DE QUOI EST COUPABLE LE JOURNALISTE PERO LUWARA AUJOURD'HUI RECHERCHE PAR LA POLICE JUDICIAIRE, OUTRAGE AU CHEF DE L’ÉTAT, IMPUTATION DOMMAGEABLE APRÈS DES PROPOS VIRULENTS CONTRE LE POUVOIR EN PLACE ? QUELLE EST DEDANS LA PART DE LA LIBERTÉ DE PRESSE ET
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DE QUOI EST COUPABLE LE JOURNALISTE PERO LUWARA AUJOURD'HUI RECHERCHE PAR LA POLICE JUDICIAIRE, OUTRAGE AU CHEF DE L’ÉTAT, IMPUTATION DOMMAGEABLE APRÈS DES PROPOS VIRULENTS CONTRE LE POUVOIR EN PLACE ? QUELLE EST DEDANS LA PART DE LA LIBERTÉ DE PRESSE ET
DE QUOI EST COUPABLE LE JOURNALISTE PERO LUWARA AUJOURD'HUI RECHERCHE PAR LA POLICE JUDICIAIRE, OUTRAGE AU CHEF DE L’ÉTAT, IMPUTATION DOMMAGEABLE APRÈS DES PROPOS VIRULENTS CONTRE LE POUVOIR EN PLACE ? QUELLE EST DEDANS LA PART DE LA LIBERTÉ DE PRESSE ET UN DÉLIT PUNISSABLE ???
L'Affaire Luwara défraie aujourd'hui la chronique ! N'importe comment on ne peut certes pas ignorer les dérapages à l'ordre public, aux bonnes mœurs comme à l’État de droit de certains journalistes, opposants politiques ou autres activistes en paroles ou en actes, n'empêche qu'il existe aussi une tendance croissante du pouvoir en place à criminaliser ou à réprimer toute critique à son endroit. Après un apparent bon début, il n'hésite pas à embastiller ou à réprimer des voix dissonantes comme on l'a vu avec la répression barbare des militants Ecidé et des jugements au-delà de tout bon sens à leur endroit.
Des états généraux de la presse ont eu lieu il y'a peu et il y'a deux jours on célébrait la journée de la liberté de la presse en marge de laquelle le Ministre de Communications n'a pas hésité à condamner sans discussion les propos de Luwara. Jusqu'où, ou est la marge de manœuvre entre liberté de presse et délit punissable ?
Sinon au-delà de forme excessive qu'aurait dit Luwara qui n'est pas vrai dans le fond ? A la commande de quel parti politique parlerait-il ? Aux dernières nouvelles, la plainte contre Luwara vient du ministre des Hydrocarbures, le célèbre Budimbu. et Luwara serait entré en clandestinité mais il sera sans doute vite interpellé. Quelles sont les recommandations des états généraux en pareil cas et en attendant de savoir le sort qui lui sera réservé, qu'en pensez-vous ? Si la liberté de presse doit être expurgée de ses scories dans notre pays, elle nécessite toujours d'être préservée !
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul # # Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
L'Affaire Luwara défraie aujourd'hui la chronique ! N'importe comment on ne peut certes pas ignorer les dérapages à l'ordre public, aux bonnes mœurs comme à l’État de droit de certains journalistes, opposants politiques ou autres activistes en paroles ou en actes, n'empêche qu'il existe aussi une tendance croissante du pouvoir en place à criminaliser ou à réprimer toute critique à son endroit. Après un apparent bon début, il n'hésite pas à embastiller ou à réprimer des voix dissonantes comme on l'a vu avec la répression barbare des militants Ecidé et des jugements au-delà de tout bon sens à leur endroit.
Des états généraux de la presse ont eu lieu il y'a peu et il y'a deux jours on célébrait la journée de la liberté de la presse en marge de laquelle le Ministre de Communications n'a pas hésité à condamner sans discussion les propos de Luwara. Jusqu'où, ou est la marge de manœuvre entre liberté de presse et délit punissable ?
Sinon au-delà de forme excessive qu'aurait dit Luwara qui n'est pas vrai dans le fond ? A la commande de quel parti politique parlerait-il ? Aux dernières nouvelles, la plainte contre Luwara vient du ministre des Hydrocarbures, le célèbre Budimbu. et Luwara serait entré en clandestinité mais il sera sans doute vite interpellé. Quelles sont les recommandations des états généraux en pareil cas et en attendant de savoir le sort qui lui sera réservé, qu'en pensez-vous ? Si la liberté de presse doit être expurgée de ses scories dans notre pays, elle nécessite toujours d'être préservée !
"Imputations dommageables : Pero Luwara serait recherché par la justice - 03.05.2022,
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-104168_imputations_dommageables_pero_luwara_serait_recherche_par_la_justice.html
Pero Luwara
Le parquet général près la Cour d'appel de Kinshasa/Gombe, a lancé ce 03 mai un mandat d'amener contre le journaliste Pero Luwara de CPL TV suite à des propos diffamatoires tenus contre le chef de l'État.
Il faut souligner que dans une vidéo ,qui a fait là une des réseaux sociaux , le journaliste Pero Luwara a ténu des propos désobligeants à l'égard du président de la République Félix Tshisekedi jusqu'à toucher à sa vie privée. Une sortie médiatique qui a choqué l'opinion publique.
D'après plusieurs sources , le journaliste Pero Luwara serait déjà en fuite en dehors de la ville de Kinshasa, même la corporation des journalistes, l' union nationale de la presse du Congo a lancé, sans succès, une invitation au journaliste Pero Luwara pour s'expliquer devant le tribunal des pères.
Pero Luwara risque deux mois ou plus de servitude pénale.
Ci dessous le mandat d'amener
"Kinshasa : le journaliste Pero Luwara recherché par la justice - 03/05/2022
= https://www.radiookapi.net/2022/05/04/actualite/justice/kinshasa-le-journaliste-pero-luwara-recherche-par-la-justice
Le journaliste Pero Luwawa est recherché par la police judiciaire des parquets afin de répondre des faits mis à sa charge, notamment l'imputation dommageable. Le parquet général près la cour d'appel de Kinshasa-Gombe confirme à Radio Okapi le mandat d'amener qu'il a émis à son encontre.
Le parquet demande à la police de rechercher et d'arrêter le journaliste pour être entendu sur des ''indices sérieux de culpabilité'' qui pèseraient sur lui.
"RDC : le journaliste Pero Luwara recherché par la justice - 3 mai 2022
= https://actualite.cd/2022/05/03/rdc-le-journaliste-pero-luwara-recherche-par-la-justice
Le Parquet général près la Cour d'appel de Kinshasa Gombe a émis un mandat d'amener contre le journaliste Pero Luwara, animateur d'une chronique politique sur sa chaîne privée diffusant sur YouTube. La démarche fait suite à une plainte, pour "imputations dommageables", déposée contre lui par la famille du ministre des hydrocarbures, Didier Budimbu.Mi avril, alors que Didier Budimbu ministre des hydrocarbures était invité et retenu par l'ANR pour audition, le journaliste Pero Luwara aurait avancé des "fausses raisons" de cette audition incriminant le ministre." Attendu que l'inculpé est en défaut de satisfaction à un mandat de comparution ou attendu que les infractions sont punissables de deux mois ou plus de servitude pénale, qu'il existe contre l'inculpé des indices graves de culpabilité, et qu'il y a lieu de craindre qu'il ne tente de se soustraire par la fuite aux poursuites ou de faire disparaître les preuves des infractions (...) ", explique le parquet dans son document requérant l'arrestation de Pero Luwara.
Depuis ce 2 mai, Pero Luwara est, selon nos informations, entré en clandestinité après avoir diffusé sur sa chaîne, une émission où il critique sévèrement le régime actuel, s'en prenant parfois de façon violente au Président de la République. Une situation que le ministre de la communication et des médias, Patrick Muyaya, a condamné ce 3 mai à l'occasion de la célébration de la journée mondiale de la liberté de la presse.
"RDC: Un mandat d’amener émis contre le journaliste Pero Luwara - 3 mai 2022
= https://www.politico.cd/encontinu/2022/05/03/rdc-un-mandat-damener-emis-contre-le-journaliste-pero-luwara.html/108261/
Le journaliste Pero Luwara, patron de la chaîne Youtube CPL TV est recherché par la justice congolaise. Un mandat d’amener a été émis par le Parquet général près la Cour d’appel de Kinshasa Gombe à la suite d’une plainte déposée contre lui par les proches du ministre des hydrocarbures pour « imputations dommageables, infraction prévue par : l’article 74 du Code Pénal Livre II ».
« Attendu que l’inculpé est en défaut de satisfaire à un mandat de comparution (ou) Attendu que les infractions sont punissables de deux mois ou plus de servitude pénale, qu’il existe contre l’inculpé des indices graves de culpabilité et qu’il a lieu de craindre qu’il ne tente de se soustraire par la fuite aux poursuites ou de faire disparaitre les preuves des infractions: Vu l’article 15 du Code de Procédure Penale : Mandons et ordonnons que le susdit prequalifié soit arrêté et amené devant nous », peut-on lire dans ce mandat d’amener.
Ainsi toutes les forces de l’ordre ont été invitées à prêter main forte en cas de nécessité pour l’exécution du présent mandat.
Dans un registre similaire, l’ancien de Digital Congo TV, s’est récemment illustré par des propos « outrageants » à l’égard du président Tshisekedi alors qu’il critiquait la gestion du pouvoir en place.
En marge de la journée mondiale de la liberté de la presse célébrée le 3 mai, le ministre de la communication et médias, Patrick Muyaya a dénoncé les propos qui selon lui « frisent l’injure vis-à-vis du président de la République ».
« Je dénonce avec la dernière énergie le dérapage constaté il y a quelques jours avec des attaques systématiques et des propos frisant l’injure à l’endroit du président de la République, chef de l’État. Aucune liberté ne peut s’exercer sans respecter la liberté des autres », a tonné le ministre de la Communication et Médias.
De ce fait, il a invité les organisations professionnelles qui défendent la promotion et la liberté de la presse à condamner et à se désolidariser de ce « comportement récidiviste» et tout autre acte qui dépasse les limites de l’exercice de la profession.
"L’Avenir : « Liberté de la presse : Muyaya dénonce des propos frisant l’injure contre Fatshi » - 04/05/2022
= https://www.radiookapi.net/2022/05/04/actualite/revue-de-presse/lavenir-liberte-de-la-presse-muyaya-denonce-des-propos-frisant
Revue de presse du mercredi 4 mai 2022
Les journaux de ce mercredi reviennent sur les différentes interventions liées à la célébration de la journée mondiale de la liberté de la presse.
Au cours de la célébration de cette journée, rapporte L’Avenir, Patrick Muyaya, ministre de la Communication et Médias a dénoncé, les dérapages constatés il y a quelques jours avec des attaques systématiques et des propos frisant l’injure à l’endroit du Président de la République.
A l’occasion, poursuit le journal, il a invité les organisations professionnelles et toutes celles qui défendent la promotion de la liberté de la presse à condamner ce comportement récidiviste et tout autre acte qui dépasse les limites de l’exercice de la liberté de la presse.
Patrick Muyaya fait remarquer que dépénalise le délit de presse nécessite une modification de notre Code pénal. Cela passe par un travail préalable de salubrité médiatique en dénonçant de manière claire et ferme tous les dérapages constatés quotidiennement, indique La Prospérité.
Une telle réforme ne saurait se faire sans une presse totalement guidée par le respect des règles déontologiques et professionnelles qui constitue la véritable soupape de sécurité de tout journaliste, ajoute le journal.
Le ministre de la Communication et Médias, Patrick Muyaya Katembwe, a réussi certes à fédérer les professionnels par la tenue de dernières assises des états généraux de la communication et des médias, mais ce n’est pas pour autant que la gangrène a quitté la profession, rappelle Eco News. En République Démocratique du Congo, le monde des médias reste encore infesté, commente le tri hebdomadaire.
En témoigne, cette dernière vidéo d’un chroniqueur politique, qui est venu jeter l’opprobre sur toute une profession, alors qu’on célébrait la Journée mondiale de la liberté de la presse, regrette le tabloïd.
= https://actu30.cd/2022/05/rdc-patrick-muyaya-denonce-des-propos-frisant-linjure-contre-le-president-felix-tshisekedi/
" Quand un confrère confond « critique » et « dénigrement »! - 4 mai 2022
= https://www.congoindependant.com/quand-un-confrere-confond-critique-et-denigrement/
Ceux qui ont l’habitude de consulter les médias congolais sur le Net se posent sans doute des questions sur la « santé psychique » des ex-Zaïrois. Et pour cause, il ne se passe pas un jour sans qu’une polémique (dérisoire) n’éclate quelque part et occupe l’actualité. Inutile de parler de scandales touchant au sexe. Quand est-ce que les « leaders d’opinion » – au sens le plus large – de ce « Grand pays » feront montre de dignité, d’intégrité et d’exemplarité? Quand allons-nous revivre dans un pays apaisé?
La planète entière a célébré mardi 3 mai « la journée mondiale de la liberté de presse ». Au Congo-Kinshasa de Felix Tshisekedi, la situation est, semble-t-il, loin d’être irréprochable. Et ce en dépit d’une certaine ambiance libérale qui règne dans le pays depuis l’investiture de ce dernier au sommet de l’Etat. A titre d’exemple, des radios communautaires seraient fermées notamment dans le « Grand Equateur ». A en croire l’ONG « Journalistes en danger », plusieurs journalistes seraient embastillés.
Dans son discours prononcé à l’occasion de cette Journée mondiale, le ministre congolais de la Communication et des médias, Patrick Muyaya, a eu notamment ces mots: « Je dénonce avec la dernière énergie le dérapage constaté il y a quelques jours avec des attaques systématiques et des propos frisant l’injure à l’endroit du Président de la République ».
Les journalistes présents à cette manifestation avaient vite compris que le ministre Muyaya faisait allusion notamment au tout dernier « édito » signé Pero Claude Luwara du média CPL-TV. Le titre sensationnel se veut une attaque frontale au président Felix Tshisekedi: « Fatshi, pyromane, impliqué dans le conflit Katanga-Kasaï ». Impertinent voire provocateur, Luwara assimile le dialogue organisé par « Fatshi » entre les natifs du Kasaï et ceux du Katanga à une pièce de théâtre. Il n’avance aucun argument à l’appui.
Le verbe « critiquer » renvoie à l’idée d’un jugement défavorable – mais argumenté – porté sur quelqu’un ou quelque chose. En revanche, « dénigrer » consiste à attaquer la réputation d’un individu. Chargé de rapporter des faits et des opinions, le journaliste est parfaitement en droit de critiquer les gouvernants. Le dénigrement, lui, est à laisser aux militants politiques.
Voici un petit florilège signé « Pero »: « Je regarde la caméra: Felix Tshisekedi est un pyromane. Je regarde la caméra, Fatshi est un pyromane »; « Monsieur promesse »; « Tshisekedi n’aime pas le Kasaï »; « Tshisekedi doit être considéré comme l’ennemi public des Kasaïens »; « Le responsable numéro un du malheur des Kasaïens s’appelle Felix Tshisekedi Tshilombo »; « Si l’équivalent de [Joseph] Kabila, c’est Tshisekedi, Kabila pardonne-nous! »; « Cet homme doit être sanctionné par les Kasaïens ». Ceux qui veulent des détails peuvent se reporter au site de CPL-tv.
Que l’on se comprenne bien. Tout journaliste a le droit de défendre la liberté de l’information, du commentaire et de la critique. A ce titre, Pero Luwara a parfaitement le droit de dire ce qui ne va pas dans la marche des affaires de son pays. Là où le bat blesse est que l’homme des médias a cru bon de se comporter en « propagandiste ». Il a cru bon de jouer à fond la carte de « calomniateur ». A ses risques et périls.
La déontologie journaliste ne dit-elle pas que le journaliste doit « s’interdire (…), la calomnie, la diffamation et les accusations sans fondement ». Hélas, le cas sous examen n’est pas unique en son genre. Nombreux sont aujourd’hui des journalistes congolais qui sont en réalité des « agents publicitaires » ou simplement des propagandistes au service de certains partis politiques. Il suffit de suivre quelques débats sur les médias pour identifier quel journaliste mène un combat par procuration pour le compte de tel homme politique.
S’il est vrai que chacun a le droit d’aimer ou de ne pas aimer l’actuel chef de l’Etat congolais, il n’en demeure pas moins vrai que Félix Tshisekedi Tshilombo est le Président de la République. Il a droit, à ce titre, aux égards liés à cette fonction. Il est par ailleurs vrai le monde congolais des médias est malade. Il est malade des influences exercées sur les journalistes par des « puissants du moment ».
Pero Luwara a été excessif. Quel a été son mobile? Quel profit personnel a-t-il tiré de ce « coup de gueule suicidaire »? En confondant la critique et le dénigrement, ce confrère s’est comporté plus en dévot d’un parti politique qu’en journaliste issu d’une grande école comme il aime s’en vanter. L’Ifasic (Institut facultaire des sciences de l’information et de la communication) ne devrait-il pas procéder à une remise en question notamment du cours de Déontologie dispensé en son sein?
"Le journaliste Pero Luwara se dit victime des menaces de mort après avoir demandé à la population de tourner le dos à l’union sacrée - 10.03.2021,
= https://africa24sur24.net/rdc-le-journaliste-pero-luwara-se-dit-victime-des-menaces-de-mort-apres-avoir-demande-a-la-population-de-tourner-le-dos-a-lunion-sacree/
Pero Luwara, journaliste affilié à l’Union nationale de la presse du Congo (UNPC) dénonce les menaces de mort contre sa personne par les proches du président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.
S’adressant ce mercredi 10 mars 2021 à travers une petite vidéo sur Youtube, le Directeur Général du média en ligne « CPLTV » indique que depuis quelques jours, il reçoit des appels et des SMS anonymes le menaçant de mort après sa dernière sortie médiatique invitant la population à tourner le dos à la nouvelle coalition Union sacrée.
« Au sein de l’Union sacrée de Félix Tshisekedi il y a plein d’antivaleurs. Nous allons continuer à les dénoncer malgré ces intimidations » dit-il
Cet ancien journaliste de Digital-Congo qualifie ces menaces d’atteinte à la liberté de la presse, « liberté pourtant garantie par la constitution et les instruments juridiques internationaux ».
Au sein de la corporation des professionnels des médias, le ton monte et les autorités sont appelées à assurer la protection des journalistes.
"Le CSAC appelle à la mise en place des stratégies pour encadrer les médias en ligne - 04.05.2022
= https://actu30.cd/2022/05/rdc-le-csac-appelle-a-la-mise-en-place-des-strategies-pour-encadrer-les-medias-en-ligne/
Le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et la Communication (CSAC) a, à l’occasion de la journée internationale de la presse célébrée, ce mardi 3 mai 2022, à Kinshasa, appelé au soutien du gouvernement de la République dans l’encadrement des médias pour lutter contre les discours de haine, et pour l’amélioration de la qualité de l’information à donner au public.
Prenant part à une activité organisée par l’UNPC (Union nationale de la presse du Congo), JED (Journaliste en Danger) et MILRDC (Association des médias en ligne de la RDC) dans la ville de Kinshasa, le président de cette institution, Tito Ndombi, a reconnu que le contenu des médias en ligne échappe au contrôle du régulateur du secteur des médias en RDC.
Cette situation, a-t-il soutenu, doit interpeller en vue de réfléchir sur la stratégie à mettre en place pour réguler ce monde numérique afin de mieux encadrer ses activités et endiguer les abus notamment en matière de désinformation et de discours de haine.
« Le CSAC reste très attaché à la liberté de la presse, mais en RDC, la qualité du débat citoyen pluraliste et démocratique, donc la qualité de la liberté de la presse demeure tributaire de la garantie sociale et sécuritaire des médias et des journalistes dans l’exercice de leur profession. Notre vision de travailler au quotidien pour consolider l’autorité de régulation de manière à interagir avec la profession pour la consolidation des véritables entreprises de presse. Œuvrer avec les médias pour l’amélioration de leurs contenus, pour les aider dans leur quête des ressources et de qualité pour encadrer la profession, et aider les professionnels à exercer dans les meilleures conditions. Condition, à notre avis, pour une meilleure régulation et un exercice professionnel », a dit le président du CSAC, Tito Ndombi.
À noter que la journée internationale de la liberté de la presse, édition 2022, a été célébrée en RD Congo sous le thème : « Le journalisme sous l’emprise du numérique ».
= https://www.radiookapi.net/2022/02/03/emissions/okapi-service/quelles-sont-les-resolutions-des-etats-generaux-de-la-presse
"RDC : JED exige l’application des recommandations des états généraux de la presse - 03/05/2022
= https://www.radiookapi.net/2022/05/03/actualite/societe/rdc-jed-exige-lapplication-des-recommandations-des-etats-generaux-de-la
La commission viabilité des médias lors des travaux au centre Nganda lors des États généraux de la communication et médias. Kinshasa, le 27 janvier 2022.. Radio Okapi.Ph/Jonathan Fuanani
L’ONG Journaliste en Danger (JED) a publié lundi 2 mai son rapport sur la situation de la liberté de la presse en RDC depuis la tenue des états généraux de la presse tenus du 25 au 28 janvier 2022. Dans communiqué de presse publié lundi à l’occasion de la célébration, ce mardi 3 mai, de la journée mondiale de la liberté de la presse, JED appelle le gouvernement Sama Lukonde, à sortir de cette « léthargie face à la détérioration croissante de la situation sécuritaire des journalistes et médias ». JED demande l’accélération de la mise en œuvre des recommandations des états généraux de la presse.
Dans ce communiqué, JED indique que trois mois après la tenue des états généraux de la presse, aucune de ses quatre-vingts résolutions n’a connu un début d’exécution, en dépit de la mise en place d’un comité de suivi de ces états généraux présidé par le ministre de la communication.
Les journalistes et les médias congolais restent exposés aux diverses pressions et censures, aux arrestations arbitraires et aux menaces directes et indirectes, particulièrement dans les provinces de l’Est du pays sous état de siège, à savoir : le Nord-Kivu et l’Ituri, souligne le communiqué.
Au moment où le monde célèbre cette journée dédiée à la liberté de la presse, six journalistes croupissent en prison à Mbandaka et à Bumba; trois médias sont fermés à Mbuji-Mayi et à Mbandaka. Plusieurs journalistes ont rapporté à JED qu’ils avaient été l’objet de menaces et agressions dans l’exercice de leur métier.
Alors que l’UNESCO a placé cette 31è journée internationale de la liberté de la presse sous le thème : « le journalisme sous l’emprise du numérique », JED appelle les autorités congolaises qui se sont engagées à promouvoir la presse et les médias pour qu’ils jouent leur rôle de 4è pouvoir, à passer des paroles aux actes ; à renforcer la mobilisation de tous les acteurs contre les menaces et attaques des journalistes dans les zones d’insécurité ambiante, où la liberté de la presse perd de plus en plus des espaces .
Discours de la haine
Face à la montée du discours de la haine et à la recrudescence des dérives déontologiques, nuisibles à la liberté de la presse, constatées dans certains médias en ligne et hors ligne, JED lance un appel urgent aux instances de régulation et d’autorégulation, d’entamer, sans délai et sans atermoiements, le travail de « salubrité médiatique » tel que décidé par les états généraux, afin d’assainir la corporation et de promouvoir un journalisme plus éthique et plus professionnel.
"Journée mondiale de la liberté de la presse/03 Mai 2022 : Journaliste en Danger dénonce la flambée des attaques contre les médias depuis les Etats généraux de la presse - 3 mai 2022
= https://laprosperiteonline.net/2022/05/03/a-la-une/journee-mondiale-de-la-liberte-de-la-presse-03-mai-2022-journaliste-en-danger-denonce-la-flambee-des-attaques-contre-les-medias-depuis-les-etats-generaux-de-la-presse/
75 cas d’atteintes à la liberté de la presse dont 19 journalistes arrêtés et
11 médias fermés. A l’occasion de la célébration, ce mardi 03 mai 2022, de la Journée mondiale de la liberté de la presse, Journaliste en Danger (JED), appelle une fois de plus, le gouvernement du Premier Ministre Jean Michel Sama Lukonde, à sortir de sa léthargie face à la détérioration croissante de la situation sécuritaire des journalistes et médias et à accélérer la mise en œuvre des recommandations des Etats généraux de la presse, tenus du 25 au 28 janvier 2022.
La tenue de ces assises, présidée par le Chef de l’Etat congolais, avait suscité l’espoir d’une nouvelle ère pour le journalisme en RDC. A savoir, renforcer la protection des journalistes et améliorer leur cadre de travail, tout en consolidant la professionnalisation et la viabilité du secteur de la presse au Congo. Le Président Félix Tshisekedi s’étant engagé dans son discours de clôture, à «Accompagner la Dépénalisation des délits de presse, et à garantir l’indépendance des médias».
3 mois après, aucune de ses 80 résolutions n’a connu un début d’exécution, en dépit de la mise en place d’un Comité de suivi de ces Etats généraux présidé par le Ministre de la Communication.
Les journalistes et les médias congolais restent exposés aux diverses pressions et censures, aux arrestations arbitraires et aux menaces directes et indirectes, particulièrement dans les provinces de l’Est du pays sous état de siège, à savoir le Nord-Kivu et l’Ituri.
Depuis la publication de son dernier Rapport, le 02 novembre 2021 qui avait recensé 116 cas d’attaques contre la presse, à ce jour, JED a déjà enregistré 75 cas de violations de la liberté de la presse dont 19 arrestations des journalistes et 11 fermetures des médias.
Au moment où le monde célèbre cette journée dédiée à la liberté de la presse, 6 journalistes croupissent en prison à Mbandaka et à Bumba; 3 médias sont fermés à Mbuji-Mayi et à Mbandaka.
Plusieurs journalistes ont rapporté à JED qu’ils ont été l’objet de menaces et agressions dans l’exercice de leur métier.
Dans les provinces de l’Est de la RDC en proie à la violence des groupes terroristes, au moins 3journalistes ont été tués au cours de l’année 2021, et un journaliste porté disparu depuis décembre 2020, après avoir été enlevé par des miliciens. Il s’agit de :
• Héritier Magayane, journaliste de la RTNC, station locale de Rutshuru, dans la province du Nord-Kivu, qui a été tué, le 8 août 2021, à l’arme blanche par un groupe d’hommes non autrement identifiés.
• Barthelemy Kubanabandu Changamuka, journaliste de la Radio Communautaire de Kitshanga (CORAKI FM) émettant à Kitshanga, une localité de la province du Nord-Kivu, assassiné, le 9mai 2021, dans l’enclos de son domicile par deux hommes armés en tenue civile.
• Joël Mumbere Musavuli, directeur de la Radio Communautaire Babombi, émettant Biakato, chefferie de Babombi, territoire de Mambasa, dans la province de l’Ituri, ainsi que son épouse qui ont été attaqués à l’arme blanche, le 14 août 2021, par un groupe d’hommes non autrement identifiés. Le journaliste a succombé de ses blessures tandis que sa femme était grièvement blessée.
• Bwira Bwalite, directeur de la radio communautaire de Bakumbole, station émettant à Kalembe dans le territoire de Wilikale (Nord-Kivu, a été enlevé par des miliciens, le 16 juin 2020 et son corps n’a jamais été retrouvé.
Les enquêtes annoncées au lendemain de ces assassinats, en vue d’identifier leurs auteurs ou commanditaires, ainsi que les mobiles de ces crimes n’ont jamais été diligentées. Pour JED, ces assassinats et beaucoup d’autres qui ont précédé, sont aujourd’hui le symbole de l’impunité des crimes commis contre les journalistes.
Alors que l’UNESCO a placé cette 31è journée internationale de la liberté de la presse sous le thème : «Le journalisme sous l’emprise du numérique », JED appelle les autorités congolaises qui se sont engagées à promouvoir la presse et les médias pour qu’ils jouent leur rôle de 4è pouvoir, à passer des paroles aux actes ; de renforcer la mobilisation de tous les acteurs contre les menaces et attaques des journalistes dans les zones d’insécurité ambiante, où la liberté de la presse perd de plus en plus des espaces.
Au regard de tout ce qui précède, JED demande instamment aux plus hautes autorités congolaises, ce qui suit ;
1. La libération immédiate des 6 journalistes actuellement en prison à Mbandaka et à Bumba. Il s’agit de ; Chillassy Bofumbo (Radio Sarah) ; Patrick Lola (indépendant) ; Christian Bofaya
(Radio Mbandaka), Dieu Agba, Albert Mohila et Patrick Bondo de la radio Mwana Mboka
2. La réouverture des médias actuellement fermés dans deux provinces à savoir La Radio Sarah à Mbandaka ; la Radio Nsanga FM et la radio Télé Pacifique à Mbuji-Mayi dans la province du Kasaï Orientale.
3. D’Œuvrer en faveur de la liberté de la presse en décrétant, sans délai, un moratoire sur les arrestations et emprisonnement des journalistes tel que décidé par les Etats généraux de la presse.
4. D’accélérer la mise en place d’un Mécanisme national de sécurité et de protection des journalistes et de lutte contre l’impunité des violences faites aux professionnels des médias.
Enfin, face à la montée du discours de la haine et à la recrudescence des dérives déontologiques, nuisibles à la liberté de la presse, constatées dans certains médias, en ligne et hors ligne, JED lance un appel urgent aux instances de régulation et d’autorégulation, d’entamer, sans délai et sans atermoiements, le travail de «salubrité médiatique» tel que décidé par les Etats généraux, afin d’assainir la corporation et de promouvoir un journalisme plus éthique et plus professionnel.
Pour tout contact
Journaliste en Danger
Avenue de la presse. Immeuble Moanda. Local 21. Référence Immeuble Botour
Kinshasa/Gombe. B.P. 633 Kinshasa 1
Téléphone: +243 81 99 96 353 ou +243 99 99 96 353
E-mail : jedkin@jed-afrique.org, jedkinshasa@gmail.com
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Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul # # Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: DE QUOI EST COUPABLE LE JOURNALISTE PERO LUWARA AUJOURD'HUI RECHERCHE PAR LA POLICE JUDICIAIRE, OUTRAGE AU CHEF DE L’ÉTAT, IMPUTATION DOMMAGEABLE APRÈS DES PROPOS VIRULENTS CONTRE LE POUVOIR EN PLACE ? QUELLE EST DEDANS LA PART DE LA LIBERTÉ DE PRESSE ET
Péro Luwara est-il à pendre sur la place publique pour des propos virulents contre le PR et son régime ?
l est journaliste avec sa carte de presse et la liberté de la presse existe. C'est aussi un citoyen comme un autre et en démocratie, la liberté d'expression et d'opinions existe.
Qu'est-ce en droit on aurait à lui reprocher ? Un ton virulent voire excessif qui s'attaque but en blanc aux dires et actes du Chef de l'État et de son pouvoir, ceci constitue une offense grave dans un pays peu habitué à l'Etat de droit, partant passible des sanctions. Dans des démocraties où le délit d'outrage ou d'offense est relégué à la seule vie privée, de tels propos auraient été quasiment ignorés. Mais à part la forme qu'a-t-il dit dans le fond qui n'est pas vrai ou que beaucoup de Congolais ne se disent pas dans leurs chaumières ? Personnellement en dehors de son refrain sur le pardon à l'ex petit raïs et une allusion rapide à la vie privée du PR ses propos ont verbalisé en public maints griefs qu'on lui porte légitimement, à la limite les propos d'un opposant politique dont il serait le porte-parole ; mais rien qui relève d'un sacrilège, pas de crime de lèse-majesté.
Luwara est journaliste, sa corporation a-t-elle trouvé de quoi lui reprocher ? Attendons la suite mais entre-temps je ne suis pas pour qu'on le crucifié tant comme je le lis ici et là mais en même temps il est question de dépénaliser les délits de presse sinon je crains que ce soit un énième mauvais signal si le pouvoir en place ouvrait une poursuite ouverte contre Luwara' que même ses partenaires occidentaux risquent de voir d'un mauvais oeil.
PS. Pero Luwara a été exclu de la corporation des journalistes, officiellement pour avoir sécher une convocation. Dommage, c'est une condamnation qui aurait été évitée car elle apparaît comme une criminalisation d'autorité aux ordres du pouvoir... La liberté de la presse en danger ?.
l est journaliste avec sa carte de presse et la liberté de la presse existe. C'est aussi un citoyen comme un autre et en démocratie, la liberté d'expression et d'opinions existe.
Qu'est-ce en droit on aurait à lui reprocher ? Un ton virulent voire excessif qui s'attaque but en blanc aux dires et actes du Chef de l'État et de son pouvoir, ceci constitue une offense grave dans un pays peu habitué à l'Etat de droit, partant passible des sanctions. Dans des démocraties où le délit d'outrage ou d'offense est relégué à la seule vie privée, de tels propos auraient été quasiment ignorés. Mais à part la forme qu'a-t-il dit dans le fond qui n'est pas vrai ou que beaucoup de Congolais ne se disent pas dans leurs chaumières ? Personnellement en dehors de son refrain sur le pardon à l'ex petit raïs et une allusion rapide à la vie privée du PR ses propos ont verbalisé en public maints griefs qu'on lui porte légitimement, à la limite les propos d'un opposant politique dont il serait le porte-parole ; mais rien qui relève d'un sacrilège, pas de crime de lèse-majesté.
Luwara est journaliste, sa corporation a-t-elle trouvé de quoi lui reprocher ? Attendons la suite mais entre-temps je ne suis pas pour qu'on le crucifié tant comme je le lis ici et là mais en même temps il est question de dépénaliser les délits de presse sinon je crains que ce soit un énième mauvais signal si le pouvoir en place ouvrait une poursuite ouverte contre Luwara' que même ses partenaires occidentaux risquent de voir d'un mauvais oeil.
PS. Pero Luwara a été exclu de la corporation des journalistes, officiellement pour avoir sécher une convocation. Dommage, c'est une condamnation qui aurait été évitée car elle apparaît comme une criminalisation d'autorité aux ordres du pouvoir... La liberté de la presse en danger ?.
"Tribune anxiogène de Pero Luwara : Justice, UNPC et internautes s’en mêlent - 04.05.2022
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-104197_tribune_anxiogene_de_pero_luwara_justice_unpc_et_internautes_s_en_melent.html
"UNPC : Le journaliste Pero Luwara convoqué par le Tribunal des Pairs ce jeudi - 3/5/2022
= https://depeche.cd/2022/05/04/unpc-le-journaliste-pero-luwara-convoque-par-le-tribunal-des-pairs-ce-jeudi/
"RDC : Pero Luwara un mouton noir qui noircit la blancheur du journalisme (Aminata KASA) - mai 3, 2022
= https://congo2023.net/2022/05/03/rdc-pero-luwara-un-mouton-noir-qui-noircit-la-blancheur-du-journalisme-aminata-kasa/
"RDC : En clandestinité, Pero Luwara recherché sur instruction du Parquet de Kinshasa/Matete - 04/05/2022
=
"Kinshasa : Des réactions contre les propos du journaliste Pero Luwara
4 mai 2022
= http://www.kt.cd/kinshasa-des-reactions-contre-les-propos-du-journaliste-pero-luwara/
"Le cas Pero Luwara: Et si la RDC avait les journalistes qu’elle mérite? - 4 mai 2022
= https://www.pagesafrik.com/le-cas-pero-luwara-et-si-la-rdc-avait-les-journalistes-quelle-merite/
"Editorial par l’Ambassadeur Mike Hammer pour la Journée mondiale de la liberté de la presse - 3 mai 2022
= https://cd.usembassy.gov/fr/editorial-par-lambassadeur-mike-hammer-pour-la-journee-mondiale-de-la-liberte-de-la-presse/
"Journée de la liberté de la presse : “Aucun membre de la presse ne devrait être intimidé, menacé ou attaqué par quiconque pour quelque raison que ce soit, ou être arrêté pour avoir simplement fait son travail” (Mike Hammer) - 3 mai 2022
= https://depeche.cd/2022/05/03/journee-de-la-liberte-de-la-presse-aucun-membre-de-la-presse-ne-devrait-etre-intimide-menace-ou-attaque-par-quiconque-pour-quelque-raison-que-ce-soit-ou-etre-arrete-pour-avoir-simplement/
"UNPC : Pero Luwara exclus de la corporation des journalistes - mai 5, 2022
= https://mbote.cd/unpc-pero-luwara-exclus-de-la-corporation-des-journalistes/107915/amp/
= https://www.radiookapi.net/2022/05/05/actualite/societe/rdc-le-journaliste-pero-luwara-radie-par-lunpc
"
"
"
"ÉVEIL PATRIOTIK 3.05 : PERO LUWARA PRÊT A TOUT POUR KATUMBI ? TROP C'EST TROP LA JUSTICE FRAPPE"
ndonzwau
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