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LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?

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LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?  Empty LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?

Message  ndonzwau 12/1/2023, 3:14 pm

"LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES  : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?

Il y'a peu le PPRD s'activait à définir ses grandes orientations par rapport aux prochaines élections nous promettant un Congrès à cet effet et n'écartait même pas une candidature de 'JK'. Toujours pas de Congrès et le parti a boycotté officiellement l'enrôlement des électeurs. Il a réitéré sa position de ne pas prendre part au processus électoral engagé par l'actuelle équipe de la commission électorale nationale indépendante qu'elle considère toujours non consensuelle et exige toutefois la tenue des élections dans le délai constitutionnel et met en garde contre toute initiative d'écarter certains candidats aux prochains scrutins.

Le parti de Joseph Kabila - et c'est sa liberté et son droit democratisurs de s'exprimer, eût-il été dans le passé  moins exemplaire en cette matière  - estime que l’actuelle équipe de la centrale électorale ne garantit pas la crédibilité du processus électoral en cours. Leurs exigences sont donc une Ceni consensuelle et inclusive où toutes les parties prenantes doivent être représentées et une CC régulière et non aux ordres comme aujourd'hui. Entre-temps les autres partis politiques de l'opposition ont en revanche sensibilisé leurs membres et les ont appelés à s'enroler massivement.
La position du PPRD veut donc pousser les animateurs actuels des institutions à restructurer la Ceni et la CC pour qu'elles deviennent consensuelles et inclusives mais arrivera-t-il à  cette fin, le pouvoir en place restant hostile à toute réforme et contrairement au PPRD, disais-je,  les autres forces politiques et sociales de l'opposition appellent en revanche leurs électeurs à s'enroler et donc à participer massivement aux prochaines élections pour endiguer le verrouillage du processus en cours par le pouvoir en place. Relevons donc que si ces dernières ne refusent pas l'identification et l'enrolement en cours, pour la plupart d'entre elles, elles n'en sont pas moins critiques à la gestion actuelle du pouvoir en place.

Rappelons qu'une démocratie ne peut se passer des élections et se doit d'avoir des structures électorales indépendantes mais les nôtres semblent partisanes, aux ordres d'un pouvoir politique. Alors un PPRD qui appelle ses membres à ne pas s'enroler ne regrettera-t-il pas demain de l'avoir fait ? Est-il que nous risquons ici d'aller vers des elections contestées, quel en serait l'impact socio politique ? Ailleurs, une remise en question des structures électorales est-elle encore possible d'ici le début des élections ? Attendons la suite...



"RDC : le PPRD boycotte l’opération d’enrôlement des électeurs - 10/01/2023
= https://www.radiookapi.net/2023/01/10/emissions/dialogue-entre-congolais/rdc-le-pprd-boycotte-loperation-denrolement-des
Le Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD) a levé, depuis jeudi 5 janvier, l’option de boycotter l’opération d’enrôlement des électeurs en cours.
Les cadres de cette organisation politique ont pris cette décision à l’issue d’une réunion qu’ils ont tenue à Kinshasa sous la direction de leur secrétaire permanent, Emmanuel Shadary Ramazani.

Le parti de Joseph Kabila estime que l’actuelle équipe de la centrale électorale ne garantit pas la crédibilité du processus électoral en cours.
« Nous irons à l’enrôlement lorsque la CENI sera consensuelle car la crédibilité des élections passe par une CENI consensuelle. Toutes les parties prenantes doivent être représentées », a souligné Emmanuel Shadary Ramazani
Question :
- Que pensez-vous de cette position du PPRD au sujet du processus électoral en cours ?[/size]
Invités :
- Ferdinand Kambere, secrétaire permanent-adjoint du PPRD, parti membre du Front commun pour le Congo (FCC). [
- Ntumba Tshiabola Bintu, député national et cadre de l’UDPS, parti membre de l’Union sacrée de la nation. Il est membre de la commission Politique, administrative et juridique de l’Assemblée nationale. Il est élu du territoire de Katanda (Kasaï-Oriental).
-Alain Lomanja, analyste des questions électorales.   

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"Le pari risqué du PPRD - 06/01/2023
= https://www.forumdesas.net/2023/01/le-pari-risque-du-pprd/
Boycott ? Politique de la chaise vide ? Le PPRD en prend le chemin.  Pas d’enrôlement. Donc pas de présence au marathon électoral en cours. 
On peut entendre les préalables de l’ancien parti présidentiel. Le processus électoral souffre, en effet, d’un mal congénital que tout le monde connait par cœur : l’absence de consensus et son corollaire le déficit d’inclusion. Plus spécifiquement, on peut comprendre que l’ex tout puissant parti présidentiel n’ait pas encore digéré le  » coup de Trafalgar  » qui l’a privé de sa majorité parlementaire.


 Seulement voilà, les autres forces politiques et sociales qui faisaient chorus avec la formation politique chère à Joseph Kabila ont su faire contre mauvaise fortune bon cœur. Les deux mastodontes de l’espace confessionnel,  à savoir la CENCO et les hiérarques de l’ECC,  ont mis de l’eau dans leur vin de messe. Beaucoup d’eau au goût de certaines ouailles. Mais, la messe est dite. Le vin,  quoique frelaté, est tiré. Il ne reste plus qu’à le boire.
C’est ce que font tous  les autres partis et regroupements d’opposition qui menaient le même combat que le PPRD. Ils invitent leurs bases respectives à s’enrôler tout en maintenant leurs critiques sur le caractère non consensuel du processus. Ça peut s’appeler boycott actif. En tout cas, ça peut sonner comme du réalisme. Ce principe de réalité- théorisé par le psychanalyste XXL  Freud- qui s’avère l’  antidote par excellence de la politique de la chaise vide. Car, précisément, la formation politique située  croisement des avenues Pumbu et Batetela prend  un pari risqué.

A moins d’avoir plus d’un tour dans leurs manches, ne pas être dans le starting block des élections signifierait, au cas où le  » passage en force  » arriverait à son terme,  être absent du jeu institutionnel dans le prochain quinquennat ! Pas évident que le parti s’en porte mieux au finish. Surtout que, c’est un secret de Polichinelle, le personnel politique rd congolais vit du degré de sa connexion à l’appareil d’Etat.
Ex-champion en boycott, l’UDPS de Fatshi  aurait, en la matière,  quelques conseils à prodiguer au parti de l’ancien  » frère  » et  » partenaire  » qu’il a éjecté du pouvoir et jeté dans l’opposition de la manière que l’on sait. Le parti tshisekediste avait boudé les  élections quasi générales de 2006. Le ciel n’est pas tombé sur la tête des Congolais …


"RDC: l’ancien parti au pouvoir participera-t-il aux élections de décembre 2023? - 07/01/2023
= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20230107-rdc-incertitudes-sur-la-participation-du-pprd-aux-%C3%A9lections-de-d%C3%A9cembre-2023

LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?  RDC%202  
Emmanuel Ramazani Shadary (notre photo) s’est montré très critique envers l’actuel pouvoir qu’il a qualifié de dictatorial, de tribaliste et de corrompu.  :copyright: Pascal Mulegwa/RFI  
 
Cela fait pratiquement deux semaines que la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) a lancé l’opération d’identification et d’enrôlement des électeurs dans les provinces de l’ouest de la RDC. Le gouvernement congolais tient au respect du calendrier électoral pour ces élections prévues en décembre 2023. Le président Félix Tshisekedi l’a d’ailleurs rappelé dans son discours sur l’état de la nation le mois dernier. Du côté de l’opposition, s'il est clair que Lamuka de Martin Fayulu, bien que critique vis-à-vis du processus, va participer, ce n’est pas si clair pour le PPRD, le parti de l’ancien président Joseph Kabila. Son secrétaire permanent Emmanuel Shadary, a jeté le pavé dans la mare, jeudi 5 janvier, à l’issue d’une réunion du comité exécutif du parti à ce sujet et les polémiques continuent.
Avec notre correspondant à Kinshasa, Patient Ligodi

Emmanuel Ramazani Shadary s’est montré très critique envers l’actuel pouvoir qu’il a qualifié de dictatorial, de tribaliste et de corrompu. Selon lui, Félix Tshisekedi est aujourd’hui à la tête d’un État « déliquescent et déstructuré ». Il ne « mériterait pas un second mandat ». Mais le PPRD est très critique aussi envers le processus électoral en cours au point qu’il n’est pas question pour ce parti de participer aux opérations d’identification et d’enrôlement des électeurs dans les conditions actuelles.

Pas de carte d'électeur

En clair, aucun membre de l’ancien parti présidentiel n’aura sa carte d’électeur, si les principales revendications de la famille politique de Joseph Kabila ne sont pas prises en compte. Le PPRD a toujours demandé la recomposition du bureau et de la plénière de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) qui seraient taillés, selon lui, sur mesure au profit de Félix Tshisekedi. 

L'hypothèse du boycott

Certains membres du bureau politique du PPRD vont encore plus loin et n’écartent pas l’hypothèse d’un boycott. « ce ne serait pas un suicide politique mais une question de cohérence par rapport au diagnostic », explique Patrick Nkanga, rapporteur du bureau politique du PPRD. Participera ou participera pas aux prochaines élections ? Tout sera un peu plus clair avec l'organisation du congrès qui devrait se tenir cette année. Aucune date n’est encore fixéé
►À lire aussi : RDC: Jean-Claude Muyambo Kyassa annonce sa candidature à la présidentielle de 2023

"Élections 2023 en RDC: le PPRD insiste sur le respect du délai constitutionnel et l'inclusivité - 6 janvier 2023
= https://actualite.cd/2023/01/06/elections-2023-en-rdc-le-pprd-insiste-sur-le-respect-du-delai-constitutionnel-et

LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?  PPRD%20%20ACTUALITE.CD_

À l'issue d'une réunion autour des questions de l'heure en République Démocratique du Congo, la famille politique de Joseph Kabila a réitéré sa position de ne pas prendre part au processus électoral engagé par l'actuelle équipe de la commission électorale nationale indépendante qu'elle considère toujours non consensuelle. Le Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD) exige toutefois la tenue des élections dans le délai constitutionnel et met en garde contre toute initiative d'écarter certains candidats aux prochains scrutins. 
"En effet, notre position n'a pas changé, je parle ici surtout sur l'enrôlement, les gens disent est-ce qu'il faut aller s'enrôler ? Est-ce qu'il faut patienter ? La position du PPRD est restée la même pour des raisons évidentes, lorsque je parle du PPRD, il y a aussi les amis du FCC, nous avons fait une déclaration d'ensemble, pour la famille politique du Président Kabila. Nous voulons et exigeons que ces élections soient organisées en 2023 au mois de décembre comme nous sommes dans une année électorale, le Président de la République est déjà un Président sortant et qu'en décembre il sera sénateur à vie", a dit jeudi 5 janvier Ramazani Shadary, secrétaire permanent du PPRD.
Et d'ajouter : "Ces élections doivent être inclusives, donc nous ne voulons pas qu'on nous présente ici les motifs fallacieux pour dire tel ne sera pas candidat, on ne peut pas forger des dispositions pour exclure les autres, ça doit être inclusif, transparent et consensuel. Si on exclut un candidat parce qu'il y a ceci, on interprète mal la constitution, là c'est comme si on nous demande d'appliquer l'article 64 de la constitution".
Le camp de Joseph Kabila promet d’aller aux élections “pour balayer la dictature”. “Nous irions aux élections pour balayer ce régime tribaliste, corrompu, nous irons aux élections pour enlever cet État failli, cet État déliquescent, cet État déstructuré, nous irions aux élections pour faire partir les voleurs", a lancé M. Shadary. 
La question relative autour de la candidature de Joseph Kabila a toujours été interprétée de diverses manières. Pour certains scientifiques, notamment des praticiens de droit, Joseph Kabila ne peut plus postuler. 
"Le Président élu, on vous a donné un mandat, un deuxième mandat, vous avez fait ce que vous avez pu faire, vous êtes sénateur à vie mais exercez la plénitude de votre sagesse au sein du parlement plus précisément au Sénat. C'est pour éviter tout le retour des présidents, il part et puis il revient, c'est comme actuellement que le Président Kabila revienne, ça ne se passe comme ça, la constitution  ne prévoit pas ça", avait fait savoir le professeur et constitutionnaliste Eugène Banyaku au cours de l'émission Objectif 2023 d'ACTUALITÉ.CD.
Au cours d'une interview accordée à Jeune Afrique, Raymond Tshibanda, coordonnateur de la cellule de crise du FCC avait fait savoir que Joseph Kabila est le candidat naturel du FCC. "Et rien n’empêche Joseph Kabila d’être candidat. À lui de faire un choix", avait-il soutenu.


"Enrôlement des électeurs, boycott raté pour le PPRD de Kabila - 08-01-2023
= https://lepotentiel.cd/2023/01/08/enrolement-des-electeurs-boycott-rate-pour-le-pprd-de-kabila/

"Elections 2023 : Boycott ? Politique de la chaise vide ? Le pari risqué du PPRD ! - 06.01.2023
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-115735_elections_2023_boycott_politique_de_la_chaise_vide_le_pari_risque_du_pprd.html

= https://www.forumdesas.net/2023/01/enrolement-le-pprd-non-partant/
= https://actualite.cd/2023/01/10/rdc-steve-mbikayi-demande-au-pprd-de-renoncer-sa-decision-visant-boycotter-le-processus
= https://election-net.com/article/rdc-joseph-kabila-pour-le-boycott-des-elections-de-2023
= https://www.jeuneafrique.com/1404090/archives-thematique/lenrolement-des-electeurs-en-rdc-et-les-craintes-de-glissement/
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-115993_apres_le_pprd_l_afbc_de_nene_nkulu_boycotte_le_processus_electoral.html

"RDC: le PPRD de Joseph Kabila se met en ordre de bataille en vue des élections de 2023 - 16/05/2022
= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20220516-rdc-le-pprd-de-joseph-kabila-se-met-en-ordre-de-bataille-en-vue-des-%C3%A9lections-de-2023
Le PPRD, parti politique de l’ex-chef de l'État, prépare son prochain congrès. C’est Joseph Kabila lui-même qui est à la manœuvre. Il a présidé samedi 14 mai une réunion préparatoire au congrès, prévu initialement ce mois de mai, mais qui finalement se tiendra en juin prochain.
Avec notre correspondant à Kinshasa, Patient Ligodi

C’est au cours de ce congrès que le parti va définir les grandes orientations par rapport aux prochaines élections. Parmi les thèmes qui pourront être abordés, il y a la question des alliances possibles. Récemment, le PPRD s’est associé au bloc dit patriotique qui regroupe notamment les organisations citoyennes, les mouvements laïcs et les partis comme l’Ecide de Martin Fayulu qui protestent pour obtenir davantage de consensus autour des réformes électorales en discussion au parlement.

Candidature de Joseph Kabila à la présidentielle ?

Il sera également question au cours du congrès d’échanger sur la problématique des candidatures. Dernièrement, certains proches de l’ancien président avaient évoqué l’éventualité de sa candidature à la présidentielle. Joseph Kabila lui-même ne s'est jamais exprimé sur la question, mais son entourage insiste et affirme qu’il n’a pas encore pris sa retraite politique.
C’est aussi possible de voir les membres du bureau du parti être remplacés pendant ce congrès eu égards aux enjeux politiques de l’heure. Entre-temps, une commission ad hoc a été créée pour préparer la mise en place d’un comité préparatoire du congrès. Elle est composée de cinq membres du bureau politique du PPRD, des membres qui font aussi partie les grandes figures actuelles du parti.
 À lire aussi : La révision de la loi électorale vidée de sa substance pour les initiateurs du texte



" Élections en RDC: le parti de Katumbi promet de ne pas boycotter le processus malgré la « volonté d’organiser la fraude affichée » - 11 janvier 2023
= https://www.congoindependant.com/elections-en-rdc-le-parti-de-katumbi-promet-de-ne-pas-boycotter-le-processus-malgre-la-volonte-dorganiser-la-fraude-affichee/

LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?  Bukavu%20Katumbi7

Après son départ de la coalition au pouvoir (Union sacrée), le parti de Moise Katumbi, Ensemble pour la République se montre de plus en plus avide des élections prévues à la fin de cette année. Ce mercredi, le secrétaire général du parti, Dieudonné Bolengetenge a, dans une communication, exhorté “tous les animateurs de ses structures ainsi que tous les leaders d’opinion ȧ mobiliser la population congolaise de participer massivement aux opérations d’enrôlement”.
Lire: Identification et enrôlement des électeurs : le PPRD se dit non concerné et continue d’exiger la mise en place d’une CENI consensuelle
M. Bolengetenge déclare que sa famille politique ne va pas boycotter les élections en dépit des mécanismes de “fraude” mis en place par le pouvoir, dénonçant ainsi la Commission électorale nationale indépendante (CENI) et la Cour constitutionnelle qui, d’après lui, est « aux ordres ». 
“Face à la volonté d’organiser la fraude affichée et affirmée par certains, décriée et dénoncée par d’autres, nous avons choisi de refuser la résignation, mais de plutôt faire face. Oui, s’il paraît évident que les arbitres de la compétition que sont la CENI et la Cour constitutionnelle notamment, semblent avoir endossé le maillot et s’apprêtent à oeuvrer comme le 12e joueur d’une certaine équipe, Ensemble pour la République s’engage avec l’avantage de jouer devant son public et avec l’appui de celui-ci”, a dit Dieudonné Bolengetenge au cours d’un point de presse. 

Bricolage dans la conduite des affaires publiques 
Comme l’avait déjà fait Moise Katumbi lors de l’annonce de son départ de l’Union sacrée, Dieudonné Bolengetenge a aussi critiqué la gestion actuelle du pays par le régime Tshisekedi jusqu’à qualifier de « bricolage » dans la gestion de la chose publique. 
« La rupture avec la plateforme Union sacrée de la Nation était prévisible, souhaitée pour proposer au peuple congolais un projet politique alternatif face au bricolage auquel on expose le sort de toute une nation qui compte près de 100 millions d’êtres humains (…). Au moment de nous engager dans l’Union sacrée, notre offre de collaboration contenait également un cahier de charges, invitant à des réformes précises pour redresser le pays; malheureusement, ce cahier a probablement fait peur à ceux qui préféraient la navigation à vue », a lâché M. Bolengetenge. 
Ensemble pour la république relève que le pouvoir actuel a démontré son « incapacité » à tenir ses promesses de campagne électorale, notamment l’augmentation significative du budget national.
« …La famille politique Katumbiste avait été la première à dévoiler un programme qui nous engageait à mobiliser l’équivalent de 100 vrais milliards de dollars sur cinq ans, en vue de la reconstruction et de la pause des bases du développement de notre pays. D’autres familles politiques ont essayé de faire des copies plus ou moins  en termes de 85, voire 104 milliards. L’arrivée au pouvoir de certains a, juste mené au constat de leur incapacité de tenir les promesses »
A la suite du départ Moïse katumbi de l’union sacrée de Félix tshisekedi, quelques ministres dans le gouvernement nationale et provincial ont démissionné de leurs fonctions, il s’agissait notamment du ministre des Transports, Cherubin Okende et son collègue du Plan Christian Mwando, qui ont déposé auprès du Chef de l’Etat leurs démissions du gouvernement de la République le 28 décembre dernier. Deux autres membres du gouvernement provincial du Haut-Katanga, membres de Ensemble pour la République, ont aussi jeté l’éponge. 

"Elections générales en RDC: «Ensemble pour la République» appelle les Congolais à se mobiliser pour le scrutin - 12/01/2023
= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20230112-elections-g%C3%A9n%C3%A9rales-en-rdc-ensemble-pour-la-r%C3%A9publique-appelle-les-congolais-%C3%A0-se-mobiliser-pour-le-scrutin


"Le PPRD joue sa survie en 2023, Joseph Kabila reste la grande énigme
= https://exclusifrdc.com/le-pprd-joue-sa-survie-en-2023-joseph-kabila-reste-la-grande-enigme/

"Repli Stratégie ou piège politique ? PPRD: la DYPRO dénonce le schéma du  boycott des élections 2023 ! - janvier 11, 2023
= https://laprosperiteonline.net/repli-strategie-ou-piege-politique-pprd-la-dypro-denonce-le-schema-du-boycott-des-elections-2023/

"RDC-Caricature: le PPRD, vers le boycott des élections ?
= https://actualite.cd/2023/01/07/rdc-caricature-le-pprd-vers-le-boycott-des-elections


"ÉVEIL PATRIOTIK 6.01 : LE PPRD VEUT BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 ? 🥶🥶 KATUMBI DÉMASQUÉ


"
"


Compatriotiquement!


# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul # # Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #

ndonzwau


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LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?  Empty Re: LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?

Message  ndonzwau 19/1/2023, 3:42 pm

DYSFONCTIONNEMENTS ET LENTEURS DANS L'ENROLEMENT DES ÉLECTEURS, APELS A L'ENROLEMENT MASSIF SAUF POUR LE PPRD, PRECAMPAGNE ÉLECTORALE DES POLITIQUES SURTOUT DU POUVOIR... VOILÀ QUE LE PRÉSIDENT DE LA CENI CONFIRME QUE SON INSTITITION "NAVIGUE A VUE". MAIS ENCORE ?!


."RDC-enrôlement bâclé des électeurs : devant un fait accompli, Denis Kadima passe aux aveux et affirme que la CENI « navigue à vue » - 17 janvier 2023
= https://iwebrdc.com/rdc-enrolement-bacle-des-electeurs-devant-un-fait-accompli-denis-kadima-passe-aux-aveux-et-affirme-que-la-ceni-navigue-a-vue/amp/
La Commission électorale nationale indépendante va-t-elle s’avouer vaincue alors que les toutes premières opérations du processus électoral sont en cours depuis le 24 décembre dernier? Jusqu’ici, les opérations d’enrôlement des électeurs se sont révélées un travail mal ficelé. Ici, on décrie l’absence des agents électoraux bien formés, là bas on dénonce la lenteur dans les opérations, ailleurs on se plaint de l’inopérationalisation de plusieurs centres d’enrôlement ou encore d’une logistique défaillante ou inexistante.

Prévues pour un mois dans chacune des aires prévues par la CENI, ces opérations risquent de se tirer en longueur, de bouleverser le chronogramme et de retarder ainsi les prochains scrutins prévus en décembre prochain. Chose que nombreux redoutent déjà au regard de l’avancement de la situation, encore que des soupçons de glissement pèsent depuis le début sur l’équipe Kadima.
Alors que des accusations et des cris plaintifs se multiplient, Denis Kadima, président de la commission électorale refuse de se dédouaner. Il reconnaît les failles et responsabilise son organe.
 
« On devrait commencer par une phase pilote. Ainsi, nous prendrions par exemple une province où nous allons inscrire et enrôler la population pendant un mois ou un peu plus et durant cette phase pilote, des leçons sont tirées de telle façon que tout ce qu’il y a comme problème avec les appareils, sur le plan de la formation, sur le plan du recrutement sont résolus. Mais la particularité du processus en cours, c’est que nous n’avons pas eu le temps de mettre en place une phase pilote. Nous avons commencé d’emblée avec 10 provinces, c’est-à-dire la CENI a navigué à vue. Ça ne signifie pas que nous n’étions pas conscients de ce type de problèmes », explique-t-il à la presse.
Après avoir reconnu les failles, l’équipe Kadima va-t-elle recadrer le tir? En tout cas, il le faut impérativement. La CENI jusqu’à ces jours dénoncée par des acteurs politiques et sociaux est attendue aux résultats qui convainquent. Dès lors qu’on la soupçonne déjà d’être à la solde du régime en place, tout travail bâclé ne ferait que confirmer les suspicions, qu’elles soient fondées ou pas. Pour ainsi sauver les meubles et persuader le peuple qu’elle est effectivement indépendante comme elle n’arrête de le clamer, l’équipe Kadima est condamnée à rendre un service digne de louanges. Contrairement, elle risque de devenir la risée de tout un pays.


"RDC: encore raté ! - 17 janvier 2023
= https://afrique.lalibre.be/75178/rdc-encore-rate/
Denis Kadima, le président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) congolaise chargée d’organiser le scrutin présidentiel et législatif du 20 décembre 2023, vient de reconnaître qu’il “navigue à vue”. Manque de temps, manque de formation du personnel, tensions et insécurité dans certaines régions du pays. L’homme, le grand professionnel de l’organisation des élections, assis à la tête de la Ceni par le président de la République Félix Tshisekedi au mépris des textes légaux, semble découvrir les difficultés inhérentes à la mise en œuvre d’un scrutin dans ce pays-continent qu’est la République démocratique du Congo. Un État qui en est pourtant à son quatrième cycle électoral depuis 2006.

Quatre passages par les urnes pour autant de rendez-vous manqués ?
Cette fois, cinquante millions de Congolais devraient s’enrôler en un temps record pour ce scrutin dans un pays pratiquement sans électricité, sans infrastructures, sans état civil et sans réelle volonté politique, si ce n’est celle de se maintenir coûte que coûte au pouvoir. Arrivé à la tête du pays par défaut, par l’injonction de son prédécesseur mais pas par la volonté du peuple, Félix Tshisekedi et sa bande répètent scrupuleusement, et même avec un zèle débordant, les dysfonctionnements de son prédécesseur. La population congolaise, une fois de plus, est l’otage d’un pouvoir qui ne songe qu’à prolonger son bail à la tête d’une rente exceptionnelle construite sur le dos d’une économie exsangue et d’un peuple miséreux. Et cela sous le regard d’une communauté internationale trop longtemps aveuglée par la seule volonté de se débarrasser de Joseph Kabila.

Quatre ans et quelques jours plus tard, cette cécité sélective doit cesser. Ce pouvoir en place mène le pays au chaos. Nier cette évidence, c’est être complice d’une machination ourdie par une poignée d’hommes et de femmes qui ont érigé le dieu dollar en religion à laquelle s’est convertie une partie d’une classe politique gavée à cet opium vert.

"Élections 2023: les opérateurs politiques et sociaux ont transformé la sensibilisation à l'enrôlement en une campagne électorale précoce, constate Christian Bosembe - 19.01.2023
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-116324_elections_2023_les_operateurs_politiques_et_sociaux_ont_transforme_la_sensibilisation_a_l_enrolement_en_une_campagne_electorale_precoce_constate_christian_bosembe.html
Le Conseil supérieur de l'audiovisuel et de la communication (CSAC) dit constater avec regret, dans un document signé ce mercredi 18 janvier par son président, Christian Bosembe, que la plupart d'opérateurs politiques et sociaux profitent de leur enrôlement pour lancer des messages de campagne précoce.

Le CSAC a demandé à tous les médias oeuvrant en République Démocratique du Congo de rester professionnels et de ne pas relayer lesdits messages dans toutes leurs livraisons.
Il a rappelé, consécutivement à sa recommandation du 15 décembre 2022 relative à la campagne électorale précoce, que diffuser de tels messages sur tous les supports, constitue une violation de la loi. Et que seule la CENI est habilitée à donner le coup d'envoi de la campagne électorale conformément au calendrier édité.

"La CENI cautionne une campagne électorale précoce
=  https://ouragan.cd/2023/01/la-ceni-cautionne-une-campagne-electorale-precoce
La lettre ouverte adressée mardi par la CASE à la commission électorale fait précisément mention du “cautionnement d’une campagne électorale précoce qui se déroule sans vergogne dans le périmètre même des centres d’inscription des électeurs de la CENI”.

Simaro Ngongo Mbayo, président de la CASE basé à Chicago aux États-Unis d’Amérique relève également les insuffisances criantes dans la planification technique de l’opération d’enrôlement des électeurs, lesquelles traduisent le niveau élevé d’impréparation et d’amateurisme du leadership de la CENI à conduire la machine électorale de la RDC, dit-il. “Ce fiasco inqualifiable a été reconnu par Denis Kadima Kazadi au cours d’une interview sur Top Congo FM. En affirmant que la CENI navigue à vue, le leadership de la CENI s’est autodisqualifié”, flagelle-t-il. Et de renchérir qu’idéalement, l’administration électorale congolaise devrait se dessaisir de la gouvernance électorale afin d’aider la nation à stabiliser plus efficacement le processus électoral.

La CENI accentue la crise politique du pays
Simaro Ngongo Mbayo de la CASE déplore la fissure de la plateforme des confessions religieuses de la République démocratique du Congo à la suite de l’élection du président de la CENI sous très haute surveillance politique et financière du pouvoir. “Pour la toute première fois dans l’histoire de la RDC, le nom d’un candidat président de la CENI a divisé les plus importantes communautés religieuses du pays laissant des cassures (plaies) non cicatrisables jusqu’à ce jour”, écrit-il. Poursuivant son plaidoyer, le président de la CASE rappelle que le processus de désignation, entérinement, investiture et installation de l’actuelle équipe dirigeante de la CENI a été entaché d’irrégularités et violations flagrantes des lois de la République. “Le passage en force du président de la CENI et des pseudos délégués de l’opposition en qualité de membres de la centrale électorale, n’a fait qu’accentuer la méfiance vis-à-vis de l’institution de gestion des élections en République démocratique du Congo. Cette crise de confiance ne favorise pas la poursuite régulière du cycle électoral Congolais”, a-t-il indiqué.

Dans le même cheminement, la non-participation déclarée de certains partis de l’opposition politiques aux opérations d’identification et enrôlement des électeurs que la CENI semble prendre à la légère, est signe de la défectuosité avérée de la qualité des élections en cours d’organisation. “Cet état de choses altère la saveur des élections et sacrifie le principe d’inclusivité attendu du processus électoral”, a-t-il prévenu tout en dénonçant le penchant visible de l’actuelle CENI envers les partis et regroupements politiques du pouvoir et son insensibilité vis-à-vis des doléances de l’opposition. Cette attitude, a-t-il soutenu, confisque au processus toutes ses chances de bonne cohésion électorale.

La CASE demande la démission des 15 membrés de la CENI
Le leadership de la CENI étant reconnu dans son obstination à conduire le processus par défi et en faveur d’un seul camp politique, devrait se ressaisir en levant des options courageuses de sauvetage du processus électoral, observe la CASE. Entre autres options fondamentales, suggérées à la CENI par la CASE figure la proposition de “démission collective des 15 membres de la CENI et leur remplacement par des personnalités issues d’une procédure régulière de désignation par les entités concernées”. La CASE revient sur sa recommandation consistant à demander à la CENI la suspension préventive de l’opération d’identification et enrôlement des électeurs afin de corriger les imperfections techniques et opérationnelles qui handicapent ladite opération. “Il est préférable que la CENI prochainement recomposée change de fournisseur de la carte d’électeur pour doter l’institution des équipements fiables et plus modernes offrant une carte d’électeur moins polémique”, a déclaré Simaro Ngongo Mbayo. Il révèle que la conduite de l’opération d’identification et enrôlement des électeurs par l’actuelle CENI n’est pas appréciée par tous les partis politiques de la majorité et que certains leaders de l’Union sacrée n’ont pas hésité de dénoncer les insuffisances techniques, logistiques et technologiques dans les centres d’inscription.


[size=16]"CENI : le PRP qualifie le processus électoral en cours de "mediocre" que la RDC n'ait jamais connu - 10/01/2023

= https://congorassure.cd/politique/2023/01/10/ceni-le-prp-qualifie-le-processus-electoral-en-cours-de-mediocre-que-la-rdc

LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?  WhatsApp%20Image%202023-01-10%20%C3%A0%2015.08.26

Face à l'actualité de l'heure, le Parti de la Révolution Populaire, PRP en sigle, parti cher au feu Président et Héros National, Mzée Laurent Désiré Kabila, Membre du Front Commun pour le Congo (FCC), tient à informer l'opinion tant National qu'international et l'ensemble de ses membres et militants, que, le processus électoral en cours engagée par la CENI, est l'un des processus le plus médiocre que la RDC n'ait jamais connu.
En conséquence, le PRP n'ira pas aux élections avec :
  • L'actuelle CENI d'abord non consensuelle, puis, non professionnelle;
  • L'actuelle cours Constitutionnelle taillée sur mesure au profit d'un camp politique;
  • L'actuelle loi Electorale non inclusive et fabriquée de toutes pièces.

Dans un communiqué rendu public mardi 10 janvier 2023, le PRP invite, d'une part, le peuple Congolais à réclamer des élections inclusives, transparentes, crédibles et apaisées dans le délai constitutionnel, et d'autres part, aux gouvernants actuels d'arrêter le passage en force, mais à privilégier au plus vite, la voie de consensus pour l'intérêt supérieur de la Nation.
Toutefois, le PRP se réserve le droit, conformément à l'article 64 - alinéa 1 de la constitution de la RD Congo, de mobiliser toute la population Congolaise aux fins de protéger la jeune démocratie qui risque d'être enterrée par la mauvaise gouvernance actuelle.


"CENI : La Révision du Fichier Électoral au cœur des échanges entre Denis Kadima et la Mission d'observation électorale CENCO-ECC - 18 janvier 2023
= https://une.cd/ceni-la-revision-du-fichier-electoral-au-coeur-des-echanges-entre-denis-kadima-et-la-mission-dobservation-electorale-cenco-ecc

"RDC: plusieurs pays occidentaux appellent à la transparence du processus électoral - 08/12/2022
= https://amp.rfi.fr/fr/afrique/20221208-rdc-plusieurs-pays-occidentaux-appellent-%C3%A0-la-transparence-du-processus-%C3%A9lectoral

"Monnayage de l’enrôlement des électeurs : la CENI attend des preuves pour sanctionner - 19/01/2023
= https://www.radiookapi.net/2023/01/19/actualite/politique/monnayage-de-lenrolement-des-electeurs-la-ceni-attend-des-preuves

"Élections en République Démocratique du Congo : quels défis pour 2023 ? - décembre 19, 2022
= https://www.justicepaix.be/elections-en-republique-democratique-du-congo-quels-defis-pour-2023/




"INVITÉ AFRIQUE
Présidentielle en RDC: «Si on respecte les délais, c’est clair qu’on aura des résultats bâclés», selon Ithiel Batumike - 19/10/2022

= https://www.rfi.fr/fr/podcasts/invit%C3%A9-afrique/20221019-pr%C3%A9sidentielle-en-rdc-si-on-respecte-les-d%C3%A9lais-c-est-clair-qu-on-aura-des-r%C3%A9sultats-b%C3%A2cl%C3%A9s-selon-ethiel-batumik%C3%A9
.
"RDC: le point sur les préparatifs des élections de 2023 - 13/07/2022
= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20220713-rdc-le-point-sur-les-pr%C3%A9paratifs-des-%C3%A9lections-de-2023
= https://afrique.lalibre.be/74544/rdc-dans-un-an-jour-pour-jour-les-congolais-doivent-choisir-leur-nouveau-president/

= https://www.congoindependant.com/elections-2023-diaspora-des-femmes-de-lecide-sur-pied-de-guerre/
= https://www.congoindependant.com/precampagne-2023-le-propos-du-ministre-budimbu-est-deshumanisant-humiliant-et-degradant/
= https://www.congoindependant.com/elections-2023-muzito-desapprouve-la-pratique-des-alliances-juste-pour-combattre-un-adversaire-politique-a-la-place-delaborer-un-programme-commun/


"RDC : Olive Lembe ou Joseph Kabila version parole -
 janvier 18, 2023

= https://infos.cd/actualite/politique/rdc-olive-lemb


"
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ndonzwau


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LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?  Empty Re: LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?

Message  ndonzwau 20/1/2023, 9:16 pm

MALGRÉ UNE OPÉRATION JUGÉE CHAOTIQUE PAR TOUS, LA CENI DÉCRÈTE LA FIN DE L'ENROLEMENT DES ÉLECTEURS AU 23 JANVIER DANS LA PARTIE OUEST. LE DELAI DE 30 JOURS FIXÉ  ÉTAIT DÉJÀ TRÈS LIMITE MAIS LA CENI TIENT À CES PRÉVISIONS IRRÉALISTES, EST-CE UNE VOLONTÉ POLITICIENNE  DÉLIBÉRÉE DE RESTREINDRE LE NOMBRE D'ENROLES ? ÇA Y RESSEMBLE BEAUCOUP ; LES CONGOLAIS VONT-ILS LAISSER FAIRE ? ATTENDONS LES SUITES...

Après  des lenteurs  prises dans ses préparatifs la Ceni s'est rabattue sur un enrôlement éclair de 3 mois au lieu de 20 mois initialement prévus, soit un mois pour chaque zone taillée sur mesure de près  de 20 millions d'électeurs prévisibles. Un étiage autant irréaliste (le mois prévu pour chaque zone est nettement insuffisant)  que suspect et il s'est déjà signalé par de nombreux dysfonctionnements (nombre insuffisant de machines, incompence et monnayage suprenant des agents, ouverture tardive des bureaux, difficile repérage des centres d’enrôlement, mauvaise qualité des photos sur les cartes d’électeurs. Tout cela alimente le doute sur le respect du calendrier électoral.

Des estimations crédibles nous donnent 20% d'enroles, saura-t-on faire mieux d'ici moins d'une semaine la fin de l'enrolement ? Tout serait orchestré par le régime en place pour minimiser l’engouement des électeurs à s’enrôler dans les régions où le président sortant ne serait pas assez populaire, disent certains. Comment va réagir la population ? Attendons la suite...



"Enrôlement des électeurs : la fin de l’opération confirmée pour ce 23 janvier dans l’Ouest du pays - 19/01/2023
= https://www.radiookapi.net/2023/01/19/actualite/politique/enrolement-des-electeurs-la-fin-de-loperation-confirmee-pour-ce-23
Le directeur des opérations à la CENI, Joseph Senda a confirmé, jeudi 19 janvier, la fin de l’opération d’enrôlement des électeurs pour le 23 janvier courant dans la première aire opérationnelle.

Il a fait cette confirmation au cours de l’émission « Dialogue entre Congolais » de Radio Okapi.[/size]
Joseph Senda a toutefois précisé que les retards enregistrés dans certains centres d’identification, seront récupérés au cas par cas pour que chacun puisse totaliser 30 jours.
« Nous avons dit que nous tiendrons compte de nombre de jours perdus pour une raison ou pour une autre. Ces jours devront être rattrapés. Si du 24 décembre jusqu’à la fin de la période, nous aurons un centre d’inscription qui a perdu cinq, nous allons lui accorder ses cinq jours pour qu’il totalise ses 30 jours. Chaque Centre d’inscription a droit à 30 jours et devra consommer ses 30 jours », a-t-il expliqué.
Si au 23 janvier courant, un centre d’inscription totalise 30 jours sans avoir fermé, la CENI entend prendre des dispositions pour satisfaire les retardataires.

« Nous avons 14 jours que nous ajoutons pour gérer les derniers enrôlés parce que lorsque les gens sont enrôlés il y a des listes qui restent affichées pendant 7 jours. Au dernier jour, nous allons accorder 7 jours d’affichage aux dernières listes et pendant ce temps-là nous pouvons recevoir les réclamations », a poursuivi Joseph Senda.
La CENI a par ailleurs précise qu’au-delà de la date butoir, elle ne pourra recevoir que les requérants qui auraient reçu des jetons bien avant.
= https://www.politico.cd/encontinu/2023/01/20/rdc-la-ceni-confirme-la-fin-denrolement-des-electeurs-dans-louest-et-le-nord-est-pour-ce-23-janvier.html/126602/

"RDC : L'opposition juge « chaotique » l’opération d’enrôlement des électeurs - 19/01/2023
= https://www.radiookapi.net/2023/01/19/emissions/dialogue-entre-congolais/rdc-lopposition-juge-chaotique-loperation-denrolement
La plate-forme politique de l’opposition LAMUKA a estimé, il y a quelques jours, que l’opération d’enrôlement des électeurs est « chaotique et chaotique et désastreux ».

Elle dit avoir révélé plusieurs anomalies dans le déroulement de cette opération, entamée depuis plus de trois semaines, dans les provinces de la partie Ouest du pays.
Il s’agit de : Kinshasa, Kwango, Mai-Ndombe, Nord et Sud Ubangi, Équateur, Kongo-Central, Kwilu, Mongala et Tshuapa.
La durée de 30 jours prévue paraît courte alors que les opérations sont très lentes, selon Lamuka. La CENI entend enrôler environ 20 millions d’électeurs dans cette première phase.

Question :
- A quatre jours de la fin de l’opération d’identification et d’enrôlement, que pensez-vous du déroulement de ces opérations ?
Invités :
-Joseph Senda, directeur des opérations à la Commission électorale nationale indépendante (CENI).
-Cherubin Okende, député national élu de la Lukunga (Kinshasa). Il est aussi cadre du parti politique Ensemble pour la République.
-Dieudonné Mirimo, expert électoral. Il est secrétaire général de l’Ecole de formation électorale en Afrique Centrale (EFEAC) et ancien rapporteur de la Commission électorale indépendante (CEI).
 

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"Processus électoral en RDC : l’ONG I-REVE juge insuffisant le délai d’un mois pour les opérations d’enrôlement des électeurs -  22/12/2022
= https://www.radiookapi.net/2022/12/22/actualite/politique/processus-electoral-en-rdc-long-i-reve-juge-insuffisant-le-delai-dun
L’initiative pour les reformes, la réussite et la viabilité électorale (I-REVE) juge insuffisant le temps d’un mois prévu pour les opérations d’enrôlement des électeurs qui démarre le 24 décembre dans quelques circonscriptions électorales en RDC et dans la diaspora, selon le calendrier publié par la Commission électorale nationale indépendante (CENI).
Cette inquiétude est contenue dans un communiqué de presse de cette structure électorale non étatique parvenu mercredi 21 décembre à Radio Okapi.
Pour I-REVE, le calendrier électoral est très compressé, ne donnant pas suffisamment de temps aux électeurs de se faire enrôler.


Contrairement aux élections de 2018 qui avaient consacrés trois mois aux opérations d’enrôlement, note l’I-REVE, l’actuel calendrier n’y alloue qu’un seul mois.
Cela parait insuffisant pour garantir une participation massive au processus, au regard, entre autres de la vétusté des infrastructures, l’enclavement physique et sécuritaire de la plupart des milieux ruraux du pays, souligne cette ONG.[
Toutes fois, I-REVE salue une innovation dans ce cycle électoral, celle de l’organisation combinés des scrutins locales, municipales et urbaines.
Elle souligne que cela est une première.
I-REVE relève, en revanche, que « la date du scrutin, le 20 décembre 2023, est un mercredi et donc illégale, au regard de l’article 52 de la loi électorale qui parle d’un jour férié ou d’un dimanche pour rendre plus souple et inclusive la participation aux élections ».

En outre, elle attire l’attention de la CENI, sur le fait « qu’il n’est pas envisageable d’organiser le vote des sénateurs le 24 février 2024, avant de finaliser le traitement des recours aux élections législatives provinciales, donnant lieu aux résultats définitifs. C’est qui pourrait remettre en cause la légitimité des sénateurs ». 
Par ailleurs, I-REVE appelle tous les partenaires à ce processus électoral à intensifier la sensibilisation de la population, par des actions d’éducation civique et électorale en vue « d’un vote suffisamment informé et librement consenti des prochains dirigeants ».

"RDC: prolonger la durée de l'enrôlement ne va pas impacter sur le calendrier si la CENI prend en compte les difficultés soulevées (ECC-CENCO) - 20 janvier 2023
= https://actualite.cd/2023/01/20/rdc-prolonger-la-duree-de-lenrolement-ne-va-pas-impacter-sur-le-calendrier-si-la-ceni
La mission d'observation électorale ECC-CENCO sollicitent la prolongation de la durée des opérations d'identification et d'enrôlement des électeurs dans les centres qui ont connu des problèmes à  la première aire opérationnelle. Toutefois, les deux confessions religieuses rassurent que leur demande n'aura pas d'impact sur la suite du calendrier de la commission électorale nationale indépendante (CENI).
Pour les catholiques et les protestants, si les difficultés évoquées pour la première aire opérationnelle sont réglées, cela va faciliter les choses dans la suite du processus notamment dans les 2e et 3e aires opérationnelles.

" La proposition faite par la CENCO et l'ECC de prolonger la date de la fin de l'enrôlement pour les bureaux qui ont ouvert en retard, pour les bureaux qui ont connu des difficultés telles que les pannes de machines ne doit pas impacter sur la durée ou le calendrier électoral dans la mesure où nous sommes à la première aire. Si la CENI prend en compte les difficultés observées maintenant, si elle prend les dispositions pour améliorer ces difficultés, nous ne les connaîtrons pas au même degré à la 2e et à la 3e aire. Donc on peut prolonger pour la première aire tout en espérant que pour les 2e et 3e aires, la CENI sera aguerrie pour qu'on évolue dans le respect du calendrier ", a dit devant la presse ce jeudi 19 janvier Monseigneur Donatien Nshole, SG de la CENCO. 
Relire: RDC: catholiques et protestants plaident pour le prolongement de la période d’enrôlement des électeurs et s’insurgent contre tout glissement du calendrier électoral 
À la question de savoir, prolonger mais pour combien de temps exactement ? Le secrétaire général de la CENCO explique :
" Par rapport aux difficultés observées, un bureau qui a commencé avec un retard d'une semaine, deux semaines, c'est tout à fait normal qu'on lui accorde une ou deux semaines. Un bureau qui a connu des pannes de machines pendant 2, 3 jours, on doit en tenir compte. Donc avec le rapport détaillé, la CENI saura ou alors une moyenne pour permettre que tout le monde soit à l'aise mais cela ne devrait pas nécessairement impacter sur le calendrier global ", a-t-il ajouté. 
Le rapport à mi parcours de la mission d'observation ECC et CENCO prend en compte la période du 27 décembre 2022 au 13 janvier 2023. Il a été remis à Dav Banza, directeur de cabinet adjoint du président de la CENI. 
  • Enrôlement des électeurs dans AO1: dysfonctionnement des kits, achat de service, inexistence de certains centres repris dans la cartographie… CENCO et ECC évaluent à mi-chemin l’opération
  • Enrôlement des électeurs en RDC : la MOE ECC-CENCO appelle le gouvernement à se rassurer de l’exécution “convenable” du rôle des agents de l’ordre dans les C.I



"Enrôlement-AO1 : à quelques jours de la fin de l'opération, l'opinion devrait être fixée sur le nombre estimatif des personnes enrôlées, d'après CENCO et ECC -  20 janvier 2023
= https://actualite.cd/index.php/2023/01/20/enrolement-ao1-quel


"RDC: catholiques et protestants plaident pour le prolongement de la période d’enrôlement des électeurs et s’insurgent contre tout glissement du calendrier électoral - 20 janvier 2023
= https://actualite.cd/index.php/2023/01/20/rdc-catholiques-et-protestants-plaident-pour-le-prolongement-de-la-periode-denrolement

"Enrôlement en RDC : Ensemble pour la République dit constater des lenteurs et met en garde contre un glissement -  19 janvier 2023
= https://actualite.cd/2023/01/19/enrolement-en-rdc-ensemble-pour-la-republique-dit-constater-des-lenteurs-et-met-en-garde

"Et si le glissement était désormais inéluctable en RDC ? - 20 janvier 2023
Par Roger-Claude Liwanga
Chercheur à l'université Harvard, professeur de droit et de négociations internationales à l'université Emory

= https://www.jeuneafrique.com/1409721/politique/et-si-le-glissement-etait-desormais-ineluctable-en-rdc/
Il était censé rassurer les Congolais sur la tenue des élections présidentielle et législatives à la fin de 2023. Lancé le 24 décembre dernier, l’enrôlement éclair des électeurs révèle plutôt de nombreux dysfonctionnements et alimente le doute sur le respect du calendrier électoral.

LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?  Jad20230119-edito-rdc-ceni-denis-kadima-1256x628-1674146775
Denis Kadima, le président de la Ceni, le 24 décembre 2022 lors du début de l’enrôlement en vue de l’élection présidentielle de décembre 2023. :copyright: REUTERS/Justin Makangara

Depuis presqu’un mois, la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) a choisi de s’engager dans une véritable « blitzkrieg » afin de mener à bien l’opération d’enrôlement des électeurs en vue des scrutins présidentiel et législatifs prévus à la fin de 2023.
Concept allemand signifiant « guerre éclair », la « blitzkrieg » décrit une tactique visant à remporter une victoire rapide ou décisive grâce à un engagement localisé et limité dans le temps. C’est bien à cette stratégie que la Ceni semble recourir pour boucler le processus d’identification des électeurs dans les délais constitutionnels et permettre la convocation de ces derniers en octobre pour des scrutins présidentiel et législatifs avant la fin de décembre.

Des dysfonctionnements à la pelle
La Ceni avait initialement fixé à octobre 2021 le début du recensement des électeurs sur l’ensemble du territoire congolais. Selon sa feuille de route, l’opération devait durer environ vingt mois. Mais, pour de multiples raisons, elle n’a finalement pu en donner le coup d’envoi que quatorze mois plus tard, le 24 décembre 2022. De plus, l’opération concerne d’abord dix provinces de l’ouest de la RDC– dont Kinshasa, la capitale – et doit se faire en 30 jours seulement.
À LIREEn RDC, la présidentielle pourra-t-elle vraiment se tenir le 20 décembre 2023 ?
Quelques jours après le début de l’enrôlement, des dysfonctionnements ont été relevés à la pelle presque partout sur le terrain. Des citoyens congolais déplorent ainsi le nombre insuffisant de machines, la mauvaise qualité des photos sur les cartes d’électeurs, l’ouverture tardive des bureaux, le difficile repérage des centres d’enrôlement.
Pis, une vidéo publiée dans les réseaux sociaux témoigne d’un surprenant appel à contribution financière adressé par des agents de la Ceni aux Congolais venus se faire enrôler, pour l’achat du carburant destiné aux groupes électrogènes qui alimentent les machines d’enrôlement.

À ce jour, peu d’électeurs ont être recensés. À Kinshasa notamment, près d’un million d’électeurs seulement ont été enrôlés en dix jours, ce qui représente, en moyenne, 100 000 électeurs par jour, selon Didi Manara Linga, deuxième vice-président de la Ceni. Or, d’après les estimations des experts, il devrait y avoir environ 6 millions d’électeurs à Kinshasa pour les élections de 2023. Ils étaient près de 5 millions lors des scrutins de 2018. Ce qui implique mathématiquement qu’à la vitesse à laquelle elle travaille, la Ceni a besoin d’environ 50 jours pour parachever l’identification des électeurs qui ne sont pas enregistrés à Kinshasa.

Violation du calendrier
La Ceni est-elle en mesure d’enrôler tous les électeurs des dix provinces de l’ouest du pays et particulièrement ceux de Kinshasa avant le 25 janvier 2023 ? Nous acheminons-nous lentement vers une première violation du calendrier électoral par la Ceni elle-même, l’extension de la période d’enrôlement étant une éventualité à prendre en compte ? La Ceni s’en tiendra-t-elle au strict respect de ce fameux calendrier, prenant ainsi le risque d’ignorer les électeurs qu’elle n’aura pas identifiés dans les prochains jours ?
À LIRE RDC : quelles règles du jeu pour les élections de 2023 ?
Pour nombre d’analystes politiques, ces couacs et ces interrogations étaient prévisibles. Ils auraient pu être réglés. L’impréparation de la Ceni et la chicheté des moyens mis à sa disposition par le gouvernement ne l’ont pas permis. Pour ces analystes, tout serait orchestré par le régime en place pour minimiser l’engouement des électeurs à s’enrôler dans les régions où le président sortant ne serait pas assez populaire. Y aurait-il, a contrario, des machines plus performantes ou des centres d’enrôlement plus accessibles dans les zones acquises au président sortant ? Bien malin qui peut y répondre.
En tout état de cause, il faut être bien organisé pour tirer profit de la stratégie de la blitzkrieg. La Ceni doit apprendre  du fiasco des scrutins de 2018 et s’assurer du bon déroulement de l’identification et de l’enrôlement des électeurs. C’est le seul moyen de retrouver la confiance du public envers ce processus électoral.


"L’enrôlement des électeurs en RDC et les craintes de glissement - 26 décembre 2022
= https://www.jeuneafrique.com/1404090/archives-thematique/lenrolement-des-electeurs-en-rdc-et-les-craintes-de-glissement/
= https://www.jeuneafrique.com/1407629/politique/en-rdc-la-presidentielle-pourra-t-elle-vraiment-se-tenir-le-20-decembre-2023/

"RDC : le difficile enrôlement des électeurs - 20/01/2023
= https://m.dw.com/fr/rdc-ceni-cenco-ecc-enrolement-electeurs/a-64461756

"En RD Congo : enrôlement des électeurs, un processus lancé jusqu'en février prochain - 12/01/2023
= https://www.boursorama.com/videos/actualites/en-rd-congo-enrolement-des-electeurs-un-processus-lance-jusqu-en-fevrier-prochain-164cf8fbf245ada6cf900329e6a6cff2

"Enrôlement des électeurs :prolongations inévitables - 13 janvier 2923
= https://lephareonline.net/2023/01/13/enrolement-des-electeurs-prolongations-inevitables/


"Inquiétude sur le processus d’enrôlement des électeurs - 12 janvier 2023
= https://b-onetv.cd/inquietude-sur-le-processus-denrolement-des-electeurs/

"Focus de la semaine : Quels rôles pour les témoins et observateurs pdt l’enrôlement des électeurs ? - NOV 14, 2022
= https://voxcongo.info/2022/11/14/focus-de-la-semaine-quels-roles-pour-les-temoins-et-observateurs-pdt-lenrolement-des-electeurs/

"RDC/Enrôlement des électeurs : un réseau des vendeurs de fausses “cartes d’électeurs” démantelé à Kinshasa - 05/01/2023
= https://jambordc.info/rdc-enrolement-des-electeurs-un-reseau-des-vendeurs-de-fausses-cartes-delecteurs-demantele-a-kinshasa/

"Kwango: presque un mois après, l'enrôlement des électeurs n'a toujours pas débuté à Mawanga, Kibunda, Panzi et Tembo -  20 janvier 2023
= https://actualite.cd/2023/01/20/kwango-presque-un-mois-apres-lenrolement-des-electeurs-na-toujours-pas-debute-mawanga

"Enrôlement des électeurs en RDC : la MOE ECC-CENCO appelle le gouvernement à se rassurer de l’exécution “convenable” du rôle des agents de l’ordre dans les C.I - 19 janvier 2023
= https://actualite.cd/2023/01/19/enrolement-des-electeurs-en-rdc-la-moe-ecc-cenco-appelle-le-gouvernement-se-rassurer-de


"Ouest de la RDC: les églises relèvent des manquements dans l’identification et l’enrôlement des électeurs - 20/01/2023
= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20230120-ouest-de-la-rdc-les-%C3%A9glises-rel%C3%A8vent-des-manquements-dans-l-identification-et-l-enr%C3%B4lement-des-%C3%A9lecteurs

"RDC : L’enregistrement des électeurs est chaotique, peut-on encore éviter un glissement ?
6 janvier 2023

= https://afrique.lalibre.be/75139/rdc-lenregistrement-des-electeurs-est-chaotique-peut-on-encore-eviter-un-glissement/

"Au chevet du processus électoral…  - 20/01/2023
= https://www.forumdesas.net/2023/01/au-chevet-du-processus-electoral/6

"Le décor des élections chaotiques se dessine -20/01/2023
= https://www.forumdesas.net/2023/01/le-decor-des-elections-chaotiques-se-dessine/
= https://www.forumdesas.net/2023/01/la-cenco-et-lecc-reclament-la-prolongation-de-lenrolement-des-electeurs/


= https://www.afrik.com/rdc-le-parti-de-moise-katumbi-releve-des-irregularites-et-met-en-garde/amp
= https://information.tv5monde.com/afrique/rdc-election-presidentielle-2023-candidats-programmes-et-resultats



Dernière édition par ndonzwau le 26/1/2023, 2:16 pm, édité 1 fois

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LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?  Empty Re: LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?

Message  ndonzwau 24/1/2023, 12:46 am

LA CENI PROLONGE DE 25 JOURS L'IDENTIFICATION ET L'ENROLEMENT DES ELECTEURS DANS LES 10 PROVINCES DE L'OUEST.


"RDC: Après des difficultés, la Céni annonce proonger l’enrôlement des électeurs - 23/01/2023
= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20230123-rdc-apr%C3%A8s-des-difficult%C3%A9s-la-c%C3%A9ni-annonce-prolonger-l-enr%C3%B4lement-des-%C3%A9lecteurs

LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?  Photo%20kinshasa
Un jeune électeur s'enrôle aux dernières heures avant l'annonce du prolongement de l'opération, à Kinshasa, le 22 janvier 2023. :copyright: Pascal Mulegwa / RFI  

La commission électorale nationale indépendante (Céni) de la République démocratique du Congo a annoncé dimanche 22 janvier le prolongement de 25 jours l’opération d’identification et d’enrôlement des électeurs dans 10 provinces de l’ouest du pays. Lancée dans ces zones le 24 décembre pour 30 jours, l’opération n’a permis d’enregistrer que le tiers de l’électorat attendu. Peu avant l’annonce du prolongement, les bureaux étaient bondés le dernier jour avant la clôture.
Avec notre correspondant à Kinshasa, Pascal Mulegwa

Les files d’attente étaient plus longues que d’habitude. Seuls les plus forts et les plus courageux arrivaient à se faire une place, comme ici en plein cœur de la capitale, à l’athénée de la Gombe. Même la pluie n’a pas eu raison de la détermination des requérants, comme Fabrice :
« Ils doivent allonger la durée parce qu’avec cette allure je ne suis pas sûr qu’on sera tous servis. Ce n’est pas sérieux. Si ça continue comme ça, on n’aura pas d’autre choix que de renoncer à l’enrôlement »
En ce jour, pas de privilèges même pour cette députée de la majorité, Solange Masumbuko : « Je crois qu’on a besoin de beaucoup plus de temps pour bien organiser. Parce que là, je vois les hommes qui se bousculent, mais les femmes ont du mal à se bousculer ».

Dans l’ouest de la capitale comme dans d’autres endroits, les problèmes d’allumage persistent. Dans ce centre près du musée national, seule une des trois machines est restée opérationnelle. Elle a cessé de fonctionner tout juste avant l’enrôlement de ce professeur :
« Les gens sont nombreux, les machines tombent en panne tout le temps, l’autre machine, il faut attendre 40 minutes pour qu’elle se refroidisse un peu et reprendre l’enrôlement. Aujourd’hui, je crois bien que s’il y a un bon nombre de gens qui se sont enrôlés c’est 30 %. C’est insuffisant pour qu’on organise un électorat transparent. »
Son estimation est proche de celle de la Céni qui affirme n’avoir enregistré que 37 % des 18 millions d’électeurs attendus. Elle assure aussi enregistrer de moins en moins de plaintes et déplore l’absence des témoins de partis politiques dans 3/4 des 8 900 centres opérationnels.
► À lire aussi : RDC: l’opposition dénonce des anomalies dans l’opération d’enrôlement des électeurs
= https://www.politico.cd/la-rdc-a-la-une/2023/01/22/rdc-la-ceni-prolonge-de-25-jours-lenrolement-des-electeurs-notamment-a-kinshasa.html/126765/

"Enrôlement-AO1: la mission d’observation CENCO-ECC “réservée” face aux chiffres de 37,9% d’électeurs déjà inscrits tels que présentés par la CENI  - 23 janvier 2023
= https://actualite.cd/2023/01/23/enrolement-ao1-la-mission-dobservation-cenco-ecc-reservee-face-aux-chiffres-de-379
La mission d'observation ECC-CENCO dit prendre du recul quant aux chiffres avancés par la CENI sur le nombre des personnes déjà enrôlées dans la première aire opérationnelle qui comprend 10 provinces de l’ouest du pays. Se basant sur une des sorties médiatiques du deuxième vice-président de la CENI, Didi Manara, la CENCO et l’ECC attendent vérifier au moment opportun.
"Nous avons aussi suivi les chiffres tels que présentés 37,9% d'enrôlés quand nous comparons la première estimation faites par le 2e vice-président de la CENI (Ndlr, Didi Manara) et aujourd'hui on parle des 37% alors que nous avons observé les difficultés qui n'ont presque pas trouvé des solutions, mais qui ne se sont faits que multiplier sur terrain, on a pas senti un engouement, est est que c'est vrai ? Est-ce que c'est faux ? Ce n'est pas encore à ce niveau qu'on va établir un jugement de valeur mais nous prenons avec beaucoup de reculs et réserves ces chiffres tels que présentés et donc il va falloir pour nous, revérifier les choses sereinement avec la CENI", a dit ce lundi 23 janvier à ACTUALITÉ.CD Éric Nsenga, coordonnateur de la mission d'observation ECC-CENCO.
La Commission Électorale Nationale Indépendante a fait le point ce dimanche 22 janvier 2022 sur l'évolution de l’opération d'identification et d'enrôlement des électeurs à la première aire opérationnelle qui concerne les provinces de l’Ouest de la République Démocratique du Congo. Sur les 18.694.542 électeurs attendus dans cette partie du pays, 7.910.679 ont déjà obtenu la nouvelle  carte, soit 37,9%.
"S'agissant des statistiques des enrôlés: Nombre d'électeurs attendus : 18.694.542 ;  nombre d'électeurs enrôlés 7.910.679 soit 37,9%. Nombre d'enrolés par sexe : Homme: 4 millions 68 mille 147 soit 57%, Femme : 3 millions 23 mille 532 soit 43%", renseigne la CENI. 
Et d'ajouter :
"Concernant le nombre d’enrôlés par cas spécial : Nombre d'enrôlés à l'horizon 2024: 325 mille 582 soit 4,5%, nombre d'électeurs enrôlés par témoignage :759 milles 307 soit 37,9%, nombre d'électeurs enrôlés sans empreintes: 167455 soit 2,3%, nombre d'électeurs enrôlés sans iris 26591 soit 0,3%".
Au cours d'une rencontre dans le cadre de concertation avec les parties prenantes au processus électoral notamment les partis politiques, les confessions religieuses et d'autres couches socioprofessionnelles qui a eu lieu en ville de Kindu (Maniema) le 3 janvier dernier, le 2e vice-président de la CENI, Didi Manara avait annoncé que plus d'un million de congolais étaient déjà enrôlés. L’opération d'enrôlement à la première aire opérationnelle dont la fin était initialement prévue pour ce lundi 23 janvier, va se poursuivre jusqu'au 17 février 2023. L'option a été levée à l'issue d'une plénière de la CENI au regard des difficultés opérationnelles rapportées.
= https://amp.rfi.fr/fr/afrique/20230120-ouest-de-la-rdc-les-%C3%A9glises-rel%C3%A8vent-des-manquements-dans-l-identification-et-l-enr%C3%B4lement-des-%C3%A9lecteurs


"Ouest de la RDC: la prolongation de l’enrôlement des électeurs inquiète certains de ses observateurs - 24/01/2023
= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20230124-ouest-de-la-rdc-la-prolongation-de-l-enr%C3%B4lement-des-%C3%A9lecteurs-inqui%C3%A8te-certains-de-ses-observateurs
"RDC: des mouvements citoyens s'inquiètent du processus électoral - 25 janvier 2023
= https://actualite.cd/index.php/2023/01/25/rdc-des-mouvements-citoyens-sinquietent-du-processus-electoral
= https://afrique.lalibre.be/75372/rdc-des-mouvements-citoyens-sinquietent-du-processus-electoral/


"Enrôlement AO1 : sur 9 200 centres d'inscriptions prévus, 8901 centres d'inscriptions sont ouverts soit 97% (CENI) -  23 janvier 2023
= https://actualite.cd/2023/01/23/enrolement-ao1-sur-9-200-centres-dinscriptions-prevus-8901-centres-dinscriptions-sont
La commission électorale nationale indépendante a décidé de prolonger l’opération d'identification et d'enrôlement à la première aire opérationnelle du pays. Dans une communication faite ce dimanche 22 janvier 2022, la CENI a fait le point sur les différents centres d'inscription actifs et ceux qui ne sont pas actifs depuis le début des opérations.
"Le monitoring opérationnel de la CENI jusqu'au 21 janvier 2023 se présente de la manière suivante : Centres d'inscriptions prévus: 9200 ; Centres d'inscriptions ouverts : 8901 soit 97% ; Centres d'inscriptions non ouverts : 299 soit 3%; Centres d'inscriptions opérationnels : 8437 soit 95%; Centres d'inscriptions non opérationnels 464 soit 5%", a annoncé la CENI.  
La commission électorale nationale indépendante dit avoir pris en compte les différentes remarques faites par les partenaires en rapport avec le processus électoral. 
"Le management de la commission électorale nationale indépendante reste confiant quant à la suite de cette opération dans l'AO1. En outre, la CENI trouve pertinentes et fait siennes les observations faites par les partenaires au processus électoral pour une rallonge de délai de l'opération d'identification et d'enrôlement des électeurs en cours dans la première aire opérationnelle", a ajouté la CENI dans sa communication.
Par ailleurs, la CENI rappelle que l'opération d'identification et d'enrôlement des électeurs dans la deuxième aire opérationnelle débute ce mercredi 25 janvier 2023 dans les 9 provinces suivantes : Haut Katanga, Haut Lomami, Kasaï, Kasaï Central, Kasaï Oriental, Lomami, Lualaba, Sankuru, Tanganyika ainsi qu’en Afrique du Sud, en Belgique et en France conformément au calendrier électoral.
Dans son rapport à mi-parcours, la mission d'observation ECC-CENCO avait invité la commission électorale nationale indépendante d'avoir une communication claire, exhaustive et proactive sur les innovations liées aux opérations électorales en cours afin de fixer les électeurs mais aussi éclairer le public sur les cas des Cl ( Centres d'inscriptions) non encore ouverts, non opérationnels ou non existants pour dissiper tout malentendu. 
La première aire opérationnelle qui concerne les provinces de Kinshasa, l'Equateur, Kongo-Central, Kwango, Kwilu, Nord-Ubangi, Sud-Ubangi, Mongala, Mai-Ndombe et Tshuapa vient de bénéficier de 25 jours supplémentaires afin de poursuivre avec l'opération de l'identification et l'enrôlement des électeurs. Cette prolongation, d'après la centrale électorale s’inscrit dans le souci de donner l’opportunité à tout congolais à l’âge de voter de remplir son devoir civique.


"Enrôlement/Première aire opérationnelle: sur les 18.694.542 électeurs attendus, 7.910.679 ont déjà obtenu leurs nouvelles cartes soit 37,9% (CENI) - 23 janvier 2023
= https://actualite.cd/2023/01/23/enrolementpremiere-aire-operationnelle-sur-les-18694542-electeurs-attendus-7910679-ont
La Commission Électorale Nationale Indépendante a fait le point ce dimanche 22 janvier 2022 sur l'évolution de l’opération d'identification et d'enrôlement des électeurs à la première aire opérationnelle qui concerne les provinces de l’Ouest de la République Démocratique du Congo. Sur les 18.694.542 électeurs attendus dans cette partie du pays, 7.910.679 ont déjà obtenu la nouvelle  carte, soit 37,9%.
"S'agissant des statistiques des enrôlés: Nombre d'électeurs attendus : 18.694.542 ;  nombre d'électeurs enrôlés 7.910.679 soit 37,9%. Nombre d'enrolés par sexe : Homme: 4 millions 68 mille 147 soit 57%, Femme : 3 millions 23 mille 532 soit 43%", renseigne la CENI. 

Et d'ajouter :
"Concernant le nombre d’enrôlés par cas spécial : Nombre d’enrôlés à l'horizon 2024: 325 mille 582 soit 4,5%, nombre d'électeurs enrôlés par témoignage :759 milles 307 soit 37,9%, nombre d'électeurs enrôlés sans empreintes: 167455 soit 2,3%, nombre d'électeurs enrôlés sans iris 26591 soit 0,3%".
La mission d'observation électorale CENCO-ECC a remis jeudi 19 janvier à la commission électorale nationale indépendante le rapport à mi-parcours relatif au processus d'identification et d'enrôlement des électeurs. Dans leur rapport, les deux confessions religieuses ont estimé que l'on devrait déjà avoir une idée estimative du nombre de personnes déjà enrôlées. En publiant ce jour des chiffres, la Commission Électorale Nationale Indépendante a répondu à l'une de leurs préoccupations. 
Cette opération à la première aire opérationnelle dont la fin était initialement prévue pour ce lundi 23 janvier, va se poursuivre jusqu'au 17 février 2023. L'option a été levée à l'issue d'une plénière de la CENI au regard des difficultés opérationnelles rapportées.



"Enrôlement en RDC: "Nous avons besoin d'un vent nouveau pour que les choses changent" (Hermione Bolumbe Bakando) - 22 janvier 2023
= https://actualite.cd/2023/01/22/enrolement-en-rdc-nous-avons-besoin-dun-vent-nouveau-pour-que-les-choses-changent

LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?  IMG_20230122_131401_263
La Présidente de la Fondation HBO, Hermione Bolumbe Bakando, au sortir du centre d'enrôlement

La Présidente de la Fondation HBO, le docteur, Hermione Bolumbe Bakando, a reçu sa carte d'électeur en vue des prochaines échéances électorales en République Démocratique du Congo (RDC). C'était dans l'Ecole de l'Armée du Salut dans la commune de Matete. 
Candidate déclarée à la députation nationale, le docteur Hermione Bolumbe Bakando pense les actuels élus ont montré leurs insuffisances et que le temps est venu pour changer la manière de légiférer en RDC. 

"Je suis très heureuse parce que j'ai vu une forte mobilisation que je n'arrive pas à expliquer. C'était sous la pluie de Lemba Terminus jusqu'ici. Ça témoigne de l'amour... Je n'ai payé aucun Franc et c'était spontanée, ce qui nous rassure. En 2023, nous avons Mont-Amba entre nos mains. Nous avons besoin d'un vent nouveau pour que les choses changent. Je suis venu remplir un devoir en m'enrôlant avec tous ces gens. Ces derniers feront leur choix pour que les choses s'améliorent. Ne votez pas les polos moins encore les 5 dollars qu'on vous donne. Votons les idées pour que les choses changent. Nous avons vu les limites de nos députés. En décembre, nous devons être là pour voter les vrais députés. Le mois de décembre, c'est à nous et tout le monde sera derrière le docteur Bolumbe. On est confiant", a-t-elle confié au sortir du centre d'enrôlement.
Pour rappel, au mois de novembre, la Fondation HBO Global Social Protection avait clôturé avec succès sa campagne d’opérations gratuites par vidéo-chirurgie dans plusieurs contrées du Grand Kasai. Durant 21 jours, les populations de Mbuji Mayi, Miabi, Kabeya Kamuanga et Kananga ont bénéficié du matériel de cette fondation pour des interventions chirurgicales de plusieurs maladies comme la cataracte, le vésicule biliaire, la rate ou encore des tumeurs bénignes de la prostate.

"RDC-Elections : pour le député Gratien Iracan, la CENI crée délibérément la lenteur dans l'opération d'enrôlement pour occasionner un glissement-  25 janvier 2023
= https://actualite.cd/2023/01/25/rdc-elections-pour-le-depute-gratien-iracan-la-ceni-cree-deliberement-la-lenteur-dans
"Elections en RDC : la Vigilance citoyenne électorale lance la campagne "mandat esili, tika kiti " pour empêcher tout glissement - 24 janvier 2023
= https://actualite.cd/2023/01/24/elections-en-rdc-la-vigilance-citoyenne-electorale-lance-la-campagne-mandat-esili-tika

"Enrôlement des électeurs: la crainte de la mission d'observation CENCO-ECC persiste sur le sort réservé aux C.I non opérationnels qui risquent de se transformer en des bureaux fictifs - 24 janvier 202
= https://actualite.cd/2023/01/24/enrolement-des-electeurs-la-crainte-de-la-mission-dobservation-cenco-ecc-persiste-sur-le


"Enrôlement AO1 : sur 9 200 centres d'inscriptions prévus, 8901 centres d'inscriptions sont ouverts soit 97% (CENI) -23 janvier 2023
= https://actualite.cd/2023/01/23/enrolement-ao1-sur-9-200-centres-dinscriptions-prevus-8901-centres-dinscriptions-sont


"Enrôlement des électeurs en RDC: le secrétaire exécutif national de la CENI a lancé les opérations dans la région du Katanga - 25 janvier 2023
= https://actualite.cd/2023/01/25/enrolement-des-electeurs-en-rdc-le-secretaire-executif-national-de-la-ceni-lance-les
= https://actualite.cd/2023/01/25/lubumbashi-sama-lukonde-appelle-la-population-de-la-2eme-zone-operationnelle-senroler
= https://www.politico.cd/encontinu/2023/01/25/elections-2023-denis-kadima-donne-le-go-des-operations-denrolement-de-la-zone-operationnelle-2-a-kananga.html/126956/

"RDC: début de l'enregistrement des électeurs congolais dans trois pays - 25/01/2023
= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20230125-rdc-d%C3%A9but-de-l-enregistrement-des-%C3%A9lecteurs-congolais-dans-trois-pays
"RDC : Combien d’électeurs congolais en Belgique ? - 24 janvier 2023
= https://afrique.lalibre.be/75342/rdc-combien-delecteurs-congolais-en-belgique/

"Présidentielle 2023 : il ne faut pas avoir peur ( Moïse Katumbi ) - 26 janvier 2023
= https://magazinelaguardia.info/2023/01/26/presidentielle-2023-il-ne-faut-pas-avoir-peur-moise-katumbi/




Compatriotiquement!


# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul # # Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #


Dernière édition par ndonzwau le 28/1/2023, 12:32 pm, édité 1 fois

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LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?  Empty Re: LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?

Message  ndonzwau 28/1/2023, 12:26 pm

"LES CONGOLAIS ONT DÉCOUVERT AUX PREMIERS JOURS DE L’OPÉRATION D'ENROLEMENT QUE LES CAPACITÉS D'EXPERT ELECTORAL VANTÉES CHEZ KADIMA N’ÉTAIENT QUE DE LA VULGAIRE PROPAGANDE, MAINTENANT ILS DÉCOUVRENT EN PLUS CE QUE TOUS PRESSENTAIT : KADIMA EST LA POUR PLANIFIER UN CHAOS DES ÉLECTIONS, IL A SCIEMMENT PROGRAMMÉ DES CENTRES FICTIFS D'ENROLEMENT DES ÉLECTEURS. LA SUITE...

Oui contrairement à une presse propagandiste pro-Tshisekedi qui veut nous enfumer en disant que ce sont les opposants qui auraient peur d'affronter les électeurs en 2023, c'est plutôt le pouvoir qui craint d'y être désavoué qui a verrouillé le système pour gagner à tout prix et qui est aujourd'hui pris en flagrant délit des centres d'enrôlement fictifs.



"RDC-Élections 2023 : Lamuka annonce la découverte des centres fictifs d'enrôlement et accuse la CENI de préparer le chaos - 27 janvier 2023 -
= https://actualite.cd/2023/01/27/rdc-elections-2023-lamuka-annonce-la-decouverte-des-centres-fictifs-denrolement-et

LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?  Enrolement3_0
Enrôlement du Président de la CENI, Denis Kadima

L'opposition Lamuka dit avoir découvert des centres fictifs d'enrôlement des électeurs dans la 1ère des opérations d'enrôlement des électeurs.  C'est ce qu'indique le rapport de la coordination des opérations électoral (COEL) de de Lamuka. Ce rapport a été présenté ce vendredi 27 janvier 203 à Kinshasa lors d'un point de presse.  

" En fait, Monsieur Kadima a planifié le chaos. C'est pourquoi, il a fait fi de toute l'expérience accumulée par les agents de la CENI en matière d'enrôlement des électeurs lors des trois derniers cycles. Il a même eu l'audace d'affirmer, sans aucun sens de responsabilité, que "la CENI navigue à vue". De quoi douter du professionnalisme tant vanté de ce monsieur ! Pour s'en rendre compte, il suffit de constater que : Les centres d'enrôlement et le nombre des kits réels ne correspondent pas à la cartographie publiée par la CENI. Certains centres répertoriés n'existent même pas. Par contre, on a découvert des centres fictifs" a déclaré le coordonnateur de COEL, Jean Félix Senga.
Par ailleurs, Lamuka exige un audit sur le contour du contrat signé entre la CENI et l'entreprise coréenne Miru System qui produit les kits électoraux.
 " Nous exigeons qu'un audit soit diligenté sur la gestion de M. Kadima en rapport avec tous les fonds décaissés en faveur de la CENI et les marchés conclus par elle; Nous demandons en outre qu'une enquête soit menée pour élucider les contours de l'accord conclu entre M. Kadima, au nom de la CENI, et la société Miru Systems.Nous demandons à la population congolaise de continuer à affluer massivement dans les centres d'enrôlement pour se faire enrôler afin d'imposer un vrai changement lors des élections du 20 décembre 2023", ajouté Jean Félix Senga.
La première aire opérationnelle qui concerne les provinces de Kinshasa, l'Equateur, Kongo-Central, Kwango, Kwilu, Nord-Ubangi, Sud-Ubangi, Mongala, Mai-Ndombe et Tshuapa vient de bénéficier de 25 jours supplémentaires afin de poursuivre avec l'opération de l'identification et l'enrôlement des électeurs.

"Après 2006, 2011 et 2018 : qui a peur de la présidentielle ? - 27.01.2023
= http://lephareonline.net/2023/01/24/apres-2006-2011-et-2018-qui-a-peur-de-la-presidentielle/
Attendue depuis quatre années, qui paraissaient comme une éternité, la fameuse « année électorale » est finalement là. Les opérations d’enrôlement des électeurs ont également été lancées, il y a un mois. En dépit des couacs techniques enregistrés dans la première « Aire opérationnelle », la CENI (Commission Electorale Nationale Indépendante) assure que son calendrier électoral tient
toujours la route.
Un fait curieux intrigue les observateurs. Alors que le présent cycle électoral prévoit trois scrutins en décembre 2023, à savoir la présidentielle ainsi que les législatives nationales et provinciales, certains acteurs politiques ne se focalisent que sur l’élection du Président de la République. Les alarmistes qui parlent du « glissement » du processus électoral alors que la Ceni dispose encore d’une large marge de manœuvre pour les temps de rattrapage ne le voient que le prisme de la présidentielle.


En dépit des promesses de respect du délai constitutionnel au sujet de la tenue de la présidentielle, données à répétitions lors de plusieurs sorties publiques du Président de la République, du Premier ministre et du président de la Ceni, les rangs des Saint Thomas, probables candidats à la magistrature suprême du pays, ne désemplissent pas. C’est comme si certains ne voudraient pas voir l’actuel Chef de l’Etat en fonctions concourir à la compétition au sommet de l’Etat. Pourtant, la Constitution l’autorise à briguer un second mandat, quel que soit le bilan enregistré au terme de son premier quinquennat.
C’est, en fait, au souverain primaire de le sanctionner, positivement ou négativement, dans les urnes. A entendre certaines déclarations, la question qui vient naturellement à l’esprit est de savoir «à qui l’élection présidentielle fait-elle peur?». En tenant sans cesse le discours du « glissement », certains présidentiables ne souhaiteraient-ils pas, dans leur subconscient, le report effectif de l’élection du président de la République, pour une énième « transition politique », dont raffolent les acteurs politiques et même les activistes de la Société civile dans notre pays ?
Logiquement, les candidats réellement prêts à participer à la bataille de la présidentielle, pour tenter d’obtenir une nouvelle alternance politique au sommet de l’Etat, devraient se réjouir de la volonté du successeur de Joseph Kabila de ne pas s’accrocher au pouvoir, en refusant de repousser à plus tard la tenue de la présidentielle.

On ne peut pas, à ce stade, clamer d’office que la machine électorale a déraillé. Techniquement et financièrement, les paramètres du « glissement » ne sont pas réunis. A moins d’une mauvaise foi manifeste de la part des animateurs de la Ceni, le fichier électoral devrait être à jour dans un délai raisonnable. Quant aux moyens financiers, la loi des finances 2023 réserve à la tenue des élections une quotité conforme aux prévisions de la centrale électorale.
Ce que le peuple veut, c’est que tous ceux qui s’estiment « poids lourds » politiques se présentent, le moment venu, sur la ligne de départ de l’élection du Président de la République, pour faire la démonstration de leur popularité. Jusque-là, les règles du jeu sont les mêmes pour tous les futurs participants au marathon présidentiel. Bien que la pré-campagne soit interdite, on note, dans le chef de nombreux politiciens, des actes anticipatifs de mobilisation de l’électorat. Et c’est de bonne guerre, aussi bien pour ceux qui cherchent à conserver le pouvoir et ceux qui cherchent à le concourir. Alors de quoi se plaint-on ?

"RDC : la plateforme Vigiciel s'inquiète du processus électoral - 25/01/2023
= https://fr.africanews.com/2023/01/25/rdc-la-plateforme-vigiciel-sinquiete-du-processus-electoral/


"Élections 2023 : Ensemble pour la République constate la mise en œuvre d’un « agenda caché » et prend Kadima pour responsable du chaos électoral -19 janvier 2023
= https://www.politico.cd/encontinu/2023/01/19/elections-2023-ensemble-pour-la-republique-constate-la-mise-en-oeuvre-dun-agenda-cache-et-prend-kadima-pour-responsable-du-chaos-electoral.html/126536/

"Enrôlement, 1re stratégie de Kadima pour saborder 2023 (Ensemble) - 20/01/2023
= https://ouragan.cd/2023/01/enrolement-1re-strategie-de-kadima-pour-saborder-2023-ensemble

"La CENI cautionne une campagne électorale précoce - 19.01.2023
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-116349_la_ceni_cautionne_une_campagne_electorale_precoce.html

"Élections 2023 : "Les déficits et les ratés de l’opération d’enrôlement des électeurs nous conduisent vers un fichier électoral corrompu à tout point de vue" (Balamage N’Kolo) - 03.01.2023
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-115610_elections_2023_les_deficits_et_les_rates_de_l_operation_d_enrolement_des_electeurs_nous_conduisent_vers_un_fichier_electoral_corrompu_a_tout_point_de_vue_balamage_n_kolo.html


" En RDC, déjà les premiers signes d’un glissement de la présidentielle ? - 24 janvier 2023
= https://www.jeuneafrique.com/1411782/politique/en-rdc-deja-les-premiers-signes-dun-glissement-de-la-presidentielle/



Compatriotiquement!


# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul # # Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #

ndonzwau


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LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?  Empty Re: LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?

Message  ndonzwau 28/1/2023, 10:59 pm


"L'enregistrement des électeurs prolongé de 25 jours en RDC: insuffisant, selon Lamuka, qui pointe d'autres problèmes - 28/01/2023
= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20230128-l-enregistrement-des-%C3%A9lecteurs-prolong%C3%A9-de-25-jours-en-rdc-insuffisant-selon-lamuka-qui-pointe-d-autres-probl%C3%A8mes
La République démocratique du Congo dans la fièvre électorale. L’opération d’enregistrement des électeurs lancée depuis décembre dernier pour un mois a été rallongée pour 25 jours supplémentaires. L’opération s’est étendue dans neuf autres provinces du centre et du sud-est. Hier vendredi, lors d’un point de presse à Kinshasa, la mission d’observation électorale de la coalition d’opposition Lamuka est restée critique.

La mission d’observation électorale de la coalition d’opposition Lamuka regrette la persistance de couacs et irrégularités, en dépit des recommandations et critiques formulées. 
« Les problèmes multiples à résoudre pour enrôler tous les électeurs ne requièrent pas seulement une prolongation de 25 jours supplémentaires, ils nécessitent également la prise en compte de la qualité et du nombre de machines déployées ainsi que de la compétence du personnel affecté à ces opérations, explique Jean–Félix Nsenga, de la coordination des opérations électorales pour Lamuka, au micro de notre correspondant Pascal MulegwaAvec des machines sans alimentation continue en charge, sans cartes en nombre suffisant et sans un personnel bien formé, qualifié et motivé, on ne pourra qu’accompagner monsieur Kadima dans sa détermination à nous conduire à un nouvel hold-up électoral.
 À lire aussi : Denis Kadima (Céni en RDC): « L’inscription des électeurs est l’opération la plus importante »

Nous exigeons qu’un audit soit diligenté sur la gestion en rapport avec tous les fonds décaissés en faveur de la Céni [Commission électorale nationale indépendante, NDLR] et des marchés conclus par elle. Nous demandons à la population congolaise de continuer à affluer massivement pour se faire enrôler afin d’imposer un vrai changement lors des élections du 20 décembre 2023. 
 À lire aussi : en RDC, l’opposition dénonce des anomalies dans l’opération d’enrôlement des électeurs
= https://www.politico.cd/encontinu/2023/01/28/enrolement-des-electeurs-lamuka-exige-un-audit-sur-la-gestion-de-la-ceni-et-une-enquete-sur-les-contours-de-laccord-avec-miru-systems.html/127108/


"Révision du fichier électoral : Environ 15 millions d’électeurs attendus dans la 2è aire opérationnelle (Denis Kadima) -  janvier 26, 2023
= https://actu30.cd/2023/01/revision-du-fichier-electoral-environ-15-millions-delecteurs-attendus-dans-la-2e-aire-operationnelle-denis-kadima/
Le président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), Denis Kadima, a procédé au lancement officiel de l’opération d’identification et d’enrôlement des électeurs à Kananga, au Kasaï Central, le mercredi 25 janvier 2023.

Cette opération concerne la deuxième aire opérationnelle composée de 9 provinces de la RD Congo et 3 pays étrangers (France, Belgique et Afrique du Sud).
Devant la presse, Denis Kadima a révélé qu’au moins 15 millions de congolais sont attendus pour être enrôlés dans la deuxième aire opérationnelle.
Dans la foulée, il a rassuré la population de l’engagement de son institution à assurer un bon déroulement de cette opération afin que tous les citoyens remplissent, en toute quiétude, leur devoir civique.
Par ailleurs, le numéro un de la Centrale électorale a appelé la population a comprendre l’importance de ce processus d’enrôlement qui constitue une étape importante pour les échéances électorales de décembre 2023, tout en sollicitant son implication.
Après l’étape de Kananga, Denis Kadima a mis le cap vers Mbuji-Mayi, au Kasaï Oriental, pour le même exercice. L’enrôlement des électeurs dans la deuxième aire géographique concerne les provinces de l’espace Kasaï et de l’espace Katanga pour une durée de 30 jours.


"Élections 2023 : Matata Ponyo appelle la population à s'enrôler pour se choisir des dirigeants capables de remettre le pays sur le chemin de l'émergence et du développement - 28 janvier 2023
= https://actualite.cd/2023/01/28/elections-2023-matata-ponyo-appelle-la-population-senroler-pour-se-choisir-des

"Présidentielle 2023 : il ne faut pas avoir peur ( Moïse Katumbi ) - 26 janvier 2023
= https://magazinelaguardia.info/2023/01/26/presidentielle-2023-il-ne-faut-pas-avoir-peur-moise-katumbi/
Le président du parti politique Ensemble pour la République, Moise Katumbi s’est fait enrôlé ce jeudi à Lubumbashi. Cet opposant politique et candidat déclaré à la  présidentielle de 2023 a choisi le centre d’inscription de l’Ecole Notre Dame des pauvres  dans la commune de la Ruashi. C’est ainsi qu’il a obtenu sa carte d’électeur , l’un des documents exigés dans le dossier de candidature. Entretemps, il a lancé  l’appel à vaincre la peur .

A l’issue de son  enrôlement, Moïse Katumbi  explique  ‘’ je viens de remplir mon devoir civique. Voici ma carte d’électeur. De ce fait j’appelle tous mes concitoyens à faire de même car les élections approchent. ‘’
Et pour obtenir sa carte d’électeur, le choix du site  de la commune Ruashi n’est pas un hasard , dit-il. En effet,  ce candidat à la  présidentielle déclare que  cette commune de la ville est le symbole de la pauvreté qui gangrène la RDC. Et d’ajouter ‘’ Notre Dame des pauvres , c’est la Vierge Marie. Je prie pour qu’elle intercède pour nous et pardonne tous ceux  des Congolais qui  pillent le pays’’.
Pendant que les opérations d’enrôlement des électeurs  sont à leur deuxième jour dans la deuxième aire, certains partis politiques s’opposent toujours à ce processus. C’est le cas de PPRD de Joseph Kabila. Son secrétaire général Ramazani Shadari a  donné le mot d’ordre  aux membres du parti de ne y prendre part . Le PPRD qualifie  le processus électoral en cours de biaisé . En plus, il manque de transparence . Ce qui fait craindre à ce parti politique aussi de l’opposition  une tricherie lors des élections.

Braver la peur pour empêcher la tricherie
Mais Moïse Katumbi , candidat déclaré à la  présidentielle de décembre  2023  a un autre avis. Pour lui, il  faut plutôt y aller avec détermination .  » Il ne faut pas avoir peur. J’appelle tous les congolais à faire un sacrifice  le jour du scrutin. Il faut aller voter et rester permanent devant le bureau de vote jusqu’à la fin du dépouillement des bulletins. Ensuite, je vous demande  de rester permanent jusqu’à  l’affichage des résultats même s’il faudra y passer la nuit. Et que le meilleur gagne. »
Lire aussi : https://magazinelaguardia.info/2022/12/22/moise-katumbi-se-presente-en-champion-du-changement/

Fin polémique sur la nationalité de Moise Katumbi
Un millier des membres du parti politique Ensemble pour la République ainsi que des centaines de sympathisants ont accompagné leur leader à cette opération. Certains parmi eux se disent satisfaits de voir le Président de leur parti politique obtenir sa carte d’électeur. Car pour eux, ce acte civique vient mettre fin à la polémique sur la nationalité de Moïse Katumbi.  » Comment peut-on octroyer  la carte d’électeur à un citoyen d’un autre pays ? Il faut que cessent toutes ces fausses allégations , déclarent les militants.


"En RDC, déjà les premiers signes d’un glissement de la présidentielle ? -  24/01/2023
= https://www.jeuneafrique.com/1411782/politique/en-rdc-deja-les-premiers-signes-dun-glissement-de-la-presidentielle/
La Commission électorale congolaise prolonge la durée d’enrôlement des électeurs potentiels en « zone 1 ». Tout en affirmant que les scrutins auront bien lieu à la date fatidique du 20 décembre 2023.

LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?  Gf_edito_autocaricature_bis-1-200x200
Par Damien Glez
Dessinateur et éditorialiste franco-burkinabè.

LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?  Rdc_enregistrement_zone1_prolongation_1256-1256x628-1674583015
La prolongation de la période d’enrôlement des électeurs dans plusieurs provinces en RDC est vue par certains comme un des premiers signes d’un probable « glissement » de la présidentielle prévue en décembre 2023.
:copyright: Damien Glez

Denis Kadima Kazadi doit avoir en permanence un doigt sur le calendrier 2023 et un autre entre les pages d’un dictionnaire de synonymes. « Contretemps » ? « Patinage » ? « Reculer pour mieux sauter » ? Le président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) doit trouver les bons mots pour expliquer toute modification – même infime – du chronogramme électoral de RDC, lui qui avait assuré que le mot « glissement » ne faisait pas partie de son vocabulaire.
À LIREEn RDC, la présidentielle pourra-t-elle vraiment se tenir le 20 décembre 2023 ?
Vulgarisé en 2016, quand l’ancien chef de l’État Joseph Kabila bénéficia de trois ans de bonus dans l’exercice de son mandat, le vocable « glissement » est régulièrement susurré depuis que la date du 20 décembre 2023 a été annoncée pour les élections présidentielle, législatives, provinciales et communales. Un rendez-vous au respect duquel peu d’observateurs indépendants ou militants croient, vu l’ampleur des étapes logistiques à franchir et la situation sécuritaire dans le pays.

]La crainte d’un effet domino
Les sceptiques s’en sont donc donné à cœur joie lorsque la Ceni a annoncé, ce 22 janvier, un nouvel aménagement du calendrier de révision du fichier électoral, le premier grand rendez-vous de ce processus, débuté le 24 décembre dernier. Puisant dans un riche vocabulaire français, la commission évoque une « période de récupération » de 25 jours pour que les électeurs puissent continuer de s’inscrire dans la zone 1, composée des provinces suivantes : Kinshasa, Équateur, Kongo-Central, Kwango, Kwilu, Nord-Ubangi, Sud-Ubangi, Mongala, Mai-Ndombe et Tshuapa.
À LIREEn RDC, Félix Tshisekedi peut-il compter sur l’UDPS ?
Aux pessimistes qui décryptent là les premiers signes d’un glissement électoral, la Ceni explique d’abord que seuls 37,9 % des 18 millions d’électeurs potentiels de la zone se sont inscrits et ce, dans les 97 % de centres d’enregistrement opérationnels. Elle insiste surtout sur le fait que cette « récupération » n’aura aucun effet domino sur les autres étapes du processus. Ainsi, la zone 2 – Haut-Katanga, Haut-Lomami, Kasaï, Kasaï-Oriental, Kasaï-Occidental, Lomami, Lualaba, Sankuru, Tanganyika, Afrique du Sud, Belgique et France – débutera ses enregistrements comme prévu, soit le 25 janvier, avec une clôture le 23 février.
À LIREMoïse Katumbi : « Ma candidature à la présidentielle de 2023 en RDC est définitive »
Sur le terrain, certains murmurent que les mêmes causes devraient produire les mêmes effets, dans chaque zone concernée, et que la consolidation et le nettoyage du fichier risquent d’être finalement affectés. Même actifs, certains centres d’enregistrement ne feraient pas preuve d’une grande efficacité, notamment dans la maîtrise des machines, quand celles-ci ne sont tout simplement pas absentes.

Méthode Coué ou mauvaises langues ? À moins de onze mois des scrutins, le compte à rebours ne devrait pas tarder à trancher…

= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20230126-rdc-%C3%A0-lubumbashi-l-enr%C3%B4lement-des-%C3%A9lecteurs-a-d%C3%A9but%C3%A9
= https://laprosperiteonline.net/elections-2023-ceni-le-pprd-pour-un-consensus-avant-decembre/


"Elections en RDC : un poids lourd kabiliste rejoint le camp de M. Tshisekedi avant les élections - 28/01/2023
=  https://www.rtbf.be/article/elections-en-rdc-un-poids-lourd-kabiliste-rejoint-le-camp-de-m-tshisekedi-avant-les-elections-11144115
= https://7sur7.cd/2023/01/28/rdc-evariste-boshab-quitte-le-pprd-cree-son-parti-et-promet-de-mobiliser-pour-la


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LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?  Empty Re: LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?

Message  ndonzwau 10/2/2023, 5:01 pm


"En RD Congo, le double défi de préparer des élections en temps de guerre - Par Colette Braeckman -04.02.2023
= https://congokin.blog?p=11398
Succédant au pape François à Kinshasa, Hadja Lahbib a mesuré le double défi du Congo : préparer des élections d’ici décembre alors qu’à l’Est, la guerre ne faiblit pas.

C’est avec émotion et ferveur que les Kinois ont pris congé du pape François qui s’est envolé vers le Soudan du Sud. Deux moments forts du séjour pontifical ont marqué les esprits : la solennelle dénonciation du « colonialisme économique » qui pille les ressources des États trop riches en matières premières convoitées et l’exhortation à « cesser d’étouffer l’Afrique, qui n’est ni une mine à exploiter ni une terre à dévaliser et qui doit être protagoniste de son destin ».
 À lire aussi Les Sud-Soudanais attendent le Pape entre espoir et résignation
Pour sa part, le cardinal Ambongo archevêque de Kinshasa, n’a pas craint de dénoncer la « tricherie » qui, selon lui, aurait marqué le scrutin précédent, de stigmatiser la corruption et de réclamer pour le 20 décembre prochain, « des élections libres, transparentes et apaisées ». C’est donc un double défi que les « hommes de Dieu » ont lancé au président Tshisekedi qui, revenant de l’aéroport, a immédiatement reçu Hadja Lahbib, la ministre des Affaires étrangères de Belgique. Cette dernière s’est également souciée du double défi que doit affronter le Congo : comment organiser des élections libres alors que la guerre, chaque jour davantage, déchire l’Est du pays et menace d’entraîner les pays voisins dans une spirale de violence ?

Pour comprendre le premier défi, celui des élections, la ministre a commencé son séjour par la visite d’un « centre d’enrôlement » dans le « quartier chic » de la Gombe. Partout, dans la ville, sont apposées de grandes affiches où les candidats déjà en lice, comme l’ancien président Jean-Pierre Bemba, appellent les électeurs à s’enrôler. Le centre d’inscription kinois est l’un des 22.782 centres qui s’ouvriront à travers tout le pays et Dieudonné Tshiyolo, directeur de cabinet du président de la Commission électorale Denis Kadima, se montre confiant : « Notre nouvelle “machine à voter” est plus performante que celle de mon prédécesseur Corneille Nangaa, difficile à transporter et qui, à l’issue du scrutin avait été massivement volée pour être transformée en simple PC. La machine actuelle, produite en Corée du Sud par la société Miru comme la précédente, enregistre les électeurs, compare leurs données personnelles avec le fichier dont nous disposons déjà et produit une carte plastifiée et indestructible. Après les élections, le même logiciel, au départ des informations introduites, permettra la production de cartes d’identité. »
 À lire aussi Congo: Mukwege hésite à se jeter dans l’arène électorale
Bref, « tout roule », assure le collaborateur du président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), « les délais seront respectés et 49 millions d’électeurs seront dûment enregistrés ». Installée devant l’écran, Hadja Lahbib garde ses réflexes d’ancienne journaliste. Si elle pose des questions techniques, elle s’enquiert aussi de la grosse inconnue du scrutin : « Comment les quelque 500.000 déplacés chassés par la guerre dans l’Est du pays pourront-ils être enregistrés et finalement voter ? »
 À lire aussi Martin Fayulu: «Il est évident que Félix Tshisekedi mettra tout en œuvre pour rester au pouvoir»

Alors que son interlocuteur croit encore au « miracle congolais », la ministre belge, visiblement, est préoccupée par cette guerre qui s’étend au Nord-Kivu. Car les nouvelles qui parviennent à Kinshasa ne sont pas bonnes : alors que Goma pourrait se trouver encerclée d’un jour à l’autre et que le ravitaillement en vivres y est menacé, sur Bukavu, la capitale du Sud-Kivu, la pression s’accroît également. D’après la société civile locale, des chars rwandais seraient massés sur la frontière du côté de Kamanyola, sur la route du Burundi, la forêt de Nyungwe serait infiltrée par des groupes rebelles, le moindre incident pourrait déclencher une guerre ouverte car la confiance est au plus bas. A tel point que les Congolais ont exigé que soient écartés des officiers rwandais participant à la force régionale déployée par la Communauté est-africaine et que des manifestants réclament déjà le départ de cette force (composée de Kenyans, d’Ougandais, de Burundais et de Sud Soudanais) jugée aussi inutile que la Monusco (Mission de l’Onu en République démocratique du Congo) elle-même…
À lire aussi RD Congo: découverte de fosses communes contenant près de 50 civils morts
Venue de Luanda, la ministre belge a transmis à Kinshasa les interrogations du président Joao Lourenço. S’il critique le soutien apporté par le Rwanda à un M23 qui avance au lieu de se retirer, il se demande aussi si Kinshasa a bien rempli tous ses engagements : bannir toute collaboration entre l’armée congolaise et les opposants hutus qualifiés de « génocidaires » par Kigali, interdire les « messages de haine » visant les Tutsis congolais.
À lire aussi Le groupe jihadiste Etat islamique revendique une attaque en RD Congo

Durant un long entretien, le président Tshisekedi a répondu à toutes ces questions. S’il souhaite une désescalade militaire et la pacification de l’Est, il exige aussi le respect des frontières de son pays et dénonce le « double standard » pratiqué par une Europe virulente lorsqu’il s’agit de l’Ukraine envahie… Malgré les dangers des déplacements en avion dans la région des Grands Lacs (nul n’a oublié la mort tragique du président rwandais Habyarimana…), le président congolais entend cependant se rendre ce samedi à Bujumbura où il rencontrera les chefs d’Etat de la région, en espérant que le mandat de la force est africaine sera rendu plus offensif.
Hadja Lahbib, quant à elle, a rappelé la position belge : soutenir le processus électoral et encourager l’UE à libérer les 20 millions d’euros prévus pour soutenir la réforme de l’armée congolaise, Bruxelles maintenant son engagement à former la 31e brigade présente à Kindu et très appréciée. Elle a aussi rappelé que la Belgique avait dûment condamné les agissements des rebelles du M23 et de son sponsor.
 À lire aussi RD Congo: le Nord-Kivu, victime des rivalités entre l’Ouganda et le Rwanda (carte)
En public comme en privé, tous les interlocuteurs de la délégation belge ont cependant rappelé un point qui fait désormais l’unanimité, du simple citoyen jusqu’au président de l’Assemblée nationale : chat échaudé craignant l’eau froide, il n’est plus question d’exiger que l’armée congolaise intègre dans ses rangs des chefs de mouvements rebelles liés à des pays voisins, le Rwanda en l’occurrence…

"Dialogue ou élection ? - 10-02-2023
= https://ouragan.cd/2023/02/dialogue-ou-election
Les consultations initiées, en 2020, par Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo ont débouché sur la constitution d’une nouvelle majorité parlementaire, sous l’étiquette de l’Union sacrée pour la nation (USN). Et depuis, un nouveau gouvernement, dirigé par Sama Lukonde Kyenge, est aux affaires. C’est dans ce contexte politique de crise que la classe politique, la société civile et les partenaires techniques et financiers de la RDC ont ressorti leurs agendas concernant l’organisation des prochaines élections dans le pays. Celles-ci auront-elles lieu aux dates indiquées ?

LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?  1675967662390
Les principaux acteurs qui influent dans la politique congolaise @Photo Droits tiers

Il y a trois ans déjà, toutes les parties prenantes étaient à peu près d’accord que des réformes comme préalables étaient nécessaires avant le lancement du processus électoral. Celui-ci avait déjà pris du retard par rapport aux prescrits de la Constitution. Ces réformes exigées étaient censées venir corriger les défaillances constatées lors des scrutins de 2006, 2011 et 2018 afin qu’elles ne se répètent plus.
Lire aussi :
EAC : la DYPRO exige le retrait de la RDC
C’est dans cette perspective que le Parlement a adopté une nouvelle loi électorale sur la base de la proposition de Christophe Lutundula Apala alors député et actuellement ministre des Affaires étrangères, ainsi que la loi relative à l’organisation et le fonctionnement de la Commission électorale nationale indépendante (CENI). Avec l’investiture de la nouvelle équipe à la tête de la CENI, dirigée par Denis Kadima Kazadi, le processus électoral de 2023 a été donc officiellement lancé.

Entre-temps, d’autres réformes restent à faire : la révision du cadre législatif des élections, particulièrement la modification de la loi électorale n°17/013 du 24 décembre 2017, modifiant et complétant la loi n°06/006 du 9 mars 2006 portant organisation des élections présidentielles, législatives, provinciales, urbaines, municipales et locales. Cette réforme de la loi électorale pourrait introduire des modifications notamment dans les domaines suivants : la répartition des sièges, le seuil de représentativité pour prétendre à l’attribution de sièges, l’évolution des frais de dépôt de candidature par nombre de sièges visés.
Aujourd’hui, la rumeur enfle. Les élections prochaines auront-elles effectivement lieu cette année 2023 comme prévu dans la Constitution ? Le président de la République a tranché vif dans la controverse sur l’organisation des élections présidentielles et législatives : celles-ci auront lieu en 2023. Pas si sûr, entend-on ici et là. Vue sous l’angle de cette échéance, la problématique du financement et de l’opérationnalisation du processus électoral, mais aussi celle de l’appui des partenaires techniques censés accompagner la CENI sont au cœur du débat actuel sur le report inévitable des élections majeures.

Kadima coupe court

Le président de la CENI se veut rassurant. Il s’est dit récemment satisfait du bon déroulement de l’opération d’identification et d’enrôlement des électeurs. Il a précisé que la CENI est vraiment engagée à réussir cette opération qui vise à capter au moins 40 millions d’électeurs. À ce stade, la CENI est en phase avec son calendrier électoral. Ainsi, la prolongation n’est pas d’actualité.
Mais cela ne veut pas dire que le « glissement », comme en 2016, n’est pas à l’ordre du jour. En effet, fait comprendre un expert qui a requis l’anonymat, le processus électoral, c’est comme un engrenage. Il suffit qu’un grain de sable s’y glisse pour que la machine arrête de tourner. Selon le même expert, les contraintes de tous genres dans l’organisation des élections vont certainement peser quant au respect strict des échéances par la CENI. L’organe en charge de l’organisation des scrutins doit non seulement disposer du temps pour faire un travail qui sera accepté par tous, surtout par tous les acteurs politiques, mais aussi des moyens de sa politique.

Les contraintes et défis

Pour rappel, la CENI avait publié, le 3 février 2022, sa feuille de route pour les prochaines échéances électorales. Celle-ci fait face, à ce jour, à des incertitudes quant à la bonne tenue des élections dans les délais constitutionnels. Selon des sources proches de la CENI, il y a quatre dates butoirs dans son plan opérationnel, comme limites à ne pas dépasser. Il s’agit de la date du 11 juillet 2023 pour la convocation de l’électorat en vue des scrutins directs des conseillers des communes, des députés provinciaux, des députés nationaux et des candidats à l’élection présidentielle (article 11 de la loi électorale) ; de la date du 24 décembre 2023 pour le scrutin du président de la République, des députés nationaux, des députés provinciaux et des conseillers des communes ; de la date du 22 février 2024 pour les scrutins des sénateurs et des conseillers urbains ; et de la date du 5 mars 2024 pour les scrutins des gouverneurs de province, des maires, des bourgmestres et des chefs de secteur.
Par rapport à ces dates critiques, soulignent les mêmes sources, un retard d’une ou deux semaine (s) dans l’exécution des opérations entraînerait le report des premiers scrutins au 16 janvier 2024, tandis que celui d’un mois les repousserait au 24 avril 2024. Ainsi, pour éviter ce scénario qui pourrait entraîner une crise politique, il y a quelques préalables majeurs. Il s’agit notamment de la disponibilisation à temps des ressources, notamment financières considérées comme le nerf de la guerre.
Lire aussi :
Sud-Ubangi : les animateurs de la territoriale présentés à Zongo

Les contraintes financières, techniques, sanitaires, logistiques et sécuritaires risquent donc d’entraver à tout moment l’organisation des scrutins. Il est évident qu’un processus électoral sous-financé par le gouvernement congolais va certainement aboutir à une organisation bâclée, voire calamiteuse des élections. Par ailleurs, la situation sécuritaire dans l’est du pays et le défi logistique constituent une lourde hypothèque sur le processus électoral de 2023 si l’on n’y prend garde.
Dans les pays en phase de consolidation démocratique, comme la RDC, il est important que les réformes du processus électoral soient adoptées consensuellement afin de réduire les potentielles contestations qui pourraient donner lieu aux violences et même à l’instabilité de l’État. Le consensus est aussi gage de transparence. Or, en RDC, le défaut de consensus est souvent l’une des causes principales de la remise en question totale du processus électoral. Il est donc capital que les forces politiques réaffirment leur volonté de parvenir à un consensus.
Malheureusement, il n’y a pas eu une réelle volonté de parvenir à un consensus sur les réformes de la loi électorale et la loi relative à la CENI, ainsi que sur l’engagement d’avoir les élections libres, justes et transparentes dans le pays.

Nécessité de dialogue

Techniquement, estiment des observateurs, il sera difficile d’organiser les élections en 2023. Pour eux, il est souhaitable que les parties prenantes se mettent d’accord sur le séquençage des opérations électorales en fonction du retard sur les prescrits de la Constitution. L’histoire politique de notre pays a démontré qu’en cas de crise majeure, les Congolais parviennent le plus souvent à transcender leurs divergences pour l’intérêt national. Depuis 2020, Martin Fayulu Madidi, par exemple, appelle à un dialogue pour parvenir à un consensus politique. Ne pas y prêter l’oreille est un risque politique élevé.
La stabilité politique est désormais un élément déterminant dans l’appréciation du risque politique. C’est ainsi que la RDC est encore considérée comme une destination risquée étant donné qu’elle se trouve dans une région dynamique où la stabilité d’un pays ne peut pas être garantie.

Vivement les élections !

Les Congolais réclament à cor et à cri les élections. C’est tout à fait légitime de leur part, car les élections sont toujours le moment propice pour passer un message rude. C’est comme la pénitence, explique un politologue, qui sanctionne, chez d’aucuns, la posture de ceux qui sont au pouvoir. Chez d’autres (ou les mêmes), leurs politiques économique et sociale. En vérité, les élections expriment le mécontentement (rarement la satisfaction) qui accuse surtout l’état de la nation.
Ailleurs, on n’attend pas le moment de la campagne électorale et les scrutins pour faire entendre le message attristé ou grinçant. C’est, déjà, dans l’année électorale ou la période qui la précède, sur le fond de la politique, que les questions (réformes) économiques (croissance, chômage, industrie, finances publiques, dépréciation monétaire…) occupent la place centrale dans le débat politique. Les états-majors des partis politiques, les syndicats, les mouvements citoyens passent au pilori le bilan du quinquennat en cours. En attendant que le mécontentement ou la satisfaction ne soit pas exprimé (e) dans les urnes et sanctionne l’état de la nation.


"Elections 2023: La CENI devrait améliorer ses services - 7 février 2023
= https://www.congoindependant.com/elections-2023-la-ceni-devrait-ameliorer-ses-services/
Lubumbashi, 7 Fevrier 2023. Au Katanga, la Commission Nationale Electorale Indépendante (CENI) devrait améliorer ses services, afin de mieux organiser les élections présidentielle, législatives, urbaines et locales en décembre 2023. Des membres de l’IRDH dénombrent des anomalies compromettantes.
En fait, le 25 janvier 2023, Lubumbashi a connu le début de l’enrôlement des électeurs, à l’instar de toute la « deuxième aire », comprenant les provinces issues de l’ancien Katanga et de l’ancien Kasaï. Le 28 janvier, le président Denis Kadima était dans cette ville, pour s’assurer du bon déroulement du processus.
Cependant, des chercheurs de l’IRDH qui ont fait la ronde des centres d’inscription (CI), constatent des anomalies substantielles des services organisateurs des élections. Tenez:

  • Manque de serviabilité et brutalité: Des attitudes hostiles vis-à-vis des moins nantis qui sont souvent repoussés par la violence verbale ou physique. Dans certains CI, c’est l’ambiance du chaos;
  • Monnayage des services: Le mépris précède le monnayage. Beaucoup de personnes tiennent à obtenir la carte qui servirait de présomption de nationalité, plutôt que pour voter. Ainsi, elles sont abusées jusqu’à une gentille extorsion d’argent;
  • Défaillances techniques: Dans plusieurs centres d’inscription, le personnel déplore des pannes techniques. Exemple: Au CI Ecole Imara du centre-ville, le 3 février, sur trois machines, une seule était opérationnelle;
  • Longues et décourageantes heures d’attente: Un chercheur était arrivé à IMARA, le 2 février, à 4 heures 30 minutes du matin. Il s’était vu délivré un jeton qui lui avait permis d’être servi, le lendemain à 15 heures. Un témoin du village Kipopo était allé, le premier jour, se faire enrôler à 12 Kilomètres (Quartier Tshamalale Poids Lourd). Il s’était vu renvoyé au CI Muyeye (7 Km de chez lui). Au deuxième jour, il était arrivé à Muyeye (Poleni Nouvelle Ville) à 5 heures du matin. On lui avait remis un jeton, afin de revenir le lendemain. Au troisième jour, il était obligé de donner de l’argent et fut servi le dernier;
  • Multiple cartes pour un individu: Un chercheur de la Katuba témoigne qu’un seul citoyen détenait cinq cartes. Il aurait payé des agents dans différents centres.

De ce qui précède, l’IRDH recommande à la CENI de renforcer le mécanisme de contrôle de ses agents, afin de mieux servir les citoyens. Un enrôlement bâclé expose l’ensemble du processus à un échec susceptible d’engendrer des violences au moment des élections.
Me Hubert Tshiswaka Masoka/IRDH


"Enrôlement : les chiffres contestés de Kadima - 09-02-2023
= https://ouragan.cd/2023/02/enrolement-les-chiffres-contestes-de-kadima
De qui Kadima se moque-t-il”, s’est interrogé un expert spécialisé dans l’accompagnement des partis politiques et des candidats aux élections, après la publication des chiffres de la CENI au sujet du nombre d’inscrits sur les listes électorales dans la première aire opérationnelle.

D’après le bureau de la Commission électorale nationale indépendante, 12.030.470 de personnes soit 64,35% d’électeurs se sont inscrites déjà pour les élections de décembre prochain, un chiffre largement supérieur par rapport aux prévisions de la centrale électorale. La première aire opérationnelle est composée de dix provinces. Il s’agit de l’Équateur, Kinshasa, Kongo central, Kwango, Kwilu, Maï-Ndombe, Mongala, Nord-Ubangi, Sud-Ubangi et Tshuapa. Les chiffres de Kadima ne passent pas dans les états-majors politiques et dans certains bureaux des structures d’observation des élections. Les acteurs politiques comme les observateurs électoraux attendaient de la CENI des données statistiques détaillées. “C’est de la poudre aux yeux”, s’insurge un acteur de la société civile. Étant donné que la CENI a publié des chiffres non étayés de données palpables. “Ils doivent faire très attention. En cherchant à tourner en bourrique toute une nation, Denis Kadima cherche une catastrophe électorale. Qu’il se renseigne, rien que pour certifier de la transparence, nous devons voir le serveur centralisateur des données, sans quoi, c’est de la provocation”, s’irrite un membre de Lamuka. Il ne s’agit pas d’une promenade de santé, mais plutôt d’un processus électoral mal entamé et qui risquerait de faire chavirer le navire.

Plusieurs centres d’inscription toujours inopérants

Si dans le grand Équateur plusieurs centres d’inscription des électeurs accusent un sérieux problème de sources d’énergie pour alimenter les kits d’enrôlement, au Kongo central et dans certains quartiers de Kinshasa, le personnel n’est pas du tout à la hauteur de la tâche. La Commission africaine pour la supervision des élections (CASE) évaluant le processus depuis son bureau de Chicago aux États-Unis d’Amérique constate qu’“en dépit de la prolongation du délai d’enrôlement dans la première zone opérationnelle sur 25 jours, la qualité de l’opération ne cesse de se détériorer”. Les rapports recueillis par des organisations partenaires de la CASE soulignent malheureusement les mêmes défauts et les mêmes faiblesses. La CASE invite la CENI à ne pas se comporter comme certains animateurs de l’Union sacrée de la nation (USN) qui croient qu’en monnayant une mobilisation protocolaire à l’enrôlement, ils se rassurent d’un électorat. “En tournant le dos à tous ceux qui lui disent la vérité, la CENI se perd et sacrifie un cycle électoral de tous les espoirs”, a déclaré Simaro Ngongo Mbayo, président de la CASE. Cette structure spécialisée en matière électorale attire l’attention de la CENI sur “la complexité de l’enrôlement dans les territoires du Nord-Kivu actuellement en proie à l’insécurité où il est signalé l’introduction par le Rwanda, des populations étrangères pour influer sur le poids de l’électorat congolais”. L’organisation estime que la question électorale nécessite d’être discutée avec toutes les parties prenantes afin de crédibiliser davantage l’actuel cycle électoral.

La CASE salue l’appel du pape François

La Commission africaine pour la supervision des élections (CASE) a rendu hommage à Sa Sainteté le pape François pour son exhortation à la tenue d’élections libres, transparentes et crédibles en République démocratique du Congo. La CASE adhère à cet appel à la vigilance pour “que les ténèbres de l’injustice et de la corruption qui obscurcissent la lumière du bien ne violent pas le droit à l’équité électorale” consacrée par la loi fondamentale de la République démocratique du Congo. Cet encouragement papal devrait interpeller les parties prenantes au processus électoral afin, dit-elle, que celles-ci travaillent fondamentalement dans l’esprit du consensus et de l’inclusivité. “La CASE s’indigne contre les attaques dirigées contre l’Église catholique, la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) et de son évêque Fridolin Cardinal Ambongo Besungu, dont le seul tort serait cette recommandation formulée publiquement en présence du Saint-Père, de promouvoir des élections libres, démocratiques, transparentes et inclusives”, souligne sa déclaration du 7 février 2023. Elle condamne également les interpellations opérées à l’issue de la réunion du pape avec les jeunes au stade des Martyrs le jeudi 2 février 2023. Même si les personnes interpellées ont été relâchées, l’acte posé par le gouvernement ternira pour longtemps l’image de notre démocratie électorale. Alors que d’aucuns estiment que le scrutin de décembre ne rassure pas tous les acteurs, l’équipe Kadima amplifie le doute.
Lire aussi :
La VSV salue la prolongation de l’opération d’enrôlement des électeurs

Désormais, le chemin vers les élections de 2023 devient de plus en plus chaotique. Le décor de la contestation est planté. Ces doutes autour des chiffres de l’enrôlement des électeurs poussent le PPRD à camper sur sa position, celle de boycotter le processus électoral en cours. D’après, le secrétaire permanent adjoint du parti de Joseph Kabila, les chiffres de la CENI laissent apparaître des taux d’enrôlement largement supérieurs aux prévisions. La polémique enfle même dans l’opinion. “Denis Kadima prépare la fraude à grande échelle”, dénoncent sur Twitter plusieurs Congolais. Ceux-ci attendent impatiemment la réaction de Martin Fayulu, candidat déclaré à la présidentielle de 2023 qui avait exigé à la CENI, il y a peu, de publier le nombre d’inscrits par centre d’enrôlement et par province.
Dans la deuxième zone opérationnelle qui comprend les provinces du grand Kasaï et du grand Katanga, on parle jusque-là de 8% d’enrôlés. Au total, 1.244.794 d’électeurs ont été jusqu’ici enrôlés sur les 15.381.709 attendus.
Pour cette opération d’identification et d’enrôlement, l’organe technique vise plus de 50 millions d’enrôlés, soit 10 millions de plus que lors du dernier processus. Initialement prévu pour le 23 janvier, l’enrôlement dans les dix premières provinces se poursuit jusqu’au 17 février 2023. La décision a été prise lors d’une plénière de la CENI après les difficultés opérationnelles rencontrées.


"Kwilu: 55% de la population déjà enrôlée, la société civile sollicite un mois de plus de prolongation  - 10 février 2023
= https://actualite.cd/2023/02/10/kwilu-55-de-la-population-deja-enrolee-la-societe-civile-sollicite-un-mois-de-plus-de

LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?  KWILU
Service infographie/ACTUALITE.CD

Depuis le début de l’opération d’identification et d'enrôlement des électeurs jusqu'à une semaine et demie de la fin du délai de prolongation, la CENI n'a enrôlé que 1.583.006 personnes sur 2. 828. 414 attendues, soit 55,97% de la population déjà enrôlée.  Les résultats rendus publics par la centrale électorale révèlent qu'il y a au total 857. 633 hommes contre 725. 373 femmes, soit une différence de 45% à atteindre pour le temps restant. 
Pour la société civile de Kwilu, il est impossible d'atteindre les pourcentages restant dans le délai d'une semaine et demie. Son président Dieudonné Nzimbu exige que ce délai soit prolongé d'un mois de plus pour atteindre toutes les prévisions de la CENI. 

"C’est inquiétant parce que, selon les statistiques présentées par la CENI, il s'avère qu'il y a un écart considérable entre le nombre d'électeurs attendus et ceux enrôlés. À un mois et deux semaines, les centres n'ont enrôlés que 55%, la différence est de 45%. Maintenant il ne nous reste qu'une semaine et demie. On se pose des questions si dans ce délai, la CENI sera à mesure d'enrôler les 45% d'électeurs qui sont restés. A mon avis c'est pratiquement impossible. A la CENI de revoir comment ajouter encore un mois de plus pour compléter les 45%", a-t-il indiqué. 
Le secrétaire exécutif provincial de la CENI qui a récemment effectué une mission de supervision dans la province a noté une amélioration de l'opération. Il a signalé que des problèmes logistiques ont été pris en charge et des agents ont été remis à niveau. Jean Robert Muyense a indiqué par ailleurs que des  smartphones sont disponibilisés dans les centres d'inscription pour faciliter l'utilisation de l'application Prerap CENI.


"Enrôlement des électeurs AO2: sur 7.669 C.I prévus, 3.126 sont opérationnels soit 41% avec 1.244.794 des personnes déjà enrôlées soit 8% - 09.02.2023(CENI)
= https://actualite.cd/index.php/2023/02/09/enrolement-des-electeurs-ao2-sur-7669-ci-prevus-3126-sont-operationnels-soit-41-avec
Lancée mercredi 25 janvier dernier, l'opération d'identification et d'enrôlement des électeurs se poursuit dans la deuxième aire opérationnelle en RDC. Devant la presse, Patricia Nseya, Rapporteur de la commission électorale nationale indépendante a présenté le monitoring de la situation jusqu'au 7 février de l'année en cours dans les différents pays et provinces concernées
"Nombre de CI prévus : 7.669, Nombre de CI opérationnels: 3.126 soit 41 %, Nombre d’électeurs attendus : 15.381.709, Nombre d’enrôlés à ce jour : 1.244.794, soit 8%, Hommes : 675.206 et 569.588 femmes" a annoncé Patricia Nseya devant la presse mercredi 8 février 2023
L’opération se déroule également en Afrique du Sud, en Belgique et en France. L’évolution d’enrôlés dans ces trois pays se présente comme suit : 
-Afrique du Sud: 918 enrôlés dont 603 hommes et 315 femmes.
-Belgique:  1.030 enrôlés dont 688 hommes et 342 femmes. 
-France: 1463 enrôlés dont 1057 hommes et 406 femmes. 
S'agissant du début des opérations à la troisième aire opérationnelle, la centrale électorale a annoncé la fin imminente de la formation de ses agents en vue de leur déploiement sur terrain
"Les membres des centres d’inscription dans la troisième aire opération sont au dernier niveau de la cascade de formation et la CENI s’apprête ainsi à y lancer l’opération d’identification et d’enrôlement des électeurs d’ici le 16 février. Toute la logistique nécessaire y afférente y a été déployée" a rassuré Patricia Nseya dans sa communication
Les provinces et les pays concernés par l'opération d'identification et d'enrôlement à la deuxième aire opérationnelle sont les suivants : Haut-Katanga, Haut-Lomami, Kasaï, Kasaï-Central, Kasaï-Oriental, Lomami, Lualaba, Sankuru, Tanganyika, l’Afrique du Sud, la Belgique et la France, précise la CENI.

"Enrôlement des électeurs-AO1: 12.030.470 personnes déjà enrôlées, soit 64,35% de ses prévisions (CENI) - 9 février 2023
= https://actualite.cd/index.php/2023/02/09/enrolement-des-electeurs-ao1-12030470-personnes-deja-enrolees-soit-6435-de-ses
La commission électorale nationale indépendante a fait le point sur l'évolution des opérations d'identification et d'enrôlement des électeurs en République Démocratique du Congo. Dans la première aire opérationnelle, à ce jour là la CENI dit avoir atteint 64,35% de ses prévisions et le processus se déroule dans la tranquillité.
"Après la ronde dans plusieurs centres d'inscription (CI), le constat est plus que positif au regard de l'engouement de la population et des statistiques actualisées à notre disposition. Preuve que les Congolais en âge de voter et remplissant les conditions sont déterminés à jouer leur rôle de souverain primaire", a fait savoir devant la presse Patricia Nseya, Rapporteur de la CENI ce mercredi 8 février.
Et de poursuivre :
"Le monitoring de la CENI jusqu'au 7 février 2023 dans la première aire opérationnelle se présente comme suit : sur 9200 centres d'inscription prévus,9200 centres sont opérationnels soit 100%, Nombre d'électeurs attendus 18.694.542, nombre d’enrôlés à ce jour 12.030.470 soit 64,35%, Hommes : 6.208.233 et Femmes : 5.822.237".
La première aire opérationnelle est composée de dix provinces. Il s’agit des provinces de l’Equateur, Kinshasa, Kongo-Central, Kwango, Kwilu, Maï-Ndombe, Mongala, Nord-Ubangi, Sud-Ubangi et Tshuapa.
Cette opération à la première aire opérationnelle dont la fin était initialement prévue pour lundi 23 janvier, va se poursuivre jusqu'au 17 février 2023. L'option a été levée à l'issue d'une plénière de la CENI au regard des difficultés opérationnelles rapportées.
= https://www.politico.cd/encontinu/2023/02/10/elections-en-rdc-12-millions-delecteurs-enroles-dans-six-provinces.html/128018/


"Processus électoral: l'ambassade des USA et l'USAID chez Denis Kadima - 10.02.2023
= https://objectif-infos.cd/2023/02/10/ceni-lorganisation-des-elections-au-coeur-des-echanges-entre-denis-kadima-et-la-cheffe-de-mission-adjointe-a-lambassade-des-usa/
"Processus électoral en RDC : les États-Unis saluent les progrès réalisés par la CENI -10:02:2023
= https://www.opinion-info.cd/scrutin/2023/02/10/processus-electoral-en-rdc-les-etats-unis-saluent-les-progres-realises-par-la
= https://www.digitalcongo.net/article/63e16bac394cc406435fae9a/

"Présidentielle : la course d'obstacles de la Ceni -10:02:2023
= https://www.africaintelligence.fr/afrique-centrale/2023/02/10/presidentielle--la-course-d-obstacles-de-la-ceni,109911072-art
Calendrier trop court, tensions avec le ministère des finances, tentatives d'immixtion de responsables politiques... Le processus électoral en vue de la présidentielle prévue en décembre est semé d'embûches pour la Commission électorale nationale indépendante. [...] (714 mots)

"RDC – Révision du fichier électoral : La CENI, satisfaite de l’évolution de l’opération sur toute l’étendue - 9 février 2023
= https://geopolismagazine.net/rdc-revision-du-fichier-electoral-la-ceni-satisfaite-de-levolution-de-loperation-sur-toute-letendue/

= https://www.7sur7.be/monde/hadja-lahbib-en-visite-au-congo-il-est-urgent-que-la-rdc-se-ressaisisse~aa60a6c5/?referrer=https%3A%2F%2Fwww.google.com%2F
= https://www.radiookapi.net/2023/02/10/actualite/politique/uvira-la-monusco-sensibilise-les-journalistes-sur-le-role-des-medias
= https://www.radiookapi.net/2023/02/08/actualite/politique/sud-kivu-la-ceni-satisfaite-de-lapport-de-la-monusco-dans-le
= https://www.lemonde.fr/afrique/article/2023/02/08/pour-la-premiere-fois-les-congolais-de-france-s-enrolent-pour-voter_6161051_3212.html
= https://bx1.be/categories/news/de-80-a-90-congolais-senregistrent-chaque-jour-a-bruxelles-comme-electeurs/

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Compatriotiquement!


# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul # # Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #

ndonzwau


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LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?  Empty Re: LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?

Message  ndonzwau 14/2/2023, 7:27 pm

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"Nord-Kivu: la société civile conditionne l’enrôlement des électeurs par le retour des déplacés dans les zones contrôlées par le M23 - 14 février 2023 à
= https://www.politico.cd/encontinu/2023/02/14/nord-kivu-la-societe-civile-conditionne-lenrolement-des-electeurs-par-le-retour-des-deplaces-dans-les-zones-controlees-par-le-m23.html/128281/
Le lancement de l’opération d’identification et d’enrôlement des électeurs dans le Nord-Kivu est prévu ce jeudi 16 février, selon le calendrier de la Commission électorale nationale indépendante ( CENI) .
Le lancement de ce processus en cette date retenue par la centrale électorale nationale intervient pendant que plusieurs territoires de la province sont occupés par les terroristes supplétifs de l’armée rwandaise [M23 Ndlr ] obligeant les populations à se déplacer massivement vers la ville de Goma. Une situation qui risque d’empêcher à plusieurs déplacés de s’enregistrer dans leurs milieux d’origine.


Les coordinations territoriales de société civile de Rutshuru, Masisi et Nyiragongo qui se disent préoccupées par la dégradation de la situation sécuritaire dans le Nord-Kivu en général, et dans les zones occupées par « les agresseurs rwandais et ougandais » sous couvert du M23, désapprouvent le processus enclenché par la CENI pour enrôler les populations déplacées en installant des centres d’enrôlement dans leurs lieux de déplacement.
Ces forces vives tiennent mordicus à l’intégrité territoriale et au retour de tous les déplacés victimes de cette guerre « injuste » dans leurs zones de provenance comme préalable avant le lancement des opérations d’enrôlement.
« Les agresseurs dans leurs velléités expansionnistes poursuivent leur plan d’occupation des nouvelles entités, et jurent d’aller très loin, ce qui provoque des déplacements massifs des populations et la déstabilisation générale de nos compatriotes qui vivent des situations humanitaires catastrophiques dans leurs milieux de déplacements et rend incertain les opérations d’enrôlement au Nord-Kivu », soulignent les coordinations territoriales de société civiles des territoires perturbés par la guerre du M23.
« Plusieurs de nos compatriotes pris en otage suite à la coupure des voies routières par ces terroristes rebelles rwandais traversent un calvaire et dont ils sont privés de toutes libertés. Ils seront privés d’inscription sur la liste des électeurs et l’obtention de leurs cartes d’électeurs qui pourtant vaut une carte d’identité alors que tout citoyen congolais a droit de voter », a-t-il martelé.
La société civile rappelle que dans certains villages du territoire de Nyiragongo, groupements Kibumba et Buhumba, des sources locales signalent l’occupation des maisons des citoyens congolais ayant fui les atrocités par une nouvelle population qui serait venue du Rwanda et mènerait une campagne d’accaparement des terres. « Cette pratique s’étend progressivement sur toute l’étendue que les agresseurs occupent », a-t-on appris.
« L’enrôlement dans ce contexte donnera une belle occasion à ces étrangers d’avoir la nationalité congolaise par cette voie », craint la société civile.En
= https://www.radiookapi.net/2023/02/14/actualite/politique/nord-kivu-le-debut-de-loperation-denrolement-des-electeurs-fixe-au-16


"RDC: les opérations d'enrôlement des électeurs dans l'est se précisent-  12/02/2023
= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20230212-rdc-les-op%C3%A9rations-d-enr%C3%B4lement-des-%C3%A9lecteurs-dans-l-est-se-pr%C3%A9cisent
La Commission électorale nationale indépendante (Céni) a confirmé le début des opérations d’identification et d’enrôlement des électeurs dans la partie Est de la RDC pour le 16 février. Elles dureront un mois, selon le calendrier. Pour réussir ce pari, des réunions se multiplient. Vendredi, par exemple, le Premier ministre Sama Lukonde a réuni les responsables de la Céni, le ministre de la Défense et celui de l'Intérieur pour faire le point.
Avec notre correspondant à Kinshasa, Patient Ligodi

Dans tous les territoires du Nord-Kivu existent des zones contrôlées par des milices. Les combattants du M23 par exemple sont aux portes de Goma et occupent des localités dans trois des six territoires de la province.
C’est la région la plus difficile à couvrir par la centrale éIectorale, reconnaît le président de la Céni, Denis Kadima : « Il y a des coins, des territoires de cette partie du pays qui ont des problèmes d’insécurité. Il fallait analyser la situation ensemble et voir dans quelle mesure l’enrôlement peut se faire dans cette partie sans trop de grabuge. »
De son côté, le gouvernement tente de rassurer. Le ministre de l’Intérieur, Daniel Aselo promet des moyens conséquents : « L’armée et la police seront mobilisées pour que nos populations de l’Est du pays participent toutes dans la mesure du possible à ce processus d’enrôlement. C’est l’essentiel par rapport à l’aspect sécuritaire. 
En dépit des assurances, les matériels acheminés par la Monusco à Goma ne sont pas encore déployés dans le reste de la province. 
Selon plusieurs sources, les autorités réfléchissent à l’idée de reporter à une date ultérieure l’enrôlement des électeurs dans les zones contrôlées par le M23. Si ce scénario devait se confirmer, les sièges concernés par les zones à problèmes seraient pourvus plus tard, en fonction de l’évolution de la situation.

"Sud-Kivu : l'enrôlement des électeurs demarre ce jeudi, voici les centres retenus à Bukavu
= https://laprunellerdc.info/sud-kivu-lenrolement-des-electeurs-demarre-ce-jeudi-voici-les-centres-retenus-a-bukavu/
= https://24newsagency.com/enrolement-des-electeurs-quid-du-deroulement-du-processus-dans-la-partie-est-du-pays/




" Processus électoral/RDC : La CENI a déjà enrôlé plus de 13 millions d’électeurs dans 2 aires opérationnelles - 9 Fév 2023

= https://radiostarbukavu.com/2023/02/processus-electoral-rdc-la-ceni-a-deja-enrole-plus-de-13-millions-delecteurs-dans-2-aires-operationnelles/
= https://www.radiookapi.net/2023/02/09/actualite/politique/rdc-au-moins-12-millions-delecteurs-enroles-dans-la-premiere-aire
= https://zoom-eco.net/a-la-une/rdc-au-7-fevrier-2023-la-ceni-a-enrole-6435-delecteurs-attendus-dans-lao-1/

"Révision du fichier électoral : «Déjà  5.822.237   femmes enrôlées sur les 12.030.470 personnes enregistrées par la CENI » dixit Patricia NSEYA - 08/02/2023
= https://pourelle.info/revision-du-fichier-electoral-deja-5-822-237-femmes-enrolees-sur-les-12-030-470-personnes-enregistrees-par-la-ceni-dixit-patricia-nseya/


"Enrôlement des électeurs : CREEDA dénonce une campagne électorale précoce - 13:02:2023
= https://magzote.com/2023/02/13/enrolement-des-electeurs-creeda-denonce-une-campagne-electorale-precoce/


"CENI : immense défi sécuritaire pour assurer l’enrôlement des électeurs dans l’aire opérationnelle 3 - février 13, 2023
= https://infos.cd/actualite/elections/ceni-immense-defi-securitaire-pour-assurer-lenrolement-des-electeurs-dans-laire-operationnelle-3/18810/

"Vidéo; En RD Congo : enrôlement des électeurs, un processus lancé jusqu'en février prochain
= https://www.france24.com/fr/vid%C3%A9o/20230112-en-rd-congo-enr%C3%B4lement-des-%C3%A9lecteurs-un-processus-lanc%C3%A9-jusqu-en-f%C3%A9vrier-prochain


"Polémique autour du nombre d'enrôlés dans la première aire opérationnelle
= https://topcongo.live/articles/polemique-autour-du-nombre-denroles-dans-la-premiere-aire-operationnelle
''Comment ils sont partis d'autour de 30 % d'enrôlés pendant 1 mois (et même quand ils ajoutent les 25 jours, tout le monde sait ce qui s'est passé : on était dans l'accueil du Pape, plusieurs jours gaspillés, personne n'a vu un engouement qui peut surprendre les gens) à 64 % d'enrôlés en moins de 20 jours. C'est un miracle", s'étonne, sur TOP CONGO FM, Ferdinand Kambere, secrétaire permanent adjoint du PPRD, parti de l'Opposition.''On se moque de qui finalement avec cette CENI, sinon ce régime de Tshilejelu ?", s'interroge ce cadre de la famille politique de Joseph Kabila, après que la CENI a publié le résultat du monitoring établissant un taux de 64 % d'enrôlés, soit plus de 12 millions d'électeurs et  27 % d'enrôlés depuis le 22 janvier, date à laquelle la CENI a accordé une prolongation de 25 jours dans la première aire opérationnelle comprenant 10 des 26 provinces que compte la RDC.
Il relève le fait qu'''on a continué à parler de dysfonctionnement dans les centres d'inscription. Soit il n'y a pas de machines, soit les machines sont en panne, soit ce sont des centres fictifs, mais quand ils donnent le rapport, ils affirment que les centres ont fonctionné à 100%. Alors que même les rapports de la société civile ont dénoncé ce dysfonctionnement, le rapport de la CENCO et l'ECC a dénoncé le même dysfonctionnement".
Et de s'interroger encore : "comment peut-on expliquer ces chiffres ? Quand ils savent déjà fabriquer des chiffres pour l'enrôlement, comment ne vont-ils pas fabriquer les résultats avant même les élections. Je comprends pourquoi ils jouent au triomphalisme en affirmant que Tshisekedi va gagner les élections avant même d'organiser les élections", affirme-t-il.

L'opposition doit s'assumer (Kabuya)

''Ce n'est pas possible d'être présent dans tous les bureaux. Ils ont déjà lancé le mot d'ordre au boycott. Ils doivent s'assumer. Tout ce qu'ils racontent là, c'est du mensonge", tranche Augustin Kabuya, secrétaire général de l'UDPS.
En réaction à cette sortie médiatique de Ferdinand Kambere, il relève qu'''avant même que l'opération d'enrôlement ne commence, nos frères savent bien qu'ils ne peuvent pas tenir debout dans ce combat. C'est comme ça qu'ils ont commencé à critiquer, à véhiculer de fausses informations sur l'opération d'enrôlement"
Le secrétaire général du parti présidentiel se demande "est-ce que cette fameuse opposition à battu campagne pour que notre peuple puisse accomplir son devoir civique? Pas du tout. Ils ne sont là que pour raconter leur vie et des mensonges".
Augustin Kabuya rappelle que ''dès le départ, ils disent qu'ils ne sont pas concernés par l'enrôlement, quand on va publier les résultats, ils vont crier à la tricherie. Comment on va tricher pendant que les détenteurs des cartes d'électeurs sont favorables pour aller aux élections. C'est un manque de responsabilité".
Concrètement, [i]"je fais confiance à la CENI. Elle fait son travail. Elle va nous présenter le résultat final du monitoring de l'enrôlement. Ceux qui ont choisi la voie du boycott doivent persévérer dans cette logique. Nous, nous connaissons les conséquences de cette voie".


Pas de débats à faire (Bonso)

''Les résultats du monitoring publié par la Commission électorale nationale indépendante sont des résultats techniques, fruits d'une opération technique. Il n'y a pas de doute, de contestation à faire là-dessus. En matière technique, il n'y as pas de débats, on prend acte et on observe l'évolution du processus", estime, pour sa part, l'expert électorale Jérôme Bonso.
Qui souligne par ailleurs que ''la publication de ces résultats rassurent par contre toutes les parties prenantes au processus électoral. La CENI est sur la bonne voie, avec les 10 jours restants, selon les rapports de nos observateurs sur terrain, il n'y a plus d'engouement dans les centres d'inscription. Les 10 jours restants suffisent pour qu'on puisse identifier et enrôler tout le monde dans la première aire opérationnelle selon les prévisions".

C'est prématuré d'avancer des chiffres (CENCO-ECC)

Responsable de la mission d'observation CENCO-ECC, qui a déployé 196 observateurs dans 10 provinces que renferme la première aire opérationnelle, le révérend Éric Senga estime qu'''il serait prématuré pour nous d'avancer dans ce sens compte tenu de deux choses. La première est qu'il y a eu prolongation dans cette première aire opérationnelle. Nous avons publié notre premier rapport qui donnait les premières indications des opérations menées dans la première tranche. Jusqu'à ce que nous publions notre rapport, nous n'étions pas encore à cette proximité des chiffres publiés par la CENI".
Ensuite, "la deuxième chose est qu'à notre sens, la CENI devait envisager très rapidement une sorte de réunion d'évaluation à mi-parcours".
Pour lui, la CENI devrait observer le préalable "de la convocation d'une réunion d'évaluation à mi-parcours, avant même de prolonger ou pendant qu'on avait prolonger le délai des opérations d'identification et d'enrôlement des électeurs, tout en acceptant de recueillir les éléments collectés par les observateurs de terrain, pour essayer de rencontrer les différents problèmes qui ont été soulevés et coulés en recommandations par notre mission électorale".
Et d'insister : "il serait prématuré pour ces deux raisons d'affirmer aujourd'hui ces chiffres sont vrais ou faux".
En toute état de cause, "il faut attirer l'attention de la CENI pour qu'elle comprenne que l'intérêt n'est pas seulement de publier des chiffres ou d'être optimiste au travail qu'elle fait, mais l'intérêt ici, c'est de s'assurer de la crédibilité du processus, entendu comme confiance, clarté, transparence dans ce qu'elle fait".

''Comment ils sont partis d'autour de 30 % d'enrôlés pendant 1 mois (et même quand ils ajoutent les 25 jours, tout le monde sait ce qui s'est passé : on était dans l'accueil du Pape, plusieurs jours gaspillés, personne n'a vu un engouement qui peut surprendre les gens) à 64 % d'enrôlés en moins de 20 jours. C'est un miracle", s'étonne, sur TOP CONGO FM, Ferdinand Kambere, secrétaire permanent adjoint du PPRD, parti de l'Opposition.
[i]''On se moque de qui finalement avec cette CENI, sinon ce régime de Tshilejelu ?"
, s'interroge ce cadre de la famille politique de Joseph Kabila, après que la CENI a publié le résultat du monitoring établissant un taux de 64 % d'enrôlés, soit plus de 12 millions d'électeurs et  27 % d'enrôlés depuis le 22 janvier, date à laquelle la CENI a accordé une prolongation de 25 jours dans la première aire opérationnelle comprenant 10 des 26 provinces que compte la RDC.
Il relève le fait qu'''on a continué à parler de dysfonctionnement dans les centres d'inscription. Soit il n'y a pas de machines, soit les machines sont en panne, soit ce sont des centres fictifs, mais quand ils donnent le rapport, ils affirment que les centres ont fonctionné à 100%. Alors que même les rapports de la société civile ont dénoncé ce dysfonctionnement, le rapport de la CENCO et l'ECC a dénoncé le même dysfonctionnement".
Et de s'interroger encore : "comment peut-on expliquer ces chiffres ? Quand ils savent déjà fabriquer des chiffres pour l'enrôlement, comment ne vont-ils pas fabriquer les résultats avant même les élections. Je comprends pourquoi ils jouent au triomphalisme en affirmant que Tshisekedi va gagner les élections avant même d'organiser les élections", affirme-t-il.

L'opposition doit s'assumer (Kabuya)

''Ce n'est pas possible d'être présent dans tous les bureaux. Ils ont déjà lancé le mot d'ordre au boycott. Ils doivent s'assumer. Tout ce qu'ils racontent là, c'est du mensonge", tranche Augustin Kabuya, secrétaire général de l'UDPS.
ien qu'ils ne peuvent pas tenir debout dans ce combat. C'est comme ça qu'ils ont commencé à critiquer, à véhiculer de fausses informations sur l'opération d'enrôlement".

Le secrétaire général du parti présidentiel se demande "est-ce que cette fameuse opposition à battu campagne pour que notre peuple puisse accomplir son devoir civique? Pas du tout. Ils ne sont là que pour raconter leur vie et des mensonges".
Augustin Kabuya rappelle que ''dès le départ, ils disent qu'ils ne sont pas concernés par l'enrôlement, quand on va publier les résultats, ils vont crier à la tricherie. Comment on va tricher pendant que les détenteurs des cartes d'électeurs sont favorables pour aller aux élections. C'est un manque de responsabilité".
Concrètement, "je fais confiance à la CENI. Elle fait son travail. Elle va nous présenter le résultat final du monitoring de l'enrôlement. Ceux qui ont choisi la voie du boycott doivent persévérer dans cette logique. Nous, nous connaissons les conséquences de cette voie".

Pas de débats à faire (Bonso)

''Les résultats du monitoring publié par la Commission électorale nationale indépendante sont des résultats techniques, fruits d'une opération technique. Il n'y a pas de doute, de contestation à faire là-dessus. En matière technique, il n'y as pas de débats, on prend acte et on observe l'évolution du processus", estime, pour sa part, l'expert électorale Jérôme Bonso.
Qui souligne par ailleurs que ''la publication de ces résultats rassurent par contre toutes les parties prenantes au processus électoral. La CENI est sur la bonne voie, avec les 10 jours restants, selon les rapports de nos observateurs sur terrain, il n'y a plus d'engouement dans les centres d'inscription. Les 10 jours restants suffisent pour qu'on puisse identifier et enrôler tout le monde dans la première aire opérationnelle selon les prévisions".

C'est prématuré d'avancer des chiffres (CENCO-ECC)

Responsable de la mission d'observation CENCO-ECC, qui a déployé 196 observateurs dans 10 provinces que renferme la première aire opérationnelle, le révérend Éric Senga estime qu'''il serait prématuré pour nous d'avancer dans ce sens compte tenu de deux choses. La première est qu'il y a eu prolongation dans cette première aire opérationnelle. Nous avons publié notre premier rapport qui donnait les premières indications des opérations menées dans la première tranche. Jusqu'à ce que nous publions notre rapport, nous n'étions pas encore à cette proximité des chiffres publiés par la CENI".
Ensuite, "la deuxième chose est qu'à notre sens, la CENI devait envisager très rapidement une sorte de réunion d'évaluation à mi-parcours".
Pour lui, la CENI devrait observer le préalable "[i]de la convocation d'une réunion d'évaluation à mi-parcours, avant même de prolonger ou pendant qu'on avait prolonger le délai des opérations d'identification et d'enrôlement des électeurs, tout en acceptant de recueillir les éléments collectés par les observateurs de terrain, pour essayer de rencontrer les différents problèmes qui ont été soulevés et coulés en recommandations par notre mission électorale".

Et d'insister : "il serait prématuré pour ces deux raisons d'affirmer aujourd'hui ces chiffres sont vrais ou faux".
En toute état de cause, "il faut attirer l'attention de la CENI pour qu'elle comprenne que l'intérêt n'est pas seulement de publier des chiffres ou d'être optimiste au travail qu'elle fait, mai


"RDC-M23: début de l'enrôlement des électeurs dans la AO3, à Rutshuru, Nyiragongo et Masisi la société civile plaide pour le retour des déplacés dans leurs milieux - 16 février 2023
= https://actualite.cd/2023/02/16/rdc-m23-debut-de-lenrolement-des-electeurs-dans-la-ao3-rutshuru-nyiragongo-et-masisi-la
= https://www.radiookapi.net/2023/02/16/actualite/societe/enrolement-des-electeurs-lancement-des-operations-dans-la-3e-aire
"RDC: lancement de l’enrôlement des électeurs dans les provinces de l’Est confirmé pour le 16  février, l’armée et la police seront mobilisées - 11 février 2023
= https://actualite.cd/2023/02/11/rdc-lancement-de-lenrolement-des-electeurs-dans-les-provinces-de-lest-confirme-pour-le
= https://www.radiookapi.net/2023/02/10/actualite/securite/enrolement-des-electeurs-la-population-de-beni-appelee-veiller-contre
"RDC : le gouvernement rassure la CENI des dispositions sécuritaires prises pour le bon déroulement de l'enrôlement des électeurs dans l’Est - 11/02/2023
= https://www.radiookapi.net/2023/02/11/actualite/securite/rdc-le-gouvernement-rassure-la-ceni-des-dispositions-securitaires
= https://7sur7.cd/2023/02/09/tanganyikaceni-la-population-de-bendera-obligee-de-parcourir-jusqua-80-km-pour-senroler
"RDC : le gouvernement rassure la CENI des dispositions sécuritaires prises pour le bon déroulement de l'enrôlement des électeurs dans l’Est - 11/02/2023
= https://www.radiookapi.net/2023/02/11/actualite/securite/rdc-le-gouvernement-rassure-la-ceni-des-dispositions-securitaires


"Enrolement des électeurs : Moïse Katumbi convie les congolais à faire « le renouvellement de la classe politique » - 15.02.2023
= https://objectif-infos.cd/2023/02/15/enrolement-des-electeurs-moise-katumbi-convie-les-congolais-a-faire-le-renouvellement-de-la-classe-politique/


"Déportation des électeurs de Mbuji-Mayi vers Miabi : Nicolas Kazadi sur le banc des accusés ! - 4 février 2023
= https://scooprdc.net/2023/02/14/deportation-des-electeurs-de-mbuji-mayi-a-miabi-nicolas-kazadi-sur-le-banc-des-accuses/


"Enrôlement des électeurs : les Congolais vivant en RSA peinent à rejoindre Pretoria - 10/02/2023 -
= https://www.radiookapi.net/2023/02/10/actualite/politique/enrolement-des-electeurs-les-congolais-vivant-en-rsa-peinent


= https://voxcongo.info/2022/11/14/focus-de-la-semaine-quels-roles-pour-les-temoins-et-observateurs-pdt-lenrolement-des-electeurs/


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ndonzwau


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LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?  Empty Re: LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?

Message  ndonzwau 20/2/2023, 1:08 am


"Élections 2023 : Vers un record d’abstention ? (Ebuteli et BERCI) - 16 février 2023
=  https://magazinelaguardia.info/2023/02/16/elections-2023-vers-un-record-dabstention-ebuteli-et-berci/
Ce jeudi 16 février , le Bureau d’études, de recherche et de consulting international (Berci), avec Ebuteli, institut congolais de recherche sur la politique, la gouvernance et la violence, et le Groupe d’étude sur le Congo (GEC), ont dans une note thématique alerté sur un probable record d’abstention. Dans celle-ci,  les résultats du sondage réalisé au mois de janvier restent formels. L’abstention risque d’être historique au cours des élections de décembre 2023.

Selon cette étude , 54 % des sondés pourraient ne pas aller voter leur prochain président de la République. Alors qu’ils étaient 78 % en juin dernier à souhaiter participer au vote. À l’heure actuelle, seuls 46, 31 % des électeurs  désirent aller voter si le scrutin se tenait dimanche. Gec et Ebuteli  et Berci s’inquiètent : « Jamais dans l’histoire politique congolaise récente, le risque d’abstention – estimé à 53,69 % – n’a été aussi élevé à moins d’une année de la présidentielle », lit-on dans la note thématique. .
D’après ce sondage,trois provinces ont une forte tendance à l’abstention. C’est notamment le haut Uele avec 94 % d’opinion en défaveur du vote. La deuxième province , il s’agit du Bas Uele  avec 84 % tandis que  le Kuilu avec le même score.  Dans le haut du tableau  des provinces avec une opinion favorable, il y a le Kasaï Oriental , le Kasaï et le nord Ubangi.

Les sondés veulent accorder un second mandat à Tshisekedi

Toutefois, cette abstention favorable risque d’être au bénéfice de Felix Tshisekedi. « L’ampleur de l’abstention risque d’être la clé de la présidentielle. Aujourd’hui, la majorité de ceux qui veulent voter sont ceux qui souhaitent accorder un second mandat au président sortant. Dans les fiefs des opposants, beaucoup s’abstiennent encore ou ne savent pas s’ils vont aller glisser leur bulletin dans l’urne. Cela pourrait engendrer une large victoire de Félix Tshisekedi avec 50,42 % des suffrages exprimés ». Explique encore cette note thématique.
La note thématique continue : L’opinion publique congolaise semble empêtrée dans un paradoxe.  La plupart des Congolais sont de plus en plus critiques à l’égard de la façon dont leur pays est gouverné. Et pourtant, lorsqu’on leur demande pour qui ils voteraient si des élections avaient lieu dimanche prochain, une nette majorité répond que ce serait pour le président sortant, Félix Tshisekedi ».

"Présidentielle : « l’abstention pourrait engendrer une large victoire de Félix Tshisekedi avec 50,42 % des suffrages exprimés » (GEC) - 17.02.2023
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-117738_presidentielle_l_abstention_pourrait_engendrer_une_large_victoire_de_felix_tshisekedi_avec_50_42_des_suffrages_exprimes_gec.html

"Katumbi et Fayulu en baisse dans les sondages (Berci, GEC) - 17.02.2023
= https://magazinelaguardia.info/2023/02/17/katumbi-et-fayulu-en-baisse-dans-les-sondages-bercigec/

"Lubumbashi: Le monnayage d’accès à l’enrôlement, une réalité. - 13 février 2023
= https://magazinelaguardia.info/2023/02/13/lubumbashi-le-monnayage-dacces-a-lenrolement-une-realite/
Malgré le communiqué de presse de la CENI publier le 03 février dernier en vue de mettre fin aux pratiques inciviques et de monnayage d’enrôlement , ce phénomène continue. Dans plusieurs centres d’Inscriptions des électeurs , ça se passe au vu et au su des tous . Le 06 février, soit, trois jours la publication du communiqué de la CENI, le phénomène monnayage d’enrôlement a constitué une barrière à une veuve et son fils.

Il s’agit du centre d’enrôlement installé au complexe scolaire Saint-François situé sur la route Kasenga au quartier Jolie, dans la commune Annexe, des témoins dénoncent cette pratique . Ngalula Ntumba Emérence, et son fils Tshikuna n’ont pas pu se faire enrôler par manque d’argent.
« Nous étions allés nous faire enrôler moi et mon fils. J’étais minus de mon ancienne carte d’électeur. Arrivé au bureau d’enrôlement, on nous a refusé l’accès. On me dit, comme tu as la carte,  donne 5000 FC, mais ton fils, comme il est nouveau majeur, tu dois payer 15000 FC. Je leur dis, je suis veuve, avec cette crise qui est au pays, où trouverais-je cette somme d’argent ? Mon fils s’est expliqué auprès de ces gens, mais, ils ont refusé catégoriquement. Ainsi, nous sommes rentrés  sans le faire ».
Ces pratiques sont aussi observées  au centre placer au collège Imara situé dans la commune de Lubumbashi. Ici, les agents de l’ordre commis à ce bureau, sont pointés du doigt par la population.
A lire aussi, https://magazinelaguardia.info/2023/02/10/enrolement-des-electeurs-la-panne-des-machines-un-casse-tete/

Les corrompus et les corrupteurs doivent être interpelés

Selon Joseph Kongolo coordonnateur provincial de la CNDH, la cause du monnayage d’enrôlement serait, le manque de la prise en charge de policier, en termes de transport, casse-croute et communication.
Outre cet élément, le coordonnateur provincial de la CNDH parle également du manque de suivi et de la documentation de cas de Monnayage d’enrôlement de la part de la CENI.
Ainsi, pour mettre fin au monnayage d’enrôlement, Joseph Kongolo, propose l’arrestation des corrompus et des corrupteurs.
« Le phénomène monnayage d’accès à l’enrôlement est une réalité à Lubumbashi. Et cela se fait au su des agents de l’ordre qui sont d’ailleurs accuser de corruption. Pour décourager cette pratique, la CENI doit documenter les cas de monnayage. Elle doit interpeler les policiers, la population qui corrompt et même les observateurs ou témoins.   Les déférer devant la justice, afin qu’ils soient jugés et condamnés. Cela servirait d’exemple aux autres ».
Par ailleurs, Joseph Kongolo a souligné que  les policiers commis au sein de différents centres d’enrôlements ne jouent pas leurs rôles convenablement. Une formation de ces éléments s’avère nécessaire.

"Enrôlement des électeurs : le calvaire d’une électrice - 15 février 2023
= https://magazinelaguardia.info/2023/02/15/enrolement-des-electeurs-le-calvaire-dune-electrice/
L’opération d’enrôlement des électeurs a débuté voilà bientôt trois semaines dans le deuxième aire opérationnelle. Entre le besoin d’avoir sa carte d’électeur et la hâte d’aller aux élections, les Lushois sont de plus en plus nombreux dans les centres d’inscriptions. Ce qui explique l’engouement au sein des centres d’inscriptions, surtout que l’opération tend à sa fin. Mais voilà, obtenir sa carte à Lubumbashi n’est pas chose aisée.

Dans les centres d’inscriptions, les électeurs arrivent déjà dès 4 h ou 5 h du matin pour avoir un jeton.  Mais cela ne garantit pas à la personne de s’enrôler le même jour. Justine Kifwayi une électrice de Lubumbashi en a fait la triste expérience.
Âge de 48 ans, Justine Kifwayi habite au carrefour.  Elle est une épouse et mère de quatre enfants . Sa quête pour avoir sa carte débute il y a une semaine. » Pendant une semaine, j’allais au centre placé à l’Église jean Calvin situé sur l’avenue de la révolution. Soit j’arrivais trop tard après la distribution des jetons, soit, j’étais parmi les dernières personnes . Et chaque fois, je devais revenir un jour après », explique-t-elle.
Ce mercredi 15 février, elle a décidé de se rendre au centre qui se trouve à Imara.« Avant de venir à Imara, j’ai fait une semaine à Jean Calvin. Là-bas, le jeton se vend à 5 000, 10.000 et 10 $. Après avoir vendu les jetons, ils procèdent au classement selon les prix d’achat des jetons. Et c’est à ce moment où le combat entre les opérateurs et la population commence. Quand j’ai vu que c’était difficile pour moi, j’ai jugé bon de venir à Imara.  » je suis arrivé à 5 h 30 . Ici, j’ai eu la chance d’avoir un jeton gratuitement « , explique-t-elle.
Justine Kifwaya détient le jeton numéro 30 .  Mais cette fois , elle va encore s’armer des patiences. Car jusqu’à 14 h 30, la personne à se faire enrôler détenait le jeton numéro 11.
À lire aussi,https://magazinelaguardia.info/2023/02/13/lubumbashi-le-monnayage-dacces-a-lenrolement-une-realite/

Il faut dire  que Justine Kifwayi n’est pas la seule à vivre ce calvaire. Bonaventure Okitandende médecin généraliste dans une polyclinique de la place, totalise ce mercredi une semaine sans avoir sa carte.
« C’est depuis mercredi passé que je viens pour me faire enrôler ici à Imara, mais je n’y arrive pas. Soit les machines tombent en panne, soit j’arrive en retard, on a déjà distribué les jetons. Aujourd’hui, je suis arrivé tôt, j’ai eu le jeton numéro 25. En tout cas, si aujourd’hui, je rate, c’est fini, je ne veux plus me faire enrôler ». Une autre femme rencontrée dans un taxi ce mercredi déplore également cette situation.  Comme pour dire , s’enrôler relève d’un parcours des combattants.


"Maniema : l'enrôlement de Salomon Kalonda fait un mort et plusieurs blessés à Kindu - 18.02.2023
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-117797_maniema_l_enrolement_de_salomon_kalonda_fait_un_mort_et_plusieurs_blesses_a_kindu.html


"RDC- Enrôlement : le gouvernement réitère sa détermination à accompagner la CENI tant sur le plan financier que celui de la sécurisation du processus - 19 février 2023
= https://actualite.cd/2023/02/19/rdc-enrolement-le-gouvernement-reitere-sa-determination-accompagner-la-ceni-tant-sur-le


"RDC-Elections : à la clôture des opérations d'enrôlement, certaines vendeuses de Kinshasa n’ont pas pu obtenir leurs cartes - 17 février 2023
= https://actualite.cd/2023/02/17/rdc-elections-la-cloture-des-operations-denrolement-certaines-vendeuses-de-kinshasa-nont

"RDC-Enrôlement : "Il ne faut pas penser que parce qu'on a eu une session de rattrapage ailleurs qu'on va nécessairement faire pareil ici" prévient Denis Kadima à Buta - 17 février 2023
= https://actualite.cd/2023/02/17/rdc-enrolement-il-ne-faut-pas-penser-que-parce-quon-eu-une-session-de-rattrapage
= https://actualite.cd/2023/02/19/rdc-enrolement-le-gouvernement-reitere-sa-determination-accompagner-la-ceni-tant-sur-le


"Enrôlement des électeurs : la MOE CENCO-ECC recommande à la CENI de prolonger les opérations d’une semaine ou plus pour des CI ayant connu de dysfonctionnements et de 30 jours dans des CI non ouverts et non opérationnels - 17 février 2023
= https://actualite.cd/2023/02/17/enrolement-des-electeurs-la-moe-cenco-ecc-recommande-la-ceni-de-prolonger-les-operations
La mission d'observation électorale CENCO-ECC s'est exprimée à nouveau sur l'évolution des opérations d'identification et d'enrôlement des électeurs en RDC. Concernant la zone opérationnelle 1, cette mission dit espérer que la CENI pourra trouver un “moment serein pour clarifier la situation des centres d’inscription que ses observateurs n’ont pas retrouvés sur terrain, en dépit des démarches menées par eux auprès des Antennes”.
" Poursuivant son observation, la MOE CENCO-ECC s’est intéressée à la période de rattrapage évoquée ci-dessus. Du 25 janvier au 07 février 2023, la MOE CENCO-ECC a reçu de ses observateurs de terrains 1 194 rapports contenant des faits observés dans les circonscriptions de l’aire opérationnelle 1. Ces rapports notent qu’il y a 231, soit 19,35% de cas d’incidents. De ces incidents, 61 rapports, soit 26,41%, relèvent qu’il y a des centres d’inscription qui ont connu des dysfonctionnements des kits pendant plus d’une semaine ; et 41 rapports autres, soit 17,75%, renseignent sur les CI soit non opérationnels ou encore non ouverts pendant cette période " lit-on dans un communiqué rendu public ce vendredi 17 février 2023
Au regard de ce qui précède, et considérant que les constatations relevées ici ne concernent que les CI faisant partie d’un échantillon, la MOE CENCO-ECC recommande à l’attention de la CENI " de demander aux antennes concernées pour les cas sus évoqués de prolonger d’une semaine ou plus les opérations dans les CI ayant connu les cas de dysfonctionnements et de 30 jours pour les cas des CI non ouverts et non opérationnels, dans la mesure où cette prolongation n’impacte pas sur son calendrier électoral ".
La CENI, par le biais de son rapporteur, Patricia Nseya, a annoncé la clôture de l'opération d'identification et d'enrôlement des électeurs dans la première aire opérationnelle pour ce vendredi 17 février 2023. À l'en croire, la clôture de cette opération dans l'AO1 se fera au cas par cas c'est-à-dire que les centres d'inscription qui ont ouvert en retard vont récupérer les jours perdus mais aussi les personnes qui auront le jeton à la clôture, pourront revenir le jour suivant pour s'enrôler.
Jusqu'au 15 février 2023,  elle a révélé que dans la première aire opérationnelle, sur les 18.694.541 électeurs attendus, 14.288.816  ( dont 7.388.110 hommes et 6.905.706 femmes), soit 76,43 %, ont été enrôlés.


"Enrôlement au Nord-Kivu : 3 territoires ont un faible taux de couverture à cause de l’insécurité, selon la CENI - 19/02/2023
= https://www.radiookapi.net/2023/02/19/actualite/politique/enrolement-au-nord-


"RDC: l’insécurité empêche le démarrage de l'enrôlement des électeurs dans le territoire de Kwamouth -  19/02/2023
= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20230219-rdc-l-ins%C3%A9curit%C3%A9-emp%C3%AAche-le-d%C3%A9marrage-de-l-enr%C3%B4lement-des-%C3%A9lecteurs-dans-le-territoire-de-kwamouth


"RDC: la phase d’enrôlement des électeurs est terminée dans la partie ouest - 18/02/2023
= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20230218-rdc-la-phase-d-enr%C3%B4lement-des-%C3%A9lecteurs-est-termin%C3%A9e-dans-la-partie-ouest


"Est de la RDC: à Bukavu, l’enrôlement des électeurs débute entre impatience et insatisfactions - 17/02/2023
= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20230217-est-de-la-rdc-%C3%A0-bukavu-l-enr%C3%B4lement-des-%C3%A9lecteurs-d%C3%A9bute-entre-impatience-et-insatisfactions


"RDC: nouvelle attaque en Ituri, à la veille du recensement des électeurs 16 févr 2023
= https://afrique.lalibre.be/75830/rdc-nouvelle-attaque-en-ituri-a-la-veille-du-recensement-des-electeurs/


"Bemba et Kamerhe, partenaires-concurrents bien surveillés par Tshisekedi - 17-02-2023
= https://ouragan.cd/2023/02/bemba-et-kamerhe-partenaires-concurrents-bien-surveilles-par-tshisekedi
Leaders de premier rang, Kamerhe et Bemba drainent derrière eux du beau monde. Les deux ont l’envergure nationale, la stature de présidentiable, mais le contexte les oblige à s’aligner derrière Félix Tshisekedi à la présidentielle de 2023. Eux-mêmes se plient parce que Félix Tshisekedi a mis en place une stratégie qui les contraint à se soumettre.
Tshisekedi a compris que le pouvoir et l’argent sont un appât pour les politiciens congolais. À Kamerhe et Bemba, le président leur a donné ce qu’ils cherchent. Premièrement, le pouvoir, chacun avec ses membres du parti au gouvernement. Des ministères clés leur ont été attribués en échange de soutien à sa vision, son action et maintenant à sa candidature. Pour bien les tenir, il conditionne désormais la participation d’un parti au nouveau gouvernement Sama 2 à son adhésion à l’Union sacrée désormais plateforme politique ou électorale.

Bemba et Kamerhe obligés de revoir leurs ambitions à la baisse

Bien qu’ambitieux, Jean-Pierre Bemba Gombo ne serait pas prêt aujourd’hui de saborder le deal avec le régime. Lui qui est en reconstitution politique et financière. D’abord, le Mlc qui a connu le départ de beaucoup de cadres se remet à l’eau. Deuxièmement, l’ancien vice-président peut se frotter les mains d’engranger des millions avec des procès à gauche et à droite qui lui permettent de souffler après la disette de la CPI. Et enfin, Jean-Pierre Bemba Gombo n’est pas prêt aujourd’hui à se séparer de Félix Tshisekedi au risque de perdre les juteux ministères de l’Environnement et de la Santé, mais y compris l’entreprise minière Sakima où il a placé son bras droit Fidèle Babala. Tout ça pèse dans la tête du chairman et réduit ses marges de manœuvre.
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Kamerhe se trouve aussi dans la même complexité. Frustré, il l’est surtout quand il réalise qu’il a construit ce pouvoir de ses mains depuis l’épisode de Genval, Nairobi et après la longue campagne électorale, mais que ce sont les Mboso, Bahati, Sama qui jouent aujourd’hui les premiers rôles, son cœur enfle. Mais, il est obligé de faire avec, de se résigner. Sorti de la prison, il doit aussi se reconstituer, se rebâtir, se refaire une santé politique et financière. Bâtir son patrimoine, mais surtout éviter les frustrations au sein du parti. La plupart des cadres voudraient renouveler l’accord politique avec Fatshi que de faire un saut dans l’inconnu, combat qui les amènerait tout droit à l’opposition. Pilule difficile à avaler donc pour VK appelé par ses plus proches à un dépassement de soi. Des radicaux qui travaillent pour la conservation du pouvoir ne voient pas Kamerhe se détacher de Fatshi. “Il a tout à gagner avec nous sinon il subira le sort de Fayulu”, lâche un membre influent du cercle du pouvoir.

Face à Bemba et Kamerhe, le plan B de Félix Tshisekedi

Dans les fiefs où Kamerhe et Bemba se considèrent leaders incontournables, Tshisekedi a d’autres cartouches de rechange. Dans le grand Équateur, Fatshi mise aussi sur Guy Loando, Jean-Lucien Bussa, Jean-Pierre Lihau et les autres jeunes qui montent aujourd’hui en puissance. Les trois peuvent grignoter l’électorat de Bemba, même s’ils ne feront pas totalement le poids. Mais ce sont toujours des cartes que Tshisekedi peut utiliser pour secouer le leader du Mlc. Kamerhe, de son côté, devra faire face avec l’inépuisable Bahati Lukwebo, le leader de l’AFDC et président du Sénat comme aussi à Claude Nyamugabo avec son encrage certain, Bulambo Kilisho populaire au sein de sa communauté – les Rega, Norbert Kantintima dont le fils prend petit à petit la relève, Mushi Bonane… . Bref, Tshisekedi peut émietter son électorat afin de l’affaiblir dans son propre fief – le Sud-Kivu, que VK utilise comme sa rampe de lancement depuis 2006. Pire pour le mettre mal à l’aise, il peut l’opposer à l’actuel ministre du Budget, Aimé Boji. Depuis, un temps, le nouveau riche prend subtilement ses distances avec son boss. La diversification de candidatures dans le bastion de Vital Kamerhe peut mathématiquement le faire réfléchir. Même si Tshisekedi aura du mal à se faire accepter dans le Kivu à cause de la guerre et de son bilan, mais il ne tolérera jamais que Kamerhe se retourne contre lui.

Tshisekedi tient Bemba et Kamerhe au cou

Le message de Bussa tencant Bemba sur sa Congolité est un véritable ballon d’essai, mais aussi une mise en garde. Le geste n’est pas anodin. Pour les analystes politiques, il relève d’une stratégie d’anéantissement des candidats. On peut beau dire qu’il est Congolais, mais Bussa, membre du gouvernement de surcroît, ancien du Mlc, cadre de l’Union sacrée comme Bemba, lancer un tel missile est une indication. Qui dit que les autres roitelets politiques de l’Équateur qui ne supportent pas l’hégémonie de Bemba, ne vont pas emboîter le pas au leader de CEDR pour le titiller. Ajouter à cela, Fatshi va couper tous les robinets. Aucun rond ne tombera dans l’escarcelle de Bemba. Les dommages et intérêts obtenus lors de parodies de procès ne sont jusque-là que payés progressivement, analyse un politologue. La moindre rébellion à l’égard du chef sera synonyme de fermeture de vannes.
Kamerhe voit aussi l’épée suspendue sur sa tête. S’il bouge, les autres formats du procès 100 jours vont naître. “Les matières sont là et il le sait”, a rappelé à Ouragan.cd, une source bien introduite. Comme Bemba, Tshisekedi garantit les intérêts de Kamerhe. Il a refusé qu’on saisisse les biens immobiliers de son ancien dircab qu’il aurait attribués, selon un cadre Udps, a des prête-noms. Bref, Bemba et Kamerhe sont prévenus. Ils sont obligés de s’aligner sinon le pire est à craindre surtout que chacun d’eux espère être le dauphin en 2028.


"Mutation de l’Union sacrée en plateforme électorale : le dilemme de Félix Tshisekedi - 16.02.2023
= https://ouragan.cd/2023/02/union-sacree-le-dilemme-de-tshisekedi
Depuis quelques jours, les trois chefs de corps, Mboso, Bahati et Sama s’activent pour finaliser la mutation de l’Union sacrée en plateforme électorale. Le chef de l’État congolais qui avait gagé à Goma qu’il aurait son deuxième mandat et que personne ne pouvait le lui interdire était le premier à annoncer sa candidature. Mais candidat sous les couleurs d’un parti ou d’un grand regroupement politique, voilà la question qui divise l’Udps et ses alliés.

Tshisekedi est tiraillé entre son parti – Udps et ses alliés. Tout le monde veut le voir compétir à la magistrature suprême sous sa bannière. Là, les complications se corsent et l’unité du bloc Tshisekedi risque de se fragmenter. De l’avis du trio Mboso-Bahati-Sama, il est mieux que le président concourt sous la tunique Union sacrée pour avoir la chance de gagner que d’être le candidat d’un seul parti politique. “Plusieurs forces politiques et sociales vont se reconnaître en lui et il y aura plusieurs relais dans le Congo profond”, soutiennent quelques têtes pensantes de la majorité au pouvoir. Les anciens kabilistes tirent la leçon en référence à leur ancien boss. Eux-mêmes avaient battu campagne pour Joseph Kabila en 2006 et 2011. Sur la question, ils s’étaient opposés à l’ancien parti présidentiel – PPRD. Au finish, les Bahati et Mboso avaient entraîné Kabila d’aller en indépendant. Douze ans après, les mêmes assoiffés du pouvoir sortent de tiroir leur fameux schéma et pressent Tshisekedi d’y adhérer. Même si le président n’a encore pipé mot, mais son parti dit niet sans crier.

Le veto de l’Udps à l’Union sacrée, plateforme électorale

Au quartier général de l’Udps à Limete, la volonté du trio à dicter la marche à suivre au parti présidentiel ne passe pas. Deux raisons sont évoquées pour battre en brèche cet argumentaire. Premièrement, l’Udps se prépare à fond à avoir la majorité parlementaire. L’ancienne feuille de route de la commission électorale du parti a été actualisée. Des délégués envoyées par la direction du parti sont descendus en province pour installer les équipes de campagne. Elles sont chargées de suivre l’évolution de la situation sur le terrain et remonter toutes les informations à la centrale à Kinshasa. En plus, les mobilisateurs abattent un travail de fourmi. Ils font le porte-à-porte. Avec une telle détermination, le parti présidentiel ne se voit pas céder au folklore de Mboso et Bahati. Deuxièmement, l’Udps considère que l’Union sacrée, plateforme électorale, devra mourir après les élections. Et puis si elle doit être muée, il faudra régulariser sa mutation au ministère de l’Intérieur. Un exercice que Kabuya ne souhaiterait pas, explique un membre de l’exécutif du parti. Bref, le SG du parti au pouvoir se met dans la logique où sa formation politique a déjà proclamé Tshisekedi, comme son candidat à la présidentielle, les alliés ne peuvent que se joindre au mouvement.
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Outre la stratégie, l’Udps évoque les inconvénients de la plateforme électorale. Il faudra envisager une coalition aux législatives nationales et provinciales. Une thèse d’avance rejetée à Limete. Dans ce scénario, les candidats de différents partis membres de la plateforme devront s’effacer au profit de ceux présumés solidement implantés dans un coin donné. Ce qui n’arrangerait pas la direction du parti qui souhaite aligner ses 500 candidats. De l’avis des cadres de premier rang du parti présidentiel, l’Union sacrée, plateforme politique, existera même après les élections. Elle sera un regroupement de gestion de la chose publique comme le FCC. En ce moment-là, chaque parti ou regroupement politique amènera ce qu’il aura obtenu aux élections. Le partage de responsabilité se fera ainsi sur base du poids politique.

Le forcing des petits partis politiques

Les partis ou regroupements politiques à faible encrage ou en déficit de moyens seront butés à deux problèmes à savoir obtenir le seuil de recevabilité avant les scrutins et surtout le seuil de représentativité après le vote. L’article 23 al 2 de la loi électorale oblige aux partis et regroupements politiques d’aligner 300 candidats, soit 60 % du nombre total d’élus composant la Chambre basse du Parlement (500 députés nationaux). Conséquence, il faudra payer s’il faut prendre 1.000.000 de franc congolais par candidat, 260 millions de Francs de caution pour les 300 candidats aux législatives nationales, soit 130 mille dollars au taux du jour actuellement avec la dépréciation du franc congolais, soit 500 dollars par député.
Après le vote, interviendra le seuil de représentativité. Chaque parti ou regroupement politique doit avoir un 1 % de l’ensemble des suffrages valablement exprimés à la députation nationale et 3 % à la députation provinciale pour voir ses listes déclarées éligibles. Selon Augustin Ntaitunda, expert en matière électorale au sein l’ONG américaine Freedom House, pour bénéficier de l’attribution des sièges, il faudra atteindre ou dépasser ce seuil. Pour comprendre le seuil de représentativité de 1 %, il faut considérer ces partis qui sont appelés à recueillir au moins 1 % de suffrage au niveau national pour être autorisés à siéger. Partant de ce paramètre, l’Udps pense que d’autres alliés veulent s’accrocher à l’idée de l’Union sacrée, plateforme électorale pour ne pas être coincé par la loi électorale. Schéma qui a du mal à être approuvé aujourd’hui à Limete.

Le dilemme de Tshisekedi

Ballotté par les deux tendances, le chef de l’État devra trancher. En attendant sa décision, le camp du trio Mboso-Bahati-Sama semble trop pousser pour avoir gain de cause. Le chef, lui, se mure dans un silence absolu. Au moment opportun, il se prononcera, explique un de ses plus proches collaborateurs interrogé par Ouragan. Il est prématuré qu’il prenne position présentement. Il laisse les choses se clarifier, mais un consensus entre les deux camps n’est pas à exclure de lors que Kabuya et le trio siège dans l’organe décisionnel de la plateforme. La charte est presque finalisée. Reste à savoir si l’Union sacrée sera une plateforme électorale ou une plateforme politique. Autre son de cloche parvenu à Ouragan, le président de la République pourrait se présenter en indépendant pour fédérer toutes les forces politiques et sociales même celles n’appartenant pas aussi à l’Union sacrée. Une hypothèse encouragée par la société civile acquise à sa cause, mais qui ne dérangerait pas non plus le camp Mboso-Bahati-Sama

"Peut-on se payer le luxe d’enjamber le dialogue ? - 20/02/2023
= https://www.forumdesas.net/2023/02/peut-on-se-payer-le-luxe-denjamber-le-dialogue/
Galvaudé, dévalué, dévalorisé et même « démonétisé » sur le marché rd congolais,  le mot dialogue l’est assurément. Comment sortir ce terme de sa bouche sans être soupçonné d’avoir une -mauvaise- idée derrière la tête ? Comment utiliser ce concept sans qu’il ne renvoie à la caricature bien de chez nous ou au raccourci archi-connu ? A savoir le partage du pouvoir. Une  pratique cyclique par laquelle  les hommes politiques se jettent, tels des charognards, sur le « cadavre en putréfaction ?- que serait devenue, selon certains dirigeants parmi les plus illustres, la RDC.

Pourtant, le dialogue est consubstantiel à la démocratie et, par ricochet, à la république. On ne saurait imaginer une démocratie -n’importe laquelle- sans que les acteurs socio-politiques ne se parlent. Ne serait-ce que pour s’accorder sur les règles du jeu. Ne serait-ce que pour les affiner, les ajuster et les réajuster en fonction de l’inexorable évolution de la société.
A moins de jouer à « tout va très madame la Marquise« , qui peut soutenir que la RDC peut se passer de cet exercice au seuil de cette année électorale ? A moins de pratiquer la politique de l’autruche, qui peut lancer en étant sérieux la formule « circulez, il n’y a rien à voir » là où des germes de contestation sont de plus en plus  visibles même à l’œil nu ?
Bref, qui peut sans se mentir à lui-même, prétendre que l’horizon décembre 2023 est clair ? Ce, alors que les signes du mauvais temps à venir ne font que s’amonceler dans le firmament et obscurcissent, chaque jour un peu plus, le ciel rd congolais.
On ne peut pas présager d’un processus électoral et surtout d’une élection à la vertu cathartique avec un tel degré d’animosité  entre les compétiteurs pressentis. La coupure jusqu’au « téléphone rouge » entre l’actuel président et son prédécesseur et, par extension, entre l’Union sacrée et les FPC a tout d’un divorce sans le nécessaire service après- vente.
Résultat, il est jusqu’à des pays frères africains à ne pas comprendre que face, par exemple, aux menaces que les agresseurs de la RDC font peser sur l’intégrité du territoire que Félix-Antoine Tshisekedi et Joseph Kabila continuent, tels des athlètes, chacun, dans leur couloir.
Ce n’est pas tout. Les graves incidents du week-end  d’abord à Kindu et ensuite à Kikwit sont tout aussi annonciateurs de l’orage à venir si le cours du mauvais temps n’est pas inversé. Il s’agit, en l’occurrence, respectivement de l’inadmissible attaque contre Salomon Idi Kalonda Della, bras droit du candidat à la présidentielle Moïse Katumbi et de la non-tenue de la conférence-débat de l’opposant Muzito du fait de la dispersion des militants de son parti.

Même les délocalisations ubuesques des matches de représentants rd congolais aux compétitions africaines de football en ce compris l’équipe nationale participent de ce climat  politique délétère.   
Du Katanga, partie intégrante de la RDC, une expression très swahili local nous est déjà née à ce propos: « ku mbele ni kweushi« , l’avenir est sombre en français. C’est sans doute moins glamour et donc moins sympa que le versant kinois « mboka eza na cric » ou sa boutade actualisée et mise à  jour « mboka elengi« . Mais au fond, le message est le même.
Problème, comment sauver l’Etat sans hommes d’Etat au sens churchillien du concept ? Comment pratiquer la démocratie sans démocrates ? Comment promouvoir le dialogue républicain et donc l’intérêt général sans républicains au sens rousseauiste de l’expression ? C’est -à-dire des hommes et des femmes abonnés à la notion de l’intérêt général ? Telle est la sempiternelle équation rd congolaise.



"Joseph Kabila et ses troupes en réunion en Afrique du Sud - 06.02.2023
= http://alternance.cd/2023/02/04/joseph-kabila-et-ses-hommes-dont-sele-yalaghuli-en-reunion-en-afrique-du-sud/

= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20230215-rdc-la-soci%C3%A9t%C3%A9-civile-des-territoires-occup%C3%A9s-par-le-m23-s-oppose-au-recensement
= https://actualite.cd/2023/02/17/kwilu-alors-que-lenrolement-des-electeurs-se-cloture-ce-vendredi-garry-sakata-alerte-que
= https://actualite.cd/2023/01/30/une-cinquantaine-de-centres-dinscription-des-electeurs-introuvables-dans-la-partie-ouest


Compatriotiquement!


# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul # # Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #

ndonzwau


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LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?  Empty Re: LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?

Message  ndonzwau 25/2/2023, 2:30 pm

"ENCORE BEAUCOUP D'INTERROGATIONS SUR UN PROCHAIN PROCESSUS ÉLECTORAL CRÉDIBLE ET DANS LES DÉLAIS !?!

Non seulement des observateurs avisés doutent sur des élections inclusives qui permettent à tous les Congolais en âge de voter d'exercer leur droit notamment vu la situation d'insécurité dans l’Est du pays, une inclusivité qui devrait jauger la crédibilité des scrutins. Ça rappelle l'impair anticonstitutionnel de 2018 où les électeurs de Beni, Butembo, Yumbi n’ont pu voter, mais aussi se demandent si le chaos n'a pas été accepté et planifié à dessein.

Déjà l'enrôlement est truffé de dysfonctionnements incessants et de lourds soupçons de fraude avec des cas de corruption sur des cartes électorales qui se retrouvent dans l'air et un favoritisme flagrant pour les zones favorables au pouvoir en place (551 centres d’inscription pour le Haut-Katanga plus peuplé avec 3 010 238 électeurs potentiels et plus vaste avec 132 425 km² contre 574 pour le Kasaï-Oriental avec 1 345 760  électeurs potentiels sur 9 545 km² et ). La Ceni rassure, bien sûr sans convaincre mais les Catholiques et les Protestants continuent à pointer les dysfonctionnements, un constat avoué et regretté même par les agents de la Ceni sur le terrain.
 


"RDC : Parfum de chaos sur les élections à venir - 23 février 2023
= https://afrique.lalibre.be/75935/rdc-parfum-de-chaos-sur-les-elections-a-venir/
À dix mois de la présidentielle et des législatives du 20 décembre, le doute s’accentue sur la tenue du scrutin.

“ 
Il faut des élections inclusives. Tous les Congolais en âge de voter doivent pouvoir exercer leur droit”, explique une source européenne. Dans le viseur la situation dans l’est de la République démocratique du Congo où l’insécurité règne en maître. “Cette inclusivité sera un facteur majeur pour la crédibilité de ces scrutins”, poursuit la source qui évoque “une ligne rouge” en rappelant qu’“en 2018, certaines régions, comme Beni et Butembo, n’ont pu voter. On ne peut plus accepter ce scénario.”
En RDC, les responsables de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), son président Denis Kadima en tête, continuent de marteler leurs certitudes d’un scrutin national le 20 décembre prochain. Dans la zone 1, où l’inscription des électeurs a débuté le 24 décembre et devait s’étaler sur un mois, de nombreux bureaux n’ont toujours pas fermé leurs portes. “Compte tenu des difficultés de fonctionnement rencontrées […] dans certains centres d’inscription, une période de rattrapage leur sera accordée selon les cas”, expliquait un communiqué de la Ceni le 16 février, ajoutant que les provinces concernées étaient “l’Équateur, Kinshasa, le Kongo Central, le Kwango, le Kwilu, le Mai-Ndombe ; la Mongala, le Nord-Ubangi, le Sud-Ubangi et la Tshuapa”, soit toutes les provinces de cette zone.

Surreprésentation

La mission d’observation électorale envoyée par les catholiques et les protestants dans la zone a relevé de nombreux dysfonctionnements dans les bureaux visités. Elle pointe notamment des “centres d’inscription introuvables ou non ouverts” pendant l’inspection du 25 janvier au 7 février, des “dysfonctionnements des kits d’inscription pendant plus d’une semaine”.
Le constat de ces observateurs est une évidence, explique un élu du Kwango. C’est du pur amateurisme. On sait que nous sommes dans une course contre la montre pour tenir le calendrier électoral et tout semble être fait pour compliquer le processus avec un personnel qui est arrivé non formé, qui est souvent impayé, et des machines récalcitrantes.”
Un constat confirmé par plusieurs agents qui parlent entre autres de “câbles manquants pour brancher les panneaux solaires ou l’absence de machines de remplacement”. “Il y a cinq ans, on a aussi rencontré des soucis avec ces machines mais quand elles tombaient en panne, on en recevait une de remplacement. Ici, même si M. Kadima prétend avoir acheté 50 % de machines supplémentaires par rapport à 2018, il a été impossible d’en avoir une de remplacement. Nous avons donc dû fermer un bureau”, explique un agent du Kongo central.[/size]
Dans le Haut-Katanga, on fustige “la volonté de favoriser les provinces qui sont susceptibles de voter pour Tshisekedi”. En cause, les derniers chiffres fournis officiellement par la Ceni qui indiquent que 551 centres d’inscription sont prévus pour le Haut-Katanga contre 574 pour le Kasaï-Oriental pour un nombre d’électeurs attendus de 1 345 760 pour le second (sur une superficie de 9 545 km²) et de 3 010 238 électeurs pour le premier (sur une superficie de 132 425 km²). “Qui ose encore parler d’élections inclusives et démocratiques avec ces chiffres ?”, interroge un habitant de Lubumbashi.

LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?  Ceni-Katanga-524x524
LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?  Ceni-kasai-524x524


"Enrôlement des électeurs en RDC: "La crédibilité du processus est sérieusement mise en cause", la MOE CENCO-ECC demande de clarification sur la perte des  matériels électoraux - 24 février 2023
= https://actualite.cd/2023/02/24/enrolement-des-electeurs-en-rdc-la-credibilite-du-processus-est-serieusement-mise-en
Les informations faisant état de la détention des cartes d'électeurs vierges par certains individus sans qualité et les matériels de la commission électorale nationale indépendante trouvés dans un véhicule à Tshikapa dans la province du Kasaï Central continuent de susciter des réactions dans l'environnement sociopolitique congolais. 

En effet, dans un communiqué rendu public ce vendredi 24 février 2023, la mission d'observation électorale CENCO-ECC attire, à cet effet, l’attention de la CENI et des autres parties prenantes sur le fait que les faits observés posent un sérieux problème quant à la sécurisation du processus électoral en général et du matériel électoral sensible en particulier et sont susceptibles d’entamer sensiblement la confiance du public en ce processus électoral et d’en compromettre ainsi la crédibilité, y compris celle des résultats qui en résulteraient. 
Pour la CENCO et l'ECC, si les choses ne sont pas clarifiées à ce stade, ce serait irresponsable d'avancer dans un processus électoral où la crédibilité est sérieusement mise en cause. Face à cette situation, les deux confessions religieuses formulent une série de recommandations :

Aux Cours et Tribunaux

• D’organiser des procès publics, voire des audiences foraines afin que les citoyens et les partenaires internationaux soient éclairés sur les conditions dans lesquelles ces matériels électoraux sensibles se sont retrouvés entre les mains de ces individus et pour quelles fins;
• De sanctionner sévèrement tous les délinquants, à tous les niveaux, qui se retrouveraient impliquées dans la commission de ces crimes.

A la CENI

• D’organiser en toute urgence et à tous les niveaux (SEN, SEP, Antennes et CI) des inventaires des matériaux électoraux sensibles commis à l’opération d’identification et enrôlement des électeurs. En effet, Elle devrait publier la liste des kits reçus, avec les numéros de séries. Ensuite, la CENI devrait publier son plan de déploiement desdits matériels, en indiquant clairement leurs destinations, avec la mention du nombre et des numéros de série. Enfin, organiser des équipes mixtes (CENI, Partis politiques, Journalistes, Observateurs, Police, etc.) de vérification;
• D'instruire les SEP et les Antennes afin que les observateurs, les témoins des partis politiques et les journalistes aient accès aux informations et aux entrepôts des matériels électoraux;
• De continuer à sanctionner sévèrement, le cas échéant, son propre personnel impliqué dans ces différents crimes;
• De clarifier les cas de Centres d’Inscription n’ayant pas été retrouvés sur terrain relevés dans sa déclaration à mi-parcours et son avant dernier communiqué.
A la police et autres services de sécurité, d’assurer convenablement la sécurité du matériel électoral.
Dans un communiqué de presse, Dénis Kadima Kazadi, président de cette institution organisatrice des élections en RDC disait ignorer l'origine et la destination de ces matériels retrouvés dans un véhicule à Tshikapa. La CENI avait invité les instances judiciaires et policières compétentes à faire diligence dans la recherche des coupables et que des sanctions sévères et exemplaires leur soient infligées.
Lire aussi : RDC-Élections 2023: la CENI annonce l'arrestation d'un individu en possession d'un lot de 300 cartes d'électeurs vierges en provenance de Masimanimba



"Enrôlement des électeurs : Justicia Asbl sollicite une prolongation de 2 mois pour le Haut-Katanga - 23/02/2023
= https://www.radiookapi.net/2023/02/23/actualite/societe/enrolement-des-electeurs-justicia-asbl-sollicite-une-prolongation-de-2

"[RDC : la CENI ignore l'origine et la destination des matériels électoraux découvert dans un véhicule privé à Tshikapa (Communiqué) - 22 février 2023 - 22:07
= https://actualite.cd/2023/02/22/rdc-la-ceni-ignore-lorigine-et-la-destination-des-materiels-electoraux-decouvert-dans-un

"RDC: Fayulu et Katumbi dénoncent l’enrôlement des électeurs « défectueux » en faveur de Tshisekedi - 21 février 2023
= https://www.politico.cd/la-rdc-a-la-une/2023/02/21/rdc-fayulu-et-katumbi-denoncent-lenrolement-des-electeurs-defectueux-en-faveur-de-tshisekedi.html/128762/
Certains candidats de l’opposition en République démocratique du Congo, à l’instar de Martin Fayulu et Moïse Katumbi ont tiré la sonnette d’alarme sur les retards et les irrégularités présumées dans la campagne d’inscription des électeurs qui, selon eux, se déroule à leur détriment avant la convocation du corps électoral prévu le 20 décembre, rapporte Reuters.

Ce média Anglais, en effet, indique que plus de 50 millions d’électeurs congolais devraient être inscrits d’ici le 17 mars, mais la commission électorale de la CENI a déclaré vendredi qu’un nombre indéterminé de centres dans la première aire opérationnelle concernant 10 provinces qui comprend la capitale Kinshasa avait manqué un délai provisoire qui avait déjà été prolongé par 25 jours.
La même source note, à travers la bouche autorisée de la CENI, Patricia Nseya, que 24 autres centres dans la province de Kinshasa et un nombre indéterminé de centres dans la province de Mai Ndombe n’ont pas ouvert en raison de problèmes de sécurité.
Un document interne de la CENI consulté par Reuters a montré que 779 des 9 200 centres d’inscription de la première zone étaient fermés ou non opérationnels au 1er février et que seuls 52 % des électeurs prévus étaient inscrits.

Dans la foulée, Martin Fayulu qui a réagi à travers cette agence de presse Britannique, a laissé entendre qu’il y a des centres qui existaient sur la carte de la centrale électorale qui ne sont pas ouverts et d’autres qui sont ouverts alors qu’ils ne devraient pas l’être.
Aussi, dit-il, « il y a eu de nombreux problèmes avec les sources d’alimentation des machines et des retards dans la livraison des kits, des panneaux solaires, des câbles », tout en accusant la CENI d’organiser « le chaos électoral pour se préparer à la fraude ».
Martin Fayulu et Moise Katumbi ont, par ailleurs, déclaré qu’ils pensaient que la CENI accordait la priorité à l’inscription des électeurs dans les zones fidèles au Président Félix Tshisekedi comme sa région d’origine du Kasaï.
« Il y a plus de machines d’inscription au Kasaï que dans d’autres régions plus peuplées comme le Katanga », a déclaré Moïse Katumbi à Reuters.

Selon les informations rapportées par cette agence de presse Britannique, trois experts électoraux congolais et internationaux ont également déclaré, sous le sceau d’anonymat, avoir constaté un écart entre le nombre de kits d’inscription disponibles dans les zones pro-Tshisekedi et celles de l’opposition.
Dans la même veine, la mission d’observation électorale des églises catholiques et protestantes (MOE) a dit espérer « que la CENI puisse trouver un moment de calme pour clarifier la situation des centres d’inscription que nos observateurs n’ont pas pu trouver sur le terrain ».
Somme toute, cette mission a signalé plus de 200 incidents au cours des deux dernières semaines, tels que des retards dans l’arrivée du matériel et des dysfonctionnements qui ont empêché l’inscription des électeurs.

"Processus électoral et restauration de la paix dans l’Est, RDC : Martin Fayulu interpelle l’Union africaine !
= https://laprosperiteonline.net/processus-electoral-et-restauration-de-la-paix-dans-lest-rdc-martin-fayulu-interpelle-lunion-africaine/

"Enrôlement : des zones pro-Tshisekedi favorisées, dépeignent Katumbi et Fayulu - 20/02/2023
= https://ouragan.cd/2023/02/enrolement-des-zones-pro-tshisekedi-favorisees-depeignent-katumbi-et-fayulu
= https://laprosperiteonline.net/katumbi-et-fayulu-critiquent-lenrolement-des-electeurs-favorable-a-tshisekedi/

"Privatisation des centres d’enrôlement, l’UDPS rejette l’accusation - 22 février 2023
= https://magazinelaguardia.info/2023/02/22/privatisation-des-centres-denrolement-ludps-rejette-laccusation/


"Kasaï : des kits électoraux découverts dans un véhicule, la CENI veut des enquêtes, le député Théo Kazadi pointé du doigt - 25.02.2023
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-118144_kasai_des_kits_electoraux_decouverts_dans_un_vehicule_la_ceni_veut_des_enquetes_le_depute_theo_kazadi_pointe_du_doigt.html

"RDC : la CENCO et l’ECC recommandent l’organisation des procès publics contre toute personne détenant illicitement les matériels électoraux de la CENI - 25 février 2023
= https://www.politico.cd/encontinu/2023/02/25/rdc-la-cenco-et-lecc-recommandent-lorganisation-des-proces-publics-contre-toute-personne-detenant-illicitement-les-materiels-electoraux-de-la-ceni.html/128967/


"Élections 2023 : Bestine Kazadi et Denis Kadima échangent sur la possibilité d'obtenir le soutien et l'accompagnement de l'OIF - 22 février 2023
= https://actualite.cd/2023/02/22/elections-2023-bestine-kazadi-et-denis-kadima-echangent-sur-la-possibilite-dobtenir-le


"Est de la RDC: à Goma, des habitants impatients d'avoir leur carte d'électeur - 24/02/2023
= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20230224-est-de-la-rdc-%C3%A0-goma-des-habitants-impatients-d-avoir-leur-carte-d-%C3%A9lecteur
À Goma, capitale du Nord-Kivu, dans l’Est de la République démocratique du Congo (RDC), l’enrôlement en vue notamment du scrutin présidentiel prévu le 20 décembre 2023 a débuté le 16 février dernier. Sur place, l’impatience est importante, la carte d’électeur faisant également office de document d’identité en RDC. Reportage.
Avec notre envoyée spéciale à Goma, Coralie Pierret

Dans le Nord-Kivu, dans l’est de la République démocratique du Congo, l’enrôlement des électeurs est en cours depuis le 16 février dernier. Cette opération a ainsi lancé la première étape du processus électoral dans cette province stratégique : c’est la deuxième, après la ville de Kinshasa, en termes de nombre d’électeurs.
À Goma, les citoyens reçoivent leur précieuse carte d’électeur qui est aussi en RD Congo un document d’identité. Plusieurs agents de la Commission électorale nationale indépendante (Céni), ainsi que des policiers chargés de veiller à la sécurité dans les centres ont déjà été sanctionnés pour avoir monnayé l’entrée à des électeurs. Dans la capitale provinciale, c’est la bousculade et l’impatience devant les centres d’identification.
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« Sans carte, tu n’as rien »

Emmanuel vient ainsi pour le troisième jour consécutif dans l’espoir de pouvoir entrer au centre d’enrôlement de Mavuno, en centre-ville de Goma. Comme la cinquantaine de personnes devant la porte, il s’impatiente : « Quand on a un boulot quelque part, on se précipite ici pour voir comment on peut trouver la carte. Mais comme il y a beaucoup de retard, il y a beaucoup de lenteurs, on rentre encore… »
Une impatience qui entraine quelques bousculades. La carte d’électeur est en RDC un document précieux qui servira à fournir les futures cartes d’identité, explique cet étudiant : « Tu sais bien que sans carte, tu n’as rien. Sans carte, tu ne peux même pas voyager. »
► À lire aussi: Est de la RDC: à Bukavu, l’enrôlement des électeurs débute entre impatience et insatisfactions
Mégaphone à la main, un militant profite de cette attente pour faire campagne pour son candidat. Mais Pacifique, la soixantaine, n’est pas encore sûr d’aller voter : « Si on n’organise pas le vote comme il le faut, je ne sais pas pourquoi je dois encore perdre mon temps et aller voter pour quelqu’un qui ne me servira à rien. »
Pour se faire enrôler, les électeurs n’ont plus qu’un mois, jusqu’au 17 mars, rappelle Paul Muhindo, le rapporteur adjoint de la Ceni : « C’est un défi, mais un défi surmontable. On a essayé d’écourter certains délais. Nous avons mis en place des stratégies pour absorber toutes ces personnes afin qu’au 20 décembre, nous puissions organiser les élections. »
Des pans entiers de la province du Nord-Kivu restent occupés par les rebelles du M23. Les électeurs y sont donc inaccessibles. Un autre défi pour le processus électoral.

Anciennes cartes perdues dans la fuite

Des bureaux d’identification ont donc été implantés directement dans les camps de déplacés. 
Tous patientent devant l’un des bureaux d’un centre d’identification de Kanyarucinya, où se trouvent plusieurs camps des déplacés. Ici, en face de cette maisonnette en bois, la plupart des électeurs viennent de Kibumba, une localité en partie sous contrôle des rebelles du M23. Eux pourront s’inscrire dans ce bureau et recevoir leur carte d’électeur. Impossible en revanche pour tous ceux qui sont restés bloqués à Kibumba, regrette Marcelin : « C'est difficile d'arriver jusqu'ici car il faut traverser la zone rebelle, donc nous demandons à notre gouvernement qu'il nous aide à combattre avec force pour que les gens restés là-bas puissent aussi récupérer leur carte. »
Avec sa femme, Marcelin est arrivé très tôt dans la matinée. Tout comme Patrick qui vient d’obtenir sa nouvelle carte. « J’avais mon ancienne carte d’électeur et quand tu as ton ancienne carte, pas de problème, tu passes facilement », di-il.
Sauf que la majorité des déplacés ont égaré leur carte ou tout autre document prouvant leur identité lorsqu’ils ont fui leur village d’origine. Alors pour eux, une solution a été trouvée : venir avec trois témoins, assure John, le responsable de ce centre d’identification.
Une solution pour éviter l’exclusion d’une partie des électeurs du Nord-Kivu et d’en inscrire le maximum. Mais une solution contre laquelle s’élève plusieurs responsables de mouvements citoyens ou analystes qui la jugent facile à acheter ou falsifier.
► À lire aussi: RDC: l’insécurité empêche le démarrage de l'enrôlement des électeurs dans le territoire de Kwamouth

= https://actualite.cd/2023/02/22/negociations-intergouvernementales-sur-la-cooperation-au-developpement-germano
= https://actualite.cd/2023/02/25/kasai-oriental-un-membre-de-la-commission-justice-et-paix-denonce-une-campagne
= https://www.radiookapi.net/2023/02/18/actualite/politique/nord-kivu-peu-dengouement-aux-centres-denrolement-des-electeurs
= https://www.jeuneafrique.com/1418885/politique/malgre-le-m23-et-les-adf-le-difficile-recensement-des-electeurs-dans-lest-de-la-rdc-a-demarre/
= https://www.radiookapi.net/2023/02/16/emissions/linvite-du-jour/kongo-central-66-de-citoyens-deja-enroles-par-la-ceni
=.

"Enrôlement des électeurs: le parti de Katumbi appelle les congolais à barrer la route à un processus électoral chaotique à la suite de multiples failles constatées - 25.02.2023=
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-118161_enrolement_des_electeurs_le_parti_de_katumbi_appelle_les_congolais_a_barrer_la_route_a_un_processus_electoral_chaotique_a_la_suite_de_multiples_failles_constatees.html
Au cours d’une conférence de presse tenue ce samedi 25 février 2023, le porte-parole du parti Ensemble pour la République de Moïse Katumbi, Chérubin Okende dénonce plusieurs irrégularités constatées dans le déroulement de la révision du fichier électoral en RDC.
Parmi ces irrégularités, il a cité notamment la lenteur inconsidérée des opérations d’enrôlement due à la mauvaise préparation des opérateurs d’enrôlement, des pannes intempestives des machines et la carence entretenue des équipements dans plusieurs centres d’inscription.


Ceci laisse, d’après Ensemble pour la République, entrevoir une tentative de gonfler insidieusement le nombre d’électeurs pour plus de sièges dans cet espace au détriment d’autres aires géographiques qui subissent le statu quo dont seule la CENI connait la motivation.
À cela s’ajoute le monnayage éhonté, maintes fois décrié par la population, des places dans des centres pour l’enrôlement et des cartes d’électeurs sans qu’aucune sanction ni désaveu n’ait été fermement prononcés par les responsables de la centrale électorale.
À cet effet, Ensemble pour la République attire l’attention du Peuple congolais et de l’opinion publique sur cette planification de la fraude électorale qui est en cours.

Le parti de Katumbi appelle le peuple congolais à barrer la route à un processus électoral chaotique à la suite de multiples failles dans l’enrôlement des électeurs.
Pour éviter une parodie d’élections aux conséquences inimaginables et privilégier la promotion d’un véritable État de droit démocratique, il appelle le peuple congolais à refuser, d’ores et déjà, toutes manœuvres visant à falsifier le choix du souverain, primaire escamoter la vérité des urnes et provoquer une nouvelle crise de légitimité superfétatoire.


"Processus électoral : les États-Unis s’engagent à accompagner les institutions de la république - 24.02.2023
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-118128_processus_electoral_les_etats_unis_s_engagent_a_accompagner_les_institutions_de_la_republique.html


"ACTU EXPLIQUÉE 24.02- FABIEN KUSUANIKA RÉUSSIT À PIÉGER LA CENI ET L'ÉQUIPE KADIMA RÉAGIT"


"LAMUKA QUALIFIE D'ESCROQUERIE LE PROCESSUS ELECTORAL PILOTÉ  PAR DENIS KADIMA -24/02/2023"



"EN TOUTE VÉRITÉ - POURQUOI MUKWEGE? ALTERNATIVE MUKWEGE RÉPOND À VOS QUESTIONS AU +32 465 84 12 91 -24/02/2023"




Compatriotiquement!


# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul # # Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #

ndonzwau


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LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?  Empty Re: LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?

Message  ndonzwau 28/2/2023, 11:02 pm

En depit des assurances deson préposé à la Ceni qui du coup l'atteste soumis à son tour, Tshisekedi se remet à la réalité des faits pour douter publiquement du respect des delais pour les prochaines élections en raison de l'insécurité  dans l'Est. Mais encore...

En touriste à Genève dans un énième voyage inutile pour le pays dans un raout où il a été ramené au rang de ministre, entre la poire et le fromage, notre président s'est rappelé que l'insécurité etait encore criante à l'Est de son pays et qu'elle avait tout pour empêcher le vote de nos Concitoyens du coin. Là encore une fois il blablate sans proposer la moindre solution concrète et efficiente.



"« La persistance de la guerre à l’Est de notre pays risque d’hypothéquer le processus électoral dont les opérations d’enrôlement sont déjà en cours » (Félix Tshisekedi) - 27.02.2023
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-118230_la_persistance_de_la_guerre_a_l_est_de_notre_pays_risque_d_hypothequer_le_processus_electoral_dont_les_operations_d_enrolement_sont_deja_en_cours_felix_tshisekedi.html
Lors de son discours ce lundi 27 février 2023 à la 52e session du conseil des droits de l’homme des Nations-Unies qui se tient à Genève, le président de la République Démocratique du Congo a expliqué que la persistance de la guerre dans l’Est de son pays risque d’hypothéquer le processus électoral dont les opérations d’enrôlement sont en cours.

« Quant aux élections générales prévues pour le 20 décembre prochain, une autre matière qui touche aux libertés fondamentales et aux droits fondamentaux des citoyens, le Gouvernement de la République et moi-même attachons le plus grand intérêt et portons une attention soutenue à leur tenue en toute transparence, en toute liberté et sans exclusion basée sur des considérations politiques, tribales ou ethniques », a déclaré Félix Tshisekedi.
Toutefois poursuit-il, la persistance de la guerre à l’Est de notre pays risque d’hypothéquer le processus électoral dont les opérations d’enrôlement sont déjà en cours par suite du déplacement massif des personnes des zones des combats, de l’insécurité et de l’inaccessibilité à ces zones.
« Il est donc absolument impérieux que la communauté internationale s’implique davantage activement aux côtés de la RDC pour la restauration de la paix et de l’autorité de l’État dans cette partie du territoire national », a dit le chef de l’État congolais.

A cette occasion, il a une fois de plus dénoncé son voisin Rwandais Paul Kagame qui soutient les terroristes du M23 pour déstabiliser la RDC et piller ses minerais.
« C’est au moment où toutes les initiatives et actions que je viens d’exposer sont en cours et commencent à porter leurs fruits que les autorités rwandaises ont ressuscité le Mouvement terroriste du 23 mars, M23, défait en 2013 par nos Forces Armées avec l’appui des troupes internationales de la MONUSCO, pour agresser la RDC et bloquer le processus de paix de Nairobi dans le but inavoué de poursuivre le pillage des ressources naturelles de la RDC et de placer sous imperium rwandais une partie de son territoire national, le Nord-Kivu », a dit Félix Tshisekedi.
Les assises de la 52e session du conseil des droits de l’homme des Nations-Unies vont se clôturer le 4 mars 2023.


"CENI : Dénis Kadima trouve logique les propos du Président Tshisekedi sur l'incertitude qui pèse sur le processus électoral - 28.02.2023
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-118269_ceni_denis_kadima_trouve_logique_les_propos_du_president_tshisekedi_sur_l_incertitude_qui_pese_sur_le_processus_electoral.html
Répondant à la question des journalistes lors d'une conférence de presse tenue ce mardi 28 février, au siège de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), Dénis Kadima a jugé logique les propos du Président Tshisekedi sur l'incertitude qui pèse sur le processus électoral au cas où l'insécurité persiste. Il a estimé que ce contexte d'insécurité est de nature à rendre impossible le vote pour la population de l'Est.

" Si une personne à sa carte d'électeur est que le jour du scrutin, il ne sait pas comment se rendre au centre de vote à cause de l'insécurité, on dira que le processus électoral est hypothéqué. Ainsi, à mon entendement, ce que le Chef de l'État a dit est logique", a précisé Dénis Kadima
Malgré les conflits armés dans la partie Est, Dénis Kadima reste positif et croit que les négociations pour le retour de la paix dans l'Est du pays vont aboutir.
Il sied de rappeler que lors de sa prise de parole à Genève, le chef de l'État avait exprimé sa crainte de voir le processus électoral être Hypothéqué suite à la persistance des conflits armés dans la partie Est du pays.


"[RDC : Scrutin, la Cenco et l’ECC tirent la sonnette d’alarme -
24 février 2023

= https://afrique.lalibre.be/75956/rdc-scrutin-la-cenco-et-lecc-tirent-la-sonnette-dalarme/


"R DC: Ensemble pour la République, de Moïse Katumbi, dénonce un climat politique délétère
- 26/02/2023

= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20230226-rdc-ensemble-pour-la-r%C3%A9publique-de-mo%C3%AFse-katumbi-d%C3%A9nonce-un-climat-politique-d%C3%A9l%C3%A9t%C3%A8re


"R DC: Ensemble pour la République, de Moïse Katumbi, dénonce un climat politique délétère
- 26/02/2023

= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20230226-rdc-ensemble-pour-la-r%C3%A9publique-de-mo%C3%AFse-katumbi-d%C3%A9nonce-un-climat-politique-d%C3%A9l%C3%A9t%C3%A8re



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LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?  Empty Re: LE PPRD (FCC) ENTEND BOYCOTTER LES ÉLECTIONS DE 2023 SI LES CONDITIONS DE CONSENSUALITÉ ET D'INCLUSIVITÉ NE SONT RÉUNIES : QU'EST-CE QUE CA SIGNIFIE, QUELLES SUITES POSSIBLES ?

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