Et si BEMBA était le 24 avril à KIN ?
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Re: Et si BEMBA était le 24 avril à KIN ?
Troll,
BEMBA est un prisonnier politique, l'acharnement de MORENO est louche, le silence des autorités congolaises n'est pas normal, il est sénateur, ancien président quelque soit ce qu'il ait fait le gouvernement d'un pays protège toujours ses ressortissants dans son cas silence total ça veut tout dire.
BEMBA est un prisonnier politique, l'acharnement de MORENO est louche, le silence des autorités congolaises n'est pas normal, il est sénateur, ancien président quelque soit ce qu'il ait fait le gouvernement d'un pays protège toujours ses ressortissants dans son cas silence total ça veut tout dire.
mongo elombe
Re: Et si BEMBA était le 24 avril à KIN ?
..SIMILITUDE
Madame Mongo, vous serez sans doute très surprise de l´application de la LOI par la CPI..En ecoutant RFI ce soir, on apprend qu´une Commission des droits de l´Homme de l´ONU va deposer un rapport (un de plus ) sur la situation des viols des femmes au Kivu par les FARDC, membres des services de sécurité, les FDLR et LRA..
Les crimes dont on reprocherait Bemba comme étant un "monstre" sont aussi permanents au Kivu..Surprise, le Procureur de la CPI n´a jamais accusé Joseph d´être l´auteur ou le responsable des viols, des executions sommaires dont les FARDC et les membres des services de sécurité sont les auteurs
Sauf si cette strategie viserait á faire du chantage sur Joseph en vue des élections, ..mais disons que si les troupes de Bemba ont violés et pilllés en RCA et Bemba doit être sanctioné pour ces crimes..alors soyons juste: Joseph serait aussi dans la prison á la CPI..vu le nombre des rapports de l´ONU qui accusent les FARDC de ces même crimes
Même Hillary Clinton a pris soin de placer la RDC et ses dirigeants dans son rapport sur les violations des Droits de l´Homme au Congo..mais la CPI semble être aveugle ou sourde..
Si on peut cherchera juger le Président du Soudan..alors pourquoi pas celui du Congo ?
Madame Mongo, vous serez sans doute très surprise de l´application de la LOI par la CPI..En ecoutant RFI ce soir, on apprend qu´une Commission des droits de l´Homme de l´ONU va deposer un rapport (un de plus ) sur la situation des viols des femmes au Kivu par les FARDC, membres des services de sécurité, les FDLR et LRA..
Les crimes dont on reprocherait Bemba comme étant un "monstre" sont aussi permanents au Kivu..Surprise, le Procureur de la CPI n´a jamais accusé Joseph d´être l´auteur ou le responsable des viols, des executions sommaires dont les FARDC et les membres des services de sécurité sont les auteurs
Sauf si cette strategie viserait á faire du chantage sur Joseph en vue des élections, ..mais disons que si les troupes de Bemba ont violés et pilllés en RCA et Bemba doit être sanctioné pour ces crimes..alors soyons juste: Joseph serait aussi dans la prison á la CPI..vu le nombre des rapports de l´ONU qui accusent les FARDC de ces même crimes
Même Hillary Clinton a pris soin de placer la RDC et ses dirigeants dans son rapport sur les violations des Droits de l´Homme au Congo..mais la CPI semble être aveugle ou sourde..
Si on peut cherchera juger le Président du Soudan..alors pourquoi pas celui du Congo ?
GHOST
TO BOYI LOKUTA, MANIPULATIONS, INTOX, MALHONNÊTETÉ INTELLECTUELLE, JALOUSIE, MOTEMA LIKUNDU !
Troll a écrit:..SIMILITUDE
Madame Mongo, vous serez sans doute très surprise de l´application de la LOI par la CPI..
En ecoutant RFI ce soir, on apprend qu´une Commission des droits de l´Homme de l´ONU va deposer un rapport (un de plus ) sur la situation des viols des femmes au Kivu par les FARDC, membres des services de sécurité, les FDLR et LRA..
Les crimes dont on reprocherait Bemba comme étant un "monstre" sont aussi permanents au Kivu..Surprise, le Procureur de la CPI n´a jamais accusé Joseph d´être l´auteur ou le responsable des viols, des executions sommaires dont les FARDC et les membres des services de sécurité sont les auteurs
Sauf si cette strategie viserait á faire du chantage sur Joseph en vue des élections, ..mais disons que si les troupes de Bemba ont violés et pilllés en RCA et Bemba doit être sanctioné pour ces crimes..alors soyons juste:
Joseph serait aussi dans la prison á la CPI..vu le nombre des rapports de l´ONU qui accusent les FARDC de ces même crimes
Même Hillary CLINTON a pris soin de placer la RDC et ses dirigeants dans son rapport sur les violations des Droits de l´Homme au Congo..mais la CPI semble être aveugle ou sourde..
Si on peut cherchera juger le Président du Soudan..alors pourquoi pas celui du Congo ?
* CNMM a écrit:
C'est tout de même curieux que Madame HILLARY CLINTON et leur serviteur ex-sergent GaCi (TROLL) aient oublié de mentionner l'architecte, auteur intellectuel, financier, logisticien, armurier, de tous ces malheurs de la région des Grands Lacs Africains :
BILL CLINTON, son Administration,
ses alliés Anglo-Saxons (UK, CANADA, etc.)
* CNMM
*CNMM
Re: Et si BEMBA était le 24 avril à KIN ?
Troll, tout a fait d'accord avec vous. Ca n'augure rien de bon en effet que le rapport soumis par Mme Clinton mette en cause le gvt congolais. ce sont des preuves qu'ils accumulent pour l'acculer comme les democrates, sous M. Clinton l'ont fait avec Mobutu. La societe civile congolaise est tres active et efficace dans son action, appuyee par des ONG internationales et ce sera surement grace a elle que les choses evolueront positivement...
Tsippora
Re: Et si BEMBA était le 24 avril à KIN ?
Le Congo demande à la Belgique d'accueillir Bemba
Des députés congolais ont déposé samedi une pétition à l'ambassade de Belgique à Kinshasa pour demander au
gouvernement belge d'accueillir sur son territoire l'ancien vice-président et
opposant Jean-Pierre Bemba, actuellement détenu par la Cour pénale
internationale (CPI) s'il bénéficiait d'une mise en liberté provisoire, a rapporté la radio onusienne Okapi.
"Nous avons remis la pétition de plus de 120 parlementaires qui soutiennent la libération de Jean-Pierre Bemba Gombo
et qui demandent à la Belgique de l'accueillir très rapidement parce qu'il sera
très vite libéré", a expliqué l'un des signataires, le député national Clément
Kanku, coordonnateur de l'Union pour la Nation (UN, une plate-forme de l'opposition, et initiateur de cette pétition.
"C'est la Belgique qui a arrêté Jean-Pierre Bemba, la même Belgique à qui nous nous demandons aujourd'hui
de coopérer avec la CPI. Il n'est pas normal que la Belgique puisse jouer ce jeu
des politiciens, des calculs politiciens qui tend toujours à éloigner
Jean-Pierre Bemba de Kinshasa ou de le garder en prison", a-t-il ajouté sur Radio Okapi.
M. Bemba avait perdu en 2006 l'élection présidentielle en
République démocratique du Congo (RDC) face à Joseph Kabila. Après des
affrontements, il avait quitté la RDC pour le Portugal en avril 2007. Il avait
été arrêté le 24 mai 2008 à Rhode-Saint-Genèse, en vertu d'un mandat d'arrêt
délivré par la CPI qui l'accuse de meurtre, viol et pillage notamment commis par
sa milice en Centrafrique. Il est détenu à La Haye mais a déposé une demande de libération provisoire. (belga)
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/article/detail/1097427/2010/04/24/Le-Congo-demande-a-la-Belgique-d-accueillir-Bemba.dhtml
Des députés congolais ont déposé samedi une pétition à l'ambassade de Belgique à Kinshasa pour demander au
gouvernement belge d'accueillir sur son territoire l'ancien vice-président et
opposant Jean-Pierre Bemba, actuellement détenu par la Cour pénale
internationale (CPI) s'il bénéficiait d'une mise en liberté provisoire, a rapporté la radio onusienne Okapi.
"Nous avons remis la pétition de plus de 120 parlementaires qui soutiennent la libération de Jean-Pierre Bemba Gombo
et qui demandent à la Belgique de l'accueillir très rapidement parce qu'il sera
très vite libéré", a expliqué l'un des signataires, le député national Clément
Kanku, coordonnateur de l'Union pour la Nation (UN, une plate-forme de l'opposition, et initiateur de cette pétition.
"C'est la Belgique qui a arrêté Jean-Pierre Bemba, la même Belgique à qui nous nous demandons aujourd'hui
de coopérer avec la CPI. Il n'est pas normal que la Belgique puisse jouer ce jeu
des politiciens, des calculs politiciens qui tend toujours à éloigner
Jean-Pierre Bemba de Kinshasa ou de le garder en prison", a-t-il ajouté sur Radio Okapi.
M. Bemba avait perdu en 2006 l'élection présidentielle en
République démocratique du Congo (RDC) face à Joseph Kabila. Après des
affrontements, il avait quitté la RDC pour le Portugal en avril 2007. Il avait
été arrêté le 24 mai 2008 à Rhode-Saint-Genèse, en vertu d'un mandat d'arrêt
délivré par la CPI qui l'accuse de meurtre, viol et pillage notamment commis par
sa milice en Centrafrique. Il est détenu à La Haye mais a déposé une demande de libération provisoire. (belga)
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/article/detail/1097427/2010/04/24/Le-Congo-demande-a-la-Belgique-d-accueillir-Bemba.dhtml
Mathilde
Re: Et si BEMBA était le 24 avril à KIN ?
Beljiki a coopéré avec la CPI pour l´arrestation de JPBG,
mais aprés il réfuse de coopérer de l´acceuillier pour une liberté provisoire.
Kokamwa heinnnnnn !!!!!
mais aprés il réfuse de coopérer de l´acceuillier pour une liberté provisoire.
Kokamwa heinnnnnn !!!!!
Flick de Kolwezi
Re: Et si BEMBA était le 24 avril à KIN ?
Mathy boni????????? BEMBA est congolais donc il a un pays où on l'a déchu de sa nationalité???????? dans la logique il doit rentrer et si KABILA et sa bande veulent le mettre en prison qu'il le fasse pourquoi la BELGIQUE?????? Il est toujours sénateur, il fait peur à qui en RDC?????
mongo elombe
Re: Et si BEMBA était le 24 avril à KIN ?
Mama Enyele toujours avec excés de zèle,mongo elombe a écrit:Mathy boni????????? BEMBA est congolais donc il a un pays où on l'a déchu de sa nationalité???????? dans la logique il doit rentrer et si KABILA et sa bande veulent le mettre en prison qu'il le fasse pourquoi la BELGIQUE?????? Il est toujours sénateur, il fait peur à qui en RDC?????
il ne peut pas rentrer au pays, car c´est juste une liberté provisoire,
qu´il doit être á tout moment à la disposition des juges, s´il y a besoin.
Mamam Enyele, il parrait Tshala Muana a.k.a. Mamu nationale
abuaki yo na album na ye ya sika.
Dernière édition par Flick de Kolwezi le 27/4/2010, 6:23 pm, édité 2 fois
Flick de Kolwezi
Re: Et si BEMBA était le 24 avril à KIN ?
LE VENT S´APPROCHE
Le senateur du www.lepotentiel.com parle explicitement d´un "complot" qui vise le "lachage" de Kanambe..qui semble-t-il devient de plus en plus isolé..
Le journal l´Avenir...s´autorise une réaction suite á l´annonce d´une rencontre de toutes les oppositions interne et externe á Washington mi-juin
Le vent..est en route..decidement d´ ici juin..on va apprendre beaucoup
Le senateur du www.lepotentiel.com parle explicitement d´un "complot" qui vise le "lachage" de Kanambe..qui semble-t-il devient de plus en plus isolé..
Le journal l´Avenir...s´autorise une réaction suite á l´annonce d´une rencontre de toutes les oppositions interne et externe á Washington mi-juin
Le vent..est en route..decidement d´ ici juin..on va apprendre beaucoup
GHOST
Re: Et si BEMBA était le 24 avril à KIN ?
Admiral Troll,
quel est le prix à payer aux faiseurs du prochain roi ?
Je doute pas que ca soit simplement une volonté des Congolais,
sinon le changement serait déjá fait depuis.
Jeu de dame, on change juste des pions, mais le maitre du jeu est le même.
quel est le prix à payer aux faiseurs du prochain roi ?
Je doute pas que ca soit simplement une volonté des Congolais,
sinon le changement serait déjá fait depuis.
Jeu de dame, on change juste des pions, mais le maitre du jeu est le même.
Flick de Kolwezi
Re: Et si BEMBA était le 24 avril à KIN ?
Le prix
Le premier prix est et reste la DEMOCRATIE, ensuite des "congolais" responsables et intelligents capables de mieux gerer l´État et ..de travailler avec le "faiseur du Roi"
Le Congo qui marche, qui est bien dirigé, bien geré est une bonne affaire pour toute la planète Certaines industries en Europe ou Amerique ont beaucoup á gagner dans un Congo mieux organisé et des dirigeants responsables et intelligents
Le premier prix est et reste la DEMOCRATIE, ensuite des "congolais" responsables et intelligents capables de mieux gerer l´État et ..de travailler avec le "faiseur du Roi"
Le Congo qui marche, qui est bien dirigé, bien geré est une bonne affaire pour toute la planète Certaines industries en Europe ou Amerique ont beaucoup á gagner dans un Congo mieux organisé et des dirigeants responsables et intelligents
GHOST
Re: Et si BEMBA était le 24 avril à KIN ?
Troll a écrit: LE VENT S´APPROCHE
Le senateur du www.lepotentiel.com parle explicitement d´un "complot" qui vise le "lachage" de Kanambe..qui semble-t-il devient de plus en plus isolé..
Le journal l´Avenir...s´autorise une réaction suite á l´annonce d´une rencontre de toutes les oppositions interne et externe á Washington mi-juin
Le vent..est en route..decidement d´ ici juin..on va apprendre beaucoup
En effet quelle apothéose, quel beau coup de la CI, le retour triomphal de Jean Pierre Mbemba en même temps que l’entrée triomphale des PRC sur Kinshasa au jour du 30 juin 2010 !
Libre Examen
Re: Et si BEMBA était le 24 avril à KIN ?
Inpecta, nous devons refuser le diktat de la CPI, nos politiques doivent arrêter d'être complices de ce genre de machin, nous avons des tribunaux
Un pays normal s'insurge quand on arrête un de ces citoyens à l'extérieur.
obosani que naza kozela mamou nationale napesa ye leçon ya patriotisme.........
Un pays normal s'insurge quand on arrête un de ces citoyens à l'extérieur.
obosani que naza kozela mamou nationale napesa ye leçon ya patriotisme.........
mongo elombe
Re: Et si BEMBA était le 24 avril à KIN ?
https://www.youtube.com/watch?v=vLwuUvgluNU&playnext_from=TL&videos=XsYOs9nDVTQ
Invité- Invité
Re: Et si BEMBA était le 24 avril à KIN ?
CPI: la République centrafricaine ne veut pas renoncer au procès de Bemba
Soumis par AFP
01-05-2010
Dernière mise à jour : 02-05-2010
Des avocats de la République centrafricaine ont demandé jeudi aux juges de la Cour pénale internationale (CPI) de ne
pas renoncer au procès de l'ancien vice-président de la République démocratique du Congo (RDC) Jean-Pierre
Bemba, comme l'a requis la défense de l'accusé.
Des avocats de la République centrafricaine ont demandé jeudi aux juges de la Cour pénale internationale (CPI) de ne
pas renoncer au procès de l'ancien vice-président de la République démocratique du Congo (RDC) Jean-Pierre
Bemba, comme l'a requis la défense de l'accusé.
"Je pense que c'est parce que notre humanité aujourd'hui n'est pas en mesure de supporter l'impunité de tels actes que
la CPI a été instituée", a déclaré l'avocat de la République centrafricaine Emile Bizon.
Emile Bizon a rappelé que la République centrafricaine, qui avait soumis en 2005 l 'affaire à la CPI , n'avait pas la
capacité matérielle de juger elle-même M. Bemba, 47 ans, accusé de crimes de guerre et crimes contre l'humanité en
Centrafrique.
Jean-Pierre Bemba est selon l'accusation responsable de meurtres, viols et pillages commis entre octobre 2002 et mars
2003 par les hommes de sa milice, le Mouvement de libération du Congo (MLC), envoyés en Centrafrique pour appuyer
le régime du président Ange-Félix Patassé.
"On ne peut plus nous poursuivre",a affirmé Nkwebe Liriss, l'avocat de Jean-Pierre Bemba, soutenant que son client
avait bénéficié d'un non-lieu en Centrafrique et qu'il ne peut donc pas être à nouveau poursuivi pour les mêmes faits.
Emile Bizon a accusé la défense d'utiliser une stratégie "dilatoire", affirmant que les enquêtes menées en
Centrafrique à l'encontre de M. Bemba n'avaient pas abouti à un procès.
"Les victimes souhaitent que le procès se déroule devant la CPI ",a expliqué l'avocate des victimes, Paolina Massidda.
Elle a avancé "une crainte de sécurité (...) due à la proximité du territoire centrafricain avec la RDC , où des milices du
MLC se trouvent encore et agissent encore",si le procès de M. Bemba avait lieu en Centrafrique.
M. Bemba, qui avait fui la RDC en avril 2007 après avoir perdu les élections présidentielles de 2006 face à Joseph
Kabila, avait été arrêté en mai 2008 à Bruxelles.
AFP
lejourguinee
http://www.lejourguinee.com Propulsé par Joomla! Généré: 3 May, 2010, 12:07
Soumis par AFP
01-05-2010
Dernière mise à jour : 02-05-2010
Des avocats de la République centrafricaine ont demandé jeudi aux juges de la Cour pénale internationale (CPI) de ne
pas renoncer au procès de l'ancien vice-président de la République démocratique du Congo (RDC) Jean-Pierre
Bemba, comme l'a requis la défense de l'accusé.
Des avocats de la République centrafricaine ont demandé jeudi aux juges de la Cour pénale internationale (CPI) de ne
pas renoncer au procès de l'ancien vice-président de la République démocratique du Congo (RDC) Jean-Pierre
Bemba, comme l'a requis la défense de l'accusé.
"Je pense que c'est parce que notre humanité aujourd'hui n'est pas en mesure de supporter l'impunité de tels actes que
la CPI a été instituée", a déclaré l'avocat de la République centrafricaine Emile Bizon.
Emile Bizon a rappelé que la République centrafricaine, qui avait soumis en 2005 l 'affaire à la CPI , n'avait pas la
capacité matérielle de juger elle-même M. Bemba, 47 ans, accusé de crimes de guerre et crimes contre l'humanité en
Centrafrique.
Jean-Pierre Bemba est selon l'accusation responsable de meurtres, viols et pillages commis entre octobre 2002 et mars
2003 par les hommes de sa milice, le Mouvement de libération du Congo (MLC), envoyés en Centrafrique pour appuyer
le régime du président Ange-Félix Patassé.
"On ne peut plus nous poursuivre",a affirmé Nkwebe Liriss, l'avocat de Jean-Pierre Bemba, soutenant que son client
avait bénéficié d'un non-lieu en Centrafrique et qu'il ne peut donc pas être à nouveau poursuivi pour les mêmes faits.
Emile Bizon a accusé la défense d'utiliser une stratégie "dilatoire", affirmant que les enquêtes menées en
Centrafrique à l'encontre de M. Bemba n'avaient pas abouti à un procès.
"Les victimes souhaitent que le procès se déroule devant la CPI ",a expliqué l'avocate des victimes, Paolina Massidda.
Elle a avancé "une crainte de sécurité (...) due à la proximité du territoire centrafricain avec la RDC , où des milices du
MLC se trouvent encore et agissent encore",si le procès de M. Bemba avait lieu en Centrafrique.
M. Bemba, qui avait fui la RDC en avril 2007 après avoir perdu les élections présidentielles de 2006 face à Joseph
Kabila, avait été arrêté en mai 2008 à Bruxelles.
AFP
lejourguinee
http://www.lejourguinee.com Propulsé par Joomla! Généré: 3 May, 2010, 12:07
mongo elombe
Re: Et si BEMBA était le 24 avril à KIN ?
[quote="mongo elombe"]CPI: la République centrafricaine ne veut pas renoncer au procès de Bemba
Soumis par AFP
01-05-2010
Dernière mise à jour : 02-05-2010
Des avocats de la République centrafricaine ont demandé jeudi aux juges de la Cour pénale internationale (CPI) de ne
pas renoncer au procès de l'ancien vice-président de la République démocratique du Congo (RDC) Jean-Pierre
Bemba, comme l'a requis la défense de l'accusé.
Des avocats de la République centrafricaine ont demandé jeudi aux juges de la Cour pénale internationale (CPI) de ne
pas renoncer au procès de l'ancien vice-président de la République démocratique du Congo (RDC) Jean-Pierre
Bemba, comme l'a requis la défense de l'accusé.
"Je pense que c'est parce que notre humanité aujourd'hui n'est pas en mesure de supporter l'impunité de tels actes que
la CPI a été instituée", a déclaré l'avocat de la République centrafricaine Emile Bizon.
Emile Bizon a rappelé que la République centrafricaine, qui avait soumis en 2005 l 'affaire à la CPI , n'avait pas la
capacité matérielle de juger elle-même M. Bemba, 47 ans, accusé de crimes de guerre et crimes contre l'humanité en
Centrafrique.
Jean-Pierre Bemba est selon l'accusation responsable de meurtres, viols et pillages commis entre octobre 2002 et mars
2003 par les hommes de sa milice, le Mouvement de libération du Congo (MLC), envoyés en Centrafrique pour appuyer
le régime du président Ange-Félix Patassé.
"On ne peut plus nous poursuivre",a affirmé Nkwebe Liriss, l'avocat de Jean-Pierre Bemba, soutenant que son client
avait bénéficié d'un non-lieu en Centrafrique et qu'il ne peut donc pas être à nouveau poursuivi pour les mêmes faits.
Emile Bizon a accusé la défense d'utiliser une stratégie "dilatoire", affirmant que les enquêtes menées en
Centrafrique à l'encontre de M. Bemba n'avaient pas abouti à un procès.
"Les victimes souhaitent que le procès se déroule devant la CPI ",a expliqué l'avocate des victimes, Paolina Massidda.
Elle a avancé "une crainte de sécurité (...) due à la proximité du territoire centrafricain avec la RDC , où des milices du
MLC se trouvent encore et agissent encore",si le procès de M. Bemba avait lieu en Centrafrique.
M. Bemba, qui avait fui la RDC en avril 2007 après avoir perdu les élections présidentielles de 2006 face à Joseph
Kabila, avait été arrêté en mai 2008 à Bruxelles.
AFP
lejourguinee
http://www.lejourguinee.com Propulsé par Joomla! Généré: 3 May, 2010, 12:07
Hi Sis,
Soumis par AFP
01-05-2010
Dernière mise à jour : 02-05-2010
Des avocats de la République centrafricaine ont demandé jeudi aux juges de la Cour pénale internationale (CPI) de ne
pas renoncer au procès de l'ancien vice-président de la République démocratique du Congo (RDC) Jean-Pierre
Bemba, comme l'a requis la défense de l'accusé.
Des avocats de la République centrafricaine ont demandé jeudi aux juges de la Cour pénale internationale (CPI) de ne
pas renoncer au procès de l'ancien vice-président de la République démocratique du Congo (RDC) Jean-Pierre
Bemba, comme l'a requis la défense de l'accusé.
"Je pense que c'est parce que notre humanité aujourd'hui n'est pas en mesure de supporter l'impunité de tels actes que
la CPI a été instituée", a déclaré l'avocat de la République centrafricaine Emile Bizon.
Emile Bizon a rappelé que la République centrafricaine, qui avait soumis en 2005 l 'affaire à la CPI , n'avait pas la
capacité matérielle de juger elle-même M. Bemba, 47 ans, accusé de crimes de guerre et crimes contre l'humanité en
Centrafrique.
Jean-Pierre Bemba est selon l'accusation responsable de meurtres, viols et pillages commis entre octobre 2002 et mars
2003 par les hommes de sa milice, le Mouvement de libération du Congo (MLC), envoyés en Centrafrique pour appuyer
le régime du président Ange-Félix Patassé.
"On ne peut plus nous poursuivre",a affirmé Nkwebe Liriss, l'avocat de Jean-Pierre Bemba, soutenant que son client
avait bénéficié d'un non-lieu en Centrafrique et qu'il ne peut donc pas être à nouveau poursuivi pour les mêmes faits.
Emile Bizon a accusé la défense d'utiliser une stratégie "dilatoire", affirmant que les enquêtes menées en
Centrafrique à l'encontre de M. Bemba n'avaient pas abouti à un procès.
"Les victimes souhaitent que le procès se déroule devant la CPI ",a expliqué l'avocate des victimes, Paolina Massidda.
Elle a avancé "une crainte de sécurité (...) due à la proximité du territoire centrafricain avec la RDC , où des milices du
MLC se trouvent encore et agissent encore",si le procès de M. Bemba avait lieu en Centrafrique.
M. Bemba, qui avait fui la RDC en avril 2007 après avoir perdu les élections présidentielles de 2006 face à Joseph
Kabila, avait été arrêté en mai 2008 à Bruxelles.
AFP
lejourguinee
http://www.lejourguinee.com Propulsé par Joomla! Généré: 3 May, 2010, 12:07
Hi Sis,
Mathilde
Re: Et si BEMBA était le 24 avril à KIN ?
Il n'y a pas que lui qui devrait y être. Le Congo, l'Ouganda, le Rwanda, la Monuc, le FDLR, LRA, le mayi mayi, tous devraient y être aussi. Nos dirigeants sont habitués à commettre des crimes et à en faire commettre sans y répondre. Malheureusement tout cela est teinté des considérations politiciennes et partisanes plutôt que lpour a recherche de la justice.
Libre Examen
Re: Et si BEMBA était le 24 avril à KIN ?
Hi sista, les avocaillons centrafricains veulent la peau de BEMBA kokamwa n'est ce pas? on l'accuse de......... il y était physiquement?? pourquoi lui spécialement??????? ces avocaillons centrafricains ont oublié BOZIZE??????
LE boni?????
LE boni?????
mongo elombe
Re: Et si BEMBA était le 24 avril à KIN ?
"L’étrange affaire Bemba "
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5595
Compatriotiquement!
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5595
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: Et si BEMBA était le 24 avril à KIN ?
Pris sur congoindépendant
.
Cette dernière audience ressemblait à une pièce de théâtre surtout lorsque la Cour a demandé au Bureau du Procureur et à l’avocat de la République centrafricaine de produire l’acte par lequel il avait été interjeté appel contre la décision de la justice centrafricaine ayant requis le non-lieu pour JP BEMBA. Ni l’un ni l’autre n’ont pu produire l’acte en question ...
Etant donné que JP BEMBA disposait d’une immunité lorsqu’il a été poursuivi par les juridictions centrafricaines et que celles-ci n’avaient pas requis sa levée JP BEMBA en tout état de cause ne pouvait être qu’acquitté !!!
Non bis in idem nous prions donc la CPI afin de conserver le peu de crédibilité qu’il lui reste encore de se déssaisir de cette affaire et de relaxer purement et simplement JP BEMBA à qui nous conseillons d’ores et déjà de réclamer des dommages-intérêts conséquents pour les deux ans de détention injustifiée qu’il a subie !!!
***********************************************************************
http://fr.hirondellenews.com/content/view/12629/181/
La Haye, 11 Juillet 2008 (FH) - L’organisation américaine de protection des droits de l’homme Human Rights Watch (HRW), dans un rapport d’étape sur la Cour pénale internationale (CPI) présenté vendredi matin à La Haye, critique vivement son procureur et sa politique de communication.
Ce rapport intitulé "Une Cour pour l’Histoire a été rédigé à l’occasion du dixième anniversaire de l’adoption du traité de Rome, le 17 juillet 1998 au terme d’une enquête conduite en république démocratique du Congo (RDC), en Ouganda et au Tchad, à la frontière avec le Soudan. HRW y pointe trois problèmes majeurs dans l’organisation de la Cour : la qualité des enquêtes du procureur, les faiblesses de la communication de la Cour à l’adresse notamment des populations concernées par les crimes, et le soutien politique et financier des états.
Human Rights Watch recommande notamment au procureur de la CPI, Luis Moreno Ocampo, de « recruter des enquêteurs supplémentaires, y compris des enquêteurs expérimentés, dans les plus brefs délais et accorder la priorité à leur contribution dans la planification et la mise en œuvre de la stratégie de poursuites ».
Au cours d’une conférence de presse organisée vendredi matin à La Haye, Param-Preet Singh, juriste dans le programme Justice Internationale à d’HRW a déclaré que la stratégie d’enquête avait un impact important dans les régions visées. Selon elle, l’affaire Lubanga n’est « pas sérieuse », en raison notamment de la faiblesse des charges reprochées à l’ancien chef de l’Union des patriotes congolais (UPC). Par ailleurs, selon la juriste d’HRW la stratégie consistant à poursuivre les groupes impliqués « l’un après l’autre » donne le sentiment d’une justice partiale.
Human Rights Watch recommande en outre la nomination d’un procureur adjoint chargé des enquêtes. Depuis le départ en 2006 du procureur adjoint chargé des enquêtes, Serge Brammertz, à la demande des Nations unies qui l’avaient nommé à la tête de la commission d’enquête internationale pour le Liban, aucun remplaçant n’a été désigné à ce poste. Un choix de Luis Moreno Ocampo.
Pour appuyer ses critiques sur la politique d’enquête, Human Rights Watch s’appuie sur les derniers développements de l’affaire Lubanga, dont le procès est pour l’heure suspendu suite au refus des Nations unies de lever la confidentialité sur certaines pièces du dossiers remises au procureur sous le sceau de la confidentialité.
Human Rights Watch invite aussi le procureur à ouvrir une base permanente sur le terrain pour les équipes d’enquête, de sorte à recueillir suffisamment de preuves « pour inculper les suspects d’un éventail représentatif des crimes les plus graves qui auraient été perpétrés. »
Au cours de cette conférence de presse, Géraldine Mattioli, chargée de la justice internationale pour HRW, a par ailleurs pointé les problèmes de communication de la Cour, relevant notamment les rumeurs qui circulent en RDC. « A Bunia par exemple, le bureau de la Cour [plusieurs bureaux ont été ouverts par la cour près des sites sur lesquels des enquêtes sont ouvertes] est appelé ‘Guantanamo’, parce qu’il est inaccessible » à la population.
L’organisation plaide aussi pour que des audiences puissent être conduites sur le terrain. Concernant l’affaire Lubanga, La république démocratique du Congo s’était opposée à ce que de telles audiences puissent être organisées en Ituri, s’inquiétant notamment de la possibilité que de tels procès ravivent les tensions dans la région.
SM/PB/GF
Agence Hirondelle
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Cette dernière audience ressemblait à une pièce de théâtre surtout lorsque la Cour a demandé au Bureau du Procureur et à l’avocat de la République centrafricaine de produire l’acte par lequel il avait été interjeté appel contre la décision de la justice centrafricaine ayant requis le non-lieu pour JP BEMBA. Ni l’un ni l’autre n’ont pu produire l’acte en question ...
Etant donné que JP BEMBA disposait d’une immunité lorsqu’il a été poursuivi par les juridictions centrafricaines et que celles-ci n’avaient pas requis sa levée JP BEMBA en tout état de cause ne pouvait être qu’acquitté !!!
Non bis in idem nous prions donc la CPI afin de conserver le peu de crédibilité qu’il lui reste encore de se déssaisir de cette affaire et de relaxer purement et simplement JP BEMBA à qui nous conseillons d’ores et déjà de réclamer des dommages-intérêts conséquents pour les deux ans de détention injustifiée qu’il a subie !!!
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http://fr.hirondellenews.com/content/view/12629/181/
La Haye, 11 Juillet 2008 (FH) - L’organisation américaine de protection des droits de l’homme Human Rights Watch (HRW), dans un rapport d’étape sur la Cour pénale internationale (CPI) présenté vendredi matin à La Haye, critique vivement son procureur et sa politique de communication.
Ce rapport intitulé "Une Cour pour l’Histoire a été rédigé à l’occasion du dixième anniversaire de l’adoption du traité de Rome, le 17 juillet 1998 au terme d’une enquête conduite en république démocratique du Congo (RDC), en Ouganda et au Tchad, à la frontière avec le Soudan. HRW y pointe trois problèmes majeurs dans l’organisation de la Cour : la qualité des enquêtes du procureur, les faiblesses de la communication de la Cour à l’adresse notamment des populations concernées par les crimes, et le soutien politique et financier des états.
Human Rights Watch recommande notamment au procureur de la CPI, Luis Moreno Ocampo, de « recruter des enquêteurs supplémentaires, y compris des enquêteurs expérimentés, dans les plus brefs délais et accorder la priorité à leur contribution dans la planification et la mise en œuvre de la stratégie de poursuites ».
Au cours d’une conférence de presse organisée vendredi matin à La Haye, Param-Preet Singh, juriste dans le programme Justice Internationale à d’HRW a déclaré que la stratégie d’enquête avait un impact important dans les régions visées. Selon elle, l’affaire Lubanga n’est « pas sérieuse », en raison notamment de la faiblesse des charges reprochées à l’ancien chef de l’Union des patriotes congolais (UPC). Par ailleurs, selon la juriste d’HRW la stratégie consistant à poursuivre les groupes impliqués « l’un après l’autre » donne le sentiment d’une justice partiale.
Human Rights Watch recommande en outre la nomination d’un procureur adjoint chargé des enquêtes. Depuis le départ en 2006 du procureur adjoint chargé des enquêtes, Serge Brammertz, à la demande des Nations unies qui l’avaient nommé à la tête de la commission d’enquête internationale pour le Liban, aucun remplaçant n’a été désigné à ce poste. Un choix de Luis Moreno Ocampo.
Pour appuyer ses critiques sur la politique d’enquête, Human Rights Watch s’appuie sur les derniers développements de l’affaire Lubanga, dont le procès est pour l’heure suspendu suite au refus des Nations unies de lever la confidentialité sur certaines pièces du dossiers remises au procureur sous le sceau de la confidentialité.
Human Rights Watch invite aussi le procureur à ouvrir une base permanente sur le terrain pour les équipes d’enquête, de sorte à recueillir suffisamment de preuves « pour inculper les suspects d’un éventail représentatif des crimes les plus graves qui auraient été perpétrés. »
Au cours de cette conférence de presse, Géraldine Mattioli, chargée de la justice internationale pour HRW, a par ailleurs pointé les problèmes de communication de la Cour, relevant notamment les rumeurs qui circulent en RDC. « A Bunia par exemple, le bureau de la Cour [plusieurs bureaux ont été ouverts par la cour près des sites sur lesquels des enquêtes sont ouvertes] est appelé ‘Guantanamo’, parce qu’il est inaccessible » à la population.
L’organisation plaide aussi pour que des audiences puissent être conduites sur le terrain. Concernant l’affaire Lubanga, La république démocratique du Congo s’était opposée à ce que de telles audiences puissent être organisées en Ituri, s’inquiétant notamment de la possibilité que de tels procès ravivent les tensions dans la région.
SM/PB/GF
Agence Hirondelle
mongo elombe
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