DEFENSE, LES VOEUX DE FAYULU

LA PROPOSITION DU CANDIDAT FAYULU

Même quand il s´auto-proclame comme le "président élu", FAYULU est dans la posture d´un candidat á la présidence de la RDC dans moins de 23 mois  Au mois de novembre 2021, nous avons eu une conversation avec un ami d´enfance qui se trouve être l´un des proches collaborateurs de FAYULU.
Nous avons été très curieux pour savoir la raison du silence sur les questions de la défense et la sécurité de la part de FAYULU á 23 mois de la fin du mandat du président Félix
Selon mon ami d´enfance, la grande priorité de leur organisation politique est la preparation des élections et les questions sur la CENI
J´ai tenté de le convaincre en lui disant qu´ils doivent comprendre ce qui se passe depuis 3 ans quand nous avons un président de la République qui semble ne pas avoir eu un programme en matière de défense avant de se faire élire. Afin que les congolais ne puissent pas revivre la très mauvaise gouvernance sécuritaire dans le futur, il est temps pour FAYULU de commencer á s´exprimer  de temps en temps pour non seulement rendre visible sa pensée mais surtout ses idées sur les questions de la défense et la sécurité du Congo.

La RDC est en guerre depuis 25 ans Aucun homme politique congolais ne peut afficher une ambition présidentielle sans apporter des propositions fiables en matière de defence Faire croire qu´on peut improviser une fois au pouvoir est une approche très destructive que nous constatons depuis 3 ans

INFRASTRUCTURE (S)

Dans le speech de FAYULU on trouve une indication qu´il a compris la question des infrastructures afin d´atteindre le concept "défense de proximité" Quand FAYULU annonce son intention de "transferer" le camp KOKOLO á Beni,  on se demande s´il sait que le camp KOKOLO est l´une des 3 grandes bases militaires du Congo? Mis á part KITONA et KAMINA, le camp KOKOLO est la plus grande base logistique de l´armée nationale et en plus, l´UE est entrain de construire le nouveau siège de l´état major général des FARDC sur ce site

Nous pouvons saluer cette proposition tout en soulignant que FAYULU devrait étudier soigneusement la configuration des camps et bases militaires hérités de la Force Publique Il va vite se rendre compte que la puissance coloniale BELGE  avait fait le choix d´une configuration qui avait pour but d´apporter une aide militaire á la repression de toute tentative de manifestation de la part des populations congolaises.
Ainsi les congolais doivent "imaginer" une configuration moderne des infrastructures militaires basée sur notre expérience malheureuse  d´une guerre de 25 ans.
Nous devons á tout prix avoir des nouvelles bases militaires pré-positionnées en fonction des menaces extérieures prinipalement á l´Est  

Ce que propose FAYULU á un "prix".. ce qu´un homme politique qui compte assumer les fonctions présidentielles devrait faire un speech avec des "chiffres" quel est le coût d´une nouvelle grande base militaire de la taille du camp KOKOLO? Cette nouvelle base doit avoir un aéroport digne de ce nom  En combien des mois la construction de cette infrastructure peut se faire et comment financer ce projet?
Il faut 1 milliards de dollar US pour avoir une base du genre KAMINA ou KITONA avec un aérport. ..et une seule base n´est pas suffisante Il faut plus au moins 3 bases afin de constituer une dissuation crédible face aux trois pays voisins agresseurs

FINANCER LES INFRASTRUCTURES MILITAIRES

C´est le sujet central dans la proposition de FAYULU.. Il ne propose rien.. Mais, les lecteurs doivent se dire que construire des nouvelles bases militaires á l´Est apporte une solution, une partie de la solution á la retour á la vie civile des milices congolaises.
Construire les infrastructures apporte du travail pendant des années aux membres des milices C´est un "bénéfice politique" important pour la sécurité intérieure du Congo:welcome:

FINANCER LA DEFENSE, LE PLUS GRAND DEFI POUR TOUS LES CANDIDATS Á LA PRESIDENCE

Le plus grand enseignement bénéfique de la gouvernance du président Félix en matière sécuritaire est ce défi incontournable dans les ambitions militaires du Congo
Nous savons tous que toutes les infrastructures héritées de la Force Publique sont vétustes et pire ne correspondent pas aux menaces de déstabilisation permanente de la part de tous les pays voisins
De temps en temps, il nous faut comprendre que la configuration des bases et casernes militaires héritées de la Force Publique et des FAZ est dépassée:bounce:  Nous ne possedons pas la capacité de projeter des milliers des militaires en partant de Kin, Kitona ou Kamina vers l´Est.
L´approche la plus pratique afin de contrer les agressions extérieures á l´Est du Congo repose sur une "défense de proximité" Ce concept exige de nous une nouvelle configuration des bases et casernes militaires pré-positionées dans les zones sous menace d´agression á l´Est.

Construire des nouvelles infrastructures militaires offre au gouvernement la possibilité d´appliquer un programme de retour á la vie civile des membres des milices armées de l´Est. En effet, ces miliciens vont trouver des formations et du travail dans la construction des nouvelles bases et casernes

LA QUESTION DU FINANCEMENT, UN DEFI POLITIQUE

Tout candidat lucide á la présidence au Congo sait d´avance que la question de cette guerre qui continue depuis 25 ans va figurer en tête des attentes des électeurs congolais Ne pas présenter des propositions concrètes, un programme de défense crédible et fiable ne sera plus acceptable pour la grande majorité des congolais qui vivent une grande déception avec la gouvernance du président Félix.
Et pourtant, la liste des options afin d´obtenir un financement dans ce domaine est "mince"

> CHINE
La Chine puissance financière planétaire ne se fait pas remarquer dans la construction des infrastructures au Congo malgré un contrat d´exploitation minière importante depuis plus de 15 ans Vous ne trouverez pas un projet de construction des bases militaires en faveur des pays Africains de la part de la Chine

> UE
Tous les programmes de formation militaire de l´UE ont pour déficit, une absence d´investissement dans la construction des nouvelles bases militaires en faveur des pays Africains  Pire, les programmes EUSEC et EUPOL de l´UE est un échec car ces deux programmes n´ont jamais eu pour objectif la constructions des nouvelles casernes et bases militaires en faveur des policiers et militaires congolais.

> USA
C´est le pays dont les admnistations Kabila et Tshisekedi n´ont jamais exploitées pleinement pleinement les potentialités:pale:  Vous ne trouverez pas un accord ou un traité de défense avec les USA ratifié par le Parlement au Congo depuis 15 ans. Le président Félix qui affiche une grande proximité avec l´ambassadeur des USA n´a pas un bilan fiable en matière de cooperation militaire avec les USA

LES USA OU L´OTAN ..

Voici une liste des pays qui ont signés un accord de partenariat avec l´OTAN L´option la plus intéligente et fiable pour mettre en place une nouvelle architecture sécuritaire au Congo est un partenariat avec l´OTAN.
Soyons lucides et réalistes, jamais le Congo ne peut signer un accord de partenariat avec l´OTAN sans une implication active des USA Le message pour tous ceux qui aspirent á mettre fin á une guerre qui dure depuis 25 ans au Congo et qui souhaitent gagner les élections dans 23 mois est celui: Étudiez cette option de partenariat avec l´OTAN. Cette option offre des avantages et des bénéfices sécuritaires á long terme pour notre pays. En plus, un tel partenariat est une forme de dissuasion face á tous les pays voisins.
Cette option nécessite des voyages d´études au sein d´abord au Pentagone et ensuite au siège de l OTAN á Bruxelles. Tous les acteurs politiques congolais voyagent de temps en temps á Bruxelles et en 12 mois, ils peuvent se faire une idée sur les possibilités de ce partenariat et pourquoi pas mettre au point un programme crédible.

COLOMBIE
Pays de l´Amérique Latine qui partage avec la RDC cette triste expérience d´une longue guerre face aux milices.
In 2017, Colombia became one of NATO’s global partners, and the Alliance’s first Latin American partner. Today, NATO and Colombia continue to strengthen dialogue and cooperation to address a number of global security challenges, including cyber security, terrorism, the fight against corruption and maritime security. Colombia provides demining training to NATO Allies and partner countries, while NATO is also supporting Colombia in its continuing efforts to develop its armed forces.

IRAK
Pays dont nous allons aborder un aspect très pratique dans le partenariat avec l´OTAN
La mission OTAN de formation en Iraq ou NTM-I a été établie en 2004 pour aider l'Iraq à constituer des forces armées efficaces.
Elle a été mise sur pied à la demande du gouvernement intérimaire iraquien conformément à la résolution 1546 du Conseil de sécurité de l'ONU.
La NTM-I a concentré ses efforts sur l'entraînement et le mentorat, et sur la cession de matériel et la coordination.
Transition de la NTM-I à un partenariat durable
L’engagement de l’OTAN pour l’établissement d’une relation à long terme avec l’Iraq a pris corps lorsqu’il a été décidé, en avril 2011, d’accorder au pays le statut de partenaire. Une première étape a été franchie en mai 2012, lorsque l’Iraq a soumis officiellement un projet de programme individuel de partenariat et de coopération (IPCP). Ce programme vise à offrir un cadre pour la conduite, sur une base régulière, d’un dialogue et d’une coopération en matière de formation dans des domaines tels que la lutte contre le terrorisme, la lutte contre la criminalité organisée transfrontière et la protection des infrastructures énergétiques critiques.

LA MONGOLIE
La Mongolie a récemment atteint les derniers objectifs fixés dans le cadre de son programme de renforcement de la formation « défense » (DEEP) avec l'OTAN. Avec le DEEP, la Mongolie a mené à bien un ambitieux plan pluriannuel pour la modernisation de son système de formation militaire professionnelle. Depuis 2013, l'Université nationale de défense de Mongolie (MNDU) propose un nouveau programme de base pour les officiers d’état major, elle revoit en outre les méthodes d’enseignement des instructeurs et insiste davantage sur l'enseignement de l'anglais et d'autres langues étrangères.

LA PORTE OUVERTE DES USA ?

L´article est une copie de celle publiée sur www.politico.cd L´un des conseillers en matière de sécurité de l´admnistration BIDEN souligne que la sécurité á l´Est du Congo qui subie une longue guerre de 25 ans serait une "priorité des USA
Mais l´admnistration de Félix ne semble pas avoir compris ce message.. quand le M23 reprend sa guerre au Kivu et Kagame se moque de nous en nous demandant d´autoriser le retour des membres du M23 au Congo.. en les intégrant dans l´armée nationale
Notez en passant que les généraux sous sanctions internationales sont sous protection de Félix.. et restent en fonction pendant la visite de cette délégation des USA


Selon Daleep Singh, la sécurité dans la partie Est de la République Démocratique du Congo est un aspect important pour le Gouvernement Américain car, dit-il, la paix dans un pays permet de mettre en place les conditions nécessaires pour les investissements, réduire la corruption et améliorer les conditions de vie de la population.

« Il faut noter d’abord la sécurité qui est un préalable à la prospérité. Le fait que le Président Tshisekedi en a fait une priorité d’apporter la paix dans la partie Est du pays, c’est vraiment un aspect important pour le Gouvernement Américain. Nous sommes tout à fait prêts à soutenir ses efforts parce que nous savons que la paix dans un pays permet de mettre en place des conditions nécessaires pour des investissements dans un pays également pour réduire la corruption également améliorer les conditions de vie de la population… Il faudra restaurer la paix pour que nous ayons une stabilité macroéconomique également beaucoup plus d’investissements, retour des investissements privés et donc les retombées de conditions de vie de la population. Notre voyage, visite ici c’est aussi un signal fort pour montrer que nous, nous investissons dans cet aspect », a déclaré Daleep Singh conseiller adjoint à la Sécurité Nationale des USA.

UNE AMBITION POUR LA RDC ?

Nous ne parlons pas d´une fiction..devenir "partenaire" de l´OTAN ou devenir un "allié" de l OTAN est une ambition légitime pour le Congo.. afin de rendre possible la fin de cette longue guerre de 25 ans

DIPLOMATIE / MOYEN-ORIENT14
Les États-Unis vont donner au Qatar le statut d’allié majeur non-membre de l’Otan
PAR LAURENT LAGNEAU · 1 FÉVRIER 2022

Il y a encore un an, et en raison notamment de ses liens avec les Frères musulmans et de ses relations avec l’Iran, le Qatar faisait encore l’objet d’un « blocus » imposé par les autres monarchies sunnites du golfe Persique, emmenées par l’Arabie Saoudite. Cela étant, et alors que Joe Biden prenait ses marques à la Maison Blanche, Doha et Riyad ont finalement normalisé leurs relations.

Par ailleurs, le Qatar a joué un rôle déterminant aux yeux de Washington dans l’affaire afghane. D’abord en accueillant les pourparlers entre les taliban et les diplomates américains, lesquels aboutirent à un accord que les premiers ne sont pas empressés de respecter… Puis quand il fallut évacuer de Kaboul des dizaines de milliers de personnes fuyant le régime taleb.

Aussi, l’émir du Qatar a-t-il a été le premier dirigeant du Golfe à avoir été invité à Washington par M. Biden. Et il n’a visiblement pas fait le voyage pour rien.

« Je crois que nous avons montré à quel point nous pouvons travailler ensemble et coopérer sur ce que nous avons fait pour l’Afghanistan. Nous sommes très fiers d’avoir pu évacuer des dizaines de milliers de personnes d’Afghanistan », n’a pas manqué de rappeler le Cheikh Tamim ben Hamad Al Thani.

« Nous avons beaucoup à discuter. La sécurité dans le Golfe et plus largement au Moyen-Orient. Assurer la stabilité de la production globale d’énergie, continuer notre travail en commun pour soutenir le peuple afghan et renforcer la coopération commerciale et les investissements entre nos deux pays », a répondu M. Biden.

Et les relations entre Doha et Washington sont tellement au beau fixe que le Qatar devrait otenir le statut d’allié majeur hors Otan des États-Unis. Du moins est-ce la promesse faite par Joe Biden.

[b]À ce jour, 18 pays bénéficient de ce statut, qui facilite l’achat d’équipements militaires américains tout en augmentant le niveau de coopération en matière de défense avec les États-Unis. Le Brésil est le dernier a l’avoir obtenu.[/b]

Ce statut d’allié « privilégié » est le « puissant symbole de la relation étroite que les États-Unis entretiennent avec les pays qui l’ont obtenu », résume la diplomatie américaine.

PARTENARIAT AVEC L´OTAN, L`ULTIME AMBITION DE LA RDC EN MATIERE DE DEFENSE

Si des pays africains comme la Mauritanie, le Maroc, l´Egypte et l´Algerie peuvent-être des pays "partenaires" de l´OTAN pourquoi la RDC avec ses precieuses resources minerales ne peut pas devenir membre du "club" et bénéficier du "parapluie" de l´OTAN afin de mettre fin á cette longue guerre de 25 ans

L’OTAN consulte ses partenaires dans la perspective du prochain concept stratégique
01 Feb. 2022 -|Mis à jour le: 02 Feb. 2022 15:59
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Le 31 janvier 2022, l’OTAN a tenu un atelier rassemblant les Alliés et 37 pays partenaires, dans le but de partager des points de vue et des idées en prévision du prochain concept stratégique. Le monde ayant fondamentalement changé au cours des dix dernières années, le moment est venu d’actualiser le concept stratégique, qui est, juste après le traité fondateur de l’Alliance, la principale source d’orientations pour la stratégie et les initiatives de l’OTAN.


Les dirigeants des pays de l’Alliance ont demandé au secrétaire général, Jens Stoltenberg, d’élaborer un nouveau concept stratégique à temps pour le sommet de Madrid de juin 2022. Dans le cadre de ces travaux, le secrétaire général mène des consultations avec les Alliés, les partenaires et d’autres parties prenantes, notamment le milieu universitaire et le secteur privé. Les partenariats de l’OTAN constituent une composante essentielle de l’une des trois tâches fondamentales de l’Organisation, à savoir la sécurité coopérative.

L’Alliance et ses partenaires1 contribuent à la paix et à la sécurité internationales au travers du dialogue et de la coopération pratique, qui sont plus importants que jamais. Comme le secrétaire général l’a récemment expliqué, les menaces d’aujourd'hui ne connaissent pas de frontières. M. Stoltenberg a précisé que ce qu'il se passe dans des contrées lointaines n’est pas sans conséquence pour la région euro-atlantique, et qu’il est absolument nécessaire de collaborer avec les partenaires et d’adopter une perspective plus globale.

Lors de l’atelier, le secrétaire général délégué de l’OTAN, Mircea Geoană, a prononcé une allocution devant les partenaires, qui ont fait part de leurs points de vue sur les défis de sécurité actuels et ont débattu des moyens de développer davantage encore la coopération. De nombreux sujets ont été abordés, tels que l’instabilité croissante à l’heure de la compétition stratégique, les menaces qui pèsent sur l’ordre international fondé sur des règles, l’avenir de la gestion de crise et de la lutte contre le terrorisme, la manière de renforcer la résilience, les incidences du changement climatique sur la sécurité, ainsi que les technologies émergentes et les technologies de rupture.

Au fil des décennies, l’OTAN a bâti un vaste et précieux réseau de partenariats avec des pays non membres de l’Alliance faisant partie de la région euro-atlantique, de la région MENA (Moyen-Orient et Afrique du Nord) et du pourtour méditerranéen, ainsi qu’avec d’autres partenaires du monde entier. Ces partenaires ont contribué de manière substantielle aux opérations, aux exercices, aux formations, aux processus de renforcement des capacités et aux travaux de recherche et d’expérimentation menés par l’OTAN dans de nouveaux domaines. Les Alliés sont résolus à maintenir un dialogue actif avec eux.

Les 37 partenaires ayant participé à l’atelier sont l’Algérie, l’Arménie, l’Australie, l’Autriche, l’Azerbaïdjan, Bahreïn, la Bosnie-Herzégovine, la Colombie, l’Égypte , la Finlande, la Géorgie, l’Iraq, l’Irlande, Israël, le Japon, la Jordanie, le Kazakhstan, la République de Corée, la République kirghize, le Koweït, Malte, la Mauritanie , la République de Moldova, la Mongolie, le Maroc, la Nouvelle-Zélande, le Pakistan, le Qatar, la Serbie, la Suède, la Suisse, le Tadjikistan, la Tunisie, le Turkménistan, l’Ukraine, les Émirats arabes unis et l’Ouzbékistan.

DEVENIR PARTENAIRE DE L´OTAN

La première condition est un consensus politique interne au Congo Tous les partis politiques qui possedent un mandat électif devraient discuter en toute transparence des avantages et des effets indésirables d´une alliance avec l´OTAN.
Le débat devrait s´élargir á la societé civile, ainsi un consensus "national" serait la base d´une demande de partenariat avec l´OTAN

Les congolais doivent comprendre que l´OTAN exige la démocratie et la bonne gouvernance de la part de tous les pays membres y compris les partenaires Notre détermination á instaurer la démocratie et la bonne gouvernance est la base sur laquelle nous pouvons esperer entrer dans ce club des pays partenaires de l´OTAN