Evoloko parle
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Evoloko parle
Ko kamwa Evoloko azo krétché ONG moko
alobi justice esali mosala nango,tango azalaki
na prison nde justice ekomaki mabé lelo abimi
ekomi malamu,ko kamwa.
Regardez:
https://www.youtube.com/watch?v=gu5Qs2Fw40c
alobi justice esali mosala nango,tango azalaki
na prison nde justice ekomaki mabé lelo abimi
ekomi malamu,ko kamwa.
Regardez:
https://www.youtube.com/watch?v=gu5Qs2Fw40c
Invité- Invité
Re: Evoloko parle
Et la serie continue,
Le fr. de Evoloko afouti amande etc....
Regardez:
https://www.youtube.com/watch?v=asIONoXGw-0
Le fr. de Evoloko afouti amande etc....
Regardez:
https://www.youtube.com/watch?v=asIONoXGw-0
Invité- Invité
Re: Evoloko parle
Salut Mi Cora,
Au moins bazali kosala nyonso oyo ekoki pour se faire pardonner ...c une bonne chose !!!!
Au moins bazali kosala nyonso oyo ekoki pour se faire pardonner ...c une bonne chose !!!!
Mathilde
Re: Evoloko parle
Si si Mathy,ekozala malamu pe Evoloko
azwa leçon na ba makambo asalaki tala kk
tata ya ndenge wana na mwana 14 ans!! na moni
penza ba ndeko naye balingi abima mm Kin. mais
nde ba tika ko mediatiser makambo yango coe sa
hr. nonso,discretion eza plus mieux,pona pe ba makambo
ango oyo Evoloko akotelaki prison eza ya soni.
a+
azwa leçon na ba makambo asalaki tala kk
tata ya ndenge wana na mwana 14 ans!! na moni
penza ba ndeko naye balingi abima mm Kin. mais
nde ba tika ko mediatiser makambo yango coe sa
hr. nonso,discretion eza plus mieux,pona pe ba makambo
ango oyo Evoloko akotelaki prison eza ya soni.
a+
Mathilde a écrit:Salut Mi Cora,
Au moins bazali kosala nyonso oyo ekoki pour se faire pardonner ...c une bonne chose !!!!
Invité- Invité
Re: Evoloko parle
Evoloko : Des femmes s’indignent contre le triomphalisme dans sa libération
Kinshasa, 03/09/2009 / Musique
Ce triomphalisme est de nature à engendrer un climat peu propice à la paix et à la tranquillité publique, et jette un discrédit sur la mesure même de libération conditionnelle.
Un groupe de femmes regroupées au sein du Cadre permanent de concertation de la femme congolaise (Cafco) a exprimé son indignation au ministre de la Justice, Luzolo Bambi, suite au triomphalisme qui a entouré la libération conditionnelle du chanteur Evoloko Atshuamo.
Les femmes du Cafco reconnaissent que « la libération conditionnelle est un droit garanti à tout condamné qui en remplit les conditions, et sur le plan du fond, l’arrêté accordant la libération conditionnelle à 73 condamnés dont Evoloko est légal », indique le contenu de leur déclaration.
Mais elles « constatent avec amertume et indignation que le triomphalisme hautement médiatisé affiché par le concerné lors de sa libération a ouvert la voie à de nombreuses critiques populaires et a anéanti tous les efforts des organisations des droits humains partenaires du gouvernement dans la lutte contre l’impunité ».
Pour elles, ce triomphalisme est de nature à engendrer un climat peu propice à la paix et à la tranquillité publique, et jette un discrédit sur la mesure même de libération conditionnelle.
Et pourtant, les énergies sont en ce moment mobilisées dans la lutte contre l’impunité des auteurs des violences sexuelles et dans la campagne « Tolérance zéro ».
Les femmes du Cadre permanent de concertation de la femme congolaise ont formulé trois recommandations au ministre Luzolo Bambi.
Il s’agit en premier lieu de son implication, avec le concours de son collègue de la communication et médias, pour la prise des mesures interdisant toute action médiatique du chanteur Evoloko et ses pairs musiciens en relation avec ce dossier.
Ensuite, elles demandent au ministre de s’assurer personnellement du paiement effectif des indemnités dues à la victime et la sécurité de cette dernière, ainsi que celle de sa famille ; et enfin, qu’il obtienne de son collègue de la Communication et des médias des espaces pour permettre aux organisations des droits humains, particulièrement celles des droits des femmes et des enfants, de mener des actions de sensibilisation en rapport avec les violences sexuelles et la procédure pénale.
Le but ici est de pallier la sous information et l’ignorance du droit. Le ministre Luzolo Bambi a accordé une attention particulière à la demande des femmes du Cafco.
Ecroué pour abus sexuels sur une mineure, le chanteur Evoloko a récemment été relaxé après 18 mois passés à la prison centrale de Makala.
Sa libération a été littéralement fêtée avec faste à Kinshasa par les musiciens et autre
Evoloko : Des femmes s’indignent contre le triomphalisme dans sa libération
Kinshasa, 03/09/2009 / Musique
Ce triomphalisme est de nature à engendrer un climat peu propice à la paix et à la tranquillité publique, et jette un discrédit sur la mesure même de libération conditionnelle.
Un groupe de femmes regroupées au sein du Cadre permanent de concertation de la femme congolaise (Cafco) a exprimé son indignation au ministre de la Justice, Luzolo Bambi, suite au triomphalisme qui a entouré la libération conditionnelle du chanteur Evoloko Atshuamo.
Les femmes du Cafco reconnaissent que « la libération conditionnelle est un droit garanti à tout condamné qui en remplit les conditions, et sur le plan du fond, l’arrêté accordant la libération conditionnelle à 73 condamnés dont Evoloko est légal », indique le contenu de leur déclaration.
Mais elles « constatent avec amertume et indignation que le triomphalisme hautement médiatisé affiché par le concerné lors de sa libération a ouvert la voie à de nombreuses critiques populaires et a anéanti tous les efforts des organisations des droits humains partenaires du gouvernement dans la lutte contre l’impunité ».
Pour elles, ce triomphalisme est de nature à engendrer un climat peu propice à la paix et à la tranquillité publique, et jette un discrédit sur la mesure même de libération conditionnelle.
Et pourtant, les énergies sont en ce moment mobilisées dans la lutte contre l’impunité des auteurs des violences sexuelles et dans la campagne « Tolérance zéro ».
Les femmes du Cadre permanent de concertation de la femme congolaise ont formulé trois recommandations au ministre Luzolo Bambi.
Il s’agit en premier lieu de son implication, avec le concours de son collègue de la communication et médias, pour la prise des mesures interdisant toute action médiatique du chanteur Evoloko et ses pairs musiciens en relation avec ce dossier.
Ensuite, elles demandent au ministre de s’assurer personnellement du paiement effectif des indemnités dues à la victime et la sécurité de cette dernière, ainsi que celle de sa famille ; et enfin, qu’il obtienne de son collègue de la Communication et des médias des espaces pour permettre aux organisations des droits humains, particulièrement celles des droits des femmes et des enfants, de mener des actions de sensibilisation en rapport avec les violences sexuelles et la procédure pénale.
Le but ici est de pallier la sous information et l’ignorance du droit. Le ministre Luzolo Bambi a accordé une attention particulière à la demande des femmes du Cafco.
Ecroué pour abus sexuels sur une mineure, le chanteur Evoloko a récemment été relaxé après 18 mois passés à la prison centrale de Makala.
Sa libération a été littéralement fêtée avec faste à Kinshasa par les musiciens et autres fans, au point de heurter des sensibilités.
Le chanteur a été libéré sous conditions, entre autres, mener des actions de sensibilisation contre les violences faites à la femme et à l’enfant=
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Kinshasa, 03/09/2009 / Musique
Ce triomphalisme est de nature à engendrer un climat peu propice à la paix et à la tranquillité publique, et jette un discrédit sur la mesure même de libération conditionnelle.
Un groupe de femmes regroupées au sein du Cadre permanent de concertation de la femme congolaise (Cafco) a exprimé son indignation au ministre de la Justice, Luzolo Bambi, suite au triomphalisme qui a entouré la libération conditionnelle du chanteur Evoloko Atshuamo.
Les femmes du Cafco reconnaissent que « la libération conditionnelle est un droit garanti à tout condamné qui en remplit les conditions, et sur le plan du fond, l’arrêté accordant la libération conditionnelle à 73 condamnés dont Evoloko est légal », indique le contenu de leur déclaration.
Mais elles « constatent avec amertume et indignation que le triomphalisme hautement médiatisé affiché par le concerné lors de sa libération a ouvert la voie à de nombreuses critiques populaires et a anéanti tous les efforts des organisations des droits humains partenaires du gouvernement dans la lutte contre l’impunité ».
Pour elles, ce triomphalisme est de nature à engendrer un climat peu propice à la paix et à la tranquillité publique, et jette un discrédit sur la mesure même de libération conditionnelle.
Et pourtant, les énergies sont en ce moment mobilisées dans la lutte contre l’impunité des auteurs des violences sexuelles et dans la campagne « Tolérance zéro ».
Les femmes du Cadre permanent de concertation de la femme congolaise ont formulé trois recommandations au ministre Luzolo Bambi.
Il s’agit en premier lieu de son implication, avec le concours de son collègue de la communication et médias, pour la prise des mesures interdisant toute action médiatique du chanteur Evoloko et ses pairs musiciens en relation avec ce dossier.
Ensuite, elles demandent au ministre de s’assurer personnellement du paiement effectif des indemnités dues à la victime et la sécurité de cette dernière, ainsi que celle de sa famille ; et enfin, qu’il obtienne de son collègue de la Communication et des médias des espaces pour permettre aux organisations des droits humains, particulièrement celles des droits des femmes et des enfants, de mener des actions de sensibilisation en rapport avec les violences sexuelles et la procédure pénale.
Le but ici est de pallier la sous information et l’ignorance du droit. Le ministre Luzolo Bambi a accordé une attention particulière à la demande des femmes du Cafco.
Ecroué pour abus sexuels sur une mineure, le chanteur Evoloko a récemment été relaxé après 18 mois passés à la prison centrale de Makala.
Sa libération a été littéralement fêtée avec faste à Kinshasa par les musiciens et autre
Evoloko : Des femmes s’indignent contre le triomphalisme dans sa libération
Kinshasa, 03/09/2009 / Musique
Ce triomphalisme est de nature à engendrer un climat peu propice à la paix et à la tranquillité publique, et jette un discrédit sur la mesure même de libération conditionnelle.
Un groupe de femmes regroupées au sein du Cadre permanent de concertation de la femme congolaise (Cafco) a exprimé son indignation au ministre de la Justice, Luzolo Bambi, suite au triomphalisme qui a entouré la libération conditionnelle du chanteur Evoloko Atshuamo.
Les femmes du Cafco reconnaissent que « la libération conditionnelle est un droit garanti à tout condamné qui en remplit les conditions, et sur le plan du fond, l’arrêté accordant la libération conditionnelle à 73 condamnés dont Evoloko est légal », indique le contenu de leur déclaration.
Mais elles « constatent avec amertume et indignation que le triomphalisme hautement médiatisé affiché par le concerné lors de sa libération a ouvert la voie à de nombreuses critiques populaires et a anéanti tous les efforts des organisations des droits humains partenaires du gouvernement dans la lutte contre l’impunité ».
Pour elles, ce triomphalisme est de nature à engendrer un climat peu propice à la paix et à la tranquillité publique, et jette un discrédit sur la mesure même de libération conditionnelle.
Et pourtant, les énergies sont en ce moment mobilisées dans la lutte contre l’impunité des auteurs des violences sexuelles et dans la campagne « Tolérance zéro ».
Les femmes du Cadre permanent de concertation de la femme congolaise ont formulé trois recommandations au ministre Luzolo Bambi.
Il s’agit en premier lieu de son implication, avec le concours de son collègue de la communication et médias, pour la prise des mesures interdisant toute action médiatique du chanteur Evoloko et ses pairs musiciens en relation avec ce dossier.
Ensuite, elles demandent au ministre de s’assurer personnellement du paiement effectif des indemnités dues à la victime et la sécurité de cette dernière, ainsi que celle de sa famille ; et enfin, qu’il obtienne de son collègue de la Communication et des médias des espaces pour permettre aux organisations des droits humains, particulièrement celles des droits des femmes et des enfants, de mener des actions de sensibilisation en rapport avec les violences sexuelles et la procédure pénale.
Le but ici est de pallier la sous information et l’ignorance du droit. Le ministre Luzolo Bambi a accordé une attention particulière à la demande des femmes du Cafco.
Ecroué pour abus sexuels sur une mineure, le chanteur Evoloko a récemment été relaxé après 18 mois passés à la prison centrale de Makala.
Sa libération a été littéralement fêtée avec faste à Kinshasa par les musiciens et autres fans, au point de heurter des sensibilités.
Le chanteur a été libéré sous conditions, entre autres, mener des actions de sensibilisation contre les violences faites à la femme et à l’enfant=
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mongo elombe
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