A propos de 3 députés séquestrés par un libannais.

Fin de session parlementaire laborieuse à l’Assemblée nationale. La motion portant séquestration de trois députés par un sujet libanais suscite désormais plusieurs interrogations sur les valeurs intrinsèques de certains élus, au-delà de toute la classe politique. Car, la magouille est mise à nu, jetant ainsi le discrédit sur les institutions nationales.

Coup de théâtre samedi à l’Assemblée nationale à l’audition du rapport de la Commission ad hoc mise en place pour enquêter sur la séquestration de trois députés par un sujet libanais, Zaïdam, non autrement identifié.Introduisa nt le rapport de la commission, l’honorable Roger Lumbala, président de la commission et auteur de la motion en rapport avec la séquestration des trois députés, Francis Kalombo, Gérard Mulumba alias Gekoko et Roger N’singi, président de l’Assemblée provinciale de Kinshasa, a quasiment dédit sa motion, la vidant de sa substance. Il a présenté une vision contraire des faits, accusant quasiment les députés d’avoir cherché à user du trafic d’influence auprès du sujet libanais. Il s’est, par ailleurs, empressé de retirer tout ce qu’il avait dit sur son collègue Katumba Mwankwe qui aurait fait libérer le sujet libanais. Pas un seul mot sur la « séquestration » de trois députés.
Deuxième coup de théâtre : la lecture tout aussi laborieuse du rapport inaudible de cette commission. Une première version d’un rapport décousu que le rapporteur avait du mal à lire, obligeant ainsi le président de l’Assemblée nationale, Vital Kamerhe, à interrompre la séance pour permettre à la commission de bien mettre en musique son rapport. Stupéfaction dans la salle. Consternation parmi les observateurs qui ne comprenaient plus rien dans ce revirement de la situation.
Mais la partie devient intéressante lorsque dans l’après-midi de ce même samedi, les députés Francis Kalombo et Gérard Mulumba tiennent un point de presse pour apporter d’autres éléments d’information sur cette affaire. Ils persistent et signent : ils ont été bel et bien séquestrés par le Libanais Zaïdam. Grande est leur surprise de constater que la commission n’en fait pas mention dans son rapport.
TRAFIC D’INFLUENCE
Que s’est-il passé pendant l’enquête ? Pourquoi initier une motion dans la précipitation, proférer des accusations non fondées avant de remettre subitement en cause la substance de cette même motion ? Y a-t-il eu oui ou non séquestration ?
Devant une situation aussi scandaleuse, la clarté des faits est recommandée. On ne peut se permettre un comportement léger qui frise de la magouille. Dans un cas comme dans l’autre, rien n’autorise un sujet libanais de «séquestrer » des députés, si séquestration y a eu. Tout ce qu’il avait à faire consistait à saisir les autorités compétentes pour dénoncer cet harcèlement, si également harcèlement il y a eu.
En plus, la Commission devrait expliquer cette interférence de certaines personnalités citées dans cette situation. Comment étaient-elles au courant et qu’elle a été leur niveau d’intervention ? Ces interrogations, une fois de plus, avaient toutes leur importance pour autant qu’elles dégagent clairement la situation.
Les déclarations accablantes faites par les deux députés dans leur point de presse jettent, si besoin en est encore, davantage de discrédit sur la classe politique. Même constat si ces élus du peuple auraient usé de leur pouvoir pour s’adonner à un trafic d’influence.
Mais en attendant, les députés Francis Kalombo et Gérard Mulumba ne décolèrent pas. Ils persistent et signent : ils ont été séquestrés. Ensuite, ils ont promis des «déballages » pour dénoncer des « anti-valeurs » au sein de leur parti, des personnes qui collaborent avec des «étrangers pour nuire aux intérêts » du peuple congolais. Car pour eux, le silence de leur parti, le PPRD (parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie) serait synonyme de complicité. C’est grave. Très grave même. Aussi, se proposent-ils d’organiser une marche dans les tout prochains jours pour dénoncer les anti-valeurs au sein de ce parti. Ce qui n’ira pas sans conséquence sur la coalition PPRD et ses partenaires réunis au sein de l’Alliance pour la majorité présidentielle, AMP. Comme pour joindre l’acte à la parole, le député provincial Gérard Mulumba a annoncé sa ferme décision de démissionner de toutes les fonctions qu’il exerce au sein du PPRD. Il est, on le sait, président de la section PPRD/Limete.
DISCREDIT
Les révélations faites autour de la séquestration des trois députés mettent à nu un comportement inadmissible de certains acteurs de la classe politique. Nombreux d’entre eux excellent dans le trafic d’influence sur fond de la magouille. Ajouter à cela, une certaine incompétence dans le traitement et l’analyse des faits. L’honorable Tambwe Mwamba a relevé ce constat dans son intervention. Sinon, la « Commission Roger Lumbala » ne serait pas revenue par deux fois sur son rapport pour une meilleure présentation des faits.
Pourquoi dénoncer une situation dont on ne maîtrise pas les tenants et les aboutissants ? Précipitation ? Question de solidarité et de bonne foi ? Autant d’interrogations. Mais quelque chose qui se conçoit bien s’énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément.
Evidemment, de telles bavures inadmissibles ne peuvent que jeter du discrédit sur toute la classe politique, au-delà sur les institutions nationales. Par ignorance et incompétence, sans maturité politique, l’on prête le flanc à tous ceux qui n’attendent que de telles opportunités pour tirer à boulets rouges sur la classe politique congolaise ainsi que les animateurs des institutions de la République.
Non. Il fait arrêter ce théâtre de chez-nous de mauvais goût, nettoyer les écuries d’Augias pour un véritablement changement. En attendant, l’Assemblée nationale a adopté le rapport de la Commission ; qu’il n’y a pas eu séquestration et qu’il a été approuvé que la poursuite judiciaire se poursuive à l’endroit des trois députés et du sujet libanais pour déterminer la part de responsabilité .

Source; le potentiel

tatilôtétatoux.

Ils font pitiés balingaki mba escroquer libanais et ça s'est mal passé bango basila nsoni.

Il y a plus importants que leurs conneries qui ne finiront jamais. et ça se permet de se faire élire députés avec des salaires de 4000 dollars et des grosses bagnoles.

TOLEKA

LE CONGO EST 1 ET INFDIVISIBLE
FIERE d'ETRE CONGOLAISE
CONGOLAIS LAMUKA

C'est bizzarre tous les députés sont Kinois bazongaka mba provinces na bango te???

Malheureusement cette "mauvaise-bonne" séquestration des députés reconnus depuis longtemps vrais délinquants
qui n'ont donc logiquement place dans un bon Parlement et qui sans doute opéraient en vrais trafiquants d'influence
va réleguer dans les oublette une autre tare de nos gouvernants : celle d'avoir vendu un bon patrimoine du pays
aux étrangers dont les libanais et autres mafieux indo-pakistanais...

Mais oui Katumba comme beaucoup dans l'entourage de notre Kanambe National copinent utilement contre des sommes
importantes avec ses gens pour leur assurer parrainage, protection et libres actes délictuels à travers leurs affaires !
Nous devrions l'avoir aussi en tête !


Compatriotiquement!

Ca tient tout simplement du rocombolesque !
Toujours cet écart entre le discours et les actes ! Quoi ?
Ayons la foi !
Croyons que la fin de l'impunité est révoulue comme on nous le prêcher ici il n'ya pas si longtemps.

RDC-Kinshasa, LUNDI 16/06/2008
REVUE DE LA PRESSE CONGOLAISE DE CE LUNDI 16 JUIN 2008
Deux sujets intéressent les tabloïds kinois en ce début de semaine :
1. l’exclusion de Godefroid MAYOBO du PALU et du Gouvernement et
http://www.digitalcongo.net/article/51971
2. L'AFFAIRE «GECOCO» QUALIFIÉE DE RACKET PAR LA COMMISSION LUMBALA
http://www.groupelavenir.net/spip.php?article18775
_________
TOBOYI LOKUTA !
TOBOYI INTOLÉRANCE !
TOBOYI COMPLAISANCE !
TOBOYI NYUNGU-NYUNGU !
TOBOYI COMPROMISSION !
TOBOYI CULTE DE LA RUMEUR !
TOBOYI PARESSE INTELLECTUELLE !
TOBOYI APOLOGIE DE LA MÉDIOCRITÉ !
TOBOYI MALHONÊTETÉ INTELLECTUELLE !
TOBOYI DICTATURE DE LA PENSÉE UNIQUE !

*CNMM
Le Patriote-Soldat du Peuple RDCongolais

http://www.groupelavenir.net/spip.php?article18775



*Les deux députés sont déférés devant la Commission de discipline du Parti



Il s’est tenu hier lundi 16 juin 2008 une réunion extraordinaire du Comité exécutif national du Parti pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD) présidé par son Secrétaire général, M. Evariste Boshab. La réunion qui était élargie aux députés et sénateurs a eu à se pencher au problème brûlant de l’actualité, à savoir l’affaire de la séquestration par un sujet libanais des honorables députés, membres du PPRD, Francis Kalombo (national) et Gérard Mulumba alias Gecoco (provincial) .

Après que M. Evariste Boshab ait retracé le rappel et la chronologie des faits tels qu’ils sont connus du PPRD, les participants à la réunion ont pris des mesures sévères dont celle de déférer les intéressés devant la Commission de discipline du Parti pour être entendus et condamnent avec la dernière énergie leur comportement. En même temps, une mise en garde a été solennellement adressée à tous les cadres et membres du Parti contre des actes d’indiscipline ou de dénigrement à l’endroit du Parti. Pour en savoir plus, nous publions ci-dessous dans son intégralité le compte-rendu de cette réunion qui a été lu à l’intention de la presse par le porte-parole du Comité exécutif national, M. René Sébastien Bofaya Botaka.

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tatilôtétatoux.

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tatilôtétatoux a écrit:http://www.groupelavenir.net/spip.php?article18775



*Les deux députés sont déférés devant la Commission de discipline du Parti



Il s’est tenu hier lundi 16 juin 2008 une réunion extraordinaire du Comité exécutif national du Parti pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD) présidé par son Secrétaire général, M. Evariste Boshab. La réunion qui était élargie aux députés et sénateurs a eu à se pencher au problème brûlant de l’actualité, à savoir l’affaire de la séquestration par un sujet libanais des honorables députés, membres du PPRD, Francis Kalombo (national) et Gérard Mulumba alias Gecoco (provincial) .

Après que M. Evariste Boshab ait retracé le rappel et la chronologie des faits tels qu’ils sont connus du PPRD, les participants à la réunion ont pris des mesures sévères dont celle de déférer les intéressés devant la Commission de discipline du Parti pour être entendus et condamnent avec la dernière énergie leur comportement. En même temps, une mise en garde a été solennellement adressée à tous les cadres et membres du Parti contre des actes d’indiscipline ou de dénigrement à l’endroit du Parti. Pour en savoir plus, nous publions ci-dessous dans son intégralité le compte-rendu de cette réunion qui a été lu à l’intention de la presse par le porte-parole du Comité exécutif national, M. René Sébastien Bofaya Botaka.



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tatilôtétatoux.

Eeeeeeeeeeet Op ...Dans les placards ...
Affaire classee !!!

L’honorabilité des élus : un fonds de commerce ?
(Jean N’Saka wa N’Saka)

Un député provincial se fait séquestrer par un homme d’affaires étranger à l’intérieur de son établissement. Ce député appelle au secours son ami député national qui accourt accompagné d’un autre député, et tous les deux se font aussi séquestrer. Ils sont maintenant trois « Honorables » à la merci de cet homme d’affaires étranger. Un ministre provincial, alerté par le même député provincial qui s’estimait en danger, s’amène également sur les lieux. L’histoire est invraisemblable, trop rocambolesque pour être croyable. Et pourtant, l’affaire a été montée en épingle toute la semaine passée par plusieurs organes de presse de Kinshasa, en faisant la «Une» de leurs éditions successives. L’Assemblée nationale en a été tout autant émue qu’elle a constitué sans tarder une commission qui devait s’enquérir de cette situation, et faire rapport en plénière. La plupart des commentaires faits jusque-là à propos de cette affaire, semblaient en général à priori prendre fait et cause pour le député provincial séquestré et ceux qui sont allés à son secours. Le trait caractéristique de ces commentaires est que leurs auteurs trouvent « révoltant et inadmissible » qu’un étranger puisse se permettre de séquestrer un député et ses collègues qui sont allés à sa rescousse.

http://lepharerdc.com/www/index_view.php?storyID=5345&rubriqueID=4

F.Kalombo, G. Mulumba et R. Nsingi menacés de perdre leurs mandats
(Dominique Mukenza)

Attendu initialement le jeudi 12 juin, puis le samedi, c’est hier dimanche que les députés ont pris connaissance du rapport d’enquête sur l’affaire de séquestration des élus par un sujet libanais. Avant d’en débattre et lever l’option.
On retiendra du rapport de la commission d’enquête instituée à ce sujet que toutes les personnalités citées dans l’affaire à même d’apporter un éclairage au dossier, ont entendues, à l’exception du député national Francis Kalombo en déplacement au moment de l’enquête.

Parmi les personnes auditionnées par la commission, on trouve M. Alain Ilunga (le libérateur du Libanais en plein interrogatoire), M. Zeidan (patron de la société CIDI) et son avocat, le ministre provincial de l’Intérieur, le magistrat instructeur, les inspecteurs judiciaires de parquets, le député provincial Gérard Mulumba dit « Gecoco », les députés nationaux Gaston Musemena et Evariste Boshab, le président de l’Assemblée provinciale Roger Nsingi, etc.
Sur base d’examen fait des déclarations des uns et des autres, la commission a émis quelques avis et considérations cinq au total.
Premier constat : l’acte générateur de la mission d’enquête a été signée en violation du règlement intérieur de l’assemblée provinciale, spécialement en son article 188. C’est-à-dire que l’idée de la mission n’a jamais été discutée ni en plénière ni au niveau du bureau ou moins par un quelconque groupe parlementaire conformément à la loi.
C’est le président de l’assemblée provinciale, Roger Nsingi, qui prétend avoir signé un ordre de mission à la demande de G. Mulumba sans toutefois présenter une moindre preuve.

http://lepharerdc.com/www/index_view.php?storyID=5347&rubriqueID=9

Des escrocs au pouvoir !
(Jacques Kimpozo Mayala)

L’affaire « Gecoco », présentée au départ comme le feuilleton de la séquestration d’un député national (Francis Kalombo) et d’un député provincial (Gérard Mulumba), a livré ses secrets hier à la plénière de l’Assemblée Nationale. Le sentiment général est que des compatriotes, réputés élus du peuple, ont tiré par le bas non seulement deux institutions délibérantes, mais aussi l’image de tout un pays. Grâce aux maladresses de Roger Nsingi, émetteur d’un ordre de mission visiblement complaisant pour une enquête à réaliser par un seul individu et aux erreurs stratégiques de Gecoco et Francis Kalombo dans la concession de l’ex-Renapi, la Commission Lumbala a pu percer le mystère de ce qu’elle a qualifiée, au finish, d’une opération de racket.

http://lepharerdc.com/www/index_view.php?storyID=5348&rubriqueID=5

Je me demande si c'est pas un moyen de proteger Katumba Mwanke dont le nom est cite dans cette affaire coe parapluie du Libanais. Peut etre qu'il y a une autre facette de cette histoire.

*** Excusez pour le copier-coller. J'ai pas le lien. On me l'a envoyé dans ma boîte

Francis Kalombo et Gekoko Mulumba exclus du PPRD !
(La Prospérité 09/07/2008)
C’était une décision très attendue, après que l’Assemblée Nationale ait statué sur les démêlées survenues entre Zaidan, un homme d’affaires libanais opérant en RD. Congo, et les Honorables Francis Kalombo et Gekoko Mulumba.
Le Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie, par la voix de son Porte-Parole, M. Bofaya, a levé les dernières options. Désormais, ces deux Honorables Députés sont temporairement exclus. Ils sont, en outre, déchus de leurs fonctions et interdits d’engager le parti présidentiel, pendant toute la durée de leur exclusion.
Les traits tirés pèsent sur leurs têtes dans la mesure où la justice s’en est mêlée. Au jour d’aujourd’hui, les investigations se poursuivent alors que le procès est ouvert. Il va sans dire que dans les jours à venir, l’opinion sera certainement édifiée sur les tenants et les aboutissants de cette affaire qui n’a fait que ternir davantage l’image du parti dont Kabila Joseph est l’Autorité morale.
Tout porte à croire que cette sanction, longtemps mûrie, reste un leçon pour les inconditionnels du sérail présidentiel qui se croient au-dessus de la loi et des institutions de la République. La question avait, en son temps, fait couler beaucoup d’encre et de salive.
Un des deux, après avoir empoché 25.000 USD, avait jugé utile de revenir sur le lieu de son forfait.
Il était question, pour lui, avait-on laissé entendre, de tenter une nouvelle rafle qui, malheureusement, avait tourné au vinaigre ; le libanais ayant pris ses dispositions.
Aux dires d’un certain Alexis Thambwe Mwamba, Député National élu de son Maniema natal, des escrocs de grand chemin, à l’instar de Kalombo et de son colistier Mulumba alias Gekoko, n’avait aucun mérite de siéger au sein de la chambre des Représentants, au Palais du peuple, ni à l’assemblée Provinciale de Kinshasa.
Fini donc l’aventure. Il ne reste qu’à la justice de jouer son rôle et de dire le droit, dans cette ténébreuse affaire.
D’ores et déjà, des appels de pied sont lancés aux juges contre toute tentative de corruption. C’est le moment, soutiennent plusieurs langues, de mettre en action la volonté du Président Kabila, de combattre l’impunité. L’exemple doit venir d’en haut. Kalombo et Mulumba ont été pris, la main dans le sac. Leur complicité a été telle que les explications qu’ils fournissent sont de nature à faire rire les vaches. En tout cas, la justice doit frapper de telle sorte que les portes de la prison de Makala, toujours ouvertes, les accueillent, sans le moindre atermoiement.

LPM
09-07-2008 - 01:36:01

tatilôtétatoux.

Je viens de voir le lien de l'autre côté : http://www.laprosperiteonline.net/affichage_article.php?id=5322&rubrique=La%20Une

tatilôtétatoux.