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TSHILOMBO POUR UN GRAND MENAGE DANS LES SERVICES, LA RÉVOLUTION ??? DEPUIS LE DÉPART DE BEYA, AVEC MBELU L'ANR ETAIT DEVENUE UNE COQUILLE VIDE, IL SEMBLE EN AVOIR PRIS CONSCIENCE : VOILÀ APRÈS BISELELE MBELU DEHORS...

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TSHILOMBO POUR UN GRAND MENAGE DANS LES SERVICES, LA RÉVOLUTION  ???  DEPUIS LE DÉPART DE BEYA, AVEC MBELU L'ANR  ETAIT DEVENUE UNE COQUILLE VIDE, IL SEMBLE EN AVOIR PRIS CONSCIENCE : VOILÀ APRÈS  BISELELE MBELU DEHORS... Empty TSHILOMBO POUR UN GRAND MENAGE DANS LES SERVICES, LA RÉVOLUTION ??? DEPUIS LE DÉPART DE BEYA, AVEC MBELU L'ANR ETAIT DEVENUE UNE COQUILLE VIDE, IL SEMBLE EN AVOIR PRIS CONSCIENCE : VOILÀ APRÈS BISELELE MBELU DEHORS...

Message  ndonzwau 1/8/2023, 10:28 pm

TSHILOMBO POUR UN GRAND MÉNAGE DANS LES SERVICES, LA RÉVOLUTION  ???
DEPUIS LE DÉPART DE BEYA, AVEC MBELU L'ANR  ETAIT DEVENUE UNE SIMPLE FOIRE D'EMPOIGNE  ENTRE SECUROCRATES. BONNE NOUVELLE : NOTRE PR SEMBLE EN AVOIR PRIS CONSCIENCE : ET VOILÀ APRÈS  BISELELE MBELU DEHORS...

Grande caractéristique de nouvelles nominations, Tshisekedi semble avoir opté cette fois non pour les mashi a mu menu habituels mais pour des vétérans tous venants, plus convaincants dans leurs domaines respectifs mais hélas  sans expérience directe avec le secteur de la sécurité ?
Le colonel à la retraite  Dr Lusadisu a la tête de l'ANR à la place du léger Mbelu, le 'vieux' Esambo comme Conseiller spécial en matière de sécurité â la place de Kabongo après  Beya.

Que va donner ce nouveau compagnonage, va-t-il révolutionner le fonctionnement autour d'un PR avec toujours les mêmes confidents consultés et envoyés en mission, Ntumba à la Maison militaire, le folklorique general John Tshibangu, Kazadi à l'Intérieur ainsi que et sutrout sa propre epouse, partie prenante à part entière ???
Attendons la suite...

PS Le long article  de JA renseigne à propos de Dr Lusadisu sur un épisode de son parcours où il se serait occupé des anciens membres des FAZ et des ex-agents de sécurité en exil. Il aurait â  l'époque  développé des contacts avec les milieux sécuritaires en RDC et à l’étranger, particulièrement en Israël avec le Mossad, et aux États-Unis.



"RDC : Tshisekedi revoit son appareil sécuritaire à la veille des élections -02.08.2023
= https://afrikarabia.com/wordpress/rdc-tshisekedi-revoit-son-appareil-securitaire-a-la-veille-des-elections/
Félix Tshisekedi vient de nommer deux nouveaux securocrates comme conseiller spécial en matière  de sécurité à la présidence et patron des renseignements (ANR). A 5 mois des élections, ces nominations cherchent à adoucir la mauvaise image des services de sécurité congolais.

TSHILOMBO POUR UN GRAND MENAGE DANS LES SERVICES, LA RÉVOLUTION  ???  DEPUIS LE DÉPART DE BEYA, AVEC MBELU L'ANR  ETAIT DEVENUE UNE COQUILLE VIDE, IL SEMBLE EN AVOIR PRIS CONSCIENCE : VOILÀ APRÈS  BISELELE MBELU DEHORS... Fe%CC%81lix-Tshisekedi-2023-1024x654
Félix Tshisekedi :copyright: Présidence RDC

Valse des sécurocrates à Kinshasa. Félix Tshisekedi vient de faire le ménage pour la seconde fois à la tête de l’Agence nationale de renseignements (ANR) en débarquant Jean-Hervé Mbelu et en nommant Daniel Lusadisu Kiamba, à sa tête. Le chef de l’Etat tourne également la page du très controversé François Beya, et confie le poste stratégique de conseiller en matière de sécurité, à Jean-Louis Esambo Kangashe. Points communs de ces deux nouveaux sécurocrates : ils sont inconnus du grand public et ne viennent pas du milieu du renseignement.

Un ex-médecin pour l'ANR
Le nouveau patron de la très redoutée ANR, qui fait davantage office de politique que de service de renseignements, est un ancien colonel à la retraite. A 67 ans, Daniel Lusadisu Kiamba est avant tout docteur en médecine, et a servi au sein de l’ex-division spéciale présidentielle (DSP) sous le maréchal Mobutu. A l’arrivée au pouvoir de Laurent-Désiré Kabila en 1997, il part en exil et se rapproche d’Etienne Tshisekedi, le père de l’actuel président, qu’il conseille en matière militaire.

Un juriste pour remplacer François Beya
Le poste de conseiller en sécurité de la présidence était vaquant depuis la mise à l’écart du très kabiliste François Beya, dont l’entourage présidentiel pensait qu’il jouait double-jeu. Remplacé jusque-là par son adjoint, Jean-Claude Bukasa, le poste est désormais occupé par un autre inconnu du milieu du renseignement : Jean-Louis Esambo Kangashe. Le nouveau « monsieur sécurité » de Félix Tshisekedi, est un professeur de droit public et constitutionnel, doyen de la faculté de droit de Kinshasa et ancien juge à la Cour constitutionnelle. Le très influent Jean-Claude Bukasa reste son adjoint.

Des services de sécurité décriés
Une nouvelle page se tourne à la tête de l’appareil sécuritaire congolais. Jusque-là, Félix Tshisekedi semblait tâtonner pour trouver les personnes idoines à ces postes clés du pouvoir congolais. Ces nominations interviennent dans un contexte sécuritaire tendu, avec un conflit armé qui perdure à l’Est et des élections sous haute tension prévues en décembre. En nommant des personnalités peu connues, et novices en matière de renseignements, Félix Tshisekedi cherche à soigner son image alors que ses services de sécurité sont accusés par l’opposition, d’arrestations arbitraires, et de violations des droits humains. Les récentes arrestations de Salomon Kalonda, bras droit de l’opposant Moïse Katumbi, de Frank Diongo, libéré depuis, ou l’assassinat du député d’opposition Chérubin Okende, ont considérablement écorné l’image du président congolais.

Visite américaine
A 5 mois de la présidentielle de décembre, dans laquelle Félix Tshisekedi est candidat à sa propre succession, le chef de l’Etat souhaite envoyer un signal d’apaisement en nommant à la tête de ses services de sécurité des personnalités qui ne viennent pas du « sytème Kabila », réputé pour sa répression politique féroce. Ces nominations interviennent également à quelques jours de la visite à Kinshasa de la sous-secrétaire d’Etat américaine aux affaires politiques, Victoria Nuland. Une visite qui aura au menu l’appui des États-Unis à des élections que les Américains souhaitent «libres et équitables ».

Les faucons veillent
Les nouveaux sécurocrates de Kinshasa auront-ils les mains libres pour réorganiser les services et peser sur les missions et les futures actions de l’ANR, de la police et de l’armée ? Rien n’est moins sûr. Leur inexpérience, et leur faible poids au sein du camp présidentiel risquent de faire des deux nouveaux promus de simples exécutants aux marges de manoeuvres extrêmement réduites. Dans le cercle présidentiel, des personnalités comme Franck Ntumba, le chef de la maison militaire, le général John Tshibangu ou le ministre de l’Intérieur, Peter Kazadi, restent très influents et gardent la haute main sur les dossiers sécuritaires. Félix Tshisekedi cherche davantage à rassurer son opinion publique et ses partenaires internationaux qu’à modifier sa politique sécuritaire.


"RDC : Tshisekedi nomme des nouvelles têtes au sommet de l’appareil sécuritaire - 01.08.2023
= https://infos.cd/actualite/securite/rdc-tshisekedi-nomme-des-nouvelles-tetes-au-sommet-de-lappareil-securitaire/28713/

TSHILOMBO POUR UN GRAND MENAGE DANS LES SERVICES, LA RÉVOLUTION  ???  DEPUIS LE DÉPART DE BEYA, AVEC MBELU L'ANR  ETAIT DEVENUE UNE COQUILLE VIDE, IL SEMBLE EN AVOIR PRIS CONSCIENCE : VOILÀ APRÈS  BISELELE MBELU DEHORS... WhatsApp-Image-2023-08-01-at-14.28.53

Le président Félix Tshisekedi a pris des ordonnances portant nomination dans certaines structures de l’appareil sécuritaire du pays.

Ces ordonnances, publiées ce lundi sur le plateau de la RTNC, renseignent que Esambo Kangashe Jean-Louis a été nommé Conseiller spécial du chef de l’Etat en matière de sécurité.
Il remplace Jean-Claude Bukasa, en poste depuis février 2022. Lui-même avait remplacé François Beya après que ce dernier est tombé en disgrâce aux yeux de Tshisekedi.
En sa qualité de conseiller spécial en charge de la sécurité, Jean-Louis Esambo, ancien juge à la Cour constitutionnelle et au Conseil d’État, va diriger le Conseil national de sécurité (CNS).

TSHILOMBO POUR UN GRAND MENAGE DANS LES SERVICES, LA RÉVOLUTION  ???  DEPUIS LE DÉPART DE BEYA, AVEC MBELU L'ANR  ETAIT DEVENUE UNE COQUILLE VIDE, IL SEMBLE EN AVOIR PRIS CONSCIENCE : VOILÀ APRÈS  BISELELE MBELU DEHORS... WhatsApp-Image-2023-08-01-at-14.29.11
AG de l’ANR

L’une des ordonnances publiées ce samedi a concerné l’Agence nationale des renseignements (ANR) où Jean-Hervé Mbelu a cédé le bâton de commandement à Lusadisu wa Kambi Daniel.
Ce dernier est issu de l’Ecole royale militaire (ERM) en Belgique. Il a fait carrière au sein des Forces armées zaïroises, particulièrement dans la Division spéciale présidentielle (DSP). Colonel de son état, il est aussi médecin avec spécialisation en cardiologie et en médecine d’urgence.


"RDC: Félix Tshisekedi remplace deux personnages clés de sa garde rapprochée - 01.08.2023
= https://amp.rfi.fr/fr/afrique/20230801-rdc-f%C3%A9lix-tshisekedi-remplace-deux-personnages-cl%C3%A9s-de-sa-garde-rapproch%C3%A9e
Le président Félix Tshisekedi tourne la page de ses deux sécurocrates qui ne s’entendaient pas. Il s’agit de François Beya, ancien conseiller spécial du chef de l’État en matière de sécurité, et Jean-Hervé Mbelu, chef de l’Agence nationale des renseignements (ANR). Les ordonnances de nomination de leurs remplaçants à la tête des services d’intelligence autour du président Tshisekedi ont été lues ce mardi à la télévision d’État. 
Avec notre correspondant à Kinshasa, Pascal Mulegwa

Si le premier a été écarté depuis le mois de février 2022 sans être remplacé, le deuxième quant à lui été mis à l’écart hier en pleine période de crise sécuritaire dans l’Est du pays et tensions politiques à cinq mois des élections générales.
Le limogeage de Jean-Hervé Mbelu Bionsha, qui sort de plusieurs semaines de soins en Israël, ne faisait plus de guère de doutes dans l’entourage du président. Il y était réputé conflictuel. Mais d’autres sources proches estiment que le chef de l’ANR a simplement été remercié à la fin de sa mission : écarter les personnes non-fiables dans l’entourage du président.
Pour le remplacer, Félix Tshisekedi a choisi Daniel Lusadisu. Le sexagénaire est un ancien colonel du corps de santé militaire sous le maréchal Mobutu. Proche du chef de l’État, ce cardiologue, passé notamment par l’École militaire royale de la Belgique, est mieux introduit dans le monde des renseignements, notamment aux États-Unis et en Israël, d’après le chercheur Jean-Jacques Wondo. Il devra, selon cet expert, « humaniser et professionnaliser » l’ANR. 
Félix Tshisekedi a enfin signé le départ François Beya, son ancien conseiller spécial en matière de sécurité, écroué en justice depuis plus d’un an pour un supposé « complot ». 
Il est remplacé par le professeur publiciste Jean-Louis Esambo, doyen de la faculté de droit à l’université de Kinshasa.

"RDC : Mbelu viré, Tshisekedi nomme Daniel Lusadisu à la tête de l’Agence Nationale des renseignements - 1 août 2023
= https://www.politico.cd/la-rdc-a-la-une/2023/08/01/rdc-mbelu-vire-tshisekedi-nomme-daniel-lusadisu-a-la-tete-de-lagence-nationale-des-renseignements.html/136536/
Dans une nouvelle série d’ordonnances lues à la radiotélévision nationale congolaise (RTNC) par Tina Salama, le Président de la République Félix Tshisekedi a procédé au réaménagement des animateurs de l’agence nationale des renseignements (ANR).

A cet effet, Félix Tshisekedi a nommé Daniel Lusadisu Kiambi comme le nouvel administrateur de l’Agence nationale des renseignements en remplacement de Jean Hervé Mbelu.
Originaire du Kasaï, Jean-Hervé Mbelu Biosha avait élevé au rang d’administrateur adjoint de l’Agence nationale des Renseignements (ANR) le 19 mars 2019. Le 17 Aout 2019, Jean-Hervé Mbelu prend l’initiative de saisir, pour « des raisons impérieuses de sécurité d’État » disait-il, l’Inspection Générale des Finances (IGF) pour réclamer un audit de l’ensemble des finances des ministères depuis l’investiture de Félix Tshisekedi. Le dossier d’un détournement présumé de 15 millions de dollars dans le cadre de la gestion opaque de la somme destinée à compenser les sociétés pétrolières à la suite du gel des prix à la pompe en 2017 éclate et fait l’effet d’un séisme politico-judiciaire qui va secouer la présidence congolaise.
Dans une ordonnance présidentielle datée du 7 décembre et rendue publique le 10 décembre 2021 à la télévision publique, Jean-Hervé Mbelu, jusque-là Adjoint (Numéro 2), est nommé Administrateur Général (AG) de l’Agence National des Renseignements (ANR), en remplacement de Justin Inzun Kakiak.


"Jean Hervé Mbelu a été relevé de ses fonctions de chef de l’ANR - 1 août 2023
= https://actualite.cd/2023/08/01/jean-herve-mbelu-ete-releve-de-ses-fonctions-de-chef-de-lanr

"RDC : Daniel Lusadisu remplace Hervé Mbelu à la tête de l’ANR - 01 08.2023
= https://une.cd/rdc-daniel-lusadisu-remplace-herve-mbelu-a-la-tete-de-lanr

= https://foxtime.cd/securite-voici-le-parcours-du-nouveau-patron-de-lagence-nationale-des-renseignements-nomme-par-felix-tshisekedi/

"Présidence de la République: le professeur Essambo Jean-Louis nommé Conseiller spécial du chef de l'Etat en matières de sécurité - 01.08.2023
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-125172_presidence_de_la_republique_le_professeur_essambo_jean_louis_nomme_conseiller_special_du_chef_de_l_etat_en_matieres_de_securite
Le président de la République, Felix Antoine Tshisekedi a signé une série d'ordonnances lues, ce mardi 1er août au cours du journal télévisé à la Radiotélévision nationale congolaise (Rtnc).
Parmi les heureux promus se trouve le professeur Jean-Louis Essambo, nommé Conseiller spécial du Chef de l'Etat en matières de sécurité.


A l'Agence nationale de renseignements (ANR), Lusadisu Nkiambi est le nouvel administrateur général. Il remplace à ce poste Jean-Hervé Mbelu Biosha nommé par le président de la République en 2021.
= https://actualite.cd/2023/08/01/jean-louis-esambo-kangashe-nomme-conseiller-special-en-matiere-de-securite-du-president

"RDC: un nouveau chef à la tête des renseignements intérieurs - 2 août 2023
= https://afrique.lalibre.be/78204/rdc-un-nouveau-chef-a-la-tete-des-renseignements-interieurs/
Leprésident congolais Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a nommé, mardi, de nouveaux dirigeants à la tête des institutions sécuritaires du pays, dont un nouveau patron de l’Agence nationale de Renseignements (ANR), en la personne de Daniel Lusadisu Kiambi, en vertu d’ordonnances présidentielles lues en soirée à la télévision publique nationale; la RTNC. M. Lusadisu succède, à moins de cinq mois des élections générales prévues le 20 décembre en République démocratique du Congo (RDC), à Jean-Hervé Mbelu, nommé en décembre 2021 comme administrateur général de l’ANR.

M. Lusadisu est, selon le site d’information Actualité.cd, médecin de formation, spécialisé en cardiologie et en médecine d’urgence. Il a également suivi une formation militaire à l’École royale militaire (ERM) de Bruxelles. Il a servi au sein des Forces armées zaïroises (FAZ) sous le dictateur Mobutu Sese Seko, notamment au sein de la Division spéciale présidentielle (DSP), la garde personnelle du président de l’époque.
Le nouveau patron de l’ANR est présenté comme proche de l’Union pour la Démocratie et le Progrès social (UDPS), le parti de M. Tshisekedi, candidat à sa réélection.
L’ANR, très présente sur l’ensemble du territoire congolais, a été longtemps redoutée, notamment pour sa propension à arrêter et à détenir hors toute procédure judiciaire des opposants politiques ou des défenseurs des droits de l’homme.
L’agence a été dirigée durant près de dix ans par Kalev Mutond, considéré comme très proche de l’ancien président Joseph Kabila Kabange et visé par des sanctions américaines et européennes pour la répression des manifestations de l’opposition dans les dernières années du régime Kabila. Il avait été limogé en mars 2020 par M. Tshisekedi, arrivé au pouvoir un an plus tôt.

Aux termes d’une deuxième ordonnance, Jean-Louis Esambo Kangashe a été nommé conseiller spécial en matière de sécurité du président Tshisekedi en remplacement de Jean-Claude Kabongo. Doyen de la faculté de droit à l’Université de Kinshasa (Unikin), le professeur Esambo a été juge à la Cour constitutionnelle et au Conseil d’Etat.



"Sécurité de Félix Tshisekedi : de nouvelles têtes… pour un nouveau mandat ? -02.08.2023
= https://www.jeuneafrique.com/1469863/politique/securite-de-felix-tshisekedi-de-nouvelles-tetes-pour-un-nouveau-mandat/
Le président congolais a procédé à la nomination de nouveaux dirigeants du Conseil national de sécurité et de l’Agence nationale de renseignements, Jean-Louis Esambo Kangashe et Daniel Lusadisu Kiambi. Dans un contexte marqué par la guerre dans l’est du pays, ces choix répondent à des considérations très politiques.

Félix Tshisekedi a procédé mardi 1er août à plusieurs changements dans le secteur de la sécurité de l’État en RDC. Le président congolais a notamment nommé un nouveau titulaire au poste de conseiller spécial en matière de sécurité – celui-ci étant resté vacant depuis l’arrestation de François Beya, le 5 février 2022 – en la personne de Jean-Louis Esambo Kangashe.
Ce professeur est une personnalité bien connue des mondes scientifique et politique congolais. Doyen de la faculté de droit à l’université de Kinshasa, il conseillait déjà Félix Tshisekedi dans l’ombre, après avoir été juge à la Cour constitutionnelle et au Conseil d’État.

L’architecte d’un glissement ?
« Il est de la vieille école et connaît très bien la politique congolaise et les politiques congolais », explique une source proche du président Tshisekedi. « Ce choix n’est pas anodin, ajoute cette source. Nous sommes en période pré-électorale, avec beaucoup d’incertitudes et un contexte d’insécurité grandissante, surtout dans l’Est. Il va falloir négocier dans la paix le deuxième mandat du chef de l’État et mettre en place les stratégies permettant au président d’asseoir son pouvoir et son autorité ».
À LIRECes pasteurs qui murmurent à l’oreille de Félix Tshisekedi

Jean-Louis Esambo Kangashe doit immédiatement prendre ses fonctions et mettre fin à l’intérim de Jean-Claude Bukasa, l’ancien adjoint de François Beya. La présidence évoque un choix « stratégique » au regard de la « situation générale du pays ». Mais un membre de l’opposition estime que l’universitaire a été choisi pour « exécuter un plan ». Il devra faire aboutir « le projet d’une nouvelle Constitution déjà écrite selon la volonté de Félix Tshisekedi », dénonce ce proche de Joseph Kabila, persuadé que les textes ont été préparés pour un glissement de l’élection présidentielle.
Autre nomination d’importance, cette fois à l’Agence nationale de renseignements (ANR). L’administrateur général Jean-Hervé Mbelu Biosha y a été relevé de ses fonctions, alors qu’il était extrêmement critiqué ces derniers mois. Selon des sources à la présidence de la République, beaucoup remettaient en cause l’efficacité de l’ANR. Mais c’est la fuite des vidéos privées de Fortunat Biselele, ancien conseiller privé du président aujourd’hui en disgrâce, qui pourrait avoir scellé le destin de l’intéressé.

Renseignements et sextape
Jean-Hervé Mbelu Biosha avait en effet procédé à l’arrestation de Fortunat Biselele en janvier 2023, alors que ce dernier était accusé de « trahison, atteinte à la sûreté de l’État et propagation de fausses nouvelles ». S’il a depuis été remis en liberté provisoire, des images intimes de l’ancien conseiller de Félix Tshisekedi avaient ensuite fuité sur internet. Or, beaucoup estiment que Jean-Hervé Mbelu Biosha était le seul en capacité de faire diffuser ces contenus intimes, après avoir eu accès aux téléphones de Biselele lors de l’arrestation de ce dernier.
MBELU BIOSHA ESTIMAIT QUE LIBÉRER BISELELE, C’ÉTAIT SAPER SON TRAVAIL
« Mbelu Biosha estimait que libérer Biselele, c’était saper son travail », explique une source à la présidence. Pour les organisations de défense des droits de l’homme, le désormais ancien patron de l’ANR – tombeur de François Beya et de Fortunat Biselele – est surtout celui qui a procédé à « beaucoup d’arrestations et de détentions arbitraires ». Pour le remplacer, Félix Tshisekedi a choisi de nommer Daniel Lusadisu Kiambi.À LIRE[Exclusif] RDC : les vérités de Fortunat Biselele sur « l’affaire Foka »
Médecin militaire diplômé à l’École royale militaire de Belgique en 1983, ce dernier est un ancien membre de la Brigade spéciale présidentielle puis de la Division spéciale présidentielle, qui assuraient la sécurité du président Mobutu Sese Seko.
Détenteur des titres honorifiques de chevalier et d’officier de l’Ordre national des Léopards, médecin cardiologue au Centre hospitalier universitaire Saint-Pierre à Bruxelles, il a aussi été un proche collaborateur militaire d’Étienne Tshisekedi, dont il a été conseiller en matière militaire.

Attendus au tournant
Une source proche de l’intéressé explique surtout que Daniel Lusadisu Kiambi a aussi été le délégué et le coordonnateur des anciens membres des Forces armées du Zaïre et des ex-agents de sécurité (renseignements, Garde civile…), forcées à l’exil après la prise de pouvoir de l’Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo-Zaïre menée par Laurent-Désiré Kabila. Cela lui a permis de développer des contacts avec les milieux sécuritaires en RDC et à l’étranger, particulièrement en Israël avec le Mossad, et aux États-Unis.
À LIRELe bras de fer entre Tshisekedi et Katumbi, symbole d’une pré-campagne sous tension
Ces changements à la tête du Conseil national de sécurité et de l’Agence nationale de renseignements interviennent alors que leurs pratiques et leur professionnalisme ont été particulièrement remis en cause ces dernières semaines. Récemment, des organisations de défense des droits humains, dont l’Association congolaise pour l’accès à la justice (ACAJ), ont en effet dénoncé dans un mémorandum les « nombreuses dérives » dans les services de sécurité.
Ceux-ci « se sont arrogés, dans l’exercice de leurs fonctions, le droit de s’affranchir totalement du respect des lois et règlements régissant la gouvernance d’un État de droit ». « Compte tenu des errances reprochées à leurs prédécesseurs, les responsables de services de sécurité récemment nommés sont invités à s’abstenir d’ordonner, d’encourager ou de tolérer des violations des droits de l’homme, notamment les enlèvements, arrestations et détentions illégales ainsi que la pratique de torture contre des personnes présumées avoir commis des infractions », conclut Georges Kapiamba, le coordonnateur de l’ACAJ.


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"DECRY INFOS 1.08.23. ANR, CNS NOUVELLES NOMINATIONS. TSHISEKEDI SE TIRE UNE BALLE"



Compatriotiquement!


# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #


Dernière édition par ndonzwau le 4/8/2023, 10:15 am, édité 2 fois

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Message  ndonzwau 3/8/2023, 10:01 pm

DES OBSERVATEURS AVISÉS  POSENT DE PLUS EN PLUS DES QUESTIONS SUR LES CHANCES DE SUCCÈS  A PROPOS DE NOUVELLES NOMINATIONS DANS L'APPAREIL SÉCURITAIRE.

Un réel "je vous ai compris tshisekedien" ou un énième jeu des chaises musicales au cours duquel  on déshabillerait Pierre pour habiller Paul, s'interroge  l'éditorialiste ?
On aura tous compris que 5 ans après son accession à la Magistrature suprême et à la veille de nouvelles élections où il se représente avec un bilan fort mitigé et un appareil sécuritaire décrié, Tshisekedi est appelé à ouvrir une nouvelle page dans les Services pour se donner toutes les chances de réussir son mandat.
Tshisekedi sera-i-Il capable de nettoyer ses écuries d'Augias avec ses nouvelles nominations bien tardives pendant ces 4 mois qui nous séparent des élections  ? Osons l'espérer...

PS. Un sondage d'intentions de votes qui vaut ce qu'il vaut en tant qu'instantané réalisé par quelqu'un et peut-être même plus retrouve Katumbi en tête (45%) suivi de Tshisekedi (34%). Une presque certitude : si on demande aux Congolais s'ils sont satisfaits de leurs conditions de vie telles que produites par le régime en place, une large majorité d'entre eux dira non... Une interrogation svp :  sommes-nous dans un pays où les resultats du vote des Citoyens est conforme à  la vérité  des urnes ?



"ANR-CNS: Nettoyage des écuries d’Augias ou simple jeu des chaises musicales ? - 03/08/2023
= https://www.forumdesas.net/2023/08/anr-cns-nettoyage-des-ecuries-daugias-ou-simple-jeu-des-chaises-musicales/
La culture, disait l’académicien français  Edouard Herriot, c’est ce qui reste quand on a tout oublié. De la série de nominations opérées, voici 48 heures, par le Président de la République, on peut tout oublier. Sauf le double changement à la tête du binôme du nec plus ultra de l’appareil sécuritaire du pouvoir. A savoir le Conseil national de sécurité (CNS) et l’Agence nationale de renseignements (ANR). Pour un big event, c’en est assurément un.   

Par rapport à la conjoncture particulière que traverse le pays, impossible de ne pas se perdre en conjectures sur les ressorts de ce tsunami au cœur ou à la cime -c’est selon- du dispositif sécuritaire du Régime.
A cinq mois de la fin constitutionnelle du bail du Président au Palais de la nation, se délester – façon un coup deux flammes-  de deux hommes-clés du maillage sécuritaire du pays  n’a rien d’anodin. D’autant que les « heureux promus » ne sont pas de figures en vue au sein de la fatshisphère. Et pourquoi ne pas le souligner sans tomber dans l’essentialisation, la stigmatisation ou encore  le  tribalisme à rebours,  les deux nouveaux « securocrates » n’ont rien à voir avec le fief « sociologique » du Président.

Est-ce une manière pour « notre Fatshi national » de décliner enfin  le « je vous ai compris » ? Auquel cas, qui s’en plaindrait ? Ce ne sont bien sûr pas de feedbacks sur les abus, dérives en matière du respect des droits de l’homme qui ne remonteraient pas au big boss.
Rien que les séquences peu élogieuses -c’est un euphémisme à tirer par les cheveux- à l’instar  des arrestations attentatoires à la procédure de certains opposants comme Salomon Kalonda, des obstructions au déplacement comme durant les années de plomb indiquent que le chemin emprunté n’est pas conforme à l’idéal pour lequel l’UDPS disait se battre.
Alors, le tandem Essambo-Lusadisu constituerait-il la surprise du chef ? Cet attelage d’un théoricien et professionnel du droit et un toubib doublé d’officier supérieur à la retraite aurait-il la saveur de  ce bon vin qui se bonifie avec le temps et qu’on sert à la fin ?

Si l’exercice présidentiel procédait de ce nécessaire nettoyage des écuries d’Augias, les Congolais pourraient réciter en chœur « mieux vaut la fin d’une chose que son commencement« .
Mais, si, en revanche, s’il s’avérait qu’il s’agit d’un énième jeu des chaises musicales sur fond de plus ça change, plus c’est la même chose cher à l’écrivain Emmanuel Karr, le Président aurait déshabillé Pierre pour habiller Paul. 

"RDC : au-delà de nominations, nécessité d’insuffler une nouvelle vie aux renseignements (Par Lembis Tini, PhD) - 03.08.2923
= https://infos.cd/actualite/securite/rdc-au-dela-de-nominations-necessite-dinsuffler-une-nouvelle-vie-aux-renseignements-par-lembis-tini-phd/28855/

TSHILOMBO POUR UN GRAND MENAGE DANS LES SERVICES, LA RÉVOLUTION  ???  DEPUIS LE DÉPART DE BEYA, AVEC MBELU L'ANR  ETAIT DEVENUE UNE COQUILLE VIDE, IL SEMBLE EN AVOIR PRIS CONSCIENCE : VOILÀ APRÈS  BISELELE MBELU DEHORS... Lusadusu_nkiambi_23_232_jpg_711_473_1

Cétait assez attendu dans les salons huppés de Kinshasa bien avant le tragique événement dont a été victime le député national Chérubin Okende. Sans surprise, dira-t-on donc, la mise à l’écart de Monsieur Hervé Mbelu, AG sortant de l’Agence nationale des renseignements, et de Monsieur Jean-Claude Bukasa, il y a peu encore conseiller spécial a.i. du chef de l’État en matière de sécurité.

Par contre, les noms de nouveaux patrons de ces structures largement sensibles savèrent non moins surprenants. A plusieurs titres.
De un. Esambo au CNS et Lusadisu à l’ANR ne sont pas sociologiquement proches du Président de la République, souvent reproché par d’aucuns, dans ce pays à la remarquable liberté d’expression, de privilégier les « siens du sang et du terroir ».
De deux. Ils ne sont pas réputés être des membres du sérail présidentiel. Officiellement, ils ne sont pas non plus des « services ». Etc.
De quoi susciter des questionnements sur le sens de leur nomination au regard du temps politique en République Démocratique du Congo.
Est-ce pour créer les conditions occultes, au sens non frelaté du terme, de la réélection sans conteste du président candidat à sa propre succession ou pour tourner une page peu élogieuse de ces deux structures hautement stratégiques ?
L’un et l’autre objectifs, du reste non opposables, requièrent, pour prendre corps, non pas seulement des qualités intrinsèques d’heureux promus mais surtout une mobilisation systémique des institutions nationales pour engager les Renseignements dans une profonde réforme, nécessaire pour y créer les conditions idoines du renforcement de l’efficacité. Ce, dans le but d’en faire un facteur de redressement de l’État.
Dès lors, ils doivent relever non plus du tabou à la base, fort malencontreusement, des abus propres au totalitarisme mais plutôt de la promotion du débat démocratique, dans les limites d’une rationalité dictée par le devoir de responsabilité dans la construction des mécanismes d’une meilleure préparation des décisions stratégiques pour la sécurité de l’État, de ses institutions et de son peuple. Ceci aurait l’avantage de permettre aux débatteurs de bien nommer les maux qui rongent nos « services » et de penser rigoureusement aux solutions adéquates à y apporter à court, moyen et long termes.

Fondamentalement, il est utile qu’une nouvelle loi serve de nouveau repère pour nos « services » dont la démystification des mythes est indispensable pour assurer l’ennoblissement de ce secteur où doivent être recrutés les meilleurs parmi les excellents.
Mutadis mutandis, la dotation des ressources plus accrues dans la perspective de la redynamisation de l’Inspection générale des finances (IGF), jadis à portée réduite, atteste qu’il est possible d’insuffler une nouvelle vie à nos Renseignements.
Les deux promus doivent s’investir en priorité pour obtenir, du plus haut sommet de l’État, l’impulsion nécessaire pour récréer les « services » et y assurer l’effectivité du nettoyage des écuries d’Augias.
Ceci requiert d’abord de la vision et de la détermination. Il va sans dire que le défaut d’expertise et d’expérience en matière des Renseignements, qu’accuseraient Esambo et Lusadisu, à en croire les mauvaises langues, ne devrait nullement constituer une entrave majeure à la réforme des « services ». Bien au contraire..

Plus de quatre ans après l’accession de Félix Tshisekedi à la Magistrature suprême, le chef de l’État a l’occasion d’écrire, en lettres dor, une nouvelle page de l’histoire des Renseignements congolais et, partant, de préparer, à ce propos, un discours persuasif de campagne électorale.
Le contraire desservirait l’affirmation de son action politique pour le changement positif en RDC.

"Esambo au CNS et Lusadisu à l’ANR, Tshisekedi et ses deux nouveaux sécurocrates - 02.08.2023
= https://ouragan.cd/2023/08/esambo-au-cns-et-lusadisu-a-lanr-tshisekedi-et-ses-deux-nouveaux-securocrates
Les choses bougent dans le cercle immédiat du président Félix Tshisekedi. Dans une série d’ordonnances lues mardi au journal télévisé de 13h sur la télévision publique(RTNC) par sa porte-parole, Tina Salama, Félix Tshisekedi a nommé des experts, mieux de figures de proue aux postes stratégiques d’administrateur général de l’Agence nationale de renseignement (ANR) et de conseiller spécial du chef de l’Etat en matière de sécurité.

 TSHILOMBO POUR UN GRAND MENAGE DANS LES SERVICES, LA RÉVOLUTION  ???  DEPUIS LE DÉPART DE BEYA, AVEC MBELU L'ANR  ETAIT DEVENUE UNE COQUILLE VIDE, IL SEMBLE EN AVOIR PRIS CONSCIENCE : VOILÀ APRÈS  BISELELE MBELU DEHORS... PSX_20230801_203538-1
Le juriste sécurocrate, Jean-Louis Esambo, nouveau Monsieur sécurité du président Félix Tshisekedi, Lusadisu Kiambi, le nouvel AG de l’ANR @Photo Droits tiers.

Le premier se nomme Daniel Lusadisu Kiambi, investi administrateur général de l’Agence nationale de renseignement. Sa nomination intervient au moment où son prédécesseur Jean-Hervé Mbelu Biocha, poursuit sa convalescence après un long séjour en Israël pour des soins de santé. Mais derrière lui, à Kinshasa tout comme à l’extérieur, les critiques fusaient de partout pour critiquer le mandat de Jean-Hervé Mbelu Biosha à la tête du service de renseignement congolais. Plusieurs noms étaient cités pour son remplacement parmi lesquels des hauts responsables de l’agence. La nomination d’un nouvel homme pour assumer le poste de Mbelu, était une urgence justifiée. Car elle s’annonce dans un contexte pré-électoral dominé par la guerre avec le M23, couplé à des tensions sécuritaires intenses au pays. Des critiques ciblant Mbelu n’ont pas pardonné son incapacité à gérer professionnellement les enjeux sécuritaires de la guerre du M23.
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M. Lusadisu est spécialisé en cardiologie et en médecine d’urgence. Il a également suivi une formation militaire à l’École royale militaire (ERM) de Bruxelles. Il a servi au sein des Forces armées zaïroises (FAZ) sous le dictateur Mobutu Sese Seko, notamment au sein de la Division spéciale présidentielle (DSP), la garde personnelle du président de l’époque. Le nouveau patron de l’ANR est présenté comme proche de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), le parti de M. Tshisekedi, candidat à sa réélection.
Le service aurait aussi fait preuve d’une certaine incapacité à activer un réseau de collecte de renseignements, de même qu’à échanger avec les services de la région. En fonction depuis décembre 2021, Mbelu a plusieurs fois été critiqué par ses homologues de la région et des partenaires occidentaux. Une source confie par exemple, que « pour communiquer avec Kinshasa, ces derniers (partenaires) préfèrent d’ailleurs s’appuyer sur ses subalternes et même via des services connexes.

– Un professeur, ancien juge à la tête du Conseil national de sécurité –
Ancien juge à la Cour constitutionnelle, Jean-Louis Esambo Kangashe est le nouveau conseiller spécial du chef de l’Etat en matière de sécurité nommé mardi 1er août par le président Tshisekedi. Jean-Louis Esambo Kangashe est un expert reconnu dans le domaine du droit public. Il a obtenu son doctorat en droit public des Universités Paris I, Panthéon-Sorbonne et de Kinshasa le 17 juin 2009, à Paris. Depuis lors, il a occupé le poste de professeur ordinaire et a assumé les fonctions de Doyen de la faculté de Droit de l’Université de Kinshasa. Sa spécialité réside dans le droit constitutionnel, le droit électoral et le droit public comparé, des domaines qu’il enseigne à l’Université de Kinshasa. Ses travaux de recherche portent notamment sur le droit constitutionnel, le droit électoral, le droit des marchés publics et la légistique. En plus de son parcours académique impressionnant, le professeur Esambo a également occupé des postes judiciaires de haute importance. Il a été juge à la Cour constitutionnelle de la République démocratique du Congo. Membre de plusieurs laboratoires et sociétés savantes, notamment l’Association internationale de droit constitutionnel, il dirige l’Association congolaise de droit constitutionnel, démontrant son engagement et sa contribution significative à la promotion du droit constitutionnel en République démocratique du Congo. En outre, Jean-Louis Esambo Kangashe occupe le poste de directeur de l’École de formation électorale en Afrique centrale (ÉFÉAC). Son expertise dans le domaine électoral l’a amené à participer à plusieurs missions d’observation électorale, contribuant ainsi à l’intégrité et à la transparence des processus électoraux. N’oubliez pas que l’homme a été des années durant directeur de plusieurs ministres de l’Intérieur sous Kabila. Il doit avoir la maîtrise de l’appareil sécuritaire et est capable de tisser les réseaux en Afrique et à l’international.

– Signe d’apaisement –
Félix Tshisekedi vient de faire un pas vers la décrispation en décidant de nommer à ces deux postes stratégiques des personnalités non extrémistes, non conflictuelles, commente un observateur. À cinq mois des élections en République démocratique du Congo, le climat politique est des plus tendu. Tshisekedi avait sûrement besoin de changer de méthode en écoutant tous les sons de cloche.

"Présidentielle 2023 : selon l'institut de sondage CAPSES Moïse Katumbi en tête, suivi de Félix Tshisekedi - 04.08.2023
= https://www.forumdesas.net/2023/08/selon-linstitut-de-sondage-capses-presidentielle-2023-moise-katumbi-en-tete-suivi-de-tshisekedi/

TSHILOMBO POUR UN GRAND MENAGE DANS LES SERVICES, LA RÉVOLUTION  ???  DEPUIS LE DÉPART DE BEYA, AVEC MBELU L'ANR  ETAIT DEVENUE UNE COQUILLE VIDE, IL SEMBLE EN AVOIR PRIS CONSCIENCE : VOILÀ APRÈS  BISELELE MBELU DEHORS... Presidentielle
Le candidat Moïse Katumbi arrive en tête (45%), suivi de Félix Tshisekedi avec 34% dans les intentions de vote concernant la présidentielle de 2023, selon les résultats de l’institut de sondage CAPSES (Centre d’études politiques et socio-économiques africaines) réalisé du 13 au 20 juin 2023 dans toutes les provinces de la République démocratique du Congo.

Sur un échantillon de 1 224 personnes interrogées, précise la source, 47% des interrogés souhaitent une alternance au sommet de l’Etat ; tandis que 32% veulent voir l’actuel locataire du Palais de la nation rempiler, alors que 22% restent indécis. Le sondage s’est aussi penché sur la crédibilité de quelques personnalités
Ainsi, renseignent les résultats dudit sondage, le président Félix Tshisekedi est crédible dans les provinces issues du grand Kasaï et une partie de celles issues de la province de l’Equateur. Par contre, Moïse Katumbi est jugé plus crédible dans les provinces issues du Katanga, celles du Kivu ainsi que dans les provinces issues de l’ancienne Province Orientale.

KATUMBI A PROGRESSE DE 12%
Et comparés aux résultats du dernier rapport de CAPSES rendu public en novembre 2022, ceux du sondage de juin dernier sont plus élogieux. En effet, selon le sondage actuel, le candidat d’Ensemble pour la République a connu une progression de 12% d’intentions de vote, tandis que le cinquième président de la RDC n’a progressé que de 10%.
La source renchérit que les Congolais sondés ont eu également à répondre aux questions relatives à la situation politique actuelle du pays, à la sécurité et au social de la population congolaise. C’est un tableau sombre du pays que les interrogés ont peint dans l’ensemble. Par conséquent, la majorité des Congolais a affirmé que le Président Félix Tshisekedi n’a pas réalisé les promesses qu’il a faites depuis son investiture à la magistrature suprême du pays. Par contre, seulement 6% des personnes interrogées affirment que Félix Tshisekedi a réalisé beaucoup de ses promesses.

61% DES CONGOLAIS INTERROGES NON SATISFAITS DU REGIME
Au sujet de la guerre dans la partie orientale du pays, les résultats du sondage renseignent que 58% d’enquêtes estiment que le gouvernement ne fournit pas assez d’efforts pour lutter contre l’insécurité dans le pays, et particulièrement dans l’Est. Quant à la situation politique actuelle, 61% des Congolais interrogés ne sont pas satisfaits du régime Tshisekedi, avec un pic au Haut-Lomami, Bas-Uele, Lualaba, Maniema, Sankuru, Sud-Kivu et Kwilu.
En somme, voilà pourquoi le peuple congolais souhaite voir une alternance politique, espérant que cela changerait sa situation sociale très précaire, estimant que le pouvoir actuel ne donne pas les gages d’assurance quant à l’amélioration des conditions sociale et sécuritaire. 


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# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #

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