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APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT

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Message  KOTA 18/8/2012, 5:12 am

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http://mpamburosededieu.skyrock.com/3109048441-LIBERATION-DE-DIOMI-NDONGALA.html
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Message  KOTA 18/8/2012, 2:56 pm

KANAMBE alias «KABILA» : Rendez-nous Diomi NDONGALA, bien entendu vivant !/KongoTimes


Publié le 18 Août 2012by mpp

KANAMBE alias «KABILA» : Rendez-nous Diomi NDONGALA, bien entendu vivant !


18/08/2012 06:45:00KongoTimes!
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APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT - Page 12 Diomi_Ndongala_667782592Eugène Diomi Ndongala


Tout être humain jouit des droits et des libertés bien définis tant dans des traités internationaux que dans l’actuelle Constitution de la R.D.Congo. Dans le kidnapping de Eugène Diomi, nous observons une fois de plus que l’usurpateur Joseph Kabila ne comprend et ne respecte rien de tout. La mobilisation de plus de 35 policiers bien armés par la bande à Joseph Kabila, Charles Bisengimana et Célestin Kanyama, le tapage médiatique du ministre des Médias Lambert Mende et la conférence de presse du procureur général de la République, tous pour interpeller Diomi, dépassent bien entendu la fausse accusation de viol.

<BLOCKQUOTE>
L’objectif final apparaît clairement. C’est celui de le réduire au silence définitif.
</BLOCKQUOTE>
Depuis le 27 juin 2012, notre compatriote Eugène Diomi Ndongala a été enlevé par des éléments de la police à Kinshasa. Oui, ce sont eux qui ont pris d’assaut les bureaux et la résidence de Diomi ! Depuis lors, sa famille biologique et sa formation politique ne savent pas davantage où serait terré l’honorable Diomi.

Ce compatriote qui était toujours perçu aux côtés du président élu de la R.D.Congo, Etienne Tshisekedi wa Mulumba, n’est plus apparu depuis cet enlèvement injustifié, et pourtant nous étions habitué à l’écouter par la voix des ondes.

<BLOCKQUOTE>
Le scénario mal conçu et incohérent, de « double viol sur mineurs d’âge », qu’on cherche à lui imputer, ne tient pas la route. Ce scénario nous rappelle tout simplement les événements tragiques et tristes des défenseurs des droits de l’homme, Floribert Chebeya et Fidèle Bazana, pour qui nous continuons à exiger le jugement du principal suspect, le général John Numbi. C’est le même procédé que Joseph Kabila et son escadron de la mort utilisent pour humilier et élimer tous ceux qui dénoncent la barbarie de son régime.
</BLOCKQUOTE>
Eugène Diomi, descendant de l’ère des pères valeureux de l’Indépendance, notamment Gaston Diomi, a pris l’option d’une part de dénoncer la tricherie des élections organisée et concrétisée par le pasteur Ngoy Mulunda, l’homme fidèle et oncle de l’usurpateur Joseph Kabila, et d’autre part de réclamer tout simplement la vérité des urnes, qui ont porté au pouvoir suprême, Etienne Tshisekedi wa Mulumba.

Tout être humain jouit des droits et des libertés bien définis tant dans des traités internationaux que dans l’actuelle Constitution de la R.D.Congo. Dans le kidnapping de Eugène Diomi, nous observons une fois de plus que l’usurpateur Joseph Kabila ne comprend et ne respecte rien de tout. La mobilisation de plus de 35 policiers bien armés par la bande à Joseph Kabila, Charles Bisengimana et Célestin Kanyama, le tapage médiatique du ministre des Médias Lambert Mende et la conférence de presse du procureur général de la République, tous pour interpeller Diomi, dépassent bien entendu la fausse accusation de viol. L’objectif final apparaît clairement. C’est celui de le réduire au silence définitif.

<BLOCKQUOTE>
Voilà pourquoi, aujourd’hui, des voix s’élèvent pour crier : nous en avons assez de laisser banaliser les crimes d’Etat marqués par des enlèvements et des assassinats des hommes politiques et des défenseurs des droits de l’homme en R.DC.
</BLOCKQUOTE>
C’est ainsi que nous tapons du point sur la table et nous exigeons au nom du peuple congolais et particulièrement au nom du peuple Ne-Kongo, que Joseph Kabila, Charles Bisengimana et Célestin Kanyama, nous rendent immédiatement Eugène Diomi Ndongala vivant et en pleine possession de toutes ses facultés mentales et physiques.


Nous en avons déjà assez des tueries non réparées des adeptes de Bundu-dia-Kongo, au Bas-Congo. De même pour la perte de plus de 6 millions des Congolais exécutés, violés et enterrés, pour certains vivants à l’Est du pays, pour cause et complicité de Joseph Kabila.

A ce jour, nous avons déjà pris toutes les dispositions utiles pour pallier à ce génocide et à cette barbarie inexplicable en plein 21ème siècle. C’est dire, et sans délai, que si le peuple congolais ne retrouve pas Eugène Diomi Ndongala vivant, alors nous pouvons vous annoncer la foudre imminente qui va vous pulvériser en cendre et poussière.

Qu’on se le dise !

Bamba-di-Lelo, Docteur en Sciences politiques de l’UCL, Analyste des questions politiques du Congo

Published By www.KongoTimes.info – © KongoTimes! – All Rights Reserved.

http://democratiechretienne.org/2012/08/18/kanambe-alias-kabila-rendez-nous-diomi-ndongala-bien-entendu-vivant-kongotimes/
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Message  KOTA 19/8/2012, 9:27 pm


LETTRE OUVERTE AU LIEUTENANT-GENERAL JOHN TSHIBANGU

Cher General,


La Diaspora Congolaise se felicite de votre courage d'avoir pris la decision de saisir le taureau par les cornes a partir du Congo au moment ou le bateau prend l'eau de toutes parts. Bravo parce que vous redonnez de l'espoir au peule meurtri du Congo dont les regards vont etre fixes sur vous et vos actions. Ou vous prendrez de bonnes decisions pour sauver le pays ou vous prendrez de mauvaises et inopportunes et la misere du peuple, deja suffisamment noire, deviendrait pire qu'avant.

De part votre formation d'anti-terroriste, vous etes l'homme du terrain et l'avez demontre au long de votre carriere. Donc vous savez ce qu'il faut faire et nous vous faisons confiance.
Comme vous savez, dans ce genre d'entreprise on ne regarde pas en arriere et on ne recule pas. Il faut aller jusqu'a la victoire.

Oui, la victoire sera le seul goal a atteindre. Pas d'alternative. Vous aurez presents a l'esprit plus de huit millions des Congolais decimes par les Rwandais, les Ougandais, les Burundais et meme les Angolais. Les images des enfants violees et eventrees, les femmes eventrees ou enterrees vivantes, les hommes sodomises et disseques a la machette comme en labo de medecine. Les femmes auxquelles on a inocule le virus du SIDA le poison de tout genre dans les geoles du pouvoir en place au Congo ne sont pas a compter. Ce sera une guerre sans merci car un echec serait catastrophique pour le pays tout entier.

Vous aurez devant vous tous les manifestants de l'Opposition canardes comme des oies sauvages pendant toute la periode electorale avant comme apres jusqu'a ce jour par des mercenaires ougandais et rwandais pour la majorite, habilles en tenues de la Police Nationale Congolaise. Vous aurez une pensee pieuse pour Chebeya, Bazana, Tungulu et tous les inconnus dont on saura meme pas a quoi ils ressemblaient lorsque jettes dans le fleuve par les soins des officiers congolais de la police et des services secrets au service de l'ennemi. Le jeune hero national, Cedric qui s'est immole le jour de la proclamation des resultats ne devra pas etre mort en vain. Son image sera devant vous comme un monument de justification de votre guerre.

Vous aurez une pensee pour Diomi Ndongala dont la disparition ne semble pas de bonne augure.
En somme, vous aurez un veritable tableau noir de votre pays et de son peuple en pensant que votre determination et notre soutien et celui des populations du Grand Kivu comme de tout le pays constituera le tonus de vos actions.

Soyez efficace et frappez avec force les points nevralgiques que vous connaissez. Faites un plan solide et n'oubliez pas d'entrer en contact avec des compagons d'armes qui sont dans la meme logique que vous. Le General Munene est le plus connu. D'autres se battent deja au front de l'Est. Certainement que vous les connaissez. Faites appel a ces vaillants soldats car le pays nous appartient a tous et nous devons le sauver.

Nous allons nous consulter pour constituer un Comite de Soutien a votre action qui merite d'etre soutenu. Les Congolais que nous sommes, n'avons plus de choix pour la couleur d'une bouee de sauvetage. C'est a celle qui se presentera qu'on s'accrochera peu importe qu'elle vienne de Yalikimba ou de Mutshatsha, de Samba ou de Lubao, de Libenge ou de Kenge, Tshiela ou Katakokombe ou encore de Kazumba. L'etendue de tout le pays, ce don beni de Dieu, est devant vos yeux. A vous de jouer

Ne commettez aucune erreur. On vous dira que l'erreur est humaine, mais nous vous disons que toute erreur dans ce genre de business serait inhumaine de par ses consequences. Voila pourquoi nous insistons sur votre professionalisme pour desserer l'etau qui nous etrangle.

N'oubliez pas qu'une fois cet etau dessere, ce sera le veritable demarrage de notre pays qui ne manque plus de cerveaux comme en 1960. C'est la liberation du pays dont nous avons le plus besoin dans l'immediat et la mise en valeur du territoire national suivra comme par enchentement. Quelles que soient les bonnes idees que nous ayions, sans liberation du Congo, nous ne pourrons pas les appliquer et le temps, Dieu sait que nous l'avons deja assez perdu et cela suffit.

Felicitations encore et bonne chance. Que tous les millions des Congolais retires de l'univers par la volonte de nos ennemis vous accompagnent dans cette battaille car, leur sang crie vengeance.


Kalombo Kabengu
De : Arthur Kalombo <arthur.kalombo@gmail.com>
recu en inbox
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Message  KOTA 20/8/2012, 10:56 pm

OPEN LETTER TO SECRETARY-GENERAL OF THE UN AND THE US LEADERS/ARREST AND DISAPPEARANCE OF OPPOSITION LEADER, THE HONORABLE EUGENE DIOMI NDONGALA


Publié le 20 Août 2012by mpp

PLEASE SHARE WITH ALL YOUR CONTACT AND FORWARD TO

US LEADERS – SENATE – CONGRESS – MAYOR -CHURCHES

********

THE CONGOLESE AMERICAN COMMUNITY – CAC

OPEN LETTER TO SECRETARY-GENERAL OF THE UN AND THE US LEADERS
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ARREST AND DISAPPEARANCE OF OPPOISITION LEADER

THE HONORABLE EUGENE DIOMI NDONGALA

FORMER PRESIDENTIAL CANDIDATE – ’2006,

PRESIDENT OF THE CHRISTIAN DEMOCRACY (CD)



His Excellency Ban Ki-moon Secretary-General of the United Nations New York,

New York 10117

CC: 12, Av des Aviateurs
MONUSCO Heatquarters Address Kinshasa-Gombe DR Congo


Kinshasa 22 August 2012

Subject: Arrest by Hyppolite Kanambe Alias “Joseph Kabila”’s police and Disappearance of the Honorable Eugene Ndongala Diomi Former Presidential candidate ’2006 election and Chairman of the Christian Democracy (CD).

Concerns: Your action to locate and release Honorable Eugene Diomi Ndongala

Mr. Secretary,

We believe that you have the tools at your disposal, as the Secretary General of the United Nations, based on your ideals of defending democracy around the globe, that lead us to make this request to you. We need your assistance in order to force the dictator who rules the Democratic Republic of Congo (DRC), namely Mr. “Joseph Kabila” to explain to the world the whereabouts of the Honorable Diomi Ndongala – missing since June 27, 2012 – just before the formal establishment of the political movement of opposition – the Popular Presidential Majority (MPP) 2 in recognition the electoral and presidential victory of Mr. Etienne Tshisekedi, as chairman of MPP.

Honorable Diomi Ndongala is an elected official and member of parliament who is protected under his parliamentary immunity. “Joseph Kabila” constantly violates the laws of the DRC and doesn’t respect the DRC’s constitution.

“Joseph Kabila” set up a shameless rape scenario in the hope of getting rid of a political opponent. The same scenario he used to justify the assassination of the human Rights activist and President of the “Voice of the Voiceless” –Floribert Chebeya and his chauffer Bazana– at the office of the Chief of the Congolese National Police4 (General John Numbi). After being murdered, Chebeya’s body was abandoned on the back seat of his car partially clothed, tens of kilometers away from downtown where he was killed, while Mr. Bazana body has never been found. They laid condoms in the car in the attempt to show that he had sex with a prostitute and who probably had killed him, a scheme that is so despicable, perverse and unimaginable.

Honorable Diomi Ndongala, who has not been seen since his disappearance, is accused by the government of “raping two underage sisters in his office”. A poor excuse intended to raise international awareness when we know that gang rape is associated with the Congo – where its intensity is unparalleled in the world. No one with good moral character can stand to request the release of an arrested rapist. But here, the accused (Ndongala Diomi) has not been seen nor heard from, so the charges are published without the accused individual being presented before justice so, that he can defend himself and face his accusers in the court of law.

The calls to produce the “accused” have gone unanswered.

These calls have emanated from Honorable Ndongala’s family5, from the members of his political party, from the Congolese political class, and especially from the Congolese Diaspora. Not one person believes these false accusations aimed at damaging the reputation of a leader of the political opposition.

Especially in light of the fact that Diomi Ndongala has been speaking out about the hold up of the presidential elections (11/28/2011) which keeps “Joseph Kabila” in power by defiance, despite the fact that he was rejected by the Congolese people who actually made a song to express their feelings before and during the elections, saying or singing: “Yaya Tshitshi zongisa ye na Rwanda” [Lingala language for“brother Tshisekedi send him back to Rwanda”].

Mr. Secretary, the arrest and the disappearance of Honorable Diomi is a gross miscarriage of justice using an unlawful and anti-democratic way to silence a political opponent. No matter how heinous the crime one is accused of, one must just not be seen again while allegations are made against the person, who happens to be a major leader of the opposition. Not just that the president of the Christian Democracy Party was kidnapped in broad day light, but the headquarters of his political party has been ransacked by uniformed and non-uniformed agents of “Joseph Kabila’s” government, who, even today, have blocked its entrance to the workers of CD.

You would agree, Mr. Secretary that these types of action are anti-democratic and just plain criminal.

“Kabila” kills, mutilates, rapes, steals, genocide, corrupts and kidnaps political opponents. With about 20,000 men force, how can MONUSCO ignore the disappearance of a political leader of the caliber of Honorable Ndongala Diomi, and not even attempt to find out whether he is still alive or not, even only just to inform his family of his status? History reminds us that President Jimmy Carter, with the leadership of former Secretary of State Henry Kissinger, saved lives of many Congolese army officers accused in a fake attempted coup against the dictator President Mobutu Sese Seko.

With this precedent, we believe, Mr. Secretary, you have the power and the ability to rescue Mr. Ndongala Diomi out of the hands of Congo’s present dictator “Joseph Kabila”.

Mr. Secretary, doing nothing here is to show to the Congolese People that you do not care indeed many lives have been snuffed by this young dictator. Let him not do it again in broad day light.

Abandoning Honorable Ndongala, whose fate already decided by Joseph Kabila, will be a very bad signal sends to young Congolese who are waiting for the opportunity to fight Joseph Kabila despotic system.

As a reminder, Mr. Secretary, May we let you know that this is not the first attempt to intimidate Honorable Diomi Ndongala by Kabila’s regime arrested him and imprisonment him in November 2010 in Bas-Congo with false accusations that were later dropped.

Then, later, they attempted to assassinate him in June 2011 in Kinshasa. In fact, everyone in Kinshasa knows that the main reason of his abduction was the planned launching of the new Popular Presidential Majority group, which was going to include 40 political parties in opposition. “Joseph Kabila” was scared to see this political platform at work.

Mr. Secretary, we are convinced that with just your word, you can request and obtain from Joseph Kabila the immediate release of Honorable Diomi Ndongala, based on his parliamentary immunity and on the presumption of his innocence, so that he can challenge, before the court of Law, whatever charges the government may have against him.

In the meantime, Mr. Secretary, receive the assurances of the highest consideration from all of us Congolese people.
Combattants Patriotes Resistants Congolais CPRC-USA

1 http://democratiechretienne.org/

2 Majorité Présidentielle Populaire (MPP) 3 DR Congo human rights activist found dead in Kinshasa, Floribert Chebeya’s body was discovered, partially clothed, on the back seat of his own car, http://www.bbc.co.uk/news/10223564 – June 3, 2010 4 Voire les révélations du Major Paul Mwilambwe, au journaliste Belge Louis Michel, sur les circonstances de l’assassinat de Floribert Shebeya et son Chauffeur fidele Bazana le 2 juin 2010 à Kinshasa sur commanditassions de Joseph Kabila et le Chef de la Police, le Général John Numbi. https://www.youtube.com/watch?v=ujSv8Zb5zkU 5 Mrs. Diomi Ndongala Press conference in Kinshasa- https://www.youtube.com/watch?v=_YNcalVC2eU



http://democratiechretienne.org/2012/08/20/open-letter-to-secretary-general-of-the-un-and-the-us-leadersarrest-and-disappearance-of-oppoisition-leader-the-honorable-eugene-diomi-ndongala/
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Message  KOTA 21/8/2012, 3:02 pm

]





RÉPONSES DE FREDDY KITA SG DE DEMOCRATIE CHRIETIENNE SUR L’ENLEVEMENT DU PRESIDENT DIOMI NDONGALA


Publié le 21 Août 2012 by mpp









3109643823-OU-EST-DIOMI-NDONGALA-REPONSES-DE-FREDDY-KITA-SG-DE-DEMOCRATIE.html



http://democratiechretienne.org/2012/08/21/reponses-de-freddy-kita-sg-de-democratie-chrietienne-sur-lenlevement-du-president-diomi-ndongala/
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Message  KOTA 22/8/2012, 3:07 pm

L’état de santé de Diomi Ndongala s’aggrave / TEMPETE DES TROPIQUES 21.08.12



Publié le22 Août 2012 by mpp


Selon la cellule des Droits de l’homme de la MONUSCO
Actualités – Nation
Écrit par Par Lefils Matady
Mercredi, 22 Août 2012 07:23
L’état de santé de Diomi Ndongala s’aggrave


APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT - Page 12 Diomi15450585
Des informations en provenance de la cellule des Droits de l’homme de la Mission d’observation des Nations Unies en République démocratique du Congo (MONUSCO) font état de la mauvaise état de santé du député Eugène Diomi Ndongala, farouche opposant du régime en place, détenu au secret depuis aujourd’hui un mois et trois semaines.
Le président national de la Démocratie chrétienne (DC) aurait perdu plusieurs kilos dans son lieu de détention. En plus, outre des troubles digestifs consécutifs à un mauvais régime alimentaire, ce proche d’Etienne Tshisekedi souffrirait gravement d’une hernie inguinale, nécessitant une intervention chirurgicale de toute urgence.
Selon certaines sources, ceux qui détiennent cet homme politique ont du mal à trouver la solution pour résoudre sa maladie, qui prend des proportions inquiétantes. Ils craignent ainsi de l’exhiber en public, en cas de son hospitalisation dans une formation médicale officielle.
Les mêmes sources renseignent que ses bourreaux disposeraient d’un hôpital privé, situé quelque part dans la commune de Bandalungwa. Mais en transférant le prisonnier dans ce lieu, ils craignent une évasion, soit le malade risquerait de rameuter les passants ou encore tout autre acte similaire.
Surtout qu’officiellement, le gouvernement avait déjà nié le fait que ce parlementaire serait sous sa garde quelque part à Kinshasa.
Pour rappel, il y a plus de deux semaines, La Voix des Sans Voix, une Ong de défense des droits humains basée à Kinshasa, avait tenu un point de presse au cours duquel elle avait révélé, après enquête, que Diomi Ndongala, enlevé depuis le 27 juin 2012, serait localisé à l’Agence Nationale des Renseignements (ANR)/DSI qui le détiendrait dans une de ses villas privées.
Et que cet acteur politique de l’opposition serait en voie d’être transféré dans la province du Katanga, pour le réduire véritablement au silence, surtout qu’il dérange sérieusement le pouvoir en place.
Mise à jour le Mercredi, 22 Août 2012 07:26

http://www.latempete.cd/accueil/1-nation/335-selon-la-cellule-des-droits-de-lhomme-de-la-monusco.html
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Message  KOTA 23/8/2012, 4:40 pm

AMNESTY INTERNATIONAL: DRC: Fears for missing political opponent in DRC: Diomi Ndongala/URGENT ACTION


Publié le 23 Août 2012 by mpp

APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT - Page 12 Amnesty_international


Document – DRC: Fears for missing political opponent in DRC: Diomi Ndongala


URGENT ACTION



UA: 246/12 Index: AFR 62/010/2012 Democratic Republic of Congo Date: 23 August 2012

URGENT ACTION

FEARS FOR MISSING POLITICAL OPPONENT IN DRC

A prominent Congolese political opponent, Diomi Ndongala, went missing in Kinshasa, the capital of the Democratic Republic of Congo (DRC) on 27 June. He is reportedly detained incommunicado by the intelligence services in Kinshasa.

Diomi Ndongala is a member of parliament and head of the political party Démocratie Chrétienne (DC) At around 11.30 am on 27 June, he left his house in his car (a white Mitsubishi with tinted windows) to attend an event organized by his political party at the Cathedral Notre Dame du Congo in Kinshasa. At the event, he was supposed to officially sign a Charter “la plateforme de la majorité présidentielle populaire”, which would have established a coalition with other political parties. Diomi Ndongala never reached the Cathedral and nobody, including his family, has seen or heard from him since.

On 28 June, a government spokesperson announced that an important figure of the opposition had been arrested on charges of rape. The same day, the General Prosecutor stated that Diomi Ndongala had fled after an arrest warrant had been issued against him for the rape of two minors. Since this statement, the Congolese authorities have denied detaining Diomi Ndongala.

<BLOCKQUOTE>
Recent information has revealed that Diomi Ndongala is being detained incommunicado by the intelligence services in Kinshasa. According to several sources, he was first located at the Tchatchi military camp and then at the 3rd Directorate of the ANR (National Intelligence Services) in Kinshasa, where he was reportedly detained until 2 August. According to other sources, he was seen around 16 August at the Cité de l’OUA, a complex owned by the Presidency. According to these sources, Diomi Ndongala is in poor health and has lost a lot of weight due to a lack of food and being denied treatment for his chronic medical conditions.
</BLOCKQUOTE>
Despite a complaint by his relatives and lawyer, they have not received any answer from the General Prosecutor or the Congolese government regarding the whereabouts of Diomi Ndongala or his current state of health.

Please write immediately in French or your own language:

Urging the Congolese authorities to immediately disclose the whereabouts of Diomi Ndongala;

Urging the Congolese authorities to immediately give Diomi Ndongala access to any medical care he requires;

Urging the Congolese authorities to immediately provide Diomi Ndongala access to his relatives and lawyers;

PLEASE SEND APPEALS BEFORE 4 OCTOBER 2012:



President

Son Excellence Joseph Kabila

Président de la République

Palais de la Nation

Avenue de Lemera, Kinshasa-Gombe,

Democratic Republic of Congo

Email: cabinet_president@yahoo.fr

Salutation: Dear President /Votre Excellence Monsieur le Président

Minister of Justice

Mme Wivine Mumba Matipa

Ministère de la Justice

228 Avenue de Lemera

BP 3137

Kinshasa-Gombe

Democratic Republic of Congo

Salutation: Dear Minister/Madame la Ministre



Also send copies to diplomatic representatives accredited to your country. Please insert local diplomatic addresses below:

Name Address 1 Address 2 Address 3 Fax Fax number Email Email address Salutation Salutation

Please check with your section office if sending appeals after the above date.



URGENT ACTION

FEARS FOR MISSING POLITICAL OPPONENT IN DRC

ADditional Information


Diomi Ndangala is 50 years old. He has four children. He is a prominent political figure in the Democratic Republic of Congo (DRC). Under the government of President Mobutu Sese Seko, he was Deputy Minister of Economy and Finance before deciding to start his own political party. As a national MP, there are certain conditions that regulate any prosecution or arrest. According to article 107 of the Constitution of the DRC and article 89 of the Internal rules of the National Assembly, “an MP can be arrested only with the preliminary authorisation of the National Assembly or the Senate cabinet except if the person has been caught red-handed, the prosecution is authorised or in case of final sentence”. In this case, none of these conditions has been respected.

In the past, he has been arrested and tortured several times by the security forces due to his political activities. In 1998, Amnesty International issued an Urgent Action calling for his immediate release while he was arbitrarily detained by the military police in Kinshasa. See UA 04/98, AI Index: AFR 62/02/98, http://amnesty.org/en/library/info/AFR62/002/1998/en

Name: Diomi Ndangala

Gender m/f: Male





UA: 246/12 Index: AFR 62/010/2012 Issue Date: 23 August 2012

http://www.amnesty.org/en/library/asset/AFR62/010/2012/en/ee8c876e-2392-40ba-8866-af4938167754/afr620102012en.html



http://democratiechretienne.org/2012/08/23/amnisty-international-drc-fears-for-missing-political-opponent-in-drc-diomi-ndongalaurgent-action/
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Message  ndonzwau 24/8/2012, 1:20 am

Voilà ce que j'attendais, une sensibilisation audible des organisations internationales à cet autre crime du pouvoir Congolais qui semblait passer inaperçu ... Voilà pour quoi perso aussi je me sus un peu démené dans mon coin... Pour qu'on en parle fort et de haut d'ici et à partir des voix comme celle d'Amnesty International les chancelleries étrangères chercher un eu plus d'y voir plus clair !

Ce soir, j'ai entendu avec soulagement les plaintes sa femme sur Rfi !
Voyons voir maintenant ce que vont dire et faire publiquement les Occidentaux et que va répondre la dictature de Léo mais la pression doit continuer sur elle surtout de cet extérieur...
Les participations au prochain sommet de la Francohonie peuvent être d'ores et déjà une de ces occasions de plus d'intensifier la pression !
Après tout Chebeya et Bazana dont un procès correct sur leur mort est attendu, étaient disparus quasiment dans les mêmes conditions...


Compatriotiquement!

ndonzwau


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Message  KOTA 24/8/2012, 5:44 am













CONFERENCE DE PRESSE DU COLLECTIF DES ONG DES DROITS DE L’HOMME DE LA RDC: LIBEREZ DIOMI NDONGALA


Publié le 24 Août 2012by mpp





COLLECTIF DES ORGANISATIONS NON GOUVERNEMENTALES DES DROITS DE L’HOMME EN REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO










POINT DE PRESSE DU 23/08/2012



Le Collectif des Organisations non gouvernementales de défense des droits de l’homme est vivement préoccupé par la disparition de Monsieur Eugène Diomi Ndongala, Président National e la Démocratie Chrétienne (DC) et la façon dont le gouvernement gère avec légèreté celle-ci. Monsieur Eugène Diomi Ndongala, député élu de Kinshasa, est porte-parole de la Majorité Présidentielle Populaire, MPP en sigle, plate-forme politique de soutien à Monsieur Etienne Tshisekedi wa Mulumba, Président de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS).

En effet, l’opinion se souviendra que le 26 juin 2012 aux environ 22h0, un groupe de policiers sous le commandement du Colonel Kanyama, commandant de la police nationale district de la Lukunga, ville de Kinshasa, est descendu à la permanence de la Démocratie Chrétienne, sise 7 b Avenue Colonel Ebeya dans la commune de la Gombe, et il a investi les lieux. Messieurs Nsoni Zau et Ntino Kololo, respectivement élément de la police nationale congolaise commis à la garde de Monsieur Diomi Ndongala et Maçon travaillant à un chantier de ce dernier, seront mis aux arrêts et embarques de 23 heures au commissariat de la police District de la Lukunga communément appelé camp Lufungula et des policiers laissé en faction atour des lieux. Monsieur Diomi Ndongala avait, quant à lui, quitté la permanence à partir de 18h00 pour rentrer à sa maison où il était attendu par des invités.

En date 27 juin 2012, Monsieur Diomi Ndongala va quitter sa maison aux environs de 12 heures pour la Cathédrale Notre Dame du Congo où devait se tenir la manifestation de la signature solennelle de la Charte de la Majorité Présidentielle Populaire, plate-forme politique de soutien à Monsieur Etienne Tshisekedi et dont il est le porte-parole. Il sera enlevé en cours de route et amené vers une destination inconnue.

Contre toute attente, une grande campagne médiatique va être orchestrée faisant état d’un prétendu viol sur deux mineurs par Monsieur Diomi Ndongala et lui-même est donné d’abord comme arrêté et par la suite en fuite. La présomption d’innocence est bafouée et avec elle, l’immunité parlementaire du député Diomi Ndongala.

Les informations qui se recoupent provenant de sources sérieuses et concordantes, conformément au monitoring des ONGDH, renseignent toutes que Monsieur Diomi Ndongala se trouve depuis la date de son enlèvement, soit près de 60 jours, entre les mains des forces de sécurité, notamment, dans l’ordre, l’Agence Nationale de Renseignement (ANR) Garde Républicaine (GR), Comité de Sécurité de l’Etat (CSE), ex Conseil National de Sécurité (CNS), sans aucun contact ni avec les membres de sa famille de ses conseils. En outre, celui-ci se trouverait dans un état de santé préoccupant, l’infortuné souffrant notamment d’une hernie nécessitant une opération chirurgicale urgente.

Le Collectif des ONGDH se rappelant de la disparition du Docteur SOSO du Mouvement de Libération du Congo (MLC) en 2007 et du montage grossier ayant entouré le double assassinat de Messieurs Floribert Chebeya et Fidel Bazana Edadi, défenseurs des droits de l’homme, en 2010 dans les installations de la Police nationale congolaise, prend au sérieux les informations relevées ci-haut.

Il sied de noter que les plaintes déposées respectivement en date du 26 juin et 16 Aout 2012 auprès de l’Auditeur général des Fardc et du procureur General de la République demeurent sans suite et le Parquet General de la République qui a été très actif pour attester la prétendue thèse du viol et faire valoir la procédure de flagrance pour justifier la descente musclée de la police sur les lieux et les perquisitions pour le moins illégales faites en violation des articles 22 et 23 du code de procédure pénale au siège de la Démocratie Chrétienne, s’est subitement enfermé dans un silence complice.

Tout porte à croire que nous sommes en face, une fois de plus, d’un montage grossier du pouvoir en place tendant à réduire au silence un opposant gênant.

Vu ce qui précède, le collectif des ONGDH tient à rappeler que même en cas de flagrance « toute personne arrêté doit être immédiatement informée des motifs de son arrestation et de toute accusation portée contre elle et ce dans la langue qu’elle comprend.

Elle doit être mise immédiatement en contact avec sa famille ou avec son conseil » art. 18 de la Constitution et « nul ne peut être ni soustrait ni distrait contre son gré du juge que la loi lui assigne » (art. 19 de la Constitution). En outre, l’article 1 de l’Ord-Loi N° 78-001 relative à la répression des infraction flagrantes dispose : » Toute personne arrêtée à la suite d’une infraction flagrante ou réputée comme tell, sera aussitôt déférée au parquet et traduite sur le champ à l’audience du tribunal ».

En conséquence, le collectif exige ce qui suit :

- La libération immédiate et sans conditions de Monsieur Eugène Diomi Ndongala au cas où des griefs sérieux seraient retenus contre lui, de le déférer devant son juge naturel pour se défendre.

- La libération immédiate et sans conditions de toutes personnes proches de Monsieur Diomi Ndongala dont Messieurs Nsoni Zau et Ntinu Kololo, en détention préventive au pavillon 8 de la prison centrale de Makala ;

- Que cessent tous les actes de harcèlement et d’intolérance politique contre les opposants politiques et les défenseurs des droits de l’homme ;

- L’ouverture d’une enquête judiciaire impartiale sur l’enlèvement de Monsieur Eugène Diomi Ndongala et l’arrestation de ses préposés à la suite des plaintes déposées ;

- Que cesse l’instrumentalisation de la justice et des services de l’Etat à des fins politiciennes.

Fait à Kinshasa, le 23 août 2012



Pour le COLLECTIF DES ONGDH :

1. LES AMIS DE NELSON MANDELA POUR LES DROITS DE L’HOMME (ANMDH)

2. LIGUE DES ELECTEURS (LE)

3. OBSERVATOIRE CONGOLAISDES DROITS DE L’HOMME (OCDH)

4. COMITE DES OBSERVATEURS DES DROITS DE L’HOMME (CODHO)

5. COMITE DES DROITS DE L’HOMME MAINTENANT (CDHM)

6. ASSOCIATION CONGOLAISE POUR L’ACCES A LA JUSTICE (ACAJ)

7. ASSOCIATION AFRICAINE POUR LA DEFENSE DES DROITS DE L’HOMME (ASADHO)

8. FEMMES DES MEDIAS POUR LA JUSTICE AU CONGO (FMJC)

9. TOGES NOIRES

10. VOIX DES SANS VOIX POUR LES DROITS DE L’HOMME (VSV)

11. CENTRE DES DROITS DE L’HOMME ET HUMANITAIRES (CDH)

12. SYNERGIE CONGO CULTURE POUR LE DEVELOPPEMENT (SCCD)



http://democratiechretienne.org/2012/08/24/conference-de-presse-du-collectif-des-ong-des-droits-de-lhomme-de-la-rdc-liberez-diomi-ndongala/
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Message  Admin 24/8/2012, 6:22 am

ndonzwau a écrit:Voilà ce que j'attendais, une sensibilisation audible des organisations internationales à cet autre crime du pouvoir Congolais qui semblait passer inaperçu ... Voilà pour quoi perso aussi je me sus un peu démené dans mon coin... Pour qu'on en parle fort et de haut d'ici et à partir des voix comme celle d'Amnesty International les chancelleries étrangères chercher un eu plus d'y voir plus clair !

Ce soir, j'ai entendu avec soulagement les plaintes sa femme sur Rfi !
Voyons voir maintenant ce que vont dire et faire publiquement les Occidentaux et que va répondre la dictature de Léo mais la pression doit continuer sur elle surtout de cet extérieur...
Les participations au prochain sommet de la Francohonie peuvent être d'ores et déjà une de ces occasions de plus d'intensifier la pression !
Après tout Chebeya et Bazana dont un procès correct sur leur mort est attendu, étaient disparus quasiment dans les mêmes conditions...


Compatriotiquement!
Oui la les choses vont bouger
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Message  KOTA 24/8/2012, 1:26 pm

CONFERENCE DE PRESSE DU COLLECTIF DES ONG DES DROITS DE L’HOMME DE LA RDC: LIBEREZ DIOMI NDONGALA


Le collectif des ONGD exige la libération immédiate et sans condition de Diomi Ndongala/LA TEMPETE DES TROPIQUES


Publié le 24 Août 2012by mpp

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Message lancé au gouvernement
Écrit par Par Lucien K.T – LA TEMPETE DES TROPIQUES
Vendredi, 24 Août 2012 08:15
Le collectif des ONGD exige la libération immédiate et sans condition de Diomi Ndongala


Le Conseil international des droits de l’homme a été saisi pour faire pression sur Kinshasa !

Le collectif des ONG de défense des Droits de l’homme en RD Congo a exigé au gouvernement congolais la libération immédiate et sans condition de l’honorable Diomi Ndongala, président de la Démocratie chrétienne (DC) et porte-parole de la Majorité présidentielle populaire (MPP), porté disparu depuis aujourd’hui 60 jours.

C’était au cours d’un point de presse organisé au siège de l’une de ces ONG de défense des Droits humains situé sur le croisement des avenues de Tshuapa et Wangata dans la commune de Kinshasa . Certains opérateurs politiques ont participé à cette rencontre, notamment l’honorable Martin Fayulu de l’Opposition politique congolaise.

Animateurs du point de presse, membres du collectif, maîtres Jacob Balushi, Sylvain Lumu et Marie-André Mwila, ont relevé qu’au cas où des griefs seraient retenus contre le président de la DC, qu’il soit déféré devant son juge naturel afin de répondre des accusations qui lui sont reprochées.

Les autres exigences du collectif sont la libération immédiate et sans condition de toutes les personnes proches de Diomi Ndongala, dont Messieurs Nsoni Zau et Ntinu Kololo, respectivement maçon et garde du corps du porte-parole de la MPP, en détention préventive au pavillon 8 du CPRK (Centre pénitentiaire de rééducation de Kinshasa) ainsi que la cessation de tous les actes de harcèlement et d’intolérance politique contre les opposants au régime et les défenseurs des Droits de l’homme.

<BLOCKQUOTE>
Il a aussi exigé du gouvernement l’ouverture d’une enquête judiciaire impartiale sur l’enlèvement de Diomi Ndongala et l’arrestation de ses proposés à la suite des plaintes déposées, et que cesse l’instrumentalisation de la justice et des services de l’Etat à des fins politiciennes.
</BLOCKQUOTE>
Concernant l’action engagée en justice, le collectif s’est étonné du silence notamment du Procureur général de la République qui pourtant s’est investi dans le dossier après avoir lancé personnellement un mandat d’arrêt contre le président national de la DC.

Maître Bondo, avocat de l’honorable Diomi Ndongala, qui a aussi pris part à cette rencontre, a relevé que la requête introduite auprès de l’administrateur de l’ANR (Agence congolaise de renseignement) pour accéder dans les installations de cette agence afin de procéder à la recherche de l’incriminé, qui, selon certaines indiscrétions, serait détenu depuis son enlèvement dans un bureau de cette agence, est restée sans réponse, a-t-il regretté.

Maître Bondo s’est aussi étonné de voir que Ntinu Kokolo, un maçon travaillant dans le chantier de Diomi, et son garde du corps, Nsoni Nzau aient été arrêtés pour complicité.

La loi congolaise ne prévoit pas, en cas de viol, cette disposition de complicité. Elle reconnaît cependant le proxénétisme et le responsable de l’acte de viol. Ces proches collaborateurs de Diomi Ndongala devaient être normalement libres.

Les membres du collectif qui ont le regard fixé du côté du gouvernement pour la libération du président de la DC, ont dit être disposés pour poursuivre la lutte afin que l’élu de la Funa soit libéré.

Plusieurs autres activités sont prévues pour réclamer la lumière sur cette affaire d’enlèvement de ce proche collaborateur du président de l’UDPS Etienne Tshisekedi. Surtout que son état de santé se détériore de plus en plus.

Le Conseil internationale des Droits de l’homme qui a son siège à Genève, a été saisi par le collectif des ONGD de la RD Congo pour faire pression sur le gouvernement congolais afin qu’une solution soit trouvée dans cette affaire.
Vendredi, 24 Août 2012 08:18


http://www.latempete.cd/component/content/article/8-sur-le-vif/367-message-lance-au-gouvernement.html
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Message  KOTA 24/8/2012, 1:30 pm

Libérer pour Ntinu Kokolo et Nsoni Zau APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT - Page 12 Pdf_buttonAPRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT - Page 12 PrintButtonAPRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT - Page 12 EmailButton
Écrit par Par Godé Kalonji Mukendi
Vendredi, 24 Août 2012 08:18
Libérer pour Ntinu Kokolo et Nsoni Zau


L'Association congolaise pour l'accès à la justice (ACAJ), une organisation des droits de l'homme basée à Katanga, a dans un communiqué rendu public, invité le Procureur Général de la République à ordonner la libération de Ntinu Kololo et Nsoni ZAU, respectivement maçon et garde du corps d'Eugène Diomi Ndongala, Président du parti politique " Démocratie Chrétienne " (DC) et député de l'opposition.

Selon ACAJ, les précités ont été arrêtés dans la soirée du 26 juin 2012, pour " complicité de viol ", et ce, en l'absence du député précité que l'on présente comme l'auteur principal, et qui aurait quitté les lieux de leur arrestation plus d'une heure avant les prétendus faits de viol.

En effet, le maçon Ntinu attendait devant le siège de la DC pour que l'un des collaborateurs du député Diomi Ndongala vienne lui remettre l'argent nécessaire à l'achat de caillasses pour les travaux de chantier. Pendant ce temps le policier Nsoni gardait le véhicule du même député, qui avait de problème mécanique.

Dans la soirée du 28juin 2012, Ntinu et Soni seront transférés au Parquet de Grande Instance de la Gombe, et puis le 29 juin 2012 au Parquet Général de la République où ils seront de nouveau entendus par un magistrat sans la présence de leur Avocat.

Le 3 juillet 2012, ils sont présentés en chambre du Conseil du Tribunal de Paix de Ngaliema, qui ordonne leur mise en détention préventive pour 15 jours pour des raisons d'enquête. Le 17 juillet 2012, le même tribunal confirma leur détention préventive.

A ce jour, Ils totalisent 57 jours de détention sans être traduits devant une juridiction de jugement, indique l'acaj.

ACAJ constate que Ntinu et Nsoni ont été, manifestement, arrêtés pour servir d'alibi aux poursuites ouvertes à charge de Diomi Ndongala.

" Ils ont été privés du droit à l'assistance d'un Avocat pour qu'il leur soit imputé des déclarations autres que les leurs aux fins de charger la personne visée qu'est le député Diomi Ndongala ", précise Me Georges Kapaimba, président de cette Ongdh.

D'après lui, la procédure suivie par le Procureur Général de la République ne respecte pas les règles édictées en matière d'infractions intentionnelles flagrantes prévues par l'article 1 de l'ordonnance loi n° 78-001 du 24/02/1978 relative à la répression des infractions flagrantes qui dispose que " toute personne arrêtée à la suite d'une infraction intentionnelle flagrante ou réputée telle, sera aussitôt déférée au parquet et traduite sur-le champ à l'audience du tribunal ".

ACAJ rejette le prétexte de la recherche de l'honorable Diomi Ndongala, qui est invoqué après que les autorités aient elles même annoncé son arrestation puis se soient rétractées par la suite.

Face à cette situation, l'ACAJ exige la libération sans condition de Ntinu Kololo et Nsoni Zau car les droits fondamentaux leur garantis par la Constitution ont été systématiquement violés.
Mise à jour le Vendredi, 24 Août 2012 08:20
http://www.latempete.cd/component/content/article/8-sur-le-vif/368-liberer-pour-ntinu-kokolo-et-nsoni-zau.html
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Message  KOTA 24/8/2012, 1:58 pm

CONGO PAX: “EUGENE DIOMI EST EMPOISONE DEPUIS LE 19 AOUT 2012 SUR ORDRE DE JOSEPH KABILA, dit, PRESIDENT DU CONGO (RDC)”/ COMMUNIQUE DU 23/08/12


Publié le 24 Août 2012by mpp

ACTION URGENTE :


EUGENE DIOMI EST EMPOISONE DEPUIS LE 19 AOUT 2012 SUR ORDRE DE JOSEPH KABILA, dit, PRESIDENT DU CONGO (RDC)


APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT - Page 12 Marie_therese_nlandu





1. Depuis le 19 août 2012, aux dires des sources crédibles et concordantes, Joseph Kabila a ordonné l’empoisonnement de l’Honorable E. Diomi Ndongala,


empoisonnement qui a eu lieu à Kinshasa en son lieu de détention bien caché au public.


Cet empoisonnement à retardement est pour le tuer à petit feu jusqu’au jour fatal. Il est aujourd’hui gardé dans une villa dont le nom de code est « SAFE HOUSE ».


Hier gardé par des militaires rwandais à la cité de l’OUA, déplacé après, à la suite de notre déclaration du 04 août 2012 à trouver sur https://youtu.be/tSjQ1CnOKz4 et de notre communiqué du 07 août 2012 faisant état de son transfert dans les bureaux de Pierre Lumbi, l’actuel conseiller spécial de Joseph Kabila, le séquestré Diomi est de nouveau déplacé vers une villa à Kinshasa dont le nom de code est ci-dessus dénoncé. Ce sont les hommes de Pierre Lumbi qui gardent cette fois la victime.





2. Ce qui est arrivé à Diomi peut arriver à tout le monde y compris ceux qui ont agi contre Diomi ou d’autres hommes et femmes politiques de l’opposition congolaise.





2.1 Joseph Kabila, après avoir réalisé son forfait, laissera libre Diomi Ndongala qui mourra après quelques temps dudit poison.





2.2 Il est donc urgent que Joseph Kabila libère E. Diomi pour que sa famille tente de le faire soigner ; et Dieu Tout Puissant par le Sang de Jésus-Christ étant miséricordieux, le guérira, et la foi en cette guérison étant si forte, dans sa famille et dans ceux qui l’aiment à travers le monde.


APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT - Page 12 Diomi-prisonier-politique-aout-2012


3. Que le procureur de la Cour Pénale Internationale, en invoquant de nouveau l’article 15 du Statut de Rome créant la juridiction précitée (CPI), se saisisse d’office de cette dénonciation à charge de Joseph Kabila, du colonel Kanyama alias « esprit de mort », de Pierre Lumbi et consorts pour enlèvement, séquestration et empoisonnement de l’Honorable Diomi !





3.1 Si le même bureau du procureur a pu lancer un mandat d’arrêt international contre le président Béchir, président en exercice du Soudan, nous pensons que les conditions sont plus que réunies pour lancer ce même mandat d’arrêt contre Joseph Kabila dont les violations des droits humains sont devenues banales pour lui et connus de tous? Faut-il rappeler les crimes de Kabila dont l’assassinat de Floribert Chebeya, activiste des droits de l’homme et de son chauffeur Fidèle Bazana en 2010, l’assassinat des journalistes Maheshe, Franck Ngyieke et sa femme, les arrestations et condamnations pénales injustes du Pasteur Kuthino, de Maître Firmin Yangambi, d’Eric Kikunda, de l’étudiant Olangi, de l’homme politique Gabriel Mokia,…


Que dire des condamnations pénales politiques des présumés assassins de Laurent Désiré Kabila alors que tous les soupçons de l’exécution de l’infortuné pèsent sur lui-même Joseph Kabila, cet autre Brutus « Tu quoque filii mei »… ?








4. Le Bureau du procureur près la CPI a déjà ouvert le dossier des crimes commis au Congo par divers acteurs du pouvoir Kabila issu de l’AFDL, par sa lettre n° OTP-CR-242/10 du 24 mars 2011 ( voir www.dpc.epetitions.net).





5. Outre les organisations de droits de l’homme, le présent communiqué est aussi adressé aux Bureaux du Président de la France, Monsieur François Hollande, du Premier Ministre, Monsieur Jean-Marc Ayrault, du Ministre des Affaires Etrangères, Monsieur Laurent Fabius pour qu’après lecture de celui ci, ils deviennent les défenseurs véritables du peuple congolais contre les divers crimes de guerre, contre humanité, divers crimes de sang, divers enlèvements et séquestrations des activistes de droits de l’homme, des journalistes, des avocats et paisibles citoyens perpétrés par le régime sanguinaire de Joseph Kabila en RDC.





5.1 La France est terre de droit, le gouvernement français ne pourra que le prouver face au peuple congolais sans défense, dont le français est la langue officielle. On ne le dira pas assez : le peuple congolais est soumis aux dictats d’un pouvoir totalitaire, plus meurtrier que celui de Joseph Désiré Mobutu.


Le Congo est le deuxième pays francophone dans le monde et la France a un devoir moral de solidarité face aux souffrances de ce peuple avec qui elle a le français en partage.





5.2 Le peuple congolais est très attentif à la nature que le nouveau Président de la France veut entretenir avec J.Kabila. Sa participation ou non au sommet de la Francophonie d’octobre 2012 de Kinshasa en sera une première indication. La majorité des congolais refuse la tenue de ce sommet au regard du non respect par Kabila des principes fondamentaux de la Francophonie : Etat de droit et démocratie bonne gouvernance et développement.





6. Nous appelons et remercions d’avance les hommes et femmes de bonne volonté (tous) de réagir à la lecture de ce communiqué, de le traduire dans toutes les langues possibles et de le diffuser dans tous les réseaux sociaux.








6.1Tout en réconfortant la famille Diomi particulièement son épouse Patrizia Diomi, italienne et citoyenne européenne, le Parti de la Démocratie Chrétienne, dont E. Diomi est président, les avocats, les journalistes, les défenseurs des droits de l’homme en RDCongo et membres des organisations nationales des droits de l’homme qui prennent des risques et travaillent, sans répit, à la recherche de la vérité dans le dossier d’enlèvement et séquestration de E. Diomi, par Joseph Kabila,





le Parti Congo Pax ( parti pour la Paix au Congo), la plate-forme CLD( Congo en Légitime Défense) prient tout congolais de faire usage de l’article 64 de la Constitution qui dit que:





« Tout congolais a le devoir de faire échec à tout individu ou groupe d’individus qui prend le pouvoir par la force ou l’exerce en violation de la présente constitution … ».


Il est à noter que présente constitution garantit la protection des droits de l’homme et a, en son frontispice, la déclaration de droits de l’homme de 1948.





7. Les dispositions 16 et 17 de la constitution de la RDC sont claires à propos du respect des droits de l’homme dont le président de la république est supposé être le garant:





Article 16
 : « 
La personne humaine est sacrée. L’Etat a l’obligation de la respecter et de la protéger.



Toute personne a droit à la vie, à l’intégrité physique ainsi qu’au libre développement de sa personnalité dans le respect de la loi, de l’ordre public, du droit d’autrui et des bonnes moeurs.






Nul ne peut être tenu en esclavage ni dans une condition analogue.





Nul ne peut être soumis à un traitement cruel, inhumain ou dégradant.





Nul ne peut être astreint à un travail forcé ou obligatoire ».





Article 17 :
 « 
La liberté individuelle est garantie. Elle est la règle, la détention l’exception.





Nul ne peut être poursuivi, arrêté, détenu ou condamné qu’en vertu de la loi et dans les formes qu’elle prescrit.



Nul ne peut être poursuivi pour une action ou une omission qui ne constitue pas une infraction au moment où elle est commise et au moment des poursuites ».





La constitution ayant fait l’objet de référendum en RDC ne devrait souffrir d’aucune exception car Joseph Kabila s’appuie sur celle-ci pour porter le titre du président de la RDC.





8. Il est à noter que les congolais et les amis de ce peuple devront tout faire, au nom de la justice, pour que Diomi retrouve la liberté et accède aux soins de santé ; aussi que Diomi soit le dernier prisonnier politique enlevé, torturé, empoisonné au secret par le régime Kabila au nom des valeurs universelles du droit à la vie et du droit d’aller et de venir.





9. Le régime Kabila, issu de l’AFDL, envahisseur du Congo depuis 1996 (avec le Rwanda, le Burundi et l’Ouganda), avec son cortège des malheurs dont 8.000.000 de morts congolais, régime auteur de ce génocide silencieux ou voulu silencieux, ne semble pas encore interpeler grand monde au sein de la communauté internationale. En dehors des organisations nationales telles que la Voix de Sans Voix du feu Floribert Chebeya, la Toge Noire, ASADHOC…et internationales telles que Amnesty International, Human Rights Watch…, aucune puissance du monde n’a encore dénoncé de façon de façon conséquente les crimes de Joseph Kabila et de son régime, comme c’est le cas de la Lybie ou de la Syrie alors que les divers rapports de l’ONU et des organisations des droits de l’homme, sont clairs à ce sujet (voir rapports Mapping d’octobre 2010 et l’Addedum, de l’Amnesty International, des HRW…).





10. Le régime de J.Kabila dont la mission lui confiée par Paul Kagamé du Rwanda est de faire mourir le Congo en décimant ses populations particulièrement ses têtes pensantes s’est révélé véritable assassin du peuple congolais.


En plus, ce régime Kabila constitue la porte ouverte aux pillages de ressources naturelles du pays à travers notamment des fausses rébellions qui sont, en fait, des agressions par le Rwanda et l’Ouganda au travers le M23 aujourd’hui. Ce mouvement n’est que la dernière phase de l’application d’une stratégie à plusieurs vagues: AFDL en 1996, RCD en 1998, prise de Bukavu de Jules Mutebesi en 2004, CNDP de Laurent Nkunda et de Bosco Ntanganda, en 2006,7 et 9, intégré officiellement dans l’armée congolaise lors de fausses négociations du 23 mars 2009 d’où elle tire son nouveau nom. Cette dernière agression depuis depuis avril 2012 à l’est du Congo, tue, viole, extorque les populations congolaises autant que l’ont fait les agressions précédentes.


Le M23 occupe aujourd’hui une partie de l’est de la RDC où une administration autonome fonctionne avec un gouvernement qui taxe lourdement la population.





10.1 Ce régime de sang ne peut plus poursuivre son travail, aujourd’hui, bien connu de tous. Ce régime a perdu toute légitimité aux yeux des populations congolaises surtout qu’il se maintient sur base d’élections non crédibles entachées de fraudes massives à la face du monde entier.





11. Pour sauver le peuple congolais en proie à une extermination programmée par le Rwanda et l’Ouganda notamment, le régime de Joseph Kabila, de son nom rwandais Hyppolite Kanambe, est donc à renverser par tous les moyens de droit par tous les hommes et femmes de bonne volonté. Aucun homme juste ne peut soutenir un tel régime génocidaire et pillard, sinon pour des intérêts du sol et du sous-sol du Congo comme le coltan, l’or, le bois, le pétrole, le diamant, l’uranium… au mépris de la dignité et des droits élémentaires du peuple congolais.





12. L’enlèvement, la séquestration et l’empoisonnement de l’Honorable Diomi Ndongala par J. Kabila et sa police est l’une des conséquences de la complaisance, de la complicité et de la non condamnation par des grandes puissances du régime sanguinaire et liberticide de Joseph Kabila depuis son accession à la tête du Congo en janvier 2001, après l’assassinat de son présumé père, Laurent désiré Kabila.





Au contraire, les divers soutiens dont Joseph Kabila a bénéficié de la part de ces grandes puissances lui ont donné la licence de soumettre le peuple congolais à un régime totalitaire liberticide au vu et au su de tout le monde.








Aujourd’hui, personne ne dira qu’il ne savait pas !


Et Personne n’empêchera le peuple congolais d’user de la légitime défense garantie à tous les peuples du monde pour survie !





Nous rappelons pour terminer au peuple congolais que la liberté s’arrache !


Levons-nous, défendons la mère Patrie. C’est un droit et un devoir.








Fait à Londres le 23 août 2012





Maître Marie-Thérèse Nlandu





Human Rights lawyer


Amnesty International Prisoner of Conscience 2006/7





Présidente du parti Congo Pax


(En séjour forcé à l’Etranger)


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LIRE AUSSI LA CAMPAGNE DE AMNESTY INTERNATIONAL POUR LA LIBERATION DU DEPITE DE L’OPPOSITION EUGENE DIOMI NDONGALA

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  • AMNESTY INTERNATIONAL: DRC: Fears for missing political opponent in DRC: Diomi Ndongala/URGENT ACTION

http://democratiechretienne.org/2012/08/23/amnisty-international-drc-fears-for-missing-political-opponent-in-drc-diomi-ndongalaurgent-action/




  • CONFERENCE DE PRESSE DU COLLECTIF DES ONG DES DROITS DE L’HOMME DE LA RDC: LIBEREZ DIOMI NDONGALA

http://democratiechretienne.org/2012/08/24/conference-de-presse-du-collectif-des-ong-des-droits-de-lhomme-de-la-rdc-liberez-diomi-ndongala/








http://democratiechretienne.org/2012/08/24/congo-pax-eugene-diomi-est-empoisone-depuis-le-19-aout-2012-sur-ordre-de-joseph-kabila-dit-president-du-congo-rdc-communique-du-230812/
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Message  KOTA 24/8/2012, 5:24 pm

RDC: Amnesty International inquiète sur le sort de l’opposant Eugène Diomi Ndongala /RFI


Publié le 24 Août 2012by mpp

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RDC: Amnesty International inquiète sur le sort de l’opposant Eugène Diomi Ndongala






APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT - Page 12 000_Par7185945%281%29_0_0Etienne Tshisekedi (Centre D) aux côtés de leader de l’opposition Eugène Diomi Ndongala (Centre G) à l’église Notre-Dame de Kinshasa, le 22 Juin 2012.


AFP / JUNIOR DIDI KANNAH
Par RFI
Amnesty International s’est emparée de l’affaire de la disparition de l’un des leaders de l’opposition en RDC, Eugène Diomi Ndongala, président de la Démocratique chrétienne et proche d’ Etienne Tshisekedi, l’opposant historique de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS). Eugène Diomi Ndongala a disparu depuis le 27 juin. Les autorités disent qu’il est en cavale après avoir été poursuivi dans une affaire de viol. Ses proches disent qu’il est détenu au secret.






Pour Patrizia Diomi, l’épouse d’Eugène Diomi Ndongala, de nationalité italienne, il ne fait aucun doute que son mari est détenu au secret par les services spéciaux congolais. Elle dit en avoir la confirmation : « Parlons clairement. Les personnes de l’ANR (l’Agence nationale de renseignement ) et les services de sécurité nous ont dit clairement qu’ils l’ont entre leurs mains ».

Patrizia Diomi rejette catégoriquement l’accusation de viol sur mineure pour laquelle son mari fait l’objet d’une poursuite. « C’est un coup monté grossier », dit-elle, tout comme la prétendue cavale en Italie de son mari. On a avancé que Diomi était italien lui aussi, elle dément : « Mon mari est Congolais. Il n’est pas Italien. Lui est citoyen congolais, il n’a jamais eu d’autres nationalités ».

<BLOCKQUOTE>
Un collectif des associations de droits de l’homme mène campagne depuis presque deux mois. Maître Jacob Balushi : « C’est un dossier que nous suivons de très près, car on n’aimerait pas que ce qui est arrivé à Chebeya (défenseur des droits de l’homme assassiné), arrive à un digne fils de ce pays comme Diomi Ndongala »…
</BLOCKQUOTE>
24/08/12

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APPEL URGENT


DE AMNESTY INTERNATIONAL:


(TRADUCTION LIBRE DE L ANGLAIS)


Document – RDC: Craintes pour la disparition d’un opposant politique en RDC: Diomi Ndongala


URGENT ACTION



UA: 246/12 Index AI: AFR 62/010/2012 République démocratique du Congo Date: 23 Août 2012

ACTION URGENTE

CRAINTES POUR opposant politique MISSING EN RDC

Un éminent adversaire politique congolais, Diomi Ndongala, a disparu à Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo (RDC) le 27 Juin. Il serait détenu au secret par les services de renseignement à Kinshasa.

Diomi Ndongala est un membre du parlement et chef du parti Démocratie Chrétienne politique (DC) Aux environs de 11h30 le 27 Juin, il a quitté sa maison dans sa voiture (une Mitsubishi blanche aux vitres teintées) pour assister à un événement organisé par son parti politique à la cathédrale Notre Dame du Congo à Kinshasa. Lors de l’événement, il était censé signer officiellement une Charte ” la plateforme de la majority présidentielle populaire “, ce qui aurait créé une coalition avec d’autres partis politiques. Diomi Ndongala n’a jamais atteint la cathédrale et personne, y compris sa famille, a vu ou entendu parler de lui depuis.

Le 28 Juin, un porte-parole du gouvernement a annoncé qu’un personnage important de l’opposition avaient été arrêtés sur des accusations de viol. Le même jour, le procureur général a déclaré que Diomi Ndongala avait fui après qu’un mandat d’arrêt avait été délivré contre lui pour le viol de deux mineurs. Depuis cette déclaration, les autorités congolaises ont nié détenir Diomi Ndongala.

<BLOCKQUOTE>
Des informations récentes ont révélé que Diomi Ndongala est détenu au secret par les services de renseignement à Kinshasa. Selon plusieurs sources, il a d’abord été situé à l’Tchatchi camp militaire puis à la Direction de la 3ème ANR (Agence nationale des services de renseignement) à Kinshasa, où il aurait été détenu jusqu’au 2 Août. Selon d’autres sources, il a été vu environ 16 Août à la Cité de l’OUA, un complexe appartenant à la présidence. Selon ces sources, Diomi Ndongala est en mauvaise santé et a perdu beaucoup de poids due à un manque de nourriture et de se voir refuser un traitement pour ses problèmes de santé chroniques.
</BLOCKQUOTE>
Malgré une plainte déposée par sa famille et ses avocats, ils n’ont reçu aucune réponse de la part du procureur général ou le gouvernement congolais sur le sort des Diomi Ndongala ou de son état de santé actuel.

S’il vous plaît écrivez immédiatement en français ou dans votre propre langue:

Exhortez les autorités congolaises à révéler immédiatement le lieu de Diomi Ndongala;

Exhortez les autorités congolaises à donner immédiatement accès Diomi Ndongala à tous les soins médicaux dont il a besoin;

Exhortez les autorités congolaises de fournir immédiatement Diomi Ndongala accès à ses proches et des avocats;

S’IL VOUS PLAÎT ENVOYEZ VOS APPELS AVANT 4 octobre 2012:



Président

Son Excellence Joseph Kabila

Président de la République

Palais de la Nation

Avenue de Lemera, Kinshasa-Gombe,

République démocratique du Congo

Email: cabinet_president@yahoo.fr

Formule d’appel: Dear President / Votre Excellence Monsieur le Président

Ministre de la Justice

Mme Wivine Mumba Matipa

Ministère de la Justice

228 Avenue de Lemera

BP 3137

Kinshasa-Gombe

République démocratique du Congo

Formule d’appel: Monsieur le Ministre / Madame la Ministre



Veuillez également adresser des copies aux représentants diplomatiques de votre pays. S’il vous plaît insérer les adresses locales diplomatiques ci-dessous:

Nom Adresse 1 Adresse 2 Adresse 3 Fax Fax Email Adresse mail Civilité Civilité

S’il vous plaît vérifiez auprès de votre section s’il faut encore envoyer des appels après la date ci-dessus.



ACTION URGENTE

CRAINTES POUR opposant politique MISSING EN RDC

Informations supplémentaires


Diomi Ndangala a 50 ans. Il a quatre enfants. Il est une figure politique de premier plan dans la République démocratique du Congo (RDC). Sous le gouvernement du président Mobutu Sese Seko, il a été vice-ministre de l’Economie et des Finances. En tant que député national, il y a certaines conditions qui régissent toute poursuite ou d’arrêt. Conformément à l’article 107 de la Constitution de la RDC et à l’article 89 du Règlement intérieur de l’Assemblée nationale, «un député ne peut être arrêté qu’avec l’autorisation préalable de l’Assemblée nationale ou du Sénat de l’armoire sauf si la personne a été pris en flagrant mains, la poursuite est autorisée ou en cas de condamnation définitive ». Dans ce cas, aucune de ces conditions n’a été respectée.

<BLOCKQUOTE>
Dans le passé, il a été arrêté et torturé à plusieurs reprises par les forces de sécurité en raison de ses activités politiques. En 1998, Amnesty International a lancé une Action urgente appelant à sa libération immédiate, alors qu’il a été arrêté arbitrairement par la police militaire à Kinshasa. Voir l’AU 04/98, index AI: AFR 62/02/98, http://amnesty.org/en/library/info/AFR62/002/1998/en
</BLOCKQUOTE>
Nom: Diomi Ndangala



UA: 246/12 Index: AFR Date d’émission 62/010/2012: 23 Août 2012



http://democratiechretienne.org/2012/08/24/rdc-amnesty-international-inquiete-sur-le-sort-de-lopposant-eugene-diomi-ndongala-rfi/
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Message  KOTA 24/8/2012, 8:30 pm

LE PHARE 24.08.12: CRI D’ALARME DES ONG DES DROITS DE L’HOMME


Publié le 24 Août 2012by mpp

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LE TEXTE DE LA CONFERENCE DE PRESSE DES ONG DES DROITS DE L’HOMME DE LA RDC

COLLECTIF DES ORGANISATIONS NON GOUVERNEMENTALES DES DROITS DE L’HOMME EN REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO

POINT DE PRESSE DU 23/08/2012
Le Collectif des Organisations non gouvernementales de défense des droits de l’homme est vivement préoccupé par la disparition de Monsieur Eugène Diomi Ndongala, Président National e la Démocratie Chrétienne (DC) et la façon dont le gouvernement gère avec légèreté celle-ci. Monsieur Eugène Diomi Ndongala, député élu de Kinshasa, est porte-parole de la Majorité Présidentielle Populaire, MPP en sigle, plate-forme politique de soutien à Monsieur Etienne Tshisekedi wa Mulumba, Président de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS).

En effet, l’opinion se souviendra que le 26 juin 2012 aux environ 22h0, un groupe de policiers sous le commandement du Colonel Kanyama, commandant de la police nationale district de la Lukunga, ville de Kinshasa, est descendu à la permanence de la Démocratie Chrétienne, sise 7 b Avenue Colonel Ebeya dans la commune de la Gombe, et il a investi les lieux. Messieurs Nsoni Zau et Ntino Kololo, respectivement élément de la police nationale congolaise commis à la garde de Monsieur Diomi Ndongala et Maçon travaillant à un chantier de ce dernier, seront mis aux arrêts et embarques de 23 heures au commissariat de la police District de la Lukunga communément appelé camp Lufungula et des policiers laissé en faction atour des lieux. Monsieur Diomi Ndongala avait, quant à lui, quitté la permanence à partir de 18h00 pour rentrer à sa maison où il était attendu par des invités.

En date 27 juin 2012, Monsieur Diomi Ndongala va quitter sa maison aux environs de 12 heures pour la Cathédrale Notre Dame du Congo où devait se tenir la manifestation de la signature solennelle de la Charte de la Majorité Présidentielle Populaire, plate-forme politique de soutien à Monsieur Etienne Tshisekedi et dont il est le porte-parole. Il sera enlevé en cours de route et amené vers une destination inconnue.

Contre toute attente, une grande campagne médiatique va être orchestrée faisant état d’un prétendu viol sur deux mineurs par Monsieur Diomi Ndongala et lui-même est donné d’abord comme arrêté et par la suite en fuite. La présomption d’innocence est bafouée et avec elle, l’immunité parlementaire du député Diomi Ndongala.

Les informations qui se recoupent provenant de sources sérieuses et concordantes, conformément au monitoring des ONGDH, renseignent toutes que Monsieur Diomi Ndongala se trouve depuis la date de son enlèvement, soit près de 60 jours, entre les mains des forces de sécurité, notamment, dans l’ordre, l’Agence Nationale de Renseignement (ANR) Garde Républicaine (GR), Comité de Sécurité de l’Etat (CSE), ex Conseil National de Sécurité (CNS), sans aucun contact ni avec les membres de sa famille de ses conseils. En outre, celui-ci se trouverait dans un état de santé préoccupant, l’infortuné souffrant notamment d’une hernie nécessitant une opération chirurgicale urgente.

Le Collectif des ONGDH se rappelant de la disparition du Docteur SOSO du Mouvement de Libération du Congo (MLC) en 2007 et du montage grossier ayant entouré le double assassinat de Messieurs Floribert Chebeya et Fidel Bazana Edadi, défenseurs des droits de l’homme, en 2010 dans les installations de la Police nationale congolaise, prend au sérieux les informations relevées ci-haut.

Il sied de noter que les plaintes déposées respectivement en date du 26 juin et 16 Aout 2012 auprès de l’Auditeur général des Fardc et du procureur General de la République demeurent sans suite et le Parquet General de la République qui a été très actif pour attester la prétendue thèse du viol et faire valoir la procédure de flagrance pour justifier la descente musclée de la police sur les lieux et les perquisitions pour le moins illégales faites en violation des articles 22 et 23 du code de procédure pénale au siège de la Démocratie Chrétienne, s’est subitement enfermé dans un silence complice.

Tout porte à croire que nous sommes en face, une fois de plus, d’un montage grossier du pouvoir en place tendant à réduire au silence un opposant gênant.

Vu ce qui précède, le collectif des ONGDH tient à rappeler que même en cas de flagrance « toute personne arrêté doit être immédiatement informée des motifs de son arrestation et de toute accusation portée contre elle et ce dans la langue qu’elle comprend.

Elle doit être mise immédiatement en contact avec sa famille ou avec son conseil » art. 18 de la Constitution et « nul ne peut être ni soustrait ni distrait contre son gré du juge que la loi lui assigne » (art. 19 de la Constitution). En outre, l’article 1 de l’Ord-Loi N° 78-001 relative à la répression des infraction flagrantes dispose : » Toute personne arrêtée à la suite d’une infraction flagrante ou réputée comme tell, sera aussitôt déférée au parquet et traduite sur le champ à l’audience du tribunal ».

En conséquence, le collectif exige ce qui suit :

- La libération immédiate et sans conditions de Monsieur Eugène Diomi Ndongala au cas où des griefs sérieux seraient retenus contre lui, de le déférer devant son juge naturel pour se défendre.

- La libération immédiate et sans conditions de toutes personnes proches de Monsieur Diomi Ndongala dont Messieurs Nsoni Zau et Ntinu Kololo, en détention préventive au pavillon 8 de la prison centrale de Makala ;

- Que cessent tous les actes de harcèlement et d’intolérance politique contre les opposants politiques et les défenseurs des droits de l’homme ;

- L’ouverture d’une enquête judiciaire impartiale sur l’enlèvement de Monsieur Eugène Diomi Ndongala et l’arrestation de ses préposés à la suite des plaintes déposées ;

- Que cesse l’instrumentalisation de la justice et des services de l’Etat à des fins politiciennes.

Fait à Kinshasa, le 23 août 2012

Pour le COLLECTIF DES ONGDH :

1. LES AMIS DE NELSON MANDELA POUR LES DROITS DE L’HOMME (ANMDH)

2. LIGUE DES ELECTEURS (LE)

3. OBSERVATOIRE CONGOLAISDES DROITS DE L’HOMME (OCDH)

4. COMITE DES OBSERVATEURS DES DROITS DE L’HOMME (CODHO)

5. COMITE DES DROITS DE L’HOMME MAINTENANT (CDHM)

6. ASSOCIATION CONGOLAISE POUR L’ACCES A LA JUSTICE (ACAJ)

7. ASSOCIATION AFRICAINE POUR LA DEFENSE DES DROITS DE L’HOMME (ASADHO)

8. FEMMES DES MEDIAS POUR LA JUSTICE AU CONGO (FMJC)

9. TOGES NOIRES

10. VOIX DES SANS VOIX POUR LES DROITS DE L’HOMME (VSV)

11. CENTRE DES DROITS DE L’HOMME ET HUMANITAIRES (CDH)

12. SYNERGIE CONGO CULTURE POUR LE DEVELOPPEMENT (SCCD)

https://www.youtube.com/watch?v=fTBmvt9egBA&feature=player_embedded



http://democratiechretienne.org/2012/08/24/le-phare-24-08-12-cri-dalarme-des-ong-des-droits-de-lhomme/
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Message  KOTA 25/8/2012, 3:14 pm

“Le Procureur Général de la République détient le maçon et le garde du corps du député Eugène Diomi Ndongala en violation des droits fondamentaux leur garantis par la Constitution de la RDC”


Publié le 25 Août 2012 by mpp


APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT - Page 12 2012-08-25_13h17_29
<P align=center>
COMMUNIQUE DE PRESSE N°13/ACAJ/2012
“Le Procureur Général de la République détient le maçon et le garde du corps du député Eugène Diomi Ndongala en violation des droits fondamentaux leur garantis par la Constitution de la RDC”

L’Association congolaise pour l’accès à la justice (ACAJ) demande au Procureur Général de la République d’ordonner la libération de Sieurs NTINU KOLOLO et NSONI ZAU, respectivement maçon et garde du corps (policier) de M. Eugène DIOMI NDONGALA, Président du parti politique « Démocratie Chrétienne » (DC) et député de l’opposition.

Les précités ont été arrêtés dans la soirée du 26/06/2012, par le colonel KANYAMA, pour « complicité de viol », et ce, en l’absence du député précité que l’on présente comme l’auteur principal, et qui aurait quitté les lieux de leur arrestation plus d’une heure avant les prétendus faits de viol. M. NTINU attendait devant le siège de la DC pour que l’un des collaborateurs du député DIOMI NDONGALA vienne lui remettre l’argent nécessaire à l’achat des caillasses pour les travaux de chantier. Le policier NSONI gardait le véhicule du même député qui avait de problème mécanique.

Informé de leur arrestation, à partir de chez lui vers 22 heures, le député DIOMI NDONGALA chargera son Avocat habituel d’aller les assister. Lorsque ce dernier arrive d’abord au siège de la DC, il constate qu’il est encerclé par une dizaine de policiers, par qui il apprendra que Sieurs NTINU et NSONI étaient transférés au camp Lufungula. C’est ainsi qu’il va s’y rendre où, après s’être présenté, il se fit éconduire de manière violente, sur ordre d’un officier supérieur, au motif que l’assistance d’un avocat pendant l’audition, au camp Lufungula, n’était pas permise.

Dans la soirée du 28/06/2012, NTINU et SONI seront transférés au Parquet de Grande Instance de la Gombe, et puis le 29/06/2012 au Parquet Général de la République où ils seront de nouveau entendus par un magistrat sans la présence de leur Avocat. Cette audition s’était faite malgré leur insistance pour être assistés de leur Avocat. Le magistrat instructeur, du Parquet Général de la République, leur avait répondu qu’il n’avait assez de temps pour attendre l’arrivée de leur Avocat !

Le 03/07/2012, ils furent présentés en chambre du Conseil du Tribunal de Paix de Ngaliema, qui ordonna leur mise en détention préventive pour 15 jours pour des raisons d’enquête. Le 17/07/2012, le même tribunal confirma leur détention préventive. Ils totalisent à ce jour 57 jours de détention sans être traduits devant une juridiction de jugement.

ACAJ constate que Sieurs NTINU et NSONI ont été, manifestement, arrêtés pour servir d’alibi aux poursuites ouvertes à charge du député DIOMI NDONGALA. Ils ont été privés du droit à l’assistance d’un Avocat pour qu’il leur soit imputé des déclarations autres que les leurs aux fins de charger la personne visée qu’est le député DIOMI NDONGALA.



ACAJ relève que la procédure suivie par le Procureur Général de la République ne respecte pas les règles édictées en matière d’infractions intentionnelles flagrantes prévues par l’article 1 de l’ordonnance loi n° 78-001 du 24/02/1978 relative à la répression des infractions flagrantes qui dispose que « toute personne arrêtée à la suite d’une infraction intentionnelle flagrante ou réputée telle, sera aussitôt déférée au parquet et traduite sur-le champ à l’audience du tribunal ». Sieurs NTINU et NSONI sont arrêtés depuis le 26/06/2012 et ont totalisé à ce jour 57 jours sans qu’ils n’aient été traduits devant la juridiction de jugement. Les devoirs supplémentaires d’instruction ainsi que la mise en détention préventive des prévenus ne peuvent s’envisager en procédure de flagrance qu’après la traduction des personnes arrêtées devant la juridiction de jugement. Curieusement ils sont poursuivis en procédure de flagrance, placés en détention préventive depuis plus de 50 jours sans avoir jamais été traduits devant la juridiction de jugement, et ce, au mépris des articles 1 et 6 alinéa 2 de l’ordonnance-loi sur la flagrance.

<BLOCKQUOTE>
ACAJ rejette le prétexte de la recherche de l’honorable DIOMI NDONGALA, qui est invoqué après que les autorités aient elles même annoncé son arrestation puis se soient rétractées par la suite, n’est pas de droit car les dispositions légales ci- haut indiquées sont impératives et d’ordre public. Et le législateur a voulu entourer les procédures judiciaires en matière de violence sexuelle d’une grande célérité, et ce, tant au bénéfice des victimes qui verront les coupables punis que pour les présumés coupables qui pourraient voir leur innocence confirmée.
</BLOCKQUOTE>
Eu égard à ce qui précède, l’ACAJ exige la libération sans condition de Sieurs NTINU KOLOLO et NSONI ZAU car les droits fondamentaux leur garantis par la Constitution ont été systématiquement violés.

Fait à Kinshasa, le 22/08/2012

ACAJ

Pour toute information, contacter

Me Georges KAPIAMBA

PRESIDENT

Téléphone : + 243 81 404 3641



Note d’information :

L’article 17 de la Constitution prescrit que « la liberté individuelle est garantie. Elle est la règle, la détention l’exception. Nul ne peut être poursuivi, arrêté, détenu ou condamné qu’en vertu de la loi et dans les formes qu’elle prescrit… ». Il est ajouté à l’article 19 que « …le droit de la défense est organisé et garanti. Toute personne a le droit de se défendre elle-même ou de se faire assister d’un défenseur de son choix et ce, à tous les niveaux de la procédure pénale, y compris l’enquête policière et l’instruction préjuridictionnelle ». Entre les deux dispositions constitutionnelles précitées, le Constituant dispose au troisième alinéa de l’article 18 que « la personne gardée à vue a le droit d’entrer immédiatement en contact avec sa famille ou avec son conseil ».



http://democratiechretienne.org/2012/08/25/le-procureur-general-de-la-republique-detient-le-macon-et-le-garde-du-corps-du-depute-eugene-diomi-ndongala-en-violation-des-droits-fondamentaux-leur-garantis-par-la-constitution-de-la-rdc/
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Message  KOTA 25/8/2012, 11:09 pm

Kinshasa : les avocats du député Diomi Ndongala dénoncent sa détention illégale par l’ANR / Radio Okapi


Publié le 25 Août 2012by mpp

Kinshasa : les avocats du député Diomi Ndongala dénoncent sa détention illégale par l’ANR


publié il y a 7 heures, 23 minutes, | Denière mise à jour le 25 août, 2012 à 1:08 | sous Actualité, Justice, Kinshasa, Politique, Sécurité.

APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT - Page 12 Capture-okapi












APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT - Page 12 DSCF6404Au centre, Madame Patrizia Diomi et ses avocats( bout à bout) le 28/07/2012 au siège de la VSV à Kinshasa, lors d’un point de presse. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo


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Au centre, Madame Patrizia Diomi et ses avocats( bout à bout) le 28/07/2012 au siège de la VSV à Kinshasa, lors d’un point de presse. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo28-juil-2012 00:22, FUJIFILM FinePix S4500, 3.1, 4.3mm, 0.024 sec, ISO 400

Les avocats d’Eugène Diomi Ndongala et le collectif des ONG de droits de l’homme dénoncent la détention illégale du député congolais, président de la Démocratie chrétienne, dans les geôles de l’Agence nationale des renseignements à Kinshasa. Ils affirment en être convaincus suite aux déclarations du porte-parole du gouvernement, au lendemain de la perquisition du siège de la Démocratie chrétienne par le parquet général.

Selon Richard Bondo, un de ces avocats, le porte-parole du gouvernement avait affirmé que l’Etat avait « mis la main sur un gros poisson de l’opposition en flagrant délit de viol sur mineures ».

« Que cet Etat nous dise aujourd’hui que Diomi est en cavale, qu’on ne sait pas où il est, ça laisse tout le monde, en quelque sorte, désarçonné et déconcerté », a affirmé Richard Bondo.

Richard Bondo rapporte que le collectif des ONG de droits de l’homme a affirmé avoir appris, « de source fiable, que Diomi est dans les geôles de l’ANR ».

« Donc, nous avons la conviction qu’il est en ces lieux, surtout qu’il y a près d’une semaine, j’ai écrit, en tant qu’avocat, à l’administrateur général de l’ANR, pour me permettre d’accéder aux différents lieux de détention de ses services, et que, à ce jour, aucune suite ne m’a été réservée », a-t-il affirmé.

Pour Me Bondo, le gouvernement doit plutôt le présenter devant la justice au lieu de le détenir en cachette. …

VOICEI LA LETTRE DE MAITRE BONDO A L’ANR DEMANDANT QUE LA FAMILLE PUISSE RENDRE VISITE AU DEPUTE DIOMI NDONGALA

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Message  KOTA 26/8/2012, 12:10 am

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François Hollande irait-il à Kinshasa ? Le député Eugène Diomi Ndongala est-il encore en vie ?


Publié le 25 Août 2012by mpp





François Hollande irait-il à Kinshasa ?


Le député Eugène Diomi Ndongala est-il encore en vie ?


Par Freddy Mulongo, samedi 25 août 2012 à 19:56 :: radio:: #2811:: rss


Dans toute dictature totalitaire, les gens sont aveugles et ne veulent pas voir la réalité en face. Si le député Eugène Diomi Ndongala est toujours en vie, pourquoi le pouvoir d’occupation de Kinshasa ne le montre-t-il pas ? Le cri d’alarme de Marie-Therèse N’landu de Congo-Pax sur l’empoisonnement dans son lieu secret de détention arbitraire depuis le 19 août 2012, du député élu Eugène Diomi Ndongala, mais refuse de sièger au Palais du peuple pour ne pas cautionner l’imposture, ne peut laisser aucun congolais insensible. François Hollande, le président Français qui compte aller à Kinshasa pour le Sommet de la Francophonie prendra-t-il le temps de s’enquérir sur le cas Diomi Ndongala ? Les avocats d’Eugène Diomi Ndongala et le collectif des ONG de droits de l’homme dénoncent la détention illégale du député congolais, président de la Démocratie chrétienne, dans les geôles de l’Agence nationale des renseignements (ANR), la Gestapo de Joseph Kabila à Kinshasa. Amnesty International, Organisation de defense des droits de l’homme à l’echelle planetaire qui vient de lancer un appel dans son reseau mondial pour la libération du Porte Parole de la majorité Présidentielle Populaire, Eugène Diomi Ndongala. Jusqu’à l’heure où nous couchons ces lignes, Diomi Ndongala, est toujours entre les mains de la sécurité d’état en violation de la Constitution de Liège et des procédures légales. A Paris, le Rév. Freddy Kita Bukusu, Secrétaire Général de Démocratie Chretienne (DC) ne décolère pas, il est très inquiet sur l’absence des nouvelles de son président Eugène Diomi Ndongala. Lui-même a dû quitter précipitament le pays et s’est retrouvé en France.


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Rév. Freddy Kita Bukusu, Secrétaire Général de Démocratie Chrétienne (DC) à l’hôtel Hilton Paris-La Défense. Photo Réveil FM

Le 27 juin dernier, des gens lourdement armés avaient enlevé le député Eugène Diomi Ndongala et président du parti congolais Démocratie Chrétienne (DC). Son épouse, ses enfants, les membres de sa famille biologique et de son parti n’ont plus de nouvelles du leader politique. Lors de l’enlèvement d’Eugène Diomi Ndongala, les médias coupagistes et thuriféraires pro-Kabila avaient justifié cet enlèvement pour de raisons de mœurs. Depuis lors, les versions ont changé. Par peur de voir la Majorité Présidentielle Populaire (MPP) prendre de l’envergure dans le paysage politique Congolais. Par peur de voir l’impérium se retrouver entre les mains de Monsieur Étienne Tshisekedi, le Président élu, des joséphistes ont coffré illégalement Diomi Ndongala.

Nous le dirons jamais assez, la politique de zigouiller plus pour se maintenir par défi au pouvoir en République démocratique du Congo, a ses limites.


http://reveil-fm.com/index.php/2012/08/25/2811-francois-hollande-ira-toujours-a-kinshasa-le-depute-eugene-diomi-ndongala-est-il-encore-en-vie



http://democratiechretienne.org/2012/08/25/francois-hollande-irait-il-a-kinshasa-le-depute-eugene-diomi-ndongala-est-il-encore-en-vie/


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