Kabila veut installer une dictature au congo
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Re: Kabila veut installer une dictature au congo
' a écrit:
Kabila veut reviser les articles de la constitution que la constution elle meme a explicitement interdit de le reviser et qui sont les socles de la trosieme republique:
decentralisation, independance du pouvoir judicaire. le mandat du president ....
mais bon Dieu quel pays merde le mien!
Si les elites kivutiennes poussent les villagois a voterc encore Kabila en 2011 ce qu'ils sont responsables de leur propre malheur.
"interinstutionelle", mais c'est quoi cette pseudo organisation a la con?
Ces gens n'ont ete vote par personne
et veulent changer l'aspiration de tout un peuple.
*CNMM a écrit:
Monsieur ',
Décidément, votre haine contre le Fils de M'Zee LDK vous obscurcit l'esprit!
En effetn, d'où tirez-vous vos délirantes allégations (AFFABULATIONS CALOMNIEUSES) ?
Sont-elles l'expression de vos fantasmes ou de vos hallucinations TROLLiennement ALCHIMIQUES ?
Même si vous vous estimez en droit de détester votre adversaire politique, en l'occurrence, ici :"JKK",
à défaut pour vous d'être INTELLECTUELLEMENT HONNÊTE?
ayez néanmoins le respect de la VÉRITÉ SCIENTIFIQUES des FAITS MATÉRIELS et donc de VOUS-MÊME !
Qu'avez-vous à gagner, sur le NET, à être reconnu de tous comme un :
MALHONNÊTE, MENTEUR, AFFABULATEUR, CALOMINATEUR, DIFFAMATEUR, MYTHOMANE, IDIOT QUI NE COMPREND RIEN À CE QU'IL RACONTE
À votre avis, votre haine de "KANNAMBE" vous aurait tellement rongé les neurones au point de vos exhonérer d'un minimum intégrité intellectuelle ?
Attention :
"TROP D'ÉMOTION (ou de SENTIMENTALITÉ) TUE LA RAISON (l'INTELLINGENCE RATIONNELLE)" !
Franchement, j'ai honte de la mauvaise impression que vous donnez aux yeux du Monde de l'Opposition RDCongolaise en particulier et de l'ÉLITE RDCongolaise en général !
Bon, il n'est pas trop tard pour vous ressaisir, alors veuillez prendre le temps de vous informer correctement ; de vous documenter et de vérifier la "VÉRACITÉ" du contenu de vos sources avant de dégainer et de tirer les saves de vos "opposants" vénins ...
*CNMM
RDC- DIALOGUE ENTRE RDCONGOLAIS(ES) / RADIO OKAPI a écrit:
L'Opposition dénonce la tentative de modifier le mandat du Chef de l'État
publié il y a 5 heures, 23 minutes, sous Dialogue Entre Congolais.
Vous pouvez suivre les réponses à cet article grâce au RSS 2.0.
Martin MUKONKOLE, Député national de l’opposition et membre du groupe parlementaire Ordre des démocrates et républicains à l’Assemblée nationale
Aubin MINAKU, Député national de la majorité et Vice-Président du groupe Parlementaire PPRD à l’Assemblée nationale
L’opposition parlementaire s’oppose à toute initiative tendant à la révision de l’article 220 de la Constitution relatif au mandat du Chef de l’Etat.
Dans une déclaration faite à la presse le mardi 30 Mars au Palais du Peuple à Kinshasa, le Député de l’opposition et membre du MLC, François MWAMBA, estime que la structure interinstitutionnelle mise en place est informelle et n’a pas de base juridique.
En réaction, le Secrétaire Exécutif du Parti du Peuple pour la Reconstruction et le Développement (PPRD) a déclaré à Radio Okapi que son parti est légaliste et n’acceptera pas que la Constitution soit bafouée.
Gaston MUSEMENA a indiqué que son parti n’acceptera pas la modification du mandat du Président de la République.
- Comment analyser la position de l’opposition ?
Vous pouvez laisser votre commentaire ou poser une question en nous écrivant à l’adresse suivante:
dec@radiookapi.net
Vous pouvez nous appeler au numéro (+243) 818906678 (+243) 818906678
ou nous envoyer un SMS au (+243) 810515778 (+243) 810515778
Copyright Radio Okapi
http://radiookapi.net/emissions-audio/dialogue-entre-congolais/2010/03/31/ce-soir-l%e2%80%99opposition-denonce-la-tentative-de-modifier-le-mandat-du-chef-de-letat/#more-67385
Le Rapporteur BWANA N'SEFU & Professeur LUMUNA MULENDAVice-Premier Ministre, Ministre de l'Intérieur et Sécurité a écrit:
Compte-rendu de deux réunions interinstitutionnelles présidées successivement par le Chef de l’Etat et le président du Sénat
RDC - Kinshasa, Mardi 30/03/2010 / Politique
Plusieurs dossiers dont celui du découpage territorial recommandé d’être soumis à la compétence de la loi ont fait l’objet de la concertation au niveau de deux réunions interinstitutionnelles présidées successivement par le Chef de l’Etat et le président du Sénat.
La question du découpage territorial, prévu avant 2010 par la Constitution du 18 février 2006, pourra être ramenée à la compétence de la loi, sur proposition de la réunion interinstitutionnelle présidée successivement samedi 20 mars 2010 à Kingakati-Buene (Plateau de Bateke – Est de Kinshasa) par le Chef de l’Etat, Joseph Kabila Kabange, et ensuite samedi 27 mars 2010, au Palais du peuple, par le Président du Sénat, Léon Kengo wa Dondo.
Selon le compte rendu de cette réunion, fait lundi à la presse, par le vice-Premier ministre et ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, le Prof. Adolphe Lumani Bwana N’Sefu, les participants à cette réunion ont fait cette proposition, en rapport avec la révision de la Constitution, devant l’impasse résultant de l’insuffisance du temps matériel et des ressources nécessaires à la mise en œuvre dans les délais prévus par l’article 226, de la Constitution qui dispose qu’à l’échéance 2010 la RDC soit découpée en 26 provinces, y compris la ville de Kinshasa.
D’autres points ont été examinés en rapport avec la révision constitutionnelle notamment le mandat du Président de la République, la question des recettes à caractère national allouées aux provinces, la question de nationalité, le fonctionnement des institutions provinciales, le droit au retour des députés et sénateurs appelés à d’autres fonctions, les immunités, le régime politique.
L’interinstitutionnelle réunit tous les chefs des corps (Président du Sénat, de l’Assemblée nationale, le Premier Ministre, Premier président de la cour suprême autour du Président de la République. D’autres autorités de la République peuvent être invitées à participer à cette réunion.
Voici l’intégralité de ce compte rendu :
Le Président de la République, Son Excellence Monsieur Joseph KABILA KABANGE, a présidé le samedi 20 mars 2010 à Kingakati-Buene, la réunion interinstitutionnelle. N'ayant pas épuisé l'examen des points inscrits à l'ordre du jour, la réunion s'est poursuivie le samedi 27 mars 2010, au Palais du Peuple, sous la présidence de l'Honorable Léon KENGO WA DONDO, Président du Sénat.
Etaient présents :
Le Président de l'Assemblée Nationale;
Le Président du Sénat;
Le Premier Ministre;
Le Premier Président de la Cour Suprême de Justice;
Le Procureur Général de la République;
Le Premier Président de la Haute Cour Militaire;
L'Auditeur Général près la Haute Cour Militaire.
Le Vice-Premier Ministre, Ministre de l'Intérieur et Sécurité;
Le Ministre des Finances, le Président de la Commission Electorale Indépendante, CEI en sigle, le Commissaire Général et le Coordonnateur du Comité Scientifique du Cinquantenaire étaient invités à cette réunion.
[i]Cinq points figuraient à l'ordre du jour :
1) Les échéances électorales 2011 ;
2) La situation sécuritaire ;
3) Le mandat de la MONUC ;
4) La révision de la Constitution et de la loi électorale; 5) Le Cinquantenaire de l'indépendance
1. En ce qui concerne l'examen du premier point, L'interinstitutionnelle a, après échanges avec le Président de la CEI, exhorté les deux Chambres du Parlement et le Gouvernement, chacun, dans la limite de ses attributions, à :
- Finaliser la loi électorale, la loi sur la CENI et les réformes constitutionnelles nécessaires durant la session de mars 2010 ;
- Accélérer la promulgation ou la mise en application de la loi fixant les subdivisions territoriales à l'intérieur des Provinces et de la loi portant composition, organisation et fonctionnement des entités territoriales décentralisées ainsi que leurs rapports avec l'Etat et les provinces ;
- Obtenir de la commission mixte paritaire du Parlement que le passage de la CEI à la CENI soit clairement défini dans les dispositions transitoires;
- Acheter rapidement 9.500 nouveaux kits d'enrôlement des électeurs, le Gouvernement ayant déjà lancé un avis d'appel d'offres international, avec une option de consultation restreinte et un calendrier contraignant de mise en œuvre ;
- Procéder à la construction rapide d'un bureau d'Etat Civil dans les Groupements dépourvus d'infrastructures scolaires ;
- Conduire rapidement les études de faisabilité concernant le choix à opérer entre le vote électronique et le vote manuel, ainsi que les mesures de transparence y afférents ;
Procéder à la mobilisation des moyens pour couvrir l'ensemble de l'opération de révision du fichier électoral ;
- Libérer la dotation mensuelle de la CEI ;
- Doter la CEI d'un certain nombre d'équipements requis (matériel roulant, matériel de télécommunication, fournitures de bureau, ...) ;
- Appuyer le plan de formation et de renforcement des capacités des cadres et agents électoraux ;
- Mettre en place une commission budgétaire pour évaluer le coût global de l'ensemble des opérations électorales.
II. Concernant la situation sécuritaire
L'interinstitutionnelle a été informée par le Président de la République sur l'évolution de la situation sécuritaire prévalant à l'Est de la RDC et dans la Province de l'Equateur.
Elle a noté avec satisfaction que celle-ci s'améliore au fil des jours.
III. Quant au mandat de la MONUC
Le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, a fait l'état de la question sur le désengagement ou le retrait progressif des troupes de la MONUC.
L'interinstitutionnelle en a pris acte et souhaite que cela se fasse en adéquation avec la souveraineté de la RDC.
IV. Concernant la révision de la Constitution et de la loi électorale
Le Vice-Premier Ministre, Ministre de l'Intérieur et Sécurité a présenté l'économie du rapport de la Commission interinstitutionnelle ad hoc relative à l'évaluation de la mise en œuvre de la Constitution du 18 février 2006.
Cette Commission a été instituée consécutivement à la décision prise par le Chef de l'Etat aux termes de sa concertation, en date du 15 juillet 2009, avec les animateurs des autres institutions.
Elle était composée des Experts représentant le Président de l'Assemblée Nationale, le Président du Sénat, le Premier Ministre, le Premier Président de la Cour Suprême de Justice, ainsi que le Cabinet du Président de la République.
Aux termes de leurs réflexions, les Experts ont convenu de la nécessité de modifier certaines dispositions de la Constitution et de la loi électorale, en vue d'opérer un recentrage autour de certains impératifs majeurs, notamment :
Le mandat du Président de la République :
Le découpage territorial
La question des recettes à caractère national alloués aux Provinces: La question de la nationalité
L'indépendance du pouvoir judiciaire
Le Conseil Supérieur de la Magistrature
Le fonctionnement des Institutions provinciales
Le droit au retour des Députés et Sénateurs appelés à d'autres fonctions
le système électoral
Les immunités
Le régime politique
L'extension de la compétence des juridictions militaires.
S'étant appropriée le rapport des Experts, l'interinstitutionnelle a renvoyé certaines de ces questions à une réflexion approfondie et s'est clairement prononcée sur d'autres.
Ainsi :
a) Du découpage territorial
Devant l'impasse résultant de l'insuffisance du temps matériel et des ressources nécessaires à la mise en œuvre dans les délais prévus de l'article 226, alinéa 1 er de la Constitution, l'interinstitutionnelle propose la modification de l'article 226 alinéa 1 er de la Constitution en ramenant la question de la programmation du découpage à la compétence de la loi.
b) De la question des recettes à caractère national alloués aux Provinces :
Le problème étant posé à ce jour, moins en termes de clé globale de répartition qu'en' terme de modalité de perception et de répartition des 40% des recettes à caractère national allouées aux Provinces, l'interinstitutionnelle propose le renvoi de la question des modes de perception et de répartition de la part des recettes à caractère national allouées aux Provinces à la compétence de la loi.
c) De l'indépendance du pouvoir judiciaire
Le Ministère public étant, par essence, le bras opérationnel du Gouvernement dans la mise en œuvre de sa politique criminelle, l'interinstitutionnelle considère aberrant l'extension du principe d'indépendance du pouvoir judiciaire aux Parquets civils et militaires et recommande la modification des dispositions de l'article 149 alinéa 1er de la Constitution par la suppression in fine, de l'incise « ainsi que les parquets rattachés à ces juridictions ».
d) Du Conseil Supérieur de la Magistrature
L'interinstitutionnelle propose de ramener la composition du Conseil Supérieur de la Magistrature dans le domaine de la loi.
e) Du fonctionnement des Institutions provinciales
Ayant constaté que les institutions provinciales sont devenues des sources de confusion politique et des disfonctionnements répétitifs, l'interinstitutionnelle suggère: la recherche des mécanismes de pouvoir central et les institutions dernières ; la revisitation des textes régissant les institutions provinciales pour instaurer des soupapes permettant d'arrêter le désordre, tout en consolidant le jeu démocratique.
f) Du droit au retour des Députés et Sénateurs appelés à d'autres fonctions
L'interinstitutionnelle qui a rejeté la possibilité de cumul de fonction, suggère, pour des raisons évidentes, le retour pur et simple des Députés et Sénateurs dans leurs Chambres respectives, en vue de parachever leur mandat après l'interruption honorable des fonctions auxquelles ils ont été appelés.
g) Du système électoral
Afin d'éviter les dysfonctionnements institutionnels résultant du système proportionnel des listes, et d'assurer la représentativité de la femme dans le cadre de la mise en œuvre du principe de la parité, l'interinstitutionnelle adhère au principe de revisiter le système électoral.
h) L'extension de la compétence des juridictions militaires
L'interinstitutionnelle a suivi l'argumentaire du Premier Président de la Haute Cour Militaire sur la modification de l'article 156, alinéa 1er de la Constitution pour étendre la compétence des juridictions militaires aux infractions dirigées contre le matériel de l'Armée et de la Police et a proposé de renvoyer la question à la compétence de la loi.
V. Concernant le cinquantenaire de l'indépendance
L'interinstitutionnelle a pris acte de la feuille de route du Commissariat Général du cinquantenaire, présentés par le Coordonnateur du Comité scientifique et le Commissaire Général du Cinquantenaire. Les éléments de la feuille de route portaient sur le programme prévisionnel des festivités du 30 juin 2010, les principales activités avant juin 2010, les principales activités après juin 2010, ainsi que le rapport d'activités de janvier 2010 à ce jour.
Fait à Kinshasa, le 27 mars 2010
Le Rapporteur
BWANA N'SEFU
Pr. Adolphe LUMANU MULENDAU
Vice-Premier Ministre, Ministre de l'Intérieur et Sécurité
ACP
http://www.digitalcongo.net/article/65729
*CNMM
TO BOYI LOKUTA, AFFABULATIONS, INTOX, DÉSINFORMATION ; CHANTAGE, IDIOTIE, JALOUSIE, MOTEMA LIKUNDU !
*CNMM a écrit:
Qu'est-ce qui manquerait à fusioner ces quatre "topics" et bien d'autres en un seul ?
https://congodiaspora.forumdediscussions.com/actualite-vie-et-societe-f1/message-a-ladmnistrateur-ou-regulateur-de-ce-site-t2854.htm
https://congodiaspora.forumdediscussions.com/actualite-vie-et-societe-f1/quand-lopposition-menace-kanambe-t2853.htm
https://congodiaspora.forumdediscussions.com/actualite-vie-et-societe-f1/mwana-congo-et-interinstitutionnelle-t2845.htm
https://congodiaspora.forumdediscussions.com/actualite-vie-et-societe-f1/kabila-veut-installer-une-dictature-au-congo-t1978.htm
*CNMM
*CNMM
Re: Kabila veut installer une dictature au congo
La RD Congo de Joseph Kabila : Le totalitarisme en marche
Le "raïs" Joseph Kabila. Photo d’archives.
Qu’est devenu le pluralisme politique consacré par l’article 6
de la Constitution de la République démocratique du Congo? La
répression brutale - une de plus - d’une manifestation de l’UDPS vient
confirmer que le nouvel ordre politique fondé sur la démocratie et la
primauté du droit qu’appelent les Congolais - depuis la signature de
l’Accord de cessez-le-feu de Lusaka en 1999 et le Dialogue inter
congolais de 2002 - sont battus en brèche par l’ancrage totalitaire du
régime incarné par Joseph Kabila.
"Système politique caractérisé par la soumission complète des
existences individuelles à un ordre collectif que fait régner un pouvoir
dictatorial". Voilà la définition la plus classique du mot
"totalitarisme". Lundi 12 avril, une manifestation organisée par quatre
fédérations kinoises de l’UDPS (Union pour la Démocratie et le Progrès
social) a été "dispersée" par des éléments de la police. Peu importe
qu’il sagisse de l’UDPS "aile- Alexis Mutanda" ou "aile-Beltchika
Kalubye". L’important ici ce sont les droits et libertés du citoyen qui
ont été foulés au pied. Cinq manifestants ont, en effet, été appréhendés
dont le président de la fédération de l’UDPS/Tshangu, Raphaël
Tshibangu. Les protestataires voulaient non seulement faire savoir le
mal qu’ils pensent de "toute tentative de prolongation du mandat du chef
de l’Etat à travers une révision constitutionnelle" mais aussi d’exiger
"le recensement de la population et l’identification des nationaux"
dans la perspective des consultations politiques de 2011.
Parjure
Cette manifestation était-elle autorisée? Depuis la promulgation de
la Constitution en vigueur au Congo démocratique, une "autorisation"
n’est plus requise pour la légalité d’une manifestation sur la voie
publique. "La liberté de manifestation est garantie, stipule, l’article
26 de la Constitution. Toute manifestation sur les voies publiques ou en
plein air impose aux organisateurs d’informer par écrit l’autorité
administrative compétente. (...)". Il faut donc informer les autorités
et non solliciter une autorisation. Les organisateurs avaient-ils
"informé" les autorités administratives compétentes? Selon le président
fédéral de l’UDPS/Funa, Apollinaire Panzu, les organisateurs avaient bel
et bien accompli cette formalité. Plusieurs juristes congolais
conviennent que l’accomplissement de cette condition est attestée par le
cachet d’"accusé de réception" apposé sur une copie de la lettre de
notification. Questions : Les autorités chargées du maintien de l’ordre
sont-elles au courant des "mutations constitutionnelles" intervenues
depuis février 2006 en matière d’exercice des droits et libertés? De
même, ces autorités sont-elles au courant que le "pluralisme politique"
est consacré aux termes de l’article 6 de la Loi fondamentale? Pourquoi
les manifestations organisées par le parti présidentiel le PPRD (Parti
du peuple pour la reconstruction et la démocratie) ou ses alliés
n’ont-elles jamais fait l’objet d’un traitement analogue? Va-t-on vers
l’instauration d’un parti unique de fait? Aux termes de son serment,
l’actuel président de la République n’avait-il pas juré notamment
"d’observer et de défendre la Constitution et les lois de la
République?" Qu’a-t-il fait de son serment? Devrait-on parler de
parjure?
Depuis l’organisation des élections générales de 2006,
le voyageur qui foule le sol congolais perçoit en premier lieu l’absence
d’ambiance libérale dans le pays par l’omniprésence des agents des
"services" (ANR, ex-Demiap, DGM, Direction des renseignements et des
services spéciaux de la police, Police d’intervention rapide) ainsi que
des membres de la garde présidentielle. Ces individus à la mine
patibulaire se comportent en membres d’une milice au service du numéro
un Congolais. Le même voyageur ne tarde pas à constater que, depuis
quatre ans, la vie politique au Congo-Kinshasa se limite à quelques
mimiques et gesticulations des dirigeants du PPRD et du Palu de "Mbuta"
Antoine Gizenga. Selon des statistiques non-officielles, la RD Congo
compte pourtant pas moins de 300 formations politiques. Où sont passés
les autres partis? Dans une de ses chroniques, notre confrère Cornelis
Nlandu Tsasa, de retour de Kinshasa, écrivait ces mots dans "Le Signal
du continent" : "Aucune activité n’est organisée par les partis
d‘opposition, alors qu’en face, on voit partout des gens arborer sans se
gêner des tee-shirts à la gloire du PPRD ou du Palu ou des shows
médiatiques à répétition à la télévision, à la gloire de ces deux
partis."
Intolérance
"Il n’y a pas de démocratie.
Il n’y a que des preuves de démocratie", écrivait un philosophe
français. La démocratie n’est rien d’autre qu’un régime de liberté.
Qu’est ce donc la liberté sinon le droit de faire ce que la loi
n’interdit pas parce ne causant aucun tort à autrui? On ne peut parler
de démocratie là règne l’intolérance, la volonté d’imposer une
orthodoxie d’Etat. Une pensée unique. Des exemples pullulent pour
démontrer l’ancrage totalitaire du régime incarné par Joseph Kabila. Une
marche organisée à Kinshasa à l’occasion de la commémoration du 18ème
anniversaire de la «Marche des chrétiens» du 16 février 1992 a été
dispersée par des policiers. Avec son aplomb habituel, le ministre de la
Communication et des médias, Lambert Mende Omalanga, s’empressa de
déclarer, sans rire, que "la manifestation n’a pas été autorisée". Mende
ignore-t-il que la loi a été modifiée en cette matière? Qu’est devenu
Mende, l’ancien opposant du début des années 90, qui ne ratait aucune
marche de protestation organisée pour l’avènement de la démocratie et le
respect des droits de l’Homme? Ce genre de situation ne se passe pas
qu’à Kin. Le 9 octobre dernier à Bukavu, des policiers ont tiré en l’air
pour disperser des "marcheurs" qui exigeaient la libération d’un jeune
artiste-musicien répondant au nom d’Akitoa Kapalata. Celui a commis le
crime de "lèse-raïs" en composant une chanson intitulée "Atuone Kitu".
(Traduction : on n’a rien vu). Une critique à peine voilée à l’encontre
des "Cinq chantiers" et des opérations "Umoja Wetu" et autres "Kimia"
pour "pacifier" les provinces du Kivu. Allergique aux critiques et à la
vérité, Kabila qui n’a pas convaincu par les réalisations à mettre à son
actif, tient malgré tout à rester au pouvoir. Il veut accroître les
prérogatives du chef de l’Etat et rallonger la durée et le nombre du
mandat présidentiel.
«Article 64»
Revenons à
Kinshasa où le pouvoir congolais a choisi de jouer à fond la carte de de
l’intimidation. Dans un récent communiqué daté 13 avril, Donat Mbaya
Tshimanga, président de l’Ong "Journalistes en danger" a dénoncé le
"harcèlement" et les "interpellations fréquentes" des représentants des
médias par des agents de l’ANR. Et ce, pour des faits n’ayant nullement
rapport avec la sécurité nationale. Mbaya de citer à l’appui
l’arrestation successive de "plusieurs employés" de la télévision
commerciale "Antenne A". Sans oublier le cas du directeur de publication
de l’hebdomadaire kinois "Le Journal". Après la libération des
confrères de cette chaîne de télévision, le président du "JED" n’a pas
pu s’empêcher de fustiger l’excès de pouvoir manifeste et la volonté
d’intimider des hommes et des femmes qui n’ont fait qu’accomplir leur
devoir de porter des faits et des opinions à la connaissance du public.
On apprend que les journalistes d’Antenna ont été privés de liberté pour
avoir publier un communiqué des FDLR. Joseph Kabila a manifestement
voulu faire plaisir à son mentor Paul Kagame qui semble le tirer par le
bout du nez.
A plus ou moins quinze mois de la fin de la
législature, point n’est besoin de démontrer que la RD Congo est
gouverné, au quotidien, en violation de la Constitution. Le législateur
avait prévu la parade aux termes de l’article 64 de la Constitution :
"Tout Congolais a le devoir de faire échec à tout individu ou groupe
d’individus qui prend le pouvoir par la force ou qui l’exerce en
violation des dispositions de la présente Constitution.(...)".
LIno vas relire la constitution
Le "raïs" Joseph Kabila. Photo d’archives.
Qu’est devenu le pluralisme politique consacré par l’article 6
de la Constitution de la République démocratique du Congo? La
répression brutale - une de plus - d’une manifestation de l’UDPS vient
confirmer que le nouvel ordre politique fondé sur la démocratie et la
primauté du droit qu’appelent les Congolais - depuis la signature de
l’Accord de cessez-le-feu de Lusaka en 1999 et le Dialogue inter
congolais de 2002 - sont battus en brèche par l’ancrage totalitaire du
régime incarné par Joseph Kabila.
"Système politique caractérisé par la soumission complète des
existences individuelles à un ordre collectif que fait régner un pouvoir
dictatorial". Voilà la définition la plus classique du mot
"totalitarisme". Lundi 12 avril, une manifestation organisée par quatre
fédérations kinoises de l’UDPS (Union pour la Démocratie et le Progrès
social) a été "dispersée" par des éléments de la police. Peu importe
qu’il sagisse de l’UDPS "aile- Alexis Mutanda" ou "aile-Beltchika
Kalubye". L’important ici ce sont les droits et libertés du citoyen qui
ont été foulés au pied. Cinq manifestants ont, en effet, été appréhendés
dont le président de la fédération de l’UDPS/Tshangu, Raphaël
Tshibangu. Les protestataires voulaient non seulement faire savoir le
mal qu’ils pensent de "toute tentative de prolongation du mandat du chef
de l’Etat à travers une révision constitutionnelle" mais aussi d’exiger
"le recensement de la population et l’identification des nationaux"
dans la perspective des consultations politiques de 2011.
Parjure
Cette manifestation était-elle autorisée? Depuis la promulgation de
la Constitution en vigueur au Congo démocratique, une "autorisation"
n’est plus requise pour la légalité d’une manifestation sur la voie
publique. "La liberté de manifestation est garantie, stipule, l’article
26 de la Constitution. Toute manifestation sur les voies publiques ou en
plein air impose aux organisateurs d’informer par écrit l’autorité
administrative compétente. (...)". Il faut donc informer les autorités
et non solliciter une autorisation. Les organisateurs avaient-ils
"informé" les autorités administratives compétentes? Selon le président
fédéral de l’UDPS/Funa, Apollinaire Panzu, les organisateurs avaient bel
et bien accompli cette formalité. Plusieurs juristes congolais
conviennent que l’accomplissement de cette condition est attestée par le
cachet d’"accusé de réception" apposé sur une copie de la lettre de
notification. Questions : Les autorités chargées du maintien de l’ordre
sont-elles au courant des "mutations constitutionnelles" intervenues
depuis février 2006 en matière d’exercice des droits et libertés? De
même, ces autorités sont-elles au courant que le "pluralisme politique"
est consacré aux termes de l’article 6 de la Loi fondamentale? Pourquoi
les manifestations organisées par le parti présidentiel le PPRD (Parti
du peuple pour la reconstruction et la démocratie) ou ses alliés
n’ont-elles jamais fait l’objet d’un traitement analogue? Va-t-on vers
l’instauration d’un parti unique de fait? Aux termes de son serment,
l’actuel président de la République n’avait-il pas juré notamment
"d’observer et de défendre la Constitution et les lois de la
République?" Qu’a-t-il fait de son serment? Devrait-on parler de
parjure?
Depuis l’organisation des élections générales de 2006,
le voyageur qui foule le sol congolais perçoit en premier lieu l’absence
d’ambiance libérale dans le pays par l’omniprésence des agents des
"services" (ANR, ex-Demiap, DGM, Direction des renseignements et des
services spéciaux de la police, Police d’intervention rapide) ainsi que
des membres de la garde présidentielle. Ces individus à la mine
patibulaire se comportent en membres d’une milice au service du numéro
un Congolais. Le même voyageur ne tarde pas à constater que, depuis
quatre ans, la vie politique au Congo-Kinshasa se limite à quelques
mimiques et gesticulations des dirigeants du PPRD et du Palu de "Mbuta"
Antoine Gizenga. Selon des statistiques non-officielles, la RD Congo
compte pourtant pas moins de 300 formations politiques. Où sont passés
les autres partis? Dans une de ses chroniques, notre confrère Cornelis
Nlandu Tsasa, de retour de Kinshasa, écrivait ces mots dans "Le Signal
du continent" : "Aucune activité n’est organisée par les partis
d‘opposition, alors qu’en face, on voit partout des gens arborer sans se
gêner des tee-shirts à la gloire du PPRD ou du Palu ou des shows
médiatiques à répétition à la télévision, à la gloire de ces deux
partis."
Intolérance
"Il n’y a pas de démocratie.
Il n’y a que des preuves de démocratie", écrivait un philosophe
français. La démocratie n’est rien d’autre qu’un régime de liberté.
Qu’est ce donc la liberté sinon le droit de faire ce que la loi
n’interdit pas parce ne causant aucun tort à autrui? On ne peut parler
de démocratie là règne l’intolérance, la volonté d’imposer une
orthodoxie d’Etat. Une pensée unique. Des exemples pullulent pour
démontrer l’ancrage totalitaire du régime incarné par Joseph Kabila. Une
marche organisée à Kinshasa à l’occasion de la commémoration du 18ème
anniversaire de la «Marche des chrétiens» du 16 février 1992 a été
dispersée par des policiers. Avec son aplomb habituel, le ministre de la
Communication et des médias, Lambert Mende Omalanga, s’empressa de
déclarer, sans rire, que "la manifestation n’a pas été autorisée". Mende
ignore-t-il que la loi a été modifiée en cette matière? Qu’est devenu
Mende, l’ancien opposant du début des années 90, qui ne ratait aucune
marche de protestation organisée pour l’avènement de la démocratie et le
respect des droits de l’Homme? Ce genre de situation ne se passe pas
qu’à Kin. Le 9 octobre dernier à Bukavu, des policiers ont tiré en l’air
pour disperser des "marcheurs" qui exigeaient la libération d’un jeune
artiste-musicien répondant au nom d’Akitoa Kapalata. Celui a commis le
crime de "lèse-raïs" en composant une chanson intitulée "Atuone Kitu".
(Traduction : on n’a rien vu). Une critique à peine voilée à l’encontre
des "Cinq chantiers" et des opérations "Umoja Wetu" et autres "Kimia"
pour "pacifier" les provinces du Kivu. Allergique aux critiques et à la
vérité, Kabila qui n’a pas convaincu par les réalisations à mettre à son
actif, tient malgré tout à rester au pouvoir. Il veut accroître les
prérogatives du chef de l’Etat et rallonger la durée et le nombre du
mandat présidentiel.
«Article 64»
Revenons à
Kinshasa où le pouvoir congolais a choisi de jouer à fond la carte de de
l’intimidation. Dans un récent communiqué daté 13 avril, Donat Mbaya
Tshimanga, président de l’Ong "Journalistes en danger" a dénoncé le
"harcèlement" et les "interpellations fréquentes" des représentants des
médias par des agents de l’ANR. Et ce, pour des faits n’ayant nullement
rapport avec la sécurité nationale. Mbaya de citer à l’appui
l’arrestation successive de "plusieurs employés" de la télévision
commerciale "Antenne A". Sans oublier le cas du directeur de publication
de l’hebdomadaire kinois "Le Journal". Après la libération des
confrères de cette chaîne de télévision, le président du "JED" n’a pas
pu s’empêcher de fustiger l’excès de pouvoir manifeste et la volonté
d’intimider des hommes et des femmes qui n’ont fait qu’accomplir leur
devoir de porter des faits et des opinions à la connaissance du public.
On apprend que les journalistes d’Antenna ont été privés de liberté pour
avoir publier un communiqué des FDLR. Joseph Kabila a manifestement
voulu faire plaisir à son mentor Paul Kagame qui semble le tirer par le
bout du nez.
A plus ou moins quinze mois de la fin de la
législature, point n’est besoin de démontrer que la RD Congo est
gouverné, au quotidien, en violation de la Constitution. Le législateur
avait prévu la parade aux termes de l’article 64 de la Constitution :
"Tout Congolais a le devoir de faire échec à tout individu ou groupe
d’individus qui prend le pouvoir par la force ou qui l’exerce en
violation des dispositions de la présente Constitution.(...)".
LIno vas relire la constitution
Brebis du Ha'mashiah
Re: Kabila veut installer une dictature au congo
FIDH: Résolution sur la situation des droits de l'Homme en RDC, sur le lien suivant
https://congodiaspora.forumdediscussions.com/bibliotheque-f24/rapport-fidh-6-10-avril-2010-t2963.htm#60889
https://congodiaspora.forumdediscussions.com/bibliotheque-f24/rapport-fidh-6-10-avril-2010-t2963.htm#60889
Admin- Admin
Re: Kabila veut installer une dictature au congo
Audio : http://www.rfi.fr/contenu/20100426-organisation-elections-rdc-est-pas-ordre-jour
L'organisation des élections en RDC n'est pas à l'ordre du jour
Par Christophe Boisbouvier
Au Congo Kinshasa, les élections sont prévues l'an prochain mais l'opposition s'inquiète. Jusqu'à présent, aucun calendrier n'a été fixé et personne ne sait quand les listes électorales seront mises à jour. Surtout, le gouvernement vient d'annoncer qu'il a l'intention de modifier le mandat présidentiel.
Le professeur congolais Auguste Mampuya enseigne le Droit public à l'Université de Kinshasa. Il vient aussi de créer un nouveau parti, le RADER, le Rassemblement des démocrates pour la rupture et le renouveau. Il est l’invité de Christophe Boisbouvier et apporte son éclairage à cette difficulté dans la politique intérieure du pays.
taty
Re: Kabila veut installer une dictature au congo
"Révision constitutionnelle :
une démarche inopportune
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=99784&id_edition=5060
Les velléités tendant à revisiter la Constitution ont refait surface en cette veille de la rentrée parlementaire. Les révisionnistes visent des dispositions constitutionnelles, dites d’application difficile. A une année de la fin de la présente législature, cette démarche se révèle inopportune, car ses contours cacheraient bien des calculs électoralistes non avoués..."
17.08.10 Le Cimat Tempéré - Constitution :
Voici la révision !
* 32 articles concernés "
° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=169842&Actualiteit=selected
"Révisionnistes en selles
° http://www.lepotentiel.com//afficher_article_archive.php?id_article=99731&id_edition=5059&yearID=2010&monthID=08&dayID=17
Les révisionnistes de la Constitution du 18 février 2006 ne désarment pas. Ils viennent de se signaler à la veille de la rentrée parlementaire prochaine. Ils ont organisé une fuite d’information pour rappeler à l’opinion qu’ils ne sont prêts à lâcher prise. Raison pour laquelle ils ont lancé hier lundi un ballon d’essai. Question de vérifier si leur initiative peut encore avoir du répondant dans le public..."
Compatriotiquement!
une démarche inopportune
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=99784&id_edition=5060
Les velléités tendant à revisiter la Constitution ont refait surface en cette veille de la rentrée parlementaire. Les révisionnistes visent des dispositions constitutionnelles, dites d’application difficile. A une année de la fin de la présente législature, cette démarche se révèle inopportune, car ses contours cacheraient bien des calculs électoralistes non avoués..."
17.08.10 Le Cimat Tempéré - Constitution :
Voici la révision !
* 32 articles concernés "
° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=169842&Actualiteit=selected
"Révisionnistes en selles
° http://www.lepotentiel.com//afficher_article_archive.php?id_article=99731&id_edition=5059&yearID=2010&monthID=08&dayID=17
Les révisionnistes de la Constitution du 18 février 2006 ne désarment pas. Ils viennent de se signaler à la veille de la rentrée parlementaire prochaine. Ils ont organisé une fuite d’information pour rappeler à l’opinion qu’ils ne sont prêts à lâcher prise. Raison pour laquelle ils ont lancé hier lundi un ballon d’essai. Question de vérifier si leur initiative peut encore avoir du répondant dans le public..."
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: Kabila veut installer une dictature au congo
"Constitution : les dérives d'une révision prématurée
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=99805&id_edition=5061
Loi fondamentale d'une nation, la Constitution ne se négocie pas à la criée comme un article divers. Sa révision non plus ne se fait pas d'une façon intempestive, précipitée, au gré des humeurs des " faiseurs de lois "..."
Compatriotiquement!
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=99805&id_edition=5061
Loi fondamentale d'une nation, la Constitution ne se négocie pas à la criée comme un article divers. Sa révision non plus ne se fait pas d'une façon intempestive, précipitée, au gré des humeurs des " faiseurs de lois "..."
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: Kabila veut installer une dictature au congo
"Le Climat Tempéré / Le billet- Instabilité constitutionnelle
° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=169928&Actualiteit=selected
Les ingrédients s’accumulent qui laissent présager que la rentrée politique de septembre va être explosive. Calendrier électoral fixant le timing des prochaines consultations de 2011 à 2013, désignation des membres de la CENI, arbitrages budgétaires liés à la réaffectation des montants récupérés sur l’effacement de la dette, revisitation de la loi électorale en vue du nouveau découpage des circonscriptions électorales… "
"Le Climat Tempéré - Avant la bataille électorale :
Kabila monte ses stratégies
° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=169931&Actualiteit=selected
Le Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD) se trouve depuis hier jeudi en mini-congrès, pompeusement baptisé « Université du cinquantenaire », dans la ville de Kisangani, Province Orientale..."
Compatriotiquement!
° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=169928&Actualiteit=selected
Les ingrédients s’accumulent qui laissent présager que la rentrée politique de septembre va être explosive. Calendrier électoral fixant le timing des prochaines consultations de 2011 à 2013, désignation des membres de la CENI, arbitrages budgétaires liés à la réaffectation des montants récupérés sur l’effacement de la dette, revisitation de la loi électorale en vue du nouveau découpage des circonscriptions électorales… "
"Le Climat Tempéré - Avant la bataille électorale :
Kabila monte ses stratégies
° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=169931&Actualiteit=selected
Le Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD) se trouve depuis hier jeudi en mini-congrès, pompeusement baptisé « Université du cinquantenaire », dans la ville de Kisangani, Province Orientale..."
Compatriotiquement!
ndonzwau
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