DES SONDAGES ET DES SIGNAUX DIFFÉRENTS : UN SONDAGE "AMÉRICAIN" PLÉBISCITE TSHISEKEDI, UN DERNIER SONDAGE D'EBUTELI (GEC) POINTE L'INSATISFACTION GÉNÉRALISÉE DES CONGOLAIS DE LA MANIÈRE DONT ILS SONT GOUVERNÉS AUJOURD'HUI ! QUI DIT MIEUX ???
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DES SONDAGES ET DES SIGNAUX DIFFÉRENTS : UN SONDAGE "AMÉRICAIN" PLÉBISCITE TSHISEKEDI, UN DERNIER SONDAGE D'EBUTELI (GEC) POINTE L'INSATISFACTION GÉNÉRALISÉE DES CONGOLAIS DE LA MANIÈRE DONT ILS SONT GOUVERNÉS AUJOURD'HUI ! QUI DIT MIEUX ???
DES SONDAGES SE SUCCÈDENT POUR JAUGER DE L’ÉTAT DU PAYS MAIS NE SEMBLENT PAS DIRE LA MÊME CHOSE : UN SONDAGE "AMÉRICAIN" PLÉBISCITE TSHISEKEDI, UN DERNIER SONDAGE D'EBUTELI RATTACHÉ AU GEC POINTE L'INSATISFACTION GÉNÉRALISÉE DES CONGOLAIS DE LA MANIÈRE DONT ILS SONT GOUVERNÉS AUJOURD'HUI ! QUI DIT MIEUX ???
Ça a commencé par un sondage local (BERCI) qui donnait début août Tshisekedi vainqueur pour 2023, puis un sondage de l'agence américaine Geopoll est venu confirmer la même tendance. Aujourd’hui le sondage GEC quitte l'horizon électoral 2023 pour sonder l'état du Congo en général et conclut en une insatisfaction généralisée des Congolais de la manière dont ils sont gouvernés ! Trois ans et demi après l'arrivée de Tshisekedi à la magistrature suprême, il ressort que la confiance à l’égard du gouvernement et des institutions demeure faible, ainsi qu’une politique sécuritaire décriée. 51% d’opinions défavorables face à la gestion sécuritaire de Tshisekedi, une même défiance à l’égard du gouvernement central, des autorités provinciales, voire des institutions impliquées dans la gestion du processus électoral ; 71% des personnes interrogées dénoncent la corruption des institutions congolaises et confirment l’échec de la politique de la lutte contre la corruption, la police, les cours et tribunaux (45,7%) puis le Parlement (45,6%) sont citées comme les institutions les plus corrompues. Ils ne sont que 17 % des Congolais interrogés à soutenir la manière dont le Président de la République travaille.
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul # # Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Ça a commencé par un sondage local (BERCI) qui donnait début août Tshisekedi vainqueur pour 2023, puis un sondage de l'agence américaine Geopoll est venu confirmer la même tendance. Aujourd’hui le sondage GEC quitte l'horizon électoral 2023 pour sonder l'état du Congo en général et conclut en une insatisfaction généralisée des Congolais de la manière dont ils sont gouvernés ! Trois ans et demi après l'arrivée de Tshisekedi à la magistrature suprême, il ressort que la confiance à l’égard du gouvernement et des institutions demeure faible, ainsi qu’une politique sécuritaire décriée. 51% d’opinions défavorables face à la gestion sécuritaire de Tshisekedi, une même défiance à l’égard du gouvernement central, des autorités provinciales, voire des institutions impliquées dans la gestion du processus électoral ; 71% des personnes interrogées dénoncent la corruption des institutions congolaises et confirment l’échec de la politique de la lutte contre la corruption, la police, les cours et tribunaux (45,7%) puis le Parlement (45,6%) sont citées comme les institutions les plus corrompues. Ils ne sont que 17 % des Congolais interrogés à soutenir la manière dont le Président de la République travaille.
"Sondage de la présidentielle 2023 : l’agence américaine Geopoll place Félix Tshisekedi devant Fayulu et Katumbi - 27 Août 2022
= https://www.adiac-congo.com/content/sondage-de-la-presidentielle-2023-lagence-americaine-geopoll-place-felix-tshisekedi-devant
Les signaux sont très favorables pour Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo qui, vraisemblablement, pourrait renouveler son bail à la tête de la RDC lors de la prochaine présidentielle de 2023.
C’est en tout cas ce qui révèle le dernier sondage de l’agence américaine de recherche sociale Geopoll publié le 24 août 2022 dont les résultats le placent nettement devant ses potentiels concurrents, Martin Fayulu et Moïse Katumbi. Les investigations menées par cette agence américaine ont pris en compte la période allant du 28 juin au 25 juillet 2022. Un échantillon de plus de dix mille personnes questionnées dans différentes régions de la RDC a servi de base d’études. Trente-trois villes et cent quarante-cinq territoires ont été ciblés dans ces investigations.
Il en découle que plus de la moitié de répondants à ce sondage se sont dits favorables et prêts à accorder un second mandat au président de la République, Félix Tshisekedi en 2023. « Un peu plus de la moitié des personnes interrogées expriment leur volonté d’accorder un deuxième mandat au président Tshisekedi, tandis qu’un tiers déclare ne pas avoir l’intention de voter pour un autre candidat », renseigne ce document. Quant aux opposants tels que Martin Fayulu, Katumbi Chapwe et le président honoraire Joseph Kabila, ils n’ont pas atteint le seuil de 20% de popularité, d’après cette enquête dont la marge d’erreur est très faible.
Dans les milieux du parti présidentiel, les résultats de ce sondage sont plutôt bien digérés d’autant qu’ils consacrent la reconnaissance du travail abattu par Félix Tshisekedi durant son premier mandant dont il entend achever durant son deuxième mandat. Des faits ne manquent pas pour soutenir cette deuxième mandature du président Félix Tshisekedi qui aura posé les jalons du redécollage du pays, estiment les observateurs qui mettent en exergue ses maintes actions sociales. De l’amélioration de la solde des militaires, à la relance des travaux de construction des maisons préfabriquées au camp Tshatshi et du centre médical de ce camp militaire, en passant par l’amélioration de la rémunération du personnel de l'Etat, la remise des véhicules aux professeurs d'université, la gratuité de l'enseignement de base, la gratuité des accouchements, etc, toute cette litanie d’actions non exhaustive réalisées par Félix Tshisekedi continuent de plaider en sa faveur.
" Présidentielle 2023 : un sondage américain donne Tshisekedi favori pour un second mandat - Août 24, 2022
= https://cas-info.ca/presidentielle-2023-un-sondage-americain-donne-tshisekedi-favori-pour-un-second-mandat/
"RDC/Présidentielle 2023 : Un sondage américain donne Félix Tshisekedi favori pour un second mandat - 25/08/2022
= https://www.agenceafrique.com/36274-rdc-presidentielle-2023-un-sondage-americain-donne-felix-tshisekedi-favori-pour-un-second-mandat.html
= https://7sur7.cd/2022/08/24/elections-2023-felix-tshisekedi-favori-pour-un-second-mandat-sondage-de-la-plate-forme
= https://www.forumdesas.net/2022/08/presidentielle-2023-un-sondage-americain-donne-felix-antoine-tshisekedi-favori/
"Présidentielle de 2023 : Félix Tshisekedi largement vainqueur devant Fayulu, Katumbi, Kabila et Bemba (sondage BERCI) - 10 août 2022
= https://www.politico.cd/la-rdc-a-la-une/2022/08/10/presidentielle-de-2023-felix-tshisekedi-largement-vainqueur-devant-fayulu-katumbi-kabila-et-bemba-sondage-berci.html/113403/
" Rapport sondage – Congolais cherchent démocrates - 31 août 2022
= https://www.congoindependant.com/16512-2/comment-page-1/#comment-24128
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Rapport sondage Congolais cherchent démocrates
Entre soif de redevabilité et insatisfaction sociale
31 août 2022 – Trois ans et demi après l’arrivée à la présidence de Félix Tshisekedi, la confiance à l’égard du gouvernement et des institutions en RDC demeure faible. Entre-temps, la situation sécuritaire dans l’Est du pays, elle aussi, continue de se dégrader avec, notamment, la résurgence du Mouvement du 23 mars (M23).
Dans ce nouveau rapport sondage, Congolais cherchent démocrates: entre soif de redevabilité et insatisfaction sociale, publié ce mercredi 31 août, le Groupe d’étude sur le Congo (GEC) et Ebuteli, son partenaire de recherche en RDC, avec le Bureau d’études, de recherche et de consulting international (Berci), relèvent une méfiance persistante à l’égard des institutions ainsi qu’une politique sécuritaire décriée.
Réalisée entre avril et juin, cette enquête démontre que, malgré des cycles électoraux controversés, les Congolais restent attachés à la démocratie. Septante-sept pour cent des personnes interrogées estiment que cette forme de gouvernement est la meilleure.
Cette confiance en la démocratie s’accompagne néanmoins d’une méfiance vis-à-vis des institutions du pays et de leurs animateurs. Ils ne sont que 17% des Congolais interrogés à soutenir « fortement » la manière dont le président de la République travaille. Félix Tshisekedi recueille même son plus mauvais score en termes d’opinions défavorables (51%) depuis 2019. Et il s’observe une même défiance à l’égard du gouvernement central, des autorités provinciales, voire des institutions impliquées dans la gestion du processus électoral.
« Notre sondage montre que les citoyens ne sont pas satisfaits du travail réalisé par les institutions tant au niveau provincial que national. Celles-ci n’ont pas suffisamment œuvré pour l’amélioration du social. Et la majorité de sondés pense que le président Tshisekedi ne pourra pas réaliser ses promesses d’ici 2023 », explique Ithiel Batumike, chercheur du pilier politique à Ebuteli.
Après plus de trois ans au pouvoir de Tshisekedi, les Congolais ne semblent pas non plus convaincus de la politique sécuritaire menée au pays. Seuls 22% des sondés estiment par exemple que la sécurité des personnes et de leurs biens s’est améliorée ces trois dernières années. Une grande majorité des Congolais interrogés pointe par ailleurs l’ingérence du gouvernement rwandais (72%) comme la plus importante cause du conflit persistant dans l’est de la RDC ), suivie par l’ingérence des pays occidentaux (71,5%) et la corruption des institutions congolaises (71%).
« Notre sondage montre une exaspération des Congolais face à la dégradation de la situation sécuritaire dans le pays. Les politiques jusque-là mises en œuvre par le gouvernement de Félix Tshisekedi sont vues comme inefficaces. Mais le discrédit sur ces questions touche aussi la Monusco, la communauté internationale et, bien sûr, les pays voisins », décrypte Pierre Boisselet, coordonnateur des recherches sur la violence à Ebuteli.
Enfin, cette étude confirme l’échec de la politique de la lutte contre la corruption. Plus de 67% des personnes interrogées estiment que le gouvernement n’a pas été efficace dans ce domaine. La Police nationale congolaise (PNC) trône en tête des institutions très corrompues, suivie des cours et tribunaux (45,7%) et du Parlement (45,6%).
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Pour de plus amples informations, merci de contacter:
Pierre Boisselet: p.boisselet@ebuteli.org ou + 33 679 611 452 (WhatsApp)
Ithiel Batumike: i.batumike@ebuteli.org ou +243 992 951 950 (WhatsApp)
Trésor Kibangula: t.kibangula@ebuteli.org ou +33 613 903 200 (WhatsApp)
"RAPPORT SONDAGE 08/2022
= group.org/wp-content/uploads/2022/08/rapport-sondage-gec-ebuteli-congolais-democrates-soif-redevabilite-insatisfaction-sociale.pdf
"RDC : la confiance à l’égard du gouvernement et des institutions demeure faible (Sondage)01:09:2022
= https://24sur24.cd/rdc-la-confiance-a-legard-du-gouvernement-et-des-institutions-demeure-faible-sondage/
Le Groupe d’étude sur le Congo (GEC) et Ebuteli, son partenaire de recherche en RDC, avec le Bureau d’études, de recherche et de consulting international (Berci), ont rendu public, ce mercredi 31 août, les résultats de leur enquête menée sur le mandat du Président de la République, Félix Tshisekedi, trois ans et demi après son arrivée à la magistrature suprême. Il ressort de cette enquête que la confiance à l’égard du gouvernement et des institutions en RDC demeure faible, ainsi qu’une politique sécuritaire décriée.
“ Notre sondage montre que les citoyens ne sont pas satisfaits du travail réalisé par les institutions tant au niveau provincial que national. Celles-ci n’ont pas suffisamment œuvré pour l’amélioration du social. Et la majorité de sondés pense que le président Tshisekedi ne pourra pas réaliser ses promesses d’ici 2023 ”, explique Ithiel Batumike, chercheur du pilier politique à Ebuteli.
Réalisée entre avril et juin, cette enquête démontre que, malgré des cycles électoraux controversés, les Congolais restent attachés à la démocratie. 70% des personnes interrogées estiment que cette forme de gouvernement est la meilleure.
D’après le sondage, cette confiance en la démocratie s’accompagne néanmoins d’une méfiance vis-à-vis des institutions du pays et de leurs animateurs. Ils ne sont que 17 % des Congolais interrogés à soutenir « fortement » la manière dont le Président de la République travaille. Félix Tshisekedi recueille même son plus mauvais score en termes d’opinions défavorables (51 %) depuis 2019. Et il s’observe une même défiance à l’égard du gouvernement central, des autorités provinciales, voire des institutions impliquées dans la gestion du processus électoral.
Enfin, cette étude confirme l’échec de la politique de la lutte contre la corruption. Plus de 67 % des personnes interrogées estiment que le gouvernement n’a pas été efficace dans ce domaine. La Police nationale congolaise (PNC) trône en tête des institutions très corrompues, suivie des cours et tribunaux (45,7 %) et du Parlement (45,6 %).
": La manière dont Christophe Mboso gère l’Assemblée nationale est jugée totalement satisfaisante par seulement 9% des Congolais sondés (Rapport GEC/Ebuteli) - 1 septembre 2022
= https://actualite.cd/2022/09/01/rdc-la-maniere-dont-christophe-mboso-gere-lassemblee-nationale-est-jugee-totalement
La manière dont Christophe Mboso gère l’Assemblée nationale est jugée totalement satisfaisante par seulement neuf pour cent des Congolais sondés, soit quatre points de moins que le score attribué à la gestion de Modeste Bahati au Sénat. 32 % des personnes interrogées font preuve d'un certain degré de confiance à l’égard de la chambre basse du parlement.
Cette enquête d’opinion nationale a été menée conjointement entre le Bureau d'études, de recherches, et de consulting international (Berci) et le Groupe d’études sur le Congo (GEC) de l'Université de New York. Le sondage a été réalisé du 25 février au 7 juin 2022 auprès de 5512 personnes âgées de 18 ans et plus. Il a concerné 493 sites d’enquêtes répartis dans les 26 provinces du pays.
Les récentes révélations sur les émoluments des députés nationaux et l’opacité qui couvre cette question ne vont pas redorer l’image de cette Assemblée. Et cette opacité ne concerne pas que la rémunération des élus. « À titre illustratif, pour ce dernier cas, en dépit des efforts de Talatala ( le baromètre de l’activité parlementaire et de l’action du gouvernement congolais) pour documenter le sens de vote des députés nationaux, les chiffres officiels sur le vote et la présence des députés aux plénières demeurent inaccessibles », ajoute ce rapport.
Aussi toutes les institutions de la République sont-elles mises en cause par la majorité des Congolais sondés sur l’absence d’informations disponibles concernant leur action. Ils sont 62 % à le penser pour les assemblées provinciales ; 63 % pour le gouvernement central et quasiment 62 % pour l’Assemblée nationale.
"Assemblée nationale : La gestion de Mboso ne rencontre pas la majorité de la population, selon un rapport
03.09.2022
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-110049_assemblee_nationale_la_gestion_de_mboso_ne_rencontre_pas_la_majorite_de_la_population_selon_un_rapport.html
"RDC: selon un sondage de Target, les Congolais ne font pas confiance en la CENI pour des élections crédibles, sauf au Kasaï Central, Maniema et Kasaï Oriental - 19 août 2022
= https://actualite.cd/2022/08/19/rdc-selon-un-sondage-de-target-les-congolais-ne-font-pas-confiance-en-la-ceni-pour-des
"« Les 4 ans de Félix Tshisekedi au pouvoir valent amplement que les 18 ans du régime Kabila... - 30.08.2022
= https://actu30.cd/2022/08/rdc-les-4-ans-de-felix-tshisekedi-au-pouvoir-valent-amplement-que-les-18-ans-du-regime-kabila-ligue-des-jeunes-de-la-dc/
"RDC : l’UDPS demande la liste de tous les membres recommandés par JM. Kabund à la Présidence de la République - 29 août 2022
= https://24h.cd/2022/08/29/rdc-ludps-demande-la-liste-de-tous-les-membres-recommandes-par-jm-kabund-a-la-presidence-de-la-republique/
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-109787_l_udps_demande_la_liste_de_tous_les_membres_recommandes_par_jm_kabund_a_la_presidence.htm
"Augustin Kabuya s’indigne de la médiocrité du débat politique de la part des communicateurs de l’Union Sacrée - 25.08.2022,
= https://objectif-infos.cd/2022/08/24/rdc-augustin-kabuya-sindigne-de-la-mediocrite-du-debat-politique-de-la-part-des-communicateurs-de-lunion-sacree/
= https://laprosperiteonline.net/tout-en-certifiant-la-reelection-de-felix-tshisekedi-2023-le-collectif-de-presidents-cellulaires-de-ludps-lance-le-defi-de-fournir-la-majorite-parlementaire-au-chef-de-letat
"UDPS : chasse aux sorcières à la Présidence de la République - 30 août 2022
= https://www.diaspordc.com/udps-chasse-aux-sorcieres-a-la-presidence-de-la-republique/
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul # # Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Dernière édition par ndonzwau le 6/9/2022, 1:15 am, édité 3 fois
ndonzwau
Re: DES SONDAGES ET DES SIGNAUX DIFFÉRENTS : UN SONDAGE "AMÉRICAIN" PLÉBISCITE TSHISEKEDI, UN DERNIER SONDAGE D'EBUTELI (GEC) POINTE L'INSATISFACTION GÉNÉRALISÉE DES CONGOLAIS DE LA MANIÈRE DONT ILS SONT GOUVERNÉS AUJOURD'HUI ! QUI DIT MIEUX ???
Des sondages se succèdent pour jauger l'état du pays, disais-je, mais leurs résultats sont équivoques. Tandis que scrutant l'horizon électoral 2023 ils plébiscitent Tshisekedi, leur décryptage général de la gestion du pays est nettement plus critique. En effet le dernier sondage ci-dessus révèle que les Congolais attendent une démocratie qui leur soit plus bénéfique qui n'existe pas encore.
L'OCCASION DE TENTER UN BILAN RAPIDE DE QUATRE ANS DE TSHISEKEDI A LA TÈTE DU PAYS, MÊME SI JE RISQUE DE ME RÉPÉTER...
C'est quoi la réalité de la gouvernance de Tshisekedi et qu'elle en est le bilan après près de 4 ans ?
- Selon moi, le règne de Tshisekedi est essentiellement celui de l'aventurisme, celui d'un apprenti qui ne connait jamais rien avant ou après qu'il ait agi, qui n'a aucune capacité d'apprendre vu ses limites d'instruction, ses essais et erreurs l'ont toujours plongé vers une inefficacité annoncée plutôt que vers quelque réussite.
- C'est aussi moralement le règne d'un parvenu sans autre objectif que celui de son tour de flamber et de s'enrichir. la 'coop', les rétrocommissions sont des usages normaux pour lui, les dépassements budgétaires automatiques et l'élargissement intempestif des détourneurs ne l'inquiètent pas ou bien peu pourvu que lui, continue à se la couler douce et planque son butin glané du Trésor public, les demi-succès d'Alingete sont là pour prouver sa bonne foi...
-C'est aussi le règne de la démission décomplexée sur le terrain : le panier de la ménagère, la salubrité publique, le transport et les infrastructures, la santé, l'école malgré une gratuité plus vantée qu'effective, etc, etc... bref tout un social en déshérence.
- C'est enfin le règne d'une insécurité pendante partout dans le pays illustrée par les violences permanentes à l'Est où l'incapacité à y instaurer l'autorité de l’État trahit pour le moins que le pouvoir n'en a pas fait une priorité comme il aurait du le faire et comme il le chante.
Un bilan bien mitigé comme le détaillent les différentes analyses et opinions brossées ci-dessus ! Notre PR va-t-il enfin nous prouver qu'il a finalement appris de ses essais et erreurs ? On aimerait en effet livrer de bonnes nouvelles de notre pays mais hélas comme le révèle ce sondage : l'insatisfaction des Congolais de la gestion actuelle de notre pays est réelle et fondée.
Bref il y'a des choses à changer. Qu'il s'agisse de changer en 2023 de 'régime' ou d'espérer que Tshisekedi change demain de braquet... A bon entendeur...
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul # # Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
L'OCCASION DE TENTER UN BILAN RAPIDE DE QUATRE ANS DE TSHISEKEDI A LA TÈTE DU PAYS, MÊME SI JE RISQUE DE ME RÉPÉTER...
C'est quoi la réalité de la gouvernance de Tshisekedi et qu'elle en est le bilan après près de 4 ans ?
- Selon moi, le règne de Tshisekedi est essentiellement celui de l'aventurisme, celui d'un apprenti qui ne connait jamais rien avant ou après qu'il ait agi, qui n'a aucune capacité d'apprendre vu ses limites d'instruction, ses essais et erreurs l'ont toujours plongé vers une inefficacité annoncée plutôt que vers quelque réussite.
- C'est aussi moralement le règne d'un parvenu sans autre objectif que celui de son tour de flamber et de s'enrichir. la 'coop', les rétrocommissions sont des usages normaux pour lui, les dépassements budgétaires automatiques et l'élargissement intempestif des détourneurs ne l'inquiètent pas ou bien peu pourvu que lui, continue à se la couler douce et planque son butin glané du Trésor public, les demi-succès d'Alingete sont là pour prouver sa bonne foi...
-C'est aussi le règne de la démission décomplexée sur le terrain : le panier de la ménagère, la salubrité publique, le transport et les infrastructures, la santé, l'école malgré une gratuité plus vantée qu'effective, etc, etc... bref tout un social en déshérence.
- C'est enfin le règne d'une insécurité pendante partout dans le pays illustrée par les violences permanentes à l'Est où l'incapacité à y instaurer l'autorité de l’État trahit pour le moins que le pouvoir n'en a pas fait une priorité comme il aurait du le faire et comme il le chante.
Un bilan bien mitigé comme le détaillent les différentes analyses et opinions brossées ci-dessus ! Notre PR va-t-il enfin nous prouver qu'il a finalement appris de ses essais et erreurs ? On aimerait en effet livrer de bonnes nouvelles de notre pays mais hélas comme le révèle ce sondage : l'insatisfaction des Congolais de la gestion actuelle de notre pays est réelle et fondée.
Bref il y'a des choses à changer. Qu'il s'agisse de changer en 2023 de 'régime' ou d'espérer que Tshisekedi change demain de braquet... A bon entendeur...
"RDC : Pour prêcher par l'exemple, l'IGF doit être contrôlée par un tiers (Lembisa Tini, PhD) - 1 septembre 2022
= https://actualite.cd/2022/09/01/rdc-pour-precher-par-lexemple-ligf-doit-etre-controlee-par-un-tiers-lembisa-tini-phd
Jules Alingete, Inspecteur général et chef de service à l'IGF. Ph. ACTUALITE.CD
Pas une semaine sans entendre parler, dans les médias, de l'Inspection Générale des Finances (IGF) de la RD Congo. Tout récemment, après les services des artistes comédiens, des musiciens, pas de moindre renommée, ont été mis à contribution dans des opus de "conscientisation de la population sur la malversation financière" dans le pays. Tout à l'honneur, indubitablement, de Monsieur l'inspecteur général des finances - chef de service dont la montée vertigineuse de la popularité a suscité des interrogations dans divers sens.
Dans une vidéo sur la toile, il a fait la promesse de ne pas briguer un mandat électif en 2023.
En a-t-il été contraint ? Le chef de service sait que ses propos dans les médias rompent avec des mauvaisetés managériales en RD Congo où tout le monde, ou presque, est averti : « Faites donc et observez tout ce qu'ils vous disent ; mais n'agissez pas selon leurs oeuvres. Car ils disent, et ne font pas ».
Une évidence : depuis 2019, l'IGF a revu sa doctrine dans la perspective de sa revitalisation. Jadis tenue à l'extrême discrétion sur les rapports de ses activités, sauf fuite d'extraits, cette structure, placée sous l'autorité du Chef de l'État, a bénéficié de la latitude de communiquer publiquement. Sans nul doute, cette liberté est soumise au "politiquement correct".
Considérant que ce qui compte n'est pas seulement ses rapports, souvent annoncés de manière tonitruante, mais bien plus leurs effets réels sur le système de gouvernance de l'État.
Jacques Ménier n'a pas eu tort de dire à ce propos que « si les travaux des Inspecteurs généraux n'ont pas de suites, ils sont un corps inutile ... (et) s'ils interviennent directement dans le fonctionnement de l'administration, ce ne sont plus des contrôleurs » (Les inspections générales, Paris, Collection l'administration nouvelle, 1988).
En RDC, l’IGF a réussi à faire bouger les lignes. Ne serait-ce que sur le plan de la symbolique.
En effet, elle dit souvent ce que veulent entendre les populations, flouées, depuis des décennies, par de hautes technologies de corruption, de détournement de deniers publics, attestant un niveau effrayant de méchanceté à la base de l'exacerbation de l'appauvrissement du petit peuple par une infime minorité. Sur son compte tweeter et dans les médias classiques, l'inspecteur général - chef de service en parle de manière très active. Au point d'afficher une intensité de communication d'un contraste accusateur du défaut de dynamisme du site internet de l'IGF dont les mises à jour, notamment celles des "Brèves", suscitent étonnement et déception.
Pourtant, le respect du droit à l'information des citoyens relève de b.a.ba de la bonne gouvernance.
« RDC : La bonne gouvernance fait partie de notre culture et de notre vécu quotidien. Elle n'est pas une simple déclaration d'intention comme le font les prédateurs qui manquent de sommeil du fait de la redynamisation de l'IGF et de la Cour des Comptes. » « Il n'y a pas de bonne Gouvernance sans contrôle. Confondre le contrôle concomitant à la cogestion relève soit de l'ignorance, soit de la mauvaise foi, ou encore de la détermination de perpétuer le pillage de nos entreprises d'État. », peut-on lire sur tweeter.
Des observateurs pointilleux gardent à l'esprit que le chef de service avait promis, sur les antennes d'un média congolais, de communiquer, en août 2021, une année déjà écoulée, sur les résultats du contrôle effectué par ses services à la Présidence de la République. Très longue attente ...
Ceci fait dire à de mauvaises langues qu'au-delà de ses objectifs d'une noblesse incontestable, l'IGF, rattachée à la Présidence de la République, est, dans ce contexte politique de lutte contre l'influence de l'ancien régime et d'éventuels concurrents, un outil de règlement des comptes. Ce, aux dépens de son indépendance fonctionnelle. Au fond, si ceci est avéré, l'IGF n'en serait qu'une victime.
Malgré sa détermination de jouer pleinement sa partition pour faire avancer le chantier du changement des mentalités et des pratiques de gestion très rigoureuse des finances et des biens publics.
Pour attester véritablement sa volonté de promouvoir la bonne gouvernance, dont il est un chantre non moins talentueux, l'IGF doit, au-delà des mots, en donner assez d'exemples concrets. D'autant plus qu'en vertu de ses missions, « elle bénéficie également, en sus des crédits budgétaires lui alloués à cet effet et émargeant aux budgets annexes de l'État, d'une quotité de 10% des pénalités recouvrées pour ses dépenses d'investissement. »
En acceptant d'être contrôlée par un tiers, l'IGF aura réussi à appliquer à elle-même la transparence et l'exemplarité de bonne gouvernance qu'elle exige des administrations publiques. Elle doit, par exemple, se soumettre régulièrement au regard de ses pairs. Il s'agit d'une appréciation externe qui pourrait se faire dans le cadre de plusieurs instances de coopération internationale, au niveau africain ou mondial, dont elle est membre ou pourrait en devenir. Elle a la latitude de faire appel, entre autres, au Vérificateur général du Canada (VGC) ou aux services de la Commission européenne, particulièrement l'Office européen de Lutte anti-fraude (OLAF) et l'Office d'aide extérieure (AIDCO). Le bon résultat qui en serait attesté, malgré les faiblesses qui pourraient y être épinglées, confortera sérieusement l'inspecteur général - chef de service dans ses campagnes médiatiques sur la bonne gouvernance. Ne pas promouvir le contrôle de l'IGF par un tiers l'aura privée de l'heureuse opportunité de prêcher par l'exemple. A tout rompre.
Lembisa Tini (PhD)
"M23 et MONUSCO : Intervention de Christophe Lutundula à la réunion du Conseil de Paix et de sécurité de l’UA - 31 août 2022
= https://afridesk.org/m23-et-monusco-intervention-de-christophe-lutundula-a-la-reunion-du-conseil-de-paix-et-de-securite-de-lua/
= http://alternance.cd/2022/08/31/agression-rwandaise-lutundula-plaide-pour-des-mesures-coercitives-de-la-part-de-la-communaute-internationale/
"RDC: supprimer l’APLC et renforcer la cour des comptes ? - 1 septembre 2022
= https://actualite.cd/2022/09/01/rdc-supprimer-laplc-et-renforcer-la-cour-des-comptes
"RDC: renforcée, la Cour des comptes peut aller plus loin que l’IGF - 1 septembre 2022
= https://actualite.cd/2022/09/01/rdc-renforcee-la-cour-des-comptes-peut-aller-plus-loin-que-ligf
"RDC: une soixantaine de magistrats pour la Cour des comptes, c’est trop peu si on veut lutter efficacement contre la corruption - 1 septembre 2022
= https://actualite.cd/2022/09/01/rdc-une-soixantaine-de-magistrats-pour-la-cour-des-comptes-cest-trop-peu-si-veut-lutter
"RDC: réduction du train de vie des institutions, l’éternelle promesse - 31 août 2022
= https://actualite.cd/2022/08/31/rdc-reduction-du-train-de-vie-des-institutions-leternelle-promesse
"RDC : finances publiques, le rythme inquiétant exige la « réduction drastique » du train de vie des institutions - 15 mars 2020
= https://zoom-eco.net/a-la-une/rdc-finances-publiques-le-rythme-inquietant-exige-la-reduction-drastique-du-train-de-vie-des-institutions/
"RDC : Tshisekedi met en garde des individus exerçant des activités illégales, sous couvert de leur appartenance à la coalition au pouvoir -29 août 2020
= https://linterview.cd/rdc-tshisekedi-met-en-garde-des-individus-exercant-des-activites-illegales-sous-couvert-de-leur-appartenance-a-la-coalition-au-pouvoir/
"RDC : l’UDPS demande la liste de tous les membres recommandés par JM. Kabund à la Présidence de la République - 29 août 2022
= https://24h.cd/2022/08/29/rdc-ludps-demande-la-liste-de-tous-les-membres-recommandes-par-jm-kabund-a-la-presidence-de-la-republique/
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-109787_l_udps_demande_la_liste_de_tous_les_membres_recommandes_par_jm_kabund_a_la_presidence.html
"RDC: Ci-gît l’Etat de droit de Félix Tshisekedi - 13 avril 2022
= https://www.politico.cd/la-rdc-a-la-une/2022/04/13/rdc-ci-git-letat-de-droit-de-felix-tshisekedi.html/107367/
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul # # Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: DES SONDAGES ET DES SIGNAUX DIFFÉRENTS : UN SONDAGE "AMÉRICAIN" PLÉBISCITE TSHISEKEDI, UN DERNIER SONDAGE D'EBUTELI (GEC) POINTE L'INSATISFACTION GÉNÉRALISÉE DES CONGOLAIS DE LA MANIÈRE DONT ILS SONT GOUVERNÉS AUJOURD'HUI ! QUI DIT MIEUX ???
ENCORE DES SONDAGES AUX SIGNAUX PARFOIS CONTRADICTOIRES AUX PRÉCÉDENTS. UN SONDAGE VOIT KATUMBI CARACOLER ET TSHISEKEDI DÉGRINGOLER. LESQUELS CROIRE ? ÉCRIT
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul # # Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
"Baromètre électorale : Moïse Katumbi caracole, Félix Tshisekedi dégringole - 02.09.2022
= https://www.forumdesas.net/2022/09/moise-katumbi-caracole-felix-tshisekedi-degringole/
* Les Congolais sondés placent en tête Ensemble pour la République avec 44%, l’UDPS (38%) vient à la 4ème place, derrière l’Ecidé (42%) et le MLC (38,1%).
Selon un récent rapport du sondage conjoint entre le Bureau d’études, de recherches, et de consulting international (Berci) et le Groupe d’études sur le Congo (GEC) de l’Université de New York rendu public en août dernier, les Congolais sondés sur les partis et regroupements politiques placent en tête Ensemble de Moïse Katumbi avec 44% d’opinions favorables. Il est suivi de l’Engagement pour la citoyenneté et le développement (Ecidé) de Martin Fayulu (42%), le Mouvement de libération du Congo (MLC) et l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) respectivement à 38,1 et 38%. D’après cette étude, le Chef de l’Etat Félix Tshisekedi, réalise son plus mauvais score en termes d’opinions défavorables (51%) depuis son avènement au pouvoir en janvier 2019. Mais ce score comparé avec celui obtenu en décembre 2021, le chef de l’Etat engrange 11 points de plus. Sa cote de popularité passe de 29% d’opinions favorables à presque 40%. Malgré cela, sa cote reste tout de même en deçà de ses 63% de mars 2019.
Ledit sondage concerne entre autres le fonctionnement actuel des institutions de la République. Les Congolais ne sont pas satisfaits du fonctionnement de ces institutions, précise le Rapport. 17% seulement des sondés soutiennent « fortement la manière dont le président de la République travaille » ; alors que 37% autres la soutiennent « moyennement » et près de 45% « pas du tout« . Aujourd’hui, 54% des répondants souhaitent que le prochain président se comporte beaucoup plus comme un « chef d’État qui arbitre et fixe les orientations » plutôt que comme un » chef de gouvernement très présent dans la politique intérieure » (46%).
Le fonctionnement actuel des institutions de la République ne satisfait pas les Congolais. Ils ne sont par exemple que 17 % des répondants à soutenir « fortement la manière dont le président de la République travaille » ; 37 % autres la soutiennent « moyennement » et près de 45 % » pas du tout« . Aujourd’hui, 54 % des répondants souhaitent que le prochain président se comporte beaucoup plus comme un « chef d’État qui arbitre et fixe les orientations » plutôt que comme un « chef de gouvernement très présent dans la politique intérieure » (46%).
46,5% DES SONDES SOUHAITENT LA SUPPRESSION DE LA GRATUITE DE L’ENSEIGNEMENT
Les sondés n’ont pas été, non plus, tendres avec la gestion du Premier ministre Sama Lukonde Ainsi seulement 11% des répondants soutiennent « fortement » sa gestion, 30% « moyennement » et 46 % ne la soutiennent « pas du tout ». Il en est de même de son gouvernement qui ne rassure pas non plus, selon les répondants. Par conséquent, seulement 37,5% des Congolais sondés lui font confiance. La majorité des personnes interrogées (40%) considère d’ailleurs qu' »il est important pour les citoyens de pouvoir demander des comptes au gouvernement« . Et pour 35% autres, l’importance, c’est plutôt d’avoir un « gouvernement qui peut faire avancer les choses« . Tout compte fait, toutes les personnes interrogées voudraient voir le gouvernement rencontrer plusieurs défis dans différents secteurs de la vie nationale. dans l’ordre des priorités suivant :, sécurité (25%), social (20%), infrastructures (routes, eau et électricité, 16%), économie et emploi (14%) et « programme de développement des 145 territoires » (7%).
Concernant les soins de santé, près de 74% des Congolais sondés trouvent nécessaire la mise en œuvre de la couverture santé universelle. En revanche, la gratuité de l’enseignement de base, quoique soutenue par 53,5% des répondants, n’a pas le même engouement. En effet, ils reconnaissent la faible qualité de l’enseignement dans les établissements publics que cette mesure entraîne. Pour pouvoir relever le niveau de l’enseignement, 46,5% souhaitent sa suppression.
LE PARLEMENT EST LOIN D’ETRE LE MIEUX LOTI
Sur le plan socio-économique, ils sont désormais 66% des Congolais interrogés à affirmer que « les choses ne vont pas généralement dans la bonne direction dans le pays » contre 34% des Congolais optimistes, alors qu’ils étaient majoritaires à penser le contraire à l’arrivée du président Tshisekedi au pouvoir. Ainsi, par exemple, contrairement aux Congolais qui pensent que la situation économique actuelle des ménages est meilleure qu’il y a trois ans (10%), près de 33% des répondants estiment, eux, que rien n’a changé et 31,5% estiment que la situation est moins bonne et 11% considèrent que « la situation s’est plutôt détériorée« .
Le Parlement est loin d’être le mieux loti. L’Assemblée nationale obtient quelque 32% de cote de confiance et la manière dont son président Christophe Mboso gère cette chambre basse est jugée totalement satisfaisante par seulement 9% des Congolais sondés, soit quatre points de moins que le score attribué à la gestion de Modeste Bahati au Sénat. D’ailleurs, précise le Rapport Talatala, le baromètre de l’activité parlementaire et de l’action du gouvernement congolais, a relevé, début juillet, que les députés nationaux étaient très concentrés à traiter les matières politiques au détriment de questions sociales très souvent abandonnés dans le tiroir des arriérés législatifs.
LES SONDES NON SATISFAITS PAR LA LUTTE CONTRE LA CORRUPTION
A tout prendre, la majorité des Congolais sondés mettent en cause toutes les institutions de la République sur l’absence d’informations disponibles concernant leur action. Ils sont 62 % à le penser pour les assemblées provinciales ; 63 % pour le gouvernement central et quasiment 62 % pour l’Assemblée nationale. À titre illustratif, pour ce dernier cas, en dépit des efforts de Talatala pour documenter le sens de vote des députés nationaux, les chiffres officiels sur le vote et la présence des députés aux plénières demeurent inaccessibles.
La lutte contre la corruption est jugée non satisfaite par les sondés. Au moins quatre personnes interrogées sur dix estiment que les principales institutions du pays ou leurs animateurs sont « très corrompus » : gouvernement national (41%), députés provinciaux (42,2%), parlementaires nationaux (45,6%), tribunaux 45,7%). Chargée d’assurer la sécurité de la population et de leurs biens, la Police nationale congolaise (PNC) trône en tête des institutions les plus corrompues pour 48% des répondants. En d’autres termes, les institutions chargées de rédiger les lois au niveau national et provincial et celles chargées de faire respecter la loi sont perçues comme étant parmi les cinq institutions les plus corrompues, révèle le Rapport du sondage.
LA COTE DE POPULARITE DE LA CENI AU PLUS BAS
La cote de popularité de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) est au plus bas. Seulement 39% des Congolais sondés affirment avoir confiance dans la Centrale électorale pour organiser des élections de manière crédible, libre et transparente. Aujourd’hui, Denis Kadima, le nouveau président de la Ceni, est plus impopulaire avec plus de 42% d’opinions défavorables que son prédécesseur Corneille Nangaa (38%) en 2016.
Les Congolais sondés se sont également exprimés sur les partis et regroupements politiques. Ils placent en tête Ensemble de Moïse Katumbi avec 44% d’opinions favorables, suivi de l’Engagement pour la citoyenneté et le développement (Ecidé) de Martin Fayulu (42%), le Mouvement de libération du Congo (MLC) et l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) respectivement à 38,1 et 38%.
Le présent sondage a été réalisé du 25 février au 7 juin 2022 auprès de 5.512 personnes âgées de 18 ans et plus. Il a concerné 493 sites d’enquêtes répartis dans les 26 provinces du pays. C’est la deuxième enquête d’opinion nationale menée conjointement entre le Bureau d’études, de recherches, et de consulting international (Berci) et le Groupe d’études sur le Congo (GEC) de l’Université de New York. Une première en association avec Ebuteli, partenaire de recherche du GEC en RDC.
"Sondage GEC-BERCI: Katumbi domine côté personnalités politiques, Mukwege et Ambongo coiffent côté figures de la Société civile -1 septembre 2022
= https://www.africanewsrdc.net/featured/katumbi-domine-cote-personnalites-politiques-mukwege-et-ambongo-coiffent-cote-figures-de-la-societe-civile/
Si Dr Denis Mukwege, Prix Nobel de la Paix de 2018 -53%-, et le Cardinal Fridolin Ambongo -47,78- s’affichent sur le podium des personnalités de la Société civile à l’égard desquelles le public de la République Démocratique du Congo a une bonne opinion, Moïse Katumbi est la première personnalité politique de haut rang arrivée en bonne place dans cette catégorie du sondage réalisé entre mars et juin 2022 par Ebuteli-GEC-Berci.
Le leader du parti Ensemble pour la République, également premier de sa catégorie avec 44% d’opinions favorables devant ECIDé, MLC et UDPS/Tshisekedi, réalise 44 %. Il devance ainsi Martin Fayulu -42 %- et Adolphe Muzito 38 %. L’enquête indiqué cependant que presque tous n’ont pas amélioré leur performance par rapport à décembre 2021.
Les autres figures politiques présentes dans ce classement sont Jean-Pierre Bemba -36%-, Eve Bazaiba -35%-, Modeste Bahati -30%-, Patrick Muyaya et Vital Kamerhe -29%- ainsi que Joseph Kabila et Augustin Kabuya -26%.
Alors qu’ils étaient majoritaires à penser le contraire à l’arrivée du président Tshisekedi au pouvoir, ils sont désormais 66 % des Congolais interrogés à affirmer que «les choses ne vont pas généralement dans la bonne direction dans le pays» contre 34 % des Congolais optimistes. Ainsi, par exemple, contrairement ux RD-Congolais qui pensent que la situation économique actuelle des ménages est meilleure qu’il y a trois ans -10 %-, près de 33% des répondants estiment, eux, que rien n’a changé et 31,5 % estiment que la situation est moins bonne et 11 % considèrent que «la situation s’est plutôt détériorée».
"Forum des AS : « Moïse Katumbi caracole, Félix Tshisekedi dégringole » - 02/09/2022
= https://www.radiookapi.net/2022/09/02/actualite/revue-de-presse/forum-des-moise-katumbi-caracole-felix-tshisekedi-degringole
"Sondage: 51% d'opinion défavorable, Félix Tshisekedi recueille son plus mauvais score depuis sa prise de pouvoir ! (GEC) - 02.09.2022
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-110007_sondage_51_d_opinion_defavorable_felix_tshisekedi_recueille_son_plus_mauvais_score_depuis_sa_prise_de_pouvoir_gec.html
Trois ans et demi après l’arrivée à la présidence de Félix Tshisekedi, la confiance à l’égard du gouvernement et des institutions en RDC demeure faible. Entre-temps, la situation sécuritaire dans l’est du pays, elle aussi, continue de se dégrader, avec notamment, la résurgence du Mouvement du 23 mars (M23).
Dans ce nouveau rapport sondage, Congolais cherchent démocrates : entre soif de redevabilité et insatisfaction sociale, publié ce mercredi 31 août, le Groupe d’étude sur le Congo (GEC) et Ebuteli, son partenaire de recherche en RDC, avec le Bureau d’études, de recherche et de consulting international (Berci), relèvent une méfiance persistante à l’égard des institutions ainsi qu’une politique sécuritaire décriée.
Réalisée entre avril et juin, cette enquête démontre que, malgré des cycles électoraux controversés, les Congolais restent attachés à la démocratie. Septante-sept pour cent des personnes interrogées estiment que cette forme de gouvernement est la meilleure.
Cette confiance en la démocratie s’accompagne néanmoins d’une méfiance vis-à-vis des institutions du pays et de leurs animateurs. Ils ne sont que 17 % des Congolais interrogés à soutenir « fortement » la manière dont le président de la République travaille. Félix Tshisekedi recueille même son plus mauvais score en termes d’opinions défavorables (51 %) depuis 2019. Et il s’observe une même défiance à l’égard du gouvernement central, des autorités provinciales, voire des institutions impliquées dans la gestion du processus électoral.
« Notre sondage montre que les citoyens ne sont pas satisfaits du travail réalisé par les institutions tant au niveau provincial que national. Celles-ci n’ont pas suffisamment œuvré pour l’amélioration du social. Et la majorité de sondés pense que le président Tshisekedi ne pourra pas réaliser ses promesses d’ici 2023 », explique Ithiel Batumike, chercheur du pilier politique à Ebuteli.
Après plus de trois ans au pouvoir de Tshisekedi, les Congolais ne semblent pas non plus convaincus de la politique sécuritaire menée au pays. Seuls 22 % des sondés estiment par exemple que la sécurité des personnes et de leurs biens s’est améliorée ces trois dernières années. Une grande majorité des Congolais interrogés pointe par ailleurs l’ingérence du gouvernement rwandais (72 %) comme la plus importante cause du conflit persistant dans l’est de la RDC), suivie par l’ingérence des pays occidentaux (71,5 %) et la corruption des institutions congolaises (71 %).
« Notre sondage montre une exaspération des Congolais face à la dégradation de la situation sécuritaire dans le pays. Les politiques jusque-là mises en œuvre par le gouvernement de Félix Tshisekedi sont vues comme inefficaces. Mais le discrédit sur ces questions touche aussi la Monusco, la communauté internationale et, bien sûr, les pays voisins », décrypte Pierre Boisselet, coordonnateur des recherches sur la violence à Ebuteli.
Enfin, cette étude confirme l’échec de la politique de la lutte contre la corruption. Plus de 67 % des personnes interrogées estiment que le gouvernement n’a pas été efficace dans ce domaine. La Police nationale congolaise (PNC) trône en tête des institutions très corrompues, suivie des cours et tribunaux (45,7 %) et du Parlement (45,6 %).
"RDC: « Beaucoup de congolais ne croient pas que la CENI peut réaliser un travail de qualité », reconnaît Denis Kadima - 2 septembre 2022
= https://www.politico.cd/encontinu/2022/09/02/rdc-beaucoup-de-congolais-ne-croient-pas-que-la-ceni-peut-realiser-un-travail-de-qualite-reconnait-denis-kadima.html/114864/
"à 15 mois de la fin du mandat présidentiel : Tshisekedi, leader d’une majorité dispersée, fait face à une opposition faible - septembre 2, 2022
= https://econewsrdc.com/a-15-mois-de-la-fin-du-mandat-presidentiel-tshisekedi-leader-dune-majorite-dispersee-fait-face-a-une-opposition-faible/
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Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul # # Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: DES SONDAGES ET DES SIGNAUX DIFFÉRENTS : UN SONDAGE "AMÉRICAIN" PLÉBISCITE TSHISEKEDI, UN DERNIER SONDAGE D'EBUTELI (GEC) POINTE L'INSATISFACTION GÉNÉRALISÉE DES CONGOLAIS DE LA MANIÈRE DONT ILS SONT GOUVERNÉS AUJOURD'HUI ! QUI DIT MIEUX ???
Décidément les sondages de GEC et d'autres nous livrent une foule d'informations que ce soit sur les intentions de vote en 2023, sur le jugement des Congolais de leurs institutions et de leurs personnalités politiques ou encore ce qu'ils peuvent penser des sondages ou des informations en général dont les abreuvent ; elles sont non seulement des instantanés d'un moment mais surtout pas paroles d'évangile...
Mais que nous disent-elles ?
Que tantôt Tshisekedi, tantôt Katumbi est en tête dans les intentions de vote ; qu'à peine 9% des Congolais sondés jugent la gestion de l'Assemblée par Mboso satisfaisante ; que bien peu de Congolais font confiance en la CENI pour des élections crédibles, d'ailleurs Kadima lui-même que beaucoup de Congolais ne croient pas que la CENI peut réaliser un travail de qualité ; que malgré des cycles électoraux chaotiques, les Congolais sont encore attachés à la démocratie (78% de Congolais sondés souhaitent voter à la prochaine présidentielle) et à plus de redevabilité ; que la confiance des Congolais envers l’Occident s’érode, ils veulent tenter autre chose ; mais aussi que Muzito est la troisième personnalité préférée des Congolais et que son parti 'Nouvel Élan' recueille 32, 2% et se hisse dans le top 5, etc, etc...
Il y'a boire et à manger ; tirons-en les informations qui peuvent nous servir : on sait au moins que les Congolais ne sont pas dupes de l'offre qu'on leur vante et qu'on leur offre - la majorité des Congolais se plaignent de la mauvaise qualité des institutions et de l'opacité de leur gestion en leur sein, 62 % pour les assemblées provinciales ; 63 % pour le gouvernement central et quasiment 62 % pour l’Assemblée nationale ; pour eux la gestion du pays est loin d'être tolérable. Ils ne gobent pas non plus tout de l'Occident ils préfèrent choisir les yeux ouverts...
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul # # Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Mais que nous disent-elles ?
Que tantôt Tshisekedi, tantôt Katumbi est en tête dans les intentions de vote ; qu'à peine 9% des Congolais sondés jugent la gestion de l'Assemblée par Mboso satisfaisante ; que bien peu de Congolais font confiance en la CENI pour des élections crédibles, d'ailleurs Kadima lui-même que beaucoup de Congolais ne croient pas que la CENI peut réaliser un travail de qualité ; que malgré des cycles électoraux chaotiques, les Congolais sont encore attachés à la démocratie (78% de Congolais sondés souhaitent voter à la prochaine présidentielle) et à plus de redevabilité ; que la confiance des Congolais envers l’Occident s’érode, ils veulent tenter autre chose ; mais aussi que Muzito est la troisième personnalité préférée des Congolais et que son parti 'Nouvel Élan' recueille 32, 2% et se hisse dans le top 5, etc, etc...
Il y'a boire et à manger ; tirons-en les informations qui peuvent nous servir : on sait au moins que les Congolais ne sont pas dupes de l'offre qu'on leur vante et qu'on leur offre - la majorité des Congolais se plaignent de la mauvaise qualité des institutions et de l'opacité de leur gestion en leur sein, 62 % pour les assemblées provinciales ; 63 % pour le gouvernement central et quasiment 62 % pour l’Assemblée nationale ; pour eux la gestion du pays est loin d'être tolérable. Ils ne gobent pas non plus tout de l'Occident ils préfèrent choisir les yeux ouverts...
"RDC: La manière dont Christophe Mboso gère l’Assemblée nationale est jugée totalement satisfaisante par seulement 9% des Congolais sondés (Rapport GEC/Ebuteli) - 1 septembre 2022
= https://actualite.cd/index.php/2022/09/01/rdc-la-maniere-dont-christophe-mboso-gere-lassemblee-nationale-est-jugee-totalement
La manière dont Christophe Mboso gère l’Assemblée nationale est jugée totalement satisfaisante par seulement neuf pour cent des Congolais sondés, soit quatre points de moins que le score attribué à la gestion de Modeste Bahati au Sénat. 32 % des personnes interrogées font preuve d'un certain degré de confiance à l’égard de la chambre basse du parlement.
Cette enquête d’opinion nationale a été menée conjointement entre le Bureau d'études, de recherches, et de consulting international (Berci) et le Groupe d’études sur le Congo (GEC) de l'Université de New York. Le sondage a été réalisé du 25 février au 7 juin 2022 auprès de 5512 personnes âgées de 18 ans et plus. Il a concerné 493 sites d’enquêtes répartis dans les 26 provinces du pays.
Les récentes révélations sur les émoluments des députés nationaux et l’opacité qui couvre cette question ne vont pas redorer l’image de cette Assemblée. Et cette opacité ne concerne pas que la rémunération des élus. « À titre illustratif, pour ce dernier cas, en dépit des efforts de Talatala ( le baromètre de l’activité parlementaire et de l’action du gouvernement congolais) pour documenter le sens de vote des députés nationaux, les chiffres officiels sur le vote et la présence des députés aux plénières demeurent inaccessibles », ajoute ce rapport.
Aussi toutes les institutions de la République sont-elles mises en cause par la majorité des Congolais sondés sur l’absence d’informations disponibles concernant leur action. Ils sont 62 % à le penser pour les assemblées provinciales ; 63 % pour le gouvernement central et quasiment 62 % pour l’Assemblée nationale.
"Assemblée nationale : La gestion de Mboso ne rencontre pas la majorité de la population, selon un rapport - 03.09.2022
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-110049_assemblee_nationale_la_gestion_de_mboso_ne_rencontre_pas_la_majorite_de_la_population_selon_un_rapport.html
"RDC: « Beaucoup de congolais ne croient pas que la CENI peut réaliser un travail de qualité », reconnaît Denis Kadima - 2 septembre 2022
= https://www.politico.cd/encontinu/2022/09/02/rdc-beaucoup-de-congolais-ne-croient-pas-que-la-ceni-peut-realiser-un-travail-de-qualite-reconnait-denis-kadima.html/114864/
Le Président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Denis Kadima a été invité, ce jeudi 1er septembre au centre d’accueil et de conférences Kimbanguistes, à une journée scientifique organisée par l’Université Simon Kimbangu (USK) axée autour de « l’organisation du 4ème cycle électoral en RDC/2023 ». Et en même temps, cette journée scientifique s’est inscrite dans le cadre de concertation de la Centrale Électorale avec la population.
Profitant de cette occasion, Denis Kadima a tenté de lever tout équivoque du processus électoral en cours et exprimé sa détermination d’organiser les élections dans le délai constitutionnel c’est-à-dire en décembre 2023.
«Le glissement ne fait pas partie de notre vocabulaire à la CENI. À tort ou à raison, la CENI a été accusée de beaucoup de choses, notamment d’opacité dans la gestion électorale, de non-transparence dans la gestion financière, de manque d’intégrité dans le chef des animateurs de la Centrale électorale etc. Conséquence : beaucoup de congolais ne croient pas que la CENI peut réaliser un travail de qualité », a déclaré Denis Kadima.
D’après lui, son équipe tient compte de toutes les observations et recommandations de tout le monde, surtout des missions d’observation électorale, tout qui lui parvient à travers le cadre de concertation pour se mettre résolument au service de l’électorat congolais.
«Quand le recteur nous a approché, nous n’avons pas hésité, car c’était pour nous une façon d’approcher tous ceux qui s’intéressent au processus électoral. L’autre raison fondamentale, c’est que la CENI n’a pas toutes les idées, beaucoup de réalités se vivent dans nos communautés et la CENI a besoin de toutes ces informations pour bien mener le processus», a-t-il fait savoir.
Dans la foulée, Denis Kadima a passé en revue toutes les actions menées par son équipe en commençant par redorer l’image de la CENI qui abat un travail qui est mal apprécié par le commun des concitoyens en passant par la mise en place d’une feuille de route 2021-2027 qui détaille toutes les activités à mener, à commencer par les élections directes (législatives nationales et provinciales, Présidentielle) jusqu’à la mutualisation CENI-ONIP pour les opérations d’enrôlement des électeurs, production des cartes d’identité en plus de la nouvelle carte d’électeur.
«On ne peut organiser les élections sans déterminer au préalable le lieu où les gens doivent aller voter ou se faire enrôler. Très souvent, ces centres sont logés dans les écoles et centres de santé. L’exercice mené jusqu’ici vise à établir les endroits où voter. Et la tâche essentielle a consisté à réduire au maximum cette distance au moins 5 km, sinon 10 km au maximum, pas au-delà. Cependant, l’installation d’un centre de votre ou d’enrôlement tient compte du poids démographique mais aussi des zones de conflit», a par ailleurs précisé Denis Kadima.
Pour lui, la notion électorale est un vaste champ dont beaucoup d’éléments font défaut dans la compréhension de plus d’un congolais lambda, voire parmi les scientifiques. Raison pour laquelle, dit-il, «l’Université Simon Kimbangu a fait recours à la personne suffisamment assise, expérimentée de tout le temps, l’homme d’une expertise connue, vérifiée dans plusieurs États d’Afrique et ailleurs, monsieur Denis Kadima Kazadi, Président de la CENI, pour dissiper le malentendu autour de la compréhension cohérent du processus électoral en RDC en ce lieu purement scientifico-culturo-spirituel».
"RDC: Denis Kadima et le bureau de la CENI, victimes du péché originel ? - 4 septembre 2022
= https://actualite.cd/index.php/2022/09/04/rdc-denis-kadima-et-le-bureau-de-la-ceni-victimes-du-peche-originel
Le déficit de confiance à l’égard de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) devient inquiétant à une année de l’organisation des élections. Seulement 39 % des Congolais sondés affirment avoir confiance en la centrale électorale pour organiser des élections de manière crédible, libre et transparente.
C’est une des conclusions du rapport de sondage intitulé « Congolais cherchent démocrates : entre soif de redevabilité et insatisfaction sociale ».
Publié le 31 août, il a été réalisé par le Groupe d’étude sur le Congo (GEC) et Ebuteli, son partenaire de recherche en RDC, avec le Bureau d’études, de recherche et de consulting international (Berci).
Le sondage a été réalisé du 25 février au 7 juin 2022 auprès de 5512 personnes âgées de 18 ans et plus. Il a concerné 493 sites d’enquêtes répartis dans les 26 provinces du pays.Les chercheurs expliquent également qu’en 2016, lorsque le gouvernement était fortement contesté et le processus électoral compromis par des irrégularités, ce chiffre était plus élevé : 46,5 %. Aujourd’hui, Denis Kadima, est plus impopulaire avec plus de 42 % d’opinions défavorables que son prédécesseur Corneille Nangaa (38 %) en 2016.« Personne ne peut mettre en cause l’expertise de Denis Kadima. Cependant, ce qui ressort de cette enquête, ce qu’il y a des soucis en amont, des problèmes dans la désignation des animateurs de la CENI. Le manque de consensus et le déficit de transparence même au sein des composantes ainsi que l’opacité dans les discussions au sein de la commission paritaire ont renforcé les suspicions », a dit à ACTUALITE.CD Trésor Kibangula, analyste politique à Ebuteli.
Comment la CENI peut améliorer les tirs? Suivez les explications de Trésor Kibangula, analyste politique à Ebuteli.ACTUALITE.CD-Le Podcast
RDC: Denis Kadima victime du péché originel ?
RDC: Denis Kadima victime du péché originel ?
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"RDC: selon un sondage de Target, les Congolais ne font pas confiance en la CENI pour des élections crédibles, sauf au Kasaï Central, Maniema et Kasaï Oriental - 19 août 2022
= https://actualite.cd/2022/08/19/rdc-selon-un-sondage-de-target-les-congolais-ne-font-pas-confiance-en-la-ceni-pour-des
Conformément à la constitution, les congolais sont attendus aux urnes l'année prochaine. C'est dans cette optique que le cabinet d'étude Target a mené une enquête sur le degré de confiance de la population à l'endroit de la commission électorale nationale indépendante (CENI).
Globalement, il ressort de cette étude rendue publique vendredi 19 août 2022 que les congolais ne font pas confiance en la CENI pour organiser des élections crédibles et indépendantes exceptées les provinces de Kasaï Central, Maniema et Kasaï Oriental avec respectivement 71%, 56% et 51% d'opinions favorables. Les opinions sur la commission électorale nationale indépendante sont très partagées et varient selon les provinces : favorables au Kasaï Central (74%) et Kasai-Oriental (56%) mais défavorables dans les provinces de l'Equateur (72%), Tshopo (69%) et Kwilu (69%).
Comment expliquer ce manque ou cette faible de confiance en la commission électorale nationale indépendante dans une grande partie du pays ? Serge Mumbu, Directeur Général de Target explique:La CENI est bien consciente de ce manque de confiance en elle et tente de rassurer l’opinion."Les Congolais ont déjà une mauvaise image de la CENI au regard des élections passées et la polémique autour de la désignation des dirigeants actuels donne l'impression qu'elle sera partiale (proche du pouvoir actuel) et moins transparente (publication des résultats par bureau de vote)", a-t-il répondu à la question de ACTUALITÉ.CD.S'agissant de l'engouement de confiance au niveau des provinces du centre de la République, le DG de Target souligne qu’il s’agit des entités majoritairement acquises au pouvoir actuel et le processus de désignation des dirigeants actuels a été entériné par le pouvoir.“Nous à la CENI on s’est dit qu’on a pas la confiance totale en nous. Nous ne pouvons pas nous permettre d’organiser de vote om vous n’avez pas de papier, vous venez voter seulement, et vous partez et on vous dit c’est tel qui a gagné. Chaque bureau de vote va afficher les résultats par bureau de vote. Et puis au centre local de compilation on va aussi afficher après avoir fait la centralisation. Nous-mêmes à la CENI nous allons prendre tous les résultats du pays, nous allons les rendre disponible sur notre site web”, a dit Denis Kadima la semaine dernière à l’occasion du lancement de l’atelier sur la méthodologie de validation des données cartographiques.
Pour ce qui est de la tenue des élections dans le délai constitutionnel, M. Mbungu affirme que les Congolais manifestent un engouement pour les élections de 2023 et souhaitent des élections libres, transparentes et objectives.
Ce Sondage du Cabinet Target a été réalisé du 28 Juin au 6 Juillet 2022 auprès d’un échantillon représentatif de 1 200 personnes dans les 11 villes au format de l’ancienne configuration des 11 provinces de la RDC et selon la méthode des quotas par âge, sexe et commune de résidence.
Lire aussi: RDC : 78% de Congolais sondés entre avril et mai 2022 souhaitent voter à la prochaine présidentielle (GEC)
"RDC: malgré des cycles électoraux chaotiques, les congolais attachés à la démocratie et à plus de redevabilité - 4 septembre 2022
= https://actualite.cd/index.php/2022/09/04/rdc-malgre-des-cycles-electoraux-chaotiques-les-congolais-attaches-la-democratie-et-plus
Malgré le mécontentement sur le fonctionnement des institutions de la République, le soutien à la démocratie est encore relativement élevé en RDC, révèle un rapport. 77 % de congolais interrogés estiment que la démocratie est la meilleure forme de gouvernement. Il est au-dessus de la moyenne de 68 % concernant 34 autres pays africains entre 1999 et 2015.
C’est une des conclusions du rapport de sondage intitulé « Congolais cherchent démocrates : entre soif de redevabilité et insatisfaction sociale ». Publié le 31 août, il a été réalisé par le Groupe d’étude sur le Congo (GEC) et Ebuteli, son partenaire de recherche en RDC, avec le Bureau d’études, de recherche et de consulting international (Berci). Le sondage a été réalisé du 25 février au 7 juin 2022 auprès de 5512 personnes âgées de 18 ans et plus. Il a concerné 493 sites d’enquêtes répartis dans les 26 provinces du pays.
Au Congo, seuls quelque 9 % des personnes habitant les milieux urbains soutiennent qu’« un gouvernement non démocratique peut être préférable.
Suivez les explications de Trésor Kibangula, analyste politique à Ebuteli.ACTUALITE.CD-Le Podcast
RDC: malgré des cycles électoraux chaotiques, les congolais attachés à la démocratie et à plus de redevabilité
RDC: malgré des cycles électoraux chaotiques, les congolais attachés à la démocratie et à plus de redevabilité
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"Adolphe Muzito, 3ème personnalité politique préférée des Congolais, atteste le sondage GEC - 05/09/2022
= https://www.forumdesas.net/2022/09/adolphe-muzito-3eme-personnalite-politique-preferee-des-congolais-atteste-le-sondage-gec/
Adolphe Muzito est la 3ème personnalité politique préférée des Congolais, alors que son parti politique, Nouvel Elan, se hisse dans le top 5 des partis politiques congolais en engrangeant 32,2%, à en croire le même Sondage GEC, Berci, Ebuteli. Des opinions favorables qui attestent de la bonne santé politique du chef du gouvernement honoraire ainsi que de son parti politique, Nouvel Elan.
Premier ministre de la République démocratique du Congo (RDC) du 10 octobre 2008 au 6 mars 2012, Adolphe Muzito est, pour les Congolais, la 3ème personnalité politique qu’ils préfèrent. Ce résultat du sondage traduit à n’en point douter la position de ses compatriotes sur les personnalités politiques et de la société civile à l’approche des élections générales.
Selon les résultats du rapport du sondage rendu public le 10 août dernier, le leader de Nouvel Elan occupe la troisième position avec 38% d’opinions favorables, derrière Moïse Katumbi (44%) et Martin Fayulu (42%). « Ce score se justifie par le fait que Katumbi et Fayulu ont lancé des descentes dans les provinces, ils ont été en contact avec le peuple, ce que Muzito n’a pas encore fait depuis la campagne électorale de 2018. Les données pourraient être bouleversées si l’ancien Premier ministre lance aussi sa tournée », commente un acteur de la société, cité par le media en ligne, afriquactu.net
Jean-Pierre Bemba (36,2%), Eva Bazaiba (35,4%), Modeste Bahati Lukwebo (30%), Vital Kamerhe (29%), Augustin Kabuya (26,7%), Joseph Kabila (26,2%), Christophe Mboso (22,8%) et Jean-Marc Kabund (21,3%) clôturent la liste. Le sondage cite également des personnalités des personnalités de la Société civile. On y retrouve notamment le prix Nobel de la paix, Denis Mukwege (52,6%) et l’archevêque métropolitain de Kinshasa, Fridolin Ambongo (48,8%), Dodo Kamba (28,8%), Denis Kadima (28,2%)….
«Les Congolais sont également optimistes quant au rôle de la société civile et des mouvements sociaux : 52 % disent qu’ils peuvent promouvoir la bonne gouvernance ; bien que 41 % les déclarent dépendantes des partis politiques ou du gouvernement (42%), ou encore des intérêts étrangers (39%). Et concernant plus spécifiquement les confessions religieuses, plus de 57% des Congolais affirment leur faire « plutôt confiance » (38,2%), voire «très confiance » (18,9 %) », ont indiqué les auteurs du rapport sondage.
Les résultats révèlent aussi que 85% des Congolais suggèrent à l’État de garantir le droit de vote, la liberté de culte et de croyance (84%), de création culturelle et artistique (82%), de se constituer en syndicats (78%), la liberté de pensée et d’expression(77%) et de rassemblement ou de manifestation pacifique (74%).
"Nouvel Elan recueille 32, 2% et se hisse dans le top 5 - 05/09/2022
= https://www.forumdesas.net/2022/09/nouvel-elan-recueille-32-2-et-se-hisse-dans-le-top-5/
Aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années, dit-on. Ce dicton français n’est pas loin d’être appliqué à Nouvel Elan, parti politique d’Adolphe Muzito, ancien Premier ministre congolais sous Joseph Kabila. Alors qu’il est âgé de 4 années seulement, Nouvel Elan vient de conquérir les cœurs des Congolais en s’imposant dans la sphère politique congolaise. En témoigne le tout récent sondage réalisé du 25 février au 7 juin 2022 auprès de 5 512 personnes âgées de 18 ans et plus par le Bureau d’études, de recherches, et de consulting international (Berci), le Groupe d’études sur le Congo (GEC) de l’Université de New York et l’institut de recherche Ebuteli.
Alors que la formation politique du coordonnateur de la coalition Lamuka n’a été créé qu’en 2018, bien plus tard que ses aînées, elle n’a pas tardé à bousculer aujourd’hui l’ordre établi et faire bouger les lignes dans le microcosme des partis politiques. A la base de cette performance précoce, estiment des observateurs avertis, le travail de fourmi que ne cesse de réaliser l’état-major dudit parti.
En effet, sous l’impulsion de son leader Adolphe Muzito, Nouvel Elan s’est mis à s’organiser et a lancé depuis plusieurs mois dans son implantation sur l’ensemble du territoire national. En même temps, Adolphe Muzito a également donné le « la » de la campagne d’élaboration de l’offre politique pour le développement du Congo afin d’avoir le projet politique « qui incarne les vraies aspirations du peuple« .
LA CONSTANCE PAIE
Les positions tranchées et imperturbables du chef du gouvernement honoraire sur certaines questions d’actualité (agression rwandaise, alliance, élections) ont également beaucoup joué dans la position qu’occupe Nouvel Elan dans ce sondage. Alors qu’on le croyait traverser de l’autre côté et se faire bercer dans les bras du pouvoir, Adolphe Muzito est resté dans l’opposition, mieux dans la résistance et y demeure. Pour le moment, le leader de Nouvel Elan n’entend contracter aucune alliance avant d’obtenir les réformes électorales, cheval de bataille de Lamuka dont il est toujours le coordonnateur. Pour le moment, il n’entend pas, non plus, participer à des rapprochements et ni même de certaines alliances contre nature. Les Congolais haïssent des politiciens qui se caractérisent par une transhumance politique éhontée.
Par ailleurs, la lutte en faveur des réformes électorales que ne cesse de mener M. Muzito en vue de préparer des élections qu’il souhaite libres, transparentes, démocratiques, lui valent l’ascenseur des Congolais, ses potentiels électeurs,
L’UN DES PARTIS CAPABLES D’APPORTER LE CHANGEMENT
Ces actions ne sont pas passées sans marquer les esprits des Congolais ainsi que le climat politique congolais. Si bien qu’aujourd’hui il n’est pas étonnant que le parti arrive à se hisser dans le top 5 des partis politiques qui inspirent confiance aux Congolais. Ceux-ci considèrent le parti d’Adolphe Muzito comme l’une des rares organisations politiques capables d’apporter le changement à travers son offre politique.
En plus, quoiqu’accusés souvent d’avoir une mémoire courte, les Congolais n’ont pas oublié les performances économiques réalisées, il y a quelques années, par Adolphe Muzito lors de son passage à la Primature. En effet, l’opinion congolaise se rappelle encore que. « Muzito avait accru considérablement les ressources de l’Etat et les réserves de change. Il les a fait passer de 100 millions à 1,6 milliard de dollars américains. Il a trouvé un budget de moins d’un milliard. Au bout de 5 ans, il l’a quadruplé (3,2 milliards USD), il a revu à la hausse les salaires des médecins, des professeurs, etc. ».
« Les Congolais interrogés placent en tête Ensemble de Moïse Katumbi avec 44 % d’opinions favorables. Suivent l’Engagement pour la citoyenneté et le développement (Ecidé) de Martin Fayulu (42%), le Mouvement de libération du Congo (MLC) et l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) respectivement à 38,1 et 38% ainsi que 32,2% pour Nouvel Elan« , rapporte le sondage.
Les auteurs dudit rapport sondage précisent par ailleurs que, l’intensité de l’engagement envers la démocratie semble avoir diminué.
« Lorsqu’on demande aux Congolais quelle devrait être la priorité entre le développement, la sécurité et la démocratie, seuls 18 % soutiennent que les élections constituent la priorité absolue, 46% affirmant que ces trois objectifs vont de pair« , indiquent ces structures, qui rappellent qu’en 2016, ils étaient 38% à placer les élections comme la priorité la plus importante.
"RDC: la confiance envers l’occident s’érode, les congolais veulent tenter autre chose - 05/09/2022
= https://actualite.cd/2022/09/05/rdc-la-confiance-envers-loccident-serode-les-congolais-veulent-tenter-autre-chose
La popularité des pays partenaires étrangers du Congo est en train de changer, révèle un rapport de sondage. Les pays occidentaux perdent davantage la bataille de l’image en RDC. Certains pays remontent en termes de popularité. Aujourd'hui, le plus grand nombre de personnes interrogées dans le cadre d’une enquête sont favorables à la Turquie (65%). C’est le cas de la Chine (63,5 %) et du Japon (62,6 %). Ils sont suivis par le Royaume-Uni (61,4 %), les Pays-Bas (60,6 %), l'Afrique du Sud (59,4 %), les États-Unis et l’Angola (59,3 %), la Belgique (58,5% ) et la France (58,3%). Ceci est conforme à la situation dans d’autres pays africains.
C’est une des conclusions du rapport de sondage intitulé « Congolais cherchent démocrates : entre soif de redevabilité et insatisfaction sociale ». Publié le 31 août, il a été réalisé par le Groupe d’étude sur le Congo (GEC) et Ebuteli, son partenaire de recherche en RDC, avec le Bureau d’études, de recherche et de consulting international (Berci). Le sondage a été réalisé du 25 février au 7 juin 2022 auprès de 5512 personnes âgées de 18 ans et plus. Il a concerné 493 sites d’enquêtes répartis dans les 26 provinces du pays.
Les enquêteurs rappellent qu’en 2016, lorsqu'on demandait aux Congolais de citer les pays jouant un rôle positif au Congo, les répondants plaçaient en tête les États-Unis avec 73,3 %, suivis de la France (71,1 %), de la Belgique (67,4 %), de la Chine (65,4 %) et du Royaume-Uni (65,1%). Les pays africains étaient perçus moins favorablement, surtout les voisins de la RDC. Alors que 61,4 % pensaient que l'Afrique du Sud jouait un rôle positif, les chiffres étaient inférieurs pour l'Angola (49,5 %), la République du Congo (35,7 %), l'Ouganda (15,4 %) et le Rwanda (10,7 %). La cote de popularité de ces deux derniers pays semblent toutefois s’être améliorée par rapport à 2016 : 19 % pour le Rwanda et jusqu’à 32 % pour l’Ouganda.
Suivez les explications de Trésor Kibangula, analyste politique à Ebuteli.ACTUALITE.CD-Le Podcast
RDC: la confiance envers l’occident s’érode, les congolais veulent tenter autre chose ?12:06
RDC: la confiance envers l’occident s’érode, les congolais veulent tenter autre chose ?12:06
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= https://www.radiookapi.net/2022/09/02/actualite/revue-de-presse/forum-des-moise-katumbi-caracole-felix-tshisekedi-degringole
= https://www.forumdesas.net/2022/09/moise-katumbi-caracole-felix-tshisekedi-degringole/
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul # # Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
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