Mobutu n'etait pas congolais ni fils de sa mere yemo. Il etait togolais
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Mobutu n'etait pas congolais ni fils de sa mere yemo. Il etait togolais
ON AURA TOUT VU OU TOUT ENTENDU DANS CE CONGO DE LUMUMBA ET KABILA
Les gens de Ngbanda peuvent aussi reclamer le test adn de l'imposteur mobutu et de sa projeniture
La version de Kwebe Kimpele sur les origines de Mobutu.
Mobutu n’était pas congolais ni par son père ni par sa mère . Mama Yemo n’a jamais été sa mère biologique, mais simplement sa « mère adoptive ». Les parents de Mobutu étaient tous deux
de nationalité togolaise. Son père exerçait la profession de cheminot. Il a été engagé par la société française qui a construit le chemin de fer Brazzaville- Océan. Donnez-vous la peine de poser
la question à quelques Togolais instruits et d’un certain âge, ils vous en apprendront des choses sur notre fameux Maréchal zaïrois!! Vous voulez que je continue sur lui et que je vous en dise un
peu plus ? Alors voici:
D’autre part, Mobutu n’est pas né à Lisala, mais à Brazzavile, rue Paul kamba, à Poto-Poto Brazzaville. Il a vu le jour en 1928 et non pas le 14 octobre 1930. Sa mère naturelle est morte alors qu’il était âgé de quelques jours à peine et que son père se trouvait au boulot, entre la ville de Brazzavile et la côte atlantique, occupé à poser des rails. Du fait que ses parents étaent originaires du Togo, une ancienne colonie française, ils étaient donc ipso facto français. Mobutu, déjà orphelin à l’âge de quelques jours, fut donc présenté à « son compatriote » , le curé français de Brazzaville pour trouver une solution immédiate au bébé qui manquait déjà de lait.
Il se fait que le prêtre français affecté à Brazzaville avait un domestique du nom de Gbemani Alberic, mari d’une certaine Marie -Madeleine Yemo, qui venait d’accouccher et qui pouvait donc donner le sein au petit bébé a perdu sa mère. Mama Yemo se retrouva ainsi avec deux enfants, ce qui la fit appeler » mama mapasa » par ses copines de l’époque qui se moquaient d’elle gentiment. Nous sommes en 1928
Une épidémie de variole décima les enfants à Brazzavile quelques mois après la naissance de Mobutu. Tous en furent atteints, même Mobutu, et même l’enfant biologique de Mama Yemo qui partageait ses seins avec le nouveau venu. Mais l’enfant naturel de mama Yemo succomba à la maladie. Pas Mobutu. Cet incident provoqua la colère de Gbemani Alberic, le mari de mama Yemo, tous deux des Ngbandis à qui la coutume interdit d’adopter un enfant ayant perdu sa mère en très bas âge. Mais mama Yemo ne voulut rien entendre. De disputes en scènes de ménage, le coupe se déchira pendant plusieurs années, à cause de la présence du petit Mobutu dans la famille, jusqu’au jour où mama Yemo décida de divorcer, de traverser le fleuve et d’aller vivre avec tous ses enfants, Mobutu y compris, à Léopoldville.
Ayant appris le départ de la mère nourricière de son enfant, le père biologique de Mobutu, le Togolais donc, résolut de la suivre de l’autre côté du fleuve. Après de longues et fastidieuses démarches administratives pour obtenir sa mutation du chemin de fer Brazzaville- Océan vers la société ferroviaire Matadi-Léopoldville, il débarqua enfin sur la rive gauche et se mit à la recherche de son fiston. Mais ayant appris la présence du père de l’enfant à Léopoldville, mama Yemo décida de fuire à Lisala, sa ville natale avec tous ses enfants à bord d’un bateau de l’OTRACO, Office des transports
congolais.
Quand le père naturel de Mobutu retrouva enfin l’adresse où résidaient mama Yemo et son gosse, ce fut pour apprendre la nouvelle de la fuite de la mère adoptive. Impossible pour un Togolais, en ce temps-là, d’abandonner son travail pendant des années et de se rendre loin, là-bas à Lisala, une ville totalement inconnue de lui, en plein milieu de la forêt équatoriale. Découragé, désespéré, il renonça à poursuivre mama Yemo. Il mourut quelques années plus tard et fut enterré à l’ancien cimetière, aujourd’hui désaffecté de la commune de Kasa-Vubu, en face de la boulangerie mama Poto à Kinshasa.
Mobutu n’a jamais pu retrouver la tombe de son père puisque Mama Yemo, absente de Léopoldville depuis des années, n’a jamais su où l’homme fut inhumé."
Les gens de Ngbanda peuvent aussi reclamer le test adn de l'imposteur mobutu et de sa projeniture
La version de Kwebe Kimpele sur les origines de Mobutu.
Mobutu n’était pas congolais ni par son père ni par sa mère . Mama Yemo n’a jamais été sa mère biologique, mais simplement sa « mère adoptive ». Les parents de Mobutu étaient tous deux
de nationalité togolaise. Son père exerçait la profession de cheminot. Il a été engagé par la société française qui a construit le chemin de fer Brazzaville- Océan. Donnez-vous la peine de poser
la question à quelques Togolais instruits et d’un certain âge, ils vous en apprendront des choses sur notre fameux Maréchal zaïrois!! Vous voulez que je continue sur lui et que je vous en dise un
peu plus ? Alors voici:
D’autre part, Mobutu n’est pas né à Lisala, mais à Brazzavile, rue Paul kamba, à Poto-Poto Brazzaville. Il a vu le jour en 1928 et non pas le 14 octobre 1930. Sa mère naturelle est morte alors qu’il était âgé de quelques jours à peine et que son père se trouvait au boulot, entre la ville de Brazzavile et la côte atlantique, occupé à poser des rails. Du fait que ses parents étaent originaires du Togo, une ancienne colonie française, ils étaient donc ipso facto français. Mobutu, déjà orphelin à l’âge de quelques jours, fut donc présenté à « son compatriote » , le curé français de Brazzaville pour trouver une solution immédiate au bébé qui manquait déjà de lait.
Il se fait que le prêtre français affecté à Brazzaville avait un domestique du nom de Gbemani Alberic, mari d’une certaine Marie -Madeleine Yemo, qui venait d’accouccher et qui pouvait donc donner le sein au petit bébé a perdu sa mère. Mama Yemo se retrouva ainsi avec deux enfants, ce qui la fit appeler » mama mapasa » par ses copines de l’époque qui se moquaient d’elle gentiment. Nous sommes en 1928
Une épidémie de variole décima les enfants à Brazzavile quelques mois après la naissance de Mobutu. Tous en furent atteints, même Mobutu, et même l’enfant biologique de Mama Yemo qui partageait ses seins avec le nouveau venu. Mais l’enfant naturel de mama Yemo succomba à la maladie. Pas Mobutu. Cet incident provoqua la colère de Gbemani Alberic, le mari de mama Yemo, tous deux des Ngbandis à qui la coutume interdit d’adopter un enfant ayant perdu sa mère en très bas âge. Mais mama Yemo ne voulut rien entendre. De disputes en scènes de ménage, le coupe se déchira pendant plusieurs années, à cause de la présence du petit Mobutu dans la famille, jusqu’au jour où mama Yemo décida de divorcer, de traverser le fleuve et d’aller vivre avec tous ses enfants, Mobutu y compris, à Léopoldville.
Ayant appris le départ de la mère nourricière de son enfant, le père biologique de Mobutu, le Togolais donc, résolut de la suivre de l’autre côté du fleuve. Après de longues et fastidieuses démarches administratives pour obtenir sa mutation du chemin de fer Brazzaville- Océan vers la société ferroviaire Matadi-Léopoldville, il débarqua enfin sur la rive gauche et se mit à la recherche de son fiston. Mais ayant appris la présence du père de l’enfant à Léopoldville, mama Yemo décida de fuire à Lisala, sa ville natale avec tous ses enfants à bord d’un bateau de l’OTRACO, Office des transports
congolais.
Quand le père naturel de Mobutu retrouva enfin l’adresse où résidaient mama Yemo et son gosse, ce fut pour apprendre la nouvelle de la fuite de la mère adoptive. Impossible pour un Togolais, en ce temps-là, d’abandonner son travail pendant des années et de se rendre loin, là-bas à Lisala, une ville totalement inconnue de lui, en plein milieu de la forêt équatoriale. Découragé, désespéré, il renonça à poursuivre mama Yemo. Il mourut quelques années plus tard et fut enterré à l’ancien cimetière, aujourd’hui désaffecté de la commune de Kasa-Vubu, en face de la boulangerie mama Poto à Kinshasa.
Mobutu n’a jamais pu retrouver la tombe de son père puisque Mama Yemo, absente de Léopoldville depuis des années, n’a jamais su où l’homme fut inhumé."
Imperium
Re: Mobutu n'etait pas congolais ni fils de sa mere yemo. Il etait togolais
Imperium a écrit:ON AURA TOUT VU OU TOUT ENTENDU DANS CE CONGO DE LUMUMBA ET KABILA
Les gens de Ngbanda peuvent aussi reclamer le test adn de l'imposteur mobutu et de sa projeniture
La version de Kwebe Kimpele sur les origines de Mobutu.
Mobutu n’était pas congolais ni par son père ni par sa mère . Mama Yemo n’a jamais été sa mère biologique, mais simplement sa « mère adoptive ». Les parents de Mobutu étaient tous deux
de nationalité togolaise. Son père exerçait la profession de cheminot. Il a été engagé par la société française qui a construit le chemin de fer Brazzaville- Océan. Donnez-vous la peine de poser
la question à quelques Togolais instruits et d’un certain âge, ils vous en apprendront des choses sur notre fameux Maréchal zaïrois!! Vous voulez que je continue sur lui et que je vous en dise un
peu plus ? Alors voici:
D’autre part, Mobutu n’est pas né à Lisala, mais à Brazzavile, rue Paul kamba, à Poto-Poto Brazzaville. Il a vu le jour en 1928 et non pas le 14 octobre 1930. Sa mère naturelle est morte alors qu’il était âgé de quelques jours à peine et que son père se trouvait au boulot, entre la ville de Brazzavile et la côte atlantique, occupé à poser des rails. Du fait que ses parents étaent originaires du Togo, une ancienne colonie française, ils étaient donc ipso facto français. Mobutu, déjà orphelin à l’âge de quelques jours, fut donc présenté à « son compatriote » , le curé français de Brazzaville pour trouver une solution immédiate au bébé qui manquait déjà de lait.
Il se fait que le prêtre français affecté à Brazzaville avait un domestique du nom de Gbemani Alberic, mari d’une certaine Marie -Madeleine Yemo, qui venait d’accouccher et qui pouvait donc donner le sein au petit bébé a perdu sa mère. Mama Yemo se retrouva ainsi avec deux enfants, ce qui la fit appeler » mama mapasa » par ses copines de l’époque qui se moquaient d’elle gentiment. Nous sommes en 1928
Une épidémie de variole décima les enfants à Brazzavile quelques mois après la naissance de Mobutu. Tous en furent atteints, même Mobutu, et même l’enfant biologique de Mama Yemo qui partageait ses seins avec le nouveau venu. Mais l’enfant naturel de mama Yemo succomba à la maladie. Pas Mobutu. Cet incident provoqua la colère de Gbemani Alberic, le mari de mama Yemo, tous deux des Ngbandis à qui la coutume interdit d’adopter un enfant ayant perdu sa mère en très bas âge. Mais mama Yemo ne voulut rien entendre. De disputes en scènes de ménage, le coupe se déchira pendant plusieurs années, à cause de la présence du petit Mobutu dans la famille, jusqu’au jour où mama Yemo décida de divorcer, de traverser le fleuve et d’aller vivre avec tous ses enfants, Mobutu y compris, à Léopoldville.
Ayant appris le départ de la mère nourricière de son enfant, le père biologique de Mobutu, le Togolais donc, résolut de la suivre de l’autre côté du fleuve. Après de longues et fastidieuses démarches administratives pour obtenir sa mutation du chemin de fer Brazzaville- Océan vers la société ferroviaire Matadi-Léopoldville, il débarqua enfin sur la rive gauche et se mit à la recherche de son fiston. Mais ayant appris la présence du père de l’enfant à Léopoldville, mama Yemo décida de fuire à Lisala, sa ville natale avec tous ses enfants à bord d’un bateau de l’OTRACO, Office des transports
congolais.
Quand le père naturel de Mobutu retrouva enfin l’adresse où résidaient mama Yemo et son gosse, ce fut pour apprendre la nouvelle de la fuite de la mère adoptive. Impossible pour un Togolais, en ce temps-là, d’abandonner son travail pendant des années et de se rendre loin, là-bas à Lisala, une ville totalement inconnue de lui, en plein milieu de la forêt équatoriale. Découragé, désespéré, il renonça à poursuivre mama Yemo. Il mourut quelques années plus tard et fut enterré à l’ancien cimetière, aujourd’hui désaffecté de la commune de Kasa-Vubu, en face de la boulangerie mama Poto à Kinshasa.
Mobutu n’a jamais pu retrouver la tombe de son père puisque Mama Yemo, absente de Léopoldville depuis des années, n’a jamais su où l’homme fut inhumé."
Comme pour dire que les fables sur les fausses origines etrangeres de Joseph Kabila n'ont pas commencé aujourd'hui. C'est une vieille tactique de certains congolais (toujours les meme) qui lorsqu'ils n'arrivent pas a battre un adversaire politique passent a l'assassination de son caractere en inventant de gros mensonges.
Alors si ces gens n'avaient pas pu vaincre Mobutu qui etait universellement détesté ( a part par ces fans comme Mongo Elombe et consorts ) quelle chance ont-ils/elles devant un Joseph Kabila qui relève le Congo du gouffre dans lequel Mobutu et ses amis l'avait plongé?
NgongaEbeti
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