C'EST AUJOURD'HUI SON XVIIIEME SOMMET, L'ORGANISATION INTERNATIONALE DE LA FRANCOPHONIE (OIF,) EST ACCUSÉE DE LAXISME SINON DE DEMiISSION FACE AUX PRÉOCCUPATIONS DE CERTAINS DE SES MEMBRES !
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C'EST AUJOURD'HUI SON XVIIIEME SOMMET, L'ORGANISATION INTERNATIONALE DE LA FRANCOPHONIE (OIF,) EST ACCUSÉE DE LAXISME SINON DE DEMiISSION FACE AUX PRÉOCCUPATIONS DE CERTAINS DE SES MEMBRES !
L'ORGANISATION INTERNATIONALE DE LA FRANCOPHONIE (OIF,) EST ACCUSÉE DE LAXISME SINON DE DEMiISSION FACE AUX PRÉOCCUPATIONS DE CERTAINS DE SES MEMBRES...
Dirigée aujourd'hui par la Rwandaise Mushikiwabo, citoyenne d'un pays qui a renoncé au français pour l'anglais après une nomination notoirement politicienne commanditée par la France, l'OIF serait trop silencieuse face aux accusations d'agression de la RDC par le Rwanda via le M23. Le PM Sama présent à la cérémonie d'ouverture a poussé la contestation jusqu'à refuser de figurer avec Kagame. Kieliekieee on se demande si notre Président voyageur ne lui a pas filé exprès cette patate chaude.
Pas de quoi s'en inquiéter outre-mesure, l'OIF n'est qu'un maillon de la cinquième colonne internationale contre le Congo et si on y ajoute la nationalité de sa SG, on comprend mieux tout.
Le problème revient alors ici comme ailleurs aux moyens que nous devrions mobiliser contre la large communauté qui ne nous veut pas vraiment du bien mais se contente du statu-quo en place trop complaisant envers nos agresseurs...
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul # # Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Dirigée aujourd'hui par la Rwandaise Mushikiwabo, citoyenne d'un pays qui a renoncé au français pour l'anglais après une nomination notoirement politicienne commanditée par la France, l'OIF serait trop silencieuse face aux accusations d'agression de la RDC par le Rwanda via le M23. Le PM Sama présent à la cérémonie d'ouverture a poussé la contestation jusqu'à refuser de figurer avec Kagame. Kieliekieee on se demande si notre Président voyageur ne lui a pas filé exprès cette patate chaude.
Pas de quoi s'en inquiéter outre-mesure, l'OIF n'est qu'un maillon de la cinquième colonne internationale contre le Congo et si on y ajoute la nationalité de sa SG, on comprend mieux tout.
Le problème revient alors ici comme ailleurs aux moyens que nous devrions mobiliser contre la large communauté qui ne nous veut pas vraiment du bien mais se contente du statu-quo en place trop complaisant envers nos agresseurs...
"RDC-M23: l’inquiétant silence de la francophonie - 19 novembre 2022
= https://actualite.cd/2022/11/19/rdc-m23-linquietant-silence-de-la-francophon
88 États et gouvernements : 54 membres, 7 membres associés et 27 observateurs et pas une seule initiative pour tenter de stopper la montée de la violence dans l’Est congolais ces derniers mois. La RDC, faut-il le rappeler, est un géant de l’organisation par le nombre de locuteurs. Kinshasa, sa capitale, est la ville la plus francophone du monde. L’agglomération de plus de 15 millions d’âmes va d’ailleurs abriter les jeux de la francophonie en 2023.
Le 18e sommet de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF) s’ouvre ce samedi sur l'île de Djerba (Tunisie). Il connaîtra la participation d’une trentaine de dirigeants dont le Français Emmanuel Macron et le Canadien Justin Trudeau. Plus de 89 délégations sont attendues dont une trentaine chefs d'Etat et de gouvernement et sept dirigeants d'organisations internationales et régionales. Paul Kagame sera présent comme beaucoup d’autres membres de l’organisation. Félix Tshisekedi a délégué le Premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde. A Kinshasa, les questions se posent sur le rôle de cette institution qui a notamment pour mission la promotion de la paix et des droits de l’homme.
Il faut remonter à début juin pour retrouver une communication formelle de la Secrétaire générale de la Francophonie, Louise Mushikiwabo sur la question. Elle avait déploré « profondément l’escalade des tensions entre la RDC et le Rwanda, consécutive aux dernières exactions commises par le groupe rebelle M23, dans le Nord-Kivu ». Elle avait salué la médiation de l’Union africaine et avait encouragé « toutes les parties prenantes, localement, à s’engager dans cette dynamique de dialogue et de recherche de solutions communes ».
L’un des plus importants pays de l’organisation pouvait s’attendre à mieux. Pourquoi ce long silence ? Louise Mushikiwabo s’est expliquée vendredi sur TV5: « L’OIF, si on était sollicité on serait heureux de mener une mission dans cette région. L’OIF n’est pas que la secrétaire générale. Nous avons une direction politique qui fait du travail un peu partout dans l’espace francophone. Est-ce que c’est vraiment nécessaire aujourd’hui? Nous avons plusieurs initiatives sur cette crise ».
Revenant sur les tensions entre la RDC et le Rwanda, elle a sa lecture: « Il y a des éléments en RDC, juste à la frontière du Rwanda, qui sont une menace pour l a sécurité du Rwanda. A un certain moment, le Rwanda, la RDC, le Burundi, les pays de la région ont décidé qu’il fallait se débarrasser de ces groupes armés. Ceux qui ne veulent pas déposer les armes, on les désarme et on les fait disparaître. Pourquoi cela n’a pas été fait ? C’est cela la question ».
Et d’ajouter:« Si le sommet de l’OIF qui débute aujourd’hui à Djerba en Tunisie ne condamne pas l’agression de la RDC par le Rwanda à travers ses supplétifs de M23, cette institution internationale perd sa raison d’être. Et la RDC n’aura plus aucun intérêt d’y rester membre », tranche d’ailleurs Martin Fayulu à ce propos.« Est-ce qu’on peut retourner sur les accords qui existent depuis plus de dix ans et les mettre en application ? C’est une question de volonté politique. C’est aussi simple que ça. »
"Photo de famille du 18e sommet de la Francophonie: Sama Lukonde refuse de s’afficher aux côtés de Kagame - 19 novembre 2022
= https://actualite.cd/2022/11/19/photo-de-famille-du-18e-sommet-de-la-francophonie-sama-lukonde-refuse-de-safficher-aux
Photo de famille/Sommet de Djerba
Le 18e sommet de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF) s’ouvre ce samedi sur l'île de Djerba (Tunisie). Il connaît la participation d’une trentaine de dirigeants dont le Français Emmanuel Macron et le Canadien Justin Trudeau.
Paul Kagame est présent, mais pas Félix Tshisekedi. Représentant la RDC, le Premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde n’a pas pris à la photo famille refusant de s’afficher aux côtés du président rwandais.
Cette situation rappelle l’acte posé par les délégations occidentales qui avaient refusé de poser aux côtés des délégués russes à l’occasion de la Pre-Cop à Kinshasa.
En participant à ces assises, la RDC compte dénoncer, à travers différents échanges bilatéraux et multilatéraux, « l'agression dont elle fait l'objet de la part de son voisin le Rwanda », dit le compte rendu du conseil des ministres de vendredi dernier
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-113789_ca_chauffe_au_18eme_sommet_de_la_francophonie_sama_lukonde_et_la_delegation_de_kinshasa_refusent_de_s_afficher_sur_la_photo_de_famille_avec_paul_kagame.html
= https://www.radiookapi.net/2022/11/19/actualite/politique/sommet-de-la-francophonie-la-delegation-de-la-rdc-refuse-de-prendre
= https://www.radiookapi.net/2022/11/18/actualite/politique/sama-lukonde-participe-au-18e-sommet-de-la-francophonie-djerba
"La Franco rassemble pour son cinquantenaire en Tunisie sur fond de crises multiples - 19/11/2022
= https://www.france24.com/fr/afrique/20221119-la-francophonie-rassembl%C3%A9e-pour-son-cinquantenaire-en-tunisie-sur-fond-de-crises-multiples
Le 18e sommet de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF) se tient à Djerba, en Tunisie, en présence d'une trentaine de dirigeants. :copyright: Ludovic Marin, AFP
Après deux reports successifs, le 18e sommet de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF) se tient ce week-end à Djerba, en Tunisie en présence d'une trentaine de dirigeants. L'organisation, qui doit faire face à un recul progressif du français, doit aussi échanger sur des sujets plus brûlants comme la guerre en Ukraine.
Un "succès" selon le président tunisien Kaïs Saïed chargé d’accueillir le 18e sommet de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF) sur l'île de Djerba, samedi 19 novembre. La rencontre a été axée sur la coopération économique en présence d'une trentaine de dirigeants.
Si le sommet de deux jours doit officiellement mettre l'accent sur le "numérique comme vecteur de développement", il sera aussi l'occasion pour les dirigeants occidentaux et africains d'échanger sur des sujets brûlants comme l'invasion russe de l'Ukraine sur laquelle un fossé semble les séparer.
De nombreux pays africains déplorent en effet ce qu'ils perçoivent comme un manque de solidarité internationale avec le continent face à ses propres crises, en constatant que l'Europe s'est rapidement mobilisée en revanche pour venir en aide à l'Ukraine.
" Sommet de l’OIF : Bongo Ondimba, Kagame, Ouattara… Les chefs d’État africains en force à Djerba - 18 novembre 2022
= https://www.jeuneafrique.com/1394282/politique/sommet-de-loif-bongo-ondimba-kagame-ouattara-les-chefs-detat-africains-en-force-a-djerba/
Le 18ème sommet de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) se tiendra les 19 et 20 novembre en Tunisie. Une dizaine de présidents africains feront le déplacement...
"Après deux reports consécutifs, le 18e sommet de la Francophonie s'est ouvert à Djerba - 19/11/2022 -
= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20221119-apr%C3%A8s-deux-reports-cons%C3%A9cutifs-le-18e-sommet-de-la-francophonie-s-est-ouvert-%C3%A0-djerba
"Emmanuel Macron en opération diplomatique au sommet de la Francophonie à Djerba -19/11/2022
= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20221119-emmanuel-macron-en-op%C3%A9ration-s%C3%A9duction-au-sommet-de-la-francophonie-%C3%A0-djerba
Le président français Emmanuel Macron va au sommet de la Francophonie après celui de l'Apec, à Bangkok, ici le 18 novembre 2022. :copyright: AP - Rungroj Yongri
Le président français Emmanuel Macron participe, samedi 19 novembre, au sommet de la Francophonie à Djerba en Tunisie, où la communauté francophone se réunit. Il y fait escale sur le chemin du retour de Bangkok, où il avait participé au sommet de l'Apec, et après le G20 de Bali. C'est la fin d'une grosse séquence internationale.[/size]
Avec notre envoyée spéciale à Djerba, Valérie Gas
En deux semaines, Emmanuel Macron s'est rendu à la COP27 en Égypte, au G20 en Indonésie, au forum de Coopération économique Asie-Pacifique (Apec) en Thaïlande, et le voilà en Tunisie pour le sommet de la Francophonie : la dernière étape d'un long périple diplomatique.
Et à Djerba aussi, le président français a l'intention d'évoquer la question de la guerre en Ukraine, dans la session de discussion à huis clos consacrée à l'avenir de la Francophonie. Cela dans l’objectif de mobiliser autour des valeurs partagées par les membres de la communauté francophone : l'organisation de la Francophonie peut avoir un rôle d'influence, explique-t-on dans l'entourage du président.
Emmanuel Macron ne prononcera pas de discours et ne restera pas jusqu'à la fin du sommet, puisqu'il a prévu de rentrer dès le soir en France. Le président de la République profitera donc surtout de son passage à Djerba pour avoir des entretiens bilatéraux avec ses homologues francophones : avec le président tunisien et hôte du sommet Kaïs Saïed, mais aussi avec le Premier ministre arménien Nikol Pachinian et certainement des dirigeants africains.
À l'Élysée, on explique qu'un créneau est réservé pour organiser ces discussions : avant de rentrer à Paris, Emmanuel Macron veut encore essayer d’engranger des soutiens.
► À lire aussi: [url=https://www.rfi.fr/fr/monde/20221118-djerba-l-%C3%AEle-du-vivre-ensemble-h%C3%B4te-du-sommet-de-la-francophonie]Djerba, l’île du «vivre-ensemble», hôte du sommet de la Francophonie[/url
" Sommet de la Francophonie: Emmanuel Macron reconnaît la réalité du recul du français dans le monde - 19/11/2022
= https://www.francetvinfo.fr/culture/patrimoine/francophonie/sommet-de-la-francophonie-emmanuel-macron-reconnait-la-realite-du-recul-du-francais-dans-le-monde_5486790.html
L’avenir de la langue française est au cœur du Sommet de la Francophonie, qui se tient les 19 et 20 novembre à Djerba, en Tunisie, en présence d'Emmanuel Macron et d’une trentaine de chefs d’Etat du monde entier....
= https://actualite.cd/index.php/2022/11/20/la-francophonie-reunie-en-tunisie-pour-renforcer-son-role-international
"Reportage international
Aux Émirats arabes unis, l'essor de la langue française - 20/11/202
= https://www.rfi.fr/fr/podcasts/reportage-international/20221119-aux-%C3%A9mirats-arabes-unis-l-essor-de-la-langue-fran%C3%A7aise
"Comment voit-on la Francophonie à Pékin? 6 19/11/2022
= https://www.rfi.fr/fr/asie-pacifique/20221119-comment-voit-on-la-francophonie-%C3%A0-p%C3%A9kin
"Qu’est-ce que la francophonie ? - 19/11/2022
= https://www.lejdd.fr/International/quest-ce-que-la-francophonie-4148601
L’ANTISÈCHE – Le sommet de la francophonie débute samedi en Tunisie. De quoi s'agit-il ? Chaque jour, l’antisèche du JDD répond à une question pas si bête que ça, pour mieux comprendre l’actualité....
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul # # Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: C'EST AUJOURD'HUI SON XVIIIEME SOMMET, L'ORGANISATION INTERNATIONALE DE LA FRANCOPHONIE (OIF,) EST ACCUSÉE DE LAXISME SINON DE DEMiISSION FACE AUX PRÉOCCUPATIONS DE CERTAINS DE SES MEMBRES !
Louise Mushikiwabo a été confirmée pour un nouveau mandat, réélue par acclamation de tous les Chefs d'État présentset
mais la RDC aurait voulu bloquer sa reconduction au poste de secrétaire général. Elle a pourquoi pas des mobiles légitimes contre son nouveau mais de quels moyens convaincants disposait-elle ?
Déjà elle court le risque de perdre l’organisation des Jeux de la francophonie prévus pour l'année prochaine. Il lui est reproché des tâtonnements, une absence de professionnalisme dans le chef des organisateurs et la carence des résultats dans la préparation des Jeux. Un ultimatum courant jusqu'au 15 décembre lui aurait été signifié pour répondre à une série des garanties concernant des points aussi critiques que l’hébergement, la restauration, les infrastructures sportives et culturelles, la santé, la sécurité, la délivrance des visas et les transports.
Quel malheur, notre cher Congo (de Tshisekedi !?) habitué aux blablas et aux promesses non-tenues !
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul # # Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
mais la RDC aurait voulu bloquer sa reconduction au poste de secrétaire général. Elle a pourquoi pas des mobiles légitimes contre son nouveau mais de quels moyens convaincants disposait-elle ?
Déjà elle court le risque de perdre l’organisation des Jeux de la francophonie prévus pour l'année prochaine. Il lui est reproché des tâtonnements, une absence de professionnalisme dans le chef des organisateurs et la carence des résultats dans la préparation des Jeux. Un ultimatum courant jusqu'au 15 décembre lui aurait été signifié pour répondre à une série des garanties concernant des points aussi critiques que l’hébergement, la restauration, les infrastructures sportives et culturelles, la santé, la sécurité, la délivrance des visas et les transports.
Quel malheur, notre cher Congo (de Tshisekedi !?) habitué aux blablas et aux promesses non-tenues !
"Crise entre la RDC et le Rwanda, coups d’État… Au cœur des premiers débats du sommet de l’OIF - 19:11:2022
= https://www.jeuneafrique.com/1394721/politique/crise-entre-la-rdc-et-le-rwanda-coups-detat-au-coeur-des-premiers-debats-du-sommet-de-loif/
Si l’inauguration officielle du 18ème sommet de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), à Djerba, a eu lieu dans la matinée du 19 novembre, le coup d’envoi a été donné la veille, avec la traditionnelle conférence ministérielle. L’occasion pour les délégations d’aborder les dossiers sensibles du moment.
Le 18ème sommet de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) s’est ouvert le 19 novembre à Djerba, en Tunisie. :copyright: AFP
Soixante-quatorze délégations étaient présentes pour cet évènement, dont le principal objectif est de préparer l’accord sur la future déclaration qui viendra clore le sommet dimanche soir. Le principal thème de la journée a porté sur la problématique de crise dans les pays francophones.À LIRESommet de l’OIF : Bongo Ondimba, Kagame, Ouattara… Les chefs d’État africains en force à Djerba
L’occasion de revenir sur la situation en Arménie et surtout en Ukraine, ce dernier pays ayant rang d’observateur auprès de l’OIF, ainsi que sur celle du Mali, de la Guinée et du Burkina Faso, tous trois pays membres mais absents à Djerba. En plus de condamner fermement les coups d’État et les changements de Constitution qu’ont connus ces trois pays africains, les ministres ont tenté de réfléchir à la manière dont l’OIF pourrait participer à la résolution de ces crises, et avec quelle valeur ajoutée par rapport aux autres intervenants extérieurs.
« Ingérence du Rwanda »
La conférence a également longuement abordé la problématique d’Haïti, s’accordant pour proposer d’envoyer une mission au chevet de ce pays failli des Antilles.
La tension est montée d’un cran, lorsque Didier Mazenga Mukanzu, le ministre de l’Intégration régionale de la RD Congo, s’est formellement plaint « de l’ingérence du Rwanda » dans l’Est du pays, devant Vincent Biruta, le chef de la diplomatie rwandaise. Ce dernier s’est montré « attentif » selon les témoins, rappelant que la région des Grands Lacs est confrontée « à une problématique qui dure et qui doit trouver des solutions négociées ».À LIRERDC : Goma peut-elle à nouveau tomber ?
Désireux d’éviter l’affrontement et affichant une volonté claire de coopérer, les deux camps ont rappelé leur accord de principe à la mise en place d’une force régionale, composée de troupes burundaises, kenyanes et ougandaises. L’ensemble de ces différents sujets devrait faire l’objet de discussions lors du huis-clos qui se déroulera dans l’après-midi du 19 novembre, entre les chefs d’État et de gouvernement.
Macron écourte son séjour
Au niveau des VIP annoncés, le premier président à avoir posé le pied à Djerba le 18 novembre n’est autre que le chef de l’État tunisien, Kaïs Saïed, arrivé en fin d’après-midi sur l’île. Il s’est tout de suite rendu au village de la Francophonie, qu’il était censé inaugurer en personne le 13 novembre, avec la secrétaire générale de l’OIF, Louise Mushikiwabo. Selon certains de ses proches, le président tunisien aurait préféré repousser sa venue dans le Sud du pays, pour ne pas avoir à affronter les manifestations de la population, comme celle qui s’est déroulée à Zarzis, le 18 novembre, sur la question de l’immigration.
Les chefs d’État et de gouvernement sont ensuite arrivés au compte-gouttes jusqu’aux premières heures du 19 novembre, à l’instar d’Emmanuel Macron dont l’avion s’est posé à 6h40 ce matin. Attendu dans un premier temps hier soir, pour inaugurer le nouveau lycée Victor Hugo, ainsi que l’Alliance française de Djerba, le président français a donc préféré écourter son séjour.
En provenance directe de Bangkok, il doit repartir ce soir, dès la fin du huis-clos qui verra la reconduction, pour quatre années supplémentaires, de Louise Mushikiwabo, unique candidate à sa succession. Il prendra quand même le temps de s’entretenir en tête-à-tête avec la secrétaire générale de l’OIF, ainsi qu’avec ses homologues Kaïs Saïed et Évariste Ndayishimiye (Burundi), ou encore avec le Premier ministre canadien, Justin Trudeau.
"18è Sommet de l’OIF : vive altercation verbale entre un ministre congolais et son homologue rwandais - 19.11.2022
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-113801_18e_sommet_de_l_oif_vive_altercation_verbale_entre_un_ministre_congolais_et_son_homologue_rwandais.html
L’atmosphère entre la République démocratique du Congo et le Rwanda reste tendu dans tous les terrains.
Vendredi 18 novembre, lors de la réunion interministérielle en marge du 18è Sommet de la Francophonie ouvert ce samedi à Djerba (Tunisie), le ministre congolais de l’Intégration régionale et Francophonie, Didier Mazenga, et le ministre des Affaires étrangères rwandais, Vincent Biruta, ont eu une vive altercation verbale, apprend INFOS.CD des sources sur place.
L’escalade était telle que la secrétaire générale de l’OIF, Louise Mushikiwabo, a été obligée de demander aux deux ministres de quitter la salle, poursuit notre source.
Au cœur de l’altercation, la demande insistante de la RDC d’insérer dans le communiqué final du Sommet la condamnation du Rwanda pour actes d’agression dans le Nord- Kivu. Ce dont s’est farouchement opposé Vincent Biruta.
Finalement, selon les dernières informations, le communiqué final n’irait pas (encore) dans le sens souhaité par la RDC.
Kinshasa attendait profiter de la tribune du monde francophone pour obtenir une condamnation de Kigali qu’il accuse d’agression sous couvert des rebelles du M23.
Ce samedi, le Premier ministre, Sama Lukonde, qui représente le Président Tshisekedi, a refusé de s’afficher sur la photo officielle de l’ouverture du 18è Sommet aux côtés, entre autres, de Paul Kagame.
Depuis la reprise des hostilités au Nord-Kivu, les relations entre les deux pays sont au plus bas. Le 31 octobre, l’ambassadeur rwandais Vincent Karega a été expulsé par le gouvernement congolais.
A en croire des sources à Djerba, la RDC n’exclut pas de brandir la menace de se retirer de l’OIF si elle n’obtient pas la condamnation du Rwanda. Didier Mazenga et Bestine Kazadi, Représentante personnelle du Chef de l’État près l’OIF, s’activent à arracher, même in extremis, la condamnation du Rwanda.
Mais leur marge de manœuvre reste réduite, à en croire des experts de l’OIF contactés par INFOS.CD. Ces derniers soulignent que la RDC aurait dû s’y employer au moins six mois avant pour mobiliser les organes de l’OIF et les Etats membres non sans une documentation
"Francophonie : Louise Mushikiwabo confirmée pour un nouveau mandat - 20 novembre 2022
= https://www.jeuneafrique.com/1394771/politique/francophonie-louise-mushikiwabo-confirmee-pour-un-nouveau-mandat/
La secrétaire générale de l’OIF a été reconduite dans ses fonctions, non sans avoir fait souffler à Djerba un vent de renouveau sur le 18e sommet de l’institution.
Louise Mushikiwabo, à Paris, le 9 novembre 2022. :copyright: JOEL SAGET / AFP
Pour introduire son discours d’inauguration, la secrétaire générale de l’Organisation internationale de la Francophonie, Louise Mushikiwabo, a choisi de citer Flaubert. Dans Salammbô, le romancier français présente Djerba, en Tunisie, où se tient le 18e sommet de l’OIF, les 19 et 20 novembre, « comme une île merveilleuse, où l’air est si doux qu’il empêche de mourir… ».
De fait, l’institution francophone a de beaux jours devant elle, puisque c’est un véritable vent de renouveau qu’a tenu à incarner la secrétaire générale de l’OIF durant les deux jours de cet événement.
Protocole bousculé
Fidèle à ses promesses, elle a considérablement bousculé le protocole habituel des précédents sommets. Après l’accueil officiel de chaque participant par le président tunisien, Kaïs Saïed, et la patronne de l’OIF, suivie de la traditionnelle photo de famille, seuls les chefs d’État du pays hôte (la Tunisie donc) et de son prédécesseur (l’Arménie), ainsi que la secrétaire générale elle-même, ont pris la parole pour donner le coup d’envoi officiel de l’événement, là où habituellement chaque chef de délégation avait droit à son intervention.
À Lire Sommet de la Francophonie : à Djerba, premiers couacs
Une brièveté heureuse pour le bon déroulé de la journée, d’autant que celle-ci avait démarré avec un certain retard en raison du blocage inexpliqué du président Emmanuel Macron sur le tarmac de l’aéroport international de Djerba pendant plus d’une demi-heure. Arrivé le matin même en provenance directe de Bangkok, où il avait assisté pendant deux jours à un autre sommet, celui de la Coopération économique pour l’Asie-Pacifique (Apec), le chef de l’État français a montré sa satisfaction de retrouver la grande famille francophone, comme en témoigne sa franche accolade avec Louise Mushikiwabo à la sortie de la grosse berline qui l’amenait de l’aéroport.
Vote à l’unanimité
La matinée a été consacrée à la présentation du rapport d’activités de la secrétaire générale, suivie de la première séance plénière sur le numérique, thème officiel de ce 18e sommet. Le reste de la journée s’est ensuite déroulé loin des yeux et des oreilles des médias internationaux, pourtant venus en nombre à Djerba. Pris par un programme très dense, les chefs de délégation n’ont donc pas eu le temps de faire la moindre déclaration, avant de se retrouver l’après-midi pour deux séances à huis-clos, la première consacrée à la Francophonie du futur, la seconde à l’élection du secrétaire général.
À Lire Oria Kije Vande Weghe (OIF) : « Non, Louise Mushikiwabo ne manœuvre pas pour faciliter sa réélection »
Rien n’a filtré du premier huis-clos, alors que le résultat du deuxième était déjà connu d’avance puisque Louise Mushikiwabo était seule candidate à sa succession. Elle a été reconduite à l’unanimité et sous les acclamations des représentants des différentes délégations, semble-t-il conquis par les résultats qu’elle leur avait présentés dans la matinée. Cette dernière réunion a également confirmé la rumeur selon laquelle le 19e sommet de l’organisation se tiendra bien à la fin de l’année 2024 en France.
Aparté Macron-Kagame
Si cette première journée semble s’être « parfaitement déroulée », pour reprendre l’expression utilisée durant sa conférence de presse par la porte-parole de l’organisation, Oria Vande Weghe, elle a néanmoins été marquée par le refus du Premier ministre de la RD Congo, Jean-Michel Sama Lukonde Kyenge, d’apparaître sur la photo de famille aux côtés du président rwandais, Paul Kagame.
Nul doute que la crise actuelle entre les deux pays a été au cœur des discussions entre le président rwandais et Emmanuel Macron. Les deux hommes se sont en effet entretenus en marge du sommet, lors d’un aparté d’une vingtaine de minutes qui n’était initialement pas prévu par les équipes du président français.
"Francophonie: Louise Mushikiwabo réélue, sans surprise - 19 novembre 2022 -
= https://actualite.cd/2022/11/19/francophonie-louise-mushikiwabo-reelue-sans-surprise
Candidate unique à sa succession, la Rwandaise Louise Mushikiwabo a été réélue pour un nouveau mandat de quatre ans comme secrétaire générale de l'Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), au cours du 18e sommet de l’organisation qui s’est ouvert ce samedi sur l'île de Djerba (Tunisie).
88 États et gouvernements : 54 membres, 7 membres associés et 27 observateurs, il s’agit d’un espace de 321 millions de francophones amené à doubler d'ici 2050, essentiellement grâce à l'Afrique.
Ancienne ministre des Affaires étrangères, de la Coopération et de la Communauté de l’Afrique de l’Est de la République du Rwanda, elle avait été auparavant ministre de l’information du gouvernement du Rwanda.
Née en 1961, elle a vécu pendant plus de vingt ans aux USA avant de revenir en Afrique où il aussi travaillé pour la BAD.Rwanda Broadcasting Agency (RBA)
@rbarwanda
URGENT Madame Louise Mushikiwabo dans la Salle. #SommetDjerba2022
8:23 PM · 19 nov. 2022
"OIF: la RDC veut bloquer la reconduction de Louise Mushikiwabo au poste de secrétaire général - 19.11.2022
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-113802_oif_la_rdc_veut_bloquer_la_reconduction_de_louise_mushikiwabo_au_poste_de_secretaire_general.html
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La République démocratique du Congo a résolu de s’opposer à la réconduction au poste de secrétaire général de Mme Louise Mushikiwabo, dont le renouvellement du mandat à la tête de l’organisation internationale de la Francophonie (OIF) constitue un enjeu du 18ème Sommet de cette organisation intergouvernementale en cours jusque demain 20 novembre à Djerba en Tunisie.
Cette option, levée à la suite des propos de la Secrétaire générale de l’OIF sur TV5, constitue une « expression de désapprobation de la partialité de celle qui est tenue de ne prendre parti aux conflits opposant des Etats membres », a confié à INFOS.CD une personnalité congolaise membre de la délégation de la RDC à Djerba.
Cette mesure d’opposions a été prise au cours d’une réunion tard dans la nuit du 18 au 19 novembre autour du Premier Ministre congolais, Chef de la délégation.
A en croire la source au fait du dossier, il avait aussi été convenu le boycott de la cérémonie de photos de famille par le Premier Ministre, en guise de protestation contre l’agression dont la RDC est victime du fait du Rwanda représenté à ce sommet par son chef d’Etat. Chose faite ce samedi.
Au cours d’une interview diffusée hier vendredi par TV5, Louise Mushikiwabo a donné sa lecture de la crise sécuritaire liée au M23 :
« Il y a des éléments en RDC, juste à la frontière du Rwanda, qui sont une menace pour la sécurité du Rwanda. A un certain moment, le Rwanda, la RDC, le Burundi, les pays de la région ont décidé qu’il fallait se débarrasser de ces groupes armés. Ceux qui ne veulent pas déposer les armes, on les désarme et on les fait disparaître. Pourquoi cela n’a pas été fait ? C’est cela la question ».
Et d’ajouter :
« Est-ce qu’on peut retourner sur les accords qui existent depuis plus de dix ans et les mettre en application ? C’est une question de volonté politique. C’est aussi simple que ça. »
La RDC, qui avait résolu de s’abstenir de soutenir la reconduction de Louise Mushikiwabo, a carrément décidé de s’y opposer, martèle notre source, présente aux côtés du Premier Ministre Jean Michel Sama.
Reste à savoir la marge de manœuvre dont dispose Kinshasa pour bloquer le renouvellement du mandat de l’ancienne ministre des Affaires étrangères du Rwanda. La pratique au sein de l’OIF consacre la désignation ou la reconduction du secrétaire général par consensus. En plus, Mushikiwabo est l’unique candidate à ce poste cette année. Elle va, sans aucun doute, être reconduite demain dimanche pour un nouveau mandat de quatre ans.
Louise Mushikiwabo a pris les rênes de l’Organisation internationale de la Francophonie en janvier 2019. Elle est la deuxième femme à occuper ce fauteuil.
L’OIF compte 88 États et gouvernements dont 54 membres, 7 membres associés et 27 observateurs.
"Martin Fayulu appelle la RDC à quitter la Francophonie si elle ne condamne pas l’agression rwandaise - 20.11.2022
= https://actu30.cd/2022/11/martin-fayulu-appelle-la-rdc-a-quitter-la-francophonie-si-elle-ne-condamne-pas-lagression-rwandaise/
Via Twitter, ce samedi, le président national du parti politique Engagement pour la citoyenneté et le développement (ECIDé) affirme que la République démocratique du Congo devrait quitter l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) si elle ne condamne pas l’agression rwandaise.
Pour Martin Fayulu, la RDC n’aura plus aucun intérêt de rester membre de la Francophonie.
« Si le sommet de la Francophonie qui débute aujourd’hui à Djerba en Tunisie ne condamne pas l’agression de la RDC par le Rwanda à travers ses supplétifs de M23, cette institution internationale perd sa raison d’être. Et la RDC n’aura plus aucun intérêt d’y rester membre », écrit-il.
Il sied de noter que le 18ème sommet de la Francophonie se tient à Djerba, en Tunisie, du 18 au 19 novembre. Ces assises se tiennent au moment où Kinshasa accuse Kigali de l’agresser à travers le M23.
"Martin Fayulu : « si le sommet de la Francophonie ne condamne pas l’agression de la RDC par le Rwanda, cette institution internationale perd sa raison d’être » - 19 novembre 2022
= https://www.politico.cd/encontinu/2022/11/19/martin-fayulu-si-le-sommet-de-la-francophonie-ne-condamne-pas-lagression-de-la-rdc-par-le-rwanda-cette-institution-internationale-perd-sa-raison-detre.html/121244/
Une trentaine de dirigeants, dont le Français Emmanuel Macron et le Canadien Justin Trudeau, se réunissent, ce samedi 19 novembre, sur l’île de Djerba (Tunisie), à l’occasion du XVIIIe Sommet de la francophonie. À cet effet, le Président du parti politique Ecidé, l’opposant Martin Fayulu appelle ce Sommet à condamner l’agression de la RDC par le Rwanda à travers ses supplétifs de M23.
Selon lui, si l’OIF ne condamne pas Kigali, cette institution internationale perd sa raison d’être. Et la RDC n’aura plus aucun intérêt d’y rester membre.
« Si le sommet de la francophonie qui débute aujourd’hui à Djerba en Tunisie ne condamne pas l’agression de la RDC par le Rwanda à travers ses supplétifs de M23, cette institution internationale perd sa raison d’être. Et la RDC n’aura plus aucun intérêt d’y rester membre », a-t-il tweeté.
À ce rendez-vous, le Chef de l’État Félix Tshisekedi se fait représenter par le Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde. Son absence est, selon plusieurs sources, motivée par la situation sécuritaire qui prévaut dans l’Est de son pays.
Ce sommet de deux jours, soit les 19 et 20 novembre 2022 est placé sous le thème : « la Connectivité dans la diversité : le numérique, vecteur de développement et de solidarité dans l’espace Francophone ».
Selon une dépêche de la cellule de communication de la primature traitée par POLITICO.CD, Sama Lukonde fera ainsi entendre la voix du pays sur la situation sécuritaire dans l’Est et fera aussi le point sur les IXe jeux de la Francophonie, que la RDC s’apprête à organiser.
Interrogée par la chaîne TV5MONDE sur la crise sécuritaire actuelle entre le Rwanda, son pays et la RDC, la secrétaire générale de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), la rwandaise Louise Mushikiwabo, a plaidé pour l’application des accords signés il y a plus de dix ans entre les pays de la région des Grands lacs pour en finir avec les groupes armés.
« Il y a des éléments, en RDC, juste à la frontière qui sont une menace pour le Rwanda. A un certain moment, la RDC, le Rwanda, l’Ouganda et tous les pays de la région ont décidé de se débarrasser de tous ces groupes armés, ceux qui ne voudraient pas déposer les armes (…). Est-ce qu’on peut retourner sur les accords qui existent depuis plus de dix ans pour les mettre en application ? C’est une question de volonté politique », a-t-elle déclaré.
"La RDC court le risque de perdre l’organisation des jeux de la francophonie
18.11.2022
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-113723_la_rdc_court_le_risque_de_perdre_l_organisation_des_jeux_de_la_francophonie.html
Tâtonnements, absence de professionnalisme dans le chef des organisateurs et carence des résultats sont les maux qui minent la bonne organisation des 9è jeux de la francophonie à Kinshasa. Ces faits inquiétants pourraient coûter à la République démocratique du Congo les jeux.
Selon des informations diffusées par Radio-Canada.info, les organisateurs des jeux de la francophonie ont accordé un sursis d’un mois à Kinshasa pour réunir toutes les conditions nécessaires pour la tenue de cet événement culturel, faute de quoi, l’organisation de ces jeux sera annulée.
« Le Conseil d’orientation du Comité international des Jeux de la Francophonie (Cijf) constate des “avancées significatives”, mais il indique tout de même que “cette dynamique devra être poursuivie, approfondie et consolidée”. Sur ce, un délai d’un mois a été accordé à l’organisation », indique Radio-Canada.info après consultation du rapport publié par le Cijf.
Parmi les documents remis souligne le média canadien, on retrouve des plans opérationnels concernant l’hébergement, la cérémonie, les communications, les infrastructures et le marketing, notamment. Des pourparlers avancés sont en cours avec le Groupe Vivendi pour organiser les cérémonies d'ouverture et de clôture et pour la négociation d’un paquet comprenant notamment la mise à disposition d’un directeur des opérations.
Ce sursis intervient après une visite d’inspection faite par le nouvel administrateur de l’Organisation Internationale de la Francophonie, Geoffroi Montpetit en octobre dernier à Kinshasa. À l’issue de sa visite, les constats suivant ont été faits notamment le non respect du calendrier, dépassement budgétaire, et de sérieux problèmes organisationnels.
Après concertation avec le gouvernement congolais suite à ce manquement, le conseil avait donné à la Rdc jusqu’au 15 novembre pour répondre à une série des garanties concernant des points aussi critiques que l’hébergement, la restauration, les infrastructures sportives et culturelles, la santé, la sécurité, la délivrance des visas et les transports.
3Sommet de Djerba : vers une Francophonie renouvelée où chaque État a sa place - novembre 19, 2022
= https://acpcongo.com/index.php/2022/11/19/sommet-de-djerba-vers-une-francophonie-renouvelee-ou-chaque-etat-a-sa-place/Sommet de
"Djerba : vers une Francophonie renouvelée où chaque État a sa place - novembre 19, 2022
= https://acpcongo.com/index.php/2022/11/19/sommet-de-djerba-vers-une-francophonie-renouvelee-ou-chaque-etat-a-sa-place/
"Louise Mushikiwabo : « Le sentiment antifrançais, de plus en plus visible en Afrique, est un signe des temps » - 20:11:2022
= https://www.lemonde.fr/afrique/article/2022/11/19/louise-mushikiwabo-le-sentiment-antifrancais-de-plus-en-plus-visible-en-afrique-est-un-signe-des-temps_6150665_3212.html
Pour la secrétaire générale de l’Organisation internationale de la francophonie, ce « mécontentement » est peut-être dû au fait que « certains dirigeants restent focalisés sur l’ancienne puissance coloniale »....
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul # # Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: C'EST AUJOURD'HUI SON XVIIIEME SOMMET, L'ORGANISATION INTERNATIONALE DE LA FRANCOPHONIE (OIF,) EST ACCUSÉE DE LAXISME SINON DE DEMiISSION FACE AUX PRÉOCCUPATIONS DE CERTAINS DE SES MEMBRES !
Il est de notoriété que premier mandat de Mme Mushikiwabo à la tête de l'OIF a coïncidé avec une invisibilité de l’action de son organisation à l’international. Il est alors de bonne guerre qu'elle songe à faire mieux dans son mandat prochain. Bingo, la "Francophonie d'avenir qu'elle nous promet s'engage peser sur la résolution des crises dans les pays membres, notamment en Afrique.
Sauf que Mme la SG a introduit ce XVIIIeme sommet en prenant parti pour le Rwanda son pays contre la RDC. N'y-a-t-il pas là meilleur chemin pour ajouter au conflit une crise sur lesquelles la Francophonie entend désormais s'impliquer en solution surtout que son poste exige neutralité. Ailleurs si on peut se satisfaire des gesticulations de notre PM qui doivent plus le rassurer plutôt qu'honorer notre pays, elles n'en paraissent pas moins pour des simagrées obligées, on aurait voulu une prise de position plus décidée à temps et à contre-temps ; dommage. Heureusement certains leaders politiques sont moins cools comme ces sénateurs de l''Union sacrée qui demandent carrément le retrait de notre pays de l'OIF.
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul # # Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Sauf que Mme la SG a introduit ce XVIIIeme sommet en prenant parti pour le Rwanda son pays contre la RDC. N'y-a-t-il pas là meilleur chemin pour ajouter au conflit une crise sur lesquelles la Francophonie entend désormais s'impliquer en solution surtout que son poste exige neutralité. Ailleurs si on peut se satisfaire des gesticulations de notre PM qui doivent plus le rassurer plutôt qu'honorer notre pays, elles n'en paraissent pas moins pour des simagrées obligées, on aurait voulu une prise de position plus décidée à temps et à contre-temps ; dommage. Heureusement certains leaders politiques sont moins cools comme ces sénateurs de l''Union sacrée qui demandent carrément le retrait de notre pays de l'OIF.
Rappelons également que le président congolais, Félix Tshisekedi n’a même pas fait le déplacement, alors que la RDC est pourtant le plus grand pays de la Francophonie. Là aussi, poursuit le membre de la délégation congolaise avec qui nous avons pu nous entretenir, « c’est un message que nous avons voulu passer et nous allons continuer de faire passer des messages de ce genre ».
Ainsi, ce sommet n’aura pas vraiment permis d’apaiser les tensions entre le Rwanda et la République démocratique du Congo. La RDC doit d'ailleurs accueillir, en 2023, les prochains Jeux de la Francophonie. Mais sur ce point, la délégation congolaise s’est voulue plutôt rassurante. « Il faut qu’on arrive à faire la part des choses. Les Jeux de la Francophonie, ce sont (avant tout) les jeunes et la célébration du sport », déclare une source congolaise. « Nous espérons que les efforts diplomatiques en cours vont permettre de régler les problèmes et que cela n’aura aucune incidence sur les Jeux à venir », poursuit cette source.
►À lire aussi : RDC: 10 ans plus tard, le retour du M23 aux portes de Goma
"Tunisie: un 18e sommet de la Francophonie très politique s'achève à Djerba - 20/11/2022
= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20221120-tunisie-un-18e-sommet-de-la-francophonie-tr%C3%A8s-politique-s-ach%C3%A8ve-%C3%A0-djerba
Le sommet de la Francophonie a touché à sa fin ce dimanche soir. Trente et un chefs d’États et de gouvernements y étaient rassemblés. Un sommet ponctué de retrouvailles et de quelques tensions.
Avec notre envoyée spéciale à Djerba, Amira Souilem
Placé sous le signe du numérique et de l’économie, le sommet de Djerba aura pourtant été très politique, mais aussi électrique.
Mal à l’aise avec la situation qui règne en Tunisie depuis que son président s’est octroyé les pleins-pouvoirs en juillet 2021, le Canadien Justin Trudeau a tout fait pour éviter de croiser le maître de Carthage.
Autre différend, celui qui oppose la RDC au Rwanda. Le Premier Ministre congolais allant jusqu’à bouder la photo de famille pour ne pas apparaître sur un même cliché que Paul Kagamé, le président rwandais. Et c’est justement des tensions sur le continent et dans le monde que se sont entretenus les chefs d’États réunis à Djerba. Ils ont évoqué les grands absents : le Mali, la Guinée et le Burkina-Faso qui n’ont pas été conviés à l’évènement à cause des coups d’États militaires qui y ont eu lieu.
Autre sujet de préoccupation : l’Ukraine. Alors que la guerre va entrer dans son dixième mois, le président Volodymyr Zelensky a pu s’adresser par visioconférence à ses homologues des pays francophones.
Un « succès » selon Louise Mushikiwabo
Ce Sommet est pourtant un « succès » selon Louise Mushikiwabo. Un « succès » personnel en tout cas, car la secrétaire générale de l’Organisation Internationale de la Francophonie, de nationalité rwandaise vient d’y être élue pour un deuxième mandat.
On notera aussi la très grande affluence populaire au village de la francophonie. Avec parfois 15 000 visiteurs par jour, il a été une ouverture sur le monde bienvenue pour des Tunisiens qui pâtissent d’une crise politique et économique intense.
Le prochain grand rendez-vous de la famille francophone en France aura lieu en 2024 dans la toute nouvelle Cité internationale de la langue française.
►À lire aussi : Le 18e sommet de la Francophonie marqué par les vives tensions entre le Rwanda et la RDC
"Crise entre la RDC et le Rwanda, coups d’État… Au cœur des premiers débats du sommet de l’OIF -19 novembre 2022
= https://www.jeuneafrique.com/1394721/politique/crise-entre-la-rdc-et-le-rwanda-coups-detat-au-coeur-des-premiers-debats-du-sommet-de-loif/
Si l’inauguration officielle du 18ème sommet de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), à Djerba, a eu lieu dans la matinée du 19 novembre, le coup d’envoi a été donné la veille, avec la traditionnelle conférence ministérielle. L’occasion pour les délégations d’aborder les dossiers sensibles du moment.
Soixante-quatorze délégations étaient présentes pour cet évènement, dont le principal objectif est de préparer l’accord sur la future déclaration qui viendra clore le sommet dimanche soir. Le principal thème de la journée a porté sur la problématique de crise dans les pays francophones.À LIRESommet de l’OIF : Bongo Ondimba, Kagame, Ouattara… Les chefs d’État africains en force à Djerba
L’occasion de revenir sur la situation en Arménie et surtout en Ukraine, ce dernier pays ayant rang d’observateur auprès de l’OIF, ainsi que sur celle du Mali, de la Guinée et du Burkina Faso, tous trois pays membres mais absents à Djerba. En plus de condamner fermement les coups d’État et les changements de Constitution qu’ont connus ces trois pays africains, les ministres ont tenté de réfléchir à la manière dont l’OIF pourrait participer à la résolution de ces crises, et avec quelle valeur ajoutée par rapport aux autres intervenants extérieurs.
« Ingérence du Rwanda »
La conférence a également longuement abordé la problématique d’Haïti, s’accordant pour proposer d’envoyer une mission au chevet de ce pays failli des Antilles.
La tension est montée d’un cran, lorsque Didier Mazenga Mukanzu, le ministre de l’Intégration régionale de la RD Congo, s’est formellement plaint « de l’ingérence du Rwanda » dans l’Est du pays, devant Vincent Biruta, le chef de la diplomatie rwandaise. Ce dernier s’est montré « attentif » selon les témoins, rappelant que la région des Grands Lacs est confrontée « à une problématique qui dure et qui doit trouver des solutions négociées ».À LIRERDC : Goma peut-elle à nouveau tomber ?
Désireux d’éviter l’affrontement et affichant une volonté claire de coopérer, les deux camps ont rappelé leur accord de principe à la mise en place d’une force régionale, composée de troupes burundaises, kenyanes et ougandaises. L’ensemble de ces différents sujets devrait faire l’objet de discussions lors du huis-clos qui se déroulera dans l’après-midi du 19 novembre, entre les chefs d’État et de gouvernement.
Macron écourte son séjour
Au niveau des VIP annoncés, le premier président à avoir posé le pied à Djerba le 18 novembre n’est autre que le chef de l’État tunisien, Kaïs Saïed, arrivé en fin d’après-midi sur l’île. Il s’est tout de suite rendu au village de la Francophonie, qu’il était censé inaugurer en personne le 13 novembre, avec la secrétaire générale de l’OIF, Louise Mushikiwabo. Selon certains de ses proches, le président tunisien aurait préféré repousser sa venue dans le Sud du pays, pour ne pas avoir à affronter les manifestations de la population, comme celle qui s’est déroulée à Zarzis, le 18 novembre, sur la question de l’immigration.
Les chefs d’État et de gouvernement sont ensuite arrivés au compte-gouttes jusqu’aux premières heures du 19 novembre, à l’instar d’Emmanuel Macron dont l’avion s’est posé à 6h40 ce matin. Attendu dans un premier temps hier soir, pour inaugurer le nouveau lycée Victor Hugo, ainsi que l’Alliance française de Djerba, le président français a donc préféré écourter son séjour.
En provenance directe de Bangkok, il doit repartir ce soir, dès la fin du huis-clos qui verra la reconduction, pour quatre années supplémentaires, de Louise Mushikiwabo, unique candidate à sa succession. Il prendra quand même le temps de s’entretenir en tête-à-tête avec la secrétaire générale de l’OIF, ainsi qu’avec ses homologues Kaïs Saïed et Évariste Ndayishimiye (Burundi), ou encore avec le Premier ministre canadien, Justin Trudeau.
"Un éclair dans la grisaille franglophone de Djerba - 21/11/2022
= https://www.forumdesas.net/2022/11/un-eclair-dans-la-grisaille-franglophone-de-djerba/
« Il y a des éléments en RDC juste à la frontière du Rwanda qui sont une menace pour la sécurité du Rwanda« . Pas besoin d’être orfèvre ès exégèse pour classer ces propos dans la catégorie « éléments de langage du Régime rwandais« . Ce discours, tel un disque rayé façon 33 tours, qui sert invariablement d’alibi à Paul Kagamé pour attenter à l’intégrité territoriale de la RDC. Ces FDLR plus fantomatiques que réelles que le Président rwandais n’a pas évoquées lorsqu’il a signé avec son… « ex-frère » l’accord sur l’exploitation de l’or… sur la même frontière.
Le comble, c’est que cette déclaration émane de la secrétaire générale de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF). Il n’en faut pas plus pour se faire sa religion sur le genre d’arbitre que peut être la Francophonie par rapport à la guerre d’agression dans l’Est de la RDC.
De fait, le sommet de Djerba a ressemblé à tous ces fora internationaux où le plaidoyer de Kinshasa est davantage entendu qu’écouté. Il est vrai aussi que le changement de représentante personnelle du chef de l’Etat auprès de la Francophonie étant survenu à la juste veille du sommet ne plaidait pas pour une participation réussie du plénipotentiaire rd congolais.
N’empêche. Premier pays francophone en termes de démographie et de superficie en Afrique subsaharienne, la RDC était en droit d’attendre un engagement plus fort de l’OIF ne fût-ce que sur le front de la condamnation de l’agression rwandaise. Rien de tel vraiment.
A la place, la traditionnelle formulation générique qui sied à Kigali. Le Président Kagamé a toutes les raisons du monde de boire du petit lait de …Masisi.
Anglophone notoire ayant dévalué et presque démonétisé le français sur l’autel du Commonwealth, le voilà qui marque des buts en terre francophone. But marqué à l’étranger comptant double. Son pays n’a pas été explicitement, encore moins formellement condamné pour son intervention illicite en RDC. En plus, cerise sur le gâteau, son ancienne ministre des Affaires étrangères a été plébiscitée pour un deuxième mandat à la tête de l’OIF. Vive la franglophonie !
Un éclair, en guise de consolation, dans cette grisaille automnale de Djerba : ce refus du Premier ministre rd congolais de figurer sur la « photo de famille » où trônait, l’air triomphant et triomphateur, l’autorité morale du M23.
Un coup d’éclat ? Un coup de sang ? Ou… un coup de tête? Assurément un peu de deux premiers. Certainement pas le troisième.
"L’agression de la RDC par le Rwanda a été condamnée à la Francophonie, selon Sama Lukonde -20/11/2022
= https://www.radiookapi.net/2022/11/20/actualite/politique/lagression-de-la-rdc-par-le-rwanda-ete-condamnee-la-francophonie
Le Premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde, représentant personnel du président Félix Tshisekedi au Sommet de la Francophonie, exprime sa satisfaction du fait que la voix de la RDC, qui subit une agression de la part du Rwanda sous-couvert des rebelles du M23, ait été entendue à ces assises. D’après lui, cette agression a été clairement condamnée dans les résolutions prises au cours de ces assises, qui se sont clôturées dimanche 20 novembre à Djerba (Tunisie).
« A côté de cette question sécuritaire, nous avons voulu que les résolutions soient prises et nous remercions ici la Francophonie parce que nous avons pu voir dans les résolutions qui ont été prises, cette condamnation des violences qui sont faites au Congo, ce soutien humanitaire qui doit être apporté, mais surtout au-delà de cette question, la condamnation de tout soutien aux groupes armés et forces négatives qui sévissent en RDC », a indiqué Sama Lukonde.
La participation de la RDC aux assises du XVIIème sommet de la francophonie, souligne-t-il, était une occasion de réaffirmer la position offensive diplomatique de la RDC impulsée par son président Félix Tshisekedi et aussi rappeler la position de la RDC comme grand pays francophone du point de vue démographie.
« Nous espérons qu'avec toutes ces actions, il y aura une convergence pour que finalement nous puissions avoir la paix. Surtout d'abord, parce que nous nous approchons d'une année électorale », a poursuivi le Premier ministre.
Sama Lukonde affirme attendre voir une solidarité impliquant tout le monde afin d'avoir la résolution de cette question sécuritaire et un appui des processus de paix de Nairobi et de Luanda.
Le sommet de la Francophonie s'est achevé dimanche en Tunisie avec l'objectif affiché de peser plus dans le règlement de crises, notamment en Afrique. Interrogée lors de sa conférence de presse sur les tensions entre la RDC et le Rwanda notamment, Louise Mushikiwabo, secrétaire générale de l’OIF, a déclaré : "Toutes les zones de conflit ont été sujettes à de longs débats".
"Les sénateurs de l'Union Sacrée appellent au retrait de la RDC des activités de l'OIF - 21.11.2022
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-113877_les_senateurs_de_l_union_sacree_appellent_au_retrait_de_la_rdc_des_activites_de_l_oif.html
= https://actualite.cd/2022/11/21/rdc-m23-des-senateurs-pro-tshisekedi-appellent-la-suspension-aux-activites-de-loif-et-la
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul # # Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
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