LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC

trop fort Mathy... quel contraste ?

en passant, les travaux des 5 chantiers se sont interrompu depuis peu apres le 30 juin !

MYC,

Ata vous meme ko....to loba to loba tse pasi ya ba ndeko na biso ba kanambistes bazali ko mona yango tse !

5 chantiers à Kin : vacances ou abandon ?


L’inquiétude ne fait que s’amplifier chez les Kinoises et Kinois, trois semaines
après les festivités grandioses ayant marqué le Cinquantenaire du pays.
L’agitation tient essentiellement au fait que toutes les activités se
sont brutalement arrêtées sur pratiquement tous les chantiers au
lendemain de cet événement historique. Les hommes et les engins ont
disparu du boulevard du 30 juin au centre de la ville, du boulevard
Lumumba à Limete, de l’avenue Mulele (ex-24 Novembre) entre la
Cathédrale du Centenaire et le rond-point Moulaert, etc.

Le syndrome des chantiers inachevés, dont Le Phare a fait état il y a une
semaine, semble se confirmer. Les maîtres d’ouvrage, les entrepreneurs
et leurs ouvriers s’étant retirés sans laisser le moindre message aux
usagers de la route, l’on se demande s’ils sont partis en vacances ou
s’ils ont plié bagages, sans crier gare. Tout dernièrement, chacun a
cru que le défilé d’engins lourds organisé par le groupe d’entreprises
chinoises sur les principales artères de la ville était annonciateur du
redémarrage, à 100 Km à l’heure, des travaux d’aménagement et de
réhabilitation de la voirie urbaine.
Hélas, sur le boulevard du 30 Juin, « l’entonnoir » du rond-point
Socimat continue de jouer pleinement son rôle de goulot d’étranglement
du trafic automobile, singulièrement aux heures de pointe. L’éclairage
public, sur la même artère, reste approximative à la tombée de la nuit,
ce qui représente un risque permanent d’accident entre automobilistes
et entre ceux-ci et les piétons.
Dans le secteur du rond-point Moulaert, l’abandon de bandes inachevées,
dont les caillasses s’envolent à tout vent, gênent considérablement les
conducteurs et occasionnent régulièrement des embouteillages.

Kimp.
::::mediacongo.net:::

Mwana ya Congo a écrit: trop fort Mathy... quel contraste ?

en passant, les travaux des 5 chantiers se sont interrompu depuis peu apres le 30 juin !

Sept mille cent quatre-vingts ménages ont recouvré l’électricité...
Par Le Potentiel
au Katanga après 11 mois d’interruption. Les travaux de réhabilitation
ont été financés en fonds propres par la Snel à hauteur de 3 millions
de dollars. Ils ont consisté également en la fiabilisation du groupe 2
et de la ligne électrique qui va de Bendera à Kalemie. Profitant de la
même occasion, la province a lancé les travaux d’assainissement des
réseaux de distribution électrique dans les villes de Lubumbashi,
Likasi et Kolwezi. http://www.lepotentiel.com/afficher_..._article=98627

"Cinq Chantiers» :
Le temps de l’essoufflement?

° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5822
Les travaux de «modernisation» commencés sur le boulevard Lumumba sont subitement en arrêt. Le chantier est à l’abandon. Les engins des travaux publics et les ouvriers se sont évaporés. La communication est rarissime de la part des dirigeants congolais en général et de la Présidence de la République en particulier peu habitués à rendre compte à la population..."



"The mirage of democracy in the DRC
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5814
Mvemba Phezo Dizolele is a distinguished visiting fellow at Stanford University’s Hoover Institution and an African Studies visiting scholar at the Johns Hopkins University School of Advanced International Studies. He is the author of a forthcoming biography, Mobutu: The Rise and Fall of the Leopard King (2011).
Fifty years ago, on 30 June 1960, the Democratic Republic of Congo (DRC) was granted independence from Belgium. The event came with little warning, and the Belgians withdrew quickly, leaving Congo with a poorly educated population and virtually no preparation for self-rule. Between 1960 and 1965, the newly independent country had to try to form a viable state while contending with various secessionist movements, ethnic conflicts, and the commercial interests of foreign companies. By 1965, the DRC had fallen under the dictatorship of General Joseph Mobutu, which would last for more than three decades. In 1997, as the dictatorship was collapsing, the DRC (then known as Zaire) exploded into a complex civil war that also involved most of its neighboring countries..."


Compatriotiquement!

MISALA YA 5 CHANTIERS NA AVENUE MUSHI ETELEMI


No comment !

Ne vous en faites pas. Ils sont en vacances de construction !

Chantier Eau et Electricité : Joseph Kabila donne des orientations à Gilbert Tshiongo










Le Chef de l’Etat, Joseph Kabila Kabange a effectué une visite surprise
hier au ministère de l’Energie, situé dans l’immeuble de la Regideso,
sur le boulevard du 30 juin. Au menu, donner des orientations
essentielles au ministre Gilbert Tshiongo, afin d’augmenter le taux de
desserte en eau potable et en électricité dans toute la République
démocratique du Congo en général, et à Kinshasa en particulier.
Ceci, parce que le chantier Eau et Electricité est une composante non
négligeable des cinq chantiers de la République. Aussi, après les
festivités du cinquantenaire de l’indépendance de la République, il
fallait montrer à la population que les travaux ne se sont pas arrêtés
là, ils vont continuer pour le bonheur de tous les bénéficiaires. A ce
sujet, le Chef de l’Etat a recommandé la vitesse et l’accélération des projets.
Pour bien passer le message, une réunion de plus de deux heures a été
convoquée autour du Chef de l’Etat, et qui a regroupé outre le ministre
de l’Energie Gilbert Tshiongo, mais aussi les Administrateurs délégués
généraux (ADG) de la Régie de distribution d’eau (Regideso) et de la
Société nationale d’électricité (Senl), sans oublier les membres de
cabinet du ministre de l’Energie. Au sortir de cette grande réunion, le
ministre Tshiongo a fait savoir qu’il s’agissait d’une journée
historique à placer dans les annales du ministère de l’Energie. " C’est
une grande journée, car il nous est permis de recevoir le Chef de
l’Etat Joseph Kabila qui est venu nous donner des orientations sur le
secteur Eau et Electricité ", a indiqué le ministre, avant d’ajouter
que ceci signifie tout simplement que ce chantier est en marche.
Soulignons aussi que le Chef de l’Etat, à travers cette visite
surprise, est venu donner des recommandations, afin d’augmenter le taux
de desserte en eau potable, mais aussi inviter le ministre de l’Energie
et son équipe, de donner le maximum possible pour résoudre le problème
d’eau et d’électricité qui se pose avec acquitté à Kinshasa et à
l’intérieur du pays.
Au cours de cette même intervention à la presse, le ministre Gilbert
Tshiongo a annoncé qu’incessamment, il se réunira avec son équipe pour
faire le point et pour voir quelle réponse donnée à l’appel du Chef de
l’Etat. Dans le même sens, un chronogramme sera élaboré pour bien
suivre l’exécution des différents projets. D’ailleurs, dès aujourd’hui,
le ministre va s’adresser aux Gouverneurs de province présents à
Kinshasa, afin de leur faire part de ce qui a été décidé et leur
permettre de répercuter le message dans leurs provinces respectives.
Notons par ailleurs que le Chef de l’Etat Joseph Kabila a profité de
l’occasion pour se rendre compte de l’image du boulevard de 30 juin
après sa réhabilitation.

Jean-Marie Nkambua

GROUPELAVENIR.CD 3.0 || Portail du Groupe de Presse l'Avenir

Ruée sur un puits d'eau ce dimanche 25 juillet à Masina

Depuis deux jours, l’eau ne coule plus au robinet dans certains
quartiers de la capitale. La Régie de distribution d’eau potable,
Regideso, a annoncé une interruption de fourniture d’eau jeudi dernier.
Mais les habitants se plaignent de cette interruption qui perturbe la
vie dans ces quartiers.
L’interruption annoncée de fourniture d’eau perturbe la vie dans
certains quartiers de la ville pour la deuxième journée consécutive.
Dans les quartiers de l’extrême Est de Kinshasa, jeunes filles, garçons
et femmes, bidons ou seaux au bout des bras, se bousculent depuis tôt
ce matin dans des rares points d’eaux de Masina :<blockquote>«Nous souffrons ici à Tshangu. Il n’y a pas d’eau depuis 48 heures.
J’espérais trouver l’eau hier soir. Mais en vain. On ne sait pas
pourquoi ils (Ndlr: la Regideso) ont interrompu la fourniture »
</blockquote>Dans le bois non loin du pont Matete, à Lemba non loin de
la statue de Lumumba, des femmes s’agglutinent autour des puits d’eau
d’arrosage des potagers. Dans certains quartiers de la commune de
Bandalungwa, l’eau manque aussi.
L’annonce de rupture d’eau faite par la Regideso semble n’avoir pas été entendu.
Le président de l’Union des consommateurs du Congo, c’est trop facile
d’annoncer le rétablissement de la situatio. Georges Kombo Tonga Booke
explique :<blockquote>«Vous savez, c’est facile de dire aux gens de s’approvisionner. Mais
s’approvisionner pour deux jours, dans:certains quartiers trois jours
voire une semaine, avec quels moyens ? »
</blockquote>Le président de l’ Union des Consommateurs du Congo
appelle les nouveaux responsables du secteur de l’énergie à améliorer
les services dans ce secteur.
En attendant, disent les consommateurs kinois, l’eau c’est la vie, mais elle est absente dans leur vie depuis deux jours.
La Regideso promet…
Le directeur provincial de la Regideso Kinshasa promet d’améliorer la
communication de l’entreprise. Anaclet Ongi Mbuta s’engage à rétablir
la situation en début d’après midi. Il parle des travaux en cours dans l’usine:<blockquote>«
Jusqu’à maintenant, les travaux continuent. On termine dans une ou deux
heures. Les travaux portent sur le placement d’une grosse vanne qui
marque la séparation du réseau de l’Est avec le reste du réseau de la ville.»
</blockquote>Copyright Radio Okapi

"RDC-Chine :
Signature de deux nouveaux accords économique et financier
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5834
La Chine et la RDCongo ont signé samedi 24 juillet à Kinshasa deux nouveaux accords économique et financier d’un montant global de 100 millions de yuan dont la moitié est constitué d’un don, dont la nature n’a pas été révélée, et l’autre d’un prêt sans intérêt et sans contrepartie. La signature de ces accords a eu lieu à l’Hôtel du gouvernement en présence du Premier ministre congolais Adolphe Muzito et du Vice-Premier ministre chinois chargé des Affaires étrangères et de la coopération internationale, Dai Binguo, en séjour à Kinshasa depuis vendredi soi..."


"L’Afrique doit compter davantage sur la Chine,
selon l’UA

° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5832
L’Afrique doit davantage se tourner vers la Chine pour se développer, les financements de pays occidentaux et de la Banque mondiale étant soumis à trop de conditions et de délais, a déclaré samedi l’Union africaine.
Selon Maxwell Mkwezalamba, responsable des affaires économiques de l’Union africaine, le continent doit se débarrasser de sa dépendance envers les financements occidentaux
Nous dépendons pour le développement et l’intégration de l’Afrique du monde occidental. Nous ne pouvons plus continuer de la sorte", a-t-il déclaré à des journalistes.
"Nous devons diversifier nos partenariats, par conséquent travailler avec la Chine est quelque chose que nous accueillons favorablement", a-t-il déclaré lors du sommet de l’Union africaine en Ouganda.
La Chine a promis l’an dernier de verser en Afrique dix milliards de dollars de prêts sur trois ans, et investit fortement dans le développement des infrastructures de nombreux pays du continent.
Plusieurs pays occidentaux accusent la Chine de n’avoir d’autre intérêt que l’extraction des ressources naturelles africaines pour alimenter son industrie, de ne guère se soucier du développement et d’être peu regardante sur les droits de l’homme.
Les ONG de défense des droits de l’homme affirment que Pékin, qui a importé l’an dernier 6,3 milliards de dollars de pétrole soudanais, n’a pas suffisamment agi pour s’opposer aux massacres au Darfour et a enfreint l’embargo de l’Onu sur les armes en vigueur dans cette région.
La Chine rejette ces accusations et a chargé un émissaire d’oeuvrer au processus de paix au Darfour. Le ministère chinois des Affaires étrangères a estimé que les reproches formulés contre Pékin venaient de personnes "dans l’erreur et partisanes".
Selon Mkwezalamba, les conditions auxquelles sont soumis les prêts des partenaires traditionnels de l’Afrique, comme la Banque mondiale, poussent le continent dans les bras de la Chine.
"En obtenant le soutien de la Chine, entre autres, nous renforçons notre position de négociation avec la Banque mondiale, qui tend à imposer des conditions très lourdes. Les ressources n’arrivent que très lentement", a-t-il dit.
"Ils vous disent que vous allez recevoir aujourd’hui 100 millions de dollars, mais vous ne les recevez qu’après deux ans, parce qu’il faut beaucoup de temps pour valider le prêt." ..."


La Chine, notre sauveur, pourquoi pas mais que n"aurait-on préféré entendre de la bouche de nos dirigeants
que nous étions d'abord nos propres sauveurs, une conscience de la nécessité d'optimiser d'abord
la gestion de nos pays par une meilleure gouvernance et le reste viendrait par surcroit...
Nous nous ferions bien d'illusions sur la fameuse "aide" chinoise car ce n'est quand même
pas d'aide extérieure qu'a manqué l'Afrique depuis 50 ans, qu'en avons-nous faitt ???
Bon, allons-y pour la Chine et attendons le miracle de leur aide moins conditionnée....



Compatriotiquement!

"Province Orientale:
Bientôt l’exploitation de l’un de gisement aurifère d’Afrique
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5839
L’une des plus grandes mines d’or d’Afrique, découverte en Province Orientale, sera bientôt exploitée par Randgold, compagnie minière cotée à la bourse de Londres.
Selon cette dernière, la mine de Kibali serait sur un gisement d’environ 320 tonnes d’or.
La République démocratique du Congo est nantie des ressources minérales massives mais la plupart de ses habitants vivent dans la pauvreté et la bataille pour le contrôle des mines a, d’ailleurs, été un facteur majeur dans le conflit qui a sévi dans l’Est du pays pendant au moins 16 ans.
Dans ce projet, selon le site internet de la compagnie Randgold, le gouvernement congolais possède 10% des parts, alors que Randgold et la compagnie sud-africaine AngloGold ashanti en détiennent chacune 45%..."

Compatriotiquement!

"«Cinq chantiers» :
Le réveil tardif de Joseph Kabila
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5842
A plus ou moins une année de la fin de la législature, Joseph Kabila a réuni les gouverneurs de province et les responsables de plusieurs institutions afin de procéder à une sorte de «pré-bilan» des actions accomplies aux quatre coins du pays depuis le lancement des fameux «Cinq chantiers du chef de l’Etat», rebaptisés «Cinq chantiers de la République». Aucun détail n’a été fourni sur les réalisations déjà accomplies. Kabila a insisté sur «la recherche des voies et moyens pour que ce programme de la République puisse se réaliser et être visible»..."


Compatriotiquement!

L'Assemblée générale de l'ONU a reconnu mercredi l'accès à une eau de
qualité et à des installations sanitaires comme un droit humain.Après
plus de 15 ans de débats sur la question, 122 pays ont voté en faveur
d'une résolution de compromis rédigée par la Bolivie et consacrant ce
droit, tandis que 41 autres se sont abstenus.
Le texte "déclare que le droit à une eau potable propre et de qualité
et à des installations sanitaires est un droit de l'homme,
indispensable à la pleine jouissance du droit à la vie".
La résolution pointe le fait que 884 millions de personnes dans le
monde n'ont pas accès à une eau potable de qualité et que plus de 2,6
milliards ne disposent pas d'installations sanitaires de base. Elle
souligne qu'environ deux millions de personnes, pour la plupart des
jeunes enfants, meurent chaque année des suites de maladies causées par
une eau impropre à la consommation et l'absence de sanitaires.

La résolution rappelle aussi la promesse, faite par les dirigeants
mondiaux en 2000 dans le cadre des Objectifs du millénaire pour le
développement, de réduire de moitié d'ici 2015 la proportion de
personnes n'ayant pas accès à l'eau potable et à des installations
sanitaires.

Le texte presse les Etats et les organisations internationales de
fournir une aide financière et technologique aux pays en développement
pour "augmenter les efforts afin de fournir à tous une eau de qualité,
propre et abordable ainsi que des installations sanitaires".


http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/article/detail/1138590/2010/07/28/L-eau-potable-est-desormais-un-droit-humain.dhtml

A propos du Contrat Chinois !

http://congovideos.com/component/option,com_seyret/task,videodirectlink/Itemid,94/id,9257/

"Exclusif : drôle de deal sur la mine de Kolwezi
° http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAJA2584p071-073.xml0/rd-congo-mines-cobalt-cuivreexclusif-drole-de-deal-sur-la-mine-de-kolwezi.html
Qui se cache derrière Highwind Properties ? La société basée aux îles Vierges britanniques a signé un contrat pour l’exploitation d’une mine de cuivre et de cobalt… encore attribuée au groupe First Quantum. Imbroglio..."



Compatriotiquement!

"Qui se cache derrière la société Caprikat Ltd et Foxwhelp Ltd?
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5882
Dans le contrat de partage de production de pétrole signé en mai dernier entre le gouvernement congolais et deux nébuleuses sociétés domiciliées dans les Iles Vierges au Royaume-Uni, l’ombre du diamantaire israélien Dan Getler apparaît en filigrane. L’homme est considéré par le Tout-Kinshasa politico-économique comme étant le prête-nom de Joseph Kabila et de Agustin Katumba Mwanke. Depuis 2000, Getler et son entreprise «DGI» (Dan Getler International) sévit dans le monde minier congolais. Après le diamant et le cuivre, l’homme d’affaires israélien se lance dans les hydrocarbures. Un problème : son expertise n’est pas reconnue dans la profession. Retour sur un dossier qui met une fois de plus à nu la complicité des plus hautes autorités dans le pillage des ressources naturelles de la RD Congo...
...Revenons aux sociétés Caprikat Ltd et Foxwhelp. Selon des experts sud africains, ces deux firmes n’ont aucune expérience en matière d’exploitation pétrolière. «C’est l’ambassadeur de la RD Congo en Afrique du Sud, Bene Mpoko, qui avait pris langue avec Caprikat et Foxwhelp, assure une source locale. Ces deux sociétés entendent faire appel à la société "Aurora" qui appartiendrait à un neveu au président Jacob Zuma». Que va faire la société Aurora ? «Elle va sans doute vendre les blocs obtenus auprès d’un «major» en réalisant le plus de bénéfice possible.» Et si derrière Caprikat Ltd, Foxwhelp Ltd se dissimulait en réalité le trio affairiste Getler-Kabila-Katumba?"


Compatriotiquement!

No Comment!

Merci, Mathilde pour ces images. Et comme tu le dis si bien "No comment". "Cinq chantiers kaka na monoko. Et dire que les mêmes aventuriers au pouvoir, tous confondus, sont très pressés d'aller aux élections qu'ils comptent déjà truquer encore, en leur faveur. Que c'est vraiment très triste Que les congolais ouvrent bien grandement leurs yeux ! "Ils ont des yeux et des oreilles pour voir et entendre..."

Na yoki mawa penza po na CONGO democratique...
Tala baninga ndenge ba sali aero na bango na ba taxe aeroportuaire... ya biso ezalaki nde po na ko tonga mwa eloko ya mukie wana eza na aeroport ya Ndjili comme un oasis dans un desert

https://www.facebook.com/album.php?aid=198698&id=826523897

17.08.10 R&R -5 chantiers: les chinois en grève ?
° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=169869&Actualiteit=selected
Déjà 4 ans depuis l’investiture de Joseph Kabila, 4 ans depuis son discours-programme dans lequel il présentait les cinq axes de son action pendant son mandat.
Seulement, mis à part l’arrivée en grande pompe des engins lourds amenés par de partenaire chinois, rien n’a réellement bougé aucun chantier mené notable.
Bien au contraire, le peu d’infrastructures qui subsistaient encore est en train de tomber en déliquescence. Il suffit de se promener la nuit pour se rendre compte que les ¾ de la ville capitale Kinshasa sont dans le noir ; coupures intempestives, des pannes d’électricité et l’absence permanente de cette énergie retient pendant des mois des quartiers entiers dans l’obscurité totale. Nous ne parlerons pas de l’eau courante, et bien d’autres incongruités liées à l’insalubrité.
Excédé par cette absence de réalisation, les kinois ont surnommé le programme du chef de l’état les 5 sentiers. Les chinois qui sont arrivés et ont réalisé plusieurs chantiers mais seulement sous forme des boutiques où ils vendent des écrits, des babouches, des pantoufles dont la durée de vie ne dépasse pas 30 jours. Ces chantiers là sont visibles et les chinois avec.
Le chantier est à l’abandon. Les engins des travaux publics et les ouvriers se sont évaporés.
Dès le lendemain des festivités commémoratives du 50ème anniversaire de la proclamation de l’indépendance du Congo, la «radio-trottoir» faisait état de l’arrêt des travaux de réhabilitation aux quatre coins de la capitale. C’est désormais confirmé en ce qui concerne le boulevard Lumumba qui va de la commune de Limete à l’aéroport de Ndjili. Pas moins d’une vingtaine de kilomètres. «De la 1ère à la 17ème rue, aucune présence de tracteurs, camions bennes ou autres matériels qu’on apercevait, il y a quelques jours.

Contrat chinois
Les travaux confiés à la Compagnie nationale chinoise des travaux ponts et chaussées (CNCTPC). Et ce, dans le cadre du fameux contrat de troc – infrastructures contre minerais - conclu entre la Présidence de la République et des entreprises chinoises. Deux hommes à la réputation sulfureuse ont joué un rôle clé dans ce «deal» qualifié de «contrat léonin» par des experts. Il s’agit de Pierre Lumbi Okongo, alors ministre des Infrastructures (actuellement conseiller spécial du chef de l’Etat en matière de sécurité) et de l’incontournable Auguste Katumba Mwanke. Celui-ci est cité dans toutes les affaires relatives au «dépeçage» des concessionnaires minières de la Gécamines.
Lors de cette cérémonie du 30 juillet, le directeur général de la «CNCTPC» n’avait pas manqué de souligner que son entreprise «allait exécuter les travaux suivant le standard international et conformément au contrat signé avec le gouvernement congolais.» Les officiels congolais avaient sans doute cru entendre une simple formule de style. Tout contrat suppose, en effet, l’existence des obligations de part et d’autre. Question : la partie congolaise continue-t-elle à honorer ses engagements à l’égard de la partie chinoise? Des sources à l’OVD parlent d’«évaluation» pour justifier l’arrêt des travaux notamment sur l’avenue du 24 novembre. C’est sans doute le cas également pour le boulevard Lumumba. Qui évalue quoi? Pourquoi?

Improvisation
On ne pourrait s’empêcher de relever le «poto-poto» qui règne dans le volet «Infrastructures» des fameux «Cinq chantiers». Ce qui frappe d’abord c’est l’absence de transparence dans l’attribution des marchés aux sous-traitants. Pas de lancement d’appel d’offres. Lorsqu’il en existe un, il est «restreint». Le choix des rues et avenues à «moderniser» se fait dans une improvisation digne d’une pétaudière. Tout se fait selon le bon vouloir du chef de l’Etat. A titre d’exemple, l’ACGT (Agence congolaise des grands travaux) n’a jamais été capable de présenter au grand public la maquette du «boulevard du 30 juin» dans sa phase finale. «Nous exécutons les travaux que le chef de l’Etat nous demande», déclarait Roger Busama, patron de l’ACGT, avec une pointe de candeur. Busama a sans doute oublié d’ajouter qu’outre la volonté du chef de l’Etat, la réalisation des travaux dépend de la disponibilité des moyens financiers.
Plus grave, Joseph Kabila et certains membres de son entourage se sont accaparé les finances publiques en gérant en toute discrétion les fonds destinés aux travaux à réaliser. Censé administrer le pays au quotidien, le gouvernement ne voit que du feu. Soucieux de préserver sa carrière, le Premier ministre se tait.
Selon des bonnes sources, la «modernisation» des six kilomètres du boulevard du 30 juin a coûté au Trésor public pas moins de 62 millions de dollars US. Alors qu’un kilomètre de route goudronné est facturé au minimum : 400.000 dollars USD. L’organisation des festivités du «Cinquantenaire» aurait coûté 52 millions de dollars. La Présidence de la République s’est chargée de la gestion de ce montant… "


Compatriotiquement!

MYC,
....Kaka ndenge olobi mawa mingi.....snif snif snif
Tala ya ba ninga 5 chantiers



Congo/Brazza

Mwana ya Congo a écrit:Na yoki mawa penza po na CONGO democratique...
Tala baninga ndenge ba sali aero na bango na ba taxe aeroportuaire... ya biso ezalaki nde po na ko tonga mwa eloko ya mukie wana eza na aeroport ya Ndjili comme un oasis dans un desert

https://www.facebook.com/album.php?aid=198698&id=826523897