les contacts avec les morts 'la haute magie'
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les contacts avec les morts 'la haute magie'
Part (1)
La mort est un fantôme de l'ignorance ; elle n'existe pas : tout est vivant dans la nature, et c'est parce que tout est vivant que tout se meut et change incessamment de formes.
La vieillesse est le commencement de la régénération ; c'est le travail de la vie qui se renouvelle, et le mystère de ce que nous appelons la mort était figuré chez les anciens par cette fontaine de Jouvence où l'on décrépit et d'où l'on sort enfant.
Le corps est un vêtement de l'âme. Lorsque ce vêtement est complètement usé ou gravement et irréparablement déchiré, elle le quitte et ne le reprend plus. Mais lorsque, par un accident quelconque, ce vêtement lui échappe sans être usé ni détruit, elle peut, en certain cas, le reprendre soit par son propre effort, soit avec l'assistance d'une autre volonté plus forte et plus active que la sienne.
La mort n'est ni la fin de la vie ni le commencement de l'immortalité ; c'est la continuation et la transformation de la vie.
Or, une transformation étant toujours un progrès, il est peu de morts apparents qui consentent à revivre, c'est-à-dire à reprendre le vêtement qu'ils viennent de quitter. C'est ce qui rend la résurrection une des œuvres les plus difficiles de la haute initiation. Aussi le succès n'en est-il jamais infaillible et doit-il être regardé presque toujours comme accidentel et inattendu. Pour ressusciter un mort, il faut resserrer subitement et énergiquement la plus forte des chaînes d'attraction qui puissent le rattacher à la forme qu'il vient de quitter. Il est donc nécessaire de connaître d'abord cette chaîne, puis de s'en emparer, puis de produire un effort de volonté assez grand pour la resserrer instantanément et avec une puissance irrésistible.
Il est certain que les images des morts apparaissent aux personnes magnétisées qui les évoquent ; il est certain aussi qu'elles ne leur révèlent jamais rien des mystères de l'autre vie. On les revoit telles qu'elles peuvent être encore dans le souvenir de ceux qui les ont connues, telles que leurs reflets sans doute les ont laissées empreintes dans la lumière astrale. Quand les spectres évoqués répondent aux questions qu'on leur adresse, c'est toujours par les signes ou par les impressions intérieure et imaginaire, jamais avec une voix qui frappe réellement les oreilles ; et cela se comprend assez : comment une ombre parlerait-elle ? Avec quel instrument ferait-elle vibrer l'air en le frappant de manière à faire distinguer les sons ?
On éprouve cependant des contacts électriques lors des apparitions, et ces contacts semblent quelquefois produits par la main même du fantôme ; mais ce phénomène est tout intérieur et doit avoir pour cause unique la puissance de l'imagination et les affluences locales de la force occulte que nous appelons lumière astrale. Ce qui le prouve, c'est que les esprits, ou du moins les spectres prétendus tels, nous touchent bien parfois, mais qu'on ne saurait les toucher, et c'est une des circonstances les plus effrayantes des apparitions, car les visions ont parfois une apparence si réelle, qu'on ne peut sans être ému sentir que la main passe à travers ce qui nous semble un corps sans pouvoir rien toucher ni rencontrer.
Les évocations doivent toujours être motivées et avoir un but louable ; autrement, ce sont des opérations de ténèbres et de folies, très dangereuses pour la raison et la santé. Évoquer par pure curiosité et pour savoir si l'on verra quelque chose, c'est être disposé d'avance à se fatiguer en pure perte. Les hautes sciences n'admettent ni le doute ni les puérilités.
Le motif louable d'une évocation peut être ou d'amour ou d'intelligence.
Source: La haute magie "BOTD''
SpirituS
Koyeba ezali Kobika ya ndambu
La mort est un fantôme de l'ignorance ; elle n'existe pas : tout est vivant dans la nature, et c'est parce que tout est vivant que tout se meut et change incessamment de formes.
La vieillesse est le commencement de la régénération ; c'est le travail de la vie qui se renouvelle, et le mystère de ce que nous appelons la mort était figuré chez les anciens par cette fontaine de Jouvence où l'on décrépit et d'où l'on sort enfant.
Le corps est un vêtement de l'âme. Lorsque ce vêtement est complètement usé ou gravement et irréparablement déchiré, elle le quitte et ne le reprend plus. Mais lorsque, par un accident quelconque, ce vêtement lui échappe sans être usé ni détruit, elle peut, en certain cas, le reprendre soit par son propre effort, soit avec l'assistance d'une autre volonté plus forte et plus active que la sienne.
La mort n'est ni la fin de la vie ni le commencement de l'immortalité ; c'est la continuation et la transformation de la vie.
Or, une transformation étant toujours un progrès, il est peu de morts apparents qui consentent à revivre, c'est-à-dire à reprendre le vêtement qu'ils viennent de quitter. C'est ce qui rend la résurrection une des œuvres les plus difficiles de la haute initiation. Aussi le succès n'en est-il jamais infaillible et doit-il être regardé presque toujours comme accidentel et inattendu. Pour ressusciter un mort, il faut resserrer subitement et énergiquement la plus forte des chaînes d'attraction qui puissent le rattacher à la forme qu'il vient de quitter. Il est donc nécessaire de connaître d'abord cette chaîne, puis de s'en emparer, puis de produire un effort de volonté assez grand pour la resserrer instantanément et avec une puissance irrésistible.
Il est certain que les images des morts apparaissent aux personnes magnétisées qui les évoquent ; il est certain aussi qu'elles ne leur révèlent jamais rien des mystères de l'autre vie. On les revoit telles qu'elles peuvent être encore dans le souvenir de ceux qui les ont connues, telles que leurs reflets sans doute les ont laissées empreintes dans la lumière astrale. Quand les spectres évoqués répondent aux questions qu'on leur adresse, c'est toujours par les signes ou par les impressions intérieure et imaginaire, jamais avec une voix qui frappe réellement les oreilles ; et cela se comprend assez : comment une ombre parlerait-elle ? Avec quel instrument ferait-elle vibrer l'air en le frappant de manière à faire distinguer les sons ?
On éprouve cependant des contacts électriques lors des apparitions, et ces contacts semblent quelquefois produits par la main même du fantôme ; mais ce phénomène est tout intérieur et doit avoir pour cause unique la puissance de l'imagination et les affluences locales de la force occulte que nous appelons lumière astrale. Ce qui le prouve, c'est que les esprits, ou du moins les spectres prétendus tels, nous touchent bien parfois, mais qu'on ne saurait les toucher, et c'est une des circonstances les plus effrayantes des apparitions, car les visions ont parfois une apparence si réelle, qu'on ne peut sans être ému sentir que la main passe à travers ce qui nous semble un corps sans pouvoir rien toucher ni rencontrer.
Les évocations doivent toujours être motivées et avoir un but louable ; autrement, ce sont des opérations de ténèbres et de folies, très dangereuses pour la raison et la santé. Évoquer par pure curiosité et pour savoir si l'on verra quelque chose, c'est être disposé d'avance à se fatiguer en pure perte. Les hautes sciences n'admettent ni le doute ni les puérilités.
Le motif louable d'une évocation peut être ou d'amour ou d'intelligence.
Source: La haute magie "BOTD''
SpirituS
Koyeba ezali Kobika ya ndambu
Dernière édition par SpirituS le 30/7/2009, 6:15 pm, édité 3 fois
SpirituS
Re: les contacts avec les morts 'la haute magie'
(part 2)
Les évocations d'amour exigent moins d'appareil et sont de toutes manières plus faciles. Voici comment il faut y procéder :
On doit d'abord recueillir avec soin tous les souvenirs de celui ou de celle qu'on désire revoir, les objets qui lui ont servi et qui ont gardé son empreinte, et meubler soit une chambre où la personne ait demeuré de son vivant, soit un local semblable, où l'on mettra son portrait, voilé de blanc, au milieu des fleurs que la personne aimait et que l'on renouvellera tous les jours.
Puis il faut observer une date précise, un jour de l'année qui ait été, soit sa fête, soit le jour le plus heureux pour notre affection et pour la sienne, un jour dont nous supposons que son âme, quelque heureuse qu'elle soit ailleurs, n'a pu perdre le souvenir : c'est ce jour-là même qu'il faut choisir pour l'évocation, à laquelle on se préparera pendant quatorze jours.
Pendant ce temps, il faudra observer de ne donner à personne les mêmes preuves d'affection que le défunt ou la défunte avait droit d'attendre de nous ; il faudra observer une chasteté rigoureuse, vivre dans la retraite et ne faire qu'un modeste repas et une légère collation par jour.
Tous les soirs à la même heure, il faudra s'enfermer avec une seule lumière peu éclatante, telle qu'une petite lampe funéraire ou un cierge, dans la chambre consacrée au souvenir de la personne regrettée ; on placera cette lumière derrière soi et l'on découvrira le portrait, en présence duquel on restera une heure en silence ; puis on parfumera la chambre avec un peu de bon encens, et l'on en sortira à reculons.
Le jour fixé pour l'évocation, il faudra se parer dès le matin comme pour une fête, n'adresser le premier la parole à personne de la journée, ne faire qu'un repas composé de pain, de vin et de racines ou de fruits ; la nappe devra être blanche ; on mettra deux couverts et l'on rompra une part de pain qui devra être servi entier ; on mettra aussi quelques gouttes de vin dans le verre de la personne qu'on veut évoquer. Ce repas doit être fait en silence, dans la chambre des évocations, en présence du portrait voilé ; puis on emportera tout ce qui aura servi pour cela, excepté le verre du défunt et sa part de pain qui seront laissés devant son portrait.
Le soir, à l'heure de la visite habituelle, on se rendra dans la chambre en silence ; on y allumera un feu clair avec du bois de cyprès et l'on y jettera sept fois de l'encens en prononçant le nom de la personne qu'on veut revoir ; on éteindra ensuite la lampe et on laissera le feu mourir. Ce jour-là on ne dévoilera pas le portrait.
Quand la flamme sera éteinte, on remettra de l'encens sur les charbons, et l'on invoquera Dieu suivant les formules de la religion à laquelle appartenait la personne décédée et suivant les idées qu'elle avait elle-même de Dieu.
La suite ... viendra...
Les évocations d'amour exigent moins d'appareil et sont de toutes manières plus faciles. Voici comment il faut y procéder :
On doit d'abord recueillir avec soin tous les souvenirs de celui ou de celle qu'on désire revoir, les objets qui lui ont servi et qui ont gardé son empreinte, et meubler soit une chambre où la personne ait demeuré de son vivant, soit un local semblable, où l'on mettra son portrait, voilé de blanc, au milieu des fleurs que la personne aimait et que l'on renouvellera tous les jours.
Puis il faut observer une date précise, un jour de l'année qui ait été, soit sa fête, soit le jour le plus heureux pour notre affection et pour la sienne, un jour dont nous supposons que son âme, quelque heureuse qu'elle soit ailleurs, n'a pu perdre le souvenir : c'est ce jour-là même qu'il faut choisir pour l'évocation, à laquelle on se préparera pendant quatorze jours.
Pendant ce temps, il faudra observer de ne donner à personne les mêmes preuves d'affection que le défunt ou la défunte avait droit d'attendre de nous ; il faudra observer une chasteté rigoureuse, vivre dans la retraite et ne faire qu'un modeste repas et une légère collation par jour.
Tous les soirs à la même heure, il faudra s'enfermer avec une seule lumière peu éclatante, telle qu'une petite lampe funéraire ou un cierge, dans la chambre consacrée au souvenir de la personne regrettée ; on placera cette lumière derrière soi et l'on découvrira le portrait, en présence duquel on restera une heure en silence ; puis on parfumera la chambre avec un peu de bon encens, et l'on en sortira à reculons.
Le jour fixé pour l'évocation, il faudra se parer dès le matin comme pour une fête, n'adresser le premier la parole à personne de la journée, ne faire qu'un repas composé de pain, de vin et de racines ou de fruits ; la nappe devra être blanche ; on mettra deux couverts et l'on rompra une part de pain qui devra être servi entier ; on mettra aussi quelques gouttes de vin dans le verre de la personne qu'on veut évoquer. Ce repas doit être fait en silence, dans la chambre des évocations, en présence du portrait voilé ; puis on emportera tout ce qui aura servi pour cela, excepté le verre du défunt et sa part de pain qui seront laissés devant son portrait.
Le soir, à l'heure de la visite habituelle, on se rendra dans la chambre en silence ; on y allumera un feu clair avec du bois de cyprès et l'on y jettera sept fois de l'encens en prononçant le nom de la personne qu'on veut revoir ; on éteindra ensuite la lampe et on laissera le feu mourir. Ce jour-là on ne dévoilera pas le portrait.
Quand la flamme sera éteinte, on remettra de l'encens sur les charbons, et l'on invoquera Dieu suivant les formules de la religion à laquelle appartenait la personne décédée et suivant les idées qu'elle avait elle-même de Dieu.
La suite ... viendra...
SpirituS
Re: les contacts avec les morts 'la haute magie'
Oyo eza initiation to kaka information ya pamba Au nom de JESUS
Tsippora
Re: les contacts avec les morts 'la haute magie'
Tsippora a écrit:Oyo eza initiation to kaka information ya pamba Au nom de JESUS
Maman Tsippora na kobakisa au non de Jesus le Christ po Jesus ezalaki kombo na ye ya bomoto mais CHRIST nde kombo na ye
le grand prêtre des grands prêtres. ba lobaka soki okoti na cuisine ya ba chinois oko boya kolia biloko ba lambeli yo! Soki to tali ba soit disant miracles ya ba eglises kasi olandeli yango na sima oko boya ko kota ata na lupangu ya lingomba yango
Dernière édition par SpirituS le 30/7/2009, 11:05 pm, édité 1 fois
SpirituS
Re: les contacts avec les morts 'la haute magie'
mongo elombe a écrit:SANS EFFETS, AU NOM DE DIEU
Yaya ya baleki, soki olingi omona makamwisi ya mokonzi oyo azanga kombo luka liboso oyeba kombo na ye po Dieu ezali non commun!
To leka to to zela nanu
SpirituS
Re: les contacts avec les morts 'la haute magie'
C'etait juste pour rire hein
SpirituS a écrit:Tsippora a écrit:Oyo eza initiation to kaka information ya pamba Au nom de JESUS
Maman Tsippora na kobakisa au non de Jesus le Christ po Jesus ezalaki kombo na ye ya bomoto mais CHRIST nde kombo na ye
le grand prêtre des grands prêtres. ba lobaka soki okoti na cuisine ya ba chinois oko boya kolia biloko ba lambeli yo! Soki to tali ba soit disant miracles ya ba eglises kasi olandeli yango na sima oko boya ko kota ata na lupangu ya lingomba yango
Tsippora
Re: les contacts avec les morts 'la haute magie'
Idem
Tsippora a écrit:C'etait juste pour rire heinSpirituS a écrit:Tsippora a écrit:Oyo eza initiation to kaka information ya pamba Au nom de JESUS
Maman Tsippora na kobakisa au non de Jesus le Christ po Jesus ezalaki kombo na ye ya bomoto mais CHRIST nde kombo na ye
le grand prêtre des grands prêtres. ba lobaka soki okoti na cuisine ya ba chinois oko boya kolia biloko ba lambeli yo! Soki to tali ba soit disant miracles ya ba eglises kasi olandeli yango na sima oko boya ko kota ata na lupangu ya lingomba yango
SpirituS
Re: les contacts avec les morts 'la haute magie'
SpirituS a écrit:Part (1)
La mort est un fantôme de l'ignorance ; elle n'existe pas : tout est vivant dans la nature, et c'est parce que tout est vivant que tout se meut et change incessamment de formes.
La vieillesse est le commencement de la régénération ; c'est le travail de la vie qui se renouvelle, et le mystère de ce que nous appelons la mort était figuré chez les anciens par cette fontaine de Jouvence où l'on décrépit et d'où l'on sort enfant.
Le corps est un vêtement de l'âme. Lorsque ce vêtement est complètement usé ou gravement et irréparablement déchiré, elle le quitte et ne le reprend plus. Mais lorsque, par un accident quelconque, ce vêtement lui échappe sans être usé ni détruit, elle peut, en certain cas, le reprendre soit par son propre effort, soit avec l'assistance d'une autre volonté plus forte et plus active que la sienne.
La mort n'est ni la fin de la vie ni le commencement de l'immortalité ; c'est la continuation et la transformation de la vie.
Or, une transformation étant toujours un progrès, il est peu de morts apparents qui consentent à revivre, c'est-à-dire à reprendre le vêtement qu'ils viennent de quitter. C'est ce qui rend la résurrection une des œuvres les plus difficiles de la haute initiation. Aussi le succès n'en est-il jamais infaillible et doit-il être regardé presque toujours comme accidentel et inattendu. Pour ressusciter un mort, il faut resserrer subitement et énergiquement la plus forte des chaînes d'attraction qui puissent le rattacher à la forme qu'il vient de quitter. Il est donc nécessaire de connaître d'abord cette chaîne, puis de s'en emparer, puis de produire un effort de volonté assez grand pour la resserrer instantanément et avec une puissance irrésistible.
Il est certain que les images des morts apparaissent aux personnes magnétisées qui les évoquent ; il est certain aussi qu'elles ne leur révèlent jamais rien des mystères de l'autre vie. On les revoit telles qu'elles peuvent être encore dans le souvenir de ceux qui les ont connues, telles que leurs reflets sans doute les ont laissées empreintes dans la lumière astrale. Quand les spectres évoqués répondent aux questions qu'on leur adresse, c'est toujours par les signes ou par les impressions intérieure et imaginaire, jamais avec une voix qui frappe réellement les oreilles ; et cela se comprend assez : comment une ombre parlerait-elle ? Avec quel instrument ferait-elle vibrer l'air en le frappant de manière à faire distinguer les sons ?
On éprouve cependant des contacts électriques lors des apparitions, et ces contacts semblent quelquefois produits par la main même du fantôme ; mais ce phénomène est tout intérieur et doit avoir pour cause unique la puissance de l'imagination et les affluences locales de la force occulte que nous appelons lumière astrale. Ce qui le prouve, c'est que les esprits, ou du moins les spectres prétendus tels, nous touchent bien parfois, mais qu'on ne saurait les toucher, et c'est une des circonstances les plus effrayantes des apparitions, car les visions ont parfois une apparence si réelle, qu'on ne peut sans être ému sentir que la main passe à travers ce qui nous semble un corps sans pouvoir rien toucher ni rencontrer.
Les évocations doivent toujours être motivées et avoir un but louable ; autrement, ce sont des opérations de ténèbres et de folies, très dangereuses pour la raison et la santé. Évoquer par pure curiosité et pour savoir si l'on verra quelque chose, c'est être disposé d'avance à se fatiguer en pure perte. Les hautes sciences n'admettent ni le doute ni les puérilités.
Le motif louable d'une évocation peut être ou d'amour ou d'intelligence.
Source: La haute magie "BOTD''
SpirituS
Koyeba ezali Kobika ya ndambu
QU'EST-CE QUE LA MORT ?
La mort est une transition de l'âme dans d'autres plans de vie;un phenomene du sommeil définitif,qui transite tous les décédés dans d'autres horizon d'existence,d'autres régions d'au-delà avec une reforme des corps adaptée.Les morts vivent dans d'autres plans de dimensions differentes.C'est le corps qui reintegre la matiere.Le corps est poussiere.
La mort est un tunnel de ténèbre,un tunnel d'abime dont la transition n'est éclairée que par le degré de lumiere de toute âme en provenance du monde de la race humaine....
La mort est donc une cessation de vie,corps sans vie.
Quand il y a déces,la coutume traditionnelle de la sagesse Africaine universelle et commun à d'autres peuples du monde,veut que l'on rend un dernier hommage au defunt en organisant une soirée mortuaire ou la depouille est exposée,les amis et parents partagent une tasse de café ou un verre de Nsamba,dans un accompagnement de musique traditionnelle ancestrales ou chants religieux.
La mort est le revers de la vie et la vie est une theatrealité du monde visible animé par le monde invisible.
L'homme doit vivre avec le sacré de sa propre mort,car c'est son propre spectre de la mort qui lui donne la vie.
Une fois qu'un homme meurt,il revient en esprit....pour régénérer sa progeniture et la proteger............
La mort c'est Dieu lui même en grandeur nature.
Les morts ne sont pas morts,LA MORT N'EXISTE PAS SPIRITUELLEMENT,elle existe que sur le plan physique.L'esprit demeure toujours vivant dans d'autres spheres,d'autres plans d'existence.Lorsque nous mourrons,nous passons d'un monde à un autre.Nous transitons vers d'autres espaces de l'univers des âmes,dans l'au-delà.
Notez que la mort est en nous,enfouis dans l'ensemble de os et des cartilages qui constituent notre squelette.Le phenomene de la mort nourri la vie,la protege,la reprend et la reintegre dans le cosmos.
El-chaman
Re: les contacts avec les morts 'la haute magie'
Mwana ya Congo a écrit:trop de confusion !!!
Ainsi est la vie.
Quand il y a la CONFUSION essai de faire l'effort et en cherchant tu trouvera la FUSION.
L'un n'existe pas sans l'autre.
Si tu apercois qlq'1 d'ORDONNER dans la rue,sache qu'il etait auparavant DESORDONNER.
Pona meka ko expliquer.
J'ai dirais que SpirituS dans son topic avait cité un pretre catholique Abée louis constant,connu dans le millieu de l'occultisme europeen sous le nom d' Eliphas LEVI.
Il fut membre de la SRIA(societe rose crucienne Britanique).
Tu verra depuis a posta sujet oyo na reponda te puisque nazalaki ko trouvé yango inutile.
Mais en ce moment une question philosophique sur la mort me tourmente.(j le mis sur mon humeur)=COMMENT POUVEZ-VOUS DIRE QU'UNE PERSONNE EST MORT,SI VOUS N'ETEZ PAS VOUS MÊME MORT ?
Voila j cherche juste à resoudre cette question qui est plus philosophique que Mystique.
El-chaman
Re: les contacts avec les morts 'la haute magie'
COMMENT POUVEZ-VOUS DIRE QU'UNE PERSONNE EST MORT,SI VOUS N'ETEZ PAS VOUS MÊME MORT ?
Voila j cherche juste à resoudre cette question qui est plus philosophique que Mystique.
la confusion ici c'est dans le sens des termes employé, le sens attribué au mot MORT...
lorsque quelqu'un dit que la MORT n'existe pas... il parle de Quel mort, selon quel philosophie ? selon quel concept ? voila la source de la confusion !
Lorsque tu dis Comment pouvez vous dire que X est mort si vous n'etes pas vous meme mort? il s'agit ici de quelle mort ??? ce selon quel concept ? soki obandi nanu ko expliquer concept ya mort oyo ya yo te, e creer confusion ...
Mwana ya Congo
Re: les contacts avec les morts 'la haute magie'
Mwana ya Congo a écrit:COMMENT POUVEZ-VOUS DIRE QU'UNE PERSONNE EST MORT,SI VOUS N'ETEZ PAS VOUS MÊME MORT ?
Voila j cherche juste à resoudre cette question qui est plus philosophique que Mystique.
la confusion ici c'est dans le sens des termes employé, le sens attribué au mot MORT...
lorsque quelqu'un dit que la MORT n'existe pas... il parle de Quel mort, selon quel philosophie ? selon quel concept ? voila la source de la confusion !
Lorsque tu dis Comment pouvez vous dire que X est mort si vous n'etes pas vous meme mort? il s'agit ici de quelle mort ??? ce selon quel concept ? soki obandi nanu ko expliquer concept ya mort oyo ya yo te, e creer confusion ...
Oui tu as raison dans le sens ou la phrase qui se trouve dans mon humeur(du moment)si nous le prennons hors de son contexte cela va nous mettre dans l'embarras(confusion).
En verité cette phrase enigmatique et tiré de la philosophie orientale(tibetaine).
Muana ya Congo j'ai pense que lorsque qlq'1 dit que la mort n'existe pas,IL PARLE DE LA MORT PHYSIQUE qui n'est qu'une illusion pour les éveillés.
Grace à toi d'ailleurs(le faite que tu avais evoqué le mot CONFUSION aujourd'hui)je me suis mis à reflechir sur la phrase pour trouvé qlq chose et j'ai compris ceci:
SEUL LES GENS QUI SONT MORT SPIRITUELLEMENT PEUVENT DIRE D'UNE PERSONNE(cadavre)QU'IL EST MORT.LES GENS QUI SONT VIVANT(spirituellement)SAVENT TRES BIEN QUE CE QUE NOUS APPELLONS LES MORT VIVENT QUELQUE PART,ILS ONT JUSTE ABANDONNER LEUR CORPS PHYSIQUE.
MYC comment pourras-tu m'expliqué cette phrase de Jesus-Christ:
LAISSE LES MORTS ENTERRAIENT LES MORTS.(pcq a partir ya phrase oyo nde na tiré conclusion na ngai)
De quelle mort s'agit-il ici ?
Spirituel ou Physique ?
Car celui à qui Jesus s'adressait(je crois)il voulait allé enterré son pere ???physiquement.
Et Jesus de lui repondre"laisse les morts enterre les morts"
Comment un mort peut-il enterré un mort ?
El-chaman
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