COMMENT VA LE CONGO? QUE FAIT OU NE FAIT PAS LA SUPERSTRUCTURE, L'ETAT ???
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mongo elombe
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COMMENT VA LE CONGO? QUE FAIT OU NE FAIT PAS LA SUPERSTRUCTURE, L'ETAT ???
Il existe depuis quelque temps sur le forum un sujet "DÉRIVE AUTORITAIRE DE KABILA" !
Il est sans doute trop négatif et peut-être trop précis pour englober toutes les actions
de l'État, du pouvoir (majoritaire) actuel d'autant que même si le gros de son fonctionnement
procède d'un "bilan globalement négatif", ici là on peut exceptionnellement saluer une bonne
chose et que ce n'est pas seulement Kanambe et son clan qui représentent l'État mais aussi
l'opposition, mais aussi les structures internationales travaillant au ou pour le pays...
Aussi j'ai pensé créer un sujet plus générique où nous pouvons commenter ce qui est ou n'est
pas fait dans le pays, ce qui devrait être fat selon les différents avis, comment fonctionne
cet État Congolo-Zaïrois dont la réputation reste décidément calamiteuse et pour cause !
Je commence ce jour par deux longues analyses parues dans "le Potentiel"qui font écho
la première au trafic minier maffieux cause principale du conflit à l'Est et la seconde
au fonctionnement bancal de l'État en général chez nous et ses causes internes et externes !
Je les déplace donc du premier sujet où ellesétaient attachées pour le nouveau :
"COMMENT VA LE CONGO ? QUE FAIT OU NE FAIT PAS NOTRE SUPERSTRUTURE?
L'ETAT CONGOLAIS ???
A nous tous de continuer ce diagnostic à renouveller et à adapter et si possible de proposer
les thérapeutiques envisageables par les uns et les autres !!!
"Minerais de sang", Global witness appelle la RDC à plus de rigueur
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25079&da=&hi=0&of=5&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
Dans un communiqué publié mercredi à Londres, Global witness estime que les propositions actuelles sur la chaîne d’approvisionnement de l’industrie de l’étain sont insuffisantes et que le gouvernement congolais devrait pousser les entreprises à être plus rigoureuses, rapporte radiookapi.net
« Nous encourageons le gouvernement congolais et les entreprises à coopérer afin de mettre un terme aux liens qui existent entre le commerce des minerais et le conflit armé dans l’est de la RDC », déclare le directeur de Global Witness, Patrick Alley, « mais avant de se précipiter à les soutenir le gouvernement doit être convaincu de l’efficacité des propositions. »
Les propositions de l’ITRI, l’organe représentatif de membres de l’industrie de l’étain qui concernent principalement des contrôles d’ordre technique et administratif, exigeraient des commerçants et des intermédiaires qu’ils remplissent une série de formulaires de déclaration de l’origine des minerais. Selon l'ONG, les propositions ne semblent pas inclure de mécanisme pouvant vérifier de manière indépendante l’information communiquée par les fournisseurs.
Sur pression des ONG, certaines sociétés occidentales accusées de soutenir le commerce des minerais provenant des zones en conflit, ont suspendu, en septembre dernier, leurs achats des minerais au Kivu. Parmi ces entreprises se trouvent Amalgated Metals Corporation (AMC) dont une des filiales achète la cassitérite dans l’Est de la RDC.
La ministre des mines au Sud Kivu, Collette Mikila avait estimé en septembre dernier, au cours d'une émission à Radio Okapi, que les rapports et communiqués des ONG sur "les minerais de sang" ont fait fuir certaines sociétés minières occasionnant des chutes des recettes pour la province et pour les creuseurs artisanaux qui ne vivent que de cette activités.
Mais les cas de fraude sont aussi fréquents dans le secteur minier au Kivu. En début août dernier, environs 8 tonnes de cassitérite ont été saisis par les autorités de la région. La non inscription, sur certains emballages, de l'origine des minerais et de leur nature, amplifie parfois ces fraudes.
Une enquête sénatoriale sur le secteur minier congolais a étalé, en fin septembre, des désordres dans les statistiques et les perceptions des taxes occasionnant des manques à gagner énormes pour l'Etat. Les pertes découlant de ce désordre sont évaluées à des centaines des millions de dollars américains.
Global Witness demande au gouvernement congolais de poursuivre la mise en œuvre de ses propres procédures visant à un meilleur contrôle du secteur minier dans l’est de la RDC et de traduire en justice les commandants militaires impliqués dans le commerce illicite. L’ONG insiste sur le fait que la lutte contre l’impunité doit être menée parallèlement à l’élaboration de procédures administratives, faute de quoi les autorités militaires et les chefs rebelles continueront de trouver le moyen de porter atteinte au système, ce qui empêchera les nouvelles procédures d’avoir l’impact positif qui en est attendu."
"Selon une étude de l’américain Theodore Trefon
Clientélisme et pillage : causes de l’instabilité de la RDC
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=87535&id_edition=4809
Au moment où l’on examine le projet du Budget 2010 à l’Assemblée nationale, la situation en République démocratique du Congo est passée au peigne fin dans certaines capitales occidentales. Selon les premiers éléments en notre possession, la gestion des mines, la mauvaise utilisation des ressources financières et la corruption sont en train de porter un coup du à l’Opération « Tolérance zéro » décidée par le Président de la république Joseph Kabila, retardant également la mise en oeuvre des réformes de l’Etat.
Bien plus, au terme d’une étude rendue publique et élaborée par l’américain Theodore Trefon, celui-ci affirme que « le clientélisme, le pillage des ressources de l’Etat et l’appauvrissement de la population » sont les principaux maux qui éloignent la refondation de l’Etat congolais."
Dans son édition du lundi 12 octobre 2009, numéro 580, Africa Confidential, Edition française, publie un article sur la République démocratique du Congo, avec comme intitulé « Congo-Kinshasa : mines, dollars et corruption ». Si cet article s’attarde sur la mauvaise gestion du secteur minier, la situation désastreuse à la Gecamines qui a conduit à la démission de Paul Fortin, alors administrateur délégué général de cette société minière, il ouvre une parenthèse sur la corruption. Phénomène caractérisé par l’évasion fiscale estimée en millions de dollars, la contrebande, la signature des contrats léonins soutenus par des erreurs comptables. Cet article fait également allusion à une étude menée sur la République démocratique du Congo.
Cette étude a été confiée à un américain, Théodore Trefon, travaillant pour le compte de Belgian Reference Centre for expertise for Central africa, installé à Teverun, en Belgique. Il s’agit d’un centre de recherche pour l’expertise en Afrique centrale. A en croire les affirmations de cette étude, « la perpétuation du système clientéliste de l’ère Mobutu, le pillage des ressources de l’Etat et l’appauvrissement de la population » ont eu une incidence négative sur les réformes qui ont bénéficié d’un appui international. Des maux qui n’ont apporté aucune amélioration durable. « Elles (Ndlr : Réformes) ont au contraire favorisé la fuite des capitaux et la vente frauduleuse d’avoirs publics ».
Cette situation, souligne cette étude, serait même à la base de l’insécurité observée dans la partie orientale de la RDC. Insécurité entretenue par la LRA et les FDLR.
Pauvreté et démocratisation
L’étude de Theodore Trefon est catégorique : « Les réformes macro - économiques destinées à limiter la pauvreté n’ont eu aucun effet pour les Congolais ». L’étude s’appuie sur les statistiques de la FAO qui relèvent qu’au moins 17% de la population congolaise souffrent de malnutrition.
Bien plus, les bailleurs de fonds, toujours selon cette étude, ont aggravé la situation avec leurs exigences. Ainsi, la Communauté internationale ne dispose « d’aucun plan d’ensemble ». Certains veulent mettre leurs contributions en commun pendant que d’autres supervisent la façon dont leurs fonds sont dépensés. Et d’affirmer que devant cette situation, « leurs partenaires congolais se permettent de jouer la division ».
Dans le chapitre réservé au Code forestier, Theodore Trefon parle d’un échec. Il s’agit du code canadien qui a échoué en 1994 au Cameroun. En RDC, les ressources financières se sont finalement retrouvées entre les mêmes mains pour autant que le processus n’a pas été transparent. Même observation pour la revisitation des contrats miniers débutée depuis 2007 et pas toujours achevée. Citant Louis Michel, alors commissaire européen au Développement et à l’Aide humanitaire, lequel aurait affirmé que cette revisitation a lancé « une nouvelle dynamique de la corruption ». De la corruption l’étude souligne qu’elle est pratiquée à « tous le niveaux et est devenue un mode de vie et une source de développement à sa façon puisque les fonctionnaires se font payer pour des services privés ».
A propos des réformes, Theodore Trefon parle de la mascarade. « Le Congo, dit-il, n’a besoin de financement extérieurs que parce qu’il ne fait pas un usage approprié de ses propres ressources, y compris son potentiel hydroélectrique. La démocratisation, également financée par l’étranger, est, elle aussi, une mascarade… »
Il est vrai que cette étude qui a été présentée auparavant le 17 septembre en présence du ministre belge des Affaires étrangères, Yves Leterne, avait provoqué une réaction de l’ambassadeur de la RDC à Bruxelles, Henri Mova Sakanyi. Le diplomate congolais avait présenté d’autres chiffres et affirmé qu’il y avait « amélioration en matière de sécurité, de développement et de rétablissement de l’Etat ».
Toutefois,Theodore Trefon relève que de nombreuses sociétés minières partagent les conclusions de cette étude. Elles soulignent qu’elles ont « difficile à travailler avec le gouvernement », ce qui constitue une mauvaise publicité pour le climat des affaires, citant ainsi le cas de Kingamayambo Musonoi Tallings, société qui relève d’une autre entreprise minière First Quantun Minerals. Le tout tournerait autour d’une affaire des « royalties ». Cette société a donc été obligée d’interrompre la construction de son usine, en attendant l’aboutissement des négociations en cours.
Causes endogènes et exogènes
Cette étude a le mérite de toucher le fond du problème qui gène le développement de la RDC. Elle évoque des causes réelles, dénoncées déjà par le président de la république dans son message à la nation. Il s’agit de l’indiscipline, de l’intolérance, de la gabegie financière, de la concussion et de la corruption. Théodore Trefon n’a rien inventé.
Ces fléaux, disait le chef de l’Etat, sont susceptibles de perturber le vaste programme de développement du pays. Aussi, au moment où les députés examinent le projet du Budget 2010, cette étude est une véritable interpellation pour qu’ils fassent preuve de haute responsabilité, loin de toute passion politicienne.
Il est vrai que cette étude met aussi à nu les causes exogènes qui freinent la refondation de l’Etat congolais. Notamment la part des partenaires extérieurs. Obsédés par leurs propres intérêts, ils brillent par des exigences déstabilisatrices et des propositions qui ne prennent jamais en compte des réalités congolaises pour des réformes réussies. Voilà qui explique ce retard constaté dans le processus de la réforme de l’Armée, de la Police et de l’Administration publique. Ils imposent leur vision, manipulent la classe politique en entretenant les fléaux cités ci-haut.
Le moment est crucial. Les députés n’ont pas droit à l’erreur pour sauver ce pays.
Compatriotiquement!
Il est sans doute trop négatif et peut-être trop précis pour englober toutes les actions
de l'État, du pouvoir (majoritaire) actuel d'autant que même si le gros de son fonctionnement
procède d'un "bilan globalement négatif", ici là on peut exceptionnellement saluer une bonne
chose et que ce n'est pas seulement Kanambe et son clan qui représentent l'État mais aussi
l'opposition, mais aussi les structures internationales travaillant au ou pour le pays...
Aussi j'ai pensé créer un sujet plus générique où nous pouvons commenter ce qui est ou n'est
pas fait dans le pays, ce qui devrait être fat selon les différents avis, comment fonctionne
cet État Congolo-Zaïrois dont la réputation reste décidément calamiteuse et pour cause !
Je commence ce jour par deux longues analyses parues dans "le Potentiel"qui font écho
la première au trafic minier maffieux cause principale du conflit à l'Est et la seconde
au fonctionnement bancal de l'État en général chez nous et ses causes internes et externes !
Je les déplace donc du premier sujet où ellesétaient attachées pour le nouveau :
"COMMENT VA LE CONGO ? QUE FAIT OU NE FAIT PAS NOTRE SUPERSTRUTURE?
L'ETAT CONGOLAIS ???
A nous tous de continuer ce diagnostic à renouveller et à adapter et si possible de proposer
les thérapeutiques envisageables par les uns et les autres !!!
"Minerais de sang", Global witness appelle la RDC à plus de rigueur
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25079&da=&hi=0&of=5&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
Dans un communiqué publié mercredi à Londres, Global witness estime que les propositions actuelles sur la chaîne d’approvisionnement de l’industrie de l’étain sont insuffisantes et que le gouvernement congolais devrait pousser les entreprises à être plus rigoureuses, rapporte radiookapi.net
« Nous encourageons le gouvernement congolais et les entreprises à coopérer afin de mettre un terme aux liens qui existent entre le commerce des minerais et le conflit armé dans l’est de la RDC », déclare le directeur de Global Witness, Patrick Alley, « mais avant de se précipiter à les soutenir le gouvernement doit être convaincu de l’efficacité des propositions. »
Les propositions de l’ITRI, l’organe représentatif de membres de l’industrie de l’étain qui concernent principalement des contrôles d’ordre technique et administratif, exigeraient des commerçants et des intermédiaires qu’ils remplissent une série de formulaires de déclaration de l’origine des minerais. Selon l'ONG, les propositions ne semblent pas inclure de mécanisme pouvant vérifier de manière indépendante l’information communiquée par les fournisseurs.
Sur pression des ONG, certaines sociétés occidentales accusées de soutenir le commerce des minerais provenant des zones en conflit, ont suspendu, en septembre dernier, leurs achats des minerais au Kivu. Parmi ces entreprises se trouvent Amalgated Metals Corporation (AMC) dont une des filiales achète la cassitérite dans l’Est de la RDC.
La ministre des mines au Sud Kivu, Collette Mikila avait estimé en septembre dernier, au cours d'une émission à Radio Okapi, que les rapports et communiqués des ONG sur "les minerais de sang" ont fait fuir certaines sociétés minières occasionnant des chutes des recettes pour la province et pour les creuseurs artisanaux qui ne vivent que de cette activités.
Mais les cas de fraude sont aussi fréquents dans le secteur minier au Kivu. En début août dernier, environs 8 tonnes de cassitérite ont été saisis par les autorités de la région. La non inscription, sur certains emballages, de l'origine des minerais et de leur nature, amplifie parfois ces fraudes.
Une enquête sénatoriale sur le secteur minier congolais a étalé, en fin septembre, des désordres dans les statistiques et les perceptions des taxes occasionnant des manques à gagner énormes pour l'Etat. Les pertes découlant de ce désordre sont évaluées à des centaines des millions de dollars américains.
Global Witness demande au gouvernement congolais de poursuivre la mise en œuvre de ses propres procédures visant à un meilleur contrôle du secteur minier dans l’est de la RDC et de traduire en justice les commandants militaires impliqués dans le commerce illicite. L’ONG insiste sur le fait que la lutte contre l’impunité doit être menée parallèlement à l’élaboration de procédures administratives, faute de quoi les autorités militaires et les chefs rebelles continueront de trouver le moyen de porter atteinte au système, ce qui empêchera les nouvelles procédures d’avoir l’impact positif qui en est attendu."
"Selon une étude de l’américain Theodore Trefon
Clientélisme et pillage : causes de l’instabilité de la RDC
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=87535&id_edition=4809
Au moment où l’on examine le projet du Budget 2010 à l’Assemblée nationale, la situation en République démocratique du Congo est passée au peigne fin dans certaines capitales occidentales. Selon les premiers éléments en notre possession, la gestion des mines, la mauvaise utilisation des ressources financières et la corruption sont en train de porter un coup du à l’Opération « Tolérance zéro » décidée par le Président de la république Joseph Kabila, retardant également la mise en oeuvre des réformes de l’Etat.
Bien plus, au terme d’une étude rendue publique et élaborée par l’américain Theodore Trefon, celui-ci affirme que « le clientélisme, le pillage des ressources de l’Etat et l’appauvrissement de la population » sont les principaux maux qui éloignent la refondation de l’Etat congolais."
Dans son édition du lundi 12 octobre 2009, numéro 580, Africa Confidential, Edition française, publie un article sur la République démocratique du Congo, avec comme intitulé « Congo-Kinshasa : mines, dollars et corruption ». Si cet article s’attarde sur la mauvaise gestion du secteur minier, la situation désastreuse à la Gecamines qui a conduit à la démission de Paul Fortin, alors administrateur délégué général de cette société minière, il ouvre une parenthèse sur la corruption. Phénomène caractérisé par l’évasion fiscale estimée en millions de dollars, la contrebande, la signature des contrats léonins soutenus par des erreurs comptables. Cet article fait également allusion à une étude menée sur la République démocratique du Congo.
Cette étude a été confiée à un américain, Théodore Trefon, travaillant pour le compte de Belgian Reference Centre for expertise for Central africa, installé à Teverun, en Belgique. Il s’agit d’un centre de recherche pour l’expertise en Afrique centrale. A en croire les affirmations de cette étude, « la perpétuation du système clientéliste de l’ère Mobutu, le pillage des ressources de l’Etat et l’appauvrissement de la population » ont eu une incidence négative sur les réformes qui ont bénéficié d’un appui international. Des maux qui n’ont apporté aucune amélioration durable. « Elles (Ndlr : Réformes) ont au contraire favorisé la fuite des capitaux et la vente frauduleuse d’avoirs publics ».
Cette situation, souligne cette étude, serait même à la base de l’insécurité observée dans la partie orientale de la RDC. Insécurité entretenue par la LRA et les FDLR.
Pauvreté et démocratisation
L’étude de Theodore Trefon est catégorique : « Les réformes macro - économiques destinées à limiter la pauvreté n’ont eu aucun effet pour les Congolais ». L’étude s’appuie sur les statistiques de la FAO qui relèvent qu’au moins 17% de la population congolaise souffrent de malnutrition.
Bien plus, les bailleurs de fonds, toujours selon cette étude, ont aggravé la situation avec leurs exigences. Ainsi, la Communauté internationale ne dispose « d’aucun plan d’ensemble ». Certains veulent mettre leurs contributions en commun pendant que d’autres supervisent la façon dont leurs fonds sont dépensés. Et d’affirmer que devant cette situation, « leurs partenaires congolais se permettent de jouer la division ».
Dans le chapitre réservé au Code forestier, Theodore Trefon parle d’un échec. Il s’agit du code canadien qui a échoué en 1994 au Cameroun. En RDC, les ressources financières se sont finalement retrouvées entre les mêmes mains pour autant que le processus n’a pas été transparent. Même observation pour la revisitation des contrats miniers débutée depuis 2007 et pas toujours achevée. Citant Louis Michel, alors commissaire européen au Développement et à l’Aide humanitaire, lequel aurait affirmé que cette revisitation a lancé « une nouvelle dynamique de la corruption ». De la corruption l’étude souligne qu’elle est pratiquée à « tous le niveaux et est devenue un mode de vie et une source de développement à sa façon puisque les fonctionnaires se font payer pour des services privés ».
A propos des réformes, Theodore Trefon parle de la mascarade. « Le Congo, dit-il, n’a besoin de financement extérieurs que parce qu’il ne fait pas un usage approprié de ses propres ressources, y compris son potentiel hydroélectrique. La démocratisation, également financée par l’étranger, est, elle aussi, une mascarade… »
Il est vrai que cette étude qui a été présentée auparavant le 17 septembre en présence du ministre belge des Affaires étrangères, Yves Leterne, avait provoqué une réaction de l’ambassadeur de la RDC à Bruxelles, Henri Mova Sakanyi. Le diplomate congolais avait présenté d’autres chiffres et affirmé qu’il y avait « amélioration en matière de sécurité, de développement et de rétablissement de l’Etat ».
Toutefois,Theodore Trefon relève que de nombreuses sociétés minières partagent les conclusions de cette étude. Elles soulignent qu’elles ont « difficile à travailler avec le gouvernement », ce qui constitue une mauvaise publicité pour le climat des affaires, citant ainsi le cas de Kingamayambo Musonoi Tallings, société qui relève d’une autre entreprise minière First Quantun Minerals. Le tout tournerait autour d’une affaire des « royalties ». Cette société a donc été obligée d’interrompre la construction de son usine, en attendant l’aboutissement des négociations en cours.
Causes endogènes et exogènes
Cette étude a le mérite de toucher le fond du problème qui gène le développement de la RDC. Elle évoque des causes réelles, dénoncées déjà par le président de la république dans son message à la nation. Il s’agit de l’indiscipline, de l’intolérance, de la gabegie financière, de la concussion et de la corruption. Théodore Trefon n’a rien inventé.
Ces fléaux, disait le chef de l’Etat, sont susceptibles de perturber le vaste programme de développement du pays. Aussi, au moment où les députés examinent le projet du Budget 2010, cette étude est une véritable interpellation pour qu’ils fassent preuve de haute responsabilité, loin de toute passion politicienne.
Il est vrai que cette étude met aussi à nu les causes exogènes qui freinent la refondation de l’Etat congolais. Notamment la part des partenaires extérieurs. Obsédés par leurs propres intérêts, ils brillent par des exigences déstabilisatrices et des propositions qui ne prennent jamais en compte des réalités congolaises pour des réformes réussies. Voilà qui explique ce retard constaté dans le processus de la réforme de l’Armée, de la Police et de l’Administration publique. Ils imposent leur vision, manipulent la classe politique en entretenant les fléaux cités ci-haut.
Le moment est crucial. Les députés n’ont pas droit à l’erreur pour sauver ce pays.
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: COMMENT VA LE CONGO? QUE FAIT OU NE FAIT PAS LA SUPERSTRUCTURE, L'ETAT ???
J'ai lue quelque part dommage que je ne retrouve plus le témoignage sur l'achat de tracteurs qui ne servent à rien puiqu'on y avait pas inclus le budget carburant.
mongo elombe
Re: COMMENT VA LE CONGO? QUE FAIT OU NE FAIT PAS LA SUPERSTRUCTURE, L'ETAT ???
www.lemonde.fr Vous apprendrez une fois de trop comment les PILLAGES continuent au Congo..et un rapport du Senat est publié dans ce journal..avec des preuves et des indications incroyables...
Imaginez que le local qui devait être le siège de la douane á Kasumbalesa est en construction depuis 4 ans ..et continue á être construite ..
Tout comme vous apprendrez plus ..sur le gestion démocratique et la bonne gouvernance de la RDC
Imaginez que le local qui devait être le siège de la douane á Kasumbalesa est en construction depuis 4 ans ..et continue á être construite ..
Tout comme vous apprendrez plus ..sur le gestion démocratique et la bonne gouvernance de la RDC
GHOST
Re: COMMENT VA LE CONGO? QUE FAIT OU NE FAIT PAS LA SUPERSTRUCTURE, L'ETAT ???
C'est vrai, Mister Troll, j'avais pensé afficher ici cette info non à partir du journal
le Monde qui vient à notre rescousse pour lapropager au sein de la CI mais des organes
de presse bien Congolais !
RAPPORT D'ENQUETE SENATORIAL
° http://medias.lemonde.fr//mmpub/edt/doc/20091015/1254091_0859_rapport-mines-senatrdc.pdf
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=4972
° [b]http://www.lepotentiel.com//afficher_article_archive.php?id_article=87072&id_edition=4801&yearID=2009&monthID=10&dayID=06
° http://www.lepotentiel.com///afficher_article_archive.php?id_article=86716&id_edition=4793&yearID=2009&monthID=09&dayID=26
° http://www.lepotentiel.com///afficher_article_archive.php?id_article=86717&id_edition=4793&yearID=2009&monthID=09&dayID=26
"'Afrique pillée
° http://www.lemonde.fr/opinions/article/2009/10/15/l-afrique-pillee_1254326_3232.html
C'est un chiffre dérisoire et accablant. Les entreprises minières qui travaillent en République démocratique du Congo (RDC) auraient dû verser en 2008 un peu plus de 200 millions de dollars de taxes, d'impôts et de redevances au Trésor public. La somme ne paraît pas exorbitante lorsqu'on connaît le poids du secteur minier dans l'ex-Zaïre. Et pourtant cet argent n'est jamais arrivé dans les caisses de l'Etat. Les sociétés minières n'ont acquitté que 92 millions de dollars, révèle un rapport d'enquête documenté que vient de publier le Sénat.
Les parlementaires congolais ont constaté, sur le terrain, pourquoi les impôts rentrent si mal. A la direction générale des mines, à Kinshasa, un seul ordinateur, obsolète, est en état de marche pour répertorier des milliers de concessions. Les archives du service ont disparu. Une partie a brûlé dans un incendie. L'autre s'est volatilisée. Le cadastre minier est incomplet. Les missions d'inspection, inexistantes. La dernière remonte à 2007.
Au Katanga, la plus riche des provinces minières, les sénateurs ont pu constater que les statistiques des exportations de cuivre sont mensongères. Grâce aux pots-de-vin versés à des fonctionnaires complices, les compagnies minières ne déclarent à la douane qu'une part dérisoire du minerai exporté vers la Zambie et, de là, vers l'Asie ou l'Europe. C'est autant de moins pour les caisses d'un Etat impécunieux, criblé de dettes et souvent incapable de payer ses fonctionnaires civils et militaires.
Ce pillage silencieux est d'autant plus scandaleux qu'il touche un pays de la taille de l'Europe dont les richesses minières considérables - cuivre, cobalt, or, diamant, coltan, demain le pétrole... - devraient contribuer à améliorer les conditions de vie d'une population saignée à blanc par trois décennies de dictature et dix ans de guerre.
Lorsque, en 2007, Kinshasa a signé avec Pékin une convention prévoyant plus de 6 milliards d'euros d'investissements chinois en échange de l'accès aux gisements de cuivre, les Occidentaux ont crié au scandale. Ils accusaient les Chinois de se payer sur la bête, puisque la réfection des routes et des chemin de fer ou la construction d'hôpitaux devaient être financées par les profits réalisés dans le secteur minier. Un vulgaire troc ? Rien de plus exact. Sauf que, depuis deux ans, de multiples chantiers ont démarré, tandis que des compagnies minières privées continuent sans vergogne à piller le pays. Au Congo comme dans de nombreux pays africains, misérables en dépit de leurs richesses naturelles."
"Au Congo-Kinshasa, les sénateurs mettent au jour le pillage des richesses minières
° http://www.lemonde.fr/afrique/article/2009/10/15/au-congo-kinshasa-les-senateurs-mettent-au-jour-le-pillage-des-richesses-minieres_1254107_3212.htm
Le pillage des ressources minières de la République démocratique du Congo (RDC) se poursuit. Telle est, en résumé, la conclusion du rapport d'enquête sénatorial rendu public début octobre à Kinshasa, la capitale. "Le secteur minier, qui repose pourtant sur des ressources minérales immenses et variées, n'a pas encore, du fait de la mauvaise gouvernance, contribué un tant soit peu à trouver les réponses aux cris des populations congolaises vouées à vivre dans des conditions infrahumaines", écrivent les auteurs du document riche de plus d'une centaine de pages.
A l'origine du rapport, il y a le constat fait par les sénateurs, lors de la présentation du projet de budget 2008, que "les recettes prévues pour le secteur minier étaient très faibles". D'où la création d'une commission d'enquête dont les membres, au fil des mois, ont arpenté les Etats miniers de la RDC –un pays aussi vaste que l'Europe occidentale– et exploré les textes législatifs avant de s'immerger dans les méandres de l'administration congolaise.
FAIBLES MOYENS
Premier constat : il est impossible de recenser les entreprises minières et de collecter leurs statistiques. "Celles-ci ne sont pas tenues selon les exigences de la loi. Aucun service de l'Etat impliqué dans la gestion du secteur minier n'est à jour pour rassembler des données fiables et connaître le nombre des opérateurs miniers, leurs productions, la qualité de celles-ci et la quantité des produits exportés. Les statistiques sont différentes dans un même Etat, d'un service à un autre. Maints opérateurs exploitent nos ressources minérales sans être en règle avec les exigences du Code minier; certains n'ont ni adresse ni numéro téléphonique connu", peut-on lire dans le rapport.
Les services de l'Etat n'ignorent rien de cette situation, constatent les rapporteurs, avant d'ajouter : "Ils donnent l'impression d'être déterminés à ne pas [y] remédier." Le manque à gagner est pourtant très important pour l'Etat. Celui-ci n'encaisse que le tiers des taxes dues par les sociétés minières au titre de la concession des terres. Depuis trois ans, ce taux de recouvrement baisse régulièrement.
S'agissant de l'impôt sur les sociétés, le bilan est pire : les entreprises ont versé en 2008 à peine 1 % de ce qu'elles devaient acquitter.
En tout et pour tout, peut-on lire dans une note de synthèse, le Trésor public n'a encaissé que 92 millions de dollars (près de 60 millions d'euros) sur les 205 millions dus, "soit un manque à gagner de plus de 55 %".
La commission d'enquête avance plusieurs explications à cette situation qui handicape le développement d'un pays souvent qualifié d'"anomalie géologique" tant ses richesses minières sont importantes, mais dont le revenu par habitant ne dépasse pas 158 dollars, selon le Fonds monétaire international. Le rapport pointe du doigt la faiblesse des moyens matériels de l'administration. La direction des mines, chargée de la compilation et de la publication des statistiques, ne dispose que d'un vieil ordinateur. Et les archives du service ont disparu.
En charge de l'inspection des exploitations, cette même direction des mines n'a pu effectuer qu'une seule mission sur le terrain depuis 2007. Mais le rapport met également en avant "la modicité de la rémunération des fonctionnaires et des agents", qui fait de ceux-ci une proie facile face à des entreprises parfois peu scrupuleuses.
Venue à la frontière entre le Katanga, l'Etat de la RDC qui détient près de 10 % des réserves mondiales de cuivre, et la Zambie, par où est exporté le minerai, la commission d'enquête a touché du doigt l'ampleur de la fraude. "La Commission a pu constater, écrivent les sénateurs, que sur une période de plus d'un mois les quantités transcrites en kilogrammes sur les attestations de transport des substances minérales étaient systématiquement réduites dix fois pour certains exportateurs. (…) Une quantité de produits pesant 33tonnes peut, par la volonté d'un fonctionnaire, être réduite à 3,3 tonnes."
Au poste frontière de Kasumbalesa, observent-ils, la construction d'un bâtiment moderne pour percevoir les taxes n'est toujours pas achevée. Les travaux ont pourtant commencé il y a quatre ans."
"Un trésor dilapidé
Secteur minier.
La République démocratique du Congo recèle 10 % des réserves mondiales de cuivre et 30 % des réserves de cobalt. Elle est également riche en or, argent, diamant, coltan, cassitérite. Fin 2008, 4 234 permis miniers avaient été accordés, dont près de 1 500 dans le seul Etat du Katanga. La même année, le poids brut des produits marchands exportés était de 1,1 million de tonnes.
Revenus de l'Etat. En 2008, il a encaissé 14 millions de dollars au titre des "droits superficiaires", assis sur la taille des concessions, alors qu'il aurait dû toucher 30 millions. Au titre de l'impôt sur les sociétés minières, il a récupéré 814 000dollars (près de 540 000 euros), contre 74 millions de dollars attendus."
Compatriotiquement!
le Monde qui vient à notre rescousse pour lapropager au sein de la CI mais des organes
de presse bien Congolais !
RAPPORT D'ENQUETE SENATORIAL
° http://medias.lemonde.fr//mmpub/edt/doc/20091015/1254091_0859_rapport-mines-senatrdc.pdf
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=4972
° [b]http://www.lepotentiel.com//afficher_article_archive.php?id_article=87072&id_edition=4801&yearID=2009&monthID=10&dayID=06
° http://www.lepotentiel.com///afficher_article_archive.php?id_article=86716&id_edition=4793&yearID=2009&monthID=09&dayID=26
° http://www.lepotentiel.com///afficher_article_archive.php?id_article=86717&id_edition=4793&yearID=2009&monthID=09&dayID=26
"'Afrique pillée
° http://www.lemonde.fr/opinions/article/2009/10/15/l-afrique-pillee_1254326_3232.html
C'est un chiffre dérisoire et accablant. Les entreprises minières qui travaillent en République démocratique du Congo (RDC) auraient dû verser en 2008 un peu plus de 200 millions de dollars de taxes, d'impôts et de redevances au Trésor public. La somme ne paraît pas exorbitante lorsqu'on connaît le poids du secteur minier dans l'ex-Zaïre. Et pourtant cet argent n'est jamais arrivé dans les caisses de l'Etat. Les sociétés minières n'ont acquitté que 92 millions de dollars, révèle un rapport d'enquête documenté que vient de publier le Sénat.
Les parlementaires congolais ont constaté, sur le terrain, pourquoi les impôts rentrent si mal. A la direction générale des mines, à Kinshasa, un seul ordinateur, obsolète, est en état de marche pour répertorier des milliers de concessions. Les archives du service ont disparu. Une partie a brûlé dans un incendie. L'autre s'est volatilisée. Le cadastre minier est incomplet. Les missions d'inspection, inexistantes. La dernière remonte à 2007.
Au Katanga, la plus riche des provinces minières, les sénateurs ont pu constater que les statistiques des exportations de cuivre sont mensongères. Grâce aux pots-de-vin versés à des fonctionnaires complices, les compagnies minières ne déclarent à la douane qu'une part dérisoire du minerai exporté vers la Zambie et, de là, vers l'Asie ou l'Europe. C'est autant de moins pour les caisses d'un Etat impécunieux, criblé de dettes et souvent incapable de payer ses fonctionnaires civils et militaires.
Ce pillage silencieux est d'autant plus scandaleux qu'il touche un pays de la taille de l'Europe dont les richesses minières considérables - cuivre, cobalt, or, diamant, coltan, demain le pétrole... - devraient contribuer à améliorer les conditions de vie d'une population saignée à blanc par trois décennies de dictature et dix ans de guerre.
Lorsque, en 2007, Kinshasa a signé avec Pékin une convention prévoyant plus de 6 milliards d'euros d'investissements chinois en échange de l'accès aux gisements de cuivre, les Occidentaux ont crié au scandale. Ils accusaient les Chinois de se payer sur la bête, puisque la réfection des routes et des chemin de fer ou la construction d'hôpitaux devaient être financées par les profits réalisés dans le secteur minier. Un vulgaire troc ? Rien de plus exact. Sauf que, depuis deux ans, de multiples chantiers ont démarré, tandis que des compagnies minières privées continuent sans vergogne à piller le pays. Au Congo comme dans de nombreux pays africains, misérables en dépit de leurs richesses naturelles."
"Au Congo-Kinshasa, les sénateurs mettent au jour le pillage des richesses minières
° http://www.lemonde.fr/afrique/article/2009/10/15/au-congo-kinshasa-les-senateurs-mettent-au-jour-le-pillage-des-richesses-minieres_1254107_3212.htm
Le pillage des ressources minières de la République démocratique du Congo (RDC) se poursuit. Telle est, en résumé, la conclusion du rapport d'enquête sénatorial rendu public début octobre à Kinshasa, la capitale. "Le secteur minier, qui repose pourtant sur des ressources minérales immenses et variées, n'a pas encore, du fait de la mauvaise gouvernance, contribué un tant soit peu à trouver les réponses aux cris des populations congolaises vouées à vivre dans des conditions infrahumaines", écrivent les auteurs du document riche de plus d'une centaine de pages.
A l'origine du rapport, il y a le constat fait par les sénateurs, lors de la présentation du projet de budget 2008, que "les recettes prévues pour le secteur minier étaient très faibles". D'où la création d'une commission d'enquête dont les membres, au fil des mois, ont arpenté les Etats miniers de la RDC –un pays aussi vaste que l'Europe occidentale– et exploré les textes législatifs avant de s'immerger dans les méandres de l'administration congolaise.
FAIBLES MOYENS
Premier constat : il est impossible de recenser les entreprises minières et de collecter leurs statistiques. "Celles-ci ne sont pas tenues selon les exigences de la loi. Aucun service de l'Etat impliqué dans la gestion du secteur minier n'est à jour pour rassembler des données fiables et connaître le nombre des opérateurs miniers, leurs productions, la qualité de celles-ci et la quantité des produits exportés. Les statistiques sont différentes dans un même Etat, d'un service à un autre. Maints opérateurs exploitent nos ressources minérales sans être en règle avec les exigences du Code minier; certains n'ont ni adresse ni numéro téléphonique connu", peut-on lire dans le rapport.
Les services de l'Etat n'ignorent rien de cette situation, constatent les rapporteurs, avant d'ajouter : "Ils donnent l'impression d'être déterminés à ne pas [y] remédier." Le manque à gagner est pourtant très important pour l'Etat. Celui-ci n'encaisse que le tiers des taxes dues par les sociétés minières au titre de la concession des terres. Depuis trois ans, ce taux de recouvrement baisse régulièrement.
S'agissant de l'impôt sur les sociétés, le bilan est pire : les entreprises ont versé en 2008 à peine 1 % de ce qu'elles devaient acquitter.
En tout et pour tout, peut-on lire dans une note de synthèse, le Trésor public n'a encaissé que 92 millions de dollars (près de 60 millions d'euros) sur les 205 millions dus, "soit un manque à gagner de plus de 55 %".
La commission d'enquête avance plusieurs explications à cette situation qui handicape le développement d'un pays souvent qualifié d'"anomalie géologique" tant ses richesses minières sont importantes, mais dont le revenu par habitant ne dépasse pas 158 dollars, selon le Fonds monétaire international. Le rapport pointe du doigt la faiblesse des moyens matériels de l'administration. La direction des mines, chargée de la compilation et de la publication des statistiques, ne dispose que d'un vieil ordinateur. Et les archives du service ont disparu.
En charge de l'inspection des exploitations, cette même direction des mines n'a pu effectuer qu'une seule mission sur le terrain depuis 2007. Mais le rapport met également en avant "la modicité de la rémunération des fonctionnaires et des agents", qui fait de ceux-ci une proie facile face à des entreprises parfois peu scrupuleuses.
Venue à la frontière entre le Katanga, l'Etat de la RDC qui détient près de 10 % des réserves mondiales de cuivre, et la Zambie, par où est exporté le minerai, la commission d'enquête a touché du doigt l'ampleur de la fraude. "La Commission a pu constater, écrivent les sénateurs, que sur une période de plus d'un mois les quantités transcrites en kilogrammes sur les attestations de transport des substances minérales étaient systématiquement réduites dix fois pour certains exportateurs. (…) Une quantité de produits pesant 33tonnes peut, par la volonté d'un fonctionnaire, être réduite à 3,3 tonnes."
Au poste frontière de Kasumbalesa, observent-ils, la construction d'un bâtiment moderne pour percevoir les taxes n'est toujours pas achevée. Les travaux ont pourtant commencé il y a quatre ans."
"Un trésor dilapidé
Secteur minier.
La République démocratique du Congo recèle 10 % des réserves mondiales de cuivre et 30 % des réserves de cobalt. Elle est également riche en or, argent, diamant, coltan, cassitérite. Fin 2008, 4 234 permis miniers avaient été accordés, dont près de 1 500 dans le seul Etat du Katanga. La même année, le poids brut des produits marchands exportés était de 1,1 million de tonnes.
Revenus de l'Etat. En 2008, il a encaissé 14 millions de dollars au titre des "droits superficiaires", assis sur la taille des concessions, alors qu'il aurait dû toucher 30 millions. Au titre de l'impôt sur les sociétés minières, il a récupéré 814 000dollars (près de 540 000 euros), contre 74 millions de dollars attendus."
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: COMMENT VA LE CONGO? QUE FAIT OU NE FAIT PAS LA SUPERSTRUCTURE, L'ETAT ???
Quand on gere un pays comme un coop - ou on permet a chacun d'avoir sa quote-part - ou chaque niveau de l'Etat est gangrene par la corruption et un pillage boulimique, voila ce qu'on recolte. Ensuite, on pousse l'audace jusqu'a presenter un maigre budget, qui ne tient pas compte de toutes les ressources du pays. Le poisson pourrit par la tete, on le sait.
Ca me fait penser a ce qui s'est passe avec l'Adg de l'Office de gestion du fret maritime, Emile Ngoy. Lisez:
http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5031
Ca me fait penser a ce qui s'est passe avec l'Adg de l'Office de gestion du fret maritime, Emile Ngoy. Lisez:
http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5031
Comme si cela ne suffisait pas, il revit un contrat juteux négocié par son prédécesseur qui liait l’ogefrem à une entreprise belge. Cette entreprise exigeait pour ses interventions une commission de 70% sur les affaires apportées. Ogefrem se contentait de la portion congrue, soit 30%. "Emile" dénonça le contrat. A la place, il cosigna avec Roger Andende, administrateur directeur technique, un autre avec une entreprise italienne du nom de Satramar. Celle-ci est moins gourmande. Elle se contente d’une commission de 50%. Mal leur en prit. Ils ne savaient pas que sur les 70% que les Belges empochaient, ils rétrocédaient 20% à son prédécesseur et alliés. Ce qui devait arriver, arriva.
Tsippora
Re: COMMENT VA LE CONGO? QUE FAIT OU NE FAIT PAS LA SUPERSTRUCTURE, L'ETAT ???
"Refondation de l’Etat : un chantier oublié
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=87553&id_edition=4810
..................................................................................................................................
...Bien qu’omis de la liste de cinq axes prioritaires de la République, c’est sur le chantier de la refondation de l’Etat que l’on s’attend à ce que les institutions de la République réagissent vite et bien. Toutes consignes qui ne prendraient pas en compte l’intérêt supérieur de l’Etat, de la Nation, ne seraient que clientélisme et crime politique."
Manquerait donc un chantier aux cinq brandits urbi et orbi, du génie politique que toute
la terre nous envie : c'est la refondation de l'Etat "autour duquel tout le reste devrait
se greffer, cet important repère sur lequel devait reposer toute la philosophie de
la reconstruction du pays "!!!
Bien trouvé mais encore ?
Ce chantier oublié par nos savants architectes devait s'attaquer à nos tares (le mal zairois,
paix à votre âme, Maréchal!) qui ont comme noms : "indiscipline, intolérance, gabegie
financière, concussion, corruption, etc..." et cela parce que subsiste "une incapacité du
gouvernement congolais à faire prévaloir la force de la loi dans la conduite des affaires
publiques" et patati et patata...
Et pourquoi donc ce gouvernement du peuple pour le peuple est-il incapable de donner
force à la loi ?
C'est parce que dans notre cher pays il y a place aux « des primes de guerres et de
mauvaise gouvernance »...
Et pourquoi donc cette impunté, et mieux pourquoi cette "force réservée à la loi l'est-elle
à un groupe d’individus" ???
Posée ainsi, on voit un début de réponse crédible plutôt que ce chapelet de bonnes
intentions qui craint de facher ceux qu'il doit condamner et on tourne en rond !
On en revient à tous ces bons diagnostics qui n'épinglent pas le virus principal auquel
il faut s'attaquer qui fait de notre système une impasse sans ce courage, cette conviction :
il faut bien un traitemment adapté qui guérisse l'agent pathogène bien identifié et non
des succedanés qui l'endormiront un moment mais le laisseront se reveiller et se
reproduire plus tard !
Le vrai mal Congolais aujourd'hui c'est un déficit de légitimité du pouvoir, et partant
une sécurité aussi bien qu'une loi qu'il ne peut imposer partout et en tout temps parce
que lui même cherchant à contourner par l'arbitraire son illégitimité il incarne ce mal,
le produit et le reproduit !!!
C'est le jour où un pouvoir se ressentira légitime parce que choisi dans la transparence
de la majorité et de ses origines qu'il aura plus d'âme à se consacrer à faire triompher
la loi, la sécurité, l'intangibilité des frontières et le developpement socio-économique du
pays au lieu de chercher à voler son pays sans crainte du suffrage à venir qu'il ne peut dompter !
Bien chers Compatriotes, quel est ou quels sont le ou les chantier(s)
qui manque(nt) au programme ???
Bel exercice citoyen pour apprendre les bons programmes à nos dirigeants !!!
"Commerce de l’étain à l’Est :
Global Witness appelle le gouvernement à la vigilance
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=87545&id_edition=4810
Global Witness voient dans la démarche menée par les principales entreprises étrangères mises en cause dans le commerce de l’étain dans la partie Est comme une tentative de distraire les autorités de Kinshasa. L’ONG britannique trouve ses les propositions actuelles sur la chaîne d’approvisionnement de l’industrie de l’étain sont insuffisantes. Le gouvernement congolais devrait pousser les entreprises à être plus rigoureuses, pense-t-elle..."
Compatriotiquement!
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=87553&id_edition=4810
..................................................................................................................................
...Bien qu’omis de la liste de cinq axes prioritaires de la République, c’est sur le chantier de la refondation de l’Etat que l’on s’attend à ce que les institutions de la République réagissent vite et bien. Toutes consignes qui ne prendraient pas en compte l’intérêt supérieur de l’Etat, de la Nation, ne seraient que clientélisme et crime politique."
Manquerait donc un chantier aux cinq brandits urbi et orbi, du génie politique que toute
la terre nous envie : c'est la refondation de l'Etat "autour duquel tout le reste devrait
se greffer, cet important repère sur lequel devait reposer toute la philosophie de
la reconstruction du pays "!!!
Bien trouvé mais encore ?
Ce chantier oublié par nos savants architectes devait s'attaquer à nos tares (le mal zairois,
paix à votre âme, Maréchal!) qui ont comme noms : "indiscipline, intolérance, gabegie
financière, concussion, corruption, etc..." et cela parce que subsiste "une incapacité du
gouvernement congolais à faire prévaloir la force de la loi dans la conduite des affaires
publiques" et patati et patata...
Et pourquoi donc ce gouvernement du peuple pour le peuple est-il incapable de donner
force à la loi ?
C'est parce que dans notre cher pays il y a place aux « des primes de guerres et de
mauvaise gouvernance »...
Et pourquoi donc cette impunté, et mieux pourquoi cette "force réservée à la loi l'est-elle
à un groupe d’individus" ???
Posée ainsi, on voit un début de réponse crédible plutôt que ce chapelet de bonnes
intentions qui craint de facher ceux qu'il doit condamner et on tourne en rond !
On en revient à tous ces bons diagnostics qui n'épinglent pas le virus principal auquel
il faut s'attaquer qui fait de notre système une impasse sans ce courage, cette conviction :
il faut bien un traitemment adapté qui guérisse l'agent pathogène bien identifié et non
des succedanés qui l'endormiront un moment mais le laisseront se reveiller et se
reproduire plus tard !
Le vrai mal Congolais aujourd'hui c'est un déficit de légitimité du pouvoir, et partant
une sécurité aussi bien qu'une loi qu'il ne peut imposer partout et en tout temps parce
que lui même cherchant à contourner par l'arbitraire son illégitimité il incarne ce mal,
le produit et le reproduit !!!
C'est le jour où un pouvoir se ressentira légitime parce que choisi dans la transparence
de la majorité et de ses origines qu'il aura plus d'âme à se consacrer à faire triompher
la loi, la sécurité, l'intangibilité des frontières et le developpement socio-économique du
pays au lieu de chercher à voler son pays sans crainte du suffrage à venir qu'il ne peut dompter !
Bien chers Compatriotes, quel est ou quels sont le ou les chantier(s)
qui manque(nt) au programme ???
Bel exercice citoyen pour apprendre les bons programmes à nos dirigeants !!!
"Commerce de l’étain à l’Est :
Global Witness appelle le gouvernement à la vigilance
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=87545&id_edition=4810
Global Witness voient dans la démarche menée par les principales entreprises étrangères mises en cause dans le commerce de l’étain dans la partie Est comme une tentative de distraire les autorités de Kinshasa. L’ONG britannique trouve ses les propositions actuelles sur la chaîne d’approvisionnement de l’industrie de l’étain sont insuffisantes. Le gouvernement congolais devrait pousser les entreprises à être plus rigoureuses, pense-t-elle..."
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: COMMENT VA LE CONGO? QUE FAIT OU NE FAIT PAS LA SUPERSTRUCTURE, L'ETAT ???
"Ainsi va la vie en RD Congo :
L’ADGA de la RTNC sans frais de mission à Bruxelles
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5040
Depuis plusieurs jours, l’administrateur délégué général adjoint de la RTNC (Radio télévision nationale congolaise) est incapable d’acquitter les frais de séjour dans un petit hôtel bruxellois.
Kinshasa. Correspondance particulière.
L’administrateur délégué général adjoint de la RTNC, Ernest Kabila Ilunga, se trouve depuis une semaine en mission officielle à Bruxelles. Il est accompagné de Prosper Loleke, conseiller juridique au cabinet du ministre de la Communication et des médias. But de la mission : vérifier la destination donnée aux montants payés par les abonnés des émissions de la télévision publique congolaise captée via le satellite.
Selon des sources à Kinshasa, les frais de connection à la RTNC seraient perçus par un ressortissant congolais non autrement identifié. L’homme travaillerait pour le compte de…l’administrateur délégué général de la RTNC. Inimaginable !
L’Adga Kabila et le conseiller juridique Loleke ont été mandatés par le ministre Lambert Mende Omalanga afin de mettre fin à cette «situation chaotique».
C’est ici que l’histoire prend une tournure burlesque. Les deux hommes ont, en effet, quitté Kinshasa sans avoir perçu les frais de mission. Ils logent depuis une semaine dans un hôtel bruxellois sans savoir comment acquitter les frais. Aux dernières nouvelles, ils étaient descendus dans un hôtel pour le moins miteux à un jet de pierre du «Marché du Midi». Il s’agirait de l’hôtel de France où ils partageraient le même lit. Le départ de Bruxelles est prévu dimanche 18 octobre.
En désespoir de cause, l’Adga Kabila serait à la recherche d’un "homme de bonne volonté" pour obtenir un "prêt" remboursable à Kinshasa. Interdiction de rire."
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25115&da=&hi=0&of=8&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25104&da=&hi=0&of=17&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25103&da=&hi=0&of=18&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25099&da=&hi=0&of=21&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25095&da=&hi=0&of=17&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
Compatriotiquement!
L’ADGA de la RTNC sans frais de mission à Bruxelles
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5040
Depuis plusieurs jours, l’administrateur délégué général adjoint de la RTNC (Radio télévision nationale congolaise) est incapable d’acquitter les frais de séjour dans un petit hôtel bruxellois.
Kinshasa. Correspondance particulière.
L’administrateur délégué général adjoint de la RTNC, Ernest Kabila Ilunga, se trouve depuis une semaine en mission officielle à Bruxelles. Il est accompagné de Prosper Loleke, conseiller juridique au cabinet du ministre de la Communication et des médias. But de la mission : vérifier la destination donnée aux montants payés par les abonnés des émissions de la télévision publique congolaise captée via le satellite.
Selon des sources à Kinshasa, les frais de connection à la RTNC seraient perçus par un ressortissant congolais non autrement identifié. L’homme travaillerait pour le compte de…l’administrateur délégué général de la RTNC. Inimaginable !
L’Adga Kabila et le conseiller juridique Loleke ont été mandatés par le ministre Lambert Mende Omalanga afin de mettre fin à cette «situation chaotique».
C’est ici que l’histoire prend une tournure burlesque. Les deux hommes ont, en effet, quitté Kinshasa sans avoir perçu les frais de mission. Ils logent depuis une semaine dans un hôtel bruxellois sans savoir comment acquitter les frais. Aux dernières nouvelles, ils étaient descendus dans un hôtel pour le moins miteux à un jet de pierre du «Marché du Midi». Il s’agirait de l’hôtel de France où ils partageraient le même lit. Le départ de Bruxelles est prévu dimanche 18 octobre.
En désespoir de cause, l’Adga Kabila serait à la recherche d’un "homme de bonne volonté" pour obtenir un "prêt" remboursable à Kinshasa. Interdiction de rire."
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25115&da=&hi=0&of=8&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25104&da=&hi=0&of=17&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25103&da=&hi=0&of=18&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25099&da=&hi=0&of=21&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25095&da=&hi=0&of=17&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: COMMENT VA LE CONGO? QUE FAIT OU NE FAIT PAS LA SUPERSTRUCTURE, L'ETAT ???
:lolJe ne peux pas m'empêcher de rire, nos politiciens des comiques surtout l'aargent est perçue par un congolais non identifié ce n'est plus de l'amaterisme c'est même pas de la connerie c'est inqualifiable RDC eloko makasi kie kie kie;
mongo elombe
Re: COMMENT VA LE CONGO? QUE FAIT OU NE FAIT PAS LA SUPERSTRUCTURE, L'ETAT ???
relance la culture du riz à Kinshasa avec l’appui de 500.000 Usd de la FAO
Kinshasa, 11/08/2008 / Politique
500.000 dollars américains, c’est l’enveloppe prévue pour relancer la culture du riz à Kinshasa. Le ministre d’Etat en charge de l’Agriculture et du Développement rural, Mobutu Nzanga, l’a annoncé, le samedi 9 août 2008, lors de sa visite au siège du Programme national riz (PNR) dans la commune de N’Djili.
Ce montant est l’appui de la FAO au gouvernement. L’objectif poursuivi est de produire plus et importer moins.
Le ministre d’Etat en charge de l’Agriculture et du Développement rural, Mobutu Nzanga, a procédé, le samedi 9 août 2008, au lancement du programme de lutte contre la crise alimentaire en RDC. La première étape est la relance de la culture du riz dans la ville de Kinshasa.
La cérémonie s’est déroulée au siège du Programme national du riz (PNR), dans la commune de N’Djili. Pour matérialiser le projet, le ministre d’Etat a annoncé l’octroi d’une enveloppe de 500.000 Usd, contribution de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) dans sa politique d’appui au gouvernement congolais.
Pour un meilleur impact du projet et compte tenu de la hauteur de l’enveloppe, la culture du riz pour approvisionner la ville de Kinshasa a été retenue comme option stratégique pour plusieurs raisons notamment du fait que la demande la plus forte du riz- denrée alimentaire la plus importée en RDC - est constatée à Kinshasa.
C’est aussi à la capitale que la flambée des prix est plus constatée, en raison de sa surpopulation estimée à 8.000.000 d’habitants. Le ministre d’Etat à l’Agriculture a indiqué que le projet a comme objectif, entre autres, de fournir urgemment les intrants agricoles aux petits exploitants (groupes vulnérables) pour une augmentation rapide de la production et d’atténuer l’impact de la flambée des prix sur les groupes vulnérables en zones urbaines.
Précisément, le projet qui concerne 10.000 ménages de cultivateurs du riz dans l’hinterland de Kinshasa (Pool Malebo), vise à développer les capacités des ménages bénéficiaires, d’emblaver 2.500 hectares de riz de bas fonds et de produire 6.250 tonnes de Paddy, soit 3.750 tonnes de riz blanc.
“ Ma préoccupation est de me battre pour la sécurité alimentaire sur toute l’étendue du territoire national ”, a rassuré Nzanga. Mais il se pose également le problème de réfection des routes de desserte agricole. “ La production n’est pas tellement un problème, mais l’évacuation des produits, c’est le casse-tête ”, a-t-il reconnu.
Produire plus, importer moins
Selon le représentant de la FAO en RDC, cette contribution s’inscrit dans le cadre de la lutte contre la crise alimentaire et la flambée des prix dans le pays. “ Le montant alloué au Programme national riz (PNR) va permettre aux riziculteurs, principaux bénéficiaires, l’acquisition d’intrants agricoles…
Déjà, un lot de 40 000 machettes et houes est entreposé au siège du PNR à N’Djili. L’achat de semences améliorées est aussi pris en compte ”, a déclaré Musa Saihou Mbenga. Et d’ajouter : “ Le montant n’est pas énorme, mais il permettra quand même d’amorcer le processus de lutte contre la crise alimentaire.”
Pour le représentant de la FAO en RDC, l’action de son agence va s’étendre sur tout le territoire national : “ L’Etat a décidé d’investir dans la production de riz, ici dans le Pool Malebo. Je pense qu’il y a d’autres opportunités pour étendre cet appui dans les autres provinces ”.
De leur côté, les bénéficiaires estiment que la distribution de ces intrants devrait s’effectuer directement dans les chantiers respectifs. “ Si le ministre veut nous donner des intrants, c’est mieux qu’ils les distribuent directement dans nos chantiers. En ce moment, nous sommes sûrs que les paysans seront servis”, a souhaité une cultivatrice. Les riziculteurs ont également posé un problème d’emballage et d’étal.
Selon Mobutu Nzanga, le programme va s’élargir sur d’autres sites producteurs de riz, notamment à Bumba (Equateur), Kasongo (Maniema), Lodja (Kasaï Oriental), etc. A côté du riz, le ministre d’Etat à l’Agriculture compte également relancer d’autres produits vivriers, notamment le haricot, le maïs…
Rich Ngapi/Le Potentiel
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4O.000 machettes avec cettes sommes pourquoi ne pas acheter des tracteurs, moissoneuses et cie? aux dernières nouvelles aucune traces de rizières mais l'argent ...............
Kinshasa, 11/08/2008 / Politique
500.000 dollars américains, c’est l’enveloppe prévue pour relancer la culture du riz à Kinshasa. Le ministre d’Etat en charge de l’Agriculture et du Développement rural, Mobutu Nzanga, l’a annoncé, le samedi 9 août 2008, lors de sa visite au siège du Programme national riz (PNR) dans la commune de N’Djili.
Ce montant est l’appui de la FAO au gouvernement. L’objectif poursuivi est de produire plus et importer moins.
Le ministre d’Etat en charge de l’Agriculture et du Développement rural, Mobutu Nzanga, a procédé, le samedi 9 août 2008, au lancement du programme de lutte contre la crise alimentaire en RDC. La première étape est la relance de la culture du riz dans la ville de Kinshasa.
La cérémonie s’est déroulée au siège du Programme national du riz (PNR), dans la commune de N’Djili. Pour matérialiser le projet, le ministre d’Etat a annoncé l’octroi d’une enveloppe de 500.000 Usd, contribution de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) dans sa politique d’appui au gouvernement congolais.
Pour un meilleur impact du projet et compte tenu de la hauteur de l’enveloppe, la culture du riz pour approvisionner la ville de Kinshasa a été retenue comme option stratégique pour plusieurs raisons notamment du fait que la demande la plus forte du riz- denrée alimentaire la plus importée en RDC - est constatée à Kinshasa.
C’est aussi à la capitale que la flambée des prix est plus constatée, en raison de sa surpopulation estimée à 8.000.000 d’habitants. Le ministre d’Etat à l’Agriculture a indiqué que le projet a comme objectif, entre autres, de fournir urgemment les intrants agricoles aux petits exploitants (groupes vulnérables) pour une augmentation rapide de la production et d’atténuer l’impact de la flambée des prix sur les groupes vulnérables en zones urbaines.
Précisément, le projet qui concerne 10.000 ménages de cultivateurs du riz dans l’hinterland de Kinshasa (Pool Malebo), vise à développer les capacités des ménages bénéficiaires, d’emblaver 2.500 hectares de riz de bas fonds et de produire 6.250 tonnes de Paddy, soit 3.750 tonnes de riz blanc.
“ Ma préoccupation est de me battre pour la sécurité alimentaire sur toute l’étendue du territoire national ”, a rassuré Nzanga. Mais il se pose également le problème de réfection des routes de desserte agricole. “ La production n’est pas tellement un problème, mais l’évacuation des produits, c’est le casse-tête ”, a-t-il reconnu.
Produire plus, importer moins
Selon le représentant de la FAO en RDC, cette contribution s’inscrit dans le cadre de la lutte contre la crise alimentaire et la flambée des prix dans le pays. “ Le montant alloué au Programme national riz (PNR) va permettre aux riziculteurs, principaux bénéficiaires, l’acquisition d’intrants agricoles…
Déjà, un lot de 40 000 machettes et houes est entreposé au siège du PNR à N’Djili. L’achat de semences améliorées est aussi pris en compte ”, a déclaré Musa Saihou Mbenga. Et d’ajouter : “ Le montant n’est pas énorme, mais il permettra quand même d’amorcer le processus de lutte contre la crise alimentaire.”
Pour le représentant de la FAO en RDC, l’action de son agence va s’étendre sur tout le territoire national : “ L’Etat a décidé d’investir dans la production de riz, ici dans le Pool Malebo. Je pense qu’il y a d’autres opportunités pour étendre cet appui dans les autres provinces ”.
De leur côté, les bénéficiaires estiment que la distribution de ces intrants devrait s’effectuer directement dans les chantiers respectifs. “ Si le ministre veut nous donner des intrants, c’est mieux qu’ils les distribuent directement dans nos chantiers. En ce moment, nous sommes sûrs que les paysans seront servis”, a souhaité une cultivatrice. Les riziculteurs ont également posé un problème d’emballage et d’étal.
Selon Mobutu Nzanga, le programme va s’élargir sur d’autres sites producteurs de riz, notamment à Bumba (Equateur), Kasongo (Maniema), Lodja (Kasaï Oriental), etc. A côté du riz, le ministre d’Etat à l’Agriculture compte également relancer d’autres produits vivriers, notamment le haricot, le maïs…
Rich Ngapi/Le Potentiel
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4O.000 machettes avec cettes sommes pourquoi ne pas acheter des tracteurs, moissoneuses et cie? aux dernières nouvelles aucune traces de rizières mais l'argent ...............
mongo elombe
Re: COMMENT VA LE CONGO? QUE FAIT OU NE FAIT PAS LA SUPERSTRUCTURE, L'ETAT ???
Ainsi va la vie en RD Congo :
L’ADGA de la RTNC sans frais de mission à Bruxelles
Depuis plusieurs jours, l’administrateur délégué général adjoint de la RTNC (Radio télévision nationale congolaise) est incapable d’acquitter les frais de séjour dans un petit hôtel bruxellois.
Kinshasa. Correspondance particulière.
L’administrateur délégué général adjoint de la RTNC, Ernest Kabila Ilunga, se trouve depuis une semaine en mission officielle à Bruxelles. Il est accompagné de Prosper Loleke, conseiller juridique au cabinet du ministre de la Communication et des médias. But de la mission : vérifier la destination donnée aux montants payés par les abonnés des émissions de la télévision publique congolaise captée via le satellite.
Selon des sources à Kinshasa, les frais de connection à la RTNC seraient perçus par un ressortissant congolais non autrement identifié. L’homme travaillerait pour le compte de…l’administrateur délégué général de la RTNC. Inimaginable !
L’Adga Kabila et le conseiller juridique Loleke ont été mandatés par le ministre Lambert Mende Omalanga afin de mettre fin à cette «situation chaotique».
C’est ici que l’histoire prend une tournure burlesque. Les deux hommes ont, en effet, quitté Kinshasa sans avoir perçu les frais de mission. Ils logent depuis une semaine dans un hôtel bruxellois sans savoir comment acquitter les frais. Aux dernières nouvelles, ils étaient descendus dans un hôtel pour le moins miteux à un jet de pierre du «Marché du Midi». Il s’agirait de l’hôtel de France où ils partageraient le même lit. Le départ de Bruxelles est prévu dimanche 18 octobre.
En désespoir de cause, l’Adga Kabila serait à la recherche d’un "homme de bonne volonté" pour obtenir un "prêt" remboursable à Kinshasa. Interdiction de rire.
M.W.
Congoindépendant 2003-2009
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Faut t'il en rire où pleurer si les faits sont réels?????????? mawa plein.
L’ADGA de la RTNC sans frais de mission à Bruxelles
Depuis plusieurs jours, l’administrateur délégué général adjoint de la RTNC (Radio télévision nationale congolaise) est incapable d’acquitter les frais de séjour dans un petit hôtel bruxellois.
Kinshasa. Correspondance particulière.
L’administrateur délégué général adjoint de la RTNC, Ernest Kabila Ilunga, se trouve depuis une semaine en mission officielle à Bruxelles. Il est accompagné de Prosper Loleke, conseiller juridique au cabinet du ministre de la Communication et des médias. But de la mission : vérifier la destination donnée aux montants payés par les abonnés des émissions de la télévision publique congolaise captée via le satellite.
Selon des sources à Kinshasa, les frais de connection à la RTNC seraient perçus par un ressortissant congolais non autrement identifié. L’homme travaillerait pour le compte de…l’administrateur délégué général de la RTNC. Inimaginable !
L’Adga Kabila et le conseiller juridique Loleke ont été mandatés par le ministre Lambert Mende Omalanga afin de mettre fin à cette «situation chaotique».
C’est ici que l’histoire prend une tournure burlesque. Les deux hommes ont, en effet, quitté Kinshasa sans avoir perçu les frais de mission. Ils logent depuis une semaine dans un hôtel bruxellois sans savoir comment acquitter les frais. Aux dernières nouvelles, ils étaient descendus dans un hôtel pour le moins miteux à un jet de pierre du «Marché du Midi». Il s’agirait de l’hôtel de France où ils partageraient le même lit. Le départ de Bruxelles est prévu dimanche 18 octobre.
En désespoir de cause, l’Adga Kabila serait à la recherche d’un "homme de bonne volonté" pour obtenir un "prêt" remboursable à Kinshasa. Interdiction de rire.
M.W.
Congoindépendant 2003-2009
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Faut t'il en rire où pleurer si les faits sont réels?????????? mawa plein.
mongo elombe
TO BOYI LOKUTA !
*CNMM a écrit:
Très Chère Molonganie,
On m'a laissé entendre que c'est Vous qui êtes la Trésorière des BILLIONS d'Euros destinés à la RDC mais détournés par la magie des opérations "aller-retour" entre l'Occident et l'Afrique !
Que faites-vous de tout ce magot ?
*CNMM
*CNMM
Re: COMMENT VA LE CONGO? QUE FAIT OU NE FAIT PAS LA SUPERSTRUCTURE, L'ETAT ???
Encore à propos du rapport du Sénat sur les mines !
Où va l’argent des mines ?
° http://www.lalibre.be/actu/international/article/536830/ou-va-l-argent-des-mines.html
En 2008, jugeant le revenu des impôts miniers bien bas, le Sénat congolais avait décidé d'enquêter. Son rapport révèle des anomalies spectaculaires.
Examinant le projet de budget 2008, les sénateurs congolais avaient trouvé les revenus miniers bien maigres (1 million de dollars) pour un pays qualifié de "scandale géologique" et alors que le secteur était en plein boom. Ils décidèrent donc d’enquêter sur le sujet. Leur rapport -133 pages, publiées le 26 septembre dernier (1)- est atterrant. En cause: aussi bien les services de l’Etat, qui "donnent l’impression de ne pas vouloir remédier" à la situation, que les opérateurs miniers, qui déclarent jusqu’à "dix fois moins" que les quantités de minerais réellement exportées.
Côté Etat d’abord.
"Les statistiques ne sont pas tenues selon les exigences de la loi. Aucun service de l’Etat impliqué dans la gestion du secteur minier n’est à jour pour rassembler les données". Les statistiques "sont différentes (...) d’un service à un autre". .................................................................
Côté entreprises minières ensuite.
"Maints opérateurs exploitent nos ressources minérales sans être en règle avec le Code minier; certains n’ont ni adresse ni numéro d’appel téléphonique connu".
En outre, "les produits sont exportés sous des appellations qui ne sont pas conformes aux usages" et leur poids "est sous-estimé dans des proportions qui dépassent tout entendement", notent les sénateurs. Ainsi, les commissaires envoyés au Katanga ont-ils constaté que "sur une période de plus d’un mois, les quantités transcrites en kilogrammes sur les attestations de transport des substances minérales étaient systématioquement réduites de 10 fois pour certains exportateurs, par rapport aux quantités inscrites sur le procès-verbal de constat de chargement des substances minérales...............................................
Au total, "le secteur minier, reposant pourtant sur des ressources minérales immenses et variées, n’a pas encore, du fait de la mauvaise gouvernance, contribué un tant soi peu à trouver les réponses aux cris des populations congolaises vouées à vivre dans des conditions infrahumaines". Si "la mauvaise gouvernance est à la base de cette situation", les sénateurs notent tout de même que le Code minier, dont l’adoption, il y a sept ans, avait suscité un grand espoir d’amélioration, n’a pas atteint les buts que lui avait fixés le législateur. Plusieurs de ses dispositions sont "inefficaces"; sa "révision", concluent les sénateurs, "s’impose" donc.
(1) Le rapport est consultable sur www.lalibre.be "
Compatriotiquement!
Où va l’argent des mines ?
° http://www.lalibre.be/actu/international/article/536830/ou-va-l-argent-des-mines.html
En 2008, jugeant le revenu des impôts miniers bien bas, le Sénat congolais avait décidé d'enquêter. Son rapport révèle des anomalies spectaculaires.
Examinant le projet de budget 2008, les sénateurs congolais avaient trouvé les revenus miniers bien maigres (1 million de dollars) pour un pays qualifié de "scandale géologique" et alors que le secteur était en plein boom. Ils décidèrent donc d’enquêter sur le sujet. Leur rapport -133 pages, publiées le 26 septembre dernier (1)- est atterrant. En cause: aussi bien les services de l’Etat, qui "donnent l’impression de ne pas vouloir remédier" à la situation, que les opérateurs miniers, qui déclarent jusqu’à "dix fois moins" que les quantités de minerais réellement exportées.
Côté Etat d’abord.
"Les statistiques ne sont pas tenues selon les exigences de la loi. Aucun service de l’Etat impliqué dans la gestion du secteur minier n’est à jour pour rassembler les données". Les statistiques "sont différentes (...) d’un service à un autre". .................................................................
Côté entreprises minières ensuite.
"Maints opérateurs exploitent nos ressources minérales sans être en règle avec le Code minier; certains n’ont ni adresse ni numéro d’appel téléphonique connu".
En outre, "les produits sont exportés sous des appellations qui ne sont pas conformes aux usages" et leur poids "est sous-estimé dans des proportions qui dépassent tout entendement", notent les sénateurs. Ainsi, les commissaires envoyés au Katanga ont-ils constaté que "sur une période de plus d’un mois, les quantités transcrites en kilogrammes sur les attestations de transport des substances minérales étaient systématioquement réduites de 10 fois pour certains exportateurs, par rapport aux quantités inscrites sur le procès-verbal de constat de chargement des substances minérales...............................................
Au total, "le secteur minier, reposant pourtant sur des ressources minérales immenses et variées, n’a pas encore, du fait de la mauvaise gouvernance, contribué un tant soi peu à trouver les réponses aux cris des populations congolaises vouées à vivre dans des conditions infrahumaines". Si "la mauvaise gouvernance est à la base de cette situation", les sénateurs notent tout de même que le Code minier, dont l’adoption, il y a sept ans, avait suscité un grand espoir d’amélioration, n’a pas atteint les buts que lui avait fixés le législateur. Plusieurs de ses dispositions sont "inefficaces"; sa "révision", concluent les sénateurs, "s’impose" donc.
(1) Le rapport est consultable sur www.lalibre.be "
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: COMMENT VA LE CONGO? QUE FAIT OU NE FAIT PAS LA SUPERSTRUCTURE, L'ETAT ???
*L’Honorable Jacques Mokako est sidéré de constater qu’à chaque exercice budgétaire, d’importantes sommes d’argent sont disponibilisées, pour l’acquisition de tout ce qui a trait au fonctionnement des services de la santé. Il l’a dit à la tribune de l’Assemblée Nationale, lors du débat sur le Budget 2010. Ces différentes dépenses, soutient-il, sont budgétisées et exécutées chaque année, mais sans qu’une moindre amélioration ne soit enregistrée dans les hôpitaux de l’Etat qui sentent mauvais. Et de poursuivre : ‘‘mais au lieu de privilégier leur réhabilitation et modernisation, nous avons choisi de privilégier l’évacuation et le transfert de nos malades, en Afrique du Sud, en France, en Belgique, en Inde, aux Etats-Unis ou ailleurs. Et, cette opération, insiste-t-il, s’est érigée, depuis un certain nombre d’années, en une Entreprise prospère et florissante ; source d’enrichissement sans cause, pour certains malins. Et pourtant, les vrais malades, ceux qui ont réellement besoin de ces transferts, moisissent désespérément dans les hôpitaux où ils sont parfois exhibés tout malheureux à la télévision, pour qu’ils sollicitent pitoyablement la magnanimité du couple présidentiel, pour leur évacuation, à l’étranger. (…) nous devons nous ressaisir’’. Car, ‘‘ériger en système des soins médicaux, l’évacuation ou le transfert de nos malades à l’étranger, est un déshonneur et une grande humiliation pour la RD. Congo, notre grand pays’’. L’élu de Bumba, à l’Equateur, estime que ce qui est budgétisé chaque année comme dépenses, au nom de l’acquisition des intrants médicaux, est amplement suffisant, si l’on y mettait de l’ordre et s’il servait réellement à l’objet initial de son affectation’’. Il en appelle à la création d’une « Clinique d’Etat » dont la mission serait d’accueillir, d’interner et de soigner les officiels. Ceci éviterait, par exemple, la fuite des capitaux. C’est une des recommandations formulées au Premier Ministre Muzito. Il y va de l’accélération du chantier « Santé » inscrit à l’agenda du mandat de Joseph Kabila, le Président de la République. Voici l’intervention de l’Honorable Jacques Mokako, à l’occasion du débat sur le Budget 2010, à l’Assemblée Nationale. Honorable Président ; Je voudrais d’abord faire honneur à l’effort que vous ne vous êtes pas gêné d’entreprendre auprès de l’opposition pour obtenir son retour dans la salle. L’orgueil et le majoritisme auraient dû vous empêcher ; mais vous avez choisi de privilégier l’intérêt supérieur de la Nation. Je me demandais quel crédit politique allait avoir un budget voté par une seule composante de l’Assemblée Nationale, majoritaire soit-elle. Je salue ainsi chaleureusement le retour et la participation de nos Collègues de l’Opposition dans nos débats, et je souhaite qu’ils continuent à toujours garder leur sens de vigilance et à apporter leurs appréciables contributions dans nos travaux de tous les jours. C’est seul le pays qui en sort vainqueur. Excellence Monsieur le Premier Ministre ; Excellence Messieurs les Vice-Premiers Ministres ; Excellence Messieurs les Ministres et Vice-ministres, Je me fais le devoir de commencer mon propos par vous rassurer quant à l’unique motivation qui devrait nous animer tous, en ce moment où le devoir d’Etat nous appelle à réfléchir ensemble et à porter des critiques constructives sur ce projet du budget de l’Etat, qui est l’instrument par excellence de gestion de la politique économique du Gouvernement de la République dans tous ses aspects : Social, économique, politique et administratif. Mon intervention sera axée essentiellement sur l’aspect médical de ce projet, plus précisément sur les dépenses préconisées pour l’acquisition d’équipements et matériels médicochirurgicaux, des produits pharmaceutiques et de laboratoire, et pour tant d’autres intrants hospitaliers. Je parlerai aussi de l’initiative PPTE, et je finirai par formuler quelques questions à l’endroit de Son Excellence Monsieur le Premier Ministre, avant de terminer par formuler une recommandation. Excellence Monsieur le Premier Ministre ; A chaque exercice budgétaire, d’importantes sommes d’argent sont disponibilisées pour l’acquisition de tout ce qui a trait au fonctionnement des services de la santé, ainsi qu’à l’entretien, réparation, et décoration d’édifice de l’Etat dont les hôpitaux. Ces différentes dépenses sont budgétisées et exécutées chaque année, mais sans qu’une moindre amélioration ne s’observe dans nos hôpitaux de l’Etat : Les hôpitaux de l’Etat sentent mauvais, par manque des produits d’entretien ; Ces hôpitaux ne reçoivent plus aucun subside de l’Etat, par contre, c’est l’Etat qui leur doit d’énormes sommes d’argents ; Les matériels et équipements médicaux et chirurgicaux qu’on peut encore y trouver, sont de générations très dépassées et ne répondent plus aux normes actuelles de la science. Et pourtant, chaque année comme je l’ai dit, le budget est voté en faveur du renouvellement de ces matériels ; Le personnel soignant est contraint à la démotivation. Il doit s’agiter sans cesse par des grèves repesés, pour qu’on tienne compte de son existence. Il y a eu un temps, où notre pays la République Démocratique du Congo était le carrefour africain pour les soins médicaux de qualité. Nos hôpitaux et cliniques de l’Etat étaient très bien équipés grâce au bon fonctionnement du Dépôt Central Médico-Pharmaceutique (DCMP) dont les vestiges sont encore visibles dans la Commune de Barumbu, et qui avait ses succursales dans tous les chefs-lieux des provinces. Chaque formation médicale du pays y avait sa ligne de crédit, qui l’approvisionnait périodiquement en produits pharmaceutiques et qui renouvelait au besoin son équipement et matériel médicochirurgical et qui lui fournissait tous les autres intrants médicaux nécessaires à son fonctionnement harmonieux. Notre pays avait une ambition de grandeur en matière des soins médicaux. Aux cliniques universitaires de Kinshasa par exemple, alors clinique Lovanium, un espace était même prévu, pour l’aménagement d’une piste d’atterrissage pour hélicoptères et autres avions petits porteurs, qui ramèneraient les malades transférés de l’intérieur du pays ou des autres pays africains. Hier donc, nos hôpitaux se suffisaient à eux-mêmes et faisaient la fierté de notre pays. Le transfert ou l’évacuation en catastrophe de nos malades à l’étranger était un fait rare. Cela n’était, en tout cas pas, une nécessité absolue mais un choix parfois prestigieux du malade lui-même ou de sa famille. Aujourd’hui, l’état de déliquescence et d’extrême pauvreté de nos hôpitaux de l’Etat est connu de tous. C’est pourquoi, ceux qui ont des moyens, cherchent à tout prix à aller se faire soigner à l’étranger. Les officiels et autres hauts cadres ont le privilège d’aller se faire soigner ou de se faire évacuer d’urgence à l’étranger, aux frais du trésor public. Et aller aux soins médicaux à l’étranger est même devenu une nécessité absolue aujourd’hui, au regard de l’état appauvri et inopérant dans quel nous avons nous-mêmes choisi de plonger nos hôpitaux, qui ne servent plus pour les uns, qu’à garder momentanément un malade en attendant que se terminent les formalités administratives pour son transfert ou son évacuation à l’étranger. Et pourtant, quand bien même on jouit de ce privilège de se faire évacuer à l’étranger, tout le monde a intérêt à ce que nous ayons dans nos propres hôpitaux de référence, des services de réanimation et des soins d’urgence efficients, bien équipés en matériels modernes et en personnel médical qualifié, expérimenté et motivé. Et même sur le plan purement médical, se précipiter à évacuer à l’étranger un malade en mauvais état général sans préalablement le stabiliser par une bonne réanimation, est un facteur de risque qui aggrave son état. Il peut même mourir en plein vol, ou alors quelques moment seulement après son arrivée à destination. Tout simplement, parce que les premiers soins qui étaient urgents n’ont pas été administrés, ou l’ont été insuffisamment, faute de logistique appropriée. Pour illustrer, nombreux sont les cas des grandes personnalités du Congo et d’Afrique, qui ont rendu l’âme dans ces conditions. Ils ont négligé de doter leurs propres pays des hôpitaux modernes, pour ne miser que sur ceux des autres à l’étranger. Et pourtant en ce qui concerne notre pays, à chaque exercice budgétaire, les dépenses suivantes sont énumérées : Acquisition d’équipements et matériels médicochirurgicaux ; Acquisition d’équipements de laboratoire et de vaccins ; Acquisition d’équipements hospitaliers et des produits pharmaceutiques ; Frais médicaux et pharmaceutiques ; Entretien, réparation et décoration des édifices etc. Mais au lieu de privilégier la réhabilitation et la modernisation de nos propres hôpitaux par ces crédits, nous avons choisi de privilégier l’évacuation et le transfert de nos malades en Afrique du Sud. Et cette opération de «transfert » s’est érigée en toute une Entreprise, prospère et florissante. Elle est en tout cas devenu source d’enrichissement sans cause pour certains malins. Le trésor public et les entreprises de l’Etat engloutissent chaque année d’énormes sommes d’argent pour la prospérité du système de transfert ou d’évacuation des malades à l’étranger. Des conventions sont même signées avec des maisons de sous-traitance à cet effet. Et pourtant, les vrais malades, ceux qui ont réellement besoins de ces transferts moisissent désespérément dans les hôpitaux, ou ils sont parfois exhibés tout malheureux à la télévision, pour qu’ils sollicitent pitoyablement la magnanimité du couple présidentiel pour leurs évacuations à l’étranger. Mais en définitive, Excellence Monsieur le Premier Ministre, nous devons nous ressaisir. Nous devons rendre vie à nos propres hôpitaux du pays. Et c’est cela la vraie solution. Eriger en système des soins médicaux l’évacuation ou le transfert de nos malades en Afrique du Sud ou en Europe, est un déshonneur et une grande humiliation pour notre grand pays, qui regorge des médecins qualifiés et spécialisés dans toutes les disciplines de la médecine. Ils sont éparpillés à travers le monde. Quelques uns pour l’amour de la patrie sont revenus au pays après leurs études, mais ils ont été aussitôt contraints de retourner d’où ils venaient, déçus par les conditions matérielles du travail ainsi que celles de leurs propres subsistances. Excellence Monsieur le Premier Ministre ; Il n’est pas impossible de réunir à nouveau toutes les bonnes conditions que nous avions hier dans les hôpitaux de notre pays. Et cela ne demande pas nécessairement des moyens financiers extraordinaires. Même si c’est le cas, ces dépenses sont inhérentes à la notion de l’Etat et à la souveraineté nationale. Tout ce qui est budgétisé chaque année comme dépenses au nom de l’acquisition des intrants médicaux est amplement suffisant si on y mettait de l’ordre et s’il servait réellement à l’objet de l’affectation. Le DCMP a été vidé de ses attributions et rendu inopérant, pour finir par être liquidé. Mais il y a lieu de saluer et d’encourager la politique actuelle du gouvernement en matière d’approvisionnement, qui consiste à mettre en place, en remplacement du DCMP, le Système National d’Approvisionnement en Médicaments Essentiels, «SNAME» en sigle. L’acquisition des médicaments et de tous les autres intrants, médicaux devrait en effet être centralisée et confiée à une structure unique, son statut juridique peut être convenu ensemble avec l’Etat et les autres nombreux partenaires extérieurs, qui acceptent d’offrir leurs contributions ; et la distribution devrait être décentralisé et repartie de manière équitable sur l’ensemble du territoire national. Le gouvernement ne devrait donc pas lui-même se substituer à cette structure d’approvisionnement, et compter sur les Députés et Sénateurs pour distribuer ou acheminer ces médicaments dans des différentes zones de Santé bénéficiaires. Un Député ne saura jamais acheminer par ses propres moyens comme cela se fait, tous les médicaments et autres intrants destinés à sa zone de santé. Cette voie de distribution à travers les parlementaires est plutôt à décourager. Elle est incertaine et aléatoire, et ne devrait pas s’ériger en système. Il faut des structures de distribution de SNAME lui-même, des structures officielles, contrôlables et respectueuses des normes. J’en arrive ainsi à aborder mon dernier point avant de terminer par mes questions. Il s’agit de l’impact social de l’initiative PPTE. Au cours de votre allocution, s’agissant des réalisations dans le domaine de la Santé, vous avez fait, Excellence Monsieur le Premier Ministre, allusion quand au domaine de la Santé, à la construction d’un Centre d’ophtalmologie à Masina et d’un centre de santé à Mumbunda. Vous avez cité aussi autre action du Gouvernement, la réhabilitation des laboratoires à Kananga, à Mbandaka et à Kisangani. Je me demandais ce que cela peut bien représenter au regard de toutes les dépenses budgétisées et exécutées chaque année pour le renouvellement des structures sanitaires et leur approvisionnement en intrant nécessaires, et pour le renouvellement des édifices. Comment expliquer par exemple que l’Hôpital général MAMA YEMO, le plus grand et le plus important hôpital de référence de Kinshasa et du pays, manque jusqu’à ce jour un scanner, et ne dispose d’aucun matériel de dialyse ? Comment expliquer que les Cliniques Universitaires de Kinshasa appelées Significativement «Cour Suprême des Soins Médicaux» soit maintenant en instance de fermer son service d’imagerie médicale à cause de la vétusté de ses appareils, qui sont de génération très dépassée et qui n’ont jamais connu de renouvellement. Comment expliquer que les médecins, acteurs principaux pour la réussite du chantier santé, soient pour la énième fois allés en grève, faute pour le Gouvernement de n’avoir jamais en définitive fait droit à leurs modestes revendications. Faut-il que je parle aussi du domaine de l’enseignement ? Où nous voyons aux écoles à travers le pays et même en pleine ville de Kinshasa la capitale, les élèves apprendre à lire et à écrire assis à même le sol, comme des petits animaux. Et où nous voyons même dans nos universités, les conditions dans lesquelles les étudiants, entassés dans des salles de cours, suivent les cours debout, faute des blancs. Notre pays exporte pourtant le bois. Ce constant désolant m’inspire ma Première Question que voici : Excellence Monsieur le Premier Ministre. Veuillez s’il vous plaît, avoir l’obligeance d’expliquer à la représentation nationale en des termes simples et clairs, ce que c’est l’initiative PPTE, et lui dire en quoi consistent ses objectifs. Je souhaiterais Excellence, trouver aussi dans votre réponse les éléments des trois sous questions ci-après : Première sous question : Depuis que ce programme a commencé, quel est en terme chiffré, le montant global des fonds qui en a résulté jusqu’à ce jour ? Deuxième sous question : Ces fonds ont-ils été réellement utilisés en faveur de la croissance PRO-PAUVRE ? Essentiellement dans le domaine du social, dont la Santé et l’Education. Troisième sous question : Si oui, quelles sont, ou même quelle est la réalisation la plus visible dont vous seriez fier de présenter à cette Assemblée, obtenues par les ressources PPTE. Deuxième question Excellence Monsieur le Premier Ministre, Notre pays compte, dans tout son ensemble 395 hôpitaux de références et 515 zones de santé, qui sont appelés à jouer tous un même rôle social et éprouvent tous les mêmes besoins pour leur fonctionnement. Ils devraient par conséquent bénéficier tous, d’un traitement égalitaire de la part du Gouvernement en matière d’assistance en moyens. Mais il se trouve annexé au présent projet du budget, les noms de quelques hôpitaux seulement, et de quelques zones de santé, soit 121 hôpitaux sur les 395 et 111 zones de santé sur les 515, qui devront bénéficier d’un crédit de fonctionnement. Et même le plus grand territoire de l’Equateur, le territoire de Bumba, se trouve aussi écarté de la liste, avec son grand hôpital de 350 lits et ses 4 zones de santé. La question est de savoir, Excellence, quels sont les critères qui ont prévalus à cette injuste et révoltante sélection ? TROISIEME QUESTION Cette 3ème question est composée de quelques 6 sous questions, dont les réponses pourront aussi trouver leur apprivoisement lors de l’enquête parlementaire déjà programmé par l’Assemblée Nationale, à la suite de ma motion sur la problématique de l’évacuation et de transfert de nos malades pour leurs soins médicaux à l’étranger. En voici leurs formulations. Quelles sont les pathologies les plus fréquentes pour lesquelles nos malades sont transférés à l’étranger, et pour quelles insuffisances de nos hôpitaux, la prise en charge de ces malades nécessite-t-elle un transfert ? Insuffisance du matériel approprié ou du personnel médical qualifié en ces maladies ? Combien le Trésor Public et les Entreprises de l’Etat déboursent-ils chaque année, pour les soins médicaux à l’étranger ? Quels sont les critères de sélection des malades bénéficiaires de ces transferts, et comment cette sélection est-elle étendue sur l’ensemble du territoire national ? Pourquoi la Commission d’Experts médicaux, chargée de sélectionner les malades à transférer dépend-elle du Ministère du Budget au lieu de dépendre du Ministre de la Santé Publique. Quel est le sens de la convention ou de la collaboration qui a existé ou qui existe encore entre le Gouvernement et FPA (une structure privée dite d’assistance des malades à l’Etranger). Dans votre allocution de samedi dernier, complétée par le rapport d’exécution du Budget de l’Etat à fin juin 2009, il est renseigné, pour la Santé Publique, des très fortes dépenses engagés et exécutées pour l’acquisition d’équipement médicochirurgicaux et des beaucoup d’autres matériels et appareils médicaux. Je voulais savoir, Excellence, de quels équipements et appareils médicaux s’agit-il essentiellement, et quels sont les hôpitaux de Kinshasa qui en ont déjà reçus ? Au cas où ils ne seraient pas encore distribués aux hôpitaux, votre Excellence peut-il nous dire où sont-ils stockés ? La recommandation que je me permets de faire au Gouvernement, c’est celle d’envisager la construction à Kinshasa, d’une clinique d’urgence de référence, véritablement moderne, d’une cinquantaine des lits, n’ayant absolument rien à envier même à la clinique la plus moderne qui puisse exister en Afrique, en matière du matériels et équipements. Notre pays en a les moyens. La clinique s’appellerait « CLINIQUE D’ETAT », parce qu’elle sera destinée essentiellement à des officiels et autres hauts cadres de l’Etat qui sont habituellement pris en charge par l’Etat pour les soins médicaux à l’Etranger. Je dis essentiellement et non exclusivement. Elle aura en outre la particularité d’être ouverte aux prestations des médecins tant nationaux qu’étrangers, de manière qu’un malade au lieu de devoir se déplacer ou d’être évacué à l’Etranger, ait la latitude de faire venir même de l’Etranger, le médecin de son choix ou du choix de la clinique. Et que ce médecin appelé puisse trouver sur place non seulement tout ce dont il pourra avoir besoin comme matériel du travail, mais qu’il ait aussi la latitude de se faire accompagner, s’il le souhaite de ses propres assistants, s’agissant des interventions chirurgicales. Cette clinique redonnera non seulement à nos officiels, mais aussi à toutes autres personnes, la chance et l’opportunité de se faire soigner en toute confiance, sans regret ni inquiétude ou remord, dans son propre pays tout en bénéficiant de l’affection consolatrice des personnes qui lui sont chères, membres de famille et amis. Et au pire des cas, il aura la chance de mourir dans son propre pays, évitant aux siens une longue et angoissante période d’attente de la dépouille mortelle, ainsi que tous les autres ennuis liés au rapatriement du corps. Honorable Président de l’Assemblée Nationale, Distingués Membres du Bureau, Excellence Monsieur le Premier Ministre, Excellences Messieurs les Vice-premiers Ministres, Excellences Messieurs les Ministres et vice-Ministres, Honorable Députés et chers Collègues, J’en ai ainsi terminé en déclarant le projet recevable, moyennant la prise en compte des observations utiles exprimées par les différents intervenants, sans oublier le territoire de Bumba et je vous remercie de l’aimable attention que vous avez daigné m’accorder. Dr Jacques Mokako
mongo elombe
Re: COMMENT VA LE CONGO? QUE FAIT OU NE FAIT PAS LA SUPERSTRUCTURE, L'ETAT ???
Lue sur le site la prospérité finalement on vend tout ce qui appartient à la RDC mawa.
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Une question orale avec débat est adressée au Ministre des Finances de l’Exécutif Central de la République Démocratique du Congo. Le doute plane dans l’esprit de l’Honorable Emery Okundji Ndjovu sur la gestion des retombées de la vente d’une partie du patrimoine immobilier de l’Institut d’émission. Le Député National veut avoir des éclaircissements sur les immeubles de la Banque Centrale du Congo (BCC) acquits d’une manière on ne peut plus claire par certains agents et hauts cadres de cette institution monétaire. Datée du 17 septembre 2009, la question orale avec débat que l’Honorable Emery Okundji a adressée au Ministre des Finances de l’Exécutif Central se fonde sur les irrégularités constatées dans l’opération de vente des immeubles de la Banque Centrale du Congo. En effet, usant de ses prérogatives que lui confèrent la Constitution et le Règlement Intérieur de l’Assemblée Nationale, le Député National a pris à témoin le Ministre des Finances sur la sollicitation de la haute direction de la Banque Centrale du Congo de procéder à la vente d’une partie du patrimoine immobilier de cet Institut d’émission. Emery Okundji confirme que la haute direction de la BCC a obtenu de son Ministère de tutelle l’autorisation requise pour cette opération. L’Honorable Emery Okundji indique que cette demande a été motivée par le souci qui anime l’autorité de cet Institut d’émission, d’améliorer sa trésorerie grâce au fruit de la vente de ces immeubles qui n’avaient plus, selon elle, de rapport avec son objet social. «Nonobstant le caractère régulier de ladite opération, il est nécessaire de vous faire savoir, Monsieur le Ministre, que quelques cas douteux ont été signalés à l’issue de celle-ci », déclare l’Honorable Emery Okundji. Cependant, s’appuyant sur les informations en sa possession, le Député National souligne : ‘‘Il s’avère, selon des informations en ma possession, que certains hauts Cadres de la Banque Centrale du Congo (BCC) ainsi que quelques dignitaires du pays ont acquis des immeubles ayant appartenus à la Banque Centrale du Congo, cela à des conditions qui demeurent encore louche. Il est sidéré, dans cette opération, de constater que l’immeuble situé sur l’avenue ex. 3Z au numéro 4793 dans la commune de la Gombe et qui abritait la Direction de la formation du personnel est l’un des cas d’irrégularités de cette opération’’. L’Elu de Lodja, dans le Sankuru, au Kasaï Oriental estime, en outre que la BCC s’est permise de liquider certains immeubles qui font l’objet de saisie judiciaire. Il en appelle donc, au Ministre des Finances, de fournir des amples explications devant l’Auguste Assemblée de ce qu’il qualifie des irrégularités qui ont entaché l’opération de vente des immeubles de l’Institut d’émission de la République Démocratique du Congo. Tolérance zéro oblige, le Ministre des Finances devra se présenter à l’Assemblée nationale pour débattre avec les Députés nationaux sur cette question orale.
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Une question orale avec débat est adressée au Ministre des Finances de l’Exécutif Central de la République Démocratique du Congo. Le doute plane dans l’esprit de l’Honorable Emery Okundji Ndjovu sur la gestion des retombées de la vente d’une partie du patrimoine immobilier de l’Institut d’émission. Le Député National veut avoir des éclaircissements sur les immeubles de la Banque Centrale du Congo (BCC) acquits d’une manière on ne peut plus claire par certains agents et hauts cadres de cette institution monétaire. Datée du 17 septembre 2009, la question orale avec débat que l’Honorable Emery Okundji a adressée au Ministre des Finances de l’Exécutif Central se fonde sur les irrégularités constatées dans l’opération de vente des immeubles de la Banque Centrale du Congo. En effet, usant de ses prérogatives que lui confèrent la Constitution et le Règlement Intérieur de l’Assemblée Nationale, le Député National a pris à témoin le Ministre des Finances sur la sollicitation de la haute direction de la Banque Centrale du Congo de procéder à la vente d’une partie du patrimoine immobilier de cet Institut d’émission. Emery Okundji confirme que la haute direction de la BCC a obtenu de son Ministère de tutelle l’autorisation requise pour cette opération. L’Honorable Emery Okundji indique que cette demande a été motivée par le souci qui anime l’autorité de cet Institut d’émission, d’améliorer sa trésorerie grâce au fruit de la vente de ces immeubles qui n’avaient plus, selon elle, de rapport avec son objet social. «Nonobstant le caractère régulier de ladite opération, il est nécessaire de vous faire savoir, Monsieur le Ministre, que quelques cas douteux ont été signalés à l’issue de celle-ci », déclare l’Honorable Emery Okundji. Cependant, s’appuyant sur les informations en sa possession, le Député National souligne : ‘‘Il s’avère, selon des informations en ma possession, que certains hauts Cadres de la Banque Centrale du Congo (BCC) ainsi que quelques dignitaires du pays ont acquis des immeubles ayant appartenus à la Banque Centrale du Congo, cela à des conditions qui demeurent encore louche. Il est sidéré, dans cette opération, de constater que l’immeuble situé sur l’avenue ex. 3Z au numéro 4793 dans la commune de la Gombe et qui abritait la Direction de la formation du personnel est l’un des cas d’irrégularités de cette opération’’. L’Elu de Lodja, dans le Sankuru, au Kasaï Oriental estime, en outre que la BCC s’est permise de liquider certains immeubles qui font l’objet de saisie judiciaire. Il en appelle donc, au Ministre des Finances, de fournir des amples explications devant l’Auguste Assemblée de ce qu’il qualifie des irrégularités qui ont entaché l’opération de vente des immeubles de l’Institut d’émission de la République Démocratique du Congo. Tolérance zéro oblige, le Ministre des Finances devra se présenter à l’Assemblée nationale pour débattre avec les Députés nationaux sur cette question orale.
mongo elombe
Re: COMMENT VA LE CONGO? QUE FAIT OU NE FAIT PAS LA SUPERSTRUCTURE, L'ETAT ???
"L’Etat dépendant du Congo !"
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5059
"Réforme de la police congolaise, le gouvernement appelle
à la mobilisation des fonds supplémentaires "
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25237&da=&hi=0&of=1&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25232&da=&hi=0&of=6&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25195&da=&hi=0&of=35&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
"Le Congo-Kinshasa le plus affamé, pas le plus sec
° http://www.lalibre.be/actu/international/article/537915/le-congo-kinshasa-le-plus-affame-pas-le-plus-sec.html
Désorganisation. A l’occasion de la Journée mondiale de l’alimentation, le 16 octobre, l’IFPRI (International Food Policy Research Institute) a rendu public son index de
la faim dans le monde, qui classe les pays selon la prévalence de la malnutrition infantile, le taux de mortalité infantile et la proportion d’habitants qui n’absorbent pas
assez de calories.
On s’aperçoit ainsi que les pays les plus atteints ne sont pas nécessairement ceux qui sont frappés par les pires calamités climatiques.
Cet index révèle que 29 pays au monde ont des niveaux de famine alarmants, dont six très alarmants. Le pire score est détenu par le Congo-Kinshasa, suivi de l’Erythrée,
du Tchad, de la Sierra Leone, du Burundi et de l’Ethiopie. Sur ces 29 pays, 13 sont plus affamés aujourd’hui qu’en 1990, dont 9 en Afrique sub-saharienne. Le record est
encore détenu par le Congo-Kinshasa, où le niveau de famine s’est accru de 53%, annonce avec consternation l’IFPRI. On sait que ce pays et la Sierra Leone ne sont pas
en butte à des ravages climatiques mais à une forte désorganisation."
"Affaire Emile Ngoy Kasongo:
Quand le PGR Kabange Numbi (re) politise la Justice
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5056
Le procureur général de la République Flory Kabange Numbi a décidé, sans succès, le maintien en détention de l’Adg
de l’Ogefrem et de son administrateur directeur technique bénéficiaires d’une ordonnance de mise en liberté provisoire
rendue mardi 20 octobre par le tribunal de grande instance de Kinshasa-Gombe. Le tout nouveau PGR a «innové» en
embastillant les juges ayant émis cette décision. Ceux-ci se trouvent, depuis mercredi, à la prison de Makala. Un cas
sans précédent qui illustre la tournure folklorique que prend l’opération "Tolérance zéro"..."
Compatriotiquement!
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5059
"Réforme de la police congolaise, le gouvernement appelle
à la mobilisation des fonds supplémentaires "
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25237&da=&hi=0&of=1&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25232&da=&hi=0&of=6&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25195&da=&hi=0&of=35&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
"Le Congo-Kinshasa le plus affamé, pas le plus sec
° http://www.lalibre.be/actu/international/article/537915/le-congo-kinshasa-le-plus-affame-pas-le-plus-sec.html
Désorganisation. A l’occasion de la Journée mondiale de l’alimentation, le 16 octobre, l’IFPRI (International Food Policy Research Institute) a rendu public son index de
la faim dans le monde, qui classe les pays selon la prévalence de la malnutrition infantile, le taux de mortalité infantile et la proportion d’habitants qui n’absorbent pas
assez de calories.
On s’aperçoit ainsi que les pays les plus atteints ne sont pas nécessairement ceux qui sont frappés par les pires calamités climatiques.
Cet index révèle que 29 pays au monde ont des niveaux de famine alarmants, dont six très alarmants. Le pire score est détenu par le Congo-Kinshasa, suivi de l’Erythrée,
du Tchad, de la Sierra Leone, du Burundi et de l’Ethiopie. Sur ces 29 pays, 13 sont plus affamés aujourd’hui qu’en 1990, dont 9 en Afrique sub-saharienne. Le record est
encore détenu par le Congo-Kinshasa, où le niveau de famine s’est accru de 53%, annonce avec consternation l’IFPRI. On sait que ce pays et la Sierra Leone ne sont pas
en butte à des ravages climatiques mais à une forte désorganisation."
"Affaire Emile Ngoy Kasongo:
Quand le PGR Kabange Numbi (re) politise la Justice
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5056
Le procureur général de la République Flory Kabange Numbi a décidé, sans succès, le maintien en détention de l’Adg
de l’Ogefrem et de son administrateur directeur technique bénéficiaires d’une ordonnance de mise en liberté provisoire
rendue mardi 20 octobre par le tribunal de grande instance de Kinshasa-Gombe. Le tout nouveau PGR a «innové» en
embastillant les juges ayant émis cette décision. Ceux-ci se trouvent, depuis mercredi, à la prison de Makala. Un cas
sans précédent qui illustre la tournure folklorique que prend l’opération "Tolérance zéro"..."
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: COMMENT VA LE CONGO? QUE FAIT OU NE FAIT PAS LA SUPERSTRUCTURE, L'ETAT ???
"L’ONU et l’UE menacent …
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=88148&id_edition=4821
Entre la paix et le respect des droits de l’homme, « le cœur » de l’ONU et de l’Union européenne, pour ne pas dire la Communauté internationale, balance.
Que faut-il réellement privilégier en premier lieu ? Les approches divergent entre Kinshasa d’un côté, New York et Bruxelles, de l’autre. La position exprimée
par le gouvernement de Kinshasa d’accorder priorité à la paix, ensuite brandir la sanction, cas Bosco Ntaganda, le rapport sur les droits de l’homme du Rapporteur
spécial de l’ONU sur les exécutions extra-judiciaires commises tant par les groupes armés étrangers ( FDLR, LRA) que par les FARDC, et la recommandation de
la Commission européenne enjoignant le gouvernement de Kinshasa à « punir sans exception les auteurs des exactions » démontrent à suffisance le fossé qui
sépare les différentes parties. Une situation qui risque de porter un coup dur au processus de paix, de sécurité et de développement en République démocratique
du Congo.
Le Congo-Kinshasa n’est pas encore sorti de l’auberge. Bien au contraire, l’on a l’impression de repartir vers une « nouvelle aventure » susceptible de porter
un coup dur aux efforts de paix, de sécurité et de développement de la RDC. Comme si l’on tient absolument à « affaiblir » le Congo avant de porter l’estocade.
Sinon, comment expliquer tous ces événements au moment où le Congo a besoin du soutien de tous les partenaires pour asseoir une paix réelle, soubassement
de tout développement durable..."
"Grands Lacs
Obasanjo et Santos examinent la situation politique en RDC"
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=88103&id_edition=4821
° http://www.portalangop.co.ao/motix/fr_fr/noticias/politica/2009/9/44/President-dos-Santos-recoit-rapport-positif-sur-RDCongo,a76192ef-b40c-4a47-bd42-5e7925a9b975.html
Bruxelles : Hewa Bora Airways indésirable!
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5071
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5073
Compatriotiquement!
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=88148&id_edition=4821
Entre la paix et le respect des droits de l’homme, « le cœur » de l’ONU et de l’Union européenne, pour ne pas dire la Communauté internationale, balance.
Que faut-il réellement privilégier en premier lieu ? Les approches divergent entre Kinshasa d’un côté, New York et Bruxelles, de l’autre. La position exprimée
par le gouvernement de Kinshasa d’accorder priorité à la paix, ensuite brandir la sanction, cas Bosco Ntaganda, le rapport sur les droits de l’homme du Rapporteur
spécial de l’ONU sur les exécutions extra-judiciaires commises tant par les groupes armés étrangers ( FDLR, LRA) que par les FARDC, et la recommandation de
la Commission européenne enjoignant le gouvernement de Kinshasa à « punir sans exception les auteurs des exactions » démontrent à suffisance le fossé qui
sépare les différentes parties. Une situation qui risque de porter un coup dur au processus de paix, de sécurité et de développement en République démocratique
du Congo.
Le Congo-Kinshasa n’est pas encore sorti de l’auberge. Bien au contraire, l’on a l’impression de repartir vers une « nouvelle aventure » susceptible de porter
un coup dur aux efforts de paix, de sécurité et de développement de la RDC. Comme si l’on tient absolument à « affaiblir » le Congo avant de porter l’estocade.
Sinon, comment expliquer tous ces événements au moment où le Congo a besoin du soutien de tous les partenaires pour asseoir une paix réelle, soubassement
de tout développement durable..."
"Grands Lacs
Obasanjo et Santos examinent la situation politique en RDC"
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=88103&id_edition=4821
° http://www.portalangop.co.ao/motix/fr_fr/noticias/politica/2009/9/44/President-dos-Santos-recoit-rapport-positif-sur-RDCongo,a76192ef-b40c-4a47-bd42-5e7925a9b975.html
Bruxelles : Hewa Bora Airways indésirable!
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5071
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5073
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: COMMENT VA LE CONGO? QUE FAIT OU NE FAIT PAS LA SUPERSTRUCTURE, L'ETAT ???
"Kabila : objectif 2011
Le président Joseph Kabila Kabange
° http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAJA2546p092-093.xml0/-president-Joseph-Kabila-Jean-Pierre-Bemba-MLC-Kabila---objectif-2011.html
À mi-parcours de son mandat et malgré les critiques, le chef de l’État reste le seul maître à bord. Il semble parti pour faire la course en tête lors de
la prochaine élection présidentielle..."
"Glissement
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=88152&id_edition=4821
La capitale de la RDC est menacée. En tout et partout. De l’intérieur et de l’extérieur. Les cris de détresse fusent de tous les coins de Kinshasa. Ils sont lancés
par les Kinois en général mais surtout par les habitants des quartiers périphériques. Cette menace se résume en une insécurité de tous les ordres : physique,
alimentaire, humanitaire, culturelle, mentale, environnementale etc. Du fait de qui ? Sujet de méditation..."
"L’ASADHO réclame des poursuites judiciaires contre le Colonel Kanyama
«pour arrestationarbitraire et actes de torture» "
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5074
"Ils sont devenus fous
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5060
Vendredi 23 octobre, l’administrateur délégué général Emile Ngoy et l’administrateur directeur technique Roger Andende firent une entrée tonitruante sur les lieux
de leurs crimes, à savoir l’OGEFREM. Ne dit-on pas que l’assassin rentre toujours sur les lieux du crime ? Bref, passons. Ils furent remplacés illico presto dans la cellule
de la prison encore chaude de leur présence, par deux juges. Ceux-ci venaient de leur accorder la liberté provisoire à coup de billets verts. Ce n’est pas pour rien
qu’il est écrit sur le dollar : «In God we trust». Tolérance Zéro ! Bref, passons..."
"Affaire Emile Ngoy :
Les juges Masudi et Yani libérés "
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5072
"Alexis Thambwe-Mwamba en route
pour Londres en vue de baliser la visite de Kabila en Novembre"
° http://www.aparecordc.org/forum//galerie//documents/12567951411362.pdf
"« Terre fertile », un livre blanc du gouvernement sur la sécurité
et la répression des abus
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=88222&id_edition=4822
Dans le but de « tailler en pièces le lynchage médiatique » dont la RDC est victime de part de puissants groupes d’intérêt dont le rêve est de balkaniser notre pays,
le gouvernement vient de publier «Terre fertile », un livre blanc sur la sécurité et la répression des abus des Droits de l’homme en RDC.
A cette occasion, le ministre de la Communication et des Média, Lambert Mende Omalanga, a tenu hier jeudi 29 octobre un point de presse pour présenter cet ouvrage
qui « propose de restituer et recontextualiser les faits » que des esprits malins travestissent et dramatisent en entretenant la confusion entre les causes de la guerre et
ses effets..."
Compatriotiquement!
Le président Joseph Kabila Kabange
° http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAJA2546p092-093.xml0/-president-Joseph-Kabila-Jean-Pierre-Bemba-MLC-Kabila---objectif-2011.html
À mi-parcours de son mandat et malgré les critiques, le chef de l’État reste le seul maître à bord. Il semble parti pour faire la course en tête lors de
la prochaine élection présidentielle..."
"Glissement
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=88152&id_edition=4821
La capitale de la RDC est menacée. En tout et partout. De l’intérieur et de l’extérieur. Les cris de détresse fusent de tous les coins de Kinshasa. Ils sont lancés
par les Kinois en général mais surtout par les habitants des quartiers périphériques. Cette menace se résume en une insécurité de tous les ordres : physique,
alimentaire, humanitaire, culturelle, mentale, environnementale etc. Du fait de qui ? Sujet de méditation..."
"L’ASADHO réclame des poursuites judiciaires contre le Colonel Kanyama
«pour arrestationarbitraire et actes de torture» "
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5074
"Ils sont devenus fous
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5060
Vendredi 23 octobre, l’administrateur délégué général Emile Ngoy et l’administrateur directeur technique Roger Andende firent une entrée tonitruante sur les lieux
de leurs crimes, à savoir l’OGEFREM. Ne dit-on pas que l’assassin rentre toujours sur les lieux du crime ? Bref, passons. Ils furent remplacés illico presto dans la cellule
de la prison encore chaude de leur présence, par deux juges. Ceux-ci venaient de leur accorder la liberté provisoire à coup de billets verts. Ce n’est pas pour rien
qu’il est écrit sur le dollar : «In God we trust». Tolérance Zéro ! Bref, passons..."
"Affaire Emile Ngoy :
Les juges Masudi et Yani libérés "
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5072
"Alexis Thambwe-Mwamba en route
pour Londres en vue de baliser la visite de Kabila en Novembre"
° http://www.aparecordc.org/forum//galerie//documents/12567951411362.pdf
"« Terre fertile », un livre blanc du gouvernement sur la sécurité
et la répression des abus
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=88222&id_edition=4822
Dans le but de « tailler en pièces le lynchage médiatique » dont la RDC est victime de part de puissants groupes d’intérêt dont le rêve est de balkaniser notre pays,
le gouvernement vient de publier «Terre fertile », un livre blanc sur la sécurité et la répression des abus des Droits de l’homme en RDC.
A cette occasion, le ministre de la Communication et des Média, Lambert Mende Omalanga, a tenu hier jeudi 29 octobre un point de presse pour présenter cet ouvrage
qui « propose de restituer et recontextualiser les faits » que des esprits malins travestissent et dramatisent en entretenant la confusion entre les causes de la guerre et
ses effets..."
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: COMMENT VA LE CONGO? QUE FAIT OU NE FAIT PAS LA SUPERSTRUCTURE, L'ETAT ???
"Regards croisés sur le présent et le devenir du Congo
° http://blogs.lesoir.be/colette-braeckman/2009/11/03/regards-croises-le-banquier-lhistorien-et-les-experts/
À quelques mois du 50eme anniversaire de l’indépendance du Congo, Belges et Congolais regardent dans le rétroviseur, mesurent le chemin parcouru,
en particulier au cours des dix dernières années. Voici la présentation d’une série de livres récents sur le Congo.
Sans surprise, les avis divergent bien souvent : alors que les Congolais prennent la mesure exacte du gouffre dans lequel leur pays était tombé, les experts belges,
trop souvent, demeurent fascinés par la moitié vide de la bouteille et même si elles sont fondées, leurs critiques ne tiennent pas toujours compte du nombre d’obstacles
déjà franchis. Ces appréciations sont de plus en plus mal vécues par les dirigeants congolais et face à la montée des critiques le ministre de l’Information et porte-parole
du gouvernement Lambert Mende a publié un Livre blanc « Congo, terre fertile »..."
"Comptabilité macabre"
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5092
"Motion de défiance contre Muzito
Les députés introduisent une requête en interpellation à la CSJ
° http://www.lepotentiel.com//afficher_article.php?id_article=88508&id_edition=4828
La Cour suprême de justice (CSJ) a été saisie, le mercredi 4 novembre, d’une requête en interprétation de la Constitution de la part des 58 députés nationaux en rapport
avec la motion de défiance contre le Premier ministre, Adolphe Muzito..."
° http://www.lepotentiel.com//afficher_article.php?id_article=88542&id_edition=4828
"A haute voix
1996-2009 : Les guerres à l’Est ont produit une nouvelle classe de riches "
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5085
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5088
Compatriotiquement!
° http://blogs.lesoir.be/colette-braeckman/2009/11/03/regards-croises-le-banquier-lhistorien-et-les-experts/
À quelques mois du 50eme anniversaire de l’indépendance du Congo, Belges et Congolais regardent dans le rétroviseur, mesurent le chemin parcouru,
en particulier au cours des dix dernières années. Voici la présentation d’une série de livres récents sur le Congo.
Sans surprise, les avis divergent bien souvent : alors que les Congolais prennent la mesure exacte du gouffre dans lequel leur pays était tombé, les experts belges,
trop souvent, demeurent fascinés par la moitié vide de la bouteille et même si elles sont fondées, leurs critiques ne tiennent pas toujours compte du nombre d’obstacles
déjà franchis. Ces appréciations sont de plus en plus mal vécues par les dirigeants congolais et face à la montée des critiques le ministre de l’Information et porte-parole
du gouvernement Lambert Mende a publié un Livre blanc « Congo, terre fertile »..."
"Comptabilité macabre"
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5092
"Motion de défiance contre Muzito
Les députés introduisent une requête en interpellation à la CSJ
° http://www.lepotentiel.com//afficher_article.php?id_article=88508&id_edition=4828
La Cour suprême de justice (CSJ) a été saisie, le mercredi 4 novembre, d’une requête en interprétation de la Constitution de la part des 58 députés nationaux en rapport
avec la motion de défiance contre le Premier ministre, Adolphe Muzito..."
° http://www.lepotentiel.com//afficher_article.php?id_article=88542&id_edition=4828
"A haute voix
1996-2009 : Les guerres à l’Est ont produit une nouvelle classe de riches "
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5085
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5088
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: COMMENT VA LE CONGO? QUE FAIT OU NE FAIT PAS LA SUPERSTRUCTURE, L'ETAT ???
Des taxes à tout va dont personnes ne sait à quoi elles servent pendant ce temps là les salaires impayés, la paix qu'on attends toujours mais on taxes à tout va.
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Le Directeur général ad intérim de la DGRK précise que les propriétaires des véhicules ont jusqu’à samedi pour régulariser leur situation dans la capitale. Il renchérit : « Le contrôle à proprement parler commence dès lundi prochain. La vignette est passée de 30 à environ 70 dollars américains Par ailleurs, sa vente se fait tout au long de la semaine en cours avec une pénalité de 25 % ». Cette mesure sera être durcie dès lundi prochain. Selon M. Kakwata, joint par radiookapi.net, la pénalité sera doublée la semaine prochaine, passant de 25% à 50%.
Dans les différents points de vente de la taxe à travers la ville, l’opération n’a pas eu lieu toute la matinée de ce lundi. Les agents commis à la vente de la vignette ont affirmé attendre l’autorisation de la hiérarchie pour prendre de nouvelles dispositions. Les transports en commun ont fonctionné normalement ce lundi. Cependant, dans certaines parties de la ville, des transporteurs ont garé pour un temps leurs véhicules, préférant voir l’évolution de la situation dans la journée. Ils avaient peur des contrôleurs de la vignette. Cette situation a été perceptible à Pascal notamment, selon certains témoignages.
En attendant le recouvrement forcé le lundi prochain, les propriétaires des véhicules bénéficient d’une rallonge. Quant à l’achat de la vignette, la DGRK exige des pénalités.
Le Directeur général ad intérim de la DGRK précise que les propriétaires des véhicules ont jusqu’à samedi pour régulariser leur situation dans la capitale. Il renchérit : « Le contrôle à proprement parler commence dès lundi prochain. La vignette est passée de 30 à environ 70 dollars américains Par ailleurs, sa vente se fait tout au long de la semaine en cours avec une pénalité de 25 % ». Cette mesure sera être durcie dès lundi prochain. Selon M. Kakwata, joint par radiookapi.net, la pénalité sera doublée la semaine prochaine, passant de 25% à 50%.
Dans les différents points de vente de la taxe à travers la ville, l’opération n’a pas eu lieu toute la matinée de ce lundi. Les agents commis à la vente de la vignette ont affirmé attendre l’autorisation de la hiérarchie pour prendre de nouvelles dispositions. Les transports en commun ont fonctionné normalement ce lundi. Cependant, dans certaines parties de la ville, des transporteurs ont garé pour un temps leurs véhicules, préférant voir l’évolution de la situation dans la journée. Ils avaient peur des contrôleurs de la vignette. Cette situation a été perceptible à Pascal notamment, selon certains témoignages.
En attendant le recouvrement forcé le lundi prochain, les propriétaires des véhicules bénéficient d’une rallonge. Quant à l’achat de la vignette, la DGRK exige des pénalités.
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Le Directeur général ad intérim de la DGRK précise que les propriétaires des véhicules ont jusqu’à samedi pour régulariser leur situation dans la capitale. Il renchérit : « Le contrôle à proprement parler commence dès lundi prochain. La vignette est passée de 30 à environ 70 dollars américains Par ailleurs, sa vente se fait tout au long de la semaine en cours avec une pénalité de 25 % ». Cette mesure sera être durcie dès lundi prochain. Selon M. Kakwata, joint par radiookapi.net, la pénalité sera doublée la semaine prochaine, passant de 25% à 50%.
Dans les différents points de vente de la taxe à travers la ville, l’opération n’a pas eu lieu toute la matinée de ce lundi. Les agents commis à la vente de la vignette ont affirmé attendre l’autorisation de la hiérarchie pour prendre de nouvelles dispositions. Les transports en commun ont fonctionné normalement ce lundi. Cependant, dans certaines parties de la ville, des transporteurs ont garé pour un temps leurs véhicules, préférant voir l’évolution de la situation dans la journée. Ils avaient peur des contrôleurs de la vignette. Cette situation a été perceptible à Pascal notamment, selon certains témoignages.
En attendant le recouvrement forcé le lundi prochain, les propriétaires des véhicules bénéficient d’une rallonge. Quant à l’achat de la vignette, la DGRK exige des pénalités.
Le Directeur général ad intérim de la DGRK précise que les propriétaires des véhicules ont jusqu’à samedi pour régulariser leur situation dans la capitale. Il renchérit : « Le contrôle à proprement parler commence dès lundi prochain. La vignette est passée de 30 à environ 70 dollars américains Par ailleurs, sa vente se fait tout au long de la semaine en cours avec une pénalité de 25 % ». Cette mesure sera être durcie dès lundi prochain. Selon M. Kakwata, joint par radiookapi.net, la pénalité sera doublée la semaine prochaine, passant de 25% à 50%.
Dans les différents points de vente de la taxe à travers la ville, l’opération n’a pas eu lieu toute la matinée de ce lundi. Les agents commis à la vente de la vignette ont affirmé attendre l’autorisation de la hiérarchie pour prendre de nouvelles dispositions. Les transports en commun ont fonctionné normalement ce lundi. Cependant, dans certaines parties de la ville, des transporteurs ont garé pour un temps leurs véhicules, préférant voir l’évolution de la situation dans la journée. Ils avaient peur des contrôleurs de la vignette. Cette situation a été perceptible à Pascal notamment, selon certains témoignages.
En attendant le recouvrement forcé le lundi prochain, les propriétaires des véhicules bénéficient d’une rallonge. Quant à l’achat de la vignette, la DGRK exige des pénalités.
mongo elombe
Re: COMMENT VA LE CONGO? QUE FAIT OU NE FAIT PAS LA SUPERSTRUCTURE, L'ETAT ???
"Banque centrale du Congo:
Le Franc congolais malade, Masangu prospère
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5101
Lors de son lancement fin juin 1998, le Franc congolais était un sujet de fierté pour le pays. Pour acquérir un dollar américain, la ménagère ne devait débourser
qu’un franc et quelques trente-deux centimes. En 2001, il fallait 165 Fc pour acheter un dollar. Huit années après, le même billet d’un dollar est échangé contre
plus ou moins 900 francs congolais. Une situation dramatique pour le pouvoir d’achat et révélatrice de l’insuffisance de réserve de change. Lors de la présentation
à l’Assemblée nationale du projet de budget pour l’exercice 2010, le Premier ministre Adolphe Muzito avait annoncé que les réserves de change "ont littéralement
plongé à partir de septembre 2008". Et qu ’en mars 2009, la RD Congo disposait des réserves de change ne représentant qu’un jour d’importations. Bien loin du
minimum de "trois mois". Le maintien de l’actuel gouverneur de la BCC Jean-Claude Masangu - en fonction depuis 1997 - est devenu plus que discutable au regard
des résultats. Selon des analystes, l’homme devrait partager la responsabilité de cette situation avec la plus haute autorité du pays. En cause, les émissions monétaires
sans contrepartie..."
"RD Congo :
Du rififi entre la RVA et l’Autorité de l’Aviation Civile"
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5100
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5106
Compatriotiquement!
Le Franc congolais malade, Masangu prospère
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5101
Lors de son lancement fin juin 1998, le Franc congolais était un sujet de fierté pour le pays. Pour acquérir un dollar américain, la ménagère ne devait débourser
qu’un franc et quelques trente-deux centimes. En 2001, il fallait 165 Fc pour acheter un dollar. Huit années après, le même billet d’un dollar est échangé contre
plus ou moins 900 francs congolais. Une situation dramatique pour le pouvoir d’achat et révélatrice de l’insuffisance de réserve de change. Lors de la présentation
à l’Assemblée nationale du projet de budget pour l’exercice 2010, le Premier ministre Adolphe Muzito avait annoncé que les réserves de change "ont littéralement
plongé à partir de septembre 2008". Et qu ’en mars 2009, la RD Congo disposait des réserves de change ne représentant qu’un jour d’importations. Bien loin du
minimum de "trois mois". Le maintien de l’actuel gouverneur de la BCC Jean-Claude Masangu - en fonction depuis 1997 - est devenu plus que discutable au regard
des résultats. Selon des analystes, l’homme devrait partager la responsabilité de cette situation avec la plus haute autorité du pays. En cause, les émissions monétaires
sans contrepartie..."
"RD Congo :
Du rififi entre la RVA et l’Autorité de l’Aviation Civile"
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5100
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5106
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: COMMENT VA LE CONGO? QUE FAIT OU NE FAIT PAS LA SUPERSTRUCTURE, L'ETAT ???
"RDC : la CENCO appelle
les fidèles catholiques corrompus à démissionner
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25432&da=&hi=0&of=11&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
Les politiciens catholiques impliqués dans la mauvaise gestion de la chose publique sont appelés à démissionner ou à se convertir afin de ne pas salir l’image de l’Eglise.
L’appel est du Synode des évêques pour l'Afrique, une rencontre qui a regroupé plusieurs évêques, pasteurs et laïcs de l’église catholique, en octobre dernier à Rome.
Cet appel a été réitéré mercredi à Kinshasa, au cours d’une conférence de presse de la Conférence nationale épiscopale du Congo, Cenco, rapporte radiookapi.net
Plusieurs fidèles catholiques exerçant des hautes fonctions n’ont malheureusement pas été performants, a déploré le secrétaire général de la Cenco, l’abbé Léonard Santedi.
D’après lui, le message des évêques synodaux constitue un appel à la conversion mais aussi au respect du peuple que le chrétien est appelé à servir. Le message des évêques
correspond bien au thème de la rencontre de Rome. Un synode qui a porté sur "l’Eglise en Afrique au service de la réconciliation, de la justice et de la paix". Cette question
est centrale pour les Etats africains, a expliqué l’abbé Santedi, car la paix et le développement sont des questions prioritaires pour une nation.
Certaines questions abordées au cours de ce synode intéressent particulièrement la RDC. C’est le cas notamment de la question de l’exploitation des ressources naturelles.
« On s’est rendu compte que ce sont les ressources naturelles qui deviennent la cause des conflits armés dans beaucoup de pays en Afrique. Les pères synodaux ont lancé
une appel pour qu’on arrive à des lois qui permettent aux multinationales d'exploiter les ressources naturelles dans nos pays dans le respect des droits de l’homme et de
la dignité humaine », a affirmé l’abbé Santedi.
Ce plaidoyer, lancé en direction des législateurs africains, vise à améliorer les conditions de vie des populations congolaises. D’après le secrétaire général de la Cenco,
Il faut pousser les multinationales à construire des écoles, des routes, et des hôpitaux pour les populations riveraines de leurs sites d’exploitation afin que ces dernières
bénéficient des retombées de ces productions. La plupart de ces multinationales sont cotées en bourse alors que les populations des zones exploitées croupissent dans
la misère, a regretté l’abbé Santedi."
"La lutte contre l’émergence d’un Etat digne de ce nom"
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5116
Compatriotiquement
les fidèles catholiques corrompus à démissionner
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25432&da=&hi=0&of=11&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
Les politiciens catholiques impliqués dans la mauvaise gestion de la chose publique sont appelés à démissionner ou à se convertir afin de ne pas salir l’image de l’Eglise.
L’appel est du Synode des évêques pour l'Afrique, une rencontre qui a regroupé plusieurs évêques, pasteurs et laïcs de l’église catholique, en octobre dernier à Rome.
Cet appel a été réitéré mercredi à Kinshasa, au cours d’une conférence de presse de la Conférence nationale épiscopale du Congo, Cenco, rapporte radiookapi.net
Plusieurs fidèles catholiques exerçant des hautes fonctions n’ont malheureusement pas été performants, a déploré le secrétaire général de la Cenco, l’abbé Léonard Santedi.
D’après lui, le message des évêques synodaux constitue un appel à la conversion mais aussi au respect du peuple que le chrétien est appelé à servir. Le message des évêques
correspond bien au thème de la rencontre de Rome. Un synode qui a porté sur "l’Eglise en Afrique au service de la réconciliation, de la justice et de la paix". Cette question
est centrale pour les Etats africains, a expliqué l’abbé Santedi, car la paix et le développement sont des questions prioritaires pour une nation.
Certaines questions abordées au cours de ce synode intéressent particulièrement la RDC. C’est le cas notamment de la question de l’exploitation des ressources naturelles.
« On s’est rendu compte que ce sont les ressources naturelles qui deviennent la cause des conflits armés dans beaucoup de pays en Afrique. Les pères synodaux ont lancé
une appel pour qu’on arrive à des lois qui permettent aux multinationales d'exploiter les ressources naturelles dans nos pays dans le respect des droits de l’homme et de
la dignité humaine », a affirmé l’abbé Santedi.
Ce plaidoyer, lancé en direction des législateurs africains, vise à améliorer les conditions de vie des populations congolaises. D’après le secrétaire général de la Cenco,
Il faut pousser les multinationales à construire des écoles, des routes, et des hôpitaux pour les populations riveraines de leurs sites d’exploitation afin que ces dernières
bénéficient des retombées de ces productions. La plupart de ces multinationales sont cotées en bourse alors que les populations des zones exploitées croupissent dans
la misère, a regretté l’abbé Santedi."
"La lutte contre l’émergence d’un Etat digne de ce nom"
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5116
Compatriotiquement
ndonzwau
Re: COMMENT VA LE CONGO? QUE FAIT OU NE FAIT PAS LA SUPERSTRUCTURE, L'ETAT ???
Vrai où faux??????lue sur abidjantalk
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Comme au Zaire(Congo-K)... Que fera la France des donnees collectees en Cote d'Ivoire. Au tour des ivoiriens de vendre leur securite a la France, gratuitement.
SAGEM et les services Secrets francais au Zaire
....
Notre source proche du Cabinet de Joseph Kabila nous a divulgué un « secret d'Eta! t » concernant la vraie raison de la récente visite du Ministre belge de l'Intérieur Monsieur Patrick Dewael à Kinshasa ; Ce Ministre belge est venu obtenir la signature de Joseph Kabila afin que la CEI puisse transmettre une copie des données biométriques et photos des 25 millions des Congolais à la Police Fédérale Belge. Le Ministre Patrick Dewael a fait de la lutte contre l'immigration clandestine congolaise vers la Belgique son cheval de bataille, pour séduire l'électorat du parti politique belge raciste et extrémiste Flamand Vlaams Belang(ex-Vlaams Block), dont l'un des membres est l'auteur du double meurtre à caractère raciste survenu le 11 mai 2006 à Anvers.
Toujours selon notre source, le tout prochain voyage annoncé du Ministre français de l'Intérieur Monsieur Nicolas Sarkozy aura comme but l'accès de la Police Nationale française à cette base des données biométriques et photos des 25 millions des Congolais ; Pour mémoire, Monsieur Nicolas Sarkozy fit ! une proposition en 2003 lors d'une réunion des Ministres de l'intérieur des pays membres de l'Union européenne pour renforcer le contrôle du flux migratoire des Africains vers l'Europe en incluant les données biométriques (empreintes digitales et iris des yeux) ainsi que les photos numérisées dans les visas délivrés par leurs ambassades en Afrique.
Il importe de rappeler aux Congolais que c'est une firme française SAGEM qui s'est occupée de la comparaison d'empreintes digitales à la recherche d'électeurs congolais qui se sont fait enrôler plusieurs fois ; Et, c'est bien la firme SAGEM qui gère depuis son siège à Paris la base des données biométriques des 25 millions des congolais pour le compte de la CEI. Nom de Dieu ! Une telle base des données ne peut jamais être gérée par un pays étranger d'autant plus que les informations à caractères privés doivent être sous surveillance par un comité national indépendant de protection de la vie privée ; C'est une aberration monumentale dans le chef de l'Abbé Malu Malu et de Joseph Kabila, signe d'amateurisme éhonté, d'incompétence et de légèreté dans la conduite des affaires de l'Etat congolais.
Connaissez-vous la firme SAGEM Défense Sécurité? Aux Congolais qui ne connaissent pas cette firme, vous pouvez lire le lien: http://www.sagem-ds.com/eng/site.php?spage=02030000
En bref, SAGEM Défense Sécurité est une branche du groupe SAFRAN l'un des grands groupes français spécialisés dans la fabrication des équipements militaires et autres systèmes de sécurité de hautes technologies. Etant donné le caractère sensible des activités liées à la défense et sécurité, cette firme est sous surveillance par la DST, le redoutable service des renseignements français, chapeauté par le Ministère français de l'Intérieur ; Autrement dit, Monsieur Nicolas Sarkozy n'a vraiment pas besoin de la signature de Joseph Kabila pour accéder à la base des données biométriques des 25 millions des Congolais. Ceci expliquerait peut-être le report de son voyage vers Kinshasa pourtant annoncé depuis fin février 2006.
Sachant que c'est l'Union européenne qui finance presque la totalité de la mascarade du processus électoral en RDCongo, devenant ainsi Le propriétaire du Congo selon Monsieur Louis Michel, processus électoral qui apparaît même aux yeux des aveugles comme un mécanisme de légitimation forcée du candidat OVNI Joseph Kabila à sa propre succession ; Et, étant données les accords de coopération en matière de lutte contre le terrorisme international, la base des données de l'Abbé Malu Malu constitue du pain béni pour toutes les Polices des pays Occidentaux, Asiatiques et Africains membres du CIAT. Bravo aux deux esclaves Joseph Kabila et Malu Malu, intronisés par la maffia internationale comme des Kapitas médaillés de l'esclavagisme et du néocolonialisme de la RDCongo!
Que reste t-il comme dignité aux pauvres congolais ? Cette situation est à d! énoncer avec la dernière énergie, parce que c'est une violation flagrante de la vie privée et des libertés individuelles. Le peuple congolais doit user de tout ce que la loi lui autorise pour mettre fin d'une manière ou d'une autre à la liquidation totale de sa souveraineté, de ses richesses et de sa vie privée par la bande maffieuse d'Hyppolite Kanambe alias Joseph Kabila et de l'Abbé Malu Malu exécutant les ordres de leur parrain Monsieur Louis Michel, le nouveau Roi Léopold II de sinistre mémoire. Vivre dans la honte ou mourir pour sa dignité, les Congolais doivent choisir.
A tous les honnêtes citoyens congolais qui sollicitent des visas pour les pays Occidentaux et à tous les candidats à l'immigration légale ou clandestine(Les fameux Ngulus de papa Wemba), si vous faites parti des 25 millions d'électeurs déjà enrôlés par l'Abbé Malu Malu, vous êtes tous fichés au même titre que des vulgaires terroristes par les Polices des pays membre du CIAT. (Ivoiriens enroles par SAGEM, avez-vous compris?)
Souriez, vous êtes filmés !
CA VA SE SAVOIR.
Avec mes sentiments patriotiques.
15 mai 2006
JB Labika.
Kinshasa/RDCongo.
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Comme au Zaire(Congo-K)... Que fera la France des donnees collectees en Cote d'Ivoire. Au tour des ivoiriens de vendre leur securite a la France, gratuitement.
SAGEM et les services Secrets francais au Zaire
....
Notre source proche du Cabinet de Joseph Kabila nous a divulgué un « secret d'Eta! t » concernant la vraie raison de la récente visite du Ministre belge de l'Intérieur Monsieur Patrick Dewael à Kinshasa ; Ce Ministre belge est venu obtenir la signature de Joseph Kabila afin que la CEI puisse transmettre une copie des données biométriques et photos des 25 millions des Congolais à la Police Fédérale Belge. Le Ministre Patrick Dewael a fait de la lutte contre l'immigration clandestine congolaise vers la Belgique son cheval de bataille, pour séduire l'électorat du parti politique belge raciste et extrémiste Flamand Vlaams Belang(ex-Vlaams Block), dont l'un des membres est l'auteur du double meurtre à caractère raciste survenu le 11 mai 2006 à Anvers.
Toujours selon notre source, le tout prochain voyage annoncé du Ministre français de l'Intérieur Monsieur Nicolas Sarkozy aura comme but l'accès de la Police Nationale française à cette base des données biométriques et photos des 25 millions des Congolais ; Pour mémoire, Monsieur Nicolas Sarkozy fit ! une proposition en 2003 lors d'une réunion des Ministres de l'intérieur des pays membres de l'Union européenne pour renforcer le contrôle du flux migratoire des Africains vers l'Europe en incluant les données biométriques (empreintes digitales et iris des yeux) ainsi que les photos numérisées dans les visas délivrés par leurs ambassades en Afrique.
Il importe de rappeler aux Congolais que c'est une firme française SAGEM qui s'est occupée de la comparaison d'empreintes digitales à la recherche d'électeurs congolais qui se sont fait enrôler plusieurs fois ; Et, c'est bien la firme SAGEM qui gère depuis son siège à Paris la base des données biométriques des 25 millions des congolais pour le compte de la CEI. Nom de Dieu ! Une telle base des données ne peut jamais être gérée par un pays étranger d'autant plus que les informations à caractères privés doivent être sous surveillance par un comité national indépendant de protection de la vie privée ; C'est une aberration monumentale dans le chef de l'Abbé Malu Malu et de Joseph Kabila, signe d'amateurisme éhonté, d'incompétence et de légèreté dans la conduite des affaires de l'Etat congolais.
Connaissez-vous la firme SAGEM Défense Sécurité? Aux Congolais qui ne connaissent pas cette firme, vous pouvez lire le lien: http://www.sagem-ds.com/eng/site.php?spage=02030000
En bref, SAGEM Défense Sécurité est une branche du groupe SAFRAN l'un des grands groupes français spécialisés dans la fabrication des équipements militaires et autres systèmes de sécurité de hautes technologies. Etant donné le caractère sensible des activités liées à la défense et sécurité, cette firme est sous surveillance par la DST, le redoutable service des renseignements français, chapeauté par le Ministère français de l'Intérieur ; Autrement dit, Monsieur Nicolas Sarkozy n'a vraiment pas besoin de la signature de Joseph Kabila pour accéder à la base des données biométriques des 25 millions des Congolais. Ceci expliquerait peut-être le report de son voyage vers Kinshasa pourtant annoncé depuis fin février 2006.
Sachant que c'est l'Union européenne qui finance presque la totalité de la mascarade du processus électoral en RDCongo, devenant ainsi Le propriétaire du Congo selon Monsieur Louis Michel, processus électoral qui apparaît même aux yeux des aveugles comme un mécanisme de légitimation forcée du candidat OVNI Joseph Kabila à sa propre succession ; Et, étant données les accords de coopération en matière de lutte contre le terrorisme international, la base des données de l'Abbé Malu Malu constitue du pain béni pour toutes les Polices des pays Occidentaux, Asiatiques et Africains membres du CIAT. Bravo aux deux esclaves Joseph Kabila et Malu Malu, intronisés par la maffia internationale comme des Kapitas médaillés de l'esclavagisme et du néocolonialisme de la RDCongo!
Que reste t-il comme dignité aux pauvres congolais ? Cette situation est à d! énoncer avec la dernière énergie, parce que c'est une violation flagrante de la vie privée et des libertés individuelles. Le peuple congolais doit user de tout ce que la loi lui autorise pour mettre fin d'une manière ou d'une autre à la liquidation totale de sa souveraineté, de ses richesses et de sa vie privée par la bande maffieuse d'Hyppolite Kanambe alias Joseph Kabila et de l'Abbé Malu Malu exécutant les ordres de leur parrain Monsieur Louis Michel, le nouveau Roi Léopold II de sinistre mémoire. Vivre dans la honte ou mourir pour sa dignité, les Congolais doivent choisir.
A tous les honnêtes citoyens congolais qui sollicitent des visas pour les pays Occidentaux et à tous les candidats à l'immigration légale ou clandestine(Les fameux Ngulus de papa Wemba), si vous faites parti des 25 millions d'électeurs déjà enrôlés par l'Abbé Malu Malu, vous êtes tous fichés au même titre que des vulgaires terroristes par les Polices des pays membre du CIAT. (Ivoiriens enroles par SAGEM, avez-vous compris?)
Souriez, vous êtes filmés !
CA VA SE SAVOIR.
Avec mes sentiments patriotiques.
15 mai 2006
JB Labika.
Kinshasa/RDCongo.
mongo elombe
Re: COMMENT VA LE CONGO? QUE FAIT OU NE FAIT PAS LA SUPERSTRUCTURE, L'ETAT ???
Base de Kamina : le commandant est mort
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5122
Le général de brigade Jean-Claude Tshibumbu, commandant de la Base militaire de Kamina, est décédé. Il a été découvert sans vie dans sa chambre. Sans aucune malice,
il convient de rappeler que son prédécesseur, le général Budja Mabe, est mort, fin mai dernier, d’une courte maladie.
....................................................................................................
Au moment où nous couchons ces lignes, aucune hypothèse n’a été émise sur la cause probable de la disparition de cet officier supérieur. Le mystère reste entier. Le général Tshibumbu
a été nommé à ce poste en remplacement du général Félix Budja Mabe décédé, fin mai dernier, suite à une courte maladie.
Natif de la ville minière de Kolwezi, Jean-Claude Tshibumbu a appris l’essentiel de l’art militaire dans les rangs des «Tigres». Il s’agit des ex-gendarmes katangais et leurs descendants
exilés en Angola en 1963 après le démantèlement de la sécession du Katanga. Les généraux Jean-Claude Tshibumbu et Faustin Munene sont au nombre des «commandants» qui ont
rejoint l’AFDL début 1997 après des années d’exil passées au pays de José Edouardo dos Santos.
Les analystes ne manqueront pas d’évoquer ce parcours au regard de l’état des relations entre la RD Congo et l’Angola. Le régime de Luanda a expulsé plusieurs milliers des Congolais.
Les autorités de Kinshasa ont «réciproqué» tardivement. Il reste que plusieurs milliers d’Angolais, résident dans la province du Bas-Congo, ont été reconduits à la frontière. Au grand dam
des dirigeants angolais. Le nouvel ambassadeur d’Angola à Kinshasa, Emilio José de Carvaho, n’a pas manqué de déplorer, mardi 10 novembre, «l’incompréhension» qui, selon lui,
caractérise les relations entre les deux pays voisins.
Mi-octobre, le général Faustin Munene, aurait été victime d’un «home attack» en pleine "Cité". Il réside dans la commune de Bandalungwa. L’attaque aurait été imputée à des «bérets verts»
non autrement identifiés. Le fait n’a jamais été confirmé ni infirmé par les officiels. Un silence pour le moins inquiétant. De là à conclure qu’il ne fait plus bon d’être étiqueté «pro-angolais»,
au Congo démocratique, il n’y a qu’un pas que certains n’hésitent plus à franchir.
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25455&da=&hi=0&of=2&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
"Les ex-milices Maï-Maï reprennent le combat contre
les Forces armée de RDC dans le Sud-Kivu"
° http://www.jeuneafrique.com/Article/DEPAFP20091113T121054Z/-RDCongo-rebellion-FDLR-FARDC-Les-ex-milices-Mai-Mai-reprennent-le-combat-contre-les-Forces-armee-de-RDC-dans-le-Sud-Kivu.html
"RDC: les violences armées avec d'ex-milices ressurgissent au Sud-Kivu
° http://www.izf.net/upload/AFP/francais/special/afrique/AFP.php?content=091114105126.ehjwo6hc.html
UVIRA (RDCongo) (AFP) - samedi 14 novembre 2009 - 11h51 - Après une brève période d'accalmie, les affrontements entre ex-milices tribales et l'armée congolaise ont ressurgi dans la province
du Sud-Kivu dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC), laissant craindre une recrudescence de l'insécurité.
En deux semaines, au moins quatre localités ont été le théâtre d'affrontements dans cette région de 60.000 km2, où les Forces armées de la RDC (FARDC) tentent depuis juillet de faire rapatrier
manu-militari les rebelles hutu des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), dont certains ont participé au génocide de 1994 au Rwanda.
Alliés naturels de Kinshasa pendant la guerre de 1997-1998 dans l'ex-Zaïre, d'anciens miliciens Maï-Maï ont attaqué entre fin octobre et début novembre des brigades FARDC, puis pillé des civils,
occasionnant des déplacements massifs de populations.
D'abord à Itombwe le 25 octobre, ensuite à Baraka le 2 novembre, le lendemain à Luberizi et enfin dans la nuit du 8 au 9 novembre à Mboko.
Des sources militaires congolaises et onusiennes dans le Sud-Kivu attribuent ces attaques à d'anciens chefs de guerre Maï-Maï intégrés dans les FARDC, notamment le général William Yakutumba.
Officiellement, il dit s'opposer à la présence de "soldats rwandais" au sein de l'armée congolaise, en allusion aux ex-combattants rebelles du Congrès national pour la défense du peuple (CNDP) r
écemment intégrés eux-aussi dans les FARDC.
"Les Maï-Maï disent qu'ils ne peuvent pas laisser le sol congolais aux Rwandais", a affirmé à l'AFP le porte-parole dans le Sud-Kivu de l'opération de rapatriement forcé des rebelles FDLR, baptisée
"Kimia 2", le capitaine Olivier Hamuli.
"Mais quand vous analysez, c'est parce que ces jeunes gens veulent s'accrocher à leurs avantages", notamment le contrôle des zones minières dans leurs territoires, a estimé l'officier.
Aussi, selon une source militaire occidentale, le général Yakutumba est entré en rébellion lorsque l'état-major des FARDC lui a refusé le commandement de "Kimia 2" dans sa région d'origine.
"Il dit que ses hommes connaissent mieux le terrain où se déroulent les opérations", précise cette source, sous couvert d'anonymat.
Conséquences: à l'appel de Yakutumba, des centaines de Maï-Maï ont déserté les rangs des FARDC, dont ceux qui ont revendiqué l'attaque du 3 novembre à Luberizi - l'Union du peuple congolais
pour la révolution (UPCR) - pour se rallier aux FDLR.
"C'est la première fois qu'on voit cela", a souligné la source, même si les Maï-Maï sont connus pour leurs volte-faces souvent surprenantes.
Pour l'armée gouvernementale, il ne s'agit que d'un épiphénomène, bien que ses troupes soient désormais engagées à la fois contre les FDLR et des Maï-Maï, issus de ses rangs.
"Militairement, ils ne représentent aucune menace (contre les FARDC) parce qu'ils ne peuvent pas tenir une position pendant longtemps. Ils sont armés, certes, mais ce sont des civils qui n'ont
aucune formation militaire", a assuré le capitaine Hamuli.
Cependant, un humanitaire basé à Uvira craint "le pire dans les semaines à venir, car analyse-t-il, plus les Maï-Maï sont acculés par les FARDC, plus il y a le risque qu'ils soient armés par
des politiciens aigris et opportunistes".
D'ores et déjà, la quasi-totalité des organisations humanitaires ont suspendu leurs activités dans la région, jugée "zone à risque"."
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25451&da=&hi=0&of=6&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25446&da=&hi=0&of=11&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
Compatriotiquement!
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5122
Le général de brigade Jean-Claude Tshibumbu, commandant de la Base militaire de Kamina, est décédé. Il a été découvert sans vie dans sa chambre. Sans aucune malice,
il convient de rappeler que son prédécesseur, le général Budja Mabe, est mort, fin mai dernier, d’une courte maladie.
....................................................................................................
Au moment où nous couchons ces lignes, aucune hypothèse n’a été émise sur la cause probable de la disparition de cet officier supérieur. Le mystère reste entier. Le général Tshibumbu
a été nommé à ce poste en remplacement du général Félix Budja Mabe décédé, fin mai dernier, suite à une courte maladie.
Natif de la ville minière de Kolwezi, Jean-Claude Tshibumbu a appris l’essentiel de l’art militaire dans les rangs des «Tigres». Il s’agit des ex-gendarmes katangais et leurs descendants
exilés en Angola en 1963 après le démantèlement de la sécession du Katanga. Les généraux Jean-Claude Tshibumbu et Faustin Munene sont au nombre des «commandants» qui ont
rejoint l’AFDL début 1997 après des années d’exil passées au pays de José Edouardo dos Santos.
Les analystes ne manqueront pas d’évoquer ce parcours au regard de l’état des relations entre la RD Congo et l’Angola. Le régime de Luanda a expulsé plusieurs milliers des Congolais.
Les autorités de Kinshasa ont «réciproqué» tardivement. Il reste que plusieurs milliers d’Angolais, résident dans la province du Bas-Congo, ont été reconduits à la frontière. Au grand dam
des dirigeants angolais. Le nouvel ambassadeur d’Angola à Kinshasa, Emilio José de Carvaho, n’a pas manqué de déplorer, mardi 10 novembre, «l’incompréhension» qui, selon lui,
caractérise les relations entre les deux pays voisins.
Mi-octobre, le général Faustin Munene, aurait été victime d’un «home attack» en pleine "Cité". Il réside dans la commune de Bandalungwa. L’attaque aurait été imputée à des «bérets verts»
non autrement identifiés. Le fait n’a jamais été confirmé ni infirmé par les officiels. Un silence pour le moins inquiétant. De là à conclure qu’il ne fait plus bon d’être étiqueté «pro-angolais»,
au Congo démocratique, il n’y a qu’un pas que certains n’hésitent plus à franchir.
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25455&da=&hi=0&of=2&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
"Les ex-milices Maï-Maï reprennent le combat contre
les Forces armée de RDC dans le Sud-Kivu"
° http://www.jeuneafrique.com/Article/DEPAFP20091113T121054Z/-RDCongo-rebellion-FDLR-FARDC-Les-ex-milices-Mai-Mai-reprennent-le-combat-contre-les-Forces-armee-de-RDC-dans-le-Sud-Kivu.html
"RDC: les violences armées avec d'ex-milices ressurgissent au Sud-Kivu
° http://www.izf.net/upload/AFP/francais/special/afrique/AFP.php?content=091114105126.ehjwo6hc.html
UVIRA (RDCongo) (AFP) - samedi 14 novembre 2009 - 11h51 - Après une brève période d'accalmie, les affrontements entre ex-milices tribales et l'armée congolaise ont ressurgi dans la province
du Sud-Kivu dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC), laissant craindre une recrudescence de l'insécurité.
En deux semaines, au moins quatre localités ont été le théâtre d'affrontements dans cette région de 60.000 km2, où les Forces armées de la RDC (FARDC) tentent depuis juillet de faire rapatrier
manu-militari les rebelles hutu des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), dont certains ont participé au génocide de 1994 au Rwanda.
Alliés naturels de Kinshasa pendant la guerre de 1997-1998 dans l'ex-Zaïre, d'anciens miliciens Maï-Maï ont attaqué entre fin octobre et début novembre des brigades FARDC, puis pillé des civils,
occasionnant des déplacements massifs de populations.
D'abord à Itombwe le 25 octobre, ensuite à Baraka le 2 novembre, le lendemain à Luberizi et enfin dans la nuit du 8 au 9 novembre à Mboko.
Des sources militaires congolaises et onusiennes dans le Sud-Kivu attribuent ces attaques à d'anciens chefs de guerre Maï-Maï intégrés dans les FARDC, notamment le général William Yakutumba.
Officiellement, il dit s'opposer à la présence de "soldats rwandais" au sein de l'armée congolaise, en allusion aux ex-combattants rebelles du Congrès national pour la défense du peuple (CNDP) r
écemment intégrés eux-aussi dans les FARDC.
"Les Maï-Maï disent qu'ils ne peuvent pas laisser le sol congolais aux Rwandais", a affirmé à l'AFP le porte-parole dans le Sud-Kivu de l'opération de rapatriement forcé des rebelles FDLR, baptisée
"Kimia 2", le capitaine Olivier Hamuli.
"Mais quand vous analysez, c'est parce que ces jeunes gens veulent s'accrocher à leurs avantages", notamment le contrôle des zones minières dans leurs territoires, a estimé l'officier.
Aussi, selon une source militaire occidentale, le général Yakutumba est entré en rébellion lorsque l'état-major des FARDC lui a refusé le commandement de "Kimia 2" dans sa région d'origine.
"Il dit que ses hommes connaissent mieux le terrain où se déroulent les opérations", précise cette source, sous couvert d'anonymat.
Conséquences: à l'appel de Yakutumba, des centaines de Maï-Maï ont déserté les rangs des FARDC, dont ceux qui ont revendiqué l'attaque du 3 novembre à Luberizi - l'Union du peuple congolais
pour la révolution (UPCR) - pour se rallier aux FDLR.
"C'est la première fois qu'on voit cela", a souligné la source, même si les Maï-Maï sont connus pour leurs volte-faces souvent surprenantes.
Pour l'armée gouvernementale, il ne s'agit que d'un épiphénomène, bien que ses troupes soient désormais engagées à la fois contre les FDLR et des Maï-Maï, issus de ses rangs.
"Militairement, ils ne représentent aucune menace (contre les FARDC) parce qu'ils ne peuvent pas tenir une position pendant longtemps. Ils sont armés, certes, mais ce sont des civils qui n'ont
aucune formation militaire", a assuré le capitaine Hamuli.
Cependant, un humanitaire basé à Uvira craint "le pire dans les semaines à venir, car analyse-t-il, plus les Maï-Maï sont acculés par les FARDC, plus il y a le risque qu'ils soient armés par
des politiciens aigris et opportunistes".
D'ores et déjà, la quasi-totalité des organisations humanitaires ont suspendu leurs activités dans la région, jugée "zone à risque"."
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25451&da=&hi=0&of=6&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25446&da=&hi=0&of=11&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: COMMENT VA LE CONGO? QUE FAIT OU NE FAIT PAS LA SUPERSTRUCTURE, L'ETAT ???
Marchés publics : violations massives des principes de bonne gouvernance
Le journal " Le Potentiel " paraissant à Kinshasa est revenu cette semaine sur le dossier des tracteurs distribués aux provinces. Le magazine " Entreprendre " va plus loin dans la réflexion dans cet article qui propose des voies innovantes dans l'attribution des biens publics aux différents secteurs de la vie nationale.
Le ministère de l'Agriculture distribue à travers les provinces des tracteurs. Beaucoup de provinces ont malheureusement réceptionné ces tracteurs sans accessoires. D'où, ces engins destinés à l'agriculture sont à l'arrêt.
Pendant ce temps, personne ne peut aujourd'hui avancer les critères de base selon lesquels ces tracteurs sont en train d'être distribués. Est-ce à des hommes politiques, à des entités territoriales, à des collectifs de paysans… ? Pourquoi le Gouvernement ne se donne pas la peine de dire si ce sont des dons ou des prêts. Quel est le plan de soutenabilité qu'il y a derrière cette opération et qui garantit de sa rentabilité.
A quoi donc répondent ces achats massifs de tracteurs parce qu'on parle de 700 unités de marque John Deer.
Si on n'a pas de plan, ces investissements de l'ordre de 70 millions USD vont se traduire en gaspillage planifié. Où est le garage d'entretien et de maintenance de ces engins ? Qui offre le service après
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La suite sur Médiacongo.
Le journal " Le Potentiel " paraissant à Kinshasa est revenu cette semaine sur le dossier des tracteurs distribués aux provinces. Le magazine " Entreprendre " va plus loin dans la réflexion dans cet article qui propose des voies innovantes dans l'attribution des biens publics aux différents secteurs de la vie nationale.
Le ministère de l'Agriculture distribue à travers les provinces des tracteurs. Beaucoup de provinces ont malheureusement réceptionné ces tracteurs sans accessoires. D'où, ces engins destinés à l'agriculture sont à l'arrêt.
Pendant ce temps, personne ne peut aujourd'hui avancer les critères de base selon lesquels ces tracteurs sont en train d'être distribués. Est-ce à des hommes politiques, à des entités territoriales, à des collectifs de paysans… ? Pourquoi le Gouvernement ne se donne pas la peine de dire si ce sont des dons ou des prêts. Quel est le plan de soutenabilité qu'il y a derrière cette opération et qui garantit de sa rentabilité.
A quoi donc répondent ces achats massifs de tracteurs parce qu'on parle de 700 unités de marque John Deer.
Si on n'a pas de plan, ces investissements de l'ordre de 70 millions USD vont se traduire en gaspillage planifié. Où est le garage d'entretien et de maintenance de ces engins ? Qui offre le service après
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La suite sur Médiacongo.
mongo elombe
Re: COMMENT VA LE CONGO? QUE FAIT OU NE FAIT PAS LA SUPERSTRUCTURE, L'ETAT ???
Tout ça la faute à MOBUTU...................RDC eloko makasiiiiiiii
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Estimées à plus de 540 000 dollars, les pièces de machines de l’usine de la Gécamines démontées ont été vendues clandestinement comme mitraille sur ordre de la hiérarchie de la société. Les travailleurs de cette société l’ont dénoncé récemment. Il s’agit de 18 pièces de moules à anodes qui pèsent 60 tonnes et 250 pièces de bus barques avec 99.99% de teneur en cuivre qui pèsent aussi 60 tonnes.
Mukasa Kalembwe, administrateur délégué général ad intérim de la Gécamines a réagi à cette accusation Il a indiqué que cette dénonciation est calomnieuse. Il a attribué la propagande de fausses informations aux mauvaises langues . Il a affirmé ne pas être au courant du pillage. Cependant, il a reconnu que certaines machines ont été démontées justement pour raison de transformation de l’usine. Néanmoins, l’ADG de la Gécamines a promis de mener une enquête sur le dossier.
De leur côté, les travailleurs de la Gécamines dénoncent cette situation qui intervient quelques semaines après la suspension d’une quinzaine de directeurs de cette même société. Suspension intervenue suite à une enquête du Conseil d’administration sur la gestion de la société. Cette enquête fait état de la mauvaise gestion de la part de ces derniers.
De la mauvaise gestion
Le 23 janvier dernier, le Conseil d’administration de la Gecamines en session ordinaire avait fait un constat malheureux sur la production. Pour l’année 2007 la Gecamines a eu à injecter plus de 50 millions dans sa production. Lerésultat était satisfaisant car la production a augmenté. Elle a même triplé en 2008, avec plus de 150 millions de dollars américains.
En 2009, la production est décevante parce qu'elle connaît une baisse sensible et vraiment spectaculaire.
Suite à cette baisse , le Conseil d’administration vient d'initier une enquête interne qui abouti à 15 rapports et à la suspension des cadres de direction à travers les trois groupes d’exploitation.
Par ailleurs, pendant que le Conseil d’administration est préoccupé pour améliorer la production de la société, certains membres du comité procèdent à la destruction et au pillage des machines de la société.
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Estimées à plus de 540 000 dollars, les pièces de machines de l’usine de la Gécamines démontées ont été vendues clandestinement comme mitraille sur ordre de la hiérarchie de la société. Les travailleurs de cette société l’ont dénoncé récemment. Il s’agit de 18 pièces de moules à anodes qui pèsent 60 tonnes et 250 pièces de bus barques avec 99.99% de teneur en cuivre qui pèsent aussi 60 tonnes.
Mukasa Kalembwe, administrateur délégué général ad intérim de la Gécamines a réagi à cette accusation Il a indiqué que cette dénonciation est calomnieuse. Il a attribué la propagande de fausses informations aux mauvaises langues . Il a affirmé ne pas être au courant du pillage. Cependant, il a reconnu que certaines machines ont été démontées justement pour raison de transformation de l’usine. Néanmoins, l’ADG de la Gécamines a promis de mener une enquête sur le dossier.
De leur côté, les travailleurs de la Gécamines dénoncent cette situation qui intervient quelques semaines après la suspension d’une quinzaine de directeurs de cette même société. Suspension intervenue suite à une enquête du Conseil d’administration sur la gestion de la société. Cette enquête fait état de la mauvaise gestion de la part de ces derniers.
De la mauvaise gestion
Le 23 janvier dernier, le Conseil d’administration de la Gecamines en session ordinaire avait fait un constat malheureux sur la production. Pour l’année 2007 la Gecamines a eu à injecter plus de 50 millions dans sa production. Lerésultat était satisfaisant car la production a augmenté. Elle a même triplé en 2008, avec plus de 150 millions de dollars américains.
En 2009, la production est décevante parce qu'elle connaît une baisse sensible et vraiment spectaculaire.
Suite à cette baisse , le Conseil d’administration vient d'initier une enquête interne qui abouti à 15 rapports et à la suspension des cadres de direction à travers les trois groupes d’exploitation.
Par ailleurs, pendant que le Conseil d’administration est préoccupé pour améliorer la production de la société, certains membres du comité procèdent à la destruction et au pillage des machines de la société.
mongo elombe
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