ELIEZER NTAMWE OU L'EXEMPLE-TYPE DE NOS NOMBREUX POLITICIENS PARVENUS QUI SE PRECIPITENT A DONNER DES LECONS AUX AUTRES ALORS QU'ILS SE DEVRAIENT D'EN RECEVOIR. NOS POLITICIENS SE PRESENTENT-ILS OU SE POSITIONNENT-ILS EN SE BASANT SUR DES CONVICTIONS ?
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ELIEZER NTAMWE OU L'EXEMPLE-TYPE DE NOS NOMBREUX POLITICIENS PARVENUS QUI SE PRECIPITENT A DONNER DES LECONS AUX AUTRES ALORS QU'ILS SE DEVRAIENT D'EN RECEVOIR. NOS POLITICIENS SE PRESENTENT-ILS OU SE POSITIONNENT-ILS EN SE BASANT SUR DES CONVICTIONS ?
"ELIEZER NTAMWE OU L'EXEMPLE-TYPE DE NOS NOMBREUX POLITICIENS PARVENUS QUI SE PRECIPITENT A DONNER DES LECONS AUX AUTRES ALORS QU'ILS SE DEVRAIENT D'EN RECEVOIR. NOS POLITICIENS EN RDC SE PRESENTENT-ILS OU SE POSITIONNENT-ILS EN SE BASANT SUR DES CONVICTIONS AFFIRMEES OU Y VONT-ILS D'ABORD POUR UN POSTE QUI LEUR ASSURE UN PECULE, UN STATUT SOCIAL ???
Eliezer Ntamwe est ce député national de Kinshasa qui hier était un journaliste auto-proclamé brassant beaucoup de vent, il en est mérité d'être élu aux dernières élections député national de Lukunga. Ce n'est point un péché d'autant qu'il n'est pas le seul à être dans ce cas et a sans doute des mérites pour l'avoir réussi ; là donc n'est pas le problème ici : il est qu'il s'arroge ici le monopole de patriotisme et d'un élu qui aurait des convictions au contraire des autres qu'il dénonce. Notons d'ailleurs en passant tout élu national il continue à jouer son rôle de chansonnier journaliste, animant son émission qu'il a transformé en "Masolo ya député". Plus grave il rabroue le quatuor d'opposants déclarés au pouvoiren place de n'avoir aucun socle commun de convictions. Peut-être mais lui quelles sont ses convictions en dehors de vouloir rempiler, ce qui l'a poussé à quitter Katumbi et son Ensemble de la République qu'il avait hier sans doute en contrepartie de quelques billets verts pour fonder son parti et entrer dans l'Union sacrée de son masha a mu menu Tshisekedi chez qui il trouvait plus de garanties de survie.
Plus sérieusement nous savons tous que nos partis politiques sont davantage des "ligablo" d'un Président Fondateur qui rassemble autour de ses frères de villages, rares sont ceux qui s'assemblent autour d'une conviction, d'une idéologie visible. Ainsi donc lorsque Ntamwe déclare que Katumbi, Fayulu, Sesanga et Matata n'ont aucune idéologie et aucune revendication claire, il a sans doute raison sauf peut-être comme lui ils veulent devenir calife à la place du calife comme lui veut s'assurer des garanties d'une réélection. Il a ainsi peu de chances de désillusionner les Congolais qui ne sont pas aussi dupes qu'il peut croire, ils savent comment fonctionnent nos politiciens, ils connaissent déjà leurs vrais objectifs. Encore dans la panade lorsqu'il prêche qu'un leader ne fait pas de campagne, reste chez-lui attendre les adeptes.
Quant à sa foi en Tshisekedi, il ferait mieux de chercher en convaincre ceux qui sont déjà convaincus, les Congolais l'ont experimenté près de 5 ans et voient bien son faible bilan, ses promesses non-tenues, le panier de la ménagère toujours vide à coté des détournements, des dépassements budgétaires, un millier de Conseillers coûteux, son amateurisme criant avec ses fréquentations naïves avec Kagame, la poursuite de l'impunité, son incapacité à mobiliser une armée dissuasive à l'Est couplée avec sa coupable externalisation de notre intégrité aux étrangers, etc, etc Tshiskedi vrai démocrate, de qui se moque Ntambwe, ne le voit-il pas entamer ces jours-ci une carrière de dictateur où le vieux refrain de l'Etat de droit et du Peuple d'abord est devenu une fiction ? Que vaut par ailleurs son parcours en tant qu'élu.
Posons-nous plutôt la bonne question des convictions, de l'expertise, de la responsabilisation, de la probité et de l'efficacité de nos leaders car pour le moment le compte n'y est pas au point où l'on est obligé de tenter de frauder aux élections.
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Eliezer Ntamwe est ce député national de Kinshasa qui hier était un journaliste auto-proclamé brassant beaucoup de vent, il en est mérité d'être élu aux dernières élections député national de Lukunga. Ce n'est point un péché d'autant qu'il n'est pas le seul à être dans ce cas et a sans doute des mérites pour l'avoir réussi ; là donc n'est pas le problème ici : il est qu'il s'arroge ici le monopole de patriotisme et d'un élu qui aurait des convictions au contraire des autres qu'il dénonce. Notons d'ailleurs en passant tout élu national il continue à jouer son rôle de chansonnier journaliste, animant son émission qu'il a transformé en "Masolo ya député". Plus grave il rabroue le quatuor d'opposants déclarés au pouvoiren place de n'avoir aucun socle commun de convictions. Peut-être mais lui quelles sont ses convictions en dehors de vouloir rempiler, ce qui l'a poussé à quitter Katumbi et son Ensemble de la République qu'il avait hier sans doute en contrepartie de quelques billets verts pour fonder son parti et entrer dans l'Union sacrée de son masha a mu menu Tshisekedi chez qui il trouvait plus de garanties de survie.
Plus sérieusement nous savons tous que nos partis politiques sont davantage des "ligablo" d'un Président Fondateur qui rassemble autour de ses frères de villages, rares sont ceux qui s'assemblent autour d'une conviction, d'une idéologie visible. Ainsi donc lorsque Ntamwe déclare que Katumbi, Fayulu, Sesanga et Matata n'ont aucune idéologie et aucune revendication claire, il a sans doute raison sauf peut-être comme lui ils veulent devenir calife à la place du calife comme lui veut s'assurer des garanties d'une réélection. Il a ainsi peu de chances de désillusionner les Congolais qui ne sont pas aussi dupes qu'il peut croire, ils savent comment fonctionnent nos politiciens, ils connaissent déjà leurs vrais objectifs. Encore dans la panade lorsqu'il prêche qu'un leader ne fait pas de campagne, reste chez-lui attendre les adeptes.
Quant à sa foi en Tshisekedi, il ferait mieux de chercher en convaincre ceux qui sont déjà convaincus, les Congolais l'ont experimenté près de 5 ans et voient bien son faible bilan, ses promesses non-tenues, le panier de la ménagère toujours vide à coté des détournements, des dépassements budgétaires, un millier de Conseillers coûteux, son amateurisme criant avec ses fréquentations naïves avec Kagame, la poursuite de l'impunité, son incapacité à mobiliser une armée dissuasive à l'Est couplée avec sa coupable externalisation de notre intégrité aux étrangers, etc, etc Tshiskedi vrai démocrate, de qui se moque Ntambwe, ne le voit-il pas entamer ces jours-ci une carrière de dictateur où le vieux refrain de l'Etat de droit et du Peuple d'abord est devenu une fiction ? Que vaut par ailleurs son parcours en tant qu'élu.
Posons-nous plutôt la bonne question des convictions, de l'expertise, de la responsabilisation, de la probité et de l'efficacité de nos leaders car pour le moment le compte n'y est pas au point où l'on est obligé de tenter de frauder aux élections.
"Démocratie : une marche de colère de l’opposition annoncée avec panneaux et spots publicitaires, c’est une première en RDC /Eliezer Ntambwe (Congoforum) - 05/06/2023
= https://www.congoforum.be/fr/2023/06/democratie-une-marche-de-colere-de-lopposition-annoncee-avec-panneaux-et-spots-publicitaires-cest-une-premiere-en-rdc-eliezer-ntambwe-congoforum/
KINSHASA – Le député national, élu de Lukunga se moque du quatro Katumbi-Sesanga-Muzito et Fayulu. Dans une entrevue avec la presse, le 31 mai 2023, cet ancien membre d’Ensemble pour la République de Moïse Katumbi a déclaré que « les quatre opposants n’ont aucune idéologie et aucune revendication claire ».
La presse est face à un ancien collaborateur de Moïse Katumbi déterminé à désillusionner toutes les manœuvres de l’opposition dont fait partie, son ancien chef de file.
« Depuis qu’ils ont commencé, quelles sont leurs revendications claires ? J’ai même posé la question en voyant Matata, Moïse Katumbi, Sessanga et Fayulu se mettre ensemble, c’est autour de quel objectif ? Il y a ceux qui sont allés seulement chercher la protection mutuelle. Et les autres, qu’est-ce qu’ils revendiquent ? Il n’y a pas une idéologie qui les a mis ensemble. Parce que si on peut recourir à l’évolution de tout acteur, ils ne sont pas dans le même combat, ils ne sont pas dans une même idéologie, ils n’ont pas le même objectif », a déclaré Eliezer Ntambwe, avant de confirmer certains parmi eux, ont fait du porte-à-porte pour mobiliser la population.
« Un vrai leader annonce et reste chez lui, le peuple exécute. Mais qu’est-ce qu’on constate, on annonce qu’il y aura marche, après tout on se rend compte que le peuple ne va pas obéir, on fait appel à Moïse pour que les gens comprennent que comme Moïse est venu, il peut avoir un peu de moyens qui va renforcer pour amener les gens. Moi j’ai vu cette opposition-là faire le porte-en-porte. On a vu le leader Moïse au Camp Luka et tantôt à Lemba. On a vu l’honorable Sesanga à Terre jaune, j’ai vu Martin Fayulu à Ngaba ainsi de suite… Ils ont fait vraiment les témoins de Jéhovah (Ndlr : qui prêchent de porte-à-porte. On ne fait jamais le porte-à-porte quand on mobilise les foules », les a-t-il taclés.
Tshisekedi, un vrai démocrate
Cet ancien lanceur d’alerte n’a pas caché son doute en la capacité de ces quatre à mobiliser la population malgré qu’ils aient fait recours aux panneaux publicitaires, une première en RDC. Il les appelle à accepter que Félix Tshisekedi est un vrai démocrate.
« C’est pour la première fois dans notre pays qu’une marche de colère contre le régime, soit annoncée sur des panneaux publicitaires, que des spots passent et le chef de l’État tolère. Ça n’a jamais été ni sous Mobutu, ni sous Mzee Kabila, ni sous Joseph Kabila. Je me rappelle qu’en tant qu’opposant à l’époque, nous lancions des tracts. Mais aujourd’hui, sous Tshisekedi, les marches de colère lui s’annoncent sur des panneaux publicitaires. Ils sont encore visibles dans la ville. C’est vraiment une première et ça démontre que Tshisekedi est démocrate », a-t-il assené.
Et de conclure : « Ils sont ensemble éphémèrement juste pour une protection mutuelle, chacun avec son ego sur mesuré. »
"Les députés nationaux Eliezer Ntambwe et Auguy Kalonji lors du point de presse annonçant la sortie de leur parti politique ACR
= https://www.opinion-info.cd/politique/2022/08/29/rdc-eliezer-ntambwe-et-auguy-kalonji-annoncent-la-sortie-officielle-de-leur
En marge de la sortie officielle de leur formation politique dénommée "Action Commune pour la République" (ACR), les députés nationaux Auguy Kalonji et Eliezer Ntambwe, respectivement vice-président et président national, ont tenu un point de presse, ce lundi 29 août 2022, au siège social de leur parti politique situé sur l'avenue Kabinda, dans la commune de Kinshasa.
D'entrée de jeux, le député national Eliezer Ntambwe, tout en annonçant que la sortie officielle de leur parti politique aura lieu, ce 03 septembre 2022, à la FIKIN, a, à propos du clivage politique de l'ACR indiqué que "au regard de la situation politique de l'heure, il est actuellement difficile de distinguer l'appartenance d'un parti politique à l'opposition tout comme à la majorité".
Il est connu de tous que les députés nationaux Eliezer Ntambwe et Auguy Kalonji ont chacun sa base.
Répondant à une question d'un journaliste qui a évoqué la question de leadership au sein de l'ACR.
Eliezer Ntambwe a souligné que "À l'ACR, nous voulons faire les choses autrement et nous écarter de chemin de cacique où seule l'autorité morale et son entourage émergent".
Et d'ajouter : "En management c'est qui fait un grand leader, c'est son entourage.
Dommage, c'est que nous avons vécu depuis l'accession de notre pays à son indépendance".
En bordant dans le même sens, le député national Auguy Kalonji a expliqué que
" Nous nous sommes résolus de parler toujours de notre parti et non de mon parti.
C'est comme ça que nous avons banni l'appellation du terme camarade en lieu et place de capable".
Et de souligner: " Nous avons eu l'idée de mettre sur place l'ACR.
En toute organisation, là où il y a deux leaders, l'un doit laisser la place à l'autre et cela ne veut pas dire que celui à qui l'on n'a laissé la place devient le propriétaire du parti".
Il sied de signaler que la sortie officielle du parti politique ACR se fera en même temps à Kinshasa, dans l'arrière pays ainsi qu'à l'étranger.[/size][/justify]
"Ayant décidé de créer l’ACR avec une vision novatrice/RDC : Eliezer Ntambwe et Auguy Kalonji lancent des signaux forts pour 2023 - septembre 5, 2022
= https://laprosperiteonline.net/ayant-decide-de-creer-lacr-avec-une-vision-novatrice-rdc-eliezer-ntambwe-et-auguy-kalonji-lancent-des-signaux-forts-pour-2023/
Les prochaines échéances électorales en République Démocratique du Congo s’annoncent palpitantes après le lancement de l’Action Commune pour la République (ACR), parti cher aux députés Eliezer Ntambwe, élu de la Lukunga, et Auguy Kalonji, élu de la Tshangu, qui, désormais, se sont engagés à offrir une alternative crédible au peuple congolais. Tenez ! Sous les couleurs de l’ACR, les deux élus les plus proches de la population ont choisi le bon moment pour se lancer dans la bataille visant l’instauration d’un véritable Etat de droit fondé sur des valeurs républicaines avec l’idée de damer le pion à quiconque lors des joutes électorales qui, en principe, devront se tenir en 2023.
Devant une foule immense ayant pris d’assaut la Foire internationale de Kinshasa (Fikin), samedi 03 septembre, lors de la cérémonie du lancement du parti, Eliezer Ntambwe a indiqué aux milliers de kinois que l’Action Commune pour la République (ACR) repose sa vision sur plusieurs piliers notamment, l’amour de mieux servir le pays, le patriotisme, la justice, la démocratie, la quête permanente de l’excellence et la sécurité.
«La vision de notre parti repose sur la valeur ajoutée qu’elle imprègne, fondée sur le pouvoir de l’amour qui est de faire la politique autrement. Cette valeur ajoutée est l’apport significatif du supplément politique basé sur la conduite de changement menée par des leaders efficaces, transformationnels et compétents en matière de gouvernance publique axée sur les idéaux, les résultats et impact durable », a expliqué le Président du parti.
Pour lui, il s’avère nécessaire de promouvoir la qualité du leadership et de l’efficacité des animateurs des institutions de la République Démocratique du Congo à différents niveaux. «C’est dans cette perspective que la vision du parti politique ‘’Action commune pour la République’’ s’inscrit en vue de propulser une nouvelle classe pouvant assurer le changement dans lequel les jeunes jouent un rôle prédominant, basé sur le changement des mentalités, des valeurs d’amour, d’altruisme, de patriotisme, d’intérêt général et de compétences pour bâtir une classe politique fondée sur la démocratie, la bonne gouvernance, les réalisations des droits humains, l’Etat de droit ainsi que développement durable et intégral», a ajouté l’élu de la Lukunga.
Selon Auguy Kalonji, l’homme de Terre jaune pour les intimes, l’ACR vient redonner espoir là où déception et scepticisme ont semé le doute à cause des promesses fallacieuses de plusieurs partis politiques. D’après lui, au niveau de cette nouvelle formation politique, les membres sont au centre de toute action. «Le parti sera l’antithèse de ce qu’on a déjà vu, mais dans notre parti politique les militants s’appellent des capables et non des camarades comme d’habitude. Une nuance qui bannit toute tendance à l’accaparement du parti par un individu, leader soit-il. Chez nous, tout le monde a son rôle à jouer. On refuse des titres pompeux, comme autorité morale, lesquels ont largement contribué à la déification des présidents des partis politiques‘’, a expliqué l’Honorable Kalonji, vice-président du parti.
Au cours de la même activité du lancement du parti, Ndeko Eliezer a condamné les massacres et autres actes de violence qui sévissent pour l’heure dans la partie Est du pays et dans le territoire de Kwamouth, dans la province du Maï-Ndombe.
"RDC : le député Eliezer Ntambwe conditionne la tenue des élections au retour effectif de la paix dans l'Est
= https://www.opinion-info.cd/politique/2023/03/16/rdc-le-depute-eliezer-ntambwe-conditionne-la-tenue-des-elections-au-retour
Le député national Eliezer Ntambwe estime que l'on ne peut parler des élections prévues à la fin de cette année qu'au retour effectif de la paix dans la partie orientale de la RDC. Membre de l'Union sacrée, l'élu de Lukunga considère que le débat autour d'un prétendu dialogue ne tient pas non plus debout au regard des enjeux de l'heure.
" Quelles sont les vraies motivations pour que ce dialogue ait lieu", s'interroge-t-il avant de rajouter : " En RDC, on a tendance a sous-estimé les compatriotes qui sont en province. On réduit la RDC à Kinshasa. Ce n'est pas normal."
Le Président du parti politique Action commune pour la République ( ACR), Eliezer Ntambwe rappelle qu'il n'est pas intéressant de comparaît la situation sécuritaire actuelle à celle de 2018 d'autant que, dit-il, il s'agit d'une agression et non d'une rébellion. "A cette époque, les gens étaient déjà enrôlés et qu'au moment des élections c'était difficile d'envoyer les agents de la CENI à ce coin".
Et de renchérir : " Il faut qu'on opère un choix soit on dit que les compatriotes qui sont dans ces villages occupés par le rwandais sont moins congolais que nous soit on fournit les efforts pour pousser le Rwanda à retourner chez lui ".
D'après lui, la prise en compte de la question sécuritaire est une obligation pour donner beaucoup plus de légitimité à ceux qui seront élus. "Il ne faut pas consacrer la balkanisation".
"*Avec la sortie tonitruante du fou du roi Eliezer Ntamwe*
= https://exclusifrdc.com/avec-la-sortie-tonitruante-du-fou-du-roi-eliezer-ntambwe/
"RDC: le député Eliezer Ntambwe traîne Zacharie Bababaswe en justice - MAR 8, 2022
= https://acturdc.com/rdc-le-depute-eliezer-ntambwe-traine-zacharie-bababaswe-en-justice/
C’est désormais formelle, la plainte de Eliezer Ntambwe, député national, contre Zacharie Bababaswe, patron de « Lingala facile ». Ce dernier est accusé d »imputations dommageables et injures publiques » par le Centre de réflexion juridique de la lutte contre l’impunité (CRJLI) qui s’est chargé de porter plainte pour le compte de Ndeko Eliezer auprès du Procureur général près la Cour d’appel de Kinshasa/ Gombe.
« C’est avec amertume et indignation que Monsieur Ntambwe Mposhi Charmant dit Eliezer, Honorable député national, a vu son honneur et sa considération être exposée au mépris public sans juste motif par le nommé Bababaswe Washiya Zacharie qui, en date du 3 mars de l’année en cours lors de son intervention à l’émission intitulée « Zacle contre Ndeko Eliezer eyindi », a renseigné Me Franck Kalolo, Coordonnateur national de CRJLI, rédacteur de la plainte remise au PG près la Cour d’appel de Kinshasa/Gombe.
Et de poursuivre: « Successivement, les mêmes propos ont été tenus plusieurs fois dans les différents médias et à l’occasion de ses propres interventions médiatiques… et qui l’ont exposé au mépris public et causant ainsi un préjudice incommensurable comme homme d’Etat, député national ».
Selon Me Franck Kalolo, Zacharie Bababaswe a également tenu des « propos injurieux, humiliant », menaçant de porter atteinte à »l’intégrité physique » de l’élu de la Lukunga.
Pour tous ces faits, le CRJLI a traîné Bababaswe en justice, les actes posés par celui-ci étant « punis par les dispositions des articles 74 et 75 du Code pénal livre II ». Cette ASBL qui défend les droits fondamentaux de l’homme, a accompagné sa plainte d’un corps de preuves audiovisuelles remis au Procureur général près la Cour d’appel de Kinshasa/Gombe dans un flash./opinion-info.cd
"RDC : multiplicité des partis politiques, quel impact ? - 16 août 2022
= https://magazinelaguardia.info/2022/08/16/rdc-multiplicite-des-partis-politiques-quel-impact/
À la veille des élections en RDC, on assiste à la création des partis politiques. Depuis 1990 jusqu’à ce jour, le pays totalise plus de 600 . La multiplicité des formations politiques fait réfléchir. Le politologue Ken Dibwe professeur à la faculté des sciences sociales, Département Politique et Administration à l’UNILU pense que malgré leur grand nombre , ils n’apportent rien.
Pour Ken Dibwe, la RDC est immense. Et par conséquent, il est compréhensible d’avoir aussi un nombre élevé des partis politiques. Mais de plus, la RDC est pays démocratique. Alors, pour remplir les principes de la démocratie, il faut une pluralité des partis politiques. Cependant, l’impact de la prolifération des partis politiques est négatif, lorsque la création des organisations politiques n’influe pas sur le vécu quotidien de la population, dit-il.
Selon le politologue, l’objectif d’un parti politique, c’est la conquête du pouvoir. Et le véritable souci pour lequel on crée un parti politique, c’est pour gouverner autrement. « Aujourd’hui, les partis politiques en RDC ont perdu le vrai sens qui est celui de faire adhérer les gens à leurs idéologies. La population fréquente les partis politiques juste pour recevoir un peu d’argent ». Fustige-t-il, avant d’ajouter : « Mais en RDC, on crée les partis politiques dans l’objectif d’émietter les voix lors des élections. Ceci au profit de ceux qui sont au pouvoir ».
Répondre aux normes
Car les partis politiques en RDC sont créés dans le seul but de participer à la gestion. » Voilà pourquoi, nous avons plusieurs partis politiques, mais avec les mêmes idéologies ». Ainsi, sa conclusion est simple, il y a très peu de véritables partis politiques en RDC. Parce qu’un véritable parti politique doit répondre à certaines exigences. C’est, notamment, » l’initiateur doit être congolais et majeur. Le parti doit avoir un caractère national. Il doit viser la conquête du pouvoir. Il doit avoir un projet de société, enfin, le parti doit être un regroupement des gens, pas une seule personne. Mais en RDC, la plupart des formations politiques n’ont pas de bases solides », dit le professeur.
Et il continue, »ces sont des structures qui n’ont pas des représentations dans les provinces, ils sont juste dans la capitale. Leur objectif n’est pas la conquête du pouvoir. Parce que, la conquête du pouvoir, c’est à tous les niveaux, en commençant par la magistrature ».
Renforcer les critères avant l’agrément
Parlant de l’avenir de ces formations en RDC, le politologue a indiqué que le futur des organisations politiques en RDC dépend du leader qui l’a créé. » On peut parler de l’avenir d’un parti politique, lorsqu’on vit la démocratie au sein du parti. Mais ici chez nous ; on crée un parti, c’est pour soi-même, les autres après. Les principes démocratiques n’existent pas. Les partis n’existent que de nom pour propulser les autres. «
Pour améliorer les conditions de création des partis politique en RDC, il faut avoir des hommes intègres, dit le professeur. » C’est le ministère de l’Intérieur qui agrée les partis politiques. Comme tout est politisé, ce qui fait que lorsqu’un parti politique ne réunit pas les conditions, et qu’il parle un même le langage avec le pouvoir en place, on l’accepte. Donc, il faut qu’il y ait des gens qui ont la volonté politique de changer les choses.«
À noter que les partis politiques ont aussi pour mission d’encadrer et d’apprendre aux gens la tolérance, l’endurance, la persévérance, l’entraide, la mutualité et la fraternité.
"RDC : De 1964 à ce jour, les regroupements politiques ont perverti l'expression politique en muselant les partis, (Pr Eugène Banyaku) - 1 juillet 2021 -
= https://7sur7.cd/2021/07/01/rdc-de-1964-ce-jour-les-regroupements-politiques-ont-perverti-lexpression-politique-en
Au cours d'une interview accordée à la rédaction de 7SUR7.CD à l'occasion du soixantième anniversaire de l'accession de la RDC à l'indépendance, le professeur Eugène Banyaku a brossé un bilan négatif du pays sur le plan politique.
Il a affirmé que l'émergence des regroupements politiques en 1964 avec le CONACO de Moïse Tshombé, a perverti la scène politique congolaise en muselant les partis politiques, seules formations politiques dotées de la personnalité juridique et de droit, qualifiées pour exprimer les aspirations du peuple.En lieu et place, souligne ce professeur politologue, ce sont les regroupements politiques, fruits des montages électoraux, à titre de plateforme, qui s'expriment."Depuis 1960, quelles que soient les vicissitudes des partis, il y'avait quand même un espace serein. C'est avec la tendance des regroupements politiques, Tshombé l'a instauré en 1964 et cela nous a donné ce qui accable et assombrit l'espace politique congolais. La réapparition des regroupements politiques avec les élections de 2006, de 2011 et de 2018, constitue un grand handicap, car les partis politiques qui ont un statut et une personnalité juridique ne s'expriment pas suffisamment", a-t-il déclaré.Il précise que les regroupements politiques, dont il est question ici, ne sont pas des partis et leurs alliés. Il s'agit plutôt des plateformes formées à des fins électoralistes. Ce professeur rappelle que, conformément à l'article 6 de la Constitution, ce sont les partis politiques qui concourent à l'expression des suffrages. Pas les regroupements politiques."Si les regroupements agissent dans la vie fonctionnelle du Parlement, du Gouvernement, comprenez que l'on a perdu la boussole. C'est la situation qui nous préoccupe actuellement.
En 1960, ce sont des partis politiques qui ont joué un grand rôle. L'expression politique était plus transparente et correspondait mieux à la réalité. Même si ces partis étaient à la base socio-ethnique, professionnelle et confessionnelle, mais il y avait quand même une transparence", a fait remarquer le professeur Eugène Banyaku.
Pour ce scientifique, de 1960 à ces jours, l'espace politique est buté à deux difficultés. Il s'agit du manque de légitimité des acteurs politiques au pouvoir et ceux de l'opposition, mais aussi du manque de transparence dans la gestion de la chose publique.
Selon ce politologue, la restauration insolite des regroupements politiques au détriment des partis politiques avec l'AMP, la MP et le FCC, a non seulement englouti toute aspiration démocratique mais a favorisé aussi une vampirisation de l'Etat par les chefs politiques hiérarchisés en pyramide renversée au service d'un individu ou d'un cluster des malfaiteurs politiques et leur prolongement truffé des opérateurs économiques véreux".
Il conclut en disant que si l'Union sacrée de la Nation ne se donne pas la vocation d'un creuset d'alliance autour des valeurs démocratiques et républicaines consenties et convenues entre des partis politiques ayant chacun sa personnalité juridique, il n'y aura ni démocratie, ni Etat de droit, qui constitue le cheval de bataille du chef de l'État Félix-Antoine Tshisekedi.
"LES PARTIS POLITIQUES CONGOLAIS EN QUESTION - 2013
= https://www.kas.de/c/document_library/get_file?uuid=3924e17a-bc67-8746-ad5d-c8f7cc55fa04&groupid=252038
1. INTRODUCTION
Dans le cadre de sa coopération avec les partis politiques, la promotion de la démocratie et de l’Etat de droit en République Démocratique du Congo (RDC), la Fondation Konrad Adenauer (FKA) a, en partenariat avec le Centre d’Etudes Politiques (CEP) de la Faculté des Sciences Sociales, Administratives et Politiques de l’Université de Kinshasa (FSSAP/UNIKIN), initié une étude sur les partis politiques. L’objectif de cette étude consiste à améliorer la fonction des partis politiques dans une démocratie et la sensibilisation sur les programmes des partis politiques. Dans le cadre de la présente étude, le mot programme englobe tous les documents qui contribuent à l’expression de l’opinion au sein d’un parti politique. Ces documents peuvent être le programme, le projet de société ou les programmes produits lors des élections. La FKA avait déjà auparavant exécuté en partenariat avec le CNONGD (Conseil National des Organisations Non-Gouvernementales de Développement), un programme sur la « Promotion de la Liberté Associative dans la 3ème République en RDC », avec l’appui financier de l’Union Européenne. Il s’agissait de « consolider le processus démocratique en RDC en insistant sur l’importance et le rôle primordial de la liberté d’association en général et celle des réunions et manifestations publiques en particulier »1. A travers le projet en cours, la FKA veut innover en apportant un regard nouveau sur les partis politiques. L’étude sur les programmes des partis politiques s’est exécutée en trois étapes, à savoir faire un état des lieux sur les programmes des partis politiques choisis, l’analyse des programmes et enfin la vérification des résultats par des enquêtes. Concernant l’état des lieux, il s’agissait de déterminer s’il existe des études, des recherches et des articles réalisés sur les programmes des partis politiques en RDC ; de signaler les organisations et les experts qui travaillent sur ce sujet ; de décrire la situation dans les 15 partis sélectionnés et de mentionner les obligations et les conditions juridiques pour les programmes des partis politiques. L’analyse des programmes a été la seconde étape. Elle a consisté à savoir comment sont les programmes développés et qui a décidé de ces programmes ; à qui s’adressent ces programmes ?
Est-ce aux électeurs, aux membres et à l’administration ? Quel est le contenu du programme ? Comment est-il transmis aux membres, aux électeurs et aux candidats ? Quelles sont les procédures d’actualisation des programmes ? La dernière étape enfin s’est chargée de la vérification des résultats par un questionnaire. Il s’agit ici de savoir comment les membres, les militants et la population sont informés des programmes des partis politiques ; qui connaît lesdits programmes ; quel est l’impact des programmes sur la vie quotidienne ? Tout observateur de la scène politique congolaise est souvent surpris par le dynamisme apparent des activités menées ou développées par les formations politiques à certaines périodes. La question essentielle est de savoir s’il y a adéquation entre les faits observés ou constatés sur terrain et l’ancrage réel de ces partis dans le tissu social congolais. Cet ensemble de questionnements a pu trouver une suite à travers une enquête menée au sein de quinze partis politiques. Après l’analyse des documents de base, l’enquête s’est orientée vers l’administration d’un questionnaire aux membres des partis politiques, aux adhérents et aux cadres dirigeants de ces partis. Cette étude est répartie en cinq chapitres. Le premier est consacré à la méthodologie du travail, précisément à la manière de réunir les informations et, de mener les investigations. Le deuxième chapitre s’intéresse à l’état des lieux à travers une revue de la littérature relative aux études, recherches et articles sur les programmes des partis politiques. Le troisième chapitre concerne un aperçu des programmes des partis politiques. La partie enquête fait l’objet du chapitre quatre. C’est sous forme d’une radioscopie que nous rendrons les résultats de l’enquête. Le dernier chapitre comprend la conclusion et les recommandations. Ce rapport a fait l’objet de deux présentations. La première s’est déroulée dans les installations de la Fondation Konrad Adenauer devant des experts, le 30 septembre 2013. La seconde a eu lieu en plénière lors du Séminaire-atelier organisé, les 14 et 15 novembre 2013, avec la participation active des acteurs membres des partis politiques. Cette activité a permis aux concepteurs de l’enquête de recueillir les différentes réactions lors des échanges et ateliers. Vous trouverez, en annexe III, le rapport général du séminaire. Les annexes comprennent également d’autres textes produits lors des manifestations ultérieures, mais intéressant cette thématique...
1 Fondation Konrad Adenauer, Les partis politiques et la promotion de la liberté associative, Kinshasa, Janvier 2009, 100 pages.
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Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
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