Que Cachent Les explusions réciproques RDC - ANGOLA - CONGO
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Re: Que Cachent Les explusions réciproques RDC - ANGOLA - CONGO
El-chaman a écrit:J'espere seulement que cette situation ne va pas aboutir à une guerre.
J'ai un mauvais pressentiment en lisant tout ceci.Je ne vois pas comment la RDC va faire face contre les Angolais qui sont bien armée et bien entrainer que nos soldats.Avec la nouvelle relation entre le Rwanda et la RDC,si l'Angola nous agresse.Il est fort probable que les Rwandais vont venir à la rescousse de Kanambe.Et la population deja fatigue par tout ceci seront encore une fois de plus prêt à accueillir les Rwandais et autres kadogo qui viendront en SAUVEUR.
Si mon hypothse est bon,cela vx dire que toute ces Histoire eza aussi une façon ya KOZONGISA BA RWANDAIS na RDC...parceque population ekondima ba rwandais vu qu'avec ba explusion ba congolais bazo yina deja Ba Angolais.
Bon sang Et si seulement il y avait un Caballe pour etendre leur Tutshiland derriere tous cki se passe là-bas ?
Bon eza juste idée e traverser esprit na ngai en lisant tous ceci.....j'espere que verite eza ailleurs.
El-chaman,
je suis entré de voir les choses comme toi car, Kanambe veut maintenant manipuler ses protecteurs,je ne crois pas encore à la guerre entre les deux pays si est alors le cas l'Angola sera le grand perdant pcq il faudra qu'il recommence encore à zero càd reconstruire son économie qui est en ce moment en bonne santé,puisque je ne crois pas que Kanambe avec sa bande se laisseront faire facilement malgré la médiocrité de la FARDC qu'il ne faut pas sous estimer. Sachez aussi que l'armée Angolaise n'a jamais gagné une guerre tout seule, l'UNITA avait perdu la guerre à cause de la mort de Savimbi. Au Congo-Brazza l'armée Angolaise avait connu de déboire devant les Tigres,en RDC la FAPLA était appuyé par la Namibie,le Zimbabwe et par les peuple Congolais eux même. Angola magungu ya pamba bameka totala naino.
Calcul
Re: Que Cachent Les explusions réciproques RDC - ANGOLA - CONGO
Au contraire moi je cois plutôt eko sala ba creer espace libre de circulation
des hoe et des bien enfin ba frontière eko longwa,sa c une idée k je pense mais
bref,je crois que soki kk guerre ebimi sa sera la troisiéme guerre pona bitumba
eko destabilisér Afrique central e ba reglement de compte ekoya makasi entre
d'autre pays Africain pona bako linga bazala na ba allié alors je crois pas que
guerre eko bima je trouve sa difficil.Finalement bako yokana na bango.
des hoe et des bien enfin ba frontière eko longwa,sa c une idée k je pense mais
bref,je crois que soki kk guerre ebimi sa sera la troisiéme guerre pona bitumba
eko destabilisér Afrique central e ba reglement de compte ekoya makasi entre
d'autre pays Africain pona bako linga bazala na ba allié alors je crois pas que
guerre eko bima je trouve sa difficil.Finalement bako yokana na bango.
Invité- Invité
Re: Que Cachent Les explusions réciproques RDC - ANGOLA - CONGO
Ah BonCalcul a écrit: Sachez aussi que l'armée Angolaise n'a jamais gagné une guerre tout seule, l'UNITA avait perdu la guerre à cause de la mort de Savimbi. Au Congo-Brazza l'armée Angolaise avait connu de déboire devant les Tigres,en RDC la FAPLA était appuyé par la Namibie,le Zimbabwe et par les peuple Congolais eux même. Angola magungu ya pamba bameka totala naino.
Calcul la tu m'apprend des choses que j'ignorais completement.
Moi j pensé que l'armée Angolaise(avec Union ya ba soldats ya UNITA na ya MPLA) est la plus forte armée de la region,voir même d'une grande partie de l'afrique(noire)
En plus ils ont au moins 16 ans d'experience de guerre.
El-chaman
Re: Que Cachent Les explusions réciproques RDC - ANGOLA - CONGO
El-chaman a écrit:Ah BonCalcul a écrit: Sachez aussi que l'armée Angolaise n'a jamais gagné une guerre tout seule, l'UNITA avait perdu la guerre à cause de la mort de Savimbi. Au Congo-Brazza l'armée Angolaise avait connu de déboire devant les Tigres,en RDC la FAPLA était appuyé par la Namibie,le Zimbabwe et par les peuple Congolais eux même. Angola magungu ya pamba bameka totala naino.
Calcul la tu m'apprend des choses que j'ignorais completement.
Moi j pensé que l'armée Angolaise(avec Union ya ba soldats ya UNITA na ya MPLA) est la plus forte armée de la region,voir même d'une grande partie de l'afrique(noire)
En plus ils ont au moins 16 ans d'experience de guerre.
Bien dit EL-chaman, l'armée peut avoir 16 ans d'expérience mais ce n'est plus les mêmes hommes ou soldats car ceux qui ont fait la guerre il y a 16 ans ne sont plus jeunes, la majorité de ces soldats de l'UNITA ont été désarmés et envoyés faire l'agriculture ds leurs villages. Pour confirmer que l'Angola a la meilleure armée de la région il faut que cet armée se mesure avec une autre armée, je ne crois pas à la victoire de l'Angola en cas de guerre avec la RDC
ni aussi une victoire de l'armée Congolaise, la frontière est tellement longue entre les deux pour faire la guerre car les deux pauvres armées seront épuisées, attaquer le Bas-Congo passer par les deux Kasai et finir par le Katanga n'est pas facile au moins que les Congolais se laissent prendre comme des souris.
Calcul
Re: Que Cachent Les explusions réciproques RDC - ANGOLA - CONGO
Pendant ce temps, la RDC et l´Angola ont decidé de mettre fin à ces series d´expulsions, ouf! il était temps.
Arafat
Re: Que Cachent Les explusions réciproques RDC - ANGOLA - CONGO
Merci Arafat pour la video
En tt cas, il etait plus q tps, je suis fier des Congolais, cette fois-ci, ba lobi, c fini, on ne va plus continuer a etre des victimes. Mais je me demande, l'Angola qui a initie cette histoire d'expulsion et ds des conditions pas tres humaines, ql interet a t-il de demander a la RDC de ne pas chasser ses ressortissant? On pensait qu'ils avaient tt, c'etait les Congolais qui les enviaient
En tt cas, il etait plus q tps, je suis fier des Congolais, cette fois-ci, ba lobi, c fini, on ne va plus continuer a etre des victimes. Mais je me demande, l'Angola qui a initie cette histoire d'expulsion et ds des conditions pas tres humaines, ql interet a t-il de demander a la RDC de ne pas chasser ses ressortissant? On pensait qu'ils avaient tt, c'etait les Congolais qui les enviaient
Hiro-Hito- Admin
Re: Que Cachent Les explusions réciproques RDC - ANGOLA - CONGO
ARAFAT a écrit:Pendant ce temps, la RDC et l´Angola ont decidé de mettre fin à ces series d´expulsions, ouf! il était temps.
ARAFAT,
ceci est une bonne nouvelle pour les deux pays mais je dois féliciter la réaction Congolaise
il fallait réagir par la réciprocité pcq l'Angola avait un peu exagérer. Ils se sont déplacés pour Kinshasa.
Calcul
Re: Que Cachent Les explusions réciproques RDC - ANGOLA - CONGO
Moi je crois qu'il y a conjonction de plusieurs facteurs pour qu'on en arrive là !Hiro-Hito a écrit: Merci Arafat pour la video
En tt cas, il etait plus q tps, je suis fier des Congolais, cette fois-ci, ba lobi, c fini, on ne va plus continuer a etre des victimes. Mais je me demande, l'Angola qui a initie cette histoire d'expulsion et ds des conditions pas tres humaines, ql interet a t-il de demander a la RDC de ne pas chasser ses ressortissant? On pensait qu'ils avaient tt, c'etait les Congolais qui les enviaient
1° En position de force depuis son aide intéressée au départ de Mobutu puis à la lutte
contre les rwando-ougandais en passant même curieusement à l'écartement fatal de LDK
et depuis en parrain allié de Kanambe, l'Angola a abusé de règler des problèmes internes
et frontaliers économiques sur le dos du faible Congo , ainsi Kahemba, des expulsions
inhumaines et illégales unilatérales des Congolais de son sol...
2° Ces avantages arrachés "de force" se sont aussi enrichis d'abus économiques
autres notamment au niveau de l'exploitation des richesses communes aux frontières
maritimes comme le pétrole....
3° A la longue cette situation de grande mollesse du Congo à l'endroit de l'Angola
a commencé à peser sur le résidus de la conscience souveraine du pouvoir de Léo
d'autant que s'y est ajouté alourdi le manque à gagner pour un pays qui a besoin d'argent
pour "reconstruire" le pays et donner ainsi quelque bilan pour obtenir plus facilement
le renouvellement prochain du mandat et en plus la nouvelle donne d'un rapprochement
avec le Rwanda... ont donné le prétexte de ce durcissement en réciproquant aux
actes de l'Angola....
4° La preuve est ainsi faite que quasiment dans tous les domaines Kinshasa conduit
le pays par essais et erreurs, ici la fermété qu'il aurait du adopter dès le début
et qui aurait depuis donné de bons résultats comme cette obligation de
résolution par conciliation faite aujourd'hui, n'est utilisé qu'après bien de retards
qui évités auraient préservé notre pays des nombreux malheurs !!!
En effet tout puissant actuel de la région l'Angola n'est pas aussi aveugle pour
comprendre qu'un Congo plus lucide, plus souverain et plus déterminé a de quoi
inquieter rapidement son leadership, autant même avec la ruse y aller "à l'amiable" !!!
Regardez bien les 3 ans de cette législature avec ce schéma qui se vérifie partout :
les premiers actes de ce gouvernement procèdent presque toujours par inexpertise
et précipitation opaque pour se raviser bien tard après des tatonnements
comme si au départ il ne possédait ni vision de son rôle, ni programme ni
expérience, ni recherche des moyens financiers propres, agissant partout
comme par procuration à des alliés et ne pouvant s'empêcher de criminaliser
toutes ses actions, intériosant ainsi à satiété sa réelle illigitimité abondée
par sa megestion, l'accaparemment de ses privilèges indus !!!
Le plus inacceptable dans tout ça pour notre pays c'est que nos politiciens
longtemps n'ont pas réalisé que pour un Angola, un Rwanda, un Ouganda et d'autres,
leur intérêt est de garder longtemps un Congo inorganisé, faible où les dirigeants
se contentent du pouvoir à tout prix avec leurs poches personnelles remplies mais
sans ambition pour leur destin collectif !!! Il ne nous resterait donc qu'à les obliger
à compter désormais en face d'eux avec un Congo armé de moyens d'une ambition
à sa hauteur avec lequel il faut désormais chercher à pactiser !!! C'est un peu
à ça qu'un malin Kagame a été obligé de se soummettre grâce aux yankees et
surtout à son bon sens poltique !!! Et si c'était aussi ce qu'entame Dos Santos ???
Tennons-nous enfin le bon cap !!! Que Dieu m'entende !!!
Compatriotiquement!
PS "RDC – Angola : la fin de l’escalade
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=87392&id_edition=4807
Les expulsions des ressortissants angolais et congolais vers leur pays d’origine se poursuivent à un rythme inquiétant. Certes, on a déjà envisagé une rencontre entre les responsables des deux pays. Mais la dernière mesure du gouvernement angolais suspendant les vols TAAG, la compagnie nationale aérienne angolaise, vers Kinshasa, prouve à suffisance que la tension est montée d’un cran. C’est l’escalade. Heureusement qui vient de prendre fin avec le séjour d’une importante délégation ministérielle angolaise à Kinshasa..."
ndonzwau
Re: Que Cachent Les explusions réciproques RDC - ANGOLA - CONGO
http://www.lepharerdc.com/www/index_view.php?storyID=10650&rubriqueID=9
Une commission gouvernementale, conduite par le vice-Premier ministre en charge de la Défense et Sécurité, Me Mutombo Bakafwa Nsenda, a séjourné au Bas-Congo au milieu de la semaine dernière, à la demande du Premier ministre, Adolphe Muzito. C’était pour évaluer la situation humanitaire de nos compatriotes expulsés d’Angola ces deux derniers mois et dont le nombre vient de franchir la barre de 18.000 âmes. Lors d’une prestation télévisée, l’un des membres de cette délégation, le ministre Barthélemy Botswali des Affaires Sociales, Actions Humanitaires et Solidarité Nationale, tout en affirmant l’engagement du gouvernement à assister les refoulés, a déploré l’obsession des Congolais, surtout les jeunes, à vouloir absolument aller chercher le paradis à l’étranger. Selon son « Excellence », la RDC a tout pour faire le bonheur de ses citoyens. D’où, il a estimé que les Congolais qui sont malmenés à l’extérieur, principalement dans les pays voisins, ont une large part de responsabilité dans ce qui leur arrive. Ces propos du ministre Botswali ont interpellé de nombreuses consciences. Il y a effectivement de quoi se demander ce que vont chercher en dehors de leur patrie des millions de Congolaises et Congolais dont le pays héberge près de 45% des forêts africaines, le plus grand barrage hydroélectrique du continent, où l’agriculture est capable de nourrir toute l’Afrique, où l’on rencontre le diamant, l’or, le cuivre, le cobalt, la cassitérite, l’uranium, le nickel, le pétrole, le coltan, le fer, la manganèse, le mercure, le gaz méthane, etc...
Une commission gouvernementale, conduite par le vice-Premier ministre en charge de la Défense et Sécurité, Me Mutombo Bakafwa Nsenda, a séjourné au Bas-Congo au milieu de la semaine dernière, à la demande du Premier ministre, Adolphe Muzito. C’était pour évaluer la situation humanitaire de nos compatriotes expulsés d’Angola ces deux derniers mois et dont le nombre vient de franchir la barre de 18.000 âmes. Lors d’une prestation télévisée, l’un des membres de cette délégation, le ministre Barthélemy Botswali des Affaires Sociales, Actions Humanitaires et Solidarité Nationale, tout en affirmant l’engagement du gouvernement à assister les refoulés, a déploré l’obsession des Congolais, surtout les jeunes, à vouloir absolument aller chercher le paradis à l’étranger. Selon son « Excellence », la RDC a tout pour faire le bonheur de ses citoyens. D’où, il a estimé que les Congolais qui sont malmenés à l’extérieur, principalement dans les pays voisins, ont une large part de responsabilité dans ce qui leur arrive. Ces propos du ministre Botswali ont interpellé de nombreuses consciences. Il y a effectivement de quoi se demander ce que vont chercher en dehors de leur patrie des millions de Congolaises et Congolais dont le pays héberge près de 45% des forêts africaines, le plus grand barrage hydroélectrique du continent, où l’agriculture est capable de nourrir toute l’Afrique, où l’on rencontre le diamant, l’or, le cuivre, le cobalt, la cassitérite, l’uranium, le nickel, le pétrole, le coltan, le fer, la manganèse, le mercure, le gaz méthane, etc...
taty
Re: Que Cachent Les explusions réciproques RDC - ANGOLA - CONGO
"RDC-Angola : les officiels en concertation pour gérer les expulsions
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25060&da=&hi=0&of=2&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
Les délégations ministérielles congolaise et angolaise ont ouvert, mardi à Kinshasa, des discussions sur la gestion des expulsions des leurs ressortissants. En attendant, l’opération d’expulsions mutuelles reste suspendue, rapporte radiookapi.net
Les deux délégations harmonisent leurs vues, sur les mécanismes de respect des normes humanitaires dans l’opération d’expulsion des ressortissants en séjour irrégulier en RDC et en Angola. De deux côtés, on reconnaît que cette opération d'expulsion se passe dans des conditions inacceptables. Parmi les solutions envisagées, les experts étudient comment informer au préalable les Etats concernés avant toute expulsion. Ce, afin de faciliter la sécurité et l’accueil des expulsés dans leurs pays d’origine. Les expulsions ne reprendront qu’après la mise en place des mécanismes communs entre la RDC et l’Angola, ont indiqué des sources proches de la délégation angolaise. Cette délégation est conduite par le vice-ministre des Relations extérieures, Jeorge Chicoty. La partie congolaise est conduite par le vice-ministre des Affaires étrangères, Ignace Gata. La délégation conduite par le vice-ministre angolais des Relations extérieures comprend les vice-ministres de la Défense et de l’Intérieur.
« le président Edouardo dos Santos a délégué son envoyé spécial auprès du Chef de l’Etat congolais avec un message clair : on est deux pays voisins, réglons cette question à l’amiable. Le Président Kabila a aussi livré son point de vue sur la question. Tout en dénonçant la manière [dont s’opèrent ces expulsions], il a demandé d’étudier ce qui peut être fait pour que les choses [expulsions] se déroulent de façon acceptable. », a indiqué à radiookapi.net Alexis Thambwe Mwamba, ministre congolais des Affaires étrangères.
A en croire le ministre Thambwe Mwamba, la dégradation de la situation humanitaire des expulsés a motivé l’arrêt de ces expulsions par les deux Etats. « Si on considère par exemple la question des réfugiés, sur le territoire congolais vivent près de 112 000 refugiés angolais. Parmi eux, le HCR en a recensé 78 000, selon nos statistiques contre 12000 réfugiés congolais vivant en Angola. C’est vrai qu’on n’aborde pas la question des réfugiés. Mais c’est pour montrer qu’avec ces questions humaines, il faut faire extrêmement attention. Si nous devons renvoyer ces réfugiés, cela poserait énormément des problèmes du côté angolais. Avec ces concertations, nous voulons que désormais, chaque fois qu’il y a expulsion des irréguliers, les personnes concernées puissent être assurées de la protection et de la dignité humaines », a ajouté Alexis Thambwe Mwamba.
La RDC et l’Angola ont décidé, lundi, de mettre fin aux expulsions mutuelles de leurs ressortissants. La décision a été prise par les présidents Joseph Kabila de la RDC et Edouardo dos Santos de l’Angola. L’annonce de cette décision a été faite sur les antennes de la RTNC, la télévision nationale congolaise, par le vice-ministre des Relations extérieures angolais, Jeorge Chicoty.
« Je suis très satisfait car le président Kabila a immédiatement donné des instructions pour que cessent toutes les exactions qu’il y a ici au Congo. En Angola aussi, il y aura cessation [d’expulsion]et donc pas de questions qui vont inquiéter les citoyens congolais résidant en Angola et les Angolais résidant en RDC », a déclaré Jeorge Chicoty, au sortir d’une audience avec le Président Joseph Kabila."
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25058&da=&hi=0&of=2&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25056&da=&hi=0&of=2&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25051&da=&hi=0&of=2&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
Compatriotiquement!
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25060&da=&hi=0&of=2&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
Les délégations ministérielles congolaise et angolaise ont ouvert, mardi à Kinshasa, des discussions sur la gestion des expulsions des leurs ressortissants. En attendant, l’opération d’expulsions mutuelles reste suspendue, rapporte radiookapi.net
Les deux délégations harmonisent leurs vues, sur les mécanismes de respect des normes humanitaires dans l’opération d’expulsion des ressortissants en séjour irrégulier en RDC et en Angola. De deux côtés, on reconnaît que cette opération d'expulsion se passe dans des conditions inacceptables. Parmi les solutions envisagées, les experts étudient comment informer au préalable les Etats concernés avant toute expulsion. Ce, afin de faciliter la sécurité et l’accueil des expulsés dans leurs pays d’origine. Les expulsions ne reprendront qu’après la mise en place des mécanismes communs entre la RDC et l’Angola, ont indiqué des sources proches de la délégation angolaise. Cette délégation est conduite par le vice-ministre des Relations extérieures, Jeorge Chicoty. La partie congolaise est conduite par le vice-ministre des Affaires étrangères, Ignace Gata. La délégation conduite par le vice-ministre angolais des Relations extérieures comprend les vice-ministres de la Défense et de l’Intérieur.
« le président Edouardo dos Santos a délégué son envoyé spécial auprès du Chef de l’Etat congolais avec un message clair : on est deux pays voisins, réglons cette question à l’amiable. Le Président Kabila a aussi livré son point de vue sur la question. Tout en dénonçant la manière [dont s’opèrent ces expulsions], il a demandé d’étudier ce qui peut être fait pour que les choses [expulsions] se déroulent de façon acceptable. », a indiqué à radiookapi.net Alexis Thambwe Mwamba, ministre congolais des Affaires étrangères.
A en croire le ministre Thambwe Mwamba, la dégradation de la situation humanitaire des expulsés a motivé l’arrêt de ces expulsions par les deux Etats. « Si on considère par exemple la question des réfugiés, sur le territoire congolais vivent près de 112 000 refugiés angolais. Parmi eux, le HCR en a recensé 78 000, selon nos statistiques contre 12000 réfugiés congolais vivant en Angola. C’est vrai qu’on n’aborde pas la question des réfugiés. Mais c’est pour montrer qu’avec ces questions humaines, il faut faire extrêmement attention. Si nous devons renvoyer ces réfugiés, cela poserait énormément des problèmes du côté angolais. Avec ces concertations, nous voulons que désormais, chaque fois qu’il y a expulsion des irréguliers, les personnes concernées puissent être assurées de la protection et de la dignité humaines », a ajouté Alexis Thambwe Mwamba.
La RDC et l’Angola ont décidé, lundi, de mettre fin aux expulsions mutuelles de leurs ressortissants. La décision a été prise par les présidents Joseph Kabila de la RDC et Edouardo dos Santos de l’Angola. L’annonce de cette décision a été faite sur les antennes de la RTNC, la télévision nationale congolaise, par le vice-ministre des Relations extérieures angolais, Jeorge Chicoty.
« Je suis très satisfait car le président Kabila a immédiatement donné des instructions pour que cessent toutes les exactions qu’il y a ici au Congo. En Angola aussi, il y aura cessation [d’expulsion]et donc pas de questions qui vont inquiéter les citoyens congolais résidant en Angola et les Angolais résidant en RDC », a déclaré Jeorge Chicoty, au sortir d’une audience avec le Président Joseph Kabila."
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25058&da=&hi=0&of=2&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25056&da=&hi=0&of=2&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25051&da=&hi=0&of=2&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: Que Cachent Les explusions réciproques RDC - ANGOLA - CONGO
"Un conflit payé par les émigrés en Afrique centrale
° http://www.lalibre.be/actu/international/article/535732/un-conflit-paye-par-les-emigres-en-afrique-centrale.html
Rien ne va plus entre le Congo-Kinshasa et l'Angola. Et les émigrés trinquent.
Quelque 150 000 Congolais ont été expulsés d’Angola depuis décembre dernier. Luanda est coutumier du fait (140 000 Congolais avaient déjà été expulsés entre 2003 et 2007 selon l’Onu) et son armée traite avec beaucoup de violence les illégaux congolais, généralement venus "creuser le diamant" dans le nord de l’Angola : pillage de leurs biens, brutalités, marche forcée de parfois 1 000 km, viols des femmes, fouille non hygiénique à la recherche de diamants éventuellement dissimulés à l’intérieur des corps. Ces mauvais traitements ont provoqué l’indignation de l’Onu. A plusieurs reprises, Luanda a promis d’y remédier mais ne le fait pas.
Ces derniers jours, le mouvement est accentué par des départs volontaires de Congolais d’Angola en raison d’une véritable "chasse à l’homme" dans ce pays, à laquelle se joint parfois la population civile, qui en profite pour dépouiller les Congolais de leurs biens.
Jusqu’ici, le pouvoir de Kinshasa avait fait le gros dos. Parce qu’il ne se préoccupe guère, en général, de la dignité de ses citoyens mais, surtout, parce qu’il se sentait redevable de l’appui militaire angolais apporté à Laurent Kabila durant les deux guerres (1996-1997 et 1998-2003) et à Joseph Kabila lors de la bataille de Kinshasa contre l’opposant Jean-Pierre Bemba, en mars 2007.
Cette fois, pourtant, soumis à une forte pression des provinces frontalières du Bandundu et du Bas-Congo, le président Kabila a répliqué, au nom de la réciprocité : les illégaux angolais au Congo sont, depuis le début octobre, eux aussi expulsés (2 500 à 3 000). Les expulsions - comme c’est régulièrement le cas en Angola, s’agissant de Congolais - frappent aussi des immigrants légaux.
Luanda a répliqué en suspendant la semaine dernière les vols de sa compagnie TAAG vers le Congo.
Aux yeux des observateurs, cependant, ce conflit en cache un autre, qui concerne les frontières et les ressources naturelles.
Depuis 2007, les troupes angolaises ont, à plusieurs reprises, occupé des villages congolais au Bandundu (en zone diamantifère), puis au Bas-Congo en y plantant leur drapeau national et en commettant souvent des exactions contre les habitants congolais. Le premier incident avait abouti à la mise en place d’une commission de chercheurs chargés d’étudier l’accord belgo-portugais de 1891 qui fixe la frontière; elle avait conclu que dix des onze villages occupés étaient en Angola. Le Parlement congolais ayant abouti à des conclusions différentes, son rapport ne fut jamais publié et il n’y eut pas de débat public. Depuis lors, cependant, d’autres "occupations" angolaises se sont produites, qui ont durci les positions congolaises.
Ainsi, en mars dernier, formulant tout haut ce qui se disait tout bas depuis longtemps au Congo, le ministre congolais des Hydrocarbures, René Isekemanga, accusait l’Angola d’extraire quotidiennement plusieurs centaines de milliers de barils de pétrole des eaux territoriales congolaises. "Le Congo estime que les blocs 2 et 15" exploités par l’Angola "sont en territoire congolais", explique à "La Libre Belgique" le Pr Kasongo Numbi, député congolais de la majorité présidentielle. Et celui-ci d’expliquer que la question a resurgi cette année parce que l’Onu avait donné le 13 mai 2009 comme dernière limite pour déposer des notes sur la délimitation des zones maritimes des nations qui ne l’avaient pas encore fait, comme le Congo.
"Or, au Congo, cette délimitation avait fait l’objet d’une loi, sous Mobutu. Nous avons donc voté une modification à la loi pour y introduire la délimitation sur le plateau continental et les zones économiques exclusives et la loi a été transmise à l’Onu", poursuit le député . "Cela a fâché l’Angola, parce que cette loi fixe aussi les délimitations latérales - notamment avec le territoire angolais - et pas seulement la longueur revendiquée sur le plateau continental".
"Mais, ajoute-t-il , si vous regardez la délimitation faite par Luanda, sur son site Internet, vous voyez qu’elle lie (l’enclave angolaise de) Cabinda au reste de l’Angola, en traversant le territoire congolais ! De plus, ils précisent qu’ils n’ont pas encore d’accord de délimitation latérale avec le Gabon et le Congo-Brazzaville - et nous ignorent complètement."
Ce conflit se développe alors que l’Angola, en passe de ravir la place de premier producteur de pétrole d’Afrique au Nigeria (dont la production a chuté en raison de la guerre du Delta), subit les effets indirects de la crise financière internationale. Ses réserves en devises ont diminué de 30 % depuis mai en raison de la chute des prix de l’or noir depuis 2008 (50 %) et de ceux du diamant (20 à 30 %), l’autre source de devises du pays.
D’aucuns citent encore, comme cause de mécontentement contre Kinshasa à Luanda, le rapprochement du Congo avec le Rwanda - l’autre puissance militaire de la région - en vue de débarrasser l’est du Congo de ses factions armées, et la perspective, annoncée pour 2010, d’une présidentielle en Angola : les Angolais originaires du Congo ou d’ethnie Kongo, leurs frères, sont plus favorables aux adversaires du président Eduardo Dos Santos qu’à ce dernier, au pouvoir depuis trente ans."
Compatriotiquement!
° http://www.lalibre.be/actu/international/article/535732/un-conflit-paye-par-les-emigres-en-afrique-centrale.html
Rien ne va plus entre le Congo-Kinshasa et l'Angola. Et les émigrés trinquent.
Quelque 150 000 Congolais ont été expulsés d’Angola depuis décembre dernier. Luanda est coutumier du fait (140 000 Congolais avaient déjà été expulsés entre 2003 et 2007 selon l’Onu) et son armée traite avec beaucoup de violence les illégaux congolais, généralement venus "creuser le diamant" dans le nord de l’Angola : pillage de leurs biens, brutalités, marche forcée de parfois 1 000 km, viols des femmes, fouille non hygiénique à la recherche de diamants éventuellement dissimulés à l’intérieur des corps. Ces mauvais traitements ont provoqué l’indignation de l’Onu. A plusieurs reprises, Luanda a promis d’y remédier mais ne le fait pas.
Ces derniers jours, le mouvement est accentué par des départs volontaires de Congolais d’Angola en raison d’une véritable "chasse à l’homme" dans ce pays, à laquelle se joint parfois la population civile, qui en profite pour dépouiller les Congolais de leurs biens.
Jusqu’ici, le pouvoir de Kinshasa avait fait le gros dos. Parce qu’il ne se préoccupe guère, en général, de la dignité de ses citoyens mais, surtout, parce qu’il se sentait redevable de l’appui militaire angolais apporté à Laurent Kabila durant les deux guerres (1996-1997 et 1998-2003) et à Joseph Kabila lors de la bataille de Kinshasa contre l’opposant Jean-Pierre Bemba, en mars 2007.
Cette fois, pourtant, soumis à une forte pression des provinces frontalières du Bandundu et du Bas-Congo, le président Kabila a répliqué, au nom de la réciprocité : les illégaux angolais au Congo sont, depuis le début octobre, eux aussi expulsés (2 500 à 3 000). Les expulsions - comme c’est régulièrement le cas en Angola, s’agissant de Congolais - frappent aussi des immigrants légaux.
Luanda a répliqué en suspendant la semaine dernière les vols de sa compagnie TAAG vers le Congo.
Aux yeux des observateurs, cependant, ce conflit en cache un autre, qui concerne les frontières et les ressources naturelles.
Depuis 2007, les troupes angolaises ont, à plusieurs reprises, occupé des villages congolais au Bandundu (en zone diamantifère), puis au Bas-Congo en y plantant leur drapeau national et en commettant souvent des exactions contre les habitants congolais. Le premier incident avait abouti à la mise en place d’une commission de chercheurs chargés d’étudier l’accord belgo-portugais de 1891 qui fixe la frontière; elle avait conclu que dix des onze villages occupés étaient en Angola. Le Parlement congolais ayant abouti à des conclusions différentes, son rapport ne fut jamais publié et il n’y eut pas de débat public. Depuis lors, cependant, d’autres "occupations" angolaises se sont produites, qui ont durci les positions congolaises.
Ainsi, en mars dernier, formulant tout haut ce qui se disait tout bas depuis longtemps au Congo, le ministre congolais des Hydrocarbures, René Isekemanga, accusait l’Angola d’extraire quotidiennement plusieurs centaines de milliers de barils de pétrole des eaux territoriales congolaises. "Le Congo estime que les blocs 2 et 15" exploités par l’Angola "sont en territoire congolais", explique à "La Libre Belgique" le Pr Kasongo Numbi, député congolais de la majorité présidentielle. Et celui-ci d’expliquer que la question a resurgi cette année parce que l’Onu avait donné le 13 mai 2009 comme dernière limite pour déposer des notes sur la délimitation des zones maritimes des nations qui ne l’avaient pas encore fait, comme le Congo.
"Or, au Congo, cette délimitation avait fait l’objet d’une loi, sous Mobutu. Nous avons donc voté une modification à la loi pour y introduire la délimitation sur le plateau continental et les zones économiques exclusives et la loi a été transmise à l’Onu", poursuit le député . "Cela a fâché l’Angola, parce que cette loi fixe aussi les délimitations latérales - notamment avec le territoire angolais - et pas seulement la longueur revendiquée sur le plateau continental".
"Mais, ajoute-t-il , si vous regardez la délimitation faite par Luanda, sur son site Internet, vous voyez qu’elle lie (l’enclave angolaise de) Cabinda au reste de l’Angola, en traversant le territoire congolais ! De plus, ils précisent qu’ils n’ont pas encore d’accord de délimitation latérale avec le Gabon et le Congo-Brazzaville - et nous ignorent complètement."
Ce conflit se développe alors que l’Angola, en passe de ravir la place de premier producteur de pétrole d’Afrique au Nigeria (dont la production a chuté en raison de la guerre du Delta), subit les effets indirects de la crise financière internationale. Ses réserves en devises ont diminué de 30 % depuis mai en raison de la chute des prix de l’or noir depuis 2008 (50 %) et de ceux du diamant (20 à 30 %), l’autre source de devises du pays.
D’aucuns citent encore, comme cause de mécontentement contre Kinshasa à Luanda, le rapprochement du Congo avec le Rwanda - l’autre puissance militaire de la région - en vue de débarrasser l’est du Congo de ses factions armées, et la perspective, annoncée pour 2010, d’une présidentielle en Angola : les Angolais originaires du Congo ou d’ethnie Kongo, leurs frères, sont plus favorables aux adversaires du président Eduardo Dos Santos qu’à ce dernier, au pouvoir depuis trente ans."
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: Que Cachent Les explusions réciproques RDC - ANGOLA - CONGO
RD Congo: "l'enfer" des Congolais brutalement expulsés d'Angola
De Edouardin M'PUTU (AFP) – Il y a 6 heures
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5jt096HgLQe4CYEWRy0ZH03Qx9zAw
YEMA — Des policiers m'ont réveillée à 4H00, ils ont déchiré ma carte de résident, m'ont emmenée dans un cachot où j'ai été violée, avec d'autres femmes" avant d'être expulsée, raconte Bibi, une Congolaise refoulée brutalement d'Angola vers la RD Congo début octobre.
Selon l'ONU, plus de 16.000 Congolais ont été recensés dans la Bas-Congo (ouest), expulsés d'Angola depuis août, surtout de l'enclave du Cabinda, située entre la RDC et le Congo-Brazzaville sur l'océan Atlantique. En réaction, la RDC a entamé fin septembre l'expulsion de milliers d'Angolais.
Ces opérations se sont accélérées de chaque côté ces derniers jours, mais mardi les deux pays ont décidé conjointement de les suspendre.
A Yema, une ville située à plus de 600 km au sud-ouest de Kinshasa près de la frontière du Cabinda, les expulsés sont arrivés chaque jour par centaines, traumatisés par les traitements brutaux des forces de l'ordre angolaises lors de leur interpellation et détention.
Sur un parking devenu vaste centre d'accueil, des familles refoulées s'entassent dans la promiscuité. Abritée sous un baraquement de bambous couvert de palmes, Bibi, 23 ans, vendeuse de friperie au marché de Cabinda, s'est retrouvée à Yema le 8 octobre.
"Je savais que la rushka (ndlr expulsion) faisait rage mais quand on a toqué à ma porte, j'étais loin de m'imaginer ce qui allait m'arriver. Ce sont les dredas (ndlr bandits) qui indiquent aux policiers les habitations des Congolais, sans-papiers ou non, et nous ont dépouillés de nos biens", raconte-t-elle à l'AFP, les larmes aux yeux...
taty
Re: Que Cachent Les explusions réciproques RDC - ANGOLA - CONGO
Le général Munene agressé par des bérêts verts
° http://blogs.lesoir.be/colette-braeckman/2009/10/14/le-general-munene-agresse-par-des-berets-verts/
Les méfaits attribués à des militaires se multiplient : après les révélations concernant l’assassinat d’ Albert Prigogine, victime d’un complot ourdi par de hautes personnalités de Goma et exécuté par des hommes en uniforme, un autre cas défraie la chronique : le général Faustin Munene été l’objet d‘une attaque en règle, menée contre son domicile par des hommes en uniforme, dotés d’une cordelette comme en possèdent les commandos et coiffés d’un béret vert.
« Alors que je me reposais dans l’une de mes résidences, à Bandalungwa, ces hommes ont soudain encerclé la maison » nous explique l‘officier. « Ils ont expliqué au gardien qu’ils avaient rendez vous avec moi et comme on ne les laissait pas entrer, ils ont attaqué la maison. Je me suis barricadé, transformant la maison en véritable camp retranché, ce qui a fortement inquiété les voisins. L’attaque a duré de 21 heures jusque 3 heures du matin, semant l’émoi dans tout le quartier.»
Le général Munene affirme qu’il ignore quels seraient les motifs de cette attaque. Mais on ne peut que relever que cette agression, par un commando de militaires qui ne prenaient même pas la peine de dissimuler leur état civil, survient au moment où les relations entre l’Angola et le Congo traversent une phase difficile, marquée par des expulsions et des violences dans les régions frontalières. Ces tensions avec le voisin angolais sont d’autant plus inquiétantes que le président dos Santos a toujours été le plus ferme allié de Kinshasa et qu’à plusieurs reprises c’est l’intervention de l’armée angolaise qui a sauvé le régime. Or le général Munene qui fut longtemps réfugié en Angola a toujours été la cheville ouvrière de ces relations entre les deux pays..."
Sacrée Braeckman, que ne peut-elle jamais aller au bout de ses analyses à chaque fois que le pouvoir
de Léo mérite d'être condamné ou simplement démasqué dans ses répétitives actions opaques et
arbitraires ! S'est-elle une fois posée la question combien elle aurait peut-être aidé ses amis au
pouvoir à Kinshasa et ainsi ce Congo qui lui a donné tout si elle s'était montrée plus courageuse,
moins opportuniste, moins wallonne magouilleuse ???
Ici, tout le monde comprend que pour des raisons suffisamment vitales, Kanambe a décidé de résister
à son habituel parrain et protecteur Dos Santos : une tentative d'indépendance des plus décisive pour
la suite de la région qui malgré les conciliations en cours laissera des traces, que ne peut-elle chercher
à nous en donner les dessous, elle proclamée spécialiste du Congo surtout celui de Kabila/Kanambe ???
Décidément une peste pour notre pays, cette intrigante belge opportuniste, à l'écarter par tous
les moyens dès qu'on peut !!!
Compatriotiquement
PS
"L'Angola et la RDC vont réévaluer les limites frontalières
° http://www.portalangop.co.ao/motix/fr_fr/noticias/politica/2009/9/42/Angola-RDC-vont-reevaluer-les-limites-frontalieres,52e9cb4a-63e0-4b92-8855-0dcffac0a48b.html
Luanda – Les gouvernements d’Angola et de la République Démocratique du Congo vont créer prochainement une sous-commission de travail pour réévaluer la position des limites frontalières entre les deux pays.
C'est ce qu'a annoncé mercredi à la presse, le vice-ministre des Relations extérieures, George Chicoty, en provenance de la République Démocratique du Congo, où il a conduit une délégation mandatée par le Président, José Eduardo Santos, pour dialoguer avec les autorités congolaises sur la question de l’expulsion de leurs ressortissants.
Selon le responsable angolais, les deux Etats ont vécu un long processus d’instabilité, certaines limites n’existent plus, d’où la nécessité de faire une étude approfondie sur les limites territoriales.
“Il existe déjà une division de ces limites frontalières, nous allons discuter avec la République Démocratique du Congo de la situation des frontière maritimes, ainsi que de la délimitation de plateforme continentale”.
D'après George Chicoty, de nombreuses confusions frontalières ont été causées par la colonisation dans les deux Etats, voilà pourquoi certaines limites ont été établies à la fin du siècle XIX"
° http://blogs.lesoir.be/colette-braeckman/2009/10/14/le-general-munene-agresse-par-des-berets-verts/
Les méfaits attribués à des militaires se multiplient : après les révélations concernant l’assassinat d’ Albert Prigogine, victime d’un complot ourdi par de hautes personnalités de Goma et exécuté par des hommes en uniforme, un autre cas défraie la chronique : le général Faustin Munene été l’objet d‘une attaque en règle, menée contre son domicile par des hommes en uniforme, dotés d’une cordelette comme en possèdent les commandos et coiffés d’un béret vert.
« Alors que je me reposais dans l’une de mes résidences, à Bandalungwa, ces hommes ont soudain encerclé la maison » nous explique l‘officier. « Ils ont expliqué au gardien qu’ils avaient rendez vous avec moi et comme on ne les laissait pas entrer, ils ont attaqué la maison. Je me suis barricadé, transformant la maison en véritable camp retranché, ce qui a fortement inquiété les voisins. L’attaque a duré de 21 heures jusque 3 heures du matin, semant l’émoi dans tout le quartier.»
Le général Munene affirme qu’il ignore quels seraient les motifs de cette attaque. Mais on ne peut que relever que cette agression, par un commando de militaires qui ne prenaient même pas la peine de dissimuler leur état civil, survient au moment où les relations entre l’Angola et le Congo traversent une phase difficile, marquée par des expulsions et des violences dans les régions frontalières. Ces tensions avec le voisin angolais sont d’autant plus inquiétantes que le président dos Santos a toujours été le plus ferme allié de Kinshasa et qu’à plusieurs reprises c’est l’intervention de l’armée angolaise qui a sauvé le régime. Or le général Munene qui fut longtemps réfugié en Angola a toujours été la cheville ouvrière de ces relations entre les deux pays..."
Sacrée Braeckman, que ne peut-elle jamais aller au bout de ses analyses à chaque fois que le pouvoir
de Léo mérite d'être condamné ou simplement démasqué dans ses répétitives actions opaques et
arbitraires ! S'est-elle une fois posée la question combien elle aurait peut-être aidé ses amis au
pouvoir à Kinshasa et ainsi ce Congo qui lui a donné tout si elle s'était montrée plus courageuse,
moins opportuniste, moins wallonne magouilleuse ???
Ici, tout le monde comprend que pour des raisons suffisamment vitales, Kanambe a décidé de résister
à son habituel parrain et protecteur Dos Santos : une tentative d'indépendance des plus décisive pour
la suite de la région qui malgré les conciliations en cours laissera des traces, que ne peut-elle chercher
à nous en donner les dessous, elle proclamée spécialiste du Congo surtout celui de Kabila/Kanambe ???
Décidément une peste pour notre pays, cette intrigante belge opportuniste, à l'écarter par tous
les moyens dès qu'on peut !!!
Compatriotiquement
PS
"L'Angola et la RDC vont réévaluer les limites frontalières
° http://www.portalangop.co.ao/motix/fr_fr/noticias/politica/2009/9/42/Angola-RDC-vont-reevaluer-les-limites-frontalieres,52e9cb4a-63e0-4b92-8855-0dcffac0a48b.html
Luanda – Les gouvernements d’Angola et de la République Démocratique du Congo vont créer prochainement une sous-commission de travail pour réévaluer la position des limites frontalières entre les deux pays.
C'est ce qu'a annoncé mercredi à la presse, le vice-ministre des Relations extérieures, George Chicoty, en provenance de la République Démocratique du Congo, où il a conduit une délégation mandatée par le Président, José Eduardo Santos, pour dialoguer avec les autorités congolaises sur la question de l’expulsion de leurs ressortissants.
Selon le responsable angolais, les deux Etats ont vécu un long processus d’instabilité, certaines limites n’existent plus, d’où la nécessité de faire une étude approfondie sur les limites territoriales.
“Il existe déjà une division de ces limites frontalières, nous allons discuter avec la République Démocratique du Congo de la situation des frontière maritimes, ainsi que de la délimitation de plateforme continentale”.
D'après George Chicoty, de nombreuses confusions frontalières ont été causées par la colonisation dans les deux Etats, voilà pourquoi certaines limites ont été établies à la fin du siècle XIX"
ndonzwau
Re: Que Cachent Les explusions réciproques RDC - ANGOLA - CONGO
"Sommet CEEAC :
l’absence de Dos Santos mal perçue à Kinshasa
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25221&da=&hi=0&of=17&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
L’absence du président angolais a été remarquable parmi ses six homologues chefs d’Etat de l’Afrique centrale, réunis samedi au mess de la 14e session de la CEEAC. Absence du reste mal perçue par plusieurs observateurs, au moment où les expulsions réciproques des Angolais et Congolais semblent entacher les relations entre Kinshasa et Luanda, rapporte radiookapi.net.."
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5044
"Conflit frontalier
Kinshasa et Luanda devant l’arbitrage de l’ONU !"
Compatriotiquement!
l’absence de Dos Santos mal perçue à Kinshasa
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25221&da=&hi=0&of=17&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
L’absence du président angolais a été remarquable parmi ses six homologues chefs d’Etat de l’Afrique centrale, réunis samedi au mess de la 14e session de la CEEAC. Absence du reste mal perçue par plusieurs observateurs, au moment où les expulsions réciproques des Angolais et Congolais semblent entacher les relations entre Kinshasa et Luanda, rapporte radiookapi.net.."
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5044
"Conflit frontalier
Kinshasa et Luanda devant l’arbitrage de l’ONU !"
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: Que Cachent Les explusions réciproques RDC - ANGOLA - CONGO
"Pétrole
4 milliards de baril divisent Kinshasa et Luanda
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=88596&id_edition=4829
Le bloc 15. Il faut désormais s’accoutumer à cette dénomination dans le conflit latent qui oppose la RDC à l’Angola sur l’exploitation du champ pétrolifère du littoral Ouest. La face immergée de l’iceberg s’est révélée avec l’adoption par le Parlement de la loi portant délimitation des frontières maritimes et terrestres de la RDC. En effet, Kinshasa revendique ses 200 km des eaux territoriales. Jusque-là, la RDC ne se contentait que d’un « petit » champ de 40 km. Or, sur l’espace maritime revendiqué par cette dernière se trouve une manne pétrolière impressionnante exploitée déjà par diverses multinationales pour le compte… de l’Angola. C’est le fameux bloc 15. Il pèse en termes de réserves pétrolières quatre (4) milliards de barils. Kinshasa est à sa reconquête. Ambition démesurée, estime Luanda..."
Compatriotiquement!
4 milliards de baril divisent Kinshasa et Luanda
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=88596&id_edition=4829
Le bloc 15. Il faut désormais s’accoutumer à cette dénomination dans le conflit latent qui oppose la RDC à l’Angola sur l’exploitation du champ pétrolifère du littoral Ouest. La face immergée de l’iceberg s’est révélée avec l’adoption par le Parlement de la loi portant délimitation des frontières maritimes et terrestres de la RDC. En effet, Kinshasa revendique ses 200 km des eaux territoriales. Jusque-là, la RDC ne se contentait que d’un « petit » champ de 40 km. Or, sur l’espace maritime revendiqué par cette dernière se trouve une manne pétrolière impressionnante exploitée déjà par diverses multinationales pour le compte… de l’Angola. C’est le fameux bloc 15. Il pèse en termes de réserves pétrolières quatre (4) milliards de barils. Kinshasa est à sa reconquête. Ambition démesurée, estime Luanda..."
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: Que Cachent Les explusions réciproques RDC - ANGOLA - CONGO
Mais où était Mme Braeckman, vaillante spécialistede l'Afrique des Grands Lacs, que disait-elle
donc la grande amie du Congo lorsque opposition et patriotes lucides et responsables clamaient
que Kanambe avait tout faux sur les exploitatation d'intérêts communs qu'il bradait trop
généreusement que ce soit au Rwanda sur le gaz, que ce soit à l'Ouganda et à la Tanzanie
sur le pétrole, que ce soit à l'Angola sur le diamant à Kahemba et le pétrole sur la côte ???
Rien, silence complet pour aller dans le sens du poil de ses bienfaiteurs et amis qu'il fallait
alors ménager; pourtant c'est dès la reprise qu'il fallait limiter fermes les droits des uns
et des autres !
Que de retards et des trahisons criminels partout : voilà donc cette gestion sans programme et
par procuration dont les essais et erreurs commencent déjà à réveler les manques à gagner
qui ajoutés à la gabegie et aux rapines de règle de notre classe politique sur nos pauvres
recettes, représentent d'énormes déficits pour financer notre reconstruction pourtant
impérative au sortir(?) de la guerre !
Des dirigeants dignes de notre République ne doivent se satisfaire de l'irrecevable excuse
de problèmes intérieurs pregnants, comme l'ânonne leur égérie Braeckman, pour ainsi
trahir à peu de frais notre souveraineté qui est notre première priorité interne et externe !
Voilà mon credo personnel que je voudrais que tous les politiques
responsables entonnent et pratiquent pour dénoncer la gestion
actuelle et conduire le pays à une réelle maîtrise de son destin !!!
Rien d'autre, MM Lino et d'autres qui ne semblent rien voir du danger qui
nous guette : de la conviction patriotique, de l'expertise, de la responsabilité !!!
"Le pétrole enflamme les relations entre le Congo et ses voisins !
° http://blogs.lesoir.be/colette-braeckman/2009/11/09/le-petrole-enflamme-les-relations-entre-le-congo-et-ses-voisins/
Ouganda, Rwanda, Burundi, Tanzanie et, désormais, Angola… Durant des années, trop préoccupé qu’il était par ses problèmes intérieurs, le Congo ne s’est guère soucié des ressources qu’il partageait avec les pays voisins, le gaz méthane, le diamant et surtout le pétrole. Aujourd’hui que les autorités de Kinshasa se réveillent, c’est pour s’apercevoir que, durant ces années perdues, les voisins ont avancé et entamé, de manière souvent unilatérale, la mise en exploitation des ressources communes.
Qu’on en juge : du côté rwandais, une plate forme d’extraction du gaz méthane a déjà été construite au milieu du lac Kivu et elle produit deux mégawatts d’énergie, qui alimentent la ville de Gisenyi. Un protocole d’accord sur l’exploitation du gaz méthane a certes été signé entre les deux pays, mais du côté congolais aucune initiative marquante n’a encore été prise.
Quant au diamant, c’est la même veine qui court sur la frontière entre le Congo et l’Angola du côté de Kahemba et un litige frontalier entre les deux pays a été soumis à l’arbitrage des deux anciennes puissances coloniales, le Portugal et la Belgique.
Actuellement, c’est le pétrole qui défraie la chronique et pourrait alimenter de futures tensions. En effet, d’énormes gisements de pétrole dorment dans le « Graben » africain, et en particulier dans les lacs Tanganyika et Victoria. La République démocratique du Congo disposerait de dix blocs sur le lac Tanganyika, de cinq sur le lac Albert. Ici aussi, les voisons vont de l’avant : sur le Tanganyika, la Tanzanie aurait accordé l’année dernière quatre licences d’exploitation à des sociétés britanniques et australiennes, les quatres blocs appartenant au Burundi sont en phase d’exploration (entre autres par British Petroleum). Quant à l’Ouganda, qui accueille déjà la société Héritage Oil, il vient de signer avec les Ecossais de Tullow Oil un accord qui devrait le propulser au premier rang des producteurs pétroliers africains, avec une réserve estimée, au minimum, à 400 millions de brut.
Du côté congolais, on affiche toujours une modeste production de 25.000 barils par jour, dont 10.000 sont extraits off shore, du côté de Moanda sur l’Océan Atlantique.
C’est là que la situation est la plus explosive : jusqu’à présent, Kinshasa se contentait d’un petit champ pétrolier off shore, d’une profondeur de 40 kilomètres, tandis que l’Angola devenait une puissance pétrolière grâce à l’énorme champ s’étendant sur tout le Golfe de Guinée, la valeur de l’espace maritime angolais étant estimée à 4 milliards de barils.
Or actuellement, le Parlement congolais ayant adopté la loi délimitant les frontières maritimes et terrestres du pays, Kinshasa revendique des eaux territoriales s’étendant sur 200 km 2. Des ambitions qui butent directement sur le fameux « bloc 15 », où des multinationales invitées par le gouvernement angolais exploitent 500.000 barils de brut par jour !
Selon le quotidien kinois « le Potentiel », la RDC invoque désormais la convention dite de Monte Globo qui donne droit à tout Etat ayant une zone côtière d’ouvrir une zone d’au moins 20 km de large et 200 km de long , au large des eaux faisant partie de sa zone territoriale soit, dans le cas congolais, 4000 km2 s’étendant entre l’enclave de Cabinda et le territoire angolais. D’ores et déjà, Exxon (40%) British Pétroleum (26,§%), Agip (20%) et Statoil (13,3%) sont présentes du côté angolais, ainsi que Chevron et Tullow Oil, qui se partagent une réserve de 400 millions de barils.
Le litige latent entre Kinshasa et Luanda pourrait être tranché via un arbitrage international, ou donner lieu à une solution à l’amiable, qui permettrait la création d’une zone d’intérêt commun. On n’en est pas là pour l’ instant : l’absence du président dos Santos, lors du dernier sommet de la SADC (conférence des Etats d’Afrique australe) qui s’est tenue à Kinshasa a été très remarquée tandis que, dans le Bas Congo, des irréguliers congolais et angolais ont été expulsés brutalement de part et d’autre de la frontière.
Pour Kinshasa, la question est également politique : au cours des dix dernières années, les forces armées angolaises, à plusieurs reprises, sont venues au secours du régime dans les circonstances les plus difficiles et il n’est pas certain que le Congo puisse prendre le risque d’engager un conflit d’ordre économique avec son puissant voisin…"
Compatriotiquement!
donc la grande amie du Congo lorsque opposition et patriotes lucides et responsables clamaient
que Kanambe avait tout faux sur les exploitatation d'intérêts communs qu'il bradait trop
généreusement que ce soit au Rwanda sur le gaz, que ce soit à l'Ouganda et à la Tanzanie
sur le pétrole, que ce soit à l'Angola sur le diamant à Kahemba et le pétrole sur la côte ???
Rien, silence complet pour aller dans le sens du poil de ses bienfaiteurs et amis qu'il fallait
alors ménager; pourtant c'est dès la reprise qu'il fallait limiter fermes les droits des uns
et des autres !
Que de retards et des trahisons criminels partout : voilà donc cette gestion sans programme et
par procuration dont les essais et erreurs commencent déjà à réveler les manques à gagner
qui ajoutés à la gabegie et aux rapines de règle de notre classe politique sur nos pauvres
recettes, représentent d'énormes déficits pour financer notre reconstruction pourtant
impérative au sortir(?) de la guerre !
Des dirigeants dignes de notre République ne doivent se satisfaire de l'irrecevable excuse
de problèmes intérieurs pregnants, comme l'ânonne leur égérie Braeckman, pour ainsi
trahir à peu de frais notre souveraineté qui est notre première priorité interne et externe !
Voilà mon credo personnel que je voudrais que tous les politiques
responsables entonnent et pratiquent pour dénoncer la gestion
actuelle et conduire le pays à une réelle maîtrise de son destin !!!
Rien d'autre, MM Lino et d'autres qui ne semblent rien voir du danger qui
nous guette : de la conviction patriotique, de l'expertise, de la responsabilité !!!
"Le pétrole enflamme les relations entre le Congo et ses voisins !
° http://blogs.lesoir.be/colette-braeckman/2009/11/09/le-petrole-enflamme-les-relations-entre-le-congo-et-ses-voisins/
Ouganda, Rwanda, Burundi, Tanzanie et, désormais, Angola… Durant des années, trop préoccupé qu’il était par ses problèmes intérieurs, le Congo ne s’est guère soucié des ressources qu’il partageait avec les pays voisins, le gaz méthane, le diamant et surtout le pétrole. Aujourd’hui que les autorités de Kinshasa se réveillent, c’est pour s’apercevoir que, durant ces années perdues, les voisins ont avancé et entamé, de manière souvent unilatérale, la mise en exploitation des ressources communes.
Qu’on en juge : du côté rwandais, une plate forme d’extraction du gaz méthane a déjà été construite au milieu du lac Kivu et elle produit deux mégawatts d’énergie, qui alimentent la ville de Gisenyi. Un protocole d’accord sur l’exploitation du gaz méthane a certes été signé entre les deux pays, mais du côté congolais aucune initiative marquante n’a encore été prise.
Quant au diamant, c’est la même veine qui court sur la frontière entre le Congo et l’Angola du côté de Kahemba et un litige frontalier entre les deux pays a été soumis à l’arbitrage des deux anciennes puissances coloniales, le Portugal et la Belgique.
Actuellement, c’est le pétrole qui défraie la chronique et pourrait alimenter de futures tensions. En effet, d’énormes gisements de pétrole dorment dans le « Graben » africain, et en particulier dans les lacs Tanganyika et Victoria. La République démocratique du Congo disposerait de dix blocs sur le lac Tanganyika, de cinq sur le lac Albert. Ici aussi, les voisons vont de l’avant : sur le Tanganyika, la Tanzanie aurait accordé l’année dernière quatre licences d’exploitation à des sociétés britanniques et australiennes, les quatres blocs appartenant au Burundi sont en phase d’exploration (entre autres par British Petroleum). Quant à l’Ouganda, qui accueille déjà la société Héritage Oil, il vient de signer avec les Ecossais de Tullow Oil un accord qui devrait le propulser au premier rang des producteurs pétroliers africains, avec une réserve estimée, au minimum, à 400 millions de brut.
Du côté congolais, on affiche toujours une modeste production de 25.000 barils par jour, dont 10.000 sont extraits off shore, du côté de Moanda sur l’Océan Atlantique.
C’est là que la situation est la plus explosive : jusqu’à présent, Kinshasa se contentait d’un petit champ pétrolier off shore, d’une profondeur de 40 kilomètres, tandis que l’Angola devenait une puissance pétrolière grâce à l’énorme champ s’étendant sur tout le Golfe de Guinée, la valeur de l’espace maritime angolais étant estimée à 4 milliards de barils.
Or actuellement, le Parlement congolais ayant adopté la loi délimitant les frontières maritimes et terrestres du pays, Kinshasa revendique des eaux territoriales s’étendant sur 200 km 2. Des ambitions qui butent directement sur le fameux « bloc 15 », où des multinationales invitées par le gouvernement angolais exploitent 500.000 barils de brut par jour !
Selon le quotidien kinois « le Potentiel », la RDC invoque désormais la convention dite de Monte Globo qui donne droit à tout Etat ayant une zone côtière d’ouvrir une zone d’au moins 20 km de large et 200 km de long , au large des eaux faisant partie de sa zone territoriale soit, dans le cas congolais, 4000 km2 s’étendant entre l’enclave de Cabinda et le territoire angolais. D’ores et déjà, Exxon (40%) British Pétroleum (26,§%), Agip (20%) et Statoil (13,3%) sont présentes du côté angolais, ainsi que Chevron et Tullow Oil, qui se partagent une réserve de 400 millions de barils.
Le litige latent entre Kinshasa et Luanda pourrait être tranché via un arbitrage international, ou donner lieu à une solution à l’amiable, qui permettrait la création d’une zone d’intérêt commun. On n’en est pas là pour l’ instant : l’absence du président dos Santos, lors du dernier sommet de la SADC (conférence des Etats d’Afrique australe) qui s’est tenue à Kinshasa a été très remarquée tandis que, dans le Bas Congo, des irréguliers congolais et angolais ont été expulsés brutalement de part et d’autre de la frontière.
Pour Kinshasa, la question est également politique : au cours des dix dernières années, les forces armées angolaises, à plusieurs reprises, sont venues au secours du régime dans les circonstances les plus difficiles et il n’est pas certain que le Congo puisse prendre le risque d’engager un conflit d’ordre économique avec son puissant voisin…"
Compatriotiquement!
Dernière édition par ndonzwau le 10/11/2009, 2:57 am, édité 1 fois
ndonzwau
Re: Que Cachent Les explusions réciproques RDC - ANGOLA - CONGO
Moi je ne crois pas à cette histoire de pétrole, les Angolais sont au Congo pour pourchasser
les combattants de FLEC, et cela sous la bénédiction de Kinshasa même le refoulement réciproque
des congolais et Angolais est un scénario monté de toute pièce par les deux gouvernements.
les combattants de FLEC, et cela sous la bénédiction de Kinshasa même le refoulement réciproque
des congolais et Angolais est un scénario monté de toute pièce par les deux gouvernements.
Calcul
Re: Que Cachent Les explusions réciproques RDC - ANGOLA - CONGO
J'espère bien, cher ami, que vous ne croyez pas un seul instant à ce que vous écrivez !Calcul a écrit:Moi je ne crois pas à cette histoire de pétrole, les Angolais sont au Congo pour pourchasser
les combattants de FLEC, et cela sous la bénédiction de Kinshasa même le refoulement réciproque
des congolais et Angolais est un scénario monté de toute pièce par les deux gouvernements.
Quelle menace sérieuse peut représenter le Flec, petit mouvement autonomiste résiduel
qui subsiste tant bien que mal depuis 50 ans face à l'Etat angolais ?
Au gré de convulsions sporadiques, il posera quelques menus problèmes mais la cohabitation
entre angolais de différents coins n'est plus aujourd'hui aussi conflictuelle qu'au temps de la guerre;
des efforts de relocasition dans certaines campagnes du Sud et d'urbanisation maitrisée avec
emplois adaptés, plus de justice sociale selon les différentes régions pour partager les fruits
des richesses sont encore indispensables aujourd'hui mais c'est un peu le lot de tous nos pays
surtout au sortir des guerres !
Ainsi à la limite, le Kabinda obtiendra-t-il un jour un peu plus d'autonomie et bénéficiera d'un peu
plus de mannes de son pétrole mais en aucun cas l'Etat central ne se laissera sérieusement
inquiété par le Flec, voyons !
Labourons des pistes autrement plus sérieuses au lieu de nous laisser distraire par des épiphénomènes !
J'aime bien nos amis kabindais (Makwambala, Ferreira...) et respecte le combat de certains pour plus
d'autonomie loin de leur mère patrie mais le pétrole Congolais (d'ailleurs comme kabindais) demeure
une priorité bien plus vitale pour l'Angola pour qu'on ne prenne pas nos précautions de ne pas être
débordés par eux par delà les côtes ! Je serais d'ailleurs eux je ferais de même : je profiterais
des eaux Congolaises riches si mes voisins font peu attention à leurs espaces frontalièrs !
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: Que Cachent Les explusions réciproques RDC - ANGOLA - CONGO
Le 34ème anniversaire de la République d’Angola célébré avec faste à Kinshasa
Kinshasa, 12/11/2009 / Afrique
Plusieurs personnalités ont pris part à cette grandiose cérémonie, parmi lesquelles, les membres du Parlement, du Gouvernement Muzito, les Ambassadeurs et Chefs des missions diplomatiques, les représentants des organisations internationales ainsi que tant d’autres sujets angolais se trouvant au Congo.
La résidence officielle de l’Ambassadeur de la République
Lue sur digitalcongo
Kinshasa, 12/11/2009 / Afrique
Plusieurs personnalités ont pris part à cette grandiose cérémonie, parmi lesquelles, les membres du Parlement, du Gouvernement Muzito, les Ambassadeurs et Chefs des missions diplomatiques, les représentants des organisations internationales ainsi que tant d’autres sujets angolais se trouvant au Congo.
La résidence officielle de l’Ambassadeur de la République
Lue sur digitalcongo
mongo elombe
Re: Que Cachent Les explusions réciproques RDC - ANGOLA - CONGO
mongo elombe a écrit:Le 34ème anniversaire de la République d’Angola célébré avec faste à Kinshasa
Kinshasa, 12/11/2009 / Afrique
Plusieurs personnalités ont pris part à cette grandiose cérémonie, parmi lesquelles, les membres du Parlement, du Gouvernement Muzito, les Ambassadeurs et Chefs des missions diplomatiques, les représentants des organisations internationales ainsi que tant d’autres sujets angolais se trouvant au Congo.
La résidence officielle de l’Ambassadeur de la République
Lue sur digitalcongo
Les Léopards seniors «locaux» de la République démocratique du Congo, vainqueurs du premier championnat d’Afrique des nations (CHAN), se rendront, vendredi, à Luanda. Dans la capitale angolaise, ils seront reçus par leurs homologues d’Angola «Palancas negras», en match amical samedi, rapporte radiookapi.net
Les Léopards, champions d'Afrique
La délégation congolaise quitte Kinshasa, vendredi dans la soirée par un vol affrété du gouvernement congolais, selon la Fédération congolaise de football (Fécofa). Cette rencontre amicale internationale fait suite à l’invitation de la Fédération angolaise de football.
Les Léopards s’entraînent, depuis plus d’un mois, sous la direction de Santos Muntubile. Ils se préparaient pour deux tournois amicaux (Tanzanie et Zimbabwe), qui n’ont jamais eu lieu.
Copyright Radio Okapi
Calcul
Re: Que Cachent Les explusions réciproques RDC - ANGOLA - CONGO
calcul sango nini???,, il y a des moments, je me dis il n'y a qu'en RDC où un pays voisin peux expulser les ressortissants, piller, bruler des villages, les occupper et c'est comme si de rien n'était, nalela naseka??????, grrrrrrrrr.
mongo elombe
Re: Que Cachent Les explusions réciproques RDC - ANGOLA - CONGO
mongo elombe a écrit:calcul sango nini???,, il y a des moments, je me dis il n'y a qu'en RDC où un pays voisin peux expulser les ressortissants, piller, bruler des villages, les occupper et c'est comme si de rien n'était, nalela naseka??????, grrrrrrrrr.
La soeur,
ndenge nini, moi je me porte bien, comme tu le dis Kanambe n'a pas une armée d'où tout moyen est possible,il est protégé
par le président Angolais raison pour laquelle celui ci se permet de tout au Congo.
Calcul
Re: Que Cachent Les explusions réciproques RDC - ANGOLA - CONGO
Selon l’ambassadeur angolais:
Angola-RDC : incompréhension dans les relations bilatérales,
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5120
Le nouvel ambassadeur d’Angola en RDC, Emilio José de Carvaho, a relevé, mardi 10 octobre, au cours d’une conférence de presse à Kinshasa, «l’incompréhension» dans les rapports entre les deux pays, faisant allusion notamment aux récentes expulsions des Congolais de l’Angola, à la délimitation des frontières entre les deux Etats et à la question du pétrole.
L’Angola et la RDC partagent une frontière commune de 2.511 km, a rappelé le diplomate angolais tout en soulignant que l’entr’aide entre les deux Etats date de la Conférence de Berlin de 1885, lorsque les puissances occidentales avaient décidé de se partager l’Afrique.
A ce propos il a qualifié de «normale» l’aide apportée par les Congolais aux Angolais pendant leur lutte de libération nationale, ajoutant que c’est dans le même souci d’aide mutuelle que l’Angola avait décidé, en août 1998, d’intervenir en RDC alors sous la menace d’une implosion et le risque d’être assiégée.
«Dernièrement, certains leaders d’opinion ont cru profiter de quelques incompréhensions qui se sont glissées dans les rapports entre les deux pays pour décharger sur l’Angola leurs frustrations, insultes et, même, des déclarations de guerre», a déploré M. de Carvaho.
Quant à l’expulsion des étrangers de l’Angola, l’ambassadeur de Carvalho a expliqué que c’est une question qui relève de la souveraineté de chaque pays d’établir la légalité sur son territoire.
L’Angola, a-t-il souligné, a ses propres lois, mais a toujours agi en conformité avec les principes et normes du droit international.
« Aucun pays réellement organisé ne tolère que n’importe qui, quelles que soient ses origines, entre et s’installe illégalement sur son territoire », a indiqué le diplomate angolais.
Au sujet des violations des droits de l’Homme et de la confiscation des biens des Congolais dont son pays a été accusé en rapport avec les expulsions des étrangers, l’ambassadeur José Emilio de Carvalho a précisé que ces opérations ont commencé par la Police angolaise en 2007, mais qu’au fil du temps, elles ont buté contre la résistance des illégaux qui détenaient même des armes à feu.
«C’est dans ce contexte que des actes de brutalité ont été enregistrés contre les irréguliers opérant illégalement dans les zones minières et ayant opposé de la résistance», a-t-il indiqué. Il a fait noter que «l’exploitation illégale du diamant est interdite par la loi angolaise et que les irréguliers ont subi les rigueurs de la loi».
Lors des dernières expulsions, des centaines de pierres de diamant, des milliers de dollars américains, des électro-pompes, des hors-bord, des compresseurs et des groupes électrogènes ont été saisis auprès des illégaux, a fait savoir M. Emilio de Carvaho pour étayer ses allégations.
«Le désir de l’Angola est que la RDC retrouve la paix et embrasse la voie de reconstruction nationale pour le bonheur des millions de Congolais, seul gage de la grandeur d’un peuple. Le reste n’est que distraction. «Car, nous sommes convaincus que lorsque la RDC sera en paix et stable, l’Angola n’aura pas d’inquiétude. Le reste n’est que distraction», a-t-il insisté.
A propos des «prétendues» violations des frontières de la RD Congo par l’Angola, le diplomate angolais a expliqué que cette question a été traitée par les deux gouvernements, y compris le cas Kahemba qui a fait l’objet d’une rencontre des parties, à Bruxelles, en présence des anciennes puissances coloniales (Belgique et Portugal).
Sur la problématique de la plate-forme continentale et celle des frontières, il a indiqué que les deux pays ont décidé, en octobre dernier à Kinshasa, qu’elles soient abordées au cours de la réunion de la Commission mixte bilatérale, prévue pour la deuxième quinzaine de ce mois de novembre 2009, à Luanda.
A une question sur les divergences autour de l’exploitation pétrolière, le diplomate angolais a enfin répondu que le Premier ministre congolais, Adolphe Muzito a, au cours de son dernier voyage à Luanda, convenu avec son homologue angolais de traiter ce problème lors de la prochaine Commission mixte Angola-RDC, s’étonnant que les gens gonflent cette affaire alors que les deux gouvernements en discutent.
Interrogé sur la double absence du président Eduardo dos Santos aux sommets de la Communauté pour le développement de l’Afrique australe (SADC) et de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC) qui se sont tenus récemment dans la capitale congolaise, le chef de la mission diplomatique angolaise à Kinshasa a fait valoir que son pays a bel et bien participé à ces assises."
Compatriotiquement!
Angola-RDC : incompréhension dans les relations bilatérales,
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5120
Le nouvel ambassadeur d’Angola en RDC, Emilio José de Carvaho, a relevé, mardi 10 octobre, au cours d’une conférence de presse à Kinshasa, «l’incompréhension» dans les rapports entre les deux pays, faisant allusion notamment aux récentes expulsions des Congolais de l’Angola, à la délimitation des frontières entre les deux Etats et à la question du pétrole.
L’Angola et la RDC partagent une frontière commune de 2.511 km, a rappelé le diplomate angolais tout en soulignant que l’entr’aide entre les deux Etats date de la Conférence de Berlin de 1885, lorsque les puissances occidentales avaient décidé de se partager l’Afrique.
A ce propos il a qualifié de «normale» l’aide apportée par les Congolais aux Angolais pendant leur lutte de libération nationale, ajoutant que c’est dans le même souci d’aide mutuelle que l’Angola avait décidé, en août 1998, d’intervenir en RDC alors sous la menace d’une implosion et le risque d’être assiégée.
«Dernièrement, certains leaders d’opinion ont cru profiter de quelques incompréhensions qui se sont glissées dans les rapports entre les deux pays pour décharger sur l’Angola leurs frustrations, insultes et, même, des déclarations de guerre», a déploré M. de Carvaho.
Quant à l’expulsion des étrangers de l’Angola, l’ambassadeur de Carvalho a expliqué que c’est une question qui relève de la souveraineté de chaque pays d’établir la légalité sur son territoire.
L’Angola, a-t-il souligné, a ses propres lois, mais a toujours agi en conformité avec les principes et normes du droit international.
« Aucun pays réellement organisé ne tolère que n’importe qui, quelles que soient ses origines, entre et s’installe illégalement sur son territoire », a indiqué le diplomate angolais.
Au sujet des violations des droits de l’Homme et de la confiscation des biens des Congolais dont son pays a été accusé en rapport avec les expulsions des étrangers, l’ambassadeur José Emilio de Carvalho a précisé que ces opérations ont commencé par la Police angolaise en 2007, mais qu’au fil du temps, elles ont buté contre la résistance des illégaux qui détenaient même des armes à feu.
«C’est dans ce contexte que des actes de brutalité ont été enregistrés contre les irréguliers opérant illégalement dans les zones minières et ayant opposé de la résistance», a-t-il indiqué. Il a fait noter que «l’exploitation illégale du diamant est interdite par la loi angolaise et que les irréguliers ont subi les rigueurs de la loi».
Lors des dernières expulsions, des centaines de pierres de diamant, des milliers de dollars américains, des électro-pompes, des hors-bord, des compresseurs et des groupes électrogènes ont été saisis auprès des illégaux, a fait savoir M. Emilio de Carvaho pour étayer ses allégations.
«Le désir de l’Angola est que la RDC retrouve la paix et embrasse la voie de reconstruction nationale pour le bonheur des millions de Congolais, seul gage de la grandeur d’un peuple. Le reste n’est que distraction. «Car, nous sommes convaincus que lorsque la RDC sera en paix et stable, l’Angola n’aura pas d’inquiétude. Le reste n’est que distraction», a-t-il insisté.
A propos des «prétendues» violations des frontières de la RD Congo par l’Angola, le diplomate angolais a expliqué que cette question a été traitée par les deux gouvernements, y compris le cas Kahemba qui a fait l’objet d’une rencontre des parties, à Bruxelles, en présence des anciennes puissances coloniales (Belgique et Portugal).
Sur la problématique de la plate-forme continentale et celle des frontières, il a indiqué que les deux pays ont décidé, en octobre dernier à Kinshasa, qu’elles soient abordées au cours de la réunion de la Commission mixte bilatérale, prévue pour la deuxième quinzaine de ce mois de novembre 2009, à Luanda.
A une question sur les divergences autour de l’exploitation pétrolière, le diplomate angolais a enfin répondu que le Premier ministre congolais, Adolphe Muzito a, au cours de son dernier voyage à Luanda, convenu avec son homologue angolais de traiter ce problème lors de la prochaine Commission mixte Angola-RDC, s’étonnant que les gens gonflent cette affaire alors que les deux gouvernements en discutent.
Interrogé sur la double absence du président Eduardo dos Santos aux sommets de la Communauté pour le développement de l’Afrique australe (SADC) et de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC) qui se sont tenus récemment dans la capitale congolaise, le chef de la mission diplomatique angolaise à Kinshasa a fait valoir que son pays a bel et bien participé à ces assises."
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: Que Cachent Les explusions réciproques RDC - ANGOLA - CONGO
Monsieur Ndonzwau,
j'ai personnellement suivi le discours de l'ambassadeur Angolais au Congo-Kinshasa, tout ce que le monsieur
a dit semble être vrai mais ce qui me dérange c'est bien la présence de soldats Angolais ds la foret de Mayombe
du coté Congolais précisément à Tshela, le diplomate Angolais n'a pas fait mention de cette présence de soldats
Angolais au bas Congo, que fait ces militaires Angolais à Tshela et ds d'autres villages Bas Congolais.
j'ai personnellement suivi le discours de l'ambassadeur Angolais au Congo-Kinshasa, tout ce que le monsieur
a dit semble être vrai mais ce qui me dérange c'est bien la présence de soldats Angolais ds la foret de Mayombe
du coté Congolais précisément à Tshela, le diplomate Angolais n'a pas fait mention de cette présence de soldats
Angolais au bas Congo, que fait ces militaires Angolais à Tshela et ds d'autres villages Bas Congolais.
Calcul
Re: Que Cachent Les explusions réciproques RDC - ANGOLA - CONGO
"La VSV plaide pour « une stabilité durable»
entre Kinshasa et Luanda
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5140
(APA) – L’organisation congolaise des droits de l’homme «La Voix des Sans Voix (VSV)» a appelé mercredi, à Kinshasa, les autorités congolaises à « trouver une stabilité durable » face à la gestion rationnelle de récents mouvements d’expulsions des Congolais vivant en Angola.
« Il faut réveiller les autorités congolaises, pour qu’on puisse trouver une stabilité durable », a confié le porte-parole de la VSV, Justin Chiba Sengey.
Une tribune, organisée par cette Ongd, a été consacrée aux témoignages sur la problématique d’expulsions des Congolais d’Angola.
Ces témoignages, qui contredisent les arguments des officiels angolais sur les atrocités commises contre les Congolais, sont de nature « à prévenir d’autres mouvements d’expulsions » dans le cadre de la prochaine Coupe d’Afrique, prévue en Angola, a-t-il indiqué.
«Il y a eu de l’insécurité, parce que ma vie était en danger », a indiqué John Nsimba Pembele, peintre congolais qui a vécu pendant trois ans dans la ville pétrolière de Soyo.
Lors d’une opération « Ruska », initiée par la police angolaise, les Congolais ont été expulsés de « force par des pirogues mobilisées», et pourchassés jusqu’au niveau de « Makunga (Jacinthes), leur dernier refuge », a-t-il rappelé.
Les services angolais d’immigration ont fait recours aux « Dreda (bandits) » motivés avec une prime de 1.500 Kwanza pour chacun (10.000 FC) pour repérer les Congolais en situation irrégulière.
« C’est-là dans les Makunga que les Dreda ont violé les femmes congolaises », a fait savoir M. Nsimba Pembele.
Il a accusé les « Dreda » d’avoir même tué des Congolais « à l’aide des machettes », avant d’arracher la somme de 6 mille dollars Usd à une jeune dame congolaise qui faisait son commerce entre Soyo et Boma.
« Le peuple congolais n’a aucune valeur en Angola », a soutenu le témoin, faisant allusion à une campagne radiotélévisée, au cours de laquelle les responsables de Soyo avaient donné un ultimatum de 3 jours aux ressortissants congolais de quitter le territoire angolais.
Ces officiels angolais, a-t-il dit, avaient également demandé à leurs compatriotes « de ne pas protéger les Congolais dans leurs parcelles, au risque de payer une amende de 70 mille Kwanza (1.000 dollars Us) et de subir un éventuel emprisonnement de 30 jours ».
Nsimba Pembele a critiqué les « méthodes musclées » utilisées par les services de la police angolaise pour torturer et expulser les Congolais pourtant en ordre, puisque munis de leurs cartes de résidents octroyées en bonne et due forme par le service de l’Etat angolais.
Il a, par ailleurs, recommandé aux dirigeants de consolider l’esprit de cohabitation pacifique entre les Congolais et les Angolais.
De son côté, Mme Cécile Bayela, trafiquante de son état, a évoqué le cas de viols commis sur les jeunes filles congolaises à Cabinda.
«Beaucoup de Congolaises sont mortes là-bas », a signalé Mme Bayela, qui a sollicité le soutien ferme des autorités congolaises pour récupérer les marchandises confisquées par les éléments de la police congolaise."
Compatriotiquement!
entre Kinshasa et Luanda
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5140
(APA) – L’organisation congolaise des droits de l’homme «La Voix des Sans Voix (VSV)» a appelé mercredi, à Kinshasa, les autorités congolaises à « trouver une stabilité durable » face à la gestion rationnelle de récents mouvements d’expulsions des Congolais vivant en Angola.
« Il faut réveiller les autorités congolaises, pour qu’on puisse trouver une stabilité durable », a confié le porte-parole de la VSV, Justin Chiba Sengey.
Une tribune, organisée par cette Ongd, a été consacrée aux témoignages sur la problématique d’expulsions des Congolais d’Angola.
Ces témoignages, qui contredisent les arguments des officiels angolais sur les atrocités commises contre les Congolais, sont de nature « à prévenir d’autres mouvements d’expulsions » dans le cadre de la prochaine Coupe d’Afrique, prévue en Angola, a-t-il indiqué.
«Il y a eu de l’insécurité, parce que ma vie était en danger », a indiqué John Nsimba Pembele, peintre congolais qui a vécu pendant trois ans dans la ville pétrolière de Soyo.
Lors d’une opération « Ruska », initiée par la police angolaise, les Congolais ont été expulsés de « force par des pirogues mobilisées», et pourchassés jusqu’au niveau de « Makunga (Jacinthes), leur dernier refuge », a-t-il rappelé.
Les services angolais d’immigration ont fait recours aux « Dreda (bandits) » motivés avec une prime de 1.500 Kwanza pour chacun (10.000 FC) pour repérer les Congolais en situation irrégulière.
« C’est-là dans les Makunga que les Dreda ont violé les femmes congolaises », a fait savoir M. Nsimba Pembele.
Il a accusé les « Dreda » d’avoir même tué des Congolais « à l’aide des machettes », avant d’arracher la somme de 6 mille dollars Usd à une jeune dame congolaise qui faisait son commerce entre Soyo et Boma.
« Le peuple congolais n’a aucune valeur en Angola », a soutenu le témoin, faisant allusion à une campagne radiotélévisée, au cours de laquelle les responsables de Soyo avaient donné un ultimatum de 3 jours aux ressortissants congolais de quitter le territoire angolais.
Ces officiels angolais, a-t-il dit, avaient également demandé à leurs compatriotes « de ne pas protéger les Congolais dans leurs parcelles, au risque de payer une amende de 70 mille Kwanza (1.000 dollars Us) et de subir un éventuel emprisonnement de 30 jours ».
Nsimba Pembele a critiqué les « méthodes musclées » utilisées par les services de la police angolaise pour torturer et expulser les Congolais pourtant en ordre, puisque munis de leurs cartes de résidents octroyées en bonne et due forme par le service de l’Etat angolais.
Il a, par ailleurs, recommandé aux dirigeants de consolider l’esprit de cohabitation pacifique entre les Congolais et les Angolais.
De son côté, Mme Cécile Bayela, trafiquante de son état, a évoqué le cas de viols commis sur les jeunes filles congolaises à Cabinda.
«Beaucoup de Congolaises sont mortes là-bas », a signalé Mme Bayela, qui a sollicité le soutien ferme des autorités congolaises pour récupérer les marchandises confisquées par les éléments de la police congolaise."
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ndonzwau
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