PETER TIANI A ÉTÉ ARRÊTÉ RÊTÉ PAR LA JUSTICE MILITAIRE POUR AVOIR REFUSÉ DE COLLABORER AVEC LA JUSTICE POUR PARTAGER LES INFORMATIONS EN SA POSSESSION AU SUJET DE LA DISPARITION DE CHÉRUBIN OKENDE !!!
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PETER TIANI A ÉTÉ ARRÊTÉ RÊTÉ PAR LA JUSTICE MILITAIRE POUR AVOIR REFUSÉ DE COLLABORER AVEC LA JUSTICE POUR PARTAGER LES INFORMATIONS EN SA POSSESSION AU SUJET DE LA DISPARITION DE CHÉRUBIN OKENDE !!!
PETER TIANI A ÉTÉ ARRÊTÉ PAR LA JUSTICE MILITAIRE POUR AVOIR REFUSÉ DE COLLABORER AVEC LA JUSTICE POUR PARTAGER LES INFORMATIONS EN SA POSSESSION AU SUJET DE LA DISPARITION DE CHÉRUBIN OKENDE. ILS SONT HÉLAS NOMBREUX A SUCCOMBER ET A RELAYER LA PROPAGANDE PARTISANE DU POUVOIR EN PLACE...
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- L'histoire est d'abord celle d'un contexte où des journalistes ou activistes critiques envers le pouvoir en place sont arbitrairement et régulièrement enlevés par les agents de la justice militaire.
Dans le cas de Peter Tiani journaliste engagé plutôt proche de Katumbi mais dont l'indépendance ne peut être niée, connu sur la scène kinoise, propriétaire du media numérique "Perfect TV" qui avait invité par le Commissaire Divisionnaire le 18 juillet a envoyé au bureau de la Police le jour même son avocat qui malheureusement n'avait pas trouvé sur place l'invitant absent sans autre explication. Cherchez l'erreur...
- L'histoire c'est aussi celle des pretendus tweets combien suspects que lui, Arlette Odia et Steve Wembi auraient fait dès 14h le 12 juillet signalant les premiers la disparition de Okende et dont la trace officielle n'est visible que bien plus tard vers 20h ; les connaisseurs savent que ceux-ci ne peuvent être des corrections des ceux de 14h, la société ne consent qu'une heure pour cela. Notre haute administration ne le sait-elle pas pour s'acharner sur Tiani à ce sujet ??? Une défense experte saura aisément démontrer l'imposture.
- L'histoire c'est aussi cette info de Le Monde sur n nettoyeur de voiture au parking de la Cour constitutionnelle qui affirme avoir vu le 12 juillet des hommes armés habillés en civil entrer sur le parking et demander à Chérubin Okende de les suivre jusqu'à sa voiture où des hommes en tenue militaire à bord d’un pick-up Toyota de couleur blanche dont l'un a pris le volant du véhicule du député celui-ci placé à l’arrière ». Personne ne l'a démenti et on veut ignorer cette info capitale..
- L'histoire c'est aussi et surtout les propos confondants irresponsables et bêtes du PG près la Cour de cassation qui confond propagande et gestion intelligente de son administration...
Voilà en définitive entre le flop annoncé des tweets, le témoignage non démenti d'un homme, etc, etc... des faits accablants pour la haute administration judiciaire et les Services de enseignements militaires qui n'ont pas été pris en compte pour cause et qui conduisent à des intime et des arrestations autoritaires et bêtes comme ici des agents de la police militaire en civils et en uniformes qui ont déboulé au bureau de TIani où il y'a eu quelques tensions pour le conduire vers une destination inconnue... Ils sont hélas nombreux à succomber et à relayer la propagande partisane du régime en place ; Pauvre pays...
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
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- L'histoire est d'abord celle d'un contexte où des journalistes ou activistes critiques envers le pouvoir en place sont arbitrairement et régulièrement enlevés par les agents de la justice militaire.
Dans le cas de Peter Tiani journaliste engagé plutôt proche de Katumbi mais dont l'indépendance ne peut être niée, connu sur la scène kinoise, propriétaire du media numérique "Perfect TV" qui avait invité par le Commissaire Divisionnaire le 18 juillet a envoyé au bureau de la Police le jour même son avocat qui malheureusement n'avait pas trouvé sur place l'invitant absent sans autre explication. Cherchez l'erreur...
- L'histoire c'est aussi celle des pretendus tweets combien suspects que lui, Arlette Odia et Steve Wembi auraient fait dès 14h le 12 juillet signalant les premiers la disparition de Okende et dont la trace officielle n'est visible que bien plus tard vers 20h ; les connaisseurs savent que ceux-ci ne peuvent être des corrections des ceux de 14h, la société ne consent qu'une heure pour cela. Notre haute administration ne le sait-elle pas pour s'acharner sur Tiani à ce sujet ??? Une défense experte saura aisément démontrer l'imposture.
- L'histoire c'est aussi cette info de Le Monde sur n nettoyeur de voiture au parking de la Cour constitutionnelle qui affirme avoir vu le 12 juillet des hommes armés habillés en civil entrer sur le parking et demander à Chérubin Okende de les suivre jusqu'à sa voiture où des hommes en tenue militaire à bord d’un pick-up Toyota de couleur blanche dont l'un a pris le volant du véhicule du député celui-ci placé à l’arrière ». Personne ne l'a démenti et on veut ignorer cette info capitale..
- L'histoire c'est aussi et surtout les propos confondants irresponsables et bêtes du PG près la Cour de cassation qui confond propagande et gestion intelligente de son administration...
Voilà en définitive entre le flop annoncé des tweets, le témoignage non démenti d'un homme, etc, etc... des faits accablants pour la haute administration judiciaire et les Services de enseignements militaires qui n'ont pas été pris en compte pour cause et qui conduisent à des intime et des arrestations autoritaires et bêtes comme ici des agents de la police militaire en civils et en uniformes qui ont déboulé au bureau de TIani où il y'a eu quelques tensions pour le conduire vers une destination inconnue... Ils sont hélas nombreux à succomber et à relayer la propagande partisane du régime en place ; Pauvre pays...
"RDC: Peter Tiani arrêté à Kinshasa - 18.08.2023
= https://actualite.cd/2023/08/18/rdc-peter-tiani-arrete-kinshasa
Peter Tiani pendant son interpellation
Le présentateur de télévision et fondateur de la chaîne Télévision Perfect TV, Peter Tiani, a été appréhendé ce vendredi à Kinshasa. Des individus en civil se présentant comme des agents de la justice militaire, accompagnés d'hommes en uniforme militaire, l'ont interpellé au 4e étage de l'immeuble "Galerie Présidentielle", siège de sa chaîne de télévision. L'arrestation s'est déroulée dans une atmosphère tendue, les journalistes de Perfect TV ayant tenté de s'interposer entre leur collègue et les agents.
Selon plusieurs sources judiciaires, cette arrestation serait en lien avec l'affaire du meurtre de Chérubin Okende, porte-parole d'Ensemble pour la République. Peter Tiani est convoqué pour rendre compte des informations qu'il aurait partagées peu après la disparition de Chérubin Okende.
Avant d'être embarqué, Peter Tiani a confié à ses collaborateurs : « Si un malheur m'arrive, vous savez où ça se passera », faisant référence à l'avis de recherche qui est émis contre lui.
Le véhicule ayant servi à transporter Peter Tiani a été identifié par ses collègues au parking de l'IP CRIM. D'après des sources locales citées par Maître Hervé Diakiese, le journaliste serait actuellement détenu à l'Inspection Générale de la Police, près du Palais du Peuple, à la disposition de la commission d'enquête chargée du dossier « Chérubin Okende ».
Peter Tiani avait été invité par le Commissaire Divisionnaire Adjoint le 18 juillet dernier et avait été prié de se rendre au bureau de la Police le jour même. Son avocat avait immédiatement informé le commissaire de son arrivée imminente. Cependant, à son arrivée sur les lieux, il a été informé de l'absence du Commissaire jusqu'à environ 15h30.
Les circonstances exactes de l'arrestation ainsi que les développements à venir restent à suivre. La situation continue d'évoluer et des informations supplémentaires seront partagées dès qu'elles seront disponibles.
"Lejournaliste Peter Tiani arrêté pour son refus de collaborer avec la justice dans l'affaire de l'assassinat de Chérubin Okende - 18.08.2023
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-125881_le_journaliste_peter_tiani_arrete_pour_son_refus_de_collaborer_avec_la_justice_dans_l_affaire_de_l_assassinat_de_cherubin_okende.html
Dans une affaire qui secoue le pays, le journaliste renommé Peter Tiani a été arrêté par les autorités de la République démocratique du Congo (RDC) pour avoir refusé de répondre à plusieurs invitations de la justice concernant l'enquête sur l'assassinat de Chérubin Okende.
Une source officielle a affirmé que Tiani aurait diffusé sur Twitter une capture d'écran annonçant la disparition de l'honorable Chérubin à 14 heures, bien que son garde du corps soutienne qu'il était à la Cour constitutionnelle à 16 heures
Les enquêteurs, y compris des experts internationaux, souhaiteraient l'entendre à ce sujet, a précisé la même source.
Toutefois, la défense du directeur général de Perfect Television réfute catégoriquement ces allégations, dénonçant une manipulation de la vérité et un complot visant à dissimuler des informations cruciales.
Selon la défense, la capture d'écran en question est fausse et aurait été fabriquée par des individus avides de cacher la vérité.
Cette arrestation suscite de vives réactions tant au sein de la communauté journalistique que parmi les défenseurs des droits de l'homme. Nombreux sont ceux qui estiment que la détention de Peter Tiani est une atteinte à la liberté de la presse et à la liberté d'expression.
Ils soulignent que les journalistes doivent pouvoir exercer leur métier sans crainte de représailles et que leur rôle consiste à informer la population de manière indépendante et objective.
L'affaire de l'assassinat de Chérubin Okende a elle-même été marquée par des controverses et des suspicions. Cherubin Okende, homme politique influent, a été retrouvé mort dans des circonstances troublantes.
Ce décès a alimenté les rumeurs de corruption et de dissimulation, et le rôle des médias dans la diffusion de l'information est crucial pour faire la lumière sur cette affaire.
La question qui se pose désormais est de savoir si l'arrestation de Peter Tiani est justifiée ou s'il s'agit d'une tentative visant à étouffer les voix dissidentes et à contrôler le récit de l'affaire Chérubin Okende. Les défenseurs des droits de l'homme appellent à une enquête transparente et impartiale, ainsi qu'au respect des droits fondamentaux de Tiani.
Dans un pays où la liberté de la presse est souvent remise en question, cet incident suscite de vives inquiétudes quant à la protection des journalistes et à la garantie de leur indépendance dans l'exercice de leur métier. Les prochaines semaines seront cruciales pour déterminer si la vérité pourra éclater ou si elle sera une fois de plus enterrée sous les manœuvres politiques.
Il est impératif que les autorités congolaises respectent les principes fondamentaux de la démocratie et fassent preuve de transparence dans le traitement de cette affaire. La liberté de la presse est un pilier essentiel d'une société démocratique, et la communauté internationale sera attentive à la manière dont cette situation évolue dans les semaines à venir.
"Presse : un journaliste pro-Katumbi arrêté au siège de sa rédaction -
18 août 2023
= https://radiodelafemme.net/presse-un-journaliste-pro-katumbi-arrete-au-siege-de-sa-redaction/
Le directeur général de Perfect TV , média proche de l’ex-gouverneur du Katanga Moïse Katumbi , a été interpellé par la police judiciaire, a-t-on appris ce vendredi auprès de sa rédaction et de la corporation des journalistes.
Peter Tiani, qui répondait à une seconde convocation du parquet général en un mois, a été arrêté par les éléments de la police judiciaire qui ont brandi le document d’avis de recherche en lieu et place d’une convocation ou d’un mandat d’amener.
Après un moment de tension au siège de Perfect TV, les quelques esprits surchauffés, qui se sont fermement opposés au départ de leur DG, sont revenus au calme après le mot du “journaliste engagé” et patron de Perfect TV. Ce dernier, a dans la foulée, était embarqué dans une S.U.V Toyota Prado de couleur noire 7796 BP pour une destination inconnue.
Le journaliste devrait être présenté prochainement à un juge pour être entendu sur ce dont il es accusé.
Pour les agents de Perfect Tv, “cette arrestation est une atteinte grave à la liberté de la presse et nous exigeons sa libération immédiate et sans condition”, ont-ils déclaré à notre rédaction. Ils estiment que le “pouvoir veut instaurer dans les médias proches de l’opposition une atmosphère de terreur et d’intimidation, à quelques mois des élections”.
Félix Tshisekedi e5gst le grand favori de l’élection présidentielle de décembre, un scrutin crucial pour la stabilisation du pays.
Les médias congolais, dont une partie est très politisée, ont parfois contribué à faire monter la tension dans le pays, durant la tourmente qui a culminé avec la crise postélectorale de 2018- 2019.
Née du refus de l’opposition de reconnaître la victoire de Tshisekedi à la présidentielle de décembre 2018, cette crise a fait plusieurs morts.
"RDC : Très critique au régime Tshisekedi, le Journaliste «engagé» Peter Tiani arrêté à Kinshasa - 18 août 2023
= https://infosdirect.net/2023/08/18/rdc-tres-critique-au-regime-tshisekedi-le-journaliste-engage-peter-tiani-arrete-a-kinshasa/
KINSHASA, 18 AOÛT INFOSDIRECT__: Le journaliste «engagé» et Directeur de Perfect Télévision émettant à Kinshasa en République démocratique du Congo, est aux arrêts depuis la mi-journée de ce vendredi 18 août, à son Bureau, situé aux galeries présidentielles.
D’après les vidéos prises par plusieurs personnes sur le lieu, on pouvait apercevoir plusieurs éléments militaires et de la police judiciaire, lourdement armés qui ont fait irruption dans ses locaux pour arrêter ce journaliste très hostile contre le régime en place.
Les militaires et policiers ont fait face à une résistance des agents de cette entreprise de communication, ne voulant pas voir leur patron partir avec ces agents de l’ordre.
Il avait fallu l’intervention de ce journaliste pour calmer ses agents et répondre en tout citoyen à l’invitation des services de sécurité, qui l’ont emmené dans une destination inconnue jusque là.
Peter Tiani est un journaliste très connu pour ses positions face à la gestion qu’il à toujours qualifiée désastreuse du pouvoir en place, mais aussi très proche de Moïse Katumbi, puissant opposant congolais et candidat très dangereux aux prochaines élections.
Depuis toujours, ce journaliste a toujours fait objet des menaces de la part des services de sécurité à toutes ces productions médiatiques. Il a été le premier journaliste a alerté sur l’enlèvement de Chérubin Okende ancien porte-parole de Ensemble pour la République de Katumbi, avant d’être retrouvé mort le jour suivant dans la matinée.
"Assassinat de Cherubin Okende : Le journaliste Peter Tiani invité au commissariat de la police pour cette raison…. - 18 juillet 2023
= https://enquete.cd/2023/07/18/assassinat-de-cherubin-okende-le-journaliste-peter-tiani-invite-au-commissariat-de-la-police-pour-cette-raison/
Kinshasa, 18 juillet 2023- Le journaliste Péter Tiani appelé à se présenter ce mardi au cabinet du commissaire Aï de la police à Kinshasa afin d’être entendu sur le dossier de l’assassinat de Cherubin Okende.
Le journaliste Peter Tiani responsable du média Perfect TV émettant à Kinshasa est invité au Commissariat de la police ce mardi 18 juillet.
Lire aussi : RDC : La famille biologique de Chérubin Okende porte plainte contre inconnus pour enlèvement et assassinat ( Document)
D’après le commissaire divisionnaire adjoint de la police à Kinshasa, c’est pour être entendu dans le cadre des renseignements sur l’assassinat du député national Chérubin Okende.
» C’est dans le cadre des enquêtes sur l’assassinat du député national Chérubin Okende que je l’ai invité pour des renseignements » A expliqué le commissaire divisionnaire Adjoint Eddy Mukuna Ntumba contacté par le journaliste Stanis Bujakera.
Lire aussi : Dossier Matata : Le Président de la Cour constitutionnelle saisi pour la fixation des jours des audiences publiques ( documents)
Peter Tiani est parmi les journalistes accusé d’avoir publié en premier l’information sur le prétendu enlèvement de Chérubin Okende avant son assassinat.
"Kinshasa : le journaliste Tiani écroué au cachot de la police provinciale (avocat) - 19/08/2023
= https://www.radiookapi.net/2023/08/19/actualite/societe/kinshasa-le-journaliste-tiani-ecroue-au-cachot-de-la-police-provinciale
Directeur Général de la chaine de télévision privée Perfect TV, Peter Tiani est écroué, depuis vendredi 18 aout, au cachot de la police provinciale de Kinshasa.
C’est ce qu’a affirmé l’un de ses avocats, Me Hervé Diakiese ce samedi 19 août à Radio Okapi.[/size]
Il a également précisé que son client est à la disposition de la commission d’enquête sur l’assassinat du feu député national Cherubin Okende.
Me Herve Diakiase regrette que Peter Tiani ait été interpellé assez brutalement et le véhicule qui l’a transporté a été identifié près du Commissariat provincial de la police de la ville de Kinshasa.
« Nous avons pris langue avec l’IPKIN qui nous a orienté auprès de la P2 qui nous a fait savoir que Peter Tiani est la disposition de la commission d’enquête du feu Cherubin Okende. Plus tard dans la nuit nous avons été contactés que Peter Tiani est bel et bien au commissariat général de la police nationale, où il était en train d’être auditionné par la commission. Nous avons assisté à l’audition. Et à la fin de cette audition, ce qui est assez surprenant, Peter Tiani qui est censé être un renseignant, a été ramené dans les locaux de la police au niveau du commissariat provincial », a-t-il rapporté.
L’arrestation de Peter Tiani intervient deux mois après que les éléments de force de sécurité ont brutalement interpellé trois autres journalistes kinois en plein exercice de leur métier.
Il s’agissait notamment de Jeef Ngoy de Radio Okapi, Marie-Louise Mbela et un cameraman de la RDC.
"Manip sur Twitter, Peter Tiani, le bouc émissaire
= https://ouragan.cd/2023/07/manip-sur-twitter-peter-tiani-le-bouc-emissaire
L’enquête sur l’assassinat du député national Chérubin Okende risque d’aller dans tous les sens si la justice ne se ressaisit pas à temps. L’on assiste depuis peu à des élucubrations qui surabondent les médias et réseaux sociaux sans indiquer les véritables indices devant mener vers les vrais coupables. Cette bouillabaisse affecte le métier de journaliste et écorne la démocratie.
Le journaliste Peter Tiani, la cible du pouvoir @Photo Droits tiers.
Les communicateurs pro-pouvoir ont choisi de traîner dans la boue certains journalistes afin de les faire taire. S’agirait-il d’une stratégie visant à influencer l’opinion et créer le doute autour des véritables auteurs du crime ou tout simplement d’une tactique politique maladroite consistant à jeter en pâture certaines figures bien connues de la presse congolaise. Les journalistes Peter Tiani, Elysée Odia, Stany Bujakera et Steve Wembi sont dans le viseur. Toute une armée numérique du pouvoir se déchaîne et n’entend nullement lâcher d’une semelle les quatre professionnels des médias pour avoir été les premiers à alerter l’opinion sur la disparition de Chérubin Okende. Mardi, l’un d’eux a même été convoqué par la police de Kinshasa pour renseignement.
L’inviteur de Peter Tiani absent de son poste
L’avocat du journaliste Peter Tiani avait bel et bien répondu à l’invitation adressée à son client le même mardi 18 juillet 2023. Arrivé au commissariat provincial de la police, ville de Kinshasa, Me Cris Emango n’a pas trouvé le général Eddy Mukuna qui était à l’initiative de l’invitation lancée à son client, Peter Tiani. “Nous avons tenté de le rechercher mais il nous a laissé une fin de non-recevoir”, a expliqué l’avocat au sortir du commissariat. Finalement, il n’y a pas eu de suite au dossier, ce qui préoccupe le conseil du journaliste : “vous pouvez même comprendre qu’autour de cette invitation-là, il y avait beaucoup de zones d’ombre qu’il fallait clarifier d’autant plus qu’il n’y avait ni numéro du dossier sur l’invitation, ni qualité de l’invité. A-t-il été invité en tant que journaliste qui aurait commis une autre infraction, nous ne savons pas”, explicitera-t-il. L’invitation n’a même pas été déposée à l’adresse du journaliste, tout semble avoir été précipité. “Nous apprenons déjà qu’il s’agirait du dossier concernant l’assassinat du regretté Chérubin Okende. Mais si tel est le cas, nous demandons quand même que la procédure ne soit toujours pas orientée de façon si cavalière dans la mesure où l’adresse de Peter Tiani est bien connue et s’il faut poser des actes, nous ne savons pas est-ce c’est le procureur général près la Cour de cassation qui intervient sur le dossier alors qu’au même moment, c’est la police qui pose des actes”, s’est même interrogé l’avocat de Peter Tiani sur la façon dont cette enquête est orientée. “Nous souhaitons à ce qu’on puisse clarifier d’abord ces différentes questions. Notre client va se présenter dès que l’invitation lui sera adressée. D’ailleurs, on sait qu’il a été parmi les premières personnes à avoir communiqué là-dessus. Il faisait son travail de journaliste, cela est autorisé par la loi. Mais que l’on respecte aussi les lois du pays, que l’on respecte la procédure telle qu’elle devrait être conduite”, a souligné l’avocat. D’après lui, Peter Tiani n’est pas inquiet : “Nous demandons simplement que l’orthodoxie judiciaire soit respectée dans ce sens qu’un dossier doit être renseigné, comporter un numéro et que lorsqu’il faut lancer une invitation, ce n’est pas au jour même qu’on lance l’invitation qu’il faut absolument que le concerné se présente”, a-t-il ajouté.
Lire aussi :
Francophonie, cette polémique poussiéreuse sur la star de télé, Jessy Kabasele
Au regard de tous ces éléments, la partie Peter Tiani pense que les choses sont un peu “louches” et qu’il faille régulariser la procédure, refaire la démarche. Encore que pour une invitation lancée pour 10h00, l’avocat s’est présenté en bon citoyen, quelques heures seulement après.
Gros mensonge attribué aux journalistes
Réagissant à ces accusations infondées ciblant les quatre journalistes, Achille Kadima, directeur général du tri-hebdomadaire Africa News a estimé que tout devrait concourir à la manifestation de la vérité à propos de ce mensonge véhiculé via les médias sociaux par des personnes bien identifiées tendant à faire croire au public que certains journalistes ont modifié leurs tweets d’alerte sur l’enlèvement du député national Chérubin Okende. “Il y a moyen de bien faire les choses et ne pas donner l’impression de vouloir brouiller les pistes de l’enquête”, a répondu l’expert en com. La police congolaise dispose elle aussi d’un compte Twitter, rappelle-t-il. “C’est donc facile pour elle de suivre les confrères gratuitement incriminés et retracer leurs différents postes du 12 juillet 2023”, a clarifié Achille Kadima qui voudrait bien rappeler à la police que les utilisateurs admis au badge bleu disposent seulement de 60 minutes pour pouvoir modifier un post. “Je ne vois pas comment on peut modifier à 17 heures, 19 heures, 20 heures voire 22 heures un tweet posté à 14h00 ou à 15h00, c’est impossible. Y croire, c’est jouer le jeu des manipulateurs”, a conclu le journaliste.
Influencer l’opinion et créer un doute sur les suspects
L’opposant Alain Bolodjwa s’est également intéressé à cette épopée qui veut coller à la notoriété des journalistes et de leurs médias. Les indices ont-ils commencé à être identifiés. Parce que d’après les juristes, l’instruction est secrète. Et en tant que telle, comment justifier alors la disponibilité des informations de l’instruction au niveau des réseaux sociaux, au niveau des communicateurs du pouvoir, s’interroge Alain Bolodjwa. “On vous dit par exemple qu’il y a une vidéo qui démontre que le chauffeur de Chérubin Okende était bel et bien à la Cour constitutionnelle. Mais comment pouvez-vous être en possession de cette vidéo parce que c’est une pièce nécessaire de l’enquête. Soit la Cour constitutionnelle ou les animateurs de la Cour mettent à la disposition des communicateurs du pouvoir des informations pour chercher à se dédouaner”, a-t-il reproché. Or la Cour constitutionnelle, selon lui, n’est pas liée aux partis politiques, “c’est là où je trouve qu’il y a beaucoup de maladresses”, a-t-il condamné. Ce qui veut dire que le caractère confidentiel de l’instruction n’a pas été respecté. À ce niveau du dossier, ceux qui ont la possibilité d’avoir des informations, ce sont soit les services chargés de l’enquête, soit les cours et tribunaux. “Maintenant, posons-nous la question de savoir pourquoi doit-on divulguer des informations secrètes aux communicateurs?”, a-t-il encore interpellé. Et de répondre : “C’est pour influencer l’opinion et créer un doute sur leur responsabilité”. Bolodjwa va plus loin dans son analyse. “Si vous êtes innocent, si vous n’êtes pas impliqué, pourquoi êtes-vous agité ?”.
Il y a de l’agitation d’un côté
“J’ai vu mon jeune frère Pinda, il vous dit qu’il y aurait des tweets émis vers 14h00 annonçant l’enlèvement de Chérubin Okende. Ce qui est surprenant est que personne n’a le courage de lui poser la question de savoir s’il peut en avoir. Parce qu’il faut commencer par là. S’il y avait des tweets à partir de 14h00, les personnes émettrices des tweets les ont-ils supprimés ? Sinon, les ont-ils modifiés ?”, a fait observer Alain Bolodjwa. Est-il techniquement possible de modifier un tweet émis vers 14h00 à partir de minuit ou 5h00?, a encore analysé Bolodjwa. Si non, “ce qu’il avait dit prouve de l’agitation”. Comment pouvez-vous induire toute l’opinion publique en erreur sur base d’un faux ? Qui l’a envoyé ? Quelle est la vraie intention ? “J’ai fait des recherches, je me suis rendu compte qu’il était difficile de modifier des tweets après une heure pour les détenteurs de badges bleus. Une nouvelle option qui a été ajoutée donne la possibilité de trente minutes à une heure au maximum”, explique l’opposant qui se dit très présent sur les réseaux sociaux. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il a confirmé la main sur le cœur avoir réceptionné le tweet de Peter Tiani en milieu de la nuit : “Monsieur Peter Tiani m’a envoyé son tweet que j’ai vu vers minuit”,a-t-il certifié. Une manière pour lui de dénoncer cette campagne hostile visant les journalistes qui dérangent le régime.
"Okende/Brouillage de l’enquête : La piste des tweets fait flop, les manipulateurs mis à nu -
= https://congoguardian.com/2023/07/21/4439/
Les comptes admis au badge bleu de Twitter ne laissent qu’une marge de 60 minutes pour des modifications éventuelles. Passé ce délai, le titulaire n’a plus d’autre option que de supprimer le tweet publié.
Implacable. On ne corrompt pas la technologie. Et l’enquête sur l’assassinat de Chérubin Okende n’y coupe pas.
Ceux qui l’ont oublié doivent désormais se mordre les doigts, maintenant que des détails techniques sur le fonctionnement des réseaux sociaux – tweeter en l’occurrence – montent à la surface. Depuis le début, en effet, certains milieux facilement identifiables – et qui entreprennent d’orienter l’enquête sur le meurtre de Chérubin vers les maïs pour des raisons de plus en plus élucidées – s’étaient arc-bouté sur des pistes d’enquête basées sur des tweets de certains journalistes et des acteurs politiques dans l’intention manifeste de flanquer ce meurtre dans un camp politique bien identifié : Ensemble pour la République.
Tous les moyens ont été mis en jeux pour asseoir une communication sur la piste de ces tweets, y compris l’implication d’autres journalistes parmi lesquels certains devenus mandataires publics au nom de la majorité au pouvoir. Une récente émission sur Télé 50 a été révélatrice de cette campagne formellement organisé avec des moyens disponibilisés lorsque l’un de ces communicants, en l’occurrence Dieunit Kanyinda – connu pourtant comme mandataire à la RTNC et chargé de communication à l’IGF – s’est présenté, la main sur le cœur, pour affirmer fermement qu’il détenait des captures d’écran des comptes tweeters de certains journalistes qui, selon lui, avaient annoncé l’enlèvement de Chérubin Okende bien longtemps avant la première manifestation de son garde du corps auprès de la Cour constitutionnelle pour exprimer son inquiétude de ce qu’il ne parvenait pas à retrouver les traces de son protégé qu’il avait laissé sur le parking de la haute Cour autour de 16 heures à la date du 12 juillet.
Le communiquant Kanyinda, appartenant à une officine de communication, va alléguer que, selon ses captures d’écran, Peter Tiani a annoncé la disparition d’Okende à 14h19, Elysée Odia à 14h34 et Steve Wembi à 14h39. Il faut noter qu’avant Dieunit Kanyinda d’autres sources judiciaires et des milieux politiques proches du régime avaient soutenu la même position devant la presse.
Cependant, après vérification sur Twitter, on se rend compte que les posts du 12 juillet de Tiani, Wembi et Odia remontent respectivement à 22h19, 22h34 et 22h35. Même le Secrétaire Général d’Ensemble pour la République, également cité dans cette manœuvre des tweets, témoigne, dans une conférence de presse d’hier jeudi, avoir été informé seulement après 20 heures de la disparition de son camarade du parti par son épouse et son garde du corps qui se trouverait être son beau-frère.
Face à la vérité de la technologie qui rend impossible toute modification de tweets au-delà de 60 minutes après leur publication, cette piste fait donc flop. Elle révèle, par ricochet, l’agitation qui a gagné un camp politique depuis cette disparition tragique.
En toute logique, la justice (par son auxiliaire qu’est la police) qui convoque des confrères pour « renseignements » devraient élargir son enquête sur cette officine de manipulation manifeste qui vise à désorienter l’enquête. C’est ici que le Procureur général de la Cour de cassation, Firmin Mvonde Mbamu – qui est lui-même dans une transe injustifiable alors qu’il n’est pas en charge de l’affaire – devrait aller jusqu’au bout de son engagement pour faire interpeller également Dieunit Kanyinda et tous ceux qui ont brandi la piste des tweets pour qu’ils apportent, eux aussi, leurs « renseignements » dans cette affaire. Ceci conformément à cet incontournable principe du droit qui veut que la charge de l’accusation incombe à celui qui porte justement cette accusation.
Dieunit Kanyinda a cité nommément des noms dont celui de Peter Tiani attrait comme renseignant. Il ne devrait pas, à son tour, échapper à l’intérêt des enquêteurs.
"En RDC, la tension monte après le meurtre de l’ancien ministre Chérubin Okende - 21. 07.2023
= https://www.lemonde.fr/afrique/article/2023/07/21/en-rdc-la-tension-monte-apres-le-meurtre-de-l-ancien-ministre-cherubin-okende_6182854_3212.html
Le porte-parole du parti de l’opposant Moïse Katumbi a été retrouvé mort d’une balle dans la tête le 13 juillet. Ses proches y voient un « assassinat politique ».
Photo de profil issue de la page Facebook de Chérubin Okende. FACEBOOK
Une semaine après la mort du député et ancien ministre Chérubin Okende, il n’y a toujours ni mobile ni coupable ; mais pour les autorités, il y a urgence à faire progresser l’enquête. A cinq mois de l’élection présidentielle en République démocratique du Congo (RDC), le climat se fait étouffant depuis que cette figure de la vie politique locale a été retrouvée, tuée d’une balle dans la tête, dans sa Lexus stationnée sur le boulevard Congo-Japon du quartier de Limete, à Kinshasa, jeudi 13 juillet.
Chérubin Okende, porte-parole du parti de Moïse Katumbi, le principal rival du président Félix Tshisekedi dans la course à la magistrature suprême en décembre, avait disparu la veille à plusieurs kilomètres de là. Il avait été vu pour la dernière fois en plein centre-ville de la capitale, sur le parking de la Cour constitutionnelle, où il attendait son garde du corps, parti déposer pour lui un courrier demandant le report de vingt-quatre heures de son audition par la haute juridiction, qui voulait l’entendre sur sa déclaration de patrimoine.
Crime crapuleux ou un assassinat politique ? Mercredi, Firmin Mvonde, le procureur général près la Cour de cassation, a estimé que le garde du corps de Chérubin Okende était, à ce stade de l’enquête, « le premier suspect ». Ses déclarations ne sont pas « constantes », a précisé le magistrat, ajoutant que la balle qui a « traversé la tête » du député est bien partie de son arme, « trouvée à côté du corps ». Arrêté quelques heures après la découverte de la dépouille, cet homme qui, selon nos informations, est un cousin par alliance de la victime, est interrogé par les policiers, tout comme le chauffeur du député. « D’autres personnes », dont l’identité n’a pas été révélée, sont en train d’être entendues.
Lire aussi : « On veut nous réduire au silence » : Moïse Katumbi de retour en RDC après l’assassinat de son porte-parole Chérubin Okende
Une version qui ne convainc pas la famille de l’ancien ministre des transports, qui voit derrière sa mort un « assassinat politique ». « Aucune expertise balistique n’a encore été faite, l’autopsie n’a pas non plus été pratiquée pour déterminer les causes réelles du décès, mais le procureur général fait des déclarations à l’emporte-pièce. Ce n’est pas professionnel et cela pousse à croire qu’on veut maquiller l’assassinat », se désole un proche sous couvert d’anonymat
« Traces de boue séchée »
« Un nettoyeur de voiture qui travaille sur le parking de la Cour constitutionnelle nous a affirmé que le 12 juillet, il avait vu des hommes armés habillés en civil entrer sur le parking et demander à Chérubin Okende de les suivre. Puis, à l’extérieur de la concession, il dit avoir vu des hommes en tenue militaire à bord d’un pick-up Toyota de couleur blanche. Selon ce témoin, l’un de ces hommes a pris le volant du véhicule du député tandis que celui-ci a pris place à l’arrière », poursuit ce proche, estimant que l’enquête fait fausse route.
Des reproches formulés également par le parti de Chérubin Okende, Ensemble pour la République, dont le leader, Moïse Katumbi, a précipitamment interrompu son séjour en Côte d’Ivoire, dénonçant une affaire « politique ». « Il y a beaucoup de manipulations, estime Olivier Kamitatu, son porte-parole. Des traces de boue séchée ont été retrouvées sur le pantalon de Chérubin Okende. D’où viennent-elles ? On a retrouvé sa ceinture de sécurité attachée. Comment est-ce possible ? Son épouse affirme qu’il ne l’attachait jamais. La position dans laquelle le corps a été découvert laisse croire qu’il y a eu une mise en scène. »
« Tout cela s’inscrit dans une logique de persécution de Moïse Katumbi et de ses collaborateurs », poursuit Olivier Kamitatu, accusant les autorités congolaises d’être derrière ce meurtre. Ces derniers mois, les difficultés se multiplient pour les proches du candidat à la présidentielle. Fin mai, l’un de ses plus proches conseillers, Salomon Idi Kalonda, a été arrêté, accusé de collusion avec des rebelles. Juste avant, Mike Mukebayi, un élu du parti, avait également été inculpé.
Lire aussi : RDC : Moïse Katumbi, l’opposant qui fait peur au président Félix Tshisekedi
Ces accusations sont « indécentes », selon Patrick Muyaya, le porte-parole du gouvernement : « On nous a tout de suite accusés. Mais à qui profite ce crime ? Nous n’en tirons aucun profit, dans un contexte où nous travaillons à rassurer la population sur la sécurité, notamment à la veille des Jeux de la Francophonie du 28 juillet au 6 août à Kinshasa] et des élections de décembre. » Alors que Moïse Katumbi a demandé à la mission des Nations unies en RDC de « conduire les investigations », le gouvernement dit accepter que cette enquête soit internationale et promet que la Belgique enverra « au plus tôt » un expert. Mercredi, le procureur Firmin Mvonde a ajouté que des enquêteurs sud-africain et français étaient aussi « attendus ».
= https://linterview.cd/kinshasa-le-journaliste-peter-tiani-de-perfect-tv-arrete-par-des-hommes-armes/
= https://depeche.cd/2023/08/18/kinshasa-le-journaliste-peter-tiani-arrete-par-des-hommes-en-uniforme/
= https://election-net.com/article/kinshasa-le-journaliste-peter-tiani-arrete
"DECRY INFOS 19.8.23 ARRESTATION P.TIANI, MENTIR SUR LA MORT DE C.OKENDE. P.KAZADI SA FAMILLE TUE LE MINISTÈRE"
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Dernière édition par ndonzwau le 20/8/2023, 6:25 pm, édité 1 fois
ndonzwau
Re: PETER TIANI A ÉTÉ ARRÊTÉ RÊTÉ PAR LA JUSTICE MILITAIRE POUR AVOIR REFUSÉ DE COLLABORER AVEC LA JUSTICE POUR PARTAGER LES INFORMATIONS EN SA POSSESSION AU SUJET DE LA DISPARITION DE CHÉRUBIN OKENDE !!!
L'ARBITRAIRE ARRESTATION DE P TIANI QU'ON VEUT LÉGALISER MALICIEUSEMENT ENLA TRANSFORMANT EN UN AVIS DE RECHERCHE A UNE INVITATION A LAQUELLE IL N'AURAIT PAS RÉPONDU ALORS QU'IL S'AGIT D'UN ENLÈVEMENT PRÉMÉDITÉ..
Il faut souligner que cette arrestation survient dans un contexte de succession d'arrestations arbitraires et de graves restrictions à l’espace démocratique notamment contre les journalistes et les opposants politiques dénoncée par le BCNUDH et les ONG de défense des droits de l’homme en general à l'approche des élections. Ils appellent tous le gouvernement à veiller à faire cesser ces arrestations et détentions arbitraires dans un mémorandum adressé peut-être pas à la bonne personne...
PS. On apprend que P Tiani aurait été relâché hier samedi soir apres une nuit de détention en audition à l’IPKIN ; il faut atteindre une confirmation d'une voix plus autorisée.
Compatriotiquement!
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# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Il faut souligner que cette arrestation survient dans un contexte de succession d'arrestations arbitraires et de graves restrictions à l’espace démocratique notamment contre les journalistes et les opposants politiques dénoncée par le BCNUDH et les ONG de défense des droits de l’homme en general à l'approche des élections. Ils appellent tous le gouvernement à veiller à faire cesser ces arrestations et détentions arbitraires dans un mémorandum adressé peut-être pas à la bonne personne...
PS. On apprend que P Tiani aurait été relâché hier samedi soir apres une nuit de détention en audition à l’IPKIN ; il faut atteindre une confirmation d'une voix plus autorisée.
"Arrestations arbitraires à Kinshasa : des ONG appellent la CNDH à saisir le gouvernement - 17/07/2023
= https://www.radiookapi.net/2023/07/17/actualite/societe/arrestations-arbitraires-kinshasa-des-ong-appellent-la-cndh-saisir-le
Des ONG de défense des droits de l’homme ont appelé, samedi 15 juillet, la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH) à saisir le gouvernement pour cesser les arrestations et détentions arbitraires au pays.
Les responsables de ces structures ont lancé cet appel dans un mémorandum remis au président de la CNDH, Paul Nsapu, à Kinshasa.
Parmi ces organisations, il y a l’ACAJ, ANMDH, ASADHO, IRDH, JA et VSV.
Leurs échanges avec le président de la CNDH interviennent deux jours après le meurtre du député de l’opposition Chérubin Okende, retrouvé mort sur l’avenue Poids-Lourd, à Kinshasa.
"RDC: à l’approche des élections, le BCNUDH rapporte des « cas graves » des restrictions à l’espace démocratique notamment contre les journalistes et les opposants politiques, l’ANR mentionnée - 18.08.2023
= https://actualite.cd/index.php/2023/08/18/rdc-lapproche-des-elections-le-bcnudh-rapporte-des-cas-graves-des-restrictions-lespace
Le rapport du Bureau conjoint des Nations Unies aux droits de l’homme revient sur des cas de violations des droits de l’homme et libertés fondamentales. A quatre mois des élections, le BCNUDH a documenté 116 cas qu’il qualifie de « graves ».
Ces chiffres reflètent « une baisse de près de 40% par rapport à la même période de l’année 2022 (192 violations) et de près de 31% par rapport au semestre précédent (167 violations documentées entre juillet et décembre 2022) ».
Parmi les auteurs de ces violations, le bureau de l’ONU aux droits de l’homme cité les services de renseignements.
« Malgré cette diminution, la gravité des cas documentés, notamment contre les journalistes, défenseurs des droits de l’homme et opposants politiques ainsi que la persistance des violations des droits de l’homme par les services de renseignements restent préoccupantes », dit le rapport du BCNUDH.
Ce tableau sombre concerne le premier semestre de l’année en cours. La RDC s’apprête à organiser les élections le 20 décembre prochain. Dans ce contexte, la tension monte au pays.
Après la répression violente de la manifestation de l’opposition le 20 mai dernier à Kinshasa, des cas d’arrestations d’opposants et des journalistes ont suivi. Le député provincial Mike Mukebayi, Salomon Kalonda, conseiller de Moise Katumbi, Len’s Omelonga sont aux arrêts tandis que l’ancien député national Franck Diongo arrêté a été libéré quelques semaines plus tard. Le cas le plus grave est l’enlèvement suivi de l’assassinat du député national et opposant Chérubin Okende. L’enquête sur cet assassinat n’a toujours pas abouti plus d’un mois après la commission de fait.
"RDC: le bureau de l'ONU aux droits de l'homme déplore au moins 80 victimes liées au processus électoral - 18.08.2923
= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20230818-rdc-le-bureau-de-l-onu-aux-droits-de-l-homme-d%C3%A9plore-au-moins-80-victimes-li%C3%A9es-au-processus-%C3%A9lectoral
Le bureau conjoint de l'ONU aux droits de l’homme s’est dit dans son rapport semestriel préoccupé par les « restrictions » à l'espace démocratique, à quatre mois des élections générales.
Avec notre correspondant à Kinshasa, Pascal Mulegwa
La surveillance faite sur les six premiers mois de l’année 2023 dénombre 116 violations des droits de l’homme et des libertés fondamentales. Elles sont liées à des « restrictions à l'espace démocratique sur l'ensemble du territoire congolais », souligne le rapport.
Le chiffre est en baisse de près de 40% par rapport à la même période de l'année 2022 et de près de 31% par rapport au semestre précédent. Mais c’est la gravité des faits qui alerte l’ONU. Les violations touchent les journalistes, défenseurs des droits de l’homme et opposants politiques. L’ONU note avec préoccupation la persistance des violations des droits de l’homme par les services de renseignements.
Des incidents enregistrés lorsque des membres de groupes armés, certains agents des forces de sécurité, des organisations de la société civile et des membres des communautés ont tenté d’exclure certaines personnes du processus électoral.
Même si la phase de recensement des électeurs est terminée depuis plusieurs mois, l’ONU rappelle qu’elle a été émaillée de cas d'extorsion et de corruption.
"RDC : à quatre mois des élections, RSF s’inquiète des attaques contre les journalistes couvrant le processus électoral - 21.08.2023
= https://actualite.cd/2023/08/21/rdc-quatre-mois-des-elections-rsf-sinquiete-des-attaques-contre-les-journalistes
"HRW/RD Congo : Répression contre l’opposition avant les élections -22.08.2023
= https://www.hrw.org/fr/news/2023/08/22/rd-congo-repression-contre-lopposition-avant-les-elections
Les autorités restreignent sévèrement les libertés fondamentales et arrêtent des dirigeants politiques
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Des militants de partis politiques de l’opposition manifestent contre le processus électoral à Kinshasa, République démocratique du Congo, le 25 mai 2023. :copyright: 2023 Justin Makangara/Anadolu Agency via Getty Images :copyright: 2023 Justin Makangara/Anadolu Agency via Getty Images
(Kinshasa) – Depuis mai 2023, les autorités de la République démocratique du Congo ont pris pour cible des dirigeants de partis politiques d’opposition, en restreignant leurs libertés fondamentales et en arrêtant des cadres de partis, a déclaré aujourd’hui Human Rights Watch
La répression se déroule dans un contexte de tensions politiques accrues avant le démarrage officiel, le 19 novembre, de la campagne pour l’élection présidentielle. Les élections générales sont prévues pour le 20 décembre. En vertu du droit régional et international relatif aux droits humains, les autorités congolaises sont tenues de garantir les droits à la liberté d’expression, d’association, de réunion pacifique et de circulation. Les autorités devraient mettre fin aux arrestations arbitraires et respecter pleinement le droit des personnes détenues à une procédure régulière et à un procès équitable.
« La récente vague d’arrestations et de restrictions des libertés fondamentales par les autorités congolaises vise les candidats à l’élection présidentielle issus de l’opposition et leurs dirigeants », a déclaré Thomas Fessy, chercheur principal de Human Rights Watch sur la RD Congo. « Le gouvernement devrait veiller d’urgence à ce que ces candidats, leurs partisans et tous les Congolais-e-s puissent librement exprimer leurs opinions et organiser des manifestations pacifiques avant les scrutins de décembre. »
Le 23 mai, la police a empêché le convoi de Moïse Katumbi, chef du parti d’opposition Ensemble pour la République, de se rendre dans la province du Kongo-Central, juste au sud de Kinshasa, où il avait prévu plusieurs réunions et rassemblements politiques. Des policiers ont bloqué les véhicules de M. Katumbi et de ses associés sur instruction du gouverneur de la province, Guy Bandu Ndungidi. Invoquant des raisons sécuritaires, M. Ndungidi avait auparavant demandé à M. Katumbi de reporter ses projets et d’organiser un déplacement d’une journée dans une seule ville au lieu d’une tournée provinciale, ce qu’il avait rejeté.
Le 25 mai, outre M. Katumbi, la police a empêché les candidats de l’opposition Martin Fayulu, Delly Sesanga, Matata Ponyo et leurs militants de se rassembler devant le siège de la Commission électorale nationale indépendante (CENI). Les autorités leur avaient auparavant ordonné de ne pas y tenir le sit-in qu’ils avaient prévu pour protester contre ce qu’ils ont décrit comme un « processus électoral chaotique ».
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Les leaders de l’opposition Martin Fayulu (droite) et Moise Katumbi (gauche) lors d’une manifestation contre le processus électoral à Kinshasa, République démocratique du Congo, le 25 mai 2023. :copyright: 2023 Justin Makangara/Anadolu Agency via Getty Images :copyright: 2023 Justin Makangara/Anadolu Agency via Getty Images
La police s’est servi de gaz lacrymogènes pour disperser la foule et a passé à tabac certains manifestants. Certains d’entre eux ont réagi en lançant des pierres et des projectiles sur les forces de sécurité. Deux jours plus tard, les autorités ont interdit une autre manifestation de l’opposition dans la ville de Lubumbashi, dans le sud-est du pays, et la police a bloqué certaines rues pour empêcher tout rassemblement.
Human Rights Watch a précédemment documenté la violente répression, le 20 mai dernier, d’une manifestation pacifique tenue par plusieurs partis d’opposition. La police a arrêté des dizaines de personnes et en a gravement blessé au moins 30, dont un enfant.
Le 30 mai, des agents du renseignement militaire ont arrêté le principal conseiller de M. Katumbi, Salomon Kalonda, sur le tarmac de l’aéroport de N’djili à Kinshasa alors qu’il s’apprêtait à embarquer sur un vol avec M. Katumbi et ses collaborateurs. M. Kalonda a été placé en détention au quartier général des renseignements militaires jusqu’au 10 juin, puis transféré à la prison militaire de Ndolo à Kinshasa. S’adressant aux médias le 5 juin, le conseiller juridique à l'état-major des renseignements militaires, le lieutenant-colonel Kangoli Ngoli Patrick, a déclaré que M. Kalonda était accusé de possession illégale d’arme et d’atteinte à la sécurité de l’État. Il a soutenu que M. Kalonda avait été en contact avec le groupe armé M23 et ses soutiens rwandais « pour renverser le pouvoir en place en République démocratique du Congo par tous les moyens ».
Le 8 juin, des membres du gouvernement et les renseignements militaires ont organisé une réunion avec plusieurs ambassadeurs étrangers pour présenter ce qu’ils ont qualifié de preuves à l’appui de ces allégations. Le 14 août, M. Kalonda a été formellement inculpé pour trahison, de possession de documents classifiés et d’incitation du personnel militaire « à commettre des actes contraires à leur devoir ».
Le frère de M. Kalonda, Moïse Della, a déclaré à Human Rights Watch qu’après l’arrestation, la police avait perquisitionné les résidences de M. Kalonda à Kinshasa et Lubumbashi ainsi que certaines propriétés des membres de sa famille, notamment la maison de leur mère âgée de 85 ans. « Ils ont cassé son lit et les fenêtres de sa chambre ainsi que des armoires et un buffet », a déclaré M. Della. « Ils l’ont vraiment traumatisée. Elle est musulmane, mais ce vendredi-là, elle n’a pu aller prier à la mosquée…Ils ont saccagé sa maison et ils ont emporté ses cassettes du Coran. » Des agents du renseignement militaire ont également perquisitionné la résidence de M. Katumbi à Kinshasa.
L’arrestation et la détention de M. Kalonda et les perquisitions manifestement abusives des domiciles des membres de sa famille soulèvent de sérieuses inquiétudes quant aux efforts politiquement motivés pour intimider l’opposition politique, a déclaré Human Rights Watch. Des sources onusiennes et diplomatiques ont déclaré à Human Rights Watch qu’elles craignaient que l’arrestation de M. Kalonda ne réponde à des fins politiques.
Le 20 juin, des membres de la Garde républicaine, une unité militaire qui protège le président, ont arrêté un autre candidat de l’opposition à la présidence, Franck Diongo, à Kinshasa, l’accusant de détention illégale d’arme. Il a été placé en détention à l’état-major des renseignements militaires, puis transféré à la prison militaire de Ndolo le 8 juillet à l’issue d’une audition devant un procureur militaire. Il a été remis en liberté sans inculpation le 15 juillet.
Chérubin Okende, député âgé de 61 ans et porte-parole du parti politique de M. Katumbi, a été retrouvé tué par balle dans sa voiture à Kinshasa le 13 juillet. Le gouvernement congolais a rapidement procédé à deux arrestations, dénonçant cet « assassinat » et annonçant une enquête impliquant « les services de renseignement de pays amis » pour garantir la transparence.
Des experts médico-légaux et des policiers de la Mission des Nations Unies pour la stabilisation au Congo (MONUSCO) ainsi que des experts sud-africains et belges prêtent apparemment assistance aux enquêteurs congolais, selon un proche de M. Okende et des sources onusiennes et diplomatiques. L’enquête sur le meurtre de Chérubin Okende devrait être crédible, impartiale et transparente et tous les responsables devraient être dûment poursuivis en justice, a souligné Human Rights Watch.
Dans plusieurs affaires récentes, le système judiciaire congolais et les agences de sécurité de l’État – notamment les services de renseignement, la police et la Garde républicaine – ont agi avec partialité, a constaté Human Rights Watch. Dans un mémorandum adressé à la Commission nationale des droits de l’homme le 15 juillet, plusieurs organisations de la société civile congolaise ont appelé le gouvernement à mettre fin aux arrestations et détentions arbitraires par les services de renseignement.
La répression gouvernementale a également un impact sur la couverture médiatique des partis d’opposition, a déclaré Human Rights Watch. Le 31 juillet, l’organisation de défense de la liberté de la presse [url=https://www.radiookapi.net/2023/08/01/actualite/societe/rdc-long-jed-sinquiete-de-la-multiplication-dactes-
"Justice : Appréhendé vendredi, le journaliste Peter Tiani relâché - 20.08.2023
= https://www.netic-news.net/justice-apprehende-vendredi-le-journaliste-peter-tiani-relache/
Peter Tiani a été libéré en début de soirée de ce samedi 19 août 2023, après avoir été auditionné au Commissariat de la police de Kinshasa sur l’affaire assassinat de Chérubin Okende, annoncent plusieurs sources proches du journaliste.
Le patron de la chaîne de télévision Perfect TV a passé une nuit en détention à l’IPKIN, après avoir été appréhendé vendredi 18 août 2023 par des agents de la police judiciaire alors qu’il se trouvait à son bureau de travail.
Selon des sources, le journaliste proche de Moïse Katumbi a été interpellé pour avoir refusé de répondre à plusieurs invitations de la justice qui enquête sur l’assassinat de Chérubin Okende.
"RDC : Le journaliste Peter Tiani libéré après 24 heures d'arrestation - 19/08/23
= https://libregrandlac.com/article/6817/rdc-:-le-journaliste-peter-tiani-libere-apres-24-heures-d-arrestation
Dans un rebondissement surprenant, le journaliste Peter Tiani a été remis en liberté seulement 24 heures après son arrestation. L'homme avait été auditionné en tant que témoin dans l'affaire de l'assassinat de Cherubin Okende, un dossier qui a amélioré de vives émotions dans le pays.
Peter Tiani est un journaliste reconnu en République démocratique du Congo pour ses critiques ouvertes et constantes à l'égard de la gouvernance du président Felix Tshisekedi. Son arrêt avait augmenté des inquiétudes concernant la liberté d'expression et la protection des journalistes dans le pays.
L'audition de Tiani s'est tenue dans un climat tendu, les partisans du journaliste se massant devant le tribunal en signe de soutien. Les autorités judiciaires ont prêté attention à ses déclarations et ont finalement conclu que ses révélations étaient sans lien direct avec l'assassinat de Cherubin Okende.
Cette décision de libération a été perçue par certaines comme une victoire pour la liberté de la presse et le droit à la critique. Cependant, d'autres se demandent si cette action ne sert qu'à calmer temporairement la situation et à éviter une éventuelle controverse internationale.
Interrogé après sa libération, Peter Tiani a exprimé sa gratitude envers tous ceux qui ont caractérisé leur solidarité envers lui. Il a également réitéré sa détermination à poursuivre son travail journalistique de manière indépendante et intègre, malgré les défis qu'il peut faire face.
La RDC reste un pays où les journalistes sont régulièrement confrontés à des difficultés dans l'exercice de leur profession. Les agressions physiques, les arrestations arbitraires et les intimidations sont malheureusement monnaie courante pour ceux qui osent évoquer des sujets sensibles.
Il est essentiel que les autorités congolaises continuent de garantir la liberté de la presse et la sécurité des journalistes. Les médias jouent un rôle crucial dans le bon fonctionnement d'une démocratie en fournissant une information objective et en exposant les abus de pouvoir potentiel.
La libération de Peter Tiani ne doit pas être considérée comme une solution définitive à cette problématique. Les défis auxquels les journalistes congolais sont confrontés génèrent une attention continue et des mesures concrètes pour assurer leur sécurité et préserver leur intégrité professionnelle.
La communauté internationale, les organisations de défense des droits de l'homme et les institutions congolaises doivent travailler de concert pour garantir un environnement propice à la liberté de la presse et à une véritable démocratie en République démocratique du Congo.
"Kinshasa : libération du journaliste Tiani, après un jour de détention
- 21/08/2023
= https://www.radiookapi.net/2023/08/21/actualite/societe/kinshasa-liberation-du-journaliste-tiani-apres-un-jour-de-detention
Journaliste et Directeur général du Perfect Tv, Peter Tsiani a été libéré, samedi 19 aout, un jour après sa détention au cachot de la police provinciale de Kinshasa.
Des sources affirment qu’il a été entendu sur l’affaire du feu député Chérubin Okende.
Peter Tiani a été interpelé vendredi 18 aout aux installations de sa télévision, dans la commune de la Gombe.
Selon son avocat, Me Hervé Diakiese, le journaliste était à la disposition de la commission d’enquête sur l’assassinat du feu député national Cherubin Okende.
Cet avocat a regretté que son client ait été interpellé assez brutalement.
= https://mbote.cd/actualites/politique/kinshasa-le-journaliste-peter-tiani-remis-en-liberte/141118/?amp
"
"ARRÊTE PUIS RELÂCHÉ 24H APRÈS, LE JOURNALISTE PETER TIANI FAIT LE RÉCIT DE SA DÉTENTION- 24.08.2023"
"ASOLOLI NA Merveille BAELENGE TEMOIN DE L'ÉVÉNEMENT FAIT DES RÉVÉLATIONS. PETER TIANI AUX ARRÊTS - 19.08.2023
"URGENT! PETER TIANI EST LIBRE. NICO FAY APESI BA GRAVES RÉVÉLATIONS SUR LE COMPLOT DU RÉGIME UDPS - 19.08.2023
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
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