdisent-elles de candidater ? Là aussi ça se discute on subodore à l’avance que les condamnations expéditives qui lui été infligées ont de toute évidence ont été fondées sur des considérations politiques plutôt que vraiment juridiques. Katumbi me semble donc autorisé à les contester et à bénéficier d'une instruction et d'un jugement plus légal
Plus généralement, a-t-il un profil à travers sa personnalité et son itinéraire qui en fait candidat moins indiqué ? C’est d’abord au peuple d’en décider via les urnes et pas aux oukases épars des uns et des autres.
Particulièrement ne convoquer principalement à la barre que sa connivence passée avec le régime est peut-être un motif nécessaire mais pas suffisant à mon avis : de toujours et partout on connait ses divorces en politique sur des prétextes avouables ou non avouables, ils n'ont pas toujours interdit à un protagoniste de prouver par la suite son meilleur. Que des divorces ne connaissons-nous pas d’ailleurs dans la vie commune, ils sont sans doute regrettables jamais rédhibitoires à condamner pour toujours la dignité des protagonistes.
Mutatis mutandis, personnellement j’ai pris le parti d’approuver ses protestations : le procès qui lui est fait est d’abord politicien, illégal, dans tous les cas prématuré sinon arbitraire ; cela lui donne le droit de rentrer au pays et de présenter sa candidature quitte entre-temps que l’arbitraire ambiant continue et le mette en prison mais alors qu’on lui permettre une défense équitable…
Voilà mon son différent : pour moi rejoindre la meute qui l’excommunie à l’avance c’est non seulement participer du même arbitraire que nous désapprouvons dans ce régime mais aussi réhabiliter quelque part les méfaits du régime et ainsi le conforter !
Compatriotiquement!
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# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: Le cas de Katumbi chapwe
CANDIDATURES À LA PRÉSIDENTIELLE NON RETENUES PAR LA CENI : SUMMUM D'HYPOCRISIE !
1.- Conformément à son calendrier électoral, la Ceni a publié ce 24 août 2018 la liste provisoire des candidats à la présidentielle et aux législatives du 23 décembre prochain.
2.- Elle n'a pas retenu les dossiers des six candidats, dont les plus "emblématiques" - terme à la mode - sont Jean-Pierre Bemba, Antoine Gizenga et Adolphe Muzito.
3.- La loi électorale garantit cependant aux "recalés" le droit de recours auprès de la Cour constitutionnelle. Ils ont 48 heures pour ce faire.
4.- Bien entendu, les réactions acerbes émanent du côté de l'Opposition, principalement des candidats qui se sont retrouvés au siège du Mlc hier.
5.- Dans leur déclaration commune lue par Martin Fayulu, ils soutiennent disposer d'éléments PROBANTS des directives données par Joseph Kabila et sa famille politique à Corneille Nangaa pour disqualifier certaines candidatures.
6.- Par fait probant s'entend preuve matérielle (par exemple lettre, enregistrement, témoignage) que l'appareil judiciaire peut requérir en cas de besoin et que les signataires doivent impérativement produire au risque d'être accusés de diffamation. - Croisons les doigts pour qu'il n'y ait pas saisine des instances judiciaires par les parties incriminées.
7.- Il est de notoriété publique que la loi électorale définit les conditions d'éligibilité et de non-éligibilité au sujet des candidatures, conditions connues par avance de chaque postulant.
8.- En déposant son dossier à la Ceni, tout candidat ou toute candidate savait à quoi s'en tenir.
9.- En plus, chacun sait que le cas rendant inéligible tel candidat n'est pas forcément pareil avec le sien. Exemple : le motif de non-rétention de la candidature de Jean-Pierre Bemba n'est pas nécessairement celui de la non-rétention de celle d'Adolphe Muzito.
10.- A partir de cet instant, c'est un non-sens que de se constituer en groupe de contestation auprès de la Ceni et de pression sur celle-ci ou sur les instances judiciaires.
11.- Après tout - juste un exemple - Jean-Pierre Bemba a préparé son dossier sans y associer Adolphe Muzito et vice-versa. Paul Émile Moka n'a pas confectionné le sien en se faisant assister par Antoine Gizenga ou par un autre.
12.- Chacun ayant son cas, chacun va devoir introduire auprès de la Cour constitutionnelle son recours individuellement, s'il en exprime évidemment la volonté. 13.- Ne l'oublions pas : aucun candidat n'est à proprement parler ami de qui que ce soit dans une compétition électorale concurrentielle, et encore limitée à un tour. On n'est pas dans un tour de France avec des victoires ou des défaites d'équipe. Autrement, personne n'aurait dépensé 100.000 USD en ayant la conviction d'être battu aux élections. - D'ailleurs, le financement de la campagne électorale pour la présidentielle est une affaire de dizaine de millions de dollars US.
14.- Dans une compétition du genre, chacun, en son for intérieur, sait que tout candidat à la présidentielle est son ADVERSAIRE principal.
15.- C'est faux alors de penser que Félix Tshisekedi est pour la participation de Moïse Katumbi, ce dernier pour celle Jean-Pierre Bemba qui, lui, est pour Vital Kamerhe ou pour Fteddy Matungulu.
16.- Moralité : quand des adversaires déclarés coalisent pour se soutenir mutuellement, ils se livrent à l'hypocrisie.
Simplement parce que tout "partenaire" éliminé est un concurrent de moins !
- Et moins on est dans une compétition électorale, plus s'accroissent les chances de gagner...
Omer Nsongo die Lema
@omernsongo
E-mail : omernsongo@gmail.com
www.congo30juin.com
Facebook : Omer Nsongo a écrit:
Est-ce qu'il a menti??
Sacre, Omer Nsongo Die Lema!!!!
Ce monsieur est au meme pedestal que William F. Buckley aux Etas Unis ou bien Emile Zola...
zobattants
Re: Le cas de Katumbi chapwe
"Passeport « falsifié » de Moïse Katumbi : la justice belge ouvre une information judiciaire"
° http://www.jeuneafrique.com/620328/societe/passeport-falsifie-de-moise-katumbi-la-justice-belge-ouvre-une-information-judiciaire/
L'opposant congolais Moïse Katumbi, le 12 mars 2018, à Johannesburg (Afrique du Sud). © Themba Hadebe/AP/SIPA
Une information judiciaire visant Moïse Katumbi vient d’être ouverte en Belgique, suite à son interpellation en juin à l’aéroport de Bruxelles-Zaventem en raison d’un passeport jugé « falsifié » par la police belge.
« Je vous confirme que le Parquet vient d’ouvrir une information judiciaire pour « faux en écriture publique » à l’encontre de Moïse Katumbi », affirme à Jeune Afrique Gilles Blondeau, substitut du procureur du Roi au Parquet de Halle-Vilvoorde. En cause : « Une partie de son passeport a été estimée comme faux. »
L’opposant congolais, qui vit en exil depuis plus de deux ans, avait été brièvement interpellé, le 14 juin 2018, par la police de l’aéroport de Bruxelles-Zaventem. « La page d’identité de [son] passeport n’est pas authentique », avait alors précisé à Jeune Afrique Dominique Ernould, porte-parole de l’Office des étrangers – une administration placée sous la tutelle du ministère belge de l’Intérieur. « L’originale a été changée et remplacée par une autre. »
Un délai de quinze jours lui avait alors été accordé par les autorités belges afin de « produire un document de voyage officiel et authentique ». Contacté à l’issue de ce délai, l’Office des étrangers nous avait indiqué, le 6 juillet, n’avoir « enregistré jusqu’à présent aucune réaction ou démarche de sa part ». « On peut donc dire qu’il est actuellement en séjour illégal », concluait l’administration.
« Le passeport a été confisqué »
Suite à son interpellation, la police fédérale lui avait confisqué son passeport avant de le transmettre au Parquet de Halle-Vilvoorde. Ce que confirme à JA le substitut du procureur Gilles Blondeau : « Le passeport en question a été confisqué par mon office. Nous le détenons toujours. Vu qu’il a été falsifié, il ne sera pas rendu à l’intéressé ».
Cela n’a semble-t-il pas empêché Moïse Katumbi de voyager à l’étranger, notamment lors de la finale de la Coupe du monde, le 15 juillet dernier à Moscou, ou sur le continent africain au cours des dernières semaines.
Le 24 juillet, lors d’une conférence de presse, son porte-parole Olivier Kamitatu assurait que « Moïse Katumbi réside en toute légalité en Belgique ». « Il n’y a aucun problème de document ayant trait à sa résidence dans le royaume de Belgique, déclarait-il. Il n’est pas clandestin ou dans l’illégalité. » De son côté, son avocat français, Me Eric Dupont-Moretti, avait estimé « qu’on a déjà trois procédures (judiciaires) ; on ne va pas en rajouter une qui n’existe pas ».
Joint par Jeune Afrique, son porte-parole Olivier Kamitatu a indiqué ne pas être en mesure de livrer sa réaction dans l’immédiat : « Vous m’apprenez cette information », a-t-il déclaré."
Passeport de Katumbi : une information judiciaire ouverte en RDC contre l’opposant
RDC : Moïse Katumbi visé par un mandat d'arrêt international
RDC - André-Alain Atundu : « Moïse Katumbi a une identitéconfuse »
"La justice belge exhume le dossier du faux passeport de Katumbi - Le Phare"
° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=211261&Actualiteit=selected
"LES ENNUIS JUDICIAIRES DU LEADER DE "ENSEMBLE" S’AMONCELLENT
UNE ÉNIÈME AFFAIRE POUR KATUMBI"
° https://www.forumdesas.org/spip.php?article16830
° https://www.politico.cd/en-off/2018/08/27/ouverture-dune-information-judiciaire-moise-katumbi-se-dit-non-encore-saisi-par-la-justice-belge.html
° https://www.politico.cd/actualite/2018/08/28/la-justice-belge-confirme-avoir-confisque-le-passeport-de-moise-katumbi.html
"Information judiciaire ouverte en Belgique contre Moïse Katumbi"
° http://www.rfi.fr/afrique/20180828-information-judiciaire-ouverte-belgique-moise-katumbi
"Ouverture de l’information judiciaire contre Katumbi : « un non événement », selon Francis Kalombo"
° https://cas-info.ca/ouverture-dinformation-judiciaire-contre-katumbi-un-non-evenement-selon-francis-kalombo/
"« Nationalité » des dirigeants congolais : Moïse Katumbi ouvre la boîte de Pandore"
° http://www.cheikfitanews.net/2018/08/nationalite-des-dirigeants-congolais-moise-katumbi-ouvre-la-boite-de-pandore.html
"PROCES EN NATIONALITE CONTRE MOISE KATUMBI
UNE BOÎTE DE PANDORE QUI RISQUE D’EMBRASER LA RD CONGO"
° http://www.forumdesas.org/spip.php?article15170
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Dernière édition par ndonzwau le 30/8/2018, 2:07 am, édité 2 fois
ndonzwau
Re: Le cas de Katumbi chapwe
"Information judiciaire en Belgique: le camp de Moïse Katumbi se veut rassurant
° http://www.rfi.fr/afrique/20180830-rdc-moise-katumbi-belgique-olivier-kamitatu-avocat-information-judiciaire
Pour Olivier Kamitatu, directeur de cabinet et porte-parole de Moïse Katumbi, l'information judiciaire ouverte contre l'opposant congolais en Belgique pour faux en écriture publique au sujet de son passeport est une simple procédure administrative « de routine ».
Une information judiciaire a été ouverte le 27 août en Belgique au sujet du passeport de Moïse Katumbi, l'homme d'affaires et candidat déclaré à l'élection présidentielle en République démocratique du Congo (RDC). Pour Olivier Kamitatu, directeur de cabinet de Moïse Katumbi, il s'agit d'une procédure administrative et non pénale.
« Personne n’est au courant, ni même les avocats du Moïse Katumbi, s’il y a une information ou pas, déclare-t-il. Nous sommes là dans un dossier technique qui a été ouvert par le parquet de Hal-Vilevorde. Le passeport semi-biométrique avait été disqualifié par les autorités de Kinshasa. Nous sommes donc dans une procédure de routine, administrative. Si information juridique il devait y avoir, il est clair que Moïse Katumbi respecte la justice et se présenterait. Aujourd’hui, il n’y a aucune trace d’une quelconque enquête en cours contre Moïse Katumbi. Un journaliste en mal de sensationnalisme a probablement voulu faire la Une ».
Olivier Kamitatu comprend que les autorités belges cherchent à comprendre ce qui s’est passé « puisqu’un passeport semi-biométrique n’est en plus cours légal, comme l’avait dit le ministre de la Justice congolais. Comme des millions de Congolais, Moïse Katumbi a un passeport semi-biométrique. Il a fait la demande d’un passeport biométrique qui lui a été refusé parce que Kinshasa refuse de lui permettre de se déplacer. S’il y avait eu une information, si les avocats étaient saisis, Moïse Katumbi répondra à la justice belge mais ce n’est pas le cas aujourd’hui ».
Au mois de juin, lors de son arrivée à Bruxelles, le passeport de Moïse Katumbi présentait une irrégularité. Il avait pu entrer dans le pays grâce à un laissez-passer mais n'avait pas régularisé sa situation dans les quinze jours, d'où l'ouverture d'une information judiciaire pour « faux en écriture publique ».
Mise en demeure de l'ONU
Selon une lettre transmise aux avocats de Moise Katumbi, le Haut commissariat des Nations unies a une nouvelle fois appelé la RDC au respect des droits, notamment du droit au retour de l'opposant congolais dans son pays. Selon ce document, Kinshasa devrait assurer la sécurité et la liberté de l'ancien gouverneur de la province du Katanga, dans le sud du pays. Ses avocats ont saisi le Conseil des droits de l'homme, assurant que le gouvernement congolais violait le pacte de droits civils et politiques garantis à l'opposant.
Pour Me Eric Dupont-Moretti, cette nouvelle interpellation montre le peu de crédits accordés par la communauté internationale aux procédures lancées contre son client. « On avait, dans un premier temps, saisi le Conseil des droits de l'homme à raison de toutes ces procédures que je qualifie de bidon : l’histoire immobilière grecque, l’histoire des mercenaires, tout cela ne résistait pas à un examen sérieux, c’était une instrumentalisation judiciaire pour interdire à Moïse Katumbi l’exercice de ses droits », déclare le célèbre avocat français.
Eric Dupont-Moretti rappelle qu’un juge s’est réfugié en France en indiquant avoir été menacé. Le Haut-commissariat avait déjà rendu une décision, le 13 juin, demandant à ce que Moïse Katumbi puisse se rendre en RDC, et surtout que le gouvernement congolais assure sa sécurité et sa liberté. « Nous savons ce que la RDC a fait de cette décision des Nations unies. On a évidemment saisi Genève pour dire : non seulement il n’est pas protégé mais il est entravé dans sa liberté, poursuit l'avocat. Le 29 août 2018, j’ai reçu une lettre des Nations unies m’indiquant qu’il avait été demandé à la RDC d’assurer à nouveau à la fois la sécurité, la liberté, la possibilité pour Moïse Katumbi de rentrer en République démocratique du Congo ».
De son côté, l'Union européenne rappelle à son tour l’importance de conserver un processus inclusif en RDC. Pour Bruxelles, les décisions de la Cour constitutionnelle sur les candidatures invalidées par la Commission électorale seront cruciales pour le processus en question."
"RDC : Katumbi doit pouvoir rentrer
° https://afrique.lalibre.be/23792/rdc-katumbi-doit-pouvoir-rentrer/
Le Haut-commissariat de l’ONU aux droits de l’homme demande aux autorités congolaises de prendre toutes les mesures nécessaires afin d’assurer le retour de Moïse Katumbi en RDC.
Dans sa lettre du 29 août, adressée à l’avocat de Moïse Katumbi, le Haut-Commissariat appelle aussi Kinshasa à protéger l’ancien gouverneur du Katanga contre toute forme d’arrestation.
« Conformément à la règle 92 de son règlement intérieur, il a été réitéré à l’Etat partie sa sollicitude du 13 juin 2018 de prendre toutes les mesures nécessaires de manière à prévenir tout risque de préjudice irréparable en lien avec l’exercice par l’auteur des droits garantis par le pacte. L’Etat partie est notamment tenu de prendre toutes les mesures nécessaires en vue d’assurer que l’auteur puisse rentrer en République démocratique du Congo. A cette fin, l’Etat est également tenu de prendre toutes les mesures pour garantir à l’auteur son droit à la liberté et à la sécurité en le protégeant contre toute forme d’arrestation ou de détention arbitraire pendant toute la durée de l’examen de sa communication par le comité », rappelle le Conseil de l’Onu aux droits de l’homme.
En avril dernier, lors d’une coférence de presse à Paris, Me Eric Dupond-Moretti, l’avocat de Moïse Katumbi, avait annoncé son intention de saisir à nouveau l’instance onusienne pour obtenir le retour de son client en toute sécurité en RDC."
"RDC : l’ONU demande à Kinshasa de permettre le retour de Moïse Katumbi"
° http://www.jeuneafrique.com/622040/societe/rdc-lonu-demande-a-kinshasa-de-permettre-le-retour-de-moise-katumbi/
"Retour sans condition de Katumbi. DEK : une marche pacifique prévue le 19 septembre"
° https://laprosperiteonline.net/2018/08/27/retour-sans-condition-de-katumbi-dek-une-marche-pacifique-prevue-le-19-septembre/
"RDC : main tendue et mise en garde européennes"
° https://afrique.lalibre.be/23781/rdc-main-tendue-et-mise-en-garde-europeennes/
"Jean Pierre Bemba et Moise Katumbi en direction de Kinshasa?pour faire tombé kabila?"
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: Le cas de Katumbi chapwe
" Retour de Katumbi: des militants ont pris d'assaut le Conseil d'État ce vendredi
° https://www.mediacongo.net/article-actualite-41840_retour_de_katumbi_des_militants_ont_pris_d_assaut_le_conseil_d_etat_ce_vendredi.html
° http://actualite.cd/2018/08/31/rdc-une-centaine-de-militants-densemble-en-sit-devant-la-cour-supreme-pour-reclamer-le
"Première mobilisation pour le retour de Moïse Katumbi sans incident à Goma
° https://www.politico.cd/en-clair/2018/09/01/premiere-mobilisation-pour-le-retour-de-moise-katumbi-sans-incident-a-goma.html
° https://actualite.cd/2018/08/31/rdc-goma-marche-de-ensemble-pour-le-changement-pour-exiger-le-retour-de-katumbi
° https://actualite.cd/2018/08/31/goma-quelques-images-de-la-marche-de-ensemble-pour-le-changement-ce-vendredi
"Ensemble demande au Conseil d’Etat d’ordonner à la CENI de recevoir la candidature de Katumbi"
° https://cas-info.ca/ensemble-demande-au-conseil-detat-dordonner-a-la-ceni-de-recevoir-la-candidature-de-katumbi/
"Retour imminent de Katumbi : l’ONU oblige Kinshasa à coopérer"
° http://www.lepotentielonline.com/
"RDC : la « décrispation politique » vue de Lubumbashi !"
° https://afrique.lalibre.be/23810/rdc-la-decrispation-politique-vue-de-lubumbashi/
° https://www.diaspordc.com/francis-kalombo-tres-en-colere-devoile-tout-sur-vital-kamerhe-il-est-toujours-au-service-du-pouvoir/
° https://cas-info.ca/katumbi-le-delicat-exercice-de-disqualification-dun-candidat/
° http://www.congoindependant.com/moise-katumbi-jaime-beaucoup-relever-les-defis/
"Katumbi: au troisième temps de la valse des passeports…"
° http://blog.lesoir.be/colette-braeckman/2018/09/01/katumbi-au-troisieme-temps-de-la-valse-des-passeports/
"RDC : la répression continue à l’approche des élections
° http://afrikarabia.com/wordpress/rdc-la-repression-continue-a-lapproche-des-elections/
A quatre mois des élections générales, l’opposition est toujours aussi malmenée en République démocratique du Congo (RDC). La fuite en avant d’un pouvoir qui craint de perdre devant les urnes se poursuit.
La non-candidature de Joseph Kabila à la présidentielle n’a pas fait baisser la tension en République démocratique du Congo (RDC). La désignation d’un dauphin à la succession de l’actuel président congolais a au contraire crispé le climat politique, le pouvoir souhaitant à tout prix gagner les élections. La Commission électorale (CENI) a rejeté six candidatures à la présidentielle dont celle de Jean-Pierre Bemba, un des poids lourds de l’opposition. Quant à l’autre candidat phare, l’opposant Moïse Katumbi, il n’a même pas pu rentrer au Congo déposer son dossier de candidature, et reste pour l’instant condamné à l’exil.
“Un usage excessif de la force”
L’opposition dénonce un “coup de force électoral”, dans lequel le pouvoir cherche à sélectionner les candidats de l’opposition qu’il souhaite voir en face de lui. Mais le verrouillage du scrutin ne s’arrête pas là. Les autorités congolaises continuent de fortement réprimer les opposants politiques et leurs militants. Human Rights Watch (HRW) s’est entretenue avec plus de 45 Congolais, tous témoins de violations des droits de l’homme, d’arrestations, ou de répression violente. Selon l’ONG “le gouvernement congolais devrait mettre un terme à l’usage excessif de la force contre les partisans de l’opposition, libérer les membres de partis d’opposition et activistes arbitrairement détenus”.
“Le 1er août, les forces de sécurité ont lancé des gaz lacrymogènes et tiré à balles réelles pour disperser des dizaines de milliers de partisans qui s’étaient réunis pour accueillir le leader de l’opposition et ancien vice-président Jean-Pierre Bemba dans la capitale, Kinshasa, blessant au moins deux personnes” dénonce Human Rights Watch. Peu après le retour de Jean-Pierre Bemba à Kinshasa, les forces de sécurité l’ont également empêché de se rendre à sa résidence. Les autorités ont déclaré que sa maison se trouvait dans un “site présidentiel“ et qu’il ne pouvait pas y résider. Juste après avoir déposé sa candidature, Jean-Pierre Bemba a décidé de rentrer à Bruxelles.
Les partisans de Katumbi muselés
Les manifestations de soutien à l’opposant Moïse Katumbi ont également été largement réprimées. Lors du retour raté de l’homme d’affaires en RDC le 3 août – voir notre article -, “les forces de sécurité ont tiré à balles réelles et lancé des gaz lacrymogènes pour disperser les partisans venus accueillir Moïse Katumbi du côté congolais de la frontière”, faisant au moins un mort et un blessé. Plusieurs quartiers de Lubumbashi, le fief de l’opposant, ont été bouclés par la police et les véhicules systématiquement fouillés aux barrages routiers. A cette occasion, des dizaines de militants d’opposition ont été interpellés.
Human Rights Watch affirme que des parlementaires et des membres de la plateforme politique de Katumbi ont été empêchés de se rendre à l’aéroport de Lubumbashi où était censé atterrir l’opposant. “Comme nous tentions de passer, un agent de police a pointé son arme sur nous et a menacé de nous tirer dessus si nous osions poursuivre notre chemin“, a raconté un responsable à Human Rights Watch. “Il a dit qu’il exécutait les ordres de leur hiérarchie”. Toujours selon ces témoins, “le 6 août, les forces de sécurité ont abattu un garçon de 10 ans et ont blessé au moins quatre personnes lors de manifestations à Lubumbashi”.
Les autres candidats à la présidentielle ne sont guère mieux traités. Les partisans de Félix Tshisekedi ont été dispersés par du gaz lacrymogène, alors que le patron de l’UDPS déposait son dossier de candidature à la CENI, le 7 août. Un muselage tout azimut de l’opposition, qui fait penser que le pouvoir redoute de perdre les élections.
Un travail de sape électoral dangereux
En désignant Emmanuel Ramazani Shadary comme candidat de la majorité présidentielle, Joseph Kabila a pris un risque électoral. Le numéro un du PPRD est peu connu des Congolais et son rôle trouble pendant la répression sanglante des manifestations de 2016 peut faire craindre une absence d’engouement populaire sur sa candidature. Alors, pour gagner les élections et conserver le pouvoir, le camp présidentiel veut se rassurer en continuant son travail de sape du processus électoral. Elimination ou disqualification d’opposants, division de l’opposition, verrouillage des médias… sans parler de l’utilisation de la très contestée machine à voter, que les opposants appellent ”machine à tricher”, et d’un fichier électoral truffé d’électeurs fictifs.
“Le fait que Joseph Kabila ne pose pas sa candidature est une première étape cruciale, mais nous sommes encore bien loin d’un processus électoral crédible” estime Ida Sawyer, responsable pour l’Afrique centrale d’Human Rights Watch. “Une pression permanente des partenaires régionaux et internationaux de la RD Congo est nécessaire pour éviter de nouvelles répressions et de nouveaux bains de sang et pour que le pays connaisse une véritable transition démocratique” prévient l’ONG. Mais pour l’instant, on en est encore très loin."
Il y'a quelque maldonne avec cette Onu comme avec toutes les autres institutions : ou elles sont réellement incapables d'atteindre nos potentats ou alors elles ne le veulent pas dans le fond !
Le HCDH de l'Onu avait déjà pondu cette oukase sans qu'elle est quelque impact sur 'JK', c'est du protocolaire stérile qui doit heurter beaucoup de citoyens !
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
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