Deux congolais incarcérés pour 5,8 kg de cannabis.

Deux Congolais incarcérés pour 5,8 kg de cannabis vendredi 05.12.2008, 04:47 - La Voix du Nord Trois personnes d'origine congolaise qui transportaient des stupéfiants entre la Belgique et la région parisienne ont été condamnées à des peines de prison ferme. Les deux hommes impliqués ont été incarcérés. Tous se renvoient la balle dans cette affaire de stupéfiants. Entre cette mère de famille de Roubaix, D.M. Nzuzi, âgée de 41 ans, et deux hommes, K. Dikassa et M. Kizeidioko, âgés respectivement de 48 et 40 ans, c'est à celui qui accablera le plus l'autre. Au centre, 5,8 kg d'herbe de cannabis que les trois personnes ont convoyé entre Bruxelles et la région parisienne où sont domiciliés les deux prévenus. Ce vendredi, dans une voiture "ouvreuse", se trouvent Dikassa et Kizeidioko. Quelques kilomètres derrière eux, une Mercedes avec à son bord la femme, le sac d'herbe de cannabis et... les enfants de 5 et 11 ans. Les complices correspondent par téléphone portable. Après avoir évité un contrôle des douanes au péage de Thun-l'Évêque, ils se donnent rendez-vous sur une route secondaire. Là, la voiture ouvreuse est une fois encore arrêtée par les autorités. L'un des deux prévenus interpellés contacte discrètement D.M. Nzuzi par téléphone et lui ordonne de jeter le sac de stupéfiants dans la nature avant de les rejoindre. Mais, l'un des douaniers reconnaît la Mercedes qui a été contrôlée précédemment au péage et l'intercepte elle aussi. L'équipe cynophile détecte de la drogue à bord du véhicule. Le sac d'herbe de cannabis est retrouvé dans un champ. Dans le box des prévenus, la mère de famille explique qu'elle s'est retrouvée au chômage et qu'elle a demandé à l'un des deux hommes de lui trouver du travail pour payer son voyage au Gabon où sa mère est souffrante. Celui-ci lui a proposé de transporter de la drogue et lui a donné rendez-vous à Bruxelles. Qui des deux prévenus lui a remis le sac ? Difficile de savoir. Contrairement à eux, la femme reconnaît les faits et explique précisément le déroulement du voyage. Quant à M. Kizeidioko, il déclare que c'est elle qui a tout manigancé en échange de quoi, une fois arrivés à bon port : « la nuit sera bonne ! », lance-t-il devant le tribunal. La prévenue lui aurait fait des promesses de relations sexuelles une fois la tâche accomplie. C'est d'ailleurs aussi « l'amour » qui justifie les nombreux appels qu'il lui a passés sur la route ! Et s'il a préféré monter dans la voiture ouvreuse plutôt qu'avec « sa chère et tendre », comme la nomme le président du tribunal, c'est uniquement pour respecter les consignes de sécurité routière : « Mon ami aurait été seul dans la voiture et c'est mieux pour lui de ne pas appeler en conduisant ! ». Une histoire tirée par les cheveux qui ne fait pas oublier les casiers déjà bien chargés des deux hommes. Seule certitude « les trois sont coupables, déclare le procureur. On risquerait vingt ans de prison par amour ? ! (...) On n'hésite pas à emmener ses deux enfants dans cette affaire ». « Ce n'est pas parce qu'ils ont un casier qu'ils sont coupables, répond l'avocat de Dikassa et Kizeidioko, Me Villain. Vous avez un casier, alors vous êtes coupable dans ce cas, il faut fermer les tribunaux ». Mais l'exposé de l'avocat de la défense va au-delà de cette affaire : « L'Europe ne fait rien contre ce trafic et c'est quelque chose qui mérite d'être soulevé ». M. Kizeidioko a écopé d'une peine supérieure à la peine plancher requise par le procureur, en l'occurrence cinq ans de prison ferme. K. Dikassa a été condamné à quatre ans ferme. Tous deux ont été placés sous mandat de dépôt. Quant à D.M. Nzuzi, elle a écopé de dix-huit mois de prison ferme dont un an avec sursis et mise à l'épreuve. Ils ont été condamnés à verser, solidairement, aux douanes la somme de 16 425 E, équivalant au montant de la saisie.

tatilôtétatoux.

Moi je pensais que bisalela nyonso wana esila ça continue??? gagner beaucoup et vite les conséquences avec bon bapema na boloko peut être que bakokoma mayele.

la nuit sera bonne, ce tt ce que cet energumene avait coe argument? Maintenant au moins, la nuit sera longue

Fait interpellateur : un député national acharné à corriger intempestivement un modeste convoyeur pour avoir sali sa jeep par mégarde a soulevé la colère de l’assistance de la scène ; l’arrogant élu s’est ouvertement fait rappeler que son véhicule a été acquis avec l’argent du contribuable
Un député a obligé, le week-end dernier, le convoyeur d’une remorque en provenance du Bas-Congo, à nettoyer avec sa chemise le pare-brise de sa jeep Nissan Patrol tachée par un oignon qui est tombé du haut de la remorque surchargée.

En effet, le camion remorque a stationné au niveau de l’arrêt appelé « habitat », sur By pass, pour décharger une partie de sa cargaison, et le convoyeur qui s’y affairait à par mégarde fait tomber un oignon sur le pare-brise du véhicule du député.

L’élu du peuple, fou de colère, instruira son garde du corps, un policier, d’appréhender le convoyeur et de l’amener devant lui. Il demandera ensuite au convoyeur maladroit de nettoyer à l’aide de sa chemise la tâche laissée par l’oignon sur le pare-brise de sa jeep.

L’infortuné s’est exécuté et malgré cela, il était sur le point d’être embarqué, n’eut été la réaction de la foule en colère qui a rappelé par des cris au député que cette jeep a été achetée avec l’argent des contribuables congolais auxquels il pourra, le moment venu, solliciter encore les votes.

Source; ACP

tatilôtétatoux.