Lu pour vous.
+22
kinmasta
Vieux Bord
BLACK ROSE
Orduna
Flick de Kolwezi
Jim KK
Libre Examen
Admin
taty
Brebis du Ha'mashiah
El-chaman
King David
Arafat
lino
GHOST
Mathilde
Tonton Ricos
mongo elombe
ndonzwau
*CNMM
Tsippora
djino
26 participants
Page 9 sur 20
Page 9 sur 20 • 1 ... 6 ... 8, 9, 10 ... 14 ... 20
Re: Lu pour vous.
Pour un retour à l’expéditeur, Kigali devrait utiliser la voie diplomatique pour dire au gouvernement congolais qu’il y aurait dans « le colis », des éléments non rwandais. *Les attaques des Fdlr semblent obéir à certains agendas cachés de certains politiques congolais qui trouvent plaisir à démontrer que la lutte contre les Fdlr est un échec.
Il y a longtemps que l’on parle du rapatriement volontaire des Fdlr. Cette opération n’a pas connu le succès qu’on attendait. Les Fdlr qui avaient intérêt à rentrer dans leur pays sous la protection internationale, refusaient de saisir la perche qui leur était tendue.
Le pasteur Daniel Ngoy Mulunda, parti dans l’Est du pays dans le cadre de l’opération « arme contre 50 dollars », s’est vu confronté à l’équation Fdlr. Il en a convaincus pour la délocalisation. Celle-ci s’est vite muée en rapatriement volontaire. Les candidats à la délocalisation au rapatriement ont été identifiés. Sur base des témoignages divers, ils ont été reconnus comme Rwandais et à leur demande, ils ont accepté d’être délocalisés. C’est ainsi qu’ils seront accueillis à Kisenge au Katanga. Mais aussitôt arrivés, certains d’entre eux ont tenté de s’en fuir arguant qu’ils voulaient rentrer chez eux au Rwanda. Ils avaient pourtant la latitude de choisir un rapatriement en douceur en lieu et place de s’en fuir.
Les autorités congolaises n’ont pas hésité, après les avoir rattrapés, à leur obtenir ce rapatriement. Devant cette opportunité, d’autres rebelles rwandais ont demandé également d’être rapatriés. Il y a eu donc une cinquantaine d’éléments Fdlr qui ont été rapatriés. C’est donc avec étonnement que l’on apprend qu’une vingtaine de ces éléments ont été refoulés du Rwanda pour cause qu’ils seraient Congolais. Par quelle magie donc, pour quel intérêt, les autres membres des Fdlr avaient-ils témoigné sur leur nationalité rwandaise ?
http://www.groupelavenir.cd/spip.php?article34688
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Lu pour vous.
RDCongo: un rapport de l'ONU met en cause le Rwanda pour des faits de "génocide"
(AFP) – Il y a 2 heures
PARIS — Un rapport du Haut-commissariat de l'ONU aux droits de l'Homme, révélé jeudi par le journal français Le Monde, estime que des faits de "génocide" ont pu être commis en République démocratique du Congo (RDC) en 1996-98 par des militaires rwandais ou soutenus par le Rwanda.
Dans ce document, dont le quotidien dit s'être procuré une version quasi définitive, les enquêteurs de l'ONU estiment que "les attaques systématiques et généralisées (contre des Hutus réfugiés en RDC) révèlent plusieurs éléments accablants qui, s?ils sont prouvés devant un tribunal compétent, pourraient être qualifiés de crimes de génocide".
Ce rapport de 600 pages, qui porte sur la décennie 1993-2003, se réfère en l'espèce aux faits imputés à l?Armée patriotique rwandaise (APR) durant la première guerre en RDC, de 1996 à 1998. Il se réfère aussi à des faits imputés à l'Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo (AFDL), "une coalition créée à Kigali" en octobre 1996, selon le rapport.
C'est cette coalition qui avait permis à Laurent-Désiré Kabila de chasser du pouvoir à Kinshasa le maréchal Mobutu en mai 1997.
Le rapport décrit "la nature systématique, méthodologique et préméditée des attaques contre les Hutus (qui) se sont déroulées dans chaque localité où des réfugiés ont été dépistés par l?AFDL/APR sur une très vaste étendue du territoire".
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5j4cozG2InzQGfAUHDNdTCVOJz6gA
(AFP) – Il y a 2 heures
PARIS — Un rapport du Haut-commissariat de l'ONU aux droits de l'Homme, révélé jeudi par le journal français Le Monde, estime que des faits de "génocide" ont pu être commis en République démocratique du Congo (RDC) en 1996-98 par des militaires rwandais ou soutenus par le Rwanda.
Dans ce document, dont le quotidien dit s'être procuré une version quasi définitive, les enquêteurs de l'ONU estiment que "les attaques systématiques et généralisées (contre des Hutus réfugiés en RDC) révèlent plusieurs éléments accablants qui, s?ils sont prouvés devant un tribunal compétent, pourraient être qualifiés de crimes de génocide".
Ce rapport de 600 pages, qui porte sur la décennie 1993-2003, se réfère en l'espèce aux faits imputés à l?Armée patriotique rwandaise (APR) durant la première guerre en RDC, de 1996 à 1998. Il se réfère aussi à des faits imputés à l'Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo (AFDL), "une coalition créée à Kigali" en octobre 1996, selon le rapport.
C'est cette coalition qui avait permis à Laurent-Désiré Kabila de chasser du pouvoir à Kinshasa le maréchal Mobutu en mai 1997.
Le rapport décrit "la nature systématique, méthodologique et préméditée des attaques contre les Hutus (qui) se sont déroulées dans chaque localité où des réfugiés ont été dépistés par l?AFDL/APR sur une très vaste étendue du territoire".
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5j4cozG2InzQGfAUHDNdTCVOJz6gA
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Lu pour vous.
A LA UNE
Arthur Z'Ahidi Ngoma évacué d'urgence à Johannesburg
* Joint hier au téléphone par «Forum des As», l'ancien Vice-président de la République remercie le chef de l'Etat pour avoir mis à sa disposition un avion médicalisé
VVice-président de la République honoraire, Z'Ahidi Arthur Ngoma a été évacué d'urgence dans la nuit de mardi à mercredi dernier en Afrique du Sud pour des soins que nécessitait son état. Des sources proches de sa famille ont indiqué qu'il a été victime d'un profond malaise. Avant l'évacuation, des médecins congolais, qui étaient à son chevet, ont tout fait pour que l'irréparable ne se produise.
24 heures après sa prise en charge médicale, il semble se remettre de son mal, puisqu'il a échangé quelques mots avec Forum des As qui l'a joint au téléphone. Cette maladie survient à un moment délicat pour le leader du Camp de la patrie, au moment où tous les acteurs politiques s'activent pour préparer les élections à venir. En sa qualité de responsable du Camp de la patrie et des Forces du Futur, il a encore toute sa place dans le paysage politique congolais en général et dans les rangs de l'opposition en particulier.
Z'Ahidi Ngoma a remercié le chef de l'Etat qui a mis un avion médicalisé à sa disposition. Il salue ce geste qu'il qualifie à la fois de cœur et de républicain. C'est, en somme, pour la deuxième fois que Z'Ahidi Ngoma est ainsi terrassé par la maladie. En 2007, le président des Forces et chef de file du Camp de la patrie avait connu une attaque qui l'avait aussi conduit d'urgence en Afrique du Sud.
A l'époque, on avait parlé d'un véritable miracle pour son rétablissement et une messe d'action de grâce avait même été organisée à son retour. A cette occasion aussi, Z'Ahidi n'avait pas manqué de mots de reconnaissance envers le chef de l'Etat qui l'avait assisté. FDA
http://www.forumdesas.cd/pages/x017.html
Arthur Z'Ahidi Ngoma évacué d'urgence à Johannesburg
* Joint hier au téléphone par «Forum des As», l'ancien Vice-président de la République remercie le chef de l'Etat pour avoir mis à sa disposition un avion médicalisé
VVice-président de la République honoraire, Z'Ahidi Arthur Ngoma a été évacué d'urgence dans la nuit de mardi à mercredi dernier en Afrique du Sud pour des soins que nécessitait son état. Des sources proches de sa famille ont indiqué qu'il a été victime d'un profond malaise. Avant l'évacuation, des médecins congolais, qui étaient à son chevet, ont tout fait pour que l'irréparable ne se produise.
24 heures après sa prise en charge médicale, il semble se remettre de son mal, puisqu'il a échangé quelques mots avec Forum des As qui l'a joint au téléphone. Cette maladie survient à un moment délicat pour le leader du Camp de la patrie, au moment où tous les acteurs politiques s'activent pour préparer les élections à venir. En sa qualité de responsable du Camp de la patrie et des Forces du Futur, il a encore toute sa place dans le paysage politique congolais en général et dans les rangs de l'opposition en particulier.
Z'Ahidi Ngoma a remercié le chef de l'Etat qui a mis un avion médicalisé à sa disposition. Il salue ce geste qu'il qualifie à la fois de cœur et de républicain. C'est, en somme, pour la deuxième fois que Z'Ahidi Ngoma est ainsi terrassé par la maladie. En 2007, le président des Forces et chef de file du Camp de la patrie avait connu une attaque qui l'avait aussi conduit d'urgence en Afrique du Sud.
A l'époque, on avait parlé d'un véritable miracle pour son rétablissement et une messe d'action de grâce avait même été organisée à son retour. A cette occasion aussi, Z'Ahidi n'avait pas manqué de mots de reconnaissance envers le chef de l'Etat qui l'avait assisté. FDA
http://www.forumdesas.cd/pages/x017.html
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Lu pour vous.
La rentrée scolaire repoussée le 20 septembre par les enseignants
Kinshasa, 03/09/2010 / Société
A l’issue de leur assemblée générale, les enseignants comme un seul homme ont décidé de ne pas reprendre le travail le 6 septembre 2010, date fixée par le gouvernement pour la rentrée scolaire. Les enseignants de la RD.Congo regroupés au sein du SYNECAT, des Fédérations de l’enseignement primaire et secondaire -FEPS, de la Confédération démocratique du travail - CDT - ainsi que de la Centrale congolaise du travail -CCT- se sont réunis en assemblée générale, au siège de la CDT, à Kinshasa, pour examiner leurs conditions depuis les élections de 2006 et les conséquences de leur prise en charge par les ménages pauvres comme mode de gestion et de fonctionnement des écoles.
A l’issue de cette assemblée générale, les enseignants comme un seul homme, ont décidé de ne pas reprendre le travail le 6 septembre 2010, date fixée par le gouvernement pour la rentrée scolaire 2010-2011.
Pour eux, le 20 septembre, date prévue par le gouvernement pour payer le deuxième palier de Mbudi avec comme chiffre indicatif, neuf cents trente six milles francs congolais, déjà payés aux secrétaires généraux de l’administration publique.
Les enseignants, réunis en assemblée générale ont décidé de lancer à partir de ce mardi 31 août la campagne de désobéissance citoyenne dans le secteur de l’éducation. Ceci est accompagné de différentes actions de boycotte en l’occurrence, la reprise du travail dans le secteur de l’EPSP à la date fixée par le gouvernement sur toute l’étendue du territoire national et le boycott des examens semestriels, du TENAFEP et de l’examen d’Etat. En outre, un sit-in sera organisé le 15 septembre 2010 lors de la rentrée parlementaire en synergie avec les syndicats indépendants de l’administration publique.
Ces décisions des enseignants de la RD-Congo font suite aux différents constats dégagés après examen de divers points à l’ordre du jour. Ils ont remarqué que le gouvernement de la RD-Congo excelle dans les négociations avec des syndicats amis produisant des protocoles d’accord non appliqués comme la mécanisation et l’uniformisation des salaires des enseignants promises depuis 2007, renvoyées en juillet 2010 et enfin repoussées en septembre 2010 pour une rentrée apaisée. Le barème salarial est resté inchangé depuis 2005 alors que le budget de l’Etat est passé de deux à six milliards USD.
« Le Point d’achèvement de l’initiative PPTE étant atteint, le gouvernement n’a pas de rairons de ne pas paver le barème de Mbudi », a rappelé un enseignant.
Barick Buema/AfricaNews
http://www.digitalcongo.net/article/69824
Kinshasa, 03/09/2010 / Société
A l’issue de leur assemblée générale, les enseignants comme un seul homme ont décidé de ne pas reprendre le travail le 6 septembre 2010, date fixée par le gouvernement pour la rentrée scolaire. Les enseignants de la RD.Congo regroupés au sein du SYNECAT, des Fédérations de l’enseignement primaire et secondaire -FEPS, de la Confédération démocratique du travail - CDT - ainsi que de la Centrale congolaise du travail -CCT- se sont réunis en assemblée générale, au siège de la CDT, à Kinshasa, pour examiner leurs conditions depuis les élections de 2006 et les conséquences de leur prise en charge par les ménages pauvres comme mode de gestion et de fonctionnement des écoles.
A l’issue de cette assemblée générale, les enseignants comme un seul homme, ont décidé de ne pas reprendre le travail le 6 septembre 2010, date fixée par le gouvernement pour la rentrée scolaire 2010-2011.
Pour eux, le 20 septembre, date prévue par le gouvernement pour payer le deuxième palier de Mbudi avec comme chiffre indicatif, neuf cents trente six milles francs congolais, déjà payés aux secrétaires généraux de l’administration publique.
Les enseignants, réunis en assemblée générale ont décidé de lancer à partir de ce mardi 31 août la campagne de désobéissance citoyenne dans le secteur de l’éducation. Ceci est accompagné de différentes actions de boycotte en l’occurrence, la reprise du travail dans le secteur de l’EPSP à la date fixée par le gouvernement sur toute l’étendue du territoire national et le boycott des examens semestriels, du TENAFEP et de l’examen d’Etat. En outre, un sit-in sera organisé le 15 septembre 2010 lors de la rentrée parlementaire en synergie avec les syndicats indépendants de l’administration publique.
Ces décisions des enseignants de la RD-Congo font suite aux différents constats dégagés après examen de divers points à l’ordre du jour. Ils ont remarqué que le gouvernement de la RD-Congo excelle dans les négociations avec des syndicats amis produisant des protocoles d’accord non appliqués comme la mécanisation et l’uniformisation des salaires des enseignants promises depuis 2007, renvoyées en juillet 2010 et enfin repoussées en septembre 2010 pour une rentrée apaisée. Le barème salarial est resté inchangé depuis 2005 alors que le budget de l’Etat est passé de deux à six milliards USD.
« Le Point d’achèvement de l’initiative PPTE étant atteint, le gouvernement n’a pas de rairons de ne pas paver le barème de Mbudi », a rappelé un enseignant.
Barick Buema/AfricaNews
http://www.digitalcongo.net/article/69824
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Lu pour vous.
Nouveaux cas de viols massifs dans la localité de Nundu, dans l’Est de la RDC !
image Femmes victimes de viols dans l’Est de la République démocratique du Congo !
Des militaires rwandais intégrés dans l’opération « Amani Leo » et basés à Mbeko, ont violées des dizaines de femmes congolaises ce Jeudi 2 Septembre 2010 dans la localité de Nundu au Sud Kivu.
Alors que le peuple congolais et l’opinion internationale sont encore secoués par la révélation des récents cas de viols massifs de plus de 200 femmes à Luvungi dans le Nord Kivu du 30 juillet au 3 août dernier, l’Alliance des Patriotes pour la Refondation du Congo (APARECO en sigle) vient d’apprendre avec colère et indignation un tout nouveau cas de viol d’une cinquantaine de femmes dont des filles mineures. Elles ont été sauvagement violées ce Jeudi 2 Septembre 2010 dans la localité de Nundu, dans le territoire de Fizi, dans la province du Sud Kivu.
Ces mères de famille et ces jeunes femmes ont été agressées vers 6h du matin, alors qu’elles se rendaient dans leurs champs pour y travailler matinalement. Plusieurs d’entre elles sont portées disparues depuis lors, et leur sort continue à susciter beaucoup d’inquiétude. Quelques rescapées de ces barbaries tentent, tant bien que mal, de recevoir des soins appropriés notamment à l’hôpital de Nundu. D’après les différents témoignages recueillis sur place, les bourreaux de ces malheureuses femmes congolaises ont été identifiés par des témoins oculaires: il s’agit bien des militaires rwandais participants à l’Opération « Amani Leo », et basés à Mbeko. Il convient aussi de signaler que ces violences ont eu lieu le lendemain de la visite à Fizi du Colonel Delphin Kahimbi et du Ministre du développement rural, Monsieur Unji Philippe.
http://afrique.kongotimes.info/rdc/provinces/nouveaux-cas-viols-massifs-localite-nundu-est.html
image Femmes victimes de viols dans l’Est de la République démocratique du Congo !
Des militaires rwandais intégrés dans l’opération « Amani Leo » et basés à Mbeko, ont violées des dizaines de femmes congolaises ce Jeudi 2 Septembre 2010 dans la localité de Nundu au Sud Kivu.
Alors que le peuple congolais et l’opinion internationale sont encore secoués par la révélation des récents cas de viols massifs de plus de 200 femmes à Luvungi dans le Nord Kivu du 30 juillet au 3 août dernier, l’Alliance des Patriotes pour la Refondation du Congo (APARECO en sigle) vient d’apprendre avec colère et indignation un tout nouveau cas de viol d’une cinquantaine de femmes dont des filles mineures. Elles ont été sauvagement violées ce Jeudi 2 Septembre 2010 dans la localité de Nundu, dans le territoire de Fizi, dans la province du Sud Kivu.
Ces mères de famille et ces jeunes femmes ont été agressées vers 6h du matin, alors qu’elles se rendaient dans leurs champs pour y travailler matinalement. Plusieurs d’entre elles sont portées disparues depuis lors, et leur sort continue à susciter beaucoup d’inquiétude. Quelques rescapées de ces barbaries tentent, tant bien que mal, de recevoir des soins appropriés notamment à l’hôpital de Nundu. D’après les différents témoignages recueillis sur place, les bourreaux de ces malheureuses femmes congolaises ont été identifiés par des témoins oculaires: il s’agit bien des militaires rwandais participants à l’Opération « Amani Leo », et basés à Mbeko. Il convient aussi de signaler que ces violences ont eu lieu le lendemain de la visite à Fizi du Colonel Delphin Kahimbi et du Ministre du développement rural, Monsieur Unji Philippe.
http://afrique.kongotimes.info/rdc/provinces/nouveaux-cas-viols-massifs-localite-nundu-est.html
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Lu pour vous.
http://rnanews.com/ele-2010/4130-dr-congo-leader-arrives-amid-loudest-applause-
DR Congo leader arrives amid loudest applause
Rodney
DR Congo leader arrives amid loudest applause
Kigali: The President of DR Congo Joseph Kabila arrived in the Amahoro National Stadium at exactly 10am amid the loudest applause from the tens of thousands – compared the other leaders who arrived Monday morning.
There was applause and chanting as President Kabila stepped out of his convoy to move up the steps to join other Heads of State. Then as the cameras zoomed-in on him – showing him on the giant screen over-looking the stadium, there was more applause which prompted the Foreign Affairs Minister Louise Mushikiwabo to say: “We welcome President Kabila again as we have missed him.” FR : («Nous accueillons à nouveau le Président Kabila comme il nous a manqué.")
Dans l'au delà, vieux mokrekese écrit : OYO ADALI NA MATOYI YA KOYOKA, AYOKA. OYO ADALI NA MISO YA KOMONA, AMONA. OYO PE AKO SOSOLA, ASOSOLA.
Rodney
taty
Re: Lu pour vous.
Vital Kamerhe à la presse : ‘’Il est inconcevable que les congolais vivent dans les délestages du courant électrique’’
L’Union des démocrates mobutistes (UDEMO), a commémoré hier mardi 7 septembre, le 13ème anniversaire de la disparition du Maréchal Mobutu Sese Seko décédé comme on le sait, le 7 septembre 1997 à Rabat au Maroc.
A cette occasion, une messe d’action de grâce initiée par le Vice-premier ministre François Joseph Nzanga Mobutu et l’honorable Mobutu Giala, a dite en la cathédrale Notre Dame de Lingwala, en présence de plusieurs autorités du pays ainsi que des proches parents de feu le Maréchal Mobutu.
L’officiant du jour a axé sa prédication sur le livre de l’Apocalypse au chapitre 14, le verset 13 et dans le livre de l’Apôtre Jean, où Jésus demande à ses disciples de ne pas être bouleversés. ‘’Si vous croyez en Dieu, croyez aussi en moi (…), car je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne va au père que par moi’’, avait dit le Seigneur Jésus Christ à ses disciples, peu avant d’être crucifié sur la croix de Golgotha.
A l’issue de sa prédication l’officiant du jour a reconnu l’héritage que feu maréchal Mobutu a légué à la population congolaise (alors zaïroise). A l’en croire le Maréchal Mobutu a fait des Zaïrois de l’époque (aujourd’hui Congolais) un seul peuple et cela, peu importe la tribu et la langue de chacun. ‘’Fier de son pays, il avait une grande vision pour la nation zaïroise’’, a reconnu l’officiant du jour, ajoutant que l’illustre disparu disposait également en lui, la culture du respect de l’heure.
Il a conclu sa prédication en demandant à Dieu d’accorder à feu le Maréchal Mobutu la paix éternelle.
Prenant la parole à son tour, le secrétaire général a.i. de l’UDEMO, Me Guillaume Kahasha ka Nashi, a remercié l’assistance, avant de rappeler l’une des vertus du Maréchal Mobutu : l’attachement à la paix, à l’unité nationale et à la stabilité politique. ‘’Il est également l’initiateur de la démocratie en RDC’’, a-t-il dit, avant d’inviter tous les congolais de prendre l’engagement de ne jamais sacrifier l’unité nationale chèrement acquise par le défunt maréchal.
Kamhere vole la vedette
Parmi les invités de marque à cette célébration eucharistique, se trouvait l’ancien speaker de l’Assemblée nationale, Vital Kamhere, qui a presque volé la vedette à toute l’assistance. En effet, l’homme marque l’actualité politique ces derniers temps en RDC, a été adulé par la foule présente hier à la cathédrale Notre Dame, si bien que la presse invitée a eu du mal à lui arracher quelques phrases. Il a également reconnu que le Maréchal Mobutu nous a légué l’unité nationale. Reste donc à notre génération de s’engager dans le combat pour le développement.
Pour ce faire, Vital Kamerhe croit qu’il y a lieu de relever le défi, car il est inconcevable que dans un pays comme le nôtre avec toutes richesses du sol et du sous-sol que la population puisse vivre dans les délestages du courant et dans la pauvreté.
Parmi d’autres personnalités de marque, on pouvait noter la présence de Vunduawe te Pemako, Me Yoko Yakembe, l’ADG Maurice Tshikuya de l’INPP, pasteur Mugalu chef de la maison civile du Chef de l’Etat etc.
José Wakadila
Kinshasa, 8/09/2010 (La Référence Plus, via mediacongo.net)
L’Union des démocrates mobutistes (UDEMO), a commémoré hier mardi 7 septembre, le 13ème anniversaire de la disparition du Maréchal Mobutu Sese Seko décédé comme on le sait, le 7 septembre 1997 à Rabat au Maroc.
A cette occasion, une messe d’action de grâce initiée par le Vice-premier ministre François Joseph Nzanga Mobutu et l’honorable Mobutu Giala, a dite en la cathédrale Notre Dame de Lingwala, en présence de plusieurs autorités du pays ainsi que des proches parents de feu le Maréchal Mobutu.
L’officiant du jour a axé sa prédication sur le livre de l’Apocalypse au chapitre 14, le verset 13 et dans le livre de l’Apôtre Jean, où Jésus demande à ses disciples de ne pas être bouleversés. ‘’Si vous croyez en Dieu, croyez aussi en moi (…), car je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne va au père que par moi’’, avait dit le Seigneur Jésus Christ à ses disciples, peu avant d’être crucifié sur la croix de Golgotha.
A l’issue de sa prédication l’officiant du jour a reconnu l’héritage que feu maréchal Mobutu a légué à la population congolaise (alors zaïroise). A l’en croire le Maréchal Mobutu a fait des Zaïrois de l’époque (aujourd’hui Congolais) un seul peuple et cela, peu importe la tribu et la langue de chacun. ‘’Fier de son pays, il avait une grande vision pour la nation zaïroise’’, a reconnu l’officiant du jour, ajoutant que l’illustre disparu disposait également en lui, la culture du respect de l’heure.
Il a conclu sa prédication en demandant à Dieu d’accorder à feu le Maréchal Mobutu la paix éternelle.
Prenant la parole à son tour, le secrétaire général a.i. de l’UDEMO, Me Guillaume Kahasha ka Nashi, a remercié l’assistance, avant de rappeler l’une des vertus du Maréchal Mobutu : l’attachement à la paix, à l’unité nationale et à la stabilité politique. ‘’Il est également l’initiateur de la démocratie en RDC’’, a-t-il dit, avant d’inviter tous les congolais de prendre l’engagement de ne jamais sacrifier l’unité nationale chèrement acquise par le défunt maréchal.
Kamhere vole la vedette
Parmi les invités de marque à cette célébration eucharistique, se trouvait l’ancien speaker de l’Assemblée nationale, Vital Kamhere, qui a presque volé la vedette à toute l’assistance. En effet, l’homme marque l’actualité politique ces derniers temps en RDC, a été adulé par la foule présente hier à la cathédrale Notre Dame, si bien que la presse invitée a eu du mal à lui arracher quelques phrases. Il a également reconnu que le Maréchal Mobutu nous a légué l’unité nationale. Reste donc à notre génération de s’engager dans le combat pour le développement.
Pour ce faire, Vital Kamerhe croit qu’il y a lieu de relever le défi, car il est inconcevable que dans un pays comme le nôtre avec toutes richesses du sol et du sous-sol que la population puisse vivre dans les délestages du courant et dans la pauvreté.
Parmi d’autres personnalités de marque, on pouvait noter la présence de Vunduawe te Pemako, Me Yoko Yakembe, l’ADG Maurice Tshikuya de l’INPP, pasteur Mugalu chef de la maison civile du Chef de l’Etat etc.
José Wakadila
Kinshasa, 8/09/2010 (La Référence Plus, via mediacongo.net)
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Lu pour vous.
Interdiction d'exploitation des minerais dans le territoire de Walikale!
Ce n'est pas que je suis contre la décision du Président de la République mais je trouve qu'en décidant ainsi sans que des mesures conservatoires soient prises c'est la population du Walikale qui va en payer les frais! Les raisons qui ont motivé cette décision sont : « la fraude à outrance constatée dans l’exportation des minerais à Walikale et l’insécurité liée à cette activité ».
Tenez, ce territoire est le plus enclavé de la province du Nord - Kivu.
Par route, 200 km séparent Walikale - centre de Goma. Cette route est dans la majorité de son parcours impraticable et très insécurisée ( présence des bandits et autres groupes armés ). Les barrières ( FARDC et autres ) sont innombrables. Donc, pour vous dire que l'accès est difficile par route pour aller à Walikale.
Seule la voie aérienne est possible et les petits avions privés ravitaillent le Walikale par des biens de première nécessité. Nous savons bien que cloué au sol un avion ne fait pas des recettes et donc une grosse perte pour les compagnies privées et les services qui sont concernés par ces opérations de l'aviation civile.
Bientôt, il n'y aura plus de sel, du pétrole, du savon, des médicaments,... à Walikale où les prix vont flamber!
Et c'est pourquoi je parle des mesures qui devraient être préalablement prises avant de décider la suspension de l'exploitation minière dans le Walikale!
Oui, il y a de la fraude et ce à tous les niveaux mais fallait - il prendre une telle décision?
Ne devrions - nous pas commencer par faire du ménage au sein de l'armée, de la police et des autres services étatiques qui sont concernés par ce secteur?
De Kinshasa à Walikale en passant par Goma, la chaine des mafieux est longue!
Ce n'est pas le simple paysan ou exploitant artisanal du Walikale qui doit en payer les frais.
Je pense que la cible a été mal choisie, il faut enrayer toute la gangrène de corruption et autres dérapages dans ce secteur...
Premièrement, il faut sécuriser le Territoire en y déployant des troupes en masse et des policiers pour la sécurisation de proximité. Si moralisées, encadrées et mieux payées ; les troupes FARDC ratisseront les forets du Walikale pour traquer ( dans le vrai sens du mot ) tous les groupes armés congolais et étrangers qui insécurisent les populations.
Ensuite, il faut rétablir l’autorité de l’Etat et renforcer le pouvoir coutumier à tous les niveaux pour permettre aux institutions territoriales et de la chefferie de se rapprocher du peuple et mener à bien les projets de développement.
L’Etat doit en priorité assainir le secteur minier que ce soit à Walikale ou ailleurs par des lois et règlementations drastiques afin d’éviter le pourrissement dudit secteur et permettre la rentrée des recettes dans les caisses de l’Etat. Cela peut passer par :
- la démilitarisation des sites miniers,
- la mise en place des centres de négoce,
- la réduction des services étatiques sur les sites,
- l’application de la Tolérance Zéro contre toutes les personnes impliquées dans le trafic illicite des minerais,
- l’encadrement et l’organisation de l’exploitation artisanale,
- l’instauration d’une rétrocession territoriale retenue sur place pour permettre aux populations de jouir de leurs richesses
- l’implication de la population par des projets communautaires
- l’annulation ou la révisitation des contrats d’exploitation, les permis de recherche de toutes les compagnies minières congolaises et étrangères
- la révisitation des autorisations d’exercice de tous les comptoirs d’achat
- l’érection d’usines pour un premier traitement des minerais avant sortie du territoire
- l’interdiction de toute exploitation minière dans les réserves communautaires et forestières
- …
Interdire l’exploitation minière dans tout le territoire de Walikale sans, en contre partie, mener des projets de développement ( Accès à l’eau potable, Accès au courant électrique, accès aux soins de santé de qualité, infrastructures, création d’emploi, éducation,…) c’est signer l’autodafé des populations de ce territoire qui n’ont que trop souffert.
Parlant d’infrastructures c’est quand même honteux de voir que ce territoire n’a pas d’aérodrome ni d’aéroport et c’est la route qui fait office de piste d’atterrissage ! Quel honte ?
Pour évacuer les ressources en quantité et en toute sécurité l’Etat congolais doit en priorité construire un aéroport digne de ce nom pour ce Territoire qui constitue l’un des poumons économique du pays.
J'y reviens bientôt!
Moise MASONGA CH.
GOMA, Nord – Kivu
vendredi 10 septembre 2010
Rodmey
taty
Re: Lu pour vous.
Pénurie d’eau, un enfant meurt à la recherche de l’eau de source à Ngaliema
Le manque d’électricité et donc d’eau potable depuis 48 heures dans la grande partie Ouest de la capitale de la République démocratique du Congo commence à avoir des conséquences.
Il y a eu d’ abord la pénurie d’eau, comme on le sait, mais aussi la mort de cet enfant de 11 ans ce dimanche 12 septembre. L’infortuné a été écrasé par une grosse pierre qui s’est détachée d’une colline pendant que lui et ses camarades se procuraient péniblement l’eau à la source, dans la forêt du cercle hippique, dans la commune de Ngaliema
Les conséquences du manque d’eau et d’électricité à l’Ouest de la capitale sont multiples.
Outre la pénurie d’eau de la Regideso (entreprise publique de fourniture d’eau potable) dans plusieurs communes de la capitale et les difficultés vécues dans les hôpitaux, plusieurs retombés socio-économiques sont enregistrés.
Sur le plan social, un enfant de 11 ans vient de mourir à la source d’eau de la forêt du centre hippique au quartier Ma Campagne, dans la commune de Ngaliema. Selon des témoins, une grosse pierre est tombée sur lui. Un habitant du quartier témoigne :
« L’enfant est mort pace qu’il était vraiment en dessous de la pierre. Beaucoup de gens étaient sur la colline, d’autres en sous. Tous se précipitaient pour puiser de l’eau de la source.»
Cette incidence a également occasionné plusieurs blessés, dont un grave.
En dehors des conséquences sociales, des conséquences économiques sont aussi signalées. La population ne peut plus s’approvisionner en vivres frais parce que plusieurs chambres froides sont restées fermées toute la journée de dimanche.
Les responsables des chambres froides justifient cette fermeture par manque d’électricité. L’un d’eux explique :
«Nous n’ouvrons pas les chambres froides parce qu’il n’y a pas de courant. Si nous les ouvrons, l’air chaud va entrer et les vivres risquent de pourrir.»
La population demande aux autorités compétentes de trouver une solution dans un temps réfléchi.
Aux dernières nouvelles, au moment où nous accouchons ces lignes, nous apprenons que l’eau et l’électricité sont revenues dans certains quartiers de la commune de Ngaliema, après deux jours d’interruption, notamment à Kinsuka, Don Bosco, Kimbwala, une partie de Delvaux et à Binza Météo.
http://radiookapi.net/actualite/2010...ce-a-ngaliema/ No Comment !
Le manque d’électricité et donc d’eau potable depuis 48 heures dans la grande partie Ouest de la capitale de la République démocratique du Congo commence à avoir des conséquences.
Il y a eu d’ abord la pénurie d’eau, comme on le sait, mais aussi la mort de cet enfant de 11 ans ce dimanche 12 septembre. L’infortuné a été écrasé par une grosse pierre qui s’est détachée d’une colline pendant que lui et ses camarades se procuraient péniblement l’eau à la source, dans la forêt du cercle hippique, dans la commune de Ngaliema
Les conséquences du manque d’eau et d’électricité à l’Ouest de la capitale sont multiples.
Outre la pénurie d’eau de la Regideso (entreprise publique de fourniture d’eau potable) dans plusieurs communes de la capitale et les difficultés vécues dans les hôpitaux, plusieurs retombés socio-économiques sont enregistrés.
Sur le plan social, un enfant de 11 ans vient de mourir à la source d’eau de la forêt du centre hippique au quartier Ma Campagne, dans la commune de Ngaliema. Selon des témoins, une grosse pierre est tombée sur lui. Un habitant du quartier témoigne :
« L’enfant est mort pace qu’il était vraiment en dessous de la pierre. Beaucoup de gens étaient sur la colline, d’autres en sous. Tous se précipitaient pour puiser de l’eau de la source.»
Cette incidence a également occasionné plusieurs blessés, dont un grave.
En dehors des conséquences sociales, des conséquences économiques sont aussi signalées. La population ne peut plus s’approvisionner en vivres frais parce que plusieurs chambres froides sont restées fermées toute la journée de dimanche.
Les responsables des chambres froides justifient cette fermeture par manque d’électricité. L’un d’eux explique :
«Nous n’ouvrons pas les chambres froides parce qu’il n’y a pas de courant. Si nous les ouvrons, l’air chaud va entrer et les vivres risquent de pourrir.»
La population demande aux autorités compétentes de trouver une solution dans un temps réfléchi.
Aux dernières nouvelles, au moment où nous accouchons ces lignes, nous apprenons que l’eau et l’électricité sont revenues dans certains quartiers de la commune de Ngaliema, après deux jours d’interruption, notamment à Kinsuka, Don Bosco, Kimbwala, une partie de Delvaux et à Binza Météo.
http://radiookapi.net/actualite/2010...ce-a-ngaliema/ No Comment !
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Lu pour vous.
Chers Compatriotes,
Un militaire ne devient officier qu'après avoir terminé avec succès ses études dans une académie militaire;il obtient alors une licence en quelque chose et sur le plan strictement militaire,il devientSOUS-LIEUTENANT et est CHEF DE PELOTON.
Après avoir reçu une formation plus scientifique que militaire,il doit acquérir le savoir-faire sur le terrain et commandera le peloton pendant au moins 3 ans;et s'il est bien noté par ses supérieurs hiérarchiques,au bout de 3 ans il sera nommé LIEUTENANT.En tant que lieutenant,il sera commandant en second de compagnie et se préparera à prendre la tête d'une compagnie pour devenir CAPITAINE!Lorsqu'il se distingue comme commandant de compagnie,il va et doit apprendre la technique d'état-major auprès d'une institution spécialisée,type école supérieure militaire!Et lorsqu'il en sort,il est bon pour l'état-major des grandes unités(Bataillon,Brigade,Régiment,etc......) et sera ainsi nommé MAJOR.
Après des bons et loyaux services,supervisés,encadrés et côtés par ses chefs,il ira à l'école d'état-major ou des administrateurs,d'où il sortira Breveté d'état-major(B.E.M) ou breveté d'administration militaire(B.A.M).
Ce n'est qu'après avoir suivi ce cursus avec succès qu'un militaire devient bon pour exercer les plus hautes fonctions dans l'armée:LIEUTENANT-COLONEL,COLONEL,GENERAL DE BRIGADE,GENERAL DE DIVISION,GENERAL DE CORPS D'ARMEE et ainsi de suite.Et être capable de défendre efficacement l'intégrité territoriale et la souveraineté internationale de notre Pays!
Il faut bien se mettre en tête qu'un officier ne commande pas la paperasse,mais plutôt des hommes et que il n'y a pas des mauvaises troupes,il n'y a que des mauvais chefs!
Pourriez-vous accepter qu'un planteur d'haricots,un vendeur d'oeufs,un chercheur d'or ou de diamant puisse opérer un membre de votre famille?Sûrement pas!Alors pourquoi confier le Pays et l'Armée entre les mains des individus non qualifiés tels que le général major Gabriel Amisi alias Tango Fort chef d'Etat major de la force terrestre( ancien garde du corps de Ngongo Luwowo),Jhon Numbi (ancien chauffeur livreur des magasins Paradiso sur le boulevard du 30 juin et activiste de la JUFERI de Nguza Carl Bond),Charles Bisengemana fils de Faustin Bisengemana Rwema d'origne Rwandaise (directeur de cabinet de Mobutu),Raus Chalwe (ancien agent de protocole à la Garde civile) Général Olenga inspecteur général de FARDC (ancien vendeur de bière à Puerto Rico Cologne/Allemagne, Hypolite Kananmbe alias Joseph Kabila( ancien vendeur d'oeufs à Kigoma et chauffeur de taxi à Dar-es-SAlam en Tanzanie et ancien sergent de l'Armée patriotique Rwandaise) ainsi que l'oncle de Nkunda Batwale( commandant de la police au Bas-Congo?
Pourquoi tous ces "GENERAUX MAJORS et consorts" freinent des 4 fers la constitution d'une véritable armée nationale?
"POTIUS MORI QUAM FOEDARI":Plutôt mourir que se déshonorer,voilà la devise qui devra vous animer jusqu'à la fin de vos jours.
La résistance
Via Facebook.......
Un militaire ne devient officier qu'après avoir terminé avec succès ses études dans une académie militaire;il obtient alors une licence en quelque chose et sur le plan strictement militaire,il devientSOUS-LIEUTENANT et est CHEF DE PELOTON.
Après avoir reçu une formation plus scientifique que militaire,il doit acquérir le savoir-faire sur le terrain et commandera le peloton pendant au moins 3 ans;et s'il est bien noté par ses supérieurs hiérarchiques,au bout de 3 ans il sera nommé LIEUTENANT.En tant que lieutenant,il sera commandant en second de compagnie et se préparera à prendre la tête d'une compagnie pour devenir CAPITAINE!Lorsqu'il se distingue comme commandant de compagnie,il va et doit apprendre la technique d'état-major auprès d'une institution spécialisée,type école supérieure militaire!Et lorsqu'il en sort,il est bon pour l'état-major des grandes unités(Bataillon,Brigade,Régiment,etc......) et sera ainsi nommé MAJOR.
Après des bons et loyaux services,supervisés,encadrés et côtés par ses chefs,il ira à l'école d'état-major ou des administrateurs,d'où il sortira Breveté d'état-major(B.E.M) ou breveté d'administration militaire(B.A.M).
Ce n'est qu'après avoir suivi ce cursus avec succès qu'un militaire devient bon pour exercer les plus hautes fonctions dans l'armée:LIEUTENANT-COLONEL,COLONEL,GENERAL DE BRIGADE,GENERAL DE DIVISION,GENERAL DE CORPS D'ARMEE et ainsi de suite.Et être capable de défendre efficacement l'intégrité territoriale et la souveraineté internationale de notre Pays!
Il faut bien se mettre en tête qu'un officier ne commande pas la paperasse,mais plutôt des hommes et que il n'y a pas des mauvaises troupes,il n'y a que des mauvais chefs!
Pourriez-vous accepter qu'un planteur d'haricots,un vendeur d'oeufs,un chercheur d'or ou de diamant puisse opérer un membre de votre famille?Sûrement pas!Alors pourquoi confier le Pays et l'Armée entre les mains des individus non qualifiés tels que le général major Gabriel Amisi alias Tango Fort chef d'Etat major de la force terrestre( ancien garde du corps de Ngongo Luwowo),Jhon Numbi (ancien chauffeur livreur des magasins Paradiso sur le boulevard du 30 juin et activiste de la JUFERI de Nguza Carl Bond),Charles Bisengemana fils de Faustin Bisengemana Rwema d'origne Rwandaise (directeur de cabinet de Mobutu),Raus Chalwe (ancien agent de protocole à la Garde civile) Général Olenga inspecteur général de FARDC (ancien vendeur de bière à Puerto Rico Cologne/Allemagne, Hypolite Kananmbe alias Joseph Kabila( ancien vendeur d'oeufs à Kigoma et chauffeur de taxi à Dar-es-SAlam en Tanzanie et ancien sergent de l'Armée patriotique Rwandaise) ainsi que l'oncle de Nkunda Batwale( commandant de la police au Bas-Congo?
Pourquoi tous ces "GENERAUX MAJORS et consorts" freinent des 4 fers la constitution d'une véritable armée nationale?
"POTIUS MORI QUAM FOEDARI":Plutôt mourir que se déshonorer,voilà la devise qui devra vous animer jusqu'à la fin de vos jours.
La résistance
Via Facebook.......
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Lu pour vous.
Publié par Doudou Esungi, Groupe l'Avenir
Le vécu quotidien du Kinois atteste que manger, se soigner, s’habiller, se déplacer, se loger, s’instruire, travailler, … deviennent un casse-tête dans ce pays. Famine, maladies, sous-emploi, manque d’emploi, impaiement, … telles sont les caractéristiques de la vie de la majeure partie de la population kinoise, ces dernières années.
Tout le monde est d’avis que la misère qui frappe la population kinoise dépasse les limites du tolérable. Ce, en dépit du fait que la Rd. Congo figure parmi les pays les plus riches d’Afrique quant aux richesses du sol, du sous-sol et autres facteurs humains. En effet, les Congolais souffrent. L’Etat, principal garant du bien-être de la population a démissionné devant ses responsabilités, laissant régner à travers le pays une pauvreté indéfinissable.
Devant cette démission flagrante de l’Etat de ses responsabilités et face à la misère qui ne cesse de prendre de l’ampleur, la population a développé plusieurs stratégies de survie. L’une des plus remarquables de nos jours est, sans conteste, la pratique des activités économiques, dites informelles.
Il convient de noter que depuis quelques années, le terme ‘’secteur informel’’ est de plus en plus en vogue dans les milieux sociaux, politiques, économiques et scientifiques. À travers le monde, c’est à la fin des années 60 qu’il faut situer les origines de ce concept, car c’est pendant cette période que la Conférence Internationale du Travail lançait le Programme mondial de l’emploi. Celui-ci avait en particulier pour objectif, l’étude des causes de l’aggravation du chômage dans les pays du Tiers – Monde et l’examen des politiques susceptibles d’y remédier, apprend-on du site « Google ». En Rd. Congo, ce sont les femmes qui prennent petit à petit la place des hommes .Ce, dans le but de subvenir aux besoins de leur progéniture.
Pour les observateurs avertis, deux questions de base sont en droit d’être posées : quelles activités développent les kinoises pour faire face au coût de la vie dans ce contexte de crise ? Comment ces activités leur permettent-elles d’assurer leur survie et de lutter contre la pauvreté ? Tous ceux qui vivent à Kinshasa savent que les femmes s’adonnent à la tâche dès les premières heures. Elles se lèvent aux aurores et rentrent à la tombée de la nuit. Les activités développées sont entre autres les travaux champêtres (maraîchers), la vente à la criée, la débrouillardise (appelée communément bipupula, manœuvre,…) les restaurants de fortune (Malewa).
Toutes ces activités susmentionnées permettent à coup sûr aux femmes d’assurer leur survie et lutter ainsi contre la pauvrété.Il faut comprendre par là que ces petites affaires génèrent des bénéfices susceptibles d’aider les ménages à nouer les deux bouts du mois. Elles permettent à ses acteurs de faire face aux multiples problèmes de la vie. L’analyse des bénéfices réalisés journalièrement est éloquente à ce sujet. On s’aperçoit que la vie de l’acteur de l’informel est plus aisée que celle d’un fonctionnaire de l’Etat, ou d’un agent ordinaire du secteur privé. Outre les biens liés directement à l’alimentation, au logement, à la santé, au transport.
Bien que les femmes versant dans ce genre d’activités, les exposant à longueur des journées, il nous revient néanmoins que certaines parties d’Afrique ont connu leur essor économique grâce à l’informel. Les pays de l’ouest, en l’occurrence, ont laissé fleurir sans barrière dresser les ‘’small business’’ ; de quoi ouvrir le chemin du bonheur. Le cas de la Rdc aussi en dit long. Depuis des décades, le transport en commun dans ce pays du centre du continent noir, les activités commerciales qui pullulent et qui meurent sur l’espace des heures, … les gouvernants devront encadrer et appuyer les initiatives à première vue négligeables : autre manière de prôner une parité prospère.
Doudou Esungi
http://afriqueactu.net/author/doudou-esungi
Le vécu quotidien du Kinois atteste que manger, se soigner, s’habiller, se déplacer, se loger, s’instruire, travailler, … deviennent un casse-tête dans ce pays. Famine, maladies, sous-emploi, manque d’emploi, impaiement, … telles sont les caractéristiques de la vie de la majeure partie de la population kinoise, ces dernières années.
Tout le monde est d’avis que la misère qui frappe la population kinoise dépasse les limites du tolérable. Ce, en dépit du fait que la Rd. Congo figure parmi les pays les plus riches d’Afrique quant aux richesses du sol, du sous-sol et autres facteurs humains. En effet, les Congolais souffrent. L’Etat, principal garant du bien-être de la population a démissionné devant ses responsabilités, laissant régner à travers le pays une pauvreté indéfinissable.
Devant cette démission flagrante de l’Etat de ses responsabilités et face à la misère qui ne cesse de prendre de l’ampleur, la population a développé plusieurs stratégies de survie. L’une des plus remarquables de nos jours est, sans conteste, la pratique des activités économiques, dites informelles.
Il convient de noter que depuis quelques années, le terme ‘’secteur informel’’ est de plus en plus en vogue dans les milieux sociaux, politiques, économiques et scientifiques. À travers le monde, c’est à la fin des années 60 qu’il faut situer les origines de ce concept, car c’est pendant cette période que la Conférence Internationale du Travail lançait le Programme mondial de l’emploi. Celui-ci avait en particulier pour objectif, l’étude des causes de l’aggravation du chômage dans les pays du Tiers – Monde et l’examen des politiques susceptibles d’y remédier, apprend-on du site « Google ». En Rd. Congo, ce sont les femmes qui prennent petit à petit la place des hommes .Ce, dans le but de subvenir aux besoins de leur progéniture.
Pour les observateurs avertis, deux questions de base sont en droit d’être posées : quelles activités développent les kinoises pour faire face au coût de la vie dans ce contexte de crise ? Comment ces activités leur permettent-elles d’assurer leur survie et de lutter contre la pauvreté ? Tous ceux qui vivent à Kinshasa savent que les femmes s’adonnent à la tâche dès les premières heures. Elles se lèvent aux aurores et rentrent à la tombée de la nuit. Les activités développées sont entre autres les travaux champêtres (maraîchers), la vente à la criée, la débrouillardise (appelée communément bipupula, manœuvre,…) les restaurants de fortune (Malewa).
Toutes ces activités susmentionnées permettent à coup sûr aux femmes d’assurer leur survie et lutter ainsi contre la pauvrété.Il faut comprendre par là que ces petites affaires génèrent des bénéfices susceptibles d’aider les ménages à nouer les deux bouts du mois. Elles permettent à ses acteurs de faire face aux multiples problèmes de la vie. L’analyse des bénéfices réalisés journalièrement est éloquente à ce sujet. On s’aperçoit que la vie de l’acteur de l’informel est plus aisée que celle d’un fonctionnaire de l’Etat, ou d’un agent ordinaire du secteur privé. Outre les biens liés directement à l’alimentation, au logement, à la santé, au transport.
Bien que les femmes versant dans ce genre d’activités, les exposant à longueur des journées, il nous revient néanmoins que certaines parties d’Afrique ont connu leur essor économique grâce à l’informel. Les pays de l’ouest, en l’occurrence, ont laissé fleurir sans barrière dresser les ‘’small business’’ ; de quoi ouvrir le chemin du bonheur. Le cas de la Rdc aussi en dit long. Depuis des décades, le transport en commun dans ce pays du centre du continent noir, les activités commerciales qui pullulent et qui meurent sur l’espace des heures, … les gouvernants devront encadrer et appuyer les initiatives à première vue négligeables : autre manière de prôner une parité prospère.
Doudou Esungi
http://afriqueactu.net/author/doudou-esungi
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Lu pour vous.
La coopération Kinshasa-Kigali tourne à la 4ème vitesse depuis quelques mois. Après la visite du président Joseph Kabila à Kigali la semaine dernière, la ministre des Affaires étrangères du Rwanda, Mme Louise Mushikwabo a atterri à Kinshasa hier dimanche 12 septembre 2010. Objet de la mission : discuter de l’avant-projet du rapport de l’Onu concernant la guerre de 1999-2003 et de certaines activités communes aux deux Etats voisins et jadis belligérants.
L’avant-projet du rapport de l’Onu ne cesse de susciter des vagues tant en République démocratique du Congo qu’au Rwanda. Le gouvernement rwandais a même menacé l’Onu sur la publication de ce rapport dont les fuites dans la presse occidentale déplaisent hautement au président Paul Kagame. La visite de Ban-Ki-Moon dans la capitale du pays des mille collines semble n’avoir rien arrangé à l’affaire.
A Kinshasa, l’annonce de la publication de ce fameux rapport ne réjouit pas outre mesure le gouvernement qui s’est décidé fin 2008 à traiter sans intermédiaire avec le Rwanda pour la recherche de la paix au Kivu.
L’ex-ministre Emile Bongeli toujours proche du pouvoir s’est étonné que ce rapport soit publié seulement maintenant, soit 13 ans après les événements. Sans aller dans le fonds de la question, le professeur Bongeli assimile ce geste de l’Onu à un énième chantage sur les deux gouvernements qui ont besoin de la paix pour s’atteler au développement de leurs pays respectifs. « La paix revenue entre les deux Etats ne fait pas l’affaire des bénéficiaires de l’économie de la catastrophe qui profitent des guerres pour vendre armes, tentes et autres biens dont ont besoin les victimes ou Etats en conflits » a déclaré le concerné dans une émission à la télévision.
La ministre rwandaise a par ailleurs déclaré à sa descente d’avion où l’attendait Thambwe Mwamba son alter ego congolais qu’il y avait plusieurs projets initiés par les deux gouvernements qui seront aussi passés au peigne fin. Il s’agit entre autres de l’exploitation commune du gaz du lac Kivu, du partage de la fibre optique qui doit passer par Bukavu ou encore de l’ouverture d’une ligne aérienne directe entre Kinshasa et Kigali. On peut deviner les lobbies d’affaires qui ont beaucoup à perdre à la mise en œuvre de ces projets.
La République
Mayonde Kolongo
http://www.mediacongo.net/show.asp?doc=16155
L’avant-projet du rapport de l’Onu ne cesse de susciter des vagues tant en République démocratique du Congo qu’au Rwanda. Le gouvernement rwandais a même menacé l’Onu sur la publication de ce rapport dont les fuites dans la presse occidentale déplaisent hautement au président Paul Kagame. La visite de Ban-Ki-Moon dans la capitale du pays des mille collines semble n’avoir rien arrangé à l’affaire.
A Kinshasa, l’annonce de la publication de ce fameux rapport ne réjouit pas outre mesure le gouvernement qui s’est décidé fin 2008 à traiter sans intermédiaire avec le Rwanda pour la recherche de la paix au Kivu.
L’ex-ministre Emile Bongeli toujours proche du pouvoir s’est étonné que ce rapport soit publié seulement maintenant, soit 13 ans après les événements. Sans aller dans le fonds de la question, le professeur Bongeli assimile ce geste de l’Onu à un énième chantage sur les deux gouvernements qui ont besoin de la paix pour s’atteler au développement de leurs pays respectifs. « La paix revenue entre les deux Etats ne fait pas l’affaire des bénéficiaires de l’économie de la catastrophe qui profitent des guerres pour vendre armes, tentes et autres biens dont ont besoin les victimes ou Etats en conflits » a déclaré le concerné dans une émission à la télévision.
La ministre rwandaise a par ailleurs déclaré à sa descente d’avion où l’attendait Thambwe Mwamba son alter ego congolais qu’il y avait plusieurs projets initiés par les deux gouvernements qui seront aussi passés au peigne fin. Il s’agit entre autres de l’exploitation commune du gaz du lac Kivu, du partage de la fibre optique qui doit passer par Bukavu ou encore de l’ouverture d’une ligne aérienne directe entre Kinshasa et Kigali. On peut deviner les lobbies d’affaires qui ont beaucoup à perdre à la mise en œuvre de ces projets.
La République
Mayonde Kolongo
http://www.mediacongo.net/show.asp?doc=16155
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Lu pour vous.
Qui est Zoé KABILA ? Quelle est sa fonction dans les institutions de la RDC ?
La monarchie kabiliste. Aujourd'hui,c'est l'heure de vérité pour la RDCongo : soit nous laissons la famille biologique du président Joseph Kabila décider de l'avenir des Congolais et de la RDCongo,à la place de vrais animateurs officiels (élus et non élus), soit nous sommes capables de se lever contre ce fait monarchique afin de laisser place à des mesures démocratiques pour faire échec au trafic d'influence de la famille biologique et proches de l'actuel président de la République,Joseph Kabila.
Qui est Zoé Kabila? Quelle est sa fonction dans les institutions de la RDCongo ?
Zoé Kabila est le frère du président Joseph Kabila qui n'a aucune fonction officielle.Et pourtant,il est le véritable et l'incontournable conseiller de son frère,l'actuel président de la RDCongo.
Zoé Kabila est l'un de plus puissants conseillers officieux de Joseph Kabila,à l'instar de Sifa Mahanya,leur mère.
Le frère cadet à Joseph Kabila travaille à la présidence de la République sans une fonction officielle mais il joue un rôle très déterminant aux nominations ministériels,de hauts fonctionnaires voire des officiers supérieurs de l'armée et de la police.
Ce dernier est très écouté par son frère Joseph Kabila et il serait même préparé à succéder au président Joseph Kabila à tout moment,selon nos sources.
Il a été envoyé en formation de renseignement en chine par son frère Joseph Kabila. Il est trop discret à la présidence de la République.
Et pire encore,son entourage katangais ne veut pas qu'il soit approché par des gens qu'ils ont moins de confiance.
Nous apprenons que la famille de Laurent Désiré Kabila est déchirée et divisée après son assassinat car certains membres de sa famille qui sont dans l'armée,la police et administration sont écartés et éloignés du cercle des décisions voire de la promotion par la simple volonté de Zoé Kabila et Sifa Mahanya.
Ici, nous citerons notre ancien collègue de l'académie militaire,le capitaine WISKACIK Martin(neveu à LDKabila) qui est actuellement sans fonction à la Lubumbashi.
Le capitaine Martin WISKACIK est puni par la simple volonté de Sifa MAHANYA qui lui reproche d'avoir volé beaucoup des biens de valeurs(argent:devises étrangères,diamant,or et autres) dans le bureau de LDKabila le 16 janvier 2001, le jour de l'assassinat de ce dernier.
Ce jour-là, c'est le capitaine Martin WISKACIK qui était le premier à pénétrer dans le bureau de LDKabila quelques minutes après son assassinat.
Et en sortant,il a emporté des sacs de dollar, carats de diamant,de l'or et autres objets de valeurs qui étaient au bureau et dans la chambre à coucher de LDKabila au palais de marbre.
Madame Sifa MAHANYA n'a jamais pardonné ce fait reproché à ce neveu de son défunt mari LDKabila.
Elle a refusé toute promotion en grade pour lui et il surtout de le mettre au garage,c'est-à-dire officier sans fonction,alors que du vivant de LDKabila, il occupait la fonction du patron de renseignement au sein de la brigade de Lubambashi.
Aujourd'hui, le capitaine Martin WASKACIK est plus homme d'affaires que militaire des forces armées Congolais.
Toute fois, il est influent à Lubumbashi où il est intouchable comme tous les autres membres et proches de la famille Kabila.
Nous appelons à notre peuple de combattre sans merci ce système anti-démocratique décrié sous la deuxième République que les Kabila réinstalle avec talent et force depuis leur règne kabiliste.
C'est ça le message que nous voulons faire passer en demandant au Parlement de réfléchir à la désignation d'un contrôleur des dépenses et activités de la présidence de la République Démocratique du Congo.
Ce contrôleur doit être issu de l'opposition parlementaire car la démocratie,c'est la transparence sur le budget et les personnels employés par l'Etat dans l'ensemble de nos institutions.
Et la question que nous avons posée à notre source sur le salaire de Zoé Kabila et autres conseillers officieux de Joseph Kabila,elle nous a répondu n'avoir aucune idée.
Par Gabriel MAINDO
http://afrique.kongotimes.info/rdc/politique/la-monarchie-kabiliste.html
La monarchie kabiliste. Aujourd'hui,c'est l'heure de vérité pour la RDCongo : soit nous laissons la famille biologique du président Joseph Kabila décider de l'avenir des Congolais et de la RDCongo,à la place de vrais animateurs officiels (élus et non élus), soit nous sommes capables de se lever contre ce fait monarchique afin de laisser place à des mesures démocratiques pour faire échec au trafic d'influence de la famille biologique et proches de l'actuel président de la République,Joseph Kabila.
Qui est Zoé Kabila? Quelle est sa fonction dans les institutions de la RDCongo ?
Zoé Kabila est le frère du président Joseph Kabila qui n'a aucune fonction officielle.Et pourtant,il est le véritable et l'incontournable conseiller de son frère,l'actuel président de la RDCongo.
Zoé Kabila est l'un de plus puissants conseillers officieux de Joseph Kabila,à l'instar de Sifa Mahanya,leur mère.
Le frère cadet à Joseph Kabila travaille à la présidence de la République sans une fonction officielle mais il joue un rôle très déterminant aux nominations ministériels,de hauts fonctionnaires voire des officiers supérieurs de l'armée et de la police.
Ce dernier est très écouté par son frère Joseph Kabila et il serait même préparé à succéder au président Joseph Kabila à tout moment,selon nos sources.
Il a été envoyé en formation de renseignement en chine par son frère Joseph Kabila. Il est trop discret à la présidence de la République.
Et pire encore,son entourage katangais ne veut pas qu'il soit approché par des gens qu'ils ont moins de confiance.
Nous apprenons que la famille de Laurent Désiré Kabila est déchirée et divisée après son assassinat car certains membres de sa famille qui sont dans l'armée,la police et administration sont écartés et éloignés du cercle des décisions voire de la promotion par la simple volonté de Zoé Kabila et Sifa Mahanya.
Ici, nous citerons notre ancien collègue de l'académie militaire,le capitaine WISKACIK Martin(neveu à LDKabila) qui est actuellement sans fonction à la Lubumbashi.
Le capitaine Martin WISKACIK est puni par la simple volonté de Sifa MAHANYA qui lui reproche d'avoir volé beaucoup des biens de valeurs(argent:devises étrangères,diamant,or et autres) dans le bureau de LDKabila le 16 janvier 2001, le jour de l'assassinat de ce dernier.
Ce jour-là, c'est le capitaine Martin WISKACIK qui était le premier à pénétrer dans le bureau de LDKabila quelques minutes après son assassinat.
Et en sortant,il a emporté des sacs de dollar, carats de diamant,de l'or et autres objets de valeurs qui étaient au bureau et dans la chambre à coucher de LDKabila au palais de marbre.
Madame Sifa MAHANYA n'a jamais pardonné ce fait reproché à ce neveu de son défunt mari LDKabila.
Elle a refusé toute promotion en grade pour lui et il surtout de le mettre au garage,c'est-à-dire officier sans fonction,alors que du vivant de LDKabila, il occupait la fonction du patron de renseignement au sein de la brigade de Lubambashi.
Aujourd'hui, le capitaine Martin WASKACIK est plus homme d'affaires que militaire des forces armées Congolais.
Toute fois, il est influent à Lubumbashi où il est intouchable comme tous les autres membres et proches de la famille Kabila.
Nous appelons à notre peuple de combattre sans merci ce système anti-démocratique décrié sous la deuxième République que les Kabila réinstalle avec talent et force depuis leur règne kabiliste.
C'est ça le message que nous voulons faire passer en demandant au Parlement de réfléchir à la désignation d'un contrôleur des dépenses et activités de la présidence de la République Démocratique du Congo.
Ce contrôleur doit être issu de l'opposition parlementaire car la démocratie,c'est la transparence sur le budget et les personnels employés par l'Etat dans l'ensemble de nos institutions.
Et la question que nous avons posée à notre source sur le salaire de Zoé Kabila et autres conseillers officieux de Joseph Kabila,elle nous a répondu n'avoir aucune idée.
Par Gabriel MAINDO
http://afrique.kongotimes.info/rdc/politique/la-monarchie-kabiliste.html
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Lu pour vous.
On s'en fout d'eux. Qu'ils prennent toute la richesse du pays, qu'ils se servent comme ils veulent ; nous de la DIASPORA avons suffisamment de l'argent pour venir nous occuper de tous les congolais qui vivent dans la misère.
C'est le tour de la famille Kanambe de jouir. Pourquoi nous plaindre ??? Ne voyons-nous pas les boulevards et d'autres ouvrages qu'ils construisent ? Le pouvoir leur appartient ; debrouillons-nous autrement dans l'informel pour que le pays aille de l'avant.
Rodney
C'est le tour de la famille Kanambe de jouir. Pourquoi nous plaindre ??? Ne voyons-nous pas les boulevards et d'autres ouvrages qu'ils construisent ? Le pouvoir leur appartient ; debrouillons-nous autrement dans l'informel pour que le pays aille de l'avant.
Rodney
Mathilde a écrit:Qui est Zoé KABILA ? Quelle est sa fonction dans les institutions de la RDC ?
La monarchie kabiliste. Aujourd'hui,c'est l'heure de vérité pour la RDCongo : soit nous laissons la famille biologique du président Joseph Kabila décider de l'avenir des Congolais et de la RDCongo,à la place de vrais animateurs officiels (élus et non élus), soit nous sommes capables de se lever contre ce fait monarchique afin de laisser place à des mesures démocratiques pour faire échec au trafic d'influence de la famille biologique et proches de l'actuel président de la République,Joseph Kabila.
Qui est Zoé Kabila? Quelle est sa fonction dans les institutions de la RDCongo ?
Zoé Kabila est le frère du président Joseph Kabila qui n'a aucune fonction officielle.Et pourtant,il est le véritable et l'incontournable conseiller de son frère,l'actuel président de la RDCongo.
Zoé Kabila est l'un de plus puissants conseillers officieux de Joseph Kabila,à l'instar de Sifa Mahanya,leur mère.
Le frère cadet à Joseph Kabila travaille à la présidence de la République sans une fonction officielle mais il joue un rôle très déterminant aux nominations ministériels,de hauts fonctionnaires voire des officiers supérieurs de l'armée et de la police.
Ce dernier est très écouté par son frère Joseph Kabila et il serait même préparé à succéder au président Joseph Kabila à tout moment,selon nos sources.
Il a été envoyé en formation de renseignement en chine par son frère Joseph Kabila. Il est trop discret à la présidence de la République...
Par Gabriel MAINDO
http://afrique.kongotimes.info/rdc/politique/la-monarchie-kabiliste.html
taty
Re: Lu pour vous.
RDC : Les riches Congolais sous Joseph KABILA, des individus sans passé historique !
Font size: Decrease font Enlarge font
image Joseph KABILA lors d'un conference de presse au Palais de la Nation a Kinshasa. Photo non datee.
Il n’est nul besoin de démontrer la misère des masses congolaises pendant qu’un tout petit groupe, composé de dirigeants et de leurs proches, s’occupe de son incessant enrichissement illicite et criminel. Sinon, comment expliquer les fortunes colossales qu’affichent avec arrogance des gens dont personne, il y a quelques années ou jusqu’à leur arrivée au pouvoir, ne connaissait aucune richesse personnelle ou familiale. Dans cette société d’immoralité affichée et assumée, les privilégiés font feu de tout bois pour accumuler richesses et signes extérieurs de richesses avec seule activité « productrice » telle ou telle fonction politique. Dans cette course effrénée à l’enrichissement abusif, tous les moyens sont bons.
Dans cet entretien, Auguste Mampuya indique que le RADER milite pour une unité de stratégie et d’action en vue d’une alternative et non la simple alternance, il dénonce le recul de la démocratie ainsi que l’immoralité du flirt des politiques avec l’affairisme.
http://afrique.kongotimes.info/rdc/politique/enrichissement-illicite-et-criminel-des-politiens.html
Font size: Decrease font Enlarge font
image Joseph KABILA lors d'un conference de presse au Palais de la Nation a Kinshasa. Photo non datee.
Il n’est nul besoin de démontrer la misère des masses congolaises pendant qu’un tout petit groupe, composé de dirigeants et de leurs proches, s’occupe de son incessant enrichissement illicite et criminel. Sinon, comment expliquer les fortunes colossales qu’affichent avec arrogance des gens dont personne, il y a quelques années ou jusqu’à leur arrivée au pouvoir, ne connaissait aucune richesse personnelle ou familiale. Dans cette société d’immoralité affichée et assumée, les privilégiés font feu de tout bois pour accumuler richesses et signes extérieurs de richesses avec seule activité « productrice » telle ou telle fonction politique. Dans cette course effrénée à l’enrichissement abusif, tous les moyens sont bons.
Dans cet entretien, Auguste Mampuya indique que le RADER milite pour une unité de stratégie et d’action en vue d’une alternative et non la simple alternance, il dénonce le recul de la démocratie ainsi que l’immoralité du flirt des politiques avec l’affairisme.
http://afrique.kongotimes.info/rdc/politique/enrichissement-illicite-et-criminel-des-politiens.html
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Modeste Mutinga: «Il y a une inconscience politique, administrative et sécuritaire au Congo»
Modeste Mutinga: «Il y a une inconscience politique, administrative et sécuritaire au Congo»
Modeste-Mutinga Photo cpj.org
Le sénateur Modeste Mutinga vient de publier aux éditions « Le Potentiel », l’ouvrage intitulé « RD Congo, la république des inconscients.»
Comment se manifeste cette inconscience?
Modeste Mutinga répond à Georges Kamudjova;
http://radiookapi.net/emissions-audio/2010/09/14/modeste-mutinga-vient-de-publier-%C2%ABrd-congo-la-republique-des-inconscients%C2%BB/
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Kinshasa: Kengo wa Dondo encourage le Gouvernement à achever la réforme de la sécurité
Kinshasa: Kengo wa Dondo encourage le Gouvernement à achever la réforme de la sécurité
Le président du Sénat, Léon Kengo wa Dondo
Dans son discours d’ouverture de la session ordinaire de septembre, le président du Sénat, Léon Kengo wa Dondo, a insisté sur la situation sécuritaire qui, d’après lui, continue à se dégrader dans l’Est de la RDC. Il a également abordé la question relative à la consolidation de la démocratie congolaise.
Dans son discours, Léon Kengo wa Dondo a affirmé que même si l’accalmie est constatée sur certains fronts, la vulnérabilité du pays reste entière.
Pour régler la situation sécuritaire, le président de la chambre haute du Parlement a souligné la nécessité de poursuivre des réformes amorcées par le Gouvernement dans les domaines de l’armée, de la police et de l’administration.
Selon lui, les réformes envisagées par le Gouvernement ne peuvent aboutir sans l’implication des élus du peuple.
http://radiookapi.net/actualite/2010/09/16/kinshasa-kengo-wa-dondo-encourage-le-gouvernement-a-achever-la-reforme-de-la-securite/
Le président du Sénat, Léon Kengo wa Dondo
Dans son discours d’ouverture de la session ordinaire de septembre, le président du Sénat, Léon Kengo wa Dondo, a insisté sur la situation sécuritaire qui, d’après lui, continue à se dégrader dans l’Est de la RDC. Il a également abordé la question relative à la consolidation de la démocratie congolaise.
Dans son discours, Léon Kengo wa Dondo a affirmé que même si l’accalmie est constatée sur certains fronts, la vulnérabilité du pays reste entière.
Pour régler la situation sécuritaire, le président de la chambre haute du Parlement a souligné la nécessité de poursuivre des réformes amorcées par le Gouvernement dans les domaines de l’armée, de la police et de l’administration.
Selon lui, les réformes envisagées par le Gouvernement ne peuvent aboutir sans l’implication des élus du peuple.
http://radiookapi.net/actualite/2010/09/16/kinshasa-kengo-wa-dondo-encourage-le-gouvernement-a-achever-la-reforme-de-la-securite/
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Nord Kivu : Et revoici Kabila et son baratin d’«artisan de la paix» !
Garantir la sécurité des personnes et des biens est une des missions essentielles de l’Etat. Lors de l’élection présidentielle de 2006, Joseph Kabila a battu campagne sous le thème : «Artisan de la paix». Quatre années après, le bilan se résume en un mot : Echec. La situation dans les provinces du Kivu et dans la Province Orientale en témoigne. A une année de la présidentielle de 2011, l’homme est à nouveau en campagne. Il a promis de «pacifier coûte que coûte» la province du Nord Kivu. Encore? Après le Kasaï oriental où il s’est présenté en «sauveur» de la Minière de Bakwanga (Miba), il s’est rendu dans la province du Nord Kivu. Comme à l’accoutumée, des promesses ont fusé : la modernisation de la station provinciale de la RTNC, la «pacification» du territoire de Masisi, l’asphaltage d’une route à Butembo. Pendant ce temps, les responsables onusiens annoncent que 500 viols ont été perpétrés dans les deux provinces du Kivu. C’est le silence plat tant à la Présidence de la République qu’à la Primature. Où est passé l’Etat?
http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5971
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Joseph Kabila somme les Nande de se sécuriser eux-mêmes...........
Joseph Kabila somme les Nande de se sécuriser eux-mêmes
Finalement l’audience publique du Président de la République Joseph Kabila avec les bubolais a eu lieu aujourd’hui mardi 14 septembre 2010 dans la Salle SIPA/Mutiri, Commune de Bulengera de 13h00 à 16h00. Les participants à cette audience étaient trillés par les services de la Mairie de Butembo qui remettaient une invitation à chaque participant pour servir de droit d’entrée à la Salle SIPA.
Le grand déballage des associations de la société civile n’a pas eu lieu ! Tous les memos dont les mots étaient choisis, pesés, et sous-pesés pour exprimer au Président le ras-le-bol des bubolais victimes de l’insécurité entretenue à Beni-Lubero par les militaires issus du CNDP, les clandestins armés venant du Rwanda et de l’Ouganda qui jouent aux ADF/NALU, FDLR, MAI-MAI pour semer mort et désolation dans les villages, cités et villes de Beni-Lubero, n’ont pas été lus comme prévu par les représentants des differentes associations de la société civile. Le protocole du président peut avoir eu vent de ces bombes qui risquaient de tuer la fête voulue par les Joséphistes. Seules trois personnes ont pris la parole avant la réplique véhémente du Président de la République.
http://www.benilubero.com/index.php?:joseph-kabila-somme-les-nande-de-se-securiser-eux-memes
Finalement l’audience publique du Président de la République Joseph Kabila avec les bubolais a eu lieu aujourd’hui mardi 14 septembre 2010 dans la Salle SIPA/Mutiri, Commune de Bulengera de 13h00 à 16h00. Les participants à cette audience étaient trillés par les services de la Mairie de Butembo qui remettaient une invitation à chaque participant pour servir de droit d’entrée à la Salle SIPA.
Le grand déballage des associations de la société civile n’a pas eu lieu ! Tous les memos dont les mots étaient choisis, pesés, et sous-pesés pour exprimer au Président le ras-le-bol des bubolais victimes de l’insécurité entretenue à Beni-Lubero par les militaires issus du CNDP, les clandestins armés venant du Rwanda et de l’Ouganda qui jouent aux ADF/NALU, FDLR, MAI-MAI pour semer mort et désolation dans les villages, cités et villes de Beni-Lubero, n’ont pas été lus comme prévu par les représentants des differentes associations de la société civile. Le protocole du président peut avoir eu vent de ces bombes qui risquaient de tuer la fête voulue par les Joséphistes. Seules trois personnes ont pris la parole avant la réplique véhémente du Président de la République.
http://www.benilubero.com/index.php?:joseph-kabila-somme-les-nande-de-se-securiser-eux-memes
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Lu pour vous.
A la suite de la conférence qu’il a donnée le 10 septembre dernier à Yaoundé, Charles ONANA le journaliste et essayiste franco-camerounais qui s’est illustré ces 10 dernières années par ses enquêtes sur le Rwanda et les conflits dans les Grandes Lacs, met en exergue la «stratégie» mise sur pied pour déstabiliser la zone Afrique centrale en passant par le Rwanda.
Journaliste : Au moment où vous teniez votre conférence à Yaoundé, Paul Kagamé, le président rwandais, menaçait les Nations Unies de retirer ses troupes du Darfour si l’organisation mondiale venait à publier son rapport qui accuserait son armée de pires exactions au Congo. Etait-ce le prétexte de votre prestation à Yaoundé, ou un simple hasard de calendrier ?
ONANA : Je peux dire que c’est juste une coïncidence de calendrier : lorsque j’ai été invité par le journal Mutations pour cette conférence au Cameroun, personne ne savait qu’on allait avoir des fuites dans le journal Le Monde sur le rapport de l’Onu en Rdc. La pression que fait Paul Kagamé de retirer ses troupes du Darfour si l’Onu publiait ce rapport est inacceptable ! Ce dont il est question, aujourd’hui, ce sont des millions de morts au Congo et le pillage des ressources dans ce pays. Je suis ravi que le rapport des Nations Unies confirme mes investigations sur le Congo. M. Kagamé, s’il n’a rien à se reprocher, pourquoi fait-il du chantage à l’Onu ?
Journaliste : Quelle est la crédibilité des procès sur les génocidaires menés par le Tribunal pénal international d’Arusha sur le Rwanda ?
ONANA : Pour avoir eu des confidences de Carla Del Ponte à l’intérieur de ce tribunal, je peux conclure aujourd’hui que ce tribunal est une véritable mascarade judiciaire. Il y a certes des juges qui sont honnêtes dans ce tribunal et qui essaient de faire leur travail. Comment pouvez-vous expliquer que seuls les Hutus sont devant ce tribunal, et qu’aucun criminel Tutsi ne s’y retrouve ? Les événements de 1994 impliquent à la fois l’armée rebelle FPR et l’armée gouvernementale de Habyarimana, mais il n’y a que les Hutus dans ce tribunal. Ce qu’on ne dit pas assez, c’est que dans la mission du TPIR, il y a la réconciliation nationale. Comment pouvez-vous tendre à cela, si vous n’accusez qu’un groupe au détriment de l’autre ?
Journaliste : Est-ce pour cette raison que vous considérez que le génocide (rwandais) est le plus grand mensonge sur l’Afrique ?
ONANA : Tout à fait ! C’est l’un des plus grands mensonges et l’une des plus grandes manipulations de l’Afrique du XXème siècle. On nous a fait croire que le génocide du Rwanda
avait été planifié par les Hutus. Au jour d’aujourd’hui, on constate qu’il n’y a personne, au TPIR, qui a été condamné pour avoir planifié le génocide. On constate en même temps qu’en 2005, il y a un rapport interne et confidentiel des Nations Unies qui montre qu’il n’y a aucun début de commencement de preuve sur la planification du génocide. Ce que l’on ne veut pas dire, c’est qu’il s’agit d’un coup d’Etat pour renverser le président en exercice, Juvénal Habyarimana, au profit de Paul Kagamé, qui a bénéficié de la mort du président Habyarimana. C’était une façon de mettre en place une stratégie qui permette à Paul Kagamé de mettre sur pied une base arrière pour la conquête des minerais, notamment l’uranium et le coltan au Congo. Ce qui, aujourd’hui, démontre clairement que l’ensemble des multinationales qui travaillent sur le coltan, l’achètent à vil prix au Rwanda ; ce pays est devenu un exportateur du coltan et de l’or, alors qu’il n’a pas du tout ces minerais dans son sous-sol. Voilà la mission qui a été dévolue à M. Kagamé et à son gouvernement. Ceci est très dangereux pour l’Afrique centrale, parce que les pays pétroliers de la sous-région vont forcément être menacés comme le Congo, si leurs dirigeants ne font pas attention.
Journaliste : Certains estiment que les conflits, dans les Grands Lacs, c’est davantage une bataille géopolitique et géostratégique…
ONANA : C’est une bataille géopolitique intense dans laquelle vous avez des Français, des Anglais et des Américains. Ces derniers sont très nerveux, et veulent reprendre l’ancienne chasse gardée de la France. Vous avez également les Chinois, qui arrivent de façon très organisée et qui s’implantent solidement en Afrique. Tout cela fait que le gâteau va devenir petit, pour ceux-là qui avaient tout gratuitement et facilement. Il va donc falloir négocier. Pour éviter de se retrouver dans des situations de négociations, on crée l’instabilité parce que, dans ce genre de situation, il n’y a pas d’Etat pour organiser le commerce des matières premières et, avec les guerres, on peut plutôt vendre des armes, faire des trafics… empêcher des révoltes populaires parce que les gens sont plutôt attachés à leur sécurité.
Journaliste : Vos écrits sont très souvent axés sur le régime Kagamé. Ne craignez-vous pas qu’à un moment, votre opiniâtreté apparaisse comme un conflit de personnes avec le président rwandais ?
ONANA : J’ai toujours dit que, si c’était le président Kagamé qui avait été victime d’un attentat le 6 avril 1994, j’aurais fait exactement la même enquête. Quand je commençais mon enquête, je ne savais pas que c’était le président Kagamé qui était responsable de cela. Je ne savais pas qu’il voulait, plus tard, piller les ressources du Congo. Les arguments que j’avance, ils sont les uns après les autres indestructibles. Dans cette histoire, je suis tout simplement attaché à ce que les Africains comprennent qu’il ne faut pas sous-estimer ce qui est en train de se passer.
Journaliste : Comment cela ?
ONANA : En 2004, quand j’ai écrit mon livre, les Congolais avaient sous-estimé ce qui était en train de se passer dans leur pays avec l’armée rwandaise. Quelque 10 ans après, ils se retrouvent avec 6 millions de morts. Et ce n’est pas terminé. Aujourd’hui, par exemple, le Cameroun a de nombreux réfugiés hutus. Les réfugiés hutus, pour le Rwanda, ont été un prétexte pour attaquer militairement le Congo. Je ne veux pas que le Cameroun se retrouve dans la même situation que le Congo. Je ne veux pas que d’autres pays en Afrique centrale, à l’exemple du Congo Brazzaville, qui a également des réfugiés hutus, se retrouvent dans cette même situation.
Journaliste : Doit-on penser qu’il existe une stratégie de conquête de l’Afrique centrale, soigneusement préparée par le Rwanda ?
ONANA : Je pense plutôt à une volonté de coloniser l’Afrique centrale sous le régime de Paul Kagamé, ou, en tout cas, sous le pouvoir qui lui ressemble. C’est sur cela que je veux attirer l’attention des gens dans la région pour leur dire : ce qui se passe a été réfléchi, pensé et la stratégie qui est sur le terrain vous le démontre tous les jours, y compris avec les voyages politiques. Vous ne voyez pas, par exemple, les mêmes voyages politiques faits vis-à-vis d’autres dirigeants africains qu’on menace plutôt d’emprisonner ou d’arrêter. Je veux tout simplement que les Africains comprennent le jeu qui est en train de se dérouler sur leurs têtes. C’est un jeu très complexe mais très efficace.
Journaliste : La France a récemment envoyé des juges pour enquêter sur l’attentat du 06 avril 1994…
ONANA : Les avocats des veuves françaises ont déposé une plainte en 1997, et cette plainte suit son cours. Les avocats veulent savoir la vérité, et M. Sarkozy est dans une situation où il veut, d’un côté, reprendre les relations diplomatiques avec le Rwanda, et de l’autre, il est obligé de se rendre compte que les juges français doivent quand même faire leur travail. Le départ du juge ne va pas, en ce qui me concerne, apporter des révélations sur la question. Mais j’ose simplement espérer que le fait d’aller voir le lieu de l’attentat, de faire une expertise balistique, permettrait tout simplement de confirmer un certain nombre de choses sur le plan technique que l’on sait déjà et de faire connaître la vérité.
Journaliste : Pensez-vous que cette vérité finira par être connue ?
ONANA : Elle est déjà connue, à travers mes ouvrages, qui sont confirmés par des enquêtes judiciaires. Ce qui manque, c’est la reconnaissance officielle de cette vérité. On en est là.
Ce n’est pas que les gens ne savent pas ce qui s’est passé. Aujourd’hui, on le sait. Dans le cas de l’assassinat de Patrice Lumumba, les Africains ont attendu de longues années pour savoir ce qui s’est passé. Mais aujourd’hui, je ne veux pas que les Africains attendent 50 ans pour savoir pourquoi Habyarimana a été tué, et qui l’a assassiné.
Journaliste : Les Nations Unies développent la thèse du camouflage de l’attentat de Habyarimana, qui est en fait le déclencheur du génocide…
ONANA : C’est les Nations Unies qui disent que l’attentat est le déclencheur du génocide. Comment peuvent-elles le dire et ne pas vouloir parler de l’attentat ? Il y a une contradiction!
Journaliste : Le génocide a eu lieu sous Boutros Boutros Ghali, comme secrétaire général de l’Onu. Koffi Annan, qui l’a remplacé, a été accusé de camoufler des éléments. La responsabilité des Africains est-elle ainsi engagée dans cette affaire?
ONANA : Boutros Boutros Ghali n’avait pas accepté de marcher dans la combine américaine, mais celui qui était son collaborateur le plus étroit chargé des opérations de maintien de la paix a eu une promotion : il est devenu S G de l’Onu et vous savez qu’aux Nations Unies, les nominations par continent sont des nominations rotatives. Mais pour une fois, l’Afrique a eu successivement à trois reprises la tête du Secrétariat général de l’Onu, puisque le mandat de Koffi Annan avait été reconduit. Au passage, M. Annan a eu le prix Nobel de la paix, mais je ne me souviens pas d’un conflit qui lui a valu de recevoir ce prix. Dans le conflit qu’il a vraiment géré, celui du Rwanda, il n’y a personne qui mérite d’avoir eu un prix Nobel de la paix.
Journaliste : Qu’est-ce qui motive votre passion pour le Rwanda ?
ONANA : C’est tout simplement que je veux partager, avec le public, 10 années de travail difficile, de recherches approfondies et d’échanges avec des gens du département d’Etat américain. J’ai eu des confidences du procureur Carla Del Ponte, et je pense que j’ai quand même assemblé, pendant toutes ces années, des informations inédites venant de sources variées. Garder tous ces éléments pour moi n’a aucun sens, aucun intérêt. C’est pour cela que je mets ces éléments à la disposition du public pour que, demain, les gens ne se disent pas qu’ils ne savaient pas. Ce qui pêche beaucoup, dans le continent africain, c’est l’ignorance des grandes stratégies internationales et la compréhension intime de la dimension géopolitique. Je souhaite qu’ils aient un décodeur pour mieux analyser la situation. Ils ne doivent pas rester comme des téléspectateurs sans décodeur, devant une chaîne cryptée.
Entretien mené par Dorine Ekwè
Flick de Kolwezi
Re: Lu pour vous.
http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=170656&Actualiteit=selected
Rodney
18.09.10 Beni-Lubero : Intifada contre le cortège de Joseph Kabila au Nord-Kivu
Le Président de la République Joseph Kabila continue de surprendre les beniluberois qui avaient mis tous les espoirs en lui en 2006. Avant son dernier passage à Beni-Lubero, plusieurs beniluberois croyaient que tôt ou tard il viendrait au chevet des victimes des Fardc issus du CNDP, des soi-disant rebelles étrangers FDLR, LRA, et ADF-NALU. Ils s’étaient trompés. Après Masisi et Goma où la visite présidentielle était plutôt aux attentes de la population car le Président Joseph Kabila avait pour la première fois mis en garde les militaires qui refusent d’être nommer ailleurs qu’au Nord-Kivu allant jusqu'à leur demander de quitter l’armée congolaise.
Considérant que cette prise de position allait dans le sens de ce que la Société Civile du Nord-Kivu a toujours demandé à Kinshasa, les autres coins de la Province que Joseph Kabila allait visiter avaient nourri l’espoir que leurs attentes trouveraient une oreille attentive de la part du numéro de la république. C’était sans savoir que la suite de la visite du Chef de l’Etat au Nord-Kivu allait tourner au vinaigre par des gestes répréhensibles des gens dont on ne connait pas encore la vraie identité...
Rodney
taty
Près de 355 cas de l’épidémie de choléra signalés à l’Est de la Rdc
Kinshasa, 17/09/2010 / Santé
Suite au manque d’eau potable dans l’Est de la Rdc, plus de 355 cas l’épidémie de choléra dont 8 décès ont été enregistrés en deux semaines à Matili, Tutungulu, Tusisi, Ngingi et dans la carrière de Kikobongo, l’aire de santé de Bubila dans la province du Sud-Kivu.
Le manque d’eau potable serait, peut-être, à l’origine du choléra qui sévit dans l’Est de la Rd-Congo. Les partenaires intervenant dans le domaine de l’eau et de l’assainissement ; déplorent la persistance de problème d’eau potable dans la d’Uvira, au Sud-Kivu.
L’épidémie du cholera ravage le territoire de Shabunda et d’autres coins de la province du Nord-Kivu. Ayant pris corps dans le territoire de Shabunda, la maladie s’étend lentement dans d’autres coins de la région. Selon les humanitaires, la maladie sévit à Matili, Tutungulu, Tusisi, Ngingi et dans la carrière de Kikobongo, l’aire de santé de Bubila. Actuellement, on a enregistré 355 cas dans deux semaines dont huit décès.
La confirmation définitive de l’épidémie de cholera est attendue de l’Organisation mondiale de la santé -OMS-et de l’inspection provinciale de la Santé.
Ces structures ont envoyé, la semaine dernière, les échantillons au Nord-Kivu. Lesquelles ont été prélevées sur des malades à Shabunda centre.
http://www.digitalcongo.net/article/70175
Suite au manque d’eau potable dans l’Est de la Rdc, plus de 355 cas l’épidémie de choléra dont 8 décès ont été enregistrés en deux semaines à Matili, Tutungulu, Tusisi, Ngingi et dans la carrière de Kikobongo, l’aire de santé de Bubila dans la province du Sud-Kivu.
Le manque d’eau potable serait, peut-être, à l’origine du choléra qui sévit dans l’Est de la Rd-Congo. Les partenaires intervenant dans le domaine de l’eau et de l’assainissement ; déplorent la persistance de problème d’eau potable dans la d’Uvira, au Sud-Kivu.
L’épidémie du cholera ravage le territoire de Shabunda et d’autres coins de la province du Nord-Kivu. Ayant pris corps dans le territoire de Shabunda, la maladie s’étend lentement dans d’autres coins de la région. Selon les humanitaires, la maladie sévit à Matili, Tutungulu, Tusisi, Ngingi et dans la carrière de Kikobongo, l’aire de santé de Bubila. Actuellement, on a enregistré 355 cas dans deux semaines dont huit décès.
La confirmation définitive de l’épidémie de cholera est attendue de l’Organisation mondiale de la santé -OMS-et de l’inspection provinciale de la Santé.
Ces structures ont envoyé, la semaine dernière, les échantillons au Nord-Kivu. Lesquelles ont été prélevées sur des malades à Shabunda centre.
http://www.digitalcongo.net/article/70175
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Les élections coûteront 715 millions de dollars en RDC
Le coût du prochain cycle électoral 2011-2013 en République démocratique du Congo (RDC) s'élève à plus de 715 millions de dollars, qui proviendront tant du gouvernement congolais que de la communauté internationale, a affirmé vendredi le président de la Commission électorale indépendante (CEI) sortante, l'abbé Apolinnaire Muholongu Malumalu.
Nous sommes à la "fin des négociations sur le (financement du) cycle électoral" - qui comprend des élections générales (présidentielle, législatives, provinciales, sénatoriales, locales, municipales et urbaines), entre le 27 novembre 2011 et le 8 août 2013, après les premiers scrutins libres de 2006-2007 -, a-t-il indiqué lors d'une conférence de presse à Bruxelles.
Le coût de l'organisation de ces différents scrutins s'élève à 715,450 millions de dollars, répartis entre le gouvernement de Kinshasa, pour 366,896 millions de dollars, et les "partenaires internationaux", pour 265,952 millions. La Mission de l'ONU en RDC (Monusco) est pour sa part prête à dépenser 80 millions de dollars pour l'appui logistique aux élections, a ajouté l'abbé Malumalu, de passage en Belgique pour la présentation d'un "cadastre des infrastructures" dans les provinces du Nord et du Sud-Kivu (est).
Le président de la CEI, qui doit prochainement céder le relais à la Commission nationale électorale indépendante (CENI), a assuré que le financement "était bouclé" pour 2010. "2011 commence, avec déjà six millions de dollars promis par la Grande-Bretagne", a-t-il ajouté.
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/article/detail/1158864
Nous sommes à la "fin des négociations sur le (financement du) cycle électoral" - qui comprend des élections générales (présidentielle, législatives, provinciales, sénatoriales, locales, municipales et urbaines), entre le 27 novembre 2011 et le 8 août 2013, après les premiers scrutins libres de 2006-2007 -, a-t-il indiqué lors d'une conférence de presse à Bruxelles.
Le coût de l'organisation de ces différents scrutins s'élève à 715,450 millions de dollars, répartis entre le gouvernement de Kinshasa, pour 366,896 millions de dollars, et les "partenaires internationaux", pour 265,952 millions. La Mission de l'ONU en RDC (Monusco) est pour sa part prête à dépenser 80 millions de dollars pour l'appui logistique aux élections, a ajouté l'abbé Malumalu, de passage en Belgique pour la présentation d'un "cadastre des infrastructures" dans les provinces du Nord et du Sud-Kivu (est).
Le président de la CEI, qui doit prochainement céder le relais à la Commission nationale électorale indépendante (CENI), a assuré que le financement "était bouclé" pour 2010. "2011 commence, avec déjà six millions de dollars promis par la Grande-Bretagne", a-t-il ajouté.
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/article/detail/1158864
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Viols collectifs: le Conseil de sécurité fustige Kinshasa
Zawadi Luendo, 30 ans, berce son bébé devant sa maison où elle a été violée par trois hommes. Son vilage, Luvungi, a été le théâtre d'une attaque des rebelles des Forces démocratique de libération du Rwanda le 30 juillet dernier. Plusieurs centaines de femmes et d'enfants ont été violés au cours de violences dans les provinces du Nord et Sud-Kivu.
Le Conseil de sécurité de l'ONU a sévèrement critiqué vendredi le gouvernement de la république démocratique du Congo à propos des viols en série et demandé à ce que les coupables soient arrêtés sans délai et poursuivis pour «violations grossières des droits de l'homme».
«Le Conseil de sécurité réaffirme qu'il condamne fermement les viols collectifs perpétrés» dans l'est de la RDC fin juillet et en août.
«Il demande instamment au gouvernement de la RDC de veiller à ce que les auteurs de ces crimes terribles fassent très rapidement l'objet de poursuites impartiales et de l'informer des mesures prises à cette fin», souligne le Conseil de sécurité.
Le Conseil de sécurité «se déclare prêt à toutes mesures appropriées, y compris des mesures ciblées contre les auteurs».
http://www.cyberpresse.ca/international/afrique/201009/17/01-4316659-viols-collectifs
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Page 9 sur 20 • 1 ... 6 ... 8, 9, 10 ... 14 ... 20
Sujets similaires
» Lu pour vous !!
» Affaire Kamerhe
» RDC : le président Kabila annonce un dialogue inter-congolais pour "début 2013"
» UN AFRICAIN QUI AIME LA FRANCE PLUS QUE DES FRANCAIS SUR VIDEO...A SUIVRE
» POUR VOUS........................
» Affaire Kamerhe
» RDC : le président Kabila annonce un dialogue inter-congolais pour "début 2013"
» UN AFRICAIN QUI AIME LA FRANCE PLUS QUE DES FRANCAIS SUR VIDEO...A SUIVRE
» POUR VOUS........................
Page 9 sur 20
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum